laGazettedufoyer n° 26

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Novembre 2013 n° 26

laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Francis Barousse - CCAS Ramonville St-Agne

Edith Piaf, 50 ans déjà... THANKSGIVING Mon cerveau n’a plus 20 ans


Sommaire

THANKSGIVING Thanksgiving Pages 2 et 3. Edith Piaf, 50 ans déjà Pages 4 et 5. La solitude Page 6. Voyage Page 7. Monuments Page 8

Escapade en ariège Pages 8 et 9. Vie au foyer Page 10. Les infos du foyer Page 11. L’Agenda du foyer Page 12.

L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Giorgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE

Foyer Résidence Francis Barousse 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La gazette du foyer

Pour comprendre l’histoire de Thanksgiving, il faut remonter à l’arrivée en Nouvelle Angleterre d’une centaine de pèlerins ayant fui la persécution religieuse britannique, pour les uns, ou la trop grande liberté des moeurs d’Amsterdam, pour les autres. Après une traversée difficile à bord du Mayflower, les Pèlerins débarquent à Plymouth le 11 décembre 1620. Le premier hiver est dévastateur ; sur les cent-dix pèlerins, seulement cinquante survivent au froid et au manque de nourriture. Une fois le printemps revenu, ces survivants doivent se constituer une réserve pour le prochain hiver. Or la terre, le climat, les plantes, tout leur semble hostile. Survient alors un événement déterminant de l’histoire américaine. Samoset et Squanto, deux Indiens Iroquois de la tribu des Patuxets, viennent à leur secours. Ils leur font découvrir les

bienfaits de certaines plantes et le danger mortel d’autres. Ils leur enseignent la chasse et la pêche et, surtout, ils leur apprennent à récolter le maïs. En octobre 1621, la moisson est exceptionnelle, ils peuvent faire des réserves de maïs, de haricots et de potirons pour l’hiver à venir. Le gouverneur de la colonie, William Bradford, décide alors de proclamer un jour de remerciement et d’action de grâce que les pèlerins partagent avec leurs voisins Indiens (ces derniers apportent du gibier et des dindes à rôtir). Pour beaucoup, cette célébration est à l’origine de la fête de Thanksgiving. Pour d’autres, l’origine remonte à 1623 : en raison de la sécheresse qui a réduit les récoltes, le même gouverneur Bradford proclame une journée de jeûne et de prière. La pluie venant arroser les


champs peu de jours après et sauvant ainsi la colonie d’un grand malheur, Bradford annonce, pour le 29 novembre, un jour de remerciement. La coutume d’une fête des récoltes se poursuit depuis cette période. Pendant la Guerre d’Indépendance, le Congrès recommande d’instaurer une journée d’action de grâce dans tout le pays. Le premier président des États-Unis, George Washington, suggère la date du 26 novembre. En 1863, le président Lincoln fait revivre la tradition et, depuis lors, chaque président désigne lui-même ce jour, le quatrième jeudi de novembre, comme une fête nationale. Aujourd’hui, Thanksgiving est considéré comme une fête traditionnelle, au même titre que Noël, et le repas de ce jour fait une large place aux produits originaires d’Amérique du Nord. La dinde, qu’elle ait été plongée dans la saumure pendant toute la nuit, arrosée de

beurre pendant sa cuisson au four ou frite en plein air, est le plat de résistance. D’ailleurs, les Américains qui mangent de la dinde sont si nombreux que cette journée est également appelée « le jour de la dinde » (Turkey Day).

Les accompagnements sont généralement composés de farce à base de pain, de gelée de canneberges et de purée de pommes de terre. Au moment du dessert, on consomme normalement une part de tarte à la citrouille. NF (source internet)

La gazette du foyer. 3


Edith Piaf 50 ans déjà Edith Giovana Gassion, de son vrai nom, est née sur le trottoir à Belleville à Paris plus précisément sur la pèlerine d’un policier, le 19/12/1915.

mencer pour elle une longue série de défaites amoureuses et de malheurs. Sa fille Marcelle meurt de la méningite en 1938 … elle tombe alors dans la déchéance la plus totale.

Edith a la vie d’artiste dans le sang : son père Louis est contorsionniste, et sa mère Annetta, est chanteuse de rue. Elle grandit entre ses deux grands-mères. Puis après la guerre, son père Louis Gassion, est engagé dans un cirque itinérant. Il quitte sa femme, mais il embarque sa fille Edith avec lui dans sa roulotte. C’est alors le trottoir, le cirque, la chanson, le bordel …Quelle singulière enfance !

A 20 ans la voilà seule au bord de la déprime, de la pauvreté, de la drogue et de la prostitution. En 1935, Edith fait la connaissance de Louis Leplée, gérant du Gentry’s, un établissement en vogue à l’époque. Séduit par la jeune femme, il l’invite à chanter quelques titres chez lui, dont des chansons de Vincent Scotto. C’est Louis Leplée qui trouve à Edith son surnom de la « môme Piaf » à cause de sa petite taille.

Pour aider son père au cirque Edith commence à faire de la chansonnette. En 1931 une demi-sœur naît du remariage de son père avec une bohémienne. Edith continue à faire de la chanson de rue.

Le passage d’Edith au Gentry’s est un succès : Maurice Chevallier alors en pleine gloire et un certain Jacques Canetti, imprésario de la radio sont subjugués. A la fin de 1957, Canetti lui fait enregistrer un premier disque, « la foule ».

A 17 ans Edith rencontre Louis Dupont dont elle tombe immédiatement enceinte. Mais Edith, née « dans la rue », voit com-

Malgré son succès grandissant la rue la rattrape. Grace à Raymond Asso, rencontré quelques

« C’est dans la souffrance que l’on donne de la valeur aux choses, non ? Je crois qu’il faut payer de larmes un véritable bonheur. »

4. La gazette du foyer

temps plutôt, Edith sort de la galère, et enregistre en 1937 « Mon légionnaire » grâce à Raymond, Edith ne pense plus qu’a un seul mot le travail, et le travail paye. L’ABC accueille la chanteuse sous son nouveau nom Edith Piaf. Elle côtoie Chevalier, Trenet et tourne dans toute l’Europe. Michel Emer lui écrit « L’accordéoniste ». Malgré l’occupation de la France, Edith ne cesse de chanter autant pour les Français que pour les Allemands, ce qui lui vaudra des ennuis à la libération. En 1947 Edith tombe follement amoureuse d’Yves Montand … Puis elle écrit l’un de ses titres les plus célèbres, qui fera le tour du monde «La vie en rose». Fin 1947 Edith embarque pour New York, elle y rencontre Marlène Dietrich et surtout le boxeur Marcel Cerdan, ils deviennent « les meilleurs amants du monde ». De Paris à New York, entre un concert d’Edith et un combat de Marcel, leur amour prend force.


Mais le malheur rejoint encore Edith, qui perd son amant le 27 octobre 1949, dans un accident d’avion. C’est pour Cerdan qu’elle écrit « L’hymne à l’amour », mais la vie ne sera plus jamais comme avant. En 1950 Edith est à New York pour une série de concert. De retour à Paris, mais de maladies en accidents, Edith tombe dans la drogue et peu à peu s’enfonce dans la déchéance. Côté scène, Edith a toujours du succès que ce soit avec « Jézabel » écrit par Aznavour, ou « je t’ai dans la peau » de Jacques Pills et Gilbert Bécaud. En 1952 Pills deviendra le mari d’Edith. Ils s’installent boulevard Lannes à Paris dans un appartement que la chanteuse gardera jusqu’à sa mort. Mais la mort de Cerdan a détruit la vie d’Edith. Si elle est une star internationale sa vie reste une succession d’échecs. Elle divorce de Jacques Pills. Elle fait la connaissance de Moustaki, ils écriront ensemble « Milord » un autre grand succès d’Edith. Début 59, alors qu’elle triomphe à New York elle s’effondre sur scène, les séjours à l’hôpital se succèdent. Piaf n’est plus qu’une femme en sursis. Elle rentre à Paris et triomphe à l’Olympia, avec sa nouvelle chanson « Non je ne regrette rien » qui fait un malheur. Elle tombe amoureuse de Théo Sarapo, quelle épouse en octobre 1962 à Paris. Le mariage est bidon, Théo meurt dans un

accident de voiture. Edith est finie, droguée, épuisée, malade.

Merci Edith, 50ans après, vous nous faites toujours frissonner.

En convalescence près de Grasse, elle meurt le 10 octobre 1963 et est ramenée en douce à Paris où sa mort est officialisée le 11 octobre, le même jour que le décès de Jean Cocteau, son ami. Elle est enterrée au cimetière du « Père Lachaise » devant une foule immense.

D.D. texte envoyé par une amie.

La gazette du foyer. 5


La solitude amie ou ennemie de l’homme ?

«Solitude où je trouve une douceur secrète» écrivait la FONTAINE dans une de ses fables. Il est vrai que dans une certaine mesure, la solitude est bienfaisante pour l’être humain. D’abord à une époque où prédomine la vie urbaine dominée par la foule, la vitesse, le bruit épuisant physiquement et psychiquement, nous éprouvons un besoin de détente, de silence, que satisfait la solitude dans un lieu calme, isolé. Elle permet aussi dans la vie trépidante moderne, de prendre du recul, de réfléchir, de méditer de faire le point sur nos actes; de réfléchir sur ce que nous avons fait ou aurions dû faire, de dresser une sorte de bilan. Elle nous prépare ainsi à mieux affronter la vie sociale. Elle est également indispensable à la création; corollaire de l’avantage précédent, l’es6. La gazette du foyer

prit a besoin de la paix, de la tranquillité que lui apporte la solitude pour que l’inspiration puisse s’exprimer loin des tracas de la foule. L’écrivain, l’artiste, le savant ont besoin d’elle pour stimuler leur imagination, leurs facultés intellectuelles «la solitude est l’aphrodisiaque de l’esprit, comme la conversation celui de l’intelligence» écrivait Emile Michel CIORAN. Toutefois, ces avantages incontestables de la solitude ne doivent pas nous dissimuler ses aspects plus sombres. En premier elle ne doit pas être, comme chez certains une fin en soi. L’homme est un «animal social». Rechercher la solitude pour fuir la société est un piège dans lequel tombent certains, ce qui ne peut les conduire qu’à la misanthropie. De plus nous traversons une épreuve pé-

nible sur le plan professionnel, sentimental, la solitude nous enferme dans une prison qui risque de nous mener à notre perte, notre autodestruction. Nous avons alors besoin de nous confier à des personnes de notre entourage, à des amis fidèles susceptibles de nous aider à surmonter nos difficultés. Enfin n’oublions pas la solitude « subie » très fréquente à notre époque où les liens familiaux se sont distendus. Pensons aux nombreuses personnes âgées vivant recluses dans leur domicile, aux jeunes qui voyant leur avenir compromis, sombrent dans la solitude ou cherchent à fuir dans les paradis artificiels voire le suicide. Ne méconnaissons donc pas les dangers de la solitude. Pierre FERAUT


UNE ECOLE EN NAMIBIE Lors de nos dernières vacances, nous avons passé trois semaines en Namibie. Notre première halte en arrivant dans ce magnifique pays a été dans une petite ville pour visiter une école dans un «township», c’est-à-dire un bidonville.

Voyage échec scolaire. Grâce à cette école maternelle fondée par Peri Naua, les enfants peuvent apprendre les rudiments de la langue anglaise, découvrir la sociabilisation et, s’intégreront ainsi plus facilement à l’école primaire.

saient de protéger tant bien que mal de la population extérieure pour qui ces légumes sont bien tentants…

Cette école a été fondée par une association française, Peri Naua, pour permettre aux très jeunes enfants d’aller à l’école.

Les deux maîtresses sont des femmes namibiennes engagées et payées par l’association et elles sont secondées

En effet, les conditions de vie dans ce bidonville sont très difficiles. Pour nous remercier de notre visite et des quelques dons que nous avions apportés de France, les enfants se sont fait une joie de chanter tout un répertoire de chansons en anglais. Le travail effectué par Peri Naua, même s’il semble être une goutte d’eau, est remarquable. Cette association se bat sans cesse pour obtenir des fonds afin de permettre à ces enfants d’espérer un avenir plus prometteur… Georgine Chastel et sa famille.

En effet, l’école publique ne commence qu’à l’âge de 7 ans et les cours sont dispensés en anglais. Malheureusement, ces enfants, s’ils n’ont pas été scolarisés avant, ne parlent pas l’anglais et commencent donc leur cursus scolaire avec un grand handicap, se retrouvant de suite en

par des volontaires français qui viennent bénévolement pendant leurs vacances pour les aider à monter des projets éducatifs. Ils nous ont par exemple fièrement montré leur potager où poussent les salades, carottes et autres légumes qu’ils esLa gazette du foyer. 7


Monuments Je suis allée avec mon association des « Promeneurs » de Toulouse faire une randonnée jusqu’au Cancéropole. Je ne savais pas que trois monuments avaient été érigés en mémoire des 31 victimes de l’effroyable tragédie d’AZF. Un des monuments que nous

avons vu (de loin) est très particulier. Il se compose d’environ 400 mats en acier inox disposés en cercle concentriques sur l’emplacement du cratère où l’explosion a eu lieu. Ces mats doivent faire environ 4 à 5 mètres et sont de hauteurs différentes. Autre particularité, lorsqu’il y a du vent, celui-ci en passant entre les mats émet

une musique très douce. On ne pouvait rendre aux morts de cette catastrophe un hommage des plus respectueux que cette musique avec le vent qui arrive de loin et part on ne sait où, un peu comme nous. Denise Ducos.

Escapade en Ariège Le jeudi 24 octobre, le matin, était organisée par mon association «loisirs solidarité retraités» une sortie de groupe où j’ai participé. En voici le déroulement.

Le matin nous allons voir le pont du diable. Ce pont est situé entre Foix et Mercus, il fut construit au XIII e siècle sur l’ordre de Raymond-Roger comte de Foix, pour faciliter les communications avec ses vassaux en cas d’attaque des croisés de Simon de Monfort. 8. La gazette du foyer

Le baron de Saint Paul, qui était plus poète qu’architecte, fut chargé de le bâtir. Mais, d’après cette légende, chaque nuit la rivière (L’Ariège) emportait ce qui avait été construit la veille et l’ouvrage n’avançait pas. Le baron désemparé, soupçonnant le diable, était prêt à passer un pacte avec lui. C’est alors que le malin lui apparut et lui proposa le marché suivant : il construira le pont en une nuit mais en échange il recevra l’âme du premier être vivant qui passera le pont. Le baron accepta mais pris de remord d’avoir péché, il alla se repentir à l’église SaintVolusien, où l’abbé le surprit. Le baron se confia alors à l’abbé. Celui-ci après l’avoir durement sermonné lui chuchota quelques mots à l’oreille. Le

lendemain, après une nuit lugubre et troublée par le bruit infernal fait par les travaux du diable, le baron se rend sur le pont achevé. Le diable l’y attend et lui demande qui va être le premier. Le baron ouvre son manteau et s’en échappe un chat noir qui traverse le pont à toute allure. Le diable furieux d’avoir été berné, hurle et gesticule tant, qu’il tombe dans l’Ariège. Jamais il ne réapparut. Plus tard, un bâtiment fut accolé au pont qui servait de péage pour le passage du bétail. Ce bâtiment devint au début du XX e siècle une auberge où, paraitil, la nuit, les maitresses des maisons du coin allaient chercher leurs maris éméchés. Il existe plusieurs versions de cette légende.


Mais qu’en est-il de la véritable histoire du pont ? Nul ne la connaît vraiment. Après cette visite, nous partons vers Mongaillard où un bon repas au restaurant nous attend. Notre visite de l’après-midi, nous la faisons à la rivière souterraine de Labouiche.

nous oblige, pour ne pas se cogner la tête contre les rochers, à nous pencher de droite ou de gauche, au risque d’attraper un torticolis. Mais les panoramas que nous voyons tout au long des 1500 mètres de promenade sont tellement beaux, que nous ne pensons pas à tous ces petits désagréments.

Dans un site d’exception nous faisons une ballade en barque qu’un guide à la force de ses bras fait évoluer doucement grâce aux câbles fixés et tendus de part et d’autres de la paroi de la grotte. A certains endroits la rivière est très tortueuse, ce qui

C’est au fur et à mesure que nous avançons qu’apparaissent des stalagmites, des stalactites et des concrétions qui nous rappellent avec beaucoup d’imagination, un éléphant, un mammouth, un Bouddha, le village des schtroumpfs et

d’autres formes improbables et la lumière est là pour accentuer ces phénomènes. De temps en temps le guide donne de la voix pour signaler sa présence car nous allons croiser une barque qui arrive en face de nous. Bien que la température constante soit frisquette (13°) nous avons passé 1h d’émerveillement et de joie et pour certains et certaines une découverte. C’est la plus longue rivière souterraine navigable d’Europe. « La plus sensationnelle des excursions souterraines » Norbert CASTERET spéléologue. Si pour aller à la rivière par un sentier en pente nos traversons une forêt, il n’en est pas de même pour en sortir, car nous devons monter les 60 mètres par un escalier dont les marches sont plus ou moins hautes, et un autre en colimaçon. Mais, heureuse surprise à notre arrivée des bancs sont là et ils sont bienvenus. Et toute cette journée s’est passée sous un beau soleil et ciel bleu malgré les feuilles mortes que l’on ramasse à la pelle. Denise Ducos La gazette du foyer. 9


Vie au foyer

Mon cerveau n’a plus 20 ans

Il faut l’entretenir, c’est ce que j’essaie de faire en participant aux activités du foyer. Le mardi à la salle à manger, c’est l’atelier mémoire. Fernando nous donne des feuilles avec des énigmes à résoudre, des locutions à trouver et quelques opérations de math, parfois assez dures à trouver. Les autres jours de la semaine, Gilberte, Janny et moi, à 15 h nous nous installons à la bibliothèque pour jouer au « rami » 2 jeux de 52 cartes plus les jokers.

A tour de rôle nous distribuons les cartes, 13 à l’adversaire, 14 à celle qui distribue. Avec ses cartes il faut faire 51 points pour commencer à jouer, pas toujours facile, il faut une tierce sans joker et des cartes de la même famille. Parfois des rires éclatent, une erreur vient de se faire, les cartes du cœur sont mélangées au carreau et le pique au trèfle.

On doit compléter les tierces ou faire de nouveaux mots, jusqu’a ce que l’une des deux ait posé toutes ses cartes. Elle a gagné la partie, et l’autre personne compte les points restants. A la fin du jeu c’est celle qui a le moins de points qui a gagné. Et c’est un bon moment de passé avant d’aller au goûter servi à la cheminée.

A chaque tour on tire une carte au tas restant et on en pose une au déchet.

L’atelier mémoire d’éléphant ce tient tous les mardis après-midi 15heures à la salle restaurant.

10. La gazette du foyer

Renée Beaudon


Mardi

12 Mercredi

13

Mercredi

20

Vendredi

22

15h-16h. Sortie culturelle - Visite guidée et commentée d’exposition par M. Casas au centre culturel de Ramonville. (sur inscription, RDV 14h45 devant le centre culturel) 05.61.75.40.03

14h30 Le Quai des Brumes. De Marcel Carné avec Jean Gabin et Michel Simon.

14h30-16h. Sortie culturelle - Visite guidée et commentée d’exposition par M. Casas à Auzeville. (sur inscription, places limitées, RDV 14h00 Place Jean-Jaurès à Ramonville) 05.61.75.40.03

15h Salle cheminée.

Bienvenue l’automne!!

Venez déguster des marrons cuits au feu de la cheminée...

La projection sera suivie d’un moment convivial autour d’un thé et de douceurs sucrées offert par le cinéma. Rdv. 14h15 a l’accueil du foyer pour le transport.

Les Anniversaires du mois Jeudi 5 D écembre Salle Re staurant Armand Bento né le 2 fêtera ses 80 ans

Andrée Vaissié née le 3 fêtera ses 64 ans

Jeanine Salm née le 12 fêtera ses 90 ans La gazette du foyer. 11


Les ateliers et animations du mois au Foyer Résidence Francis Barousse et «Couleurs et Rencontres» Centre social d’animation. Matin

Novembre 2013 Lundi

Mardi

Mercredi

Après-midi Jeudi

Vendredi

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Atelier Collage 11

12

Atelier Collage 25

13 Sortie au marché Sortie culturelle

Atelier Collage

Atelier Gym Douce

Dimanche

2

3

8

9

10

15 Reunion Gazette du foyer

16

17

22 23 Doc’s à dom

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Projection Film

Atelier Gym Douce

18

7 Atelier Ecriture

Samedi

19

20 Sortie au marché

Atelier solidarité Tricot

Sortie culturelle

26

27 Sortie au marché

Atelier Gym Douce Atelier Collage

12. La gazette du foyer

14 Atelier Ecriture

Projection Film 21 Atelier Ecriture

Projection Film 28 Atelier Ecriture

Projection Film

(médiathèque)

Bienvenue l’automne!!

29 Reunion Gazette du foyer

30

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