Mobirama numéro 2, octobre 2013
La revue de des es cclientes lientes eett ddes es cclients de la Mobilière
Didier Cuche Une marque forte Sinistre Savoir tourner la page après un incendie Investissement Avec garantie
Sommaire
Point de mire Didier Cuche: un champion heureux et serein 06
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Concours Gagnez un séjour de deux nuits à Pontresina! Page 8
Engagement Volleyball, handball, basketball, unihockey: on recherche des top scorers! 10
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Sinistre Un gigantesque incendie à Meyrin-Satigny a détruit un entrepôt. 15
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Cinq questions à… Michèle Bergkvist-Rodoni, responsable Prévoyance de la Mobilière Page 15
Impressum Editeur Mobilière Suisse Société d’assurances SA, 3001 Berne, Communication d’entreprise, Peter Marthaler Rédaction Kurt Messerli (km, rédacteur en chef), Patricia Blättler (pb), Claudia Freire (cf), Claudia Puppato (puc), Manuel Inderbitzin (mi), Jürg Thalmann (jt), Susanne Maurer (sum), Tanja Roth (tr), Communication d’entreprise, Bundesgasse 35, 3001 Berne, tél. 031 389 65 43, fax 031 389 68 57, e-mail mobirama@mobi.ch, Internet www.mobi.ch. Ont collaboré à ce numéro: Marlis Bula Photos Iris Stutz, Lucas Zbinden, Olivier Vogelsang, Susanne Keller, das Zelt, iStockphoto.com, Hôtel Saratz, Gettyimages, Keystone Traduction Service de traduction de la Mobilière Commandes Service Marketing Support, tél. 031 389 70 15, fax 031 389 68 77 Concept et réalisation wave-advertising ag, Lucerne, www.wave.ch Impression Kyburz AG, Dielsdorf Tirage 1,2 million d’exemplaires. Paraît deux fois par an en français, en allemand et en italien.© Mobilière Suisse Société d’assurances SA. Octobre 2013
Photo de couverture Didier Cuche a le goût du risque. Photo: Iris Stutz 2 Mobirama 2/2013
Editorial
La coopérative, un statut qui profite à tous Chère cliente, cher client, En quoi le fait d’être assuré auprès d’une coopérative vous procure-t-il des avantages?
«Une coopérative vous offre bien plus qu’un simple suivi au niveau local.»
Vous pensez peut-être au suivi personnalisé dont vous bénéficiez sur place. Aux collaborateurs et aux collaboratrices qui répondent à vos questions en matière d’assurance. Ou encore aux spécialistes qui vous conseillent de manière professionnelle en cas de sinistre. Une coopérative vous offre cependant bien plus qu’un simple suivi au niveau local. Depuis 187 ans, nous sommes fidèles à un même principe: nous recherchons non pas la maximisation des profits à court terme, mais le succès à long terme. Nous assumons nos responsabilités vis-à-vis de nos clientes et clients, de nos collaborateurs et de la société. En tant que principal assureur de choses, la Mobilière est particulièrement concernée par le problème des catastrophes naturelles. C’est pourquoi elle soutient la prévention des dangers naturels. Nous avons ainsi investi au cours des dernières années 30 millions de francs dans plus de 60 projets de prévention contre les avalanches, les chutes de pierres et les inondations dans toute la Suisse. Réduire ainsi le nombre de sinistres nous permet de proposer à long terme à notre clientèle des primes moins élevées. Sans compter que notre engagement s’avère aussi payant pour les pouvoirs
publics: en offrant une meilleure protection aux infrastructures du pays, comme les routes ou les ponts, nous contribuons à réduire les dommages et préservons les investissements effectués avec vos impôts. C’est ainsi que, lors des intempéries qui ont frappé l’Oberland bernois en 2007 et 2011, les projets de prévention des sinistres ont permis d’éviter plus de 200 millions de francs de dommages. Mais vous profitez aussi de manière plus directe et personnelle des bons résultats de notre coopérative: par exemple, vous bénéficiez actuellement d’une réduction de 20% sur la prime de votre assurance ménage et bâtiment MobiCasa. Le statut de coopérative est une forme juridique qui convient parfaitement aux compagnies d’assurance. Comme vous le voyez, ce statut s’avère profitable non seulement à notre clientèle, mais aussi à l’ensemble de la population suisse. Je vous souhaite une agréable lecture! Cordialement,
Markus Hongler, CEO ceo@mobi.ch
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Panorama
Bien assurer ses œuvres d’art L’assurance d’œuvres d’art exige savoir-faire et expérience. La Mobilière et Nationale Suisse collaborent en ce sens. Chaque œuvre d’art, chaque collection est unique. Pour bien les assurer, il faut une couverture d’assurance unique, elle aussi. Depuis le début de l’année, la Mobilière et Nationale Suisse ont renforcé leur collaboration dans ce domaine. Par ses produits spécifiques et son expertise, Nationale Suisse se distingue à l’échelle internationale dans l’assurance d’œuvres d’art. La Mobilière peut désormais exploiter davantage ce savoir-faire et, partant, étendre son offre, afin de mieux répondre aux besoins des clients propriétaires de précieuses collections. Les deux assureurs collaborent à plusieurs niveaux, des grandes collections et expositions aux œuvres d’art de particuliers. La Mobilière offre ainsi une couverture pour les tableaux et les sculptures dans l’assurance objets de valeurs MobiCasa et confie à sa partenaire le soin d’assurer les objets particulièrement précieux ainsi que les collections de particuliers et d’entreprises. Tant Nationale Suisse que la Mobilière possèdent une importante collection d’œuvres d’artistes suisses. www.mobi.ch/mobirama-fr Œuvre de la collection de la Mobilière: Marie-Antoinette Chiarenza, Je suis une femme, pourquoi pas vous?, 1995-2001, photographie sur papier sur aluminium, 240 × 168 cm
Automne Interminable vague de cambriolages Vision d’horreur: portes et fenêtres fracturées, armoires retournées. Le nombre de cambriolages est en constante augmentation. Protégez-vous! Le nombre de cambriolages explose depuis des mois. Tel est le constat que tirent la police et les assureurs. En automne, les malfaiteurs profitent des absences liées aux vacances et du fait que la nuit tombe plus vite pour s’introduire dans les logements. Un cambriolage est perpétré toutes les neuf minutes en Suisse. Les zones frontalières et les régions proches des principaux axes routiers sont les plus touchées. Assurer séparément ce qui vous est précieux En principe, l’assurance inventaire du ménage inclut les objets de valeur. Le vol des bijoux et des montres est toutefois soumis à un plafond d’indemnisation, qui s’élève à 20 000 francs chez la plupart des assureurs et à 30 000 à la Mobilière (pour les contrats conclus à partir de septembre 2003). Si vous possédez beaucoup de bijoux ou des pièces de grande valeur, nous vous conseillons donc de souscrire une assurance objets de valeur distincte. Chaque objet est recensé individuellement, ce qui facilite la preuve de la valeur en cas de sinistre. Dans tous les cas, il est recommandé de conserver
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des pièces justificatives pour les objets précieux. Justificatif d’achat ou estimation servent de base pour déterminer la valeur de l’objet. La somme d’assurance fixée doit correspondre à la valeur à neuf. À défaut de preuve d’achat, un certificat, des photos ou encore des indications précises sur la qualité de l’objet peuvent être très utiles. Cette couverture complémentaire s’applique au domicile ainsi que dans le monde entier, lors de brefs séjours ou voyages. Elle est également valable en cas de détroussement, de perte, d’égarement, de destruction ou d’endommagement. Angoisses après une effraction La plupart des gens pensent qu’avec une bonne assurance, tout sera remplaçable en cas d’effraction. Ce n’est cependant pas le cas, ainsi que le confirment toutes les victimes. En effet, aucune assurance ne rembourse la valeur sentimentale des objets tels que les pièces d’héritage ou les albums photos. De plus, la violation de la sphère intime perturbe souvent davantage les victimes que les dommages matériels. Mieux vaut donc prévenir que guérir. Vous trouverez des conseils utiles en matière de prévention sur le site www.mobi.ch/mobirama-fr. Attention: en automne, la nuit tombe plus vite et les cambrioleurs en profitent pour s’introduire dans les logements. Photo: Gettyimages
Panorama
Des billets à prix réduits pour «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» Sponsor national de «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» dès 2014, la Mobilière vous propose des billets à prix préférentiel et même des entrées gratuites pour les plus chanceux d’entre vous. Comédie, musique, délices culinaires: depuis plus de dix ans, le théâtre suisse itinérant «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» est en tournée dans toute la Suisse. À partir de 2014, la Mobilière sponsorisera «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» en tant que partenaire national. Billets à prix préférentiel En 2014 et pendant onze mois, «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» s’invitera dans 21 villes pour y donner plus de 200 représentations. Les clientes et les clients de la Mobilière bénéficient d’un rabais de 20% sur le prix des billets pour le spectacle de leur choix. Les modalités d’octroi de ce rabais seront communiquées à partir du 1er novembre 2013 sur le site: www.mobi.ch/daszelt. Billets à gagner La Mobilière tire au sort 25× deux billets de catégorie 1. Vous pouvez participer à notre concours au moyen de la carte-réponse ci-jointe, par SMS au numéro 959 (en indiquant «Zelt», ainsi que vos nom et adresse) ou en ligne sur www.mobi.ch/mobirama-fr. Date limite de participation: 31 décembre 2013. www.daszelt.ch Dès 2014, la Mobilière sera le partenaire national du théâtre itinérant «Das Zelt – Chapiteau PostFinance» qui sillonne la Suisse depuis dix ans. Photo: Das Zelt
La Mobilière, une marque forte Considérée comme la plus fiable parmi les assurances en Suisse, la marque Mobilière a sensiblement progressé selon deux études réalisées en 2013. D’après l’étude «Best Swiss Brands 2013» menée par Interbrand et le magazine BILANZ, la Mobilière fait partie des 50 marques suisses les plus prisées et, partant, des grands gagnants du sondage: par rapport à l’an dernier, la valeur de la marque a augmenté de 14% et se chiffre à 276 millions de francs. De plus, la Mobilière jouit d’un grand capital de confiance. En 2013 et pour la 5e année consécutive, la Mobilière termine en tête de l’étude «European Trusted Brands» réalisée par le magazine Reader’s Digest. C’est dans la catégorie «Assurances» qu’elle se classe une nouvelle fois première. Plus de 18 000 personnes dans douze pays européens, dont 1 083 en Suisse, ont participé à cette enquête. www.bestswissbrands2013.ch www.rdtrustedbrands.com
Gagbnilleetsz! des
Les croquis de sinistre ont quinze ans La Mobilière utilise les croquis de sinistre dans ses campagnes publicitaires depuis quinze ans. À l’origine, ce sont les clients qui lui ont donné cette idée de campagne: leurs déclarations, telles que «Mon fils a heurté un vase et s’est cassé», ou leurs croquis maladroits mais sympathiques, accompagnés de commentaires savoureux, constituent depuis toujours une source d’inspiration intarissable. Un tel succès depuis quinze ans est exceptionnel dans le monde de la publicité. Le secret de cette réussite réside à coup sûr dans le fait que tout un chacun peut se reconnaître dans les sujets. Dans le même temps, la Mobilière souligne sa proximité avec les clients, laquelle devient un avantage appréciable au plus tard à la survenance du sinistre. En septembre, «persönlich», le magazine économique suisse alémanique consacré à la communication, a publié une édition spéciale intitulée «15 Jahre Schadenskizze» (Les croquis de sinistre ont quinze ans). Renseignements complémentaires sur les motifs, les évolutions et les idées de la campagne: www.mobi.ch/mobirama-fr
Nous vous aidons à vous sortir d’affaire rapidement et simplement. www.mobi.ch
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Point de mire
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Point de mire Didier Cuche se ressource facilement dans la nature: «Je suis né dans le Jura neuchâtelois; nos terrains de jeu favoris étaient les pistes de ski en hiver et la forêt en été.»
Didier Cuche Une force tranquille La prise de risque a toujours fait partie de sa vie de skieur. Comment Didier Cuche a-t-il géré cette composante? En tant que client de la Mobilière, se considère-t-il comme un bon ou un mauvais risque? Réponses d’un champion qui n’a jamais eu froid aux yeux.
Claudia Freire
Iris Stutz
Il arrive à l’interview, tout sourire et décontraction, dans un polo bleu acier, la couleur de ses yeux. D’emblée, il met tout le monde à l’aise en annonçant dans un éclat de rire que sa voiture est mal garée. Comme quoi, un champion est logé à la même enseigne que le commun des mortels lorsqu’il s’agit de trouver une place de parc en ville...
au 100% de ses propres capacités. L’apprentissage se fait avec le temps et l’expérience, les chutes, quand elles sont bénignes, sont aussi quelque part une aide. Les expériences que tu fais en tombant sont celles qui t’amènent au plus près de ta limite. Mais bien sûr, le risque fait aussi partie du jeu.» Savoir gérer sa peur
Le risque, une composante incontournable Avec 21 victoires en Coupe du monde, une médaille d’or (2009), deux d’argent (2009 et 2011) et une de bronze (2007) aux Championnats du monde, une médaille d’argent aux JO en 1998, ainsi que six globes de cristal en descente, Didier Cuche est sans conteste une légende vivante du ski alpin. Arriver à un tel niveau d’excellence implique toutefois une prise de risques, sachant qu’en descente à ski, la vitesse moyenne dépasse souvent les 100 km/h. Comment a-t-il géré cette composante? «Je pense que chaque personne a une limite qu’elle doit apprendre à connaître. La gestion du risque est fonction de cette limite, qui correspond
N’a-t-il jamais eu peur? «En course, je ne connais pas la peur.» Même sur la terrible Streif, à Kitzbühel, en Autriche, tant
«Le risque fait partie du jeu.» redoutée des skieurs du monde entier? «C’est vrai, c’est l’un des parcours où il faut du courage pour se lancer, avoue-t-il. La première fois que je l’ai descendue, en 1995, j’ai ressenti une certaine appréhension, mais j’ai conjuré ma peur en plaisantant avec un humour un peu noir, et je me
suis lancé en me disant ‹on verra bien›. Je me suis classé vingt-et-unième.» C’est à Kitzbühel que le quintuple vainqueur de la plus prestigieuse des descentes a vécu ensuite l’une de ses plus belles victoires, qu’il considère comme un tournant dans sa carrière: «En 1998, j’ai remporté ma première Streif, avec quatorze centièmes d’avance sur le Français Nicolas Burtin. Cette victoire m’a causé une émotion incroyable et laissé un souvenir très fort, qui m’a rendu euphorique à chaque fois que j’y suis retourné. Aucune autre piste au monde ne m’a autant marqué.» Alors, même pas peur, même s’il voyait d’autres tomber? «Quand un autre skieur chutait, j’essayais de comprendre ce qui s’était passé. Mais je restais concentré. C’est dur à dire, mais il faut savoir rester froid et penser à soi, le risque zéro n’existe pas. À ce niveau-là de la compétition il faut savoir en faire abstraction.» Un «retraité» très occupé Didier Cuche a fait ses adieux au cirque blanc il y a plus d’un an, au terme d’une carrière exceptionnellement riche, tant Mobirama 2/2013 7
Point de mire & Concours
Le champion retraité reste proche des athlètes : il a posé sa candidature au CIO pour faire partie de la commission des athlètes qui visitera les sites qui sont en préparation pour les JO.
au niveau sportif qu’humain. Le Suisse de l’année 2011 ne se tourne pas les pouces pour autant. Partageant son temps entre les greens – il a un handicap de 9 –, son rôle de consultant occasionnel pour la télévision et ses nombreux engagements avec ses partenaires et sponsors, Didier Cuche est un homme très occupé. «Je me suis mis à la planche à voile, où je retrouve le plaisir de la glisse, mais avec un nouveau facteur à prendre en compte, à savoir la gestion du vent.» Son dernier coup de foudre sportif est la conduite automobile sur circuit. «J’aime la vitesse, c’est
Didier Cuche sur «sa» Streif. Photo: Keystone
vrai, et je retrouve en voiture les mêmes sensations qu’à ski. Par contre, je dois apprendre à gérer le freinage», affirme-til, sourire en coin. Assuré à la Mobilière, entre autres pour la voiture, Didier Cuche se voit-il plutôt comme un bon ou un mauvais risque? «J’ai tellement l’habitude de la vitesse que lorsque je roule lentement, je dois redoubler d’attention pour ne pas me laisser distraire», admet-il en riant. Il se reconnaît d’ailleurs dans les personnages des publicités Mobilière. «Peut-être même qu’un jour, je vais inspirer une campagne de pub», conclut-il avec un sourire.
Bref portrait Didier Cuche, 39 ans, a disputé 369 courses de Coupe du monde (21 victoires, 67 podiums). Il a remporté l’argent aux Jeux olympiques, quatre médailles aux Championnats du monde, ainsi que six globes de cristal en descente. Elu Suisse de l’année en 2011, le Neuchâtelois a pris sa retraite au printemps 2012. www.didiercuche.ch
ez Participours! Concours Gagnez un séjour de deux nuits à Pontresina! au conc Participez au tirage au sort en répondant à la question du concours sur le talon-réponse de la lettre d’accompagnement ou sur le site Internet www.mobi.ch/ mobirama-fr ou par SMS: Quel nouveau titre la Mobilière a-t-elle introduit pour les sports de salle? Keyplayer Mobilière Best Player Mobilière Top scorer Mobilière
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Par SMS (20 centimes/SMS), envoyez «Mobirama», la solution du concours et vos nom et adresse au 363. (Exemple: Forelle im frisch «Mobirama», joueur Mobilière, nom et gereinigten Blausee. adresse).
1 er prix Deux nuits en chambre double tout confort et orientée plein sud pour deux personnes à l’Hôtel Saratz, à Pontresina, avec souper, petit-déjeuner et entrée à la zone wellness d’une valeur de 1 092 francs. Du 2 e au 5e prix 4x deux abonnements pour le sport de votre choix (unihockey, volleyball, handball ou basketball) et le club de votre choix. Du 6e au 10e prix 5 bons d’achat de la Confiserie Sprüngli d’une valeur de 50 francs chacun. Date limite de participation: 31 décembre 2013
Engagement
On recherche des top scorers Marquer des points en faveur de la relève D’ores et déjà sponsor du unihockey, la Mobilière soutient désormais aussi le volleyball, le handball et le basketball pour une première période de quatre ans. Dans chaque équipe, le joueur ayant marqué le plus de points sera immédiatement reconnaissable à son maillot «top scorer Mobilière».
Jürg Thalmann
Iris Stutz
Du jjamais vu. Unihockey, volleyball, handball et basketball: la Mobilière soutient quatre disciplines sportives ba à la fois, avec comme dénominateur commun le «top sscorer Mobilière». Dès cette saison, le joueur ayant marqué le plus de points dans chaque équipe NLA m (f (féminine et masculine) portera le maillot du «top scorer Mobilière», un signe de reconnaissance aussi bien pour les spectateurs que pour les adversaires. Le meilleur joueur sur le terrain sera ainsi reconnaissable entre tous. l j
lines font face à des défis rain. «Ces quatre disciplines structurels similaires, explique Thomas Trachsler, membre du Comité de direction de la Mobilière. Il ns nous tient à cœur de mettre les quatre fédérations sportives en contact, afin de promouvoir les échanges anges entre elles. L’union fait la force.» Il s’agit, par exemple, de renforcer leur présence à la télévision, plutôt discrète actuellement.
À la fin de la saison, 400 000 francs au total répartis en fonction du nombre de points accumulés seront versés à 73 clubs de la meilleure division pour la promotion de la relève. Les quatre disciplines sportives rassemblent près de 100 000 licenciés, essentiellement des jeunes.
Grâce à son réseau décentralisé de 80 agences générales réparties dans tout le pays, la Mobilière peut nouer des contacts privilégiés avec les clubs et s’engager au niveau régional en faveur de la pratique du sport par le grand public et de la formation de jeunes talents. En unihockey, plus de 60 agences générales soutiennent des associations locales.
Swiss Mobiliar Games, le spectacle continue Outre un soutien financier, la Mobilière entend également apporter un nouvel élan à ces sports en mettant sur pied des manifestations communes. Comment compte-t-elle s’y prendre? La Mobilière n’en est pas à son coup d’essai. À deux reprises dans le cadre des Swiss Mobiliar Games, elle avait organisé sous le même toit des matches de championnat de unihockey, volleyball et handball. Et ce n’est qu’un début.
L’avantage de l’ancrage local
Pour en savoir plus: www.mobi.ch/4.sports
Abonnements à gagner Participez à notre concours en page 8 et vous gagnerez peut-être un abonnement pour votre club préféré.
Des objectifs communs Ce rapprochement ne doit pas avoir lieu uniquement sur le ter-
Les top scorers de quatre sports de salle désormais distingués par la Mobilière. Joueur dans l’équipe nationale de unihockey et collaborateur de la Mobilière, Matthias Hofbauer a accepté de poser devant l’objectif.
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Sinistre
Roland Rusterholz, client à la Mobiliére, et Daniel Immer, inspecteur des sinistres, discutent de la suite des opérations dans l’entrepôt détruit.
Région de Genève «Un incendie comme ça, c’est une véritable rupture» Dans la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 avril 2013, un gigantesque incendie détruit un entrepôt assuré à la Mobilière, de la taille d’un terrain de football, situé dans la zone industrielle de Meyrin-Satigny.
Claudia Freire
Iris Stutz | Olivier Vogelsang
Il est peu avant 19 h ce mercredi 24 avril lorsque Roland Rusterholz, propriétaire d’un entrepôt situé dans la zone industrielle de Meyrin-Satigny, se rend compte que quelque chose cloche. «J’étais encore en train de travailler. J’ai d’abord senti une odeur de brûlé, avant de lever les yeux et de voir de la fumée au plafond. Des gens dans le bâtiment d’en face m’ont crié: ‹Ça brûle dans votre immeuble!› Un quart d’heure plus tard c’était le branle-bas de combat.» C’était aussi le début d’un immense incendie qui va complètement ravager cet entrepôt de 5000 mètres carrés, la taille d’un terrain de football, et abritant une dizaine de sociétés.
la nuit pour maîtriser le sinistre. En effet, le feu n’a été contenu que le lendemain matin vers 10 h. D’autre part, à cause des stocks hautement inflammables, le risque d’explosion et de pollution était imminent. Des papiers, des solvants, de l’alcool, de
«Au départ, on cherche à survivre, il n’y a pas trop d’émotions.» Roland Rusterholz
Grand risque d’explosion et de pollution L’incendie est exceptionnel, et ce à plus d’un titre: d’une part, les 150 pompiers engagés sur l’exercice ont dû lutter toute 10 Mobirama 2/2013
l’huile et des plastiques ont été la proie des flammes, produisant des explosions. Des barrages ont été posés sur les ri-
vières voisines et sur le Rhône, en raison de la pollution venant des eaux d’extinction. Les habitants du village voisin ont été priés de garder les fenêtres fermées à cause de gros dégagements de fumée toxique. Genève n’avait plus connu d’incendie aussi important depuis 30 ans. Des années de travail parties en fumée En tant que propriétaire, Roland Rusterholz a perdu non seulement son entrepôt, mais aussi sa société de restauration, DORGA Restauration Service SA. Il témoigne: «Au départ, on cherche à survivre, il n’y a pas trop d’émotions. Mais quand j’ai été confronté à la réaction de mon père qui a construit tout ça, j’ai vraiment réalisé ce qui s’est passé. C’est toute une page de sa vie qui se tourne. Un incendie comme ça, c’est une véritable rupture.»
À cause de la violence du feu, l’opération d’extinction a dû être menée durant toute la nuit du 24 au 25 avril.
C’est le père de Roland Rusterholz qui avait créé à l’origine DORGA SA, une entreprise de vente en gros de denrées alimentaires et de spiritueux en 1963. «Dans les années 80, le premier entrepôt est devenu trop petit. L’occasion de construire quelque chose de plus grand dans la zone industrielle de Meyrin s’est présentée et l’aventure a débuté.» Un sinistre de plus de 10 millions de francs Comment va évoluer la situation à présent? Daniel Immer, inspecteur des sinistres à la Mobilière en charge de ce dossier, explique: «Même si les murs sont encore debout, nous n’allons pas pouvoir garder ce bâtiment tel quel, car le risque d’effondrement est trop grand. Après différentes analyses et en accord avec toutes les parties concernées, nous
Quelle assurance couvre l’incendie et
allons devoir le démolir et le reconstruire. Pour la Mobilière, cela concerne six entreprises pour les assurances perte d’exploitation et le bâtiment lui-même. Le sinistre est estimé à environ 11,5 millions de francs.» La reconstruction va prendre quelques mois et durera probablement jusqu’au deuxième semestre 2014.
«Le sinistre est estimé à environ 11,5 millions.»
personnes: sept jours après le sinistre, ils étaient de nouveau opérationnels. Roland Rusterholz: «Nous avons trouvé de la place dans des locaux qui sont un peu petits, mais juste à côté. Cette situation temporaire nous permettra de tenir le temps que dure la reconstruction.» Pour conclure, a-t-il un conseil à donner à nos clients? «Chaque sinistre est différent. Toutefois, je pense qu’il est judicieux de relire et de remettre régulièrement à jour sa couverture d’assurance. Car tout-àcoup le destin frappe à votre porte et non plus à celle du voisin.» Roland Rusterholz (à g.) et Daniel Immer.
Daniel Immer
La perte d’exploitation a pu être limitée pour notre client et son équipe de dix-neuf
DORGA Restauration Service SA
la perte d’exploitation pour les PME? L’entreprise est active dans l’achat, la L’assurance entreprise et bâtiments MobiPro est spécialement adaptée aux besoins des PME. Avec une seule police, vous assurez votre entreprise contre les dommages matériels dus, par exemple, à un incendie et, en y ajoutant un module complémentaire (perte de produits et frais supplémentaires inclus), les dommages aux machines et aux appareils techniques. L’assurance garantit également la meilleure des protections pour les propriétaires d’immeuble.
vente, l’exportation et l’importation de spiritueux, de vins et de denrées alimentaires à destination de la restauration. Elle est établie à Meyrin-Satigny depuis 1983. Son propriétaire est Roland Rusterholz. Vous trouverez la vidéo sur ce sinistre sous: http://www.youtube.com/ lamobiliere ou flashez le code QR.
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Interview
Elgar Fleisch «Personne n’avait prévu Internet, les SMS ou Facebook» Les ordinateurs miniaturisés vont améliorer notre existence, affirme Elgar Fleisch, professeur en technologie de l’information et membre du Conseil d’administration de la Mobilière. Selon lui, nous n’en sommes qu’à l’aube d’une nouvelle ère. Il a déjà sauvé sa propre vie et celle d’autres personnes par automatisme.
Patricia Blättler
Iris Stutz / iStockPhoto.com
La numérisation ne fait que commencer.
L’être humain et l’ordinateur sont appelés à ne faire qu’un, dites-vous. Qu’entendez-vous par là? Elgar Fleisch: Je veux dire que des ordinateurs miniaturisés toujours mieux intégrés à notre corps vont nous assurer une vie meilleure, si on les utilise à bon escient. Les appareils auditifs, désormais presque invisibles, en sont un premier exemple. Nos téléphones mobiles pourraient même bientôt se présenter sous cette forme. Etes-vous personnellement représentatif de cette intégration? Pas vraiment. Je suis plutôt conservateur. Je porte parfois un bracelet comptepas, qui mesure aussi le dénivelé parcouru, la durée de mon sommeil, y compris 12 Mobirama 2/2013
de sommeil profond, ainsi que le nombre de fois où je me réveille, mais c’est dans le cadre d’un projet de recherche. Toutefois, si mes enfants devaient partir un jour à l’aventure avec InterRail, je pense que je leur offrirais une montre d’appel d’urgence, au cas où ils se trouveraient en difficulté. Je ferais le même cadeau à mes parents, s’ils devaient se sentir plus vulnérables, l’âge venant.
Tous ne considèrent pas le progrès technologique comme une bonne chose. Oui, toute technologie, de la trancheuse à pain à l’ordinateur, a son revers. Et il y a deux façons de réagir: soutenir son développement, en veillant à œuvrer pour le bien commun, ou se mettre la tête dans le sable. Mais de même que l’on ne peut aller contre les lois de la nature, on ne peut arrêter le progrès.
Que connaîtront vos enfants une fois adultes? Un monde numérique? La numérisation fait partie de notre quotidien depuis une dizaine d’années. Et ce n’est qu’un début. La technologie de l’information est apparue il y a près de 50 ans, et si l’on songe, par exemple, à ce qu’était alors l’automobile et à ce qu’elle est devenue aujourd’hui, on pressent bien qu’il y aura encore du nouveau dans les générations à venir.
Qu’est-ce que cela signifie pour une société d’assurances et ses clients? Pour la Mobilière, surtout des questions, aussi nombreuses que variées: comment assurer des voitures sans conducteur, qui s’imposeront peut-être même avant la voiture électrique? Comment se servir des nouvelles technologies pour réduire la sinistralité? Que faire pour que les gens se sentent plus en sécurité dans leur foyer et puissent y rester jusqu’à un âge avancé?
Quoi, par exemple? En matière de technologie, il est assez facile de prédire ce que coûtera un ordinateur dans cinq à dix ans, combien d’éner-
Oui, que faire? La Mobilière est le plus grand assureur ménage de Suisse: un ménage sur trois est assuré chez elle. Elle possède donc de nombreuses données, en partie représentatives, notamment sur les dommages dus aux intempéries ou sur les effractions, qu’elle peut mettre à la disposition de la recherche scientifique.
«Toute technologie, de la trancheuse à pain à l’ordinateur, a son revers.» gie il consommera ou à quelle vitesse il transmettra les données. Savoir ce que l’on en fera est une autre affaire. Prenez Internet, les SMS, le courrier électronique, Google ou Facebook: personne ne les avait prévus. Je ne veux donc pas m’aventurer à prédire ce qui nous attend. Il faut savoir rester modeste!
Ce qui met aussitôt en alerte les responsables de la protection des données... Sans raison. L’EPFZ, l’Université de SaintGall et la Mobilière ont lancé cet été un projet de recherche commun reposant effectivement sur les données de sinistres de la Mobilière. Les données restent cependant à la Mobilière, et les informations clients n’intéressent pas les hautes écoles, qui n’ont d’ailleurs pas le droit de les consulter. Ce qui les intéresse, ce sont
Interview
par exemple les régions dans lesquelles des effractions sont commises ou les effets des projets de prévention des crues. Quant aux entreprises, elles se doivent de tirer tout enseignement utile des données dont elles disposent. Comment jugez-vous la collaboration entre science et économie? Comme très importante. Pour la science, parce que celle-ci travaillerait sinon hors de la réalité, pour les entreprises, parce qu’elle les fait progresser. L’idéal pour une haute école, c’est de collaborer avec de nombreuses entreprises différentes, de manière à prévenir les soupçons de conflits d’intérêts. Il est important également de respecter les règles du jeu. C’est-à-dire? En particulier, les données ne doivent être utilisées qu’aux fins prévues et les résultats être accessibles à tous et la liberté de la recherche doit être garantie. En quoi la recherche scientifique peut-elle profiter à un client de l’assurance ménage de la Mobilière? Les premières années, en peu de choses, mais plus tard, il s’apercevra que son assurance est toujours mieux adaptée à ses besoins et à sa situation de vie. Il pourra peut-être même, grâce à la Mobilière et à de petits assistants numériques, rester chez lui jusqu’à un âge plus avancé. Notre statut de coopérative a-t-il influé sur votre décision de vous engager au sein du Conseil d’administration? Certainement. J’estime qu’une entreprise doit poursuivre un but servant la société. Elle doit certes obéir aux principes de l’économie de marché, pour être performante, mais je n’apprécie guère les entreprises qui courent après les bénéfices trimestriels, sans vision à long terme. Je ne vois pas pourquoi un actionnaire devrait toucher un plus gros dividende simplement parce qu’aucun orage de grêle n’a frappé le pays en cours d’exercice. Cet argent doit profiter aux clients. En tant que scientifique, vous n’avez pas le profil type d’un membre de conseil d’administration. De nos jours, nombre de conseils d’administration de grandes entreprises ne se composent plus uniquement de juristes ou de spécialistes de la finance. On cherche à diversifier les compétences, et les scientifiques sont donc les bienvenus. Je suis personnellement favorable à un bon mix de compétences et de systèmes de pensée. Quel est votre apport en tant que professeur de haute école? La Mobilière, de même que l’industrie de l’assurance en général, est une composante essentielle de la société. Or, quand
Elgar Fleisch est chercheur à l’EPFZ et à l’Institut de gestion de la technologie de l’Université de Saint-Gall. «Dans le privé, je suis plutôt conservateur.»
la société évolue, comme elle le fait par exemple aujourd’hui vers une société de l’information, cette évolution doit aussi se refléter dans les assurances. Mon rôle consiste donc à analyser cette évolution, surtout du point de vue de la numérisa-
«Les entreprises se doivent de tirer tout enseignement utile des données dont elles disposent.» tion, et, avec mes collègues du Conseil d’administration, à l’intégrer dans la stratégie de l’entreprise, afin que la Mobilière puisse continuer à servir de façon optimale la majorité de la population suisse. Pour conclure, une touche plus personnelle: vous êtes parvenu à stopper un bus dont le chauffeur avait fait un infarctus, évitant ainsi un grave accident. Dans cette situation, avez-vous agi plus comme un homme ou comme un robot? C’était il y a quelques années. Nous rentrions d’une journée de ski avec mon équipe. J’étais assis vers l’arrière du bus
quand nous avons soudainement commencé à frotter la paroi d’un tunnel, produisant des gerbes d’étincelles. Je me suis précipité à l’avant, sans réfléchir, et suis parvenu à atteindre les freins. Nous nous sommes arrêtés devant le mur de fond d’une niche de sécurité. Le chauffeur n’a hélas pas survécu à son infarctus, mais les autres occupants du véhicule, moi compris, ont eu une chance énorme. Je peux dire que j’ai effectivement agi par une sorte d’automatisme. Bref portrait
Elgar Fleisch, 45 ans, est directeur de l’Institut de gestion de la technologie de l’Université de Saint-Gall et professeur de gestion de l’information à l’EPFZ. Il est entré au Conseil d’administration de la Mobilière Suisse Holding SA en mai 2013, mais connaît l’entreprise depuis plus longtemps, puisqu’il est également membre du Conseil d’administration de la Mobilière Suisse Société Coopérative depuis dix ans. Elgar Fleisch est né à Brégence (A) et vit à Saint-Gall, avec son épouse et leurs quatre enfants, âgés de 2, 5, 7 et 9 ans.
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News
Prévoyance Placer son argent en toute sécurité Les clients recherchent des placements flexibles, sûrs et rentables. C’est pourquoi la Mobilière propose désormais une assurance vie liée à des fonds de placement avec une composante d’épargne garantie. Susanne Maurer
Lucas Zbinden
À mesure que l’espérance de vie augmente, le besoin d’assurer financièrement ses vieux jours se fait plus important. Mais où placer son argent en cette période d’incertitudes? L’AVS et les caisses de pension se trouvent confrontées à d’immenses défis financiers. Depuis des années, les taux d’épargne sont à un niveau plancher, et les caisses de pension ne cessent de réviser les rentes à la baisse. Rien d’étonnant donc à ce qu’un nombre croissant de personnes investissent aussi dans un pilier 3a, afin de conserver le même niveau de vie à la retraite. Une relation de confiance et des conseils avisés Toute stratégie en matière de gestion de fortune et de prévoyance doit être définie sur mesure. Il est donc essentiel de se faire conseiller par un spécialiste en qui on a toute confiance (cf. p. 15). Souscrire une assurance vie, c’est signer un contrat à long terme et s’engager à payer des primes pendant des années. Aussi les clients recherchent-ils la rentabilité et la sécurité mais aussi la flexibilité. Autant d’attentes auxquelles répond la Mobilière en complétant son offre de prévoyance vieillesse par une assurance vie liée à des fonds (cf. encadré). Celle-ci combine une épargne sûre et un placement en fonds qui investit non seulement dans des obligations et des actions mais aussi dans l’or et l’immobilier suisse. La composante d’épargne améliore les perspectives de rendement, ce qui est particulièrement judicieux en période de faiblesse des taux. L’horizon de placement à long terme d’un produit de prévoyance vieillesse permettant d’atténuer les fluctuations de valeur, le risque reste par ailleurs maîtrisable. Régler ses primes de manière flexible Dès la troisième année de contrat, les clients peuvent suspendre le paiement de la prime de leur assurance d’épargne. Les 14 Mobirama 2/2013
Difficile de prévoir l’avenir en période d’insécurité: la Mobilière, elle, garantit à ses clients une composante d’épargne fixe et sûre à l’échéance du contrat.
risques décès et incapacité de gain restent alors assurés, tandis que la composante d’épargne cesse de croître. Si leur situation financière le permet, les clients peuvent aussi, dès le début du contrat, verser plus que la prime convenue. Ainsi, ils augmentent leur épargne tout en économisant des impôts. Cette offre est valable pour toutes les assurances d’épargne de la Mobilière souscrites depuis le du 1er mai 2013 dans le cadre de la prévoyance liée (3a).
Nouvelle assurance d’épargne liée à des fonds de placement avec garantie
À partir du 1er novembre 2013, la Mobilière propose une assurance d’épargne liée à des fonds avec garantie. Un montant fixe est ainsi garanti à l’échéance du contrat: ce capital est moins élevé que dans le cas d’une assurance mixte, mais en contrepartie, une part de la prime est investie dans des fonds. Plus
«Qui dit marque Mobilière, dit contenu Mobilière»
la garantie souhaitée est faible, plus
De par son statut de coopérative, la Mobilière est en Suisse l’assureur qui affiche la solvabilité la plus élevée. Elle jouit auprès de ses clients d’un très fort capital confiance. Une confiance qu’elle se doit d’honorer. Car les engagements qu’elle prend aujourd’hui devront pouvoir être toujours tenus dans 30 ans. Début 2013, Mobilière Suisse Asset Management SA a été autorisée par l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) à opérer en tant que société de direction de fonds. Depuis le milieu de l’année, elle gère ainsi elle-même tous ses fonds.
inversement. En outre, les clients ont
Pour plus d’informations: www.mobi.ch/mobirama-fr
le rendement escompté est élevé et le choix entre différents fonds. Tous les fonds proposés par la Mobilière sont gérés par les spécialistes de Mobilière Suisse Asset Management SA. Les clients ont en outre la possibilité d’assurer un capital qui sera versé en cas de décès. La libération du paiement des primes peut aussi être assurée: si un client se retrouve en incapacité de gain à la suite d’un accident ou d’une maladie, c’est la Mobilière qui prend la prime à sa charge.
Cinq questions à...
Prévoyance «Notre promesse: des rendements équitables» Cinq questions à Michèle Bergkvist-Rodoni, responsable Prévoyance et membre du Comité de direction de la Mobilière
Claudia Puppato
Susanne Keller
Baisse des rendements, marchés financiers tendus: dans ce contexte, où placer aujourd’hui ses économies? Dans une assurance d’épargne de la Mobilière. Les clientes et les clients recherchent la sécurité. C’est exactement ce que nous leur offrons. Ils veulent être sûrs que la Mobilière leur survivra, car ils nous confient leur argent pour très longtemps. Cette solidité financière nous permet de planifier à long terme. Nos clientes et nos clients peuvent donc dormir sur leurs deux oreilles. Les assurances vie inspirent-elles toujours autant de confiance? La prévoyance est certainement le secteur où la confiance est le critère le plus important. L’assuré cherche à garantir son avenir à long terme. La Mobilière jouit d’un très fort capital de confiance. Nous avons un excellent taux de solvabilité et une forte dotation en fonds propres. En outre, depuis 2013, nous gérons nousmêmes les placements en fonds que les clients nous confient, selon la même philosophie que celle qui sous-tend la gestion de la fortune de notre entreprise, en privilégiant la sécurité des placements au rendement. Quelle est la promesse de la Mobilière à ses clientes et ses clients? Notre promesse: une garantie et un rendement «équitable». Je ne parle pas ici d’un rendement maximal, mais bien d’une participation «équitable» au produit du placement, compte tenu de la faiblesse actuelle des taux d’intérêt. En fonction du produit, nous proposons différents niveaux de garantie assortis de potentiels de rendement correspondants. Plus la garantie est basse, plus le potentiel de rendement est élevé. Nos clients perçoivent toujours au minimum la part garantie. Une assurance vie est un engagement à long terme. Que se passe-til si on ne peut plus payer la prime? De nos jours, la flexibilité est presque aussi importante que la sécurité. Les modes de vie et de travail peuvent changer. Si vous commencez une formation continue ou que vous partez en séjour à l’étranger, si vous faites une pause professionnelle parce que vous devenez parent, ou que vous vous trouvez provisoirement dans une impasse financière, ces échéances peuvent devenir une charge. Nos produits vous permettent de suspendre temporairement le paiement de vos primes à partir de la troisième année contractuelle. Les risques décès et incapacité de gain restent assurés, tandis que la composante d’épargne cesse momentanément de croître. En revanche, quand votre situation financière est au beau fixe, vous avez aussi la possibilité d’effectuer des versements additionnels. Comment placez-vous votre propre argent? J’ai exactement les mêmes besoins que nos clients: je recherche avant tout la sécurité, puis la flexibilité et, enfin, un rendement équitable. C’est pourquoi j’investis mes économies dans des produits et des placements de la Mobilière, qu’il s’agisse de produits d’épargne du troisième pilier ou dans notre caisse de pension, dont la fortune est aussi gérée par nos spécialistes en placements.
Michèle BergkvistRodoni: «J’ai exactement les mêmes besoins que nos clients.»
Bref portrait
Après ses études à Lausanne et aux Etats-Unis, Michèle Bergkvist-Rodoni (44 ans), docteur en mathématiques actuarielles, a travaillé comme actuaire auprès de diverses entreprises internationales. Avant de rejoindre la Mobilière, elle était directrice pour l’Europe des programmes Solvency II du groupe d’assurances Aviva. Elle vit avec son mari à proximité de Nyon. Le couple a une fille de 14 ans et un garçon de 16 ans. Avez-vous des questions sur les assurances-vie ou votre prévoyance? N’hésitez pas à nous écrire: mobirama@mobi.ch.
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