Mai 2013 n° 21
laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Francis Barousse - CCAS Ramonville St-Agne
La légende du muguet Une escapade à St Antonin Noble Val
Étonnante langue française
Sommaire
La légende du muguet
La légende du muguet Page 2. Histoire de la fête du travail Amitié, amitié... Page 3. Premier Mai Pages 4. Une escapade à St Antonin Noble Val Page 5. Un panier de cerises Pages 6. Étonnante langue française Page 7. Le fou chantant Page 8 et 9. « Penses-y… » Page 10. La vie au foyer Page 11. Passe-Temps Page 12
L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Giorgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE Jo Vidal
Foyer Résidence Francis Barousse 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La gazette du foyer
Des mois de printemps, mai est sans aucun doute un des plus privilégiés pour l’épanouissement des fleurs. Par tradition, le 1er mai on offre du muguet «porte bonheur», car il fleurit normalement aux alentours de cette date; mais seuls les brins de muguet ayant naturellement treize fleurs portent bonheur. Le nom scientifique du muguet (maialis ou majalis) signifie «ce qui appartient à Maïa», car d’après les anciens livres d’astrologie grecs et romains cette fleur était sous la protection de Hermès (le mercure des Romains), fils de la déesse Maïa. On raconte qu’un jour une fleur de muguet vit arriver dans sa vallée un jeune rossignol. Perché sur une branche d’arbre, il chantait admirablement, et son chant emplissait de joie le cœur de la fleur de muguet qui s’éprit d’amour pour le rossignol. Mais comme la fleur de muguet était très discrète, elle se cachait sous les longues herbes pour l’écouter chanter. Le rossignol revenait toujours dans la vallée, mais un beau matin il manqua le rendez-vous ; le muguet l’attendit en vain. Pris de tristesse, le muguet ne
fleurit que lorsque le rossignol retourna dans la vallée, l’année suivante au mois de mai. Le muguet est un symbole d’humilité qui apparaît souvent dans les peintures religieuses. Il y a aussi toute une symbolique religieuse liée au muguet, car d’après une légende chrétienne ce sont les larmes de la vierge Marie qui se seraient transformées en fleur pendant qu’elle pleurait au pied de la croix la mort de son fils Jésus. C’est pour cette raison que, dans certaines langues, cette fleur est connue sous le nom de «larmes de Marie». Le roi Salomon, célèbre dans l’antiquité par son sens de la justice, nous parle aussi du muguet dans certains chants d’amour de son livre biblique «le cantique des cantiques». Cette plante, à la fois humble et pleine de beauté, est considéré comme inspiratrice d’espoir et d’un monde meilleur, car pour certains elle est un signe de la prochaine venue du Christ. Dans le langage des fleurs, le muguet signifie «retour du bonheur». D.D. S.Internet
Histoire de la « fête du travail »
Amitié, amitié… Liberté, liberté... Une amitié est comme une fleur Elle naît et s’épanouie en douceur. Elle peut durer une vie, pour toujours, Où s’arrêter et se faner en un jour.
Les premières célébrations de « fête du travail » existent dès la fin du XVIIIe. En France, de 1793, le calendrier républicain de Fabre D’Eglantine proposait une fête du travail au 3ème jour des sansculottides. Elle fut instituée au 1er pluviose (20 janvier) par Saint-Just, et fut célébrée pendant quelques années. En 1867, au familistère Godin de guise (le familistère est un ensemble de logements organisés autour d’une cour couverte centrale, lieu de vie communautaire), nait une fête du travail. La date de la manifestation est fixée au 5 juin ; elle est toujours célébrée aujourd’hui.
De nos jours elle se confond dans de nombreux pays avec la journée internationale des travailleurs. Fêté à l’origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, puis devient rapidement une journée de célébration des combats des travailleurs. Elle est célébrée dans de nombreux pays du monde, le 1er mai et est l’occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier. Cette journée est souvent un jour férié. Elle est souvent associée à d’autres festivités ou traditions populaires.
Une amitié c’est donner beaucoup de soi, Ne jamais rien demander en retour. C’est être toujours présent, toujours là. Le faire avec plaisir, beaucoup d’amour. Une amitié est une qualité qui se fait rare Qu’il ne faut jamais ranger au fond d’un placard. Il faut la conserver, la garder près de son cœur Pour qu’elle nous apporte douceur et bonheur. L’amitié se veut d’être sincère, sans détour, Une confiance que l’on espère pour toujours. L’amitié la plus profonde comme un frère, Rebute les mensonges et les paroles meurtrières. Une amitié c’est être discret, silencieux. Elle se partage en groupe ou même à deux. C’est la joie de rencontrer de vraies personnes Où amitié, fidélité, sincérité, ces mots résonnent ! (Maxalexi) La gazette du foyer. 3
Premier mai Tout conjugue le verbe aimer. Voici les roses. Je ne suis pas en train de parler d’autres choses ; Premier mai ! l’amour gai, triste, brûlant, jaloux, Fait soupirer les bois, les nids, les fleurs, les loups ; L’arbre où j’ai, l’autre automne, écrit une devise, La redit pour son compte et croit qu’il l’improvise ; Les vieux antres pensifs, dont rit le geai moqueur, Clignent leurs gros sourcils et font la bouche en cœur ; L’atmosphère, embaumée et tendre, semble pleine Des déclarations qu’au Printemps fait la plaine, Et que l’herbe amoureuse adresse au ciel charmant. À chaque pas du jour dans le bleu firmament, La campagne éperdue, et toujours plus éprise, Prodigue les senteurs, et dans la tiède brise Envoie au renouveau ses baisers odorants. Tous ces bouquets, azurs, carmins, pourpres, safrans, Dont l’haleine s’envole en murmurant : Je t’aime ! Sur le ravin, l’étang, le pré, le sillon même, font des taches partout de toutes les couleurs ; Et, donnant les parfums, elle a gardé les fleurs ; Comme si ses soupirs et ses tendres missives Au mois de mai, qui rit dans les branches lascives, Et tous les billets doux de son amour bavard, Avaient laissé leur trace aux pages du buvard! Les oiseaux dans les bois, molles voix étouffées, Chantent des triolets et des rondeaux aux fées; Tout semble confier à l’ombre un doux secret; Tout aime, et tout l’avoue à voix basse; on dirait Qu’au nord, au sud brûlant, au couchant, à l’aurore, La haie en fleur, le lierre et la source sonore, Les monts, les champs, les lacs et les chênes mouvants Répètent un quatrain fait par les quatre vents. Les contemplations Victor Hugo (1802 – 1885
4. La gazette du foyer
Une escapade à St Antonin Noble Val Cette jolie cité Rouergate est admirablement située au confluent de la rivière Aveyron et de la Bonnète, au pied de la magnifique falaise de calcaire du Roc D’Anglas.
« solhèlas » des greniers, et surtout la belle maison Romane qui abrite le musée, la maison du « Roy »,qui remaniée, donne une idée du passé de la ville.
La petite ville déroule ses rues et ses ruelles de manière, qu’à toute heure, le soleil puisse réchauffer les belles façades de ses maisons médiévales, qui datent à partir du XIIème siècle jusqu’au XVIIIème siècle et qui enchantent le promeneur par ses belles fenêtres à meneaux et géminées, les belles arcades des portes, les beaux
Si dans le passé, la ville était prospère, par l’activité de ses artisans, tanneurs, orfèvres, teinturiers, commerçants, il n’en demeure pas moins, qu’aujourd’hui elle attire beaucoup de touristes, qui viennent chercher des produits régionaux sur son marché du dimanche, des grimpeurs, des kayakistes, des marcheurs,
des baigneurs, des spéléologues. Toutes ces activités nouvelles redonnent à cette belle cité, qui c’était un peu endormie, l’éclat de son passé, pour la plus grande joie de tous les passants qui sont attirés par ses grandes fêtes, les moissons, les dépiquages, et autres festivités. Quand on a gouté au charme de St Antonin Noble Val on ne peut l’oublier. Suzanne Duprat et Léo Gautier
La gazette du foyer. 5
Un panier de cerises
Mais que dire des enfants du cerisier ? « Quitte ta chemise, Belle fiancée, L’amour est cerise, Et le temps est pressé », chantait l’ami Ferrat. Romantique à souhait, Alfred de Musset s’était plu à questionner la belle : « Vous souvient-il un peu de ce que vous disiez, Mignonne au temps des cerisiers ? » Ah! qu’il est doux de s’en aller «au verger cueillir des bigarreaux», se remémorait, quant à lui, le grand Hugo : Penchée, elle m’offrait la cerise à sa bouche; Et ma bouche riait et venait s’y poser, et laissait la cerise et prenait le baiser ». Et comment diantre oublier «cette plaie ouverte» que Jean-Baptiste Clément garde au cœur dans son admirable «Temps 6. La gazette du foyer
des cerises», qu’il dédia « à la vaillante citoyenne Louise, l’ambulancière de la rue Fontaine-au-Roi, le dimanche 28 mai 1871 », sur la dernière des barricades de la commune de Paris ! Si « l’on s’en va à deux cueillir en rêvant des pendants d’oreilles… », Il y a surtout ces «cerises d’amour aux robes pareilles, tombant sous la feuille en gouttes de sang...», «On sent que le printemps s’achève, et que l’été est proche, on en mange sans retenue ! » Nous les aimons charnues, brillantes et lisses, dégoulinantes de jus… Peu importe qu’elles soient molles guignes ou fermes bigarreaux, qu’elles soient précoces ou tardives, qu’elles aient chair noire, jaune oran-
gé, blanche carnée, violine, rose pâle, vermillon ou grenat, qu’elle se nomment Belle de Mai, Summit, Marbré, Burlat, Noire de Meched, Early Rivers, Reverchon, Marmotte, Trompe geai, Reine Hortense, Cœur de pigeon, Grappe d’or, Van, Géant d’Helfingen, Saint Bruno, Impératrice Eugénie ou bien encore la Camus de Vénasque, que l’on fêtera d’ailleurs le 19 mai prochain ! «Fruit populaire», disait Fulbert-Dumonteil, ce chroniqueur gastronomique originaire du Périgord, qui « brille dans l’assiette ébréchée de l’ouvrier » et régale « l’apprenti » aussi bien que « la petite ouvrière »… D.D. (source d’un journal de retraités)
Étonnante langue française Amusante, la langue française : les termes empruntés au monde animal sont partout. La preuve : Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l’autre, d e v e n u chèvre pour une caille aux yeux de biche. Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous la certifié : cette poule a du chien, une vraie panthère ! C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais
non elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, m y o p e c o m m e une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l’âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de c ro c o d i le . Vous finissez par inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même ne pas vous prendre pour un pigeon. Texte donné par Suzanne Duprat La gazette du foyer. 7
Le fou chantant Charles Trenet est né le 18 mai 1913 à Narbonne, nous fêtons donc en ce moment le centième anniversaire de sa naissance. «Le fou chantant» comme il fut appelé a écrit plus de mille chansons dont certaines comme « La mer, Y a de la joie, L’âme des poètes, Douce France » et tant d’autres sont toujours des succès populaires
intemporels, et même au-delà de la francophonie. Lors de son enfance Trenet évoquera sa vision de la féminité en Narbonne et celle de la masculinité pour Perpignan. Charles et son frère sont placés dans un collège religieux à Béziers, « l’école était libre mais pas moi » dira-t-il plus tard.
Trenet découvre le théâtre, la poésie et le canular par l’intermédiaire d’Albert Bausil, poète à Perpignan. Au début de 1930 il quitte Narbonne pour Paris pour faire des études de journalisme et il poursuit en même temps des études d’arts décoratifs, le dessin et l’architecture. Dans cette période il rencontre des artistes tels que Jean
Cocteau et bien d’autres. En 1933 il forme le duo « Charles et Johnny » s’inspirant du duo « Pils et Tabet » et compose en l’espace d’un soir la magnifique chanson « Vous qui passez sans me voir » et qui devient un succès planétaire. Toujours à cette même époque Joséphisme Baker leur met le pied à l’étrier. En 1937, Charles Trenet est appelé sous les drapeaux. Il participe à des galas en solo, dont l’un à Marseille, c’est à cette période- là qu’il est surnommé le « fou chantant ». C’est à ce moment de sa carrière qu’il compose et écrit ses chansons les plus célèbres, il les confie à d’autres interprètes comme Maurice Chevalier, Fréhel, Lys Gauty … 8. La gazette du foyer
En 1937 il quitte son compagnon Johnny Hess et débute une véritable carrière en solo. N’aimant pas son visage poupin, il se crêpe les cheveux, visse sur sa tête un chapeau de feutre mou rabattu en arrière, s’habille avec un complet-veston bleu et plante un œillet rouge à sa boutonnière. Le «fou chantant» entame alors une longue carrière internationale. Pendant la seconde guerre mondiale son activité reste un peu floue. Un concert en Allemagne avec Tino Rossi sur les trois prévus. «Aux folies bergère» il interprète des chansons telles
qu’ «Espoir», « Tous les jours noirs ont leurs lendemains » et « Douce France » dont la salle reprend le refrain comme un hymne à la résistance, Trenet dénonce son contrat au bout de quatre jours, lorsqu’il découvre dans le public la présence de soldats allemands. Trenet part en tournée au Québec puis à New York, où il connaît un grand succès (excepté l’emprisonnement de 26 jours pour soupçon d’homosexualité). Puis il parcourt le monde de concert en concert, sans s’arrêter d’écrire et de composer.
Après deux accidents cardiovasculaires Charles Trenet est transporté à l’hôpital HenriMondor de Créteil, où il décèdera le 19 février 2001. Les cendres de Charles Trenet sont déposées au cimetière de Narbonne dans le caveau familial.
Par tes chansons, musiques et poésies, tu nous fais toujours rêver.
Un grand merci Monsieur Trenet. D.D. La gazette du foyer. 9
« Penses-y… » De nos jours, nous avons des édifices plus élevés et des autoroutes plus larges, mais notre niveau de tolérance est plus bas et notre esprit est plus étroit.
C’est pourquoi je t’invite à partir d’aujourd’hui, de ne rien garder pour une occasion spéciale, parce que chaque jour qu’on vit est une occasion spéciale.
Nous dépensons davantage, mais nous nous amusons moins. Nous avons de plus grandes maisons, mais de plus petites familles. Nous avons plus de compromis, mais moins de temps, Nous avons plus de connaissances, mais moins de jugement.
Recherche la connaissance, lis davantage, pose-toi sur ton balcon (si tu en as un) et admire la vue sans faire attention à tes besoins. Passe plus de temps avec ta famille et tes amis, mange tes mets préférés et visite les endroits que tu aimes. La vie est une suite de moments de plaisir, non pas seulement une survie. Utilisons nos verres de cristal.
Nous avons plus de médicaments, mais moins de santé. Nous avons multiplié nos possessions, mais nous avons réduits nos valeurs. Nous parlons beaucoup, nous aimons juste un peu, et nous détestons trop. Nous avons atteint la lune et nous en sommes revenus, mais nous trouvons pénible de traverser notre propre rue pour rencontrer nos voisins. Nous avons conquis l’espace intersidéral, mais pas notre espace intérieur. Nous avons des revenus plus élevés, mais le moral plus bas. Nous vivons à une époque où il n’y a plus de liberté, mais moins de joie. Nous avons bien davantage de nourriture, mais nous nous nourrissons mal. Nous vivons à une époque où il faut deux salaires pour chaque foyer, mais les divorces augmentent. C’est une époque où les maisons sont plus belles, mais où il y a davantage de foyers brisés. 10. La gazette du foyer
N’économisons pas notre meilleur parfum, et utilisons-le chaque fois que nous en avons envie. Elimine de ton vocabulaire des phrases comme « un de ces jours » ou « un jour ». Ecris cette lettre que tu avais pensé écrire «un de ces jours». Dis à tes proches et amis à quel point nous les aimons.
Ne retarde rien qui ajoute des rires et de la joie à ta vie. Chaque jour, chaque heure, et chaque instant est spécial et nous ne savons pas si ce sera notre dernier. Si tu es trop occupé pour trouver le temps d’envoyer ce message à quelqu’un que tu aimes, et que tu te dis je vais l’envoyer « un de ces jours », penses-y, « un de ces jours » tu ne seras peut-être pas là pour l’envoyer ! D.D. (Texte envoyé par un ami)
La vie au foyer
S A P E R
Information à l’attention des résidents Vous n’êtes pas satisfait des repas? Vous êtes mécontent de la qualité? Ou au contraire, vous êtes satisfait des menus et trouvez que la qualité des repas évolue positivement?
Faites-le savoir!!! Le Foyer Résidence Francis Barousse va mettre en place, à partir du 31 mai 2013, un systeme de notation ou vous pouvez donner votre avis sur les repas. Pour ce faire, il vous suffit de prendre le carton de la note que vous estimez la plus juste pour le repas du jour et le mettre dans l’urne prévue à cet effet. Dés lors, nous pourrons suivre l’évolution de la qualité des repas afin d’en faire part à l’équipe restauration de l’EHPAD Les Fontenelles. La Direction.
Conseil de la Vie Sociale
CVS Conseil de la Vie Sociale
Les comptes rendus des séances du Conseil de la Vie Sociale et des réunions avec l’EHPAD sont affichés sur le panneau près de la bibliothèque. Ils sont également à votre disposition à l’accueil. A consulter sur place. Prochaine séance du CVS en juin.
La gazette du foyer. 11
PASSE-TEMPS
Placez les lettres A, B, C, D et E dans ce carré afin qu’aucune d’elles ne soient répétées sur une même ligne, une même colonne où diagonale.
Passez du mot COQ au mot ANE en ne changeant qu’une seule lettre à la fois, il faut, bien évidement qu’à chaque fois le nouveau mot existe dans le dictionnaire. C
O
Q
A
N
E
Cherchez où vous devez insérer dans le texte ci-dessus le nom des animaux domestiques donnés. Attention!, il vous appartient de réaliser les accords nécessaires. POULE - PAPILLON - MOUCHE - LINOTTE - CHIEN - CHEVRE SOURIS - SARDINE - LYNX - VISON - L'AIGLE - PAON
Claude se promène dans les prés avec un filet à ________________. A la cave, papa a placé une trappe à ________________. Les tambours sont recouverts d'une peau de ________________. Tu as encore oublié ta trousse; quelle tête de ________________ tu es!. Pour souper, j'ai mangé une boîte de _______________. Les chasseurs sont à l'orée de la forêt avec leurs ________________. L'Indien observait l'horizon de son œil de __________. Béatrice n'ose pas descendre à la cave, c'est une ____________ mouillée. Le __________ fait la rue. Le nid de ______________ s'appelle une aire. Pierrette a acheté un manteau en fourrure de ________________. Il fait tellement chaud que les spectateurs tombent comme des ________________.
Atteignez le 90 avec ces seize chiffres, en plaçant chacun d’eux dans une case identique à celle dans laquelle il est inscrit.
12. La gazette du foyer