Décembre 2011 n° 7
laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Tolosane - CCAS Ramonville St-Agne
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NOËL
Un petit mot La complainte de St. Nicolas
En Attendant Noël Le Santon messager de Provence
En attendant Noël
Sommaire
Janvier 1930, j’ai 5 ans, je vis dans une ferme avec mes grands parents, ma mère et beaucoup d’animaux autour.
En attendant Noël Pages. 2 et 3
La complainte de St. Nicolas Page. 4
Je me souviens
Page. 5 Le Santon messager de Provence Page. 6 Noël , fête humaniste Page.7 Le tablier de grandmère Pages. 8 et 9 Un petit mot Page. 9 Poésie Origines du Père Noël Page. 10 Les infos du foyer Agenda Page. 11 Passetemps Page. 12
L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Giorgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE
Foyer Résidence Tolosane 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
Mon père, qui s’était engagé pour 5 ans en Indochine, annonçât son retour. Aussitôt il est employé comme facteur à la poste du village. Deux ans après il est titularisé et envoyé dans le Loir et Cher à Moisy qui est un chef lieu de canton. Vite les préparatifs et nous voilà sur place. A notre arrivée une grande place avec une église, des commerçants, des gens, des enfants et au bout de la grande rue un groupe scolaire et en face une supérette ‘’le familistère‘’. Dans le centre du village il y a également la grande maison que la poste nous avait réservé. Je fais vite connaissance avec ma nouvelle école, mon institutrice et les élèves. Nous sommes au mois de juillet. Maman et moi prenons le train pour voir notre famille dans le Tarn et Garonne, j’étais la surprise dans la famille, j’avais bien grandie et j’avais un accent pointu qui faisait l’unanimité. -Surtout garde cet accent... me répétait-on, j’étais devenue une demoiselle de la ville.
Retour dans le Loir et Cher, contente d’avoir revu ma famille. Les mois passent et novembre prend son habit d’hiver. Petit à petit en sortant de l’école j’aperçois du changement à la supérette . Ces vitrines s’illuminent, se parent
de guirlandes, puis arrivent les jouets. Une vitrine pour les filles, une vitrine pour les garçons. Cela existait et je ne l’avais jamais vu. Enfin Noël arrive, maman étant fatiguée, papa et moi faisons le grand nettoyage. Au petit matin je vois devant mes chaussures, un gros poupon tout nu, plus des friandises. Je réfléchis à la tenue que je vais lui faire avec l’aide de maman.
Papa s’approche de moi et me dit ‘’ Souvent quand le Père Noël met un poupon devant une chaussure cela veut dire qu’un vrai poupon doit arriver à la maison dans les prochains jours.’’ J’étais surprise, je ne comprenais rien et me suis occupée de mon poupon tout nu. Le lendemain matin 26 décembre, mon père entre dans ma chambre et me dit ‘’ j’avais raison, le Père Noël nous a remis ce matin le vrai poupon, il pleure, il tète et il s’appelle Jean-Noël.’’ J’étais dans un nuage et regardais à tour de rôle le poupon qui tète et qui pleure et mon poupon tout nu. Le troisième jour papa amène des cartes et des enveloppes, trace un trait au crayon pour que j’écrive droit et j’ai annoncé à toute la famille la naissance de ces deux poupons. Une année bouleversante mais belle. S.D.
La Gazette du Foyer, Déc. 2011. 3
La Complainte de Saint Nicolas -entrez, entrez SaintNicolas Y’a de la place, il n’en manque pas. Il n’était pas sitôt entré Qu’il a demandé à souper. On lui apporte du jambon, IL n’en veux pas il n’est pas bon On lui apporte du rôti, Il n’en veux pas,il n’est pas cuit -du petit salé je veux avoir Qu’il y a sept ans qu’est au saloir Quand le boucher entendit ça, Bien vivement, il se sauva. -petits enfants qui dormez là Je suis le grand SaintNicolas. Le grand saint étendit trois doigts. Les trois enfants ressuscita. Le premier dit :’’J’ai bien dormi . ‘’ Le second dit : ‘’Et moi aussi.’’ A ajouté le petit : ‘’Je croyais être au paradis.’’ Ils étaient trois petits enfants Qui s’en allaient glaner aux champs. Tant sont allés et tant sont venus Que sur le soir se sont perdus. Ils sont allés chez le boucher -boucher, voudrais-tu nous loger ? -entrez, entrez petits enfants Y’a de la place assurément 4. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
Ils n’étaient pas aussitôt entrés Que le boucher les a tués. Les a coupés en petits morceaux Et puis salés dans un tonneau Saint-Nicolas au bout de sept ans Vint a passer dedans ce champ Alla frapper chez le boucher : -boucher voudrais-tu me loger,
Complainte du XVI – XVII siècles en Lorraine. D.D.
Je me souviens Je me souviens d’un Noël fêté dans ma famille d’accueil, à la campagne durant mon enfance. Une semaine avant, les préparatifs commençaient. Un beau et épineux sapin, scintillant de décorations illuminées, se dressait dans un coin de la salle de séjour. Il était prêt à recevoir les innombrables cadeaux déposés dans tous les petits souliers, au pied de l’arbre. De plus on installait une gigantesque crèche, prenant aussi sa place à coté du sapin. De merveilleux santons se dressaient les uns derrière les autres, dans leur espace. Des lumières multicolores éclairaient alternativement ce décor féerique. Même la mousse et la neige étaient au rendez-vous. Enfin le jour «J» arrive. La veille nous nous préparions, pour assister à la messe de minuit, sachant qu’au retour, vers une heure du matin, nous allions, tour à tour découvrir nos cadeaux respectifs. Nous étions tous émerveillés, surpris même ! Et pour terminer nous nous installions autour d’une table dressée pour savourer une bonne soupe au fromage, suivie de petits et divers entremets, sans oublier les délicieux chocolats. Ensuite nous allions tous au lit avec la hâte d’être au matin pour retrouver les joujoux. « Ce n’est pas un conte de fée, mais une féerie de Noël » tout simplement. A .V.
A Noël je n’ai pas plus envie de rose que je ne voudrais de neige au printemps. J’aime chaque saison pour ce qu’elle apporte. Shakespeare. La Gazette du Foyer, Déc. 2011. 5
Le santon, messager de Provence Les santons sont avant tout les héritiers des vieilles coutumes et traditions, qu’elles soient païennes ou religieuses. Ils parlent du terroir et du passé ancré dans les mémoires. C’est Saint François d’Assises qui a mis les crèches « à la mode » en 1223 pour représenter la nativité dans les églises, en Italie. Les personnages étaient joués par les gens du village et les animaux étaient réels. Après la révolution qui a entraîné la fermeture des églises et la suppression de la messe de minuit, les représentations religieuses publiques ont été interdites.
6. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
C’est ainsi que les santons ou « santouns » petits saints, ont commencé à être fabriqués pour permettre aux chrétiens de célébrer Noël dans l’intimité de leur foyer. Chaque santon est réalisé à la main, donc il est unique. Au fur et à mesure les crèches se sont inspirées de la vie locale. L’origine des rois mages est aujourd’hui encore obscure. On les dit riches et savants, mais errants. Peut-être viennent-ils du mystérieux pays d’où sont originaires les Saintes Maries de la Mer qui porta longtemps le nom d’Egypte, Melchior apportait l’or, Balthazar l’ encens et Gaspard la
myrrhe. La myrrhe est une résine odorante fournie par un arbre d’ Afrique, le balsamier. Et si le Père Noël était un roi mage ? Lorsque le Général de Gaulle était président de la République, la France offrait des santons de Provence à ses invités de marque. Youri Gagarine en voyage dans la région de Marseille, en 1967,en avait reçu en cadeau. C’est dire si ces petits personnages sont des ambassadeurs de la Provence à travers le monde. D.D.
Noël , fête humaniste Noël paraît être une fête très différente si on se place du point de vue des croyants et des non -croyants : pour les premiers elle est avant tout une fête religieuse, la naissance du Christ, pour les seconds elle est une fête comme d’autres où l’on se divertit devant un sapin illuminé, où l’on fait un joyeux réveillon, où l’on offre jeux et jouets. Pourtant cette opposition entre fête religieuse et fête profane mérite d’être largement nuancée. En effet Noël est, sans doute , de toutes les fêtes de l’église, celle ou croyants et incroyants peuvent le mieux se rencontrer en considérant que c’est aussi une fête humaniste pour trois raisons principales. D’abord parce qu’elle est un hommage à la dignité humaine . Au cours des siècles on a vu des empereurs, des monarques qui, voulant se séparer du commun des mortels, aspiraient à s’élever au rang des divinités. Dans la fête de Noël nous voyons une démarche inverse, un dieu acceptant de devenir un homme, qui va être un enfant comme les autres, aider ensuite son père spirituel dans sa tâche de charpentier, souffrir et mourir comme tant d’autres êtres humains. Ainsi en revêtant la nature humaine, il l’ennoblit, lui confère sa grandeur, sa dignité. A travers la fête religieuse Noël est aussi un
hommage à la condition de l’homme. En effet un autre fondement de l’humanisme est la croyance de l’épanouissement de l’être humain, un acte de foi dans l’homme qui -malgré ses faiblesses- est capable de se dépasser dans sa quête du bonheur. Or Noël est aussi la fête de l’espérance. L’origine du mot est le terme latin « natalis », naissance. Pour le croyant, le christ s’est incarné pour sauver l’humanité, la racheter du péché originel, redonner un sens à son destin . Or même s’ils ne le placent pas sur le même plan, l’humaniste croyant et l’humaniste incroyant sont optimistes quant aux capacités de l’homme à faire son salut. Enfin une autre cause amène à considérer Noël comme une fête humaniste : « Douce nuit » dit le chant célèbre. C’est l’appel à la paix, à l’amour entre les humains, un des messages
essentiels où croyants et incroyants humanistes se rencontrent, considérant que, dépassant les barrières raciales, nationales sociales, la fraternité humaine, doit être un des guides fondamentaux de la vie . Je me souviens de cet ancien combattant de la première guerre mondiale, qui racontait que le jour de Noël, avec d’autres camarades, il se rendait dans la tranchée allemande toute proche. Pour quelques instants seulement, mais quels instants inoubliables oubliant le carnage guerrier, allemands et français retrouvaient la chaleur de la fraternité et de la joie de vivre. P.F.
La Gazette du Foyer, Déc. 2011. 7
Le tablier de Grand-mère
Je crois que les jeunes d’aujourd’hui ignorent ce qu’est un tablier... Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère? Les mères et les grandmères portaient un tablier par dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange. En fait il était beaucoup plus facile de laver un tablier habituellement en coton qu’une robe, une blouse ou une jupe, faites d’autres tissus. Le principal usage du tablier de grandmère était donc de protéger la robe, mais en plus de cela : 8. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
-Il servait de gant pour retirer un plat brûlant du fourneau bien avant l’invention des « mitaines à fourneau » -Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies. -Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les œufs, les poussins à réanimer, et parfois les œufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.
-Quand il y avait de la visite, le tablier servait d’abri aux enfants timides... D’où l’expression « Se cacher dans les jupons de sa mère ». -Par temps frais, maman le relevait pour s’y emmitoufler les bras et les épaules. Par temps chaud, alors quelle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front. -Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu’elle l’agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer.
-C’est lui qui servait à transbahuter pommes de terre et bois sec jusque dans la cuisine. -Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venaient le tour des choux. En fin de saison , il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l’arbre. -Quand des visiteurs arrivaient à l’improviste, c’était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
invente un vêtement, qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.
-A l’heure du repas, grandmère allait sur le perron agiter son tablier, c’était signe que le dîner était prêt, et les hommes aux champs savaient qu’ils devaient passer à table.
-DANGER. On deviendrait fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée !!
-Grand-mère l’utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin quelle refroidisse ; de nos jours sa petite fille l’y pose aussi, mais pour la décongeler... Autres temps, autres mœurs !
-EN REALITE. La seule chose que les enfants de l’époque aient attrapé au contact du tablier de maman ou de grand-maman, c’est de l’ AMOUR ! D.D.
-Il faudra de bien longues années, avant que quelqu’un
Un petit mot... Peu importe sa taille il n’a pas de dimension... Que ce soit dans la joie ou dans la tristesse C’est un signe de reconnaissance Qui ne connaît pas l’indifférence Merci !
Merci ! C’est un petit mot tout simple Mais qui pèse lourd si mes lèvres l’expriment avec douceur C’est qu’il prend naissance dans mon cœur. Un grand merci, un petit merci,
Un petit mot qui fait du bien quand on le prononce Un petit mot gracieux qui calme et réjouit Merci ! Merci ! Merci de m’avoir permis de te dire, De vous dire Merci ! D.D. La Gazette du Foyer, Déc. 2011. 9
Poésie Chemin faisant vers l’année nouvelle Au changement d’année, on repense au chemin Que l’on a parcouru. Etaitil praticable ? Étroit et tortueux, ou bordé des ravins ? Etait-il avenue, était-il promenade ? Raidillon en lacets aux sentes très instables ? Au changement d’année, on recule plus loin… On se revoit enfant : chemin des écoliers Un jour, chemin de fer, en trouvant un conjoint Et puis… chemin faisant traverses accidentées Pas de chemin de ronde ; non plus chemin de gloire Hors des sentiers battus, hors des chemins de terre On a fait son chemin loin des grands boulevards Avec chemin de croix et passages d’ornières On a fait son chemin : en est on satisfait ? On peut rester amère, mais tout aussi bien dire Qu’au fond c’était pas mal et que rien n’est parfait ! Qu’on pouvait trouver pire et qu’il vaut mieux sourire Y.S.
Origines du Père Noël C’est Saint-Nicolas qui a inspiré le Père Noël. On retrouve dans la représentation du père Noël tout ce qui faisait la symbolique du personnage de Saint-Nicolas : la longue barbe blanche, la mitre qui est devenue un bonnet de fourrure, le grand manteau rouge. Il voyage dans un traîneau tiré par des rênes, Saint Nicolas voyageait sur le dos d’un âne. Pour cette raison, dans certaines régions de France, les enfants déposent sous le sapin de Noël, un verre de vin pour le Père Noël, et une carotte pour son âne. Il aura fallut 1931... et Coca Cola. La firme américaine a eu le génie de demander à Haddon SUNDBLOM de dessiner ce vieux bonhomme (dont la renommée grandissait làbas) en train de boire du Coca Cola pour reprendre des forces pendant la distribution des jouets. Ainsi les enfants seraient incités à en boire l’hiver. Le dessinateur l’habilla aux couleurs de la célèbre bouteille de Coca Cola : rouge et blanc. Ce nouveau look et la renommée que lui valut la publicité, firent du vieux bonhomme le maître planétaire de la nuit magique, le Père Noël. Avant cette transformation vestimentaire le manteau du Père Noël était vert et blanc.
10. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
Chaque région de France lui donna un nom différent. Le Père Noël est appelé: -’’Chalande’’ en Savoie -’’ Père Janvier ‘’ en Bourgogne et dans le Nivernais - ‘’ Olentzaro ‘’ dans le pays basque - ‘’ Barbassionne ‘’ en Normandie. Et dans le monde: -’’Weihnachtsmann’’ (« homme-Noël » ), en Allemagne, -’’Christkind’’ (textuellement « enfantChrist »), en Autriche -Papa Noël (français ) kerstman (néerlandais ), en Belgique -« Papa Noël »ou « San Nicolas », en Espagne et certains pays d’ Amérique latine espagnols, et ‘‘Joulupukki’’, en Finlande. D.D.
Les Infos du Foyer Collage papier. L’art du collage est une technique de création artistique qui consiste à organiser une création plastique non en fonction des lois de la représentation ( usuelle ) mais par la combinaison d’éléments séparés de toute nature et de toute logique (extraits de journaux, documents quelconques ) dont l’unité se fait par juxtaposition progressive. Le collage permet d’abolir la différence entre peinture et sculpture. Les premiers collages ou papiers collés ont été réalisés, en 1912 -1913 par Georges Braque et Picasso.
Le lundi après-midi de 14h30 à 16h, avec notre animatrice Béatrice nous apprenons le collage, technique dont nous ne savions rien et qui nous permet maintenant de découvrir que nous avons des capacités chacune dans notre domaine. Le résultat est que nous sommes très agréablement surprises de ce que l’on peut faire avec trois fois rien, un peu de volonté, de l’imagination, et du savoir faire que l’on apprend très vite. A Noël une exposition de nos travaux aura lieu à la cheminée, celle-ci vous donnera l’occasion de découvrir cette technique
et de faire partager notre enthousiasme. Par ailleurs, afin d’égayer cette période de fête nous faisons appel aux bonnes volontés pour se joindre à nous. D.D.
Nous souhaitons la bienvenue à notre nouveau chef cuisto, Marcus LEDERER, parmi nos depuis le mois de novembre. BIENVENUE A TOI! ou devrions nous dire: AVE! MARCUS...
Agenda Dim. 8 Jan.
L’Epiphanie. Galette des Rois.
Vend. 20 Janv.
A midi. Repas du Nouvel An. En presence de M. le Maire C.Lubac, qui vous presentera ses veux pour 2012 A 15 heures. Loto. Salle Restaurant
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Passe temps Horizontalement 1 Il propose toutes sortes de cadeaux 10 Au menu, pas menue quand elle est grasse 11 Une hotte à moitié vide 12 La tienne 13 Comme l’enfant Jésus en naissant 14 Lumière de fête 17 Sein sans bout 18 Un élevage qui doit se remuer plus qu’un mollusque, au moment de Noël 19 Elle peut nous tomber sur la tête ces jours-là 20 Début de messe de minuit 21 C’est le bouquet, qui ne se mange pas 23 Nombreux, à table, pendant les fêtes 26 Dans la crèche, avec d’autres 28 Ce n’est pas la saison du mois de Décembre 29 On se les farcit, à table 32 Il en faut de solides pour tenir tête à toutes les fatigues du réveillon 35 Allez ! 36 On va s’en faire, avec toutes ces douceurs 38 Début de chauffe de batterie, pour le bal 39 Le paysage peut l’être en ces jours d’hiver 43 Départ des opérations 44 Saint évêque 45 Comme le sapin ou l’escarpin 47 Bien placés 48 Devant la cheminée, l’enfant reste baba comme lui Verticalement 1 Décembre est celui de Noël 2 Comme l’ange au-dessus de la crèche 3 Catholique ou pas catholique, c’est elle qui fait marcher les marchés de Noël 4 On les espère de bonne volonté 5 Il a besoin de se refaire une santé 6 Il est riche et beau à cette période 7 C’est Noël 8 Très important 9 Ces jours-là, les maîtresses de maison doivent bien l’être 15 Changer les couleurs 16 Le coeur de Dieu 21 Sortes de petits cadeaux amusants 22 Celle de tous les hommes est espérée 24 Le commerçant est content quand il le fait 25 Il peut remplacer le renne au traîneau 27 Initiales religieuses 30 Râpé 31 Ces enfants-là devraient avoir encore plus de cadeaux que certains 33 Doublé, ça fait musique de fête 34 Il est décoré du pied à la tête 37 C’est aussi Noël sur cette île 40 Tout compris 41 Il est au ciel 42 On y danse 45 Entame de gâteau 46 Participe dans la joie
Solutions numéro précèdent
12. La Gazette du Foyer, Déc. 2011
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