2 minute read
LA BIENNALE DELL’IMMAGINAZIONE
The Laboratory of the Future è il titolo della 18esima Mostra internazionale di architettura organizzata dalla Biennale di Venezia. La rassegna curata da Lesley Lokko, ospitata dal 20 maggio al 26 novembre ai Giardini, all’Arsenale e a Forte Marghera, affronta i temi della decolonizzazione e decarbonizzazione, dedicando grande attenzione al cambiamento climatico e alla promozione di un modello più sostenibile per la progettazione. La mostra, divisa in sei parti, punta i riflettori sull’Africa e la sua diaspora. Provengono da questo continente, infatti, oltre la metà degli 89 partecipanti, in cui l’equilibrio di genere è paritario. «Al cuore di ogni progetto», spiega Lokko «c’è lo strumento principe e decisivo: l’immaginazione. È impossibile costruire un mondo migliore se prima non lo si immagina». M.G.
(bavarder) et de touristes qui tentent de comprendre quelque chose à ces dialogues enflammés entre schei et chicchetti. Dans ces lieux, la résilience de la ville s'allie à des notes populaires qui montrent une Venise plus proche d'un creuset d'histoires et de vies que d'un musée.
À ces exceptions s'ajoutent le Lido, depuis des années au centre d'un projet de revitalisation, Sant'Erasmo, une île à vocation agricole connue comme le potager de Venise, la Misericordia, un espace fluide où l'histoire et la culture dialoguent avec le territoire. Dans le processus de réinvention, de reconception et de redéfinition de l'avenir de la ville, les universités, en premier lieu Ca' Foscari et l’IUAV, jouent un rôle central. Afin de revitaliser certains espaces, cette dernière université a établi une série de relations « avec des excellences internationales de la recherche telles que le Massachusetts Institute of Technology pour les thèmes liés aux nouvelles technologies, l'Université Thomas Jefferson de Philadelphie pour la santé publique et l'Université Tongji de Shanghai pour l'économie sociale », explique Dall'Omo.
L'avenir de Venise repose de fait sur la capacité à planifier, à projeter les besoins, les exigences et les désirs dans l'espace, en
LA BIENNALE DE L’IMAGINATION
impliquant plusieurs générations dans le même processus. Cette conception qui décrit comment, du passé au présent, on se dirige avec conscience vers l'avenir, est ce que les urbanistes appellent un plan directeur. Et un rôle central dans sa définition revient à ceux qui façonnent le professionnalisme et la culture de ceux qui planifieront. L'explorateur est donc invité, en se perdant et en se délectant de ce que la ville lui offre, à se sentir partie prenante d'un projet. À interagir avec un cœur curieux avec les restaurateurs et les citoyens, les touristes et les étudiants, en essayant de lire les fils et les textures de ce tissu en évolution.
The Laboratory of the Future est le titre de la 18e exposition internationale d’architecture organisée par la Biennale de Venise. L’exposition organisée par Lesley Lokko, qui se tient du 20 mai au 26 novembre aux Jardins, à l’Arsenal et à l’intérieur du Fort Marghera, aborde les thèmes de la décolonisation et de la décarbonation, en accordant une grande attention au changement climatique et à la promotion d’un modèle de conception plus durable. L’exposition, divisée en six parties, met l’accent sur l’Afrique et sa diaspora. En effet, plus de la moitié des 89 participants sont originaires de ce continent, où la parité hommes-femmes est respectée. « Au cœur de chaque projet, explique Lokko, se trouve l’outil principal et décisif : l’imagination. Il est impossible de construire un monde meilleur si on ne l’imagine pas d’abord. » M.G.