Mai 2014 n° 32
laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Francis Barousse - CCAS Ramonville St-Agne
Mai, mois du muguet porte-bonheur L’hiver s’est achevé, le printemps est arrivé
C.V.S
Sommaire Mai, mois du muguet porte-bonheur Page 2. Historique du 1er Mai Page 3. Une légende autour de la pâquerette Page 4. La poule au pot Page 5. Rêve ou voyage Lachasse aux oeufs Page 6. L’hiver s’est achévé Le festival «Les extras» Page 7. La montagne, ça te gagne Page 8. Le C.V.S. Page 9. Les Fontenelles Page 10. Humour Page 11. Le calendrier du foyer Page 12.
L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Georgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE
Mai, mois du muguet porte-bonheur.
Le muguet est originaire d’Asie. Cette plante est connue et acclimatée en France depuis le moyen-âge. Le muguet a été longtemps le symbole du renouveau et du printemps, il était donc logique qu’il devienne symbole du bonheur et porte-bonheur. On l’appelle parfois lis des vallées, mais aussi gazon du Parnasse, car la légende dit qu’il fut créé par Apollon, dieu du mont Parnasse, afin que les neufs muses qui l’entouraient puissent fouler ce tapis vert sans blesser leurs pieds délicats. On dit qu’au moment de la création du monde, cette fleur ornait les deux côtés de la porte du paradis et que ses clochettes tintaient chaque fois qu’un brave homme passait. C’est que le muguet était doué pour identifier les vertus et les bonnes consciences …
Foyer Résidence Francis Barousse 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La gazette du foyer
Dans la Rome antique les célébrations en l’honneur de Flora, déesse des fleurs, atteignaient leur apogée le 1er mai. Chez
les celtes, le muguet prit une importance mystérieuse : il portait bonheur. En Europe on érigeait des arbres de Mai : des mats enrubannés devant la porte d’une personne, en signe d’honneur, d’amour ou de dérision, suivant la nature du feuillage choisi et souvent on décorait avec du muguet et des aubépines. Au moyen-âge, le mois de mai était celui des « accordailles » ; on en accrochait au- dessus de la porte de la bien-aimée. Le 1er mai 1561 Charles IX instaura la tradition d’offrir du muguet en guise de porte-bonheur. Au XVIème et au XVIIème siècle, le muguet demeure la fleur de la chance par excellence. En 1900, le jour du 1er mai, les grands couturiers offraient des brins de muguet aux clientes et petites mains. La chanson « Il est revenu le temps du muguet… » Est aussi associée à ce jour. Denise Ducos
Un petit historique sur le premier Mai. Tout commence réellement en 1886 à Chicago. Les travailleurs passent 14 à16 heures par jour, 6 jours par semaine, sur leur machine. Les conditions de vie sont déplorables. Un syndicat ouvrier « L’Américan Fédération of labor » réclame une journée de travail de 8 h 6 jours par semaine.
Le 1 er Mai, une grande manifestation est organisée: 200 000 manifestants se rassemblent. N’ayant pas obtenu satisfaction, quelques jours plus tard une autre manifestation rassemble 340 000 personnes.
du 1er Mai, A l’occassion uguet qui les brins de m aux résiseront offerts r, ont été dents du foye établisseachetés par l’ ciation ment à l’asso
artage» «Enfance et P s au s fond qui récolte de nts profit des enfa maltraités.
En 1889 à l’occasion du centenaire de la révolution Française une réunion est organisée et comme en 86 la revendication principale est de 8 h de travail par jour et pour tous. Cette même année la date du 1er Mai est retenue pour un grand rassemblement dans tous les pays, et dans toutes les villes où les ouvriers sont organisés en syndicat. Les manifestants porteront à la boutonnière un triangle rouge symbole des trois huit : 8 h de travail, 8 h de sommeil, 8 h de loisirs. Le 1er Mai 1891 à Fourmies, France, une manifestation est organisée. L’armée chargée d’encadrer cette manifestation tire (sans aucune raison) sur les manifestants faisant 10 morts, dont 8 de moins de 21 ans et une ouvrière Marie Blondeau qui lors de son enterrement, sera drapée de blanc et les bras couverts de fleurs. Après elle on portera une fleur d’églantine à la boutonnière lors des 1 ers Mai en souvenir de son martyre. En 1907, cette fleur sera remplacée par un brin de muguet, symbole du renouveau. En 1919, soit 29 ans après la manifestation du 1er Mai, les salariés obtiendront enfin satisfaction et la semaine de 48 heures (6 fois 8 heures hebdomadaires). Toutefois, le 1er Mai n’est toujours pas reconnu. Il n’est toujours qu’un jour de grève.
Paradoxe, il faudra attendre 1941 sous le gouvernement de Pétain, pour que le jour du 1er Mai devienne officiellement le jour de la fête du travail et de la concorde sociale, donc un jour chômé et payé. A la libération, c’est un communiste, alors ministre du travail Ambrouse Croizat, qui sur proposition d’un député socialiste Daniel Meyer, mettra en place, en 1947, un jour férié et payé, tel qu’il apparait dans le code du travail. En 1957, les manifestations sont interdites le 1er Mai pour cause de guerre indochinoise et il faudra attendre 1968 pour retrouver ces grands rassemblements populaires. Denise Ducos « Le premier Mai c’est pas gai, Je trime a dit le muguet, Dix fois plus que d’habitude, Regrettable servitude. Muguet, sois pas chicaneur, Car tu donnes du bonheur, Pas cher à tout un chacun. Brin de muguet, tu es quelqu’un. » Georges Brassens (1921-1981) La gazette du foyer. 3
Une légende autour de la pâquerette Quand les bergers et les mages se retrouvèrent aux pieds du berceau de Jésus, les uns offrirent de l’or, des rubis et des perles, quand les autres n’avaient que des fleurs des champs. Les bergers se poussaient du coude, gênés : nos présents sont ridicules, se disaient-ils tout bas. Mais sans doute le nouveau-né avait-il compris le sentiment de ses hommes car il repoussa d’un coup de pied tous ses riches cadeaux et s’empara d’une pâquerette qu’il porta à sa bouche : depuis les pâquerettes ont le cœur doré et l’extrémité des pétales roses. C’est depuis ce jour- là, que l’humble Pâquerette, Autrefois toute blanche, a, sur sa gorgerette, Une auréole rose et l’étamine d’or. Antonio Spinelli.
Le nom botanique de la pâquerette (Bellis pérennis) signifie «Beauté vivace» en latin. Les pâquerettes sont comestibles et n’ont pas d’égal pour égailler les salades d’une touche printanière ! On peut aussi faire des tisanes car on leur prête des vertus diurétiques et anti- inflammatoires.
Lorsque vous jouez à « Je t’aime, un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout » avec une marguerite, vous arrachez non pas des pétales mais des fleurs. En effet, la fleur de marguerite est un regroupement de deux types de fleurs: de minuscules fleurs jaunes au centre en forme de tube et autour, des fleurs blanches en forme de languette, que l’on croit être des pétales. D D / internet.
4. La gazette du foyer
La poule au pot (Une légende tenace). De temps en temps, au foyer nous avons au repas de midi de la poule au pot. Cela m’a donné l’idée de faire des recherches: D’où vient cette légende (car s’en est bien une) ? Et donc voici l’origine... La légende de la poule au pot ne voit le jour qu’un demi- siècle après la mort d’Henri IV roi de France et de Navarre. Elle est relatée par Hardouin de Perefixe, précepteur du futur Louis XIV. Durant une légère dispute avec le duc de Savoie, Henri IV aurait eu cette formule pleine de compassion pour son peuple : « Si Dieu me donne encore la vie, je ferai qu’il n’y aura point de laboureur en mon royaume qui n’ait moyen d’avoir une poule
dans son pot ». Le succès de cette formule politique avant l’heure ne se démentira plus.
moins le présumer, car, depuis deuxcents ans qu’elle nous est promise, on n’a cessé de la plumer ».
A l’aube de la révolution Française, on chante « Enfin la poule au pot va être mise, on peut du
Louis XVIII, soucieux de redorer le blason de la royauté, l’exploite au XIX ècle en innovant, puisque c’est dorénavant tous les dimanches que le bon roi Henri, aurait promis la gallinacée sur la table des Français. Une image d’Epinal… On prête, à Henri de Navarre, d’autres anecdotes alimentaires et une réputation de bon vivant, débutée dès le berceau. Son père aurait frotté les lèvres du nouveau-né avec une gousse d’ail et du vin de Jurançon, lors de sa naissance au château de Pau. Là encore, on le sait de source sûre, d’un certain Hardouin de Perefix. A l’occasion de la 21 ème semaine du goût qui eut lieu du 11 au 17 octobre 2010, la poule au pot fut à l’honneur dans les cantines scolaires. La prochaine semaine du goût aura lieu du 13 au 19 octobre 2014. D D / internet La gazette du foyer. 5
Rêve ou voyage.
J’aimerais tant voir Syracuse L’île de Pâques et Kairouan Et les grands bateaux qui s’amusent A glisser l’aile sous le vent. Voir les jardins de Babylone Et le palais du grand Lama Rêver des amants de Vérone Au sommet du Fuji-Yama. Voir le pays du matin calme Aller pêcher au cormoran Et m’enivrer de vin de palme En écoutant chanter le vent. Avant que ma jeunesse s’use Et que mes printemps soient partis. J’aimerais tant voir Syracuse Pour m’en souvenir à Paris.
Les grandes vacances seront bientôt là et, qui n’a pas rêvé au moins une fois dans sa vie, ou même plusieurs, de faire un voyage lointain? Trouver un dépaysement total, sortir de la routine, du métro, boulot, dodo, de sa maison, de son appartement, de son quartier, même si on s’y sent bien. Les voisins sont bien gentils et serviables mais ils ont quand même toujours le nez au milieu de la figure.
de chez soi pour s’immerger ailleurs. C’est pour cela que je vous propose cette magnifique chanson d’Henri Salvador «Syracuse». Faites votre choix, je vous souhaite de très beaux voyages, ou à défaut : faites de beaux rêves.
Yves Montant et bien d’autres chanteurs ont interprété cette chanson magnifiquement et mon fait rêver souvent en l’écoutant. Denise Ducos
Voir d’autres paysages, d’autres couchers de soleil, des traditions différentes des nôtres, des religions, des costumes, des danses, enfin tout oublier
La Chasse aux oeufs Il y avait une activité inhabituelle ce mercredi 23 au foyer résidence. Le centre social d’animation « Couleurs et rencontres », du quel notre animateur fait partie, nous donnait rendez-vous 14 heures sur la place centrale du foyer pour participer à une chasse aux œufs. Accompagnées de quatre adhérentes du centre social, nous étions quatre résidentes du foyer à participer à cette
6. La gazette du foyer
organisation. Apres avoir délimité les zones où nous allions cacher les œufs nous voilà parties cacher 200 œufs et sujets en chocolat. 15 heures. Accompagnés de leur famille, une douzaine d’enfants sont arrivés. Nous avons fait leur connaissance et essayé de retenir leurs prénoms. Chantal et Fernando ont expliqué les règles de cette chasse puis Anne Marie Tarrieu lança la chasse d’un ‘‘4, 3, 2, 1…
Partez !’’... Quel moment de joie de voir ces enfants partir en courant à la recherche des œufs. Nous avons également participé à la chasse, car quand ils ne trouvaient pas ils venaient nos chercher pour qu’on leur donne des indices. Cette aprèsmidi ensoleillée s’est terminée par un gouter partagé avec les enfants, et nous avons retrouvé nos appartements content(e)s du moment passé. Alfred
L’hiver s’est achevé, le printemps est arrivé. Après un hiver plus humide que froid, vient d’apparaitre le printemps. Les jours ont un peu allongé et le soleil est plus chaud. C’est le réveil de la nature. La pelouse se garnit de marguerites comme un joli tapis blanc. Les violettes de Toulouse, qui ont fleuries dans les parterres et sous les buissons, laissent flotter leurs parfums sublimes, mêlés à celui des jacinthes et des jonquilles, qui ont fleuries et réjouissent nos yeux. Sur les arbres les bourgeons montrent leurs petites feuilles et les arbres fruitiers sont en fleurs.
Les oiseaux commencent à chanter et bientôt on les verra porter des brindilles dans leur bec, pour faire leurs nids. Dans les champs, le blé, l’orge et l’avoine recouvrent le sol de verdure tendre qui ne demande qu’à grandir, pour nous donner des grains l’été venu. Verront nous venir des hirondelles, qui semblent nous avoir abandonnées ? Quel dommage ! Elles égayaient le ciel de leurs vols et de leurs cris. Sur les trottoirs, femmes et enfants se promènent. Les habits d’hiver sont remplacés par des vêtements aux couleurs chatoyantes. Les enfants aiment la nature qui
s’éveille. Pour nous aussi le renouveau, tout est beau. Le soleil, les fleurs et les petits oiseaux. En un mot, nous aimons la nature. Renée Beaudon.
Festival des extras tamment la collaboration entre le service éducation jeunesse et « Couleurs et Rencontres » le centre social d’animation du CCAS auquel, pour être résidente du foyer, je suis et nous sommes tous adhérent(e)s.
Les 22 et 23 mars, sur la place Jean Jaurès de Ramonville, eut lieu la 3°édition du Festival Jeune Public « Les extras ». Ce festival, organisé par le centre culturel de Ramonville, a permis la mise en place de nombreux partenariats avec les structures de la ville. Et no-
Précédemment au week-end du festival, nous rencontrions ces jeunes lors des ateliers cuisine du centre social. Menés par Chantal et Mélidie, nous avons confectionné 3 recettes de Muffins et avons fabriqué une pâte à tartiner maison que nous avons appelé «Tartinella». Le jour du festival, les jeunes et nous, les moins jeunes, nous sommes installés à l’Aquaboniste, tout près du cinéma, pour vendre nos muffins, des boissons chaudes ou froides et faire des gaufres avec notre délicieuse pâte à tartiner. Le suc-
cès fut tel, que nous avons dû faire plusieurs fois de la pâte à gaufres. Il y avait beaucoup de spectacles et de films pour tous les âges, ainsi que divers ateliers : Gravures sur polystyrène, collage, graffiti, de la poterie avec de l’argile pour faire des personnages… Il y avait un atelier de pliage pour faire de jolies fleurs et aussi, un atelier lecture à la médiathèque d’un Kamishibai, ce petit théâtre ambulant qui vient du Japon et auquel nous avons déjà participé auparavant. Seul ‘’ic’’ du week-end, le mauvais temps, mais malgré cela l’ambiance était fort sympathique et agréable. Georgina Chastel. La gazette du foyer. 7
La montagne, ça te gagne Ce fut le dimanche 16 mars, Chantal et Fernando de « Couleurs et Rencontres » nous donnèrent rendez-vous sur la place Jean Jaurès de Ramonville. 8h du matin, nous étions une quarantaine de personnes, tous âges confondus, à monter dans le car direction Ax les Thermes pour passer la journée. Arrivés à destination, quelquesuns sont montés à la station de Bonascre faire du ski, luge ou autres activités, et d’autres, dont moi, sommes restés en ville. Accompagnée de trois dames, nous étions quatre à se rendre aux bains thermaux. Pendant une heure nous avons profité de la piscine bien chaude, des jets d’eau, du Hammam et des fontaines. Ça nous a bien relaxé et ouvert l’appétit donc, direction le restaurant. Nous n’avons pas dû chercher bien loin puis que le resto situé à côté des bains
nous convenait. L’après-midi nous avons fait une bonne balade pour digérer. Nous sommes allées visiter la ville et ses jardins, nous nous sommes reposées sur des bancs situés sous les pommiers en fleurs et nous avons profité d’un beau ciel bleu et une météo magnifique. Il faut dire que nous étions très détendues. Un peu avant 16h, nous commençâmes à voir des têtes connues qui se dirigeaient vers le point de rassemblement pour le départ et là, surprise : Le chauffeur nous annonce que l’autocar ne démarre pas, la batterie de celui-ci était tom-
bée en panne… . Après plusieurs tentatives de dépannage, le chauffeur n’a d’autre solution que demander l’envoi d’un bus depuis Toulouse. Au bout de deux heures, où nous guettions avec impatience notre sauveur, il est finalement arrivé, fait le nécessaire pour que notre bus démarre et nous voilà sur le chemin du retour. Malgré ce problème technique et les deux heures de retard, nous avons passé une bonne et agréable journée. Merci beaucoup aux organisateurs. Georgina Chastel.
Les anniversaires du mois au Foyer Pierre FERAUT, né le 13/05 fêtera ses 72 ans
Vendred i3 Salle Re 0 Mai staurant
Albert GHOMMIDH, né le 15/05 fêtera ses 79ans Colette MARTIN, née le 11/05 fêtera ses 80 ans
à 8. La gazette du foyer
Jeanne PATERNA, née le 25/05 fêtera ses 79 ans Arlette VERDE, née le 24/05 fêtera ses 63 ans
Reunion « extraordinaire » au foyer
C.V.S. Ce mardi 22 avril, Mme Jandau directrice du Foyer Résidence Francis Barousse et du CCAS de Ramonville nous convoquait à la salle bibliothèque pour une réunion d’information. Le thème abordé : Les prochaines élections du CVS, le Conseil de Vie Sociale du Foyer. Mme Jandau, nous a communiqué que ces éléctions auront lieu début octobre, date échéance du mandat du actuel. Des questions sur le fonctionnement et l’utilité de celui-ci furent abordées, d’où l’importance de revoir sa jeune histoire. Le Conseil de la Vie Sociale est un outil destiné à garantir les droits des usagers et leur participation au fonctionnement de l’établissement d’accueil. Le décret prévoyait que le Conseil de la Vie Sociale devait être définitivement installé dans chaque établissement pour le 27 septembre 2004. Au foyer, il fut instauré en octobre 2008, peu après la prise de fonction de notre nouvelle directrice. A quoi sert le Conseil de la Vie Sociale ?
Le Conseil de la Vie Sociale est un lieu d’échange et d’expression sur toutes les questions intéressant le fonctionnement de l’établissement dans lequel est accueilli l’usager. Il est également un lieu d’écoute très important, ayant notamment pour vocation de favoriser la participation des usagers. Il convient aussi de souligner que le conseil est une instance collégiale qui doit donc impérativement fonctionner de manière démocratique.
. S . V . C Le Conseil de la Vie Sociale donne son avis et fait des propositions sur toute question intéressant le fonctionnement de l’établissement ou du service et notamment sur : L’organisation intérieure et la vie quotidienne, les activités, l’animation socioculturelle, les projets de travaux et d’équipements, la nature et le prix des services rendus, l’affectation des locaux collectifs, l’entretien
des locaux, l’animation de la vie institutionnelle et les mesures prises pour favoriser les relations entre ces participants, les modifications substantielles touchant aux conditions de prises en charge… Les avis et les propositions adoptés par les membres du Conseil de la Vie Sociale font l’objet d’un relevé de conclusions. La composition du CVS est de : 8 membres élus, 2 représentants de l’organisme gestionnaire (élus du Conseil d’administration du CCAS); 1 représentant du personnel et 5 résidents (dont 1 président). Chaque membre a son suppléant et la fréquence des réunions est de 3 par an. Au foyer, seront élues les listes, (candidat / suppléant), ayant obtenu le plus grand nombre de voix et, en cas d’égalité, un tirage au sort sera effectué. Le président sera désigné parmi les élus. La durée des mandats des membres du conseil de la vie sociale est de trois ans renouvelable. Avis aux candidats potentiels!. La gazette du foyer. 9
Les résidents de l’EHPAD Les Fontenelles ont évoqué le jolie mois de mai avec toutes les variétés de fleurs qu’ils avaient le bonheur de cultiver dans leurs jardins.
On se souvient du brin de muguet que les amoureux offraient à leur fiancée, pour avoir du bonheur toute l’année.
Les violettes, narcisses et tulipes sont les premières à fleurir.
Viennent ensuite les œillets, giroflées, géraniums, pétunias, iris, primevères, hortensias, clématites... Puis les pivoines, les bégonias, les glaïeuls, gueules de loup, les pensées, les roses, les zinnias et enfin les marguerites, fuchsias et jacintes. 10. La gazette du foyer
Citations
« Petit Jésus, s’il te plaît, je prie pour que tu envoies des vêtements à toutes les pauvres femmes qui sont dans l’ordinateur de mon papa, Amen. Et dans celui de mon papy aussi, re Amen ».
« Etre célibataire c’est comme avoir une assurance MMA, zéro tracas, zéro blabla ».
« Il est bon de lire entre les lignes, cela fatigue moins les yeux ». « Mardi soir, il y aura un cassoulet dans la salle paroissiale. Ensuite il y aura un concert ».
« Chères dames, n’oubliez pas la prochaine vente pour nos œuvres de charité. C’est une bonne occasion pour vous débarrasser des choses inutiles que vous avez chez vous. Amenez vos maris ». « Dieu que tu étais jolie hier au soir au téléphone ». La gazette du foyer. 11
Les animations du mois au foyer
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