laGazettedu foyer n° 22

Page 1

Juin 2013 n° 22

laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Francis Barousse - CCAS Ramonville St-Agne

Nous avons tous chanté Les enfants d’avant

Plan canicule


Sommaire

Plan Canicule Plan Canicule Page 2.

Les enfants d’avant Page 3. Le papillon Monarque Pages 4. La truie de la ferme d’En Ballard Page 5. Programme fête d’été 2013 Pages 6 et 7. Renseignements SVP Page 8 et 9. Nous avons tous chanté Page 10. La vie au foyer Page 11. Passe-Temps Page 12

L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Giorgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE Jo Vidal

Foyer Résidence Francis Barousse 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La gazette du foyer

Il ne s’agit ni d’une blague, ni d’un bel optimisme: la France s’apprête vraiment à déclencher le plan canicule. Malgré des températures en baisse, un ciel pluvieux voire même de la neige pour certaines régions, les autorités vont en effet déployer comme tous les 1er juin le Plan national canicule. Le ministère de la Santé et l’Institut de veille sanitaire (InVS) ont ainsi expliqué ce vendredi qu’à l’occasion du déclenchement du niveau 1- veille saisonnière et bien qu’aucun épisode majeur de canicule n’ait été

constaté depuis plusieurs années, il est indispensable de rester mobilisé et de renforcer encore la solidarité entre les générations». Ne vous attendez donc pas à une chaleur insurmontable : en effet, le niveau 1 du Plan, qui en compte par ailleurs 4, ne correspond en fait qu’à la simple mise en œuvre d’un système d’alerte qui «repose sur l’évaluation des risques météorologiques par Météo-France et des risques sanitaires par l’InVS». Source: atlantico.fr


Les enfants d’avant

T’as grandi au cours des années 50, 60, 70…? Comment as-tu pu survivre?. Les autos n’avaient ni ceinture de sécurité, ni appuie-tête, ni air-bag, ni GPS. Sur le siège arrière on se marrait !!! Et ce n’était pas dangereux.

nomisé sur les freins». Après quelques accidents, ces petits problèmes étaient résolus ! On allait jouer… Fallait juste rentrer à la maison avant la nuit. Il n’y avait pas de portables... Et personne ne savait où on trainait! Incroyable!.

Les lits à barreaux et les jouets étaient multicolores ou au minimum peint avec des laques «douteuses» contenant du plomb ou autre poison. Il n’y avait pas de «sécurité enfant» sur les portes des voitures, ni sur les prises de courant, encore moins sur les médicaments ou autres nettoyants chimiques domestiques. Les parents les planquaient, c’est tout.

Nous avions école jusqu’à midi et l’on rentrait manger à la maison à pied. Eraflures, bras cassés, dents brisées, coudes écorchés, personne ne se serait plaint. Personne n’avait tort si ce n’était nous-mêmes. On avalait des sucreries, du pain beurré, des boissons riches en sucre… On ne parlait pas d’obésité et nous étions actifs… On se partageait à quatre une limonade au goulot… nul n’en est mort…

Il n’y avait pas de casque pour faire du vélo. On buvait à même le tuyau d’arrosage et pas des eaux minérales en bouteilles stériles… On construisait des caisses à savon, et ceux qui avaient la chance d’habiter pas loin d’une route en pente pouvaient tenter d’établir des records de vitesse et même de constater, à mi-chemin, qu’on avait «éco-

Pas de Playstations, Nintendo 64, facebook, twitter, home cinéma, wifi, A D S L triple play, i-pod, tv 150 chaines, portables, ordinateurs, chats sur internet. Seulement des COPAINS. A pied ou à vélo, on allait chez les copains, même s’ils habitaient à des kms. On entrait sans frapper, et on allait faire les C… Si si! Dehors dans ce monde gris… et tout ça, sans

surveillance! Pas possible!... On jouait au foot avec une seule cage et si on perdait… pas de frustration, ni de «fin du monde». Il y avait bien des élèves un peu «retardés» qui redoublaient. BAAHH… Personne n’allait chez le psychologue ou psychopédagogue. On ne parlait pas de dyslexie, de problèmes de concentration ou d’hyperactifs, on redoublait simplement l’année et chacun avait sa chance. Nous avions : libertés, rêves, devoirs, succès et on apprenait à faire avec… La seule question est: comment avons-nous fait pour survivre??? Et avant tout: comment avonsnous pu développer notre personnalité??? Es-tu, toi aussi, issu de cette génération ? Lis ou fait lire ce texte afin que tous sachent comment c’était de notre temps... Ils répondront certainement que c’était ennuyeux, mais… Qu’est-ce qu’on se marrait bien!!! HEIN ???? La gazette du foyer. 3


Le papillon monarque C’est un papillon migrateur qui est célèbre en Amérique car il migre en groupe de plusieurs millions d’individus sur plus de 4000 km deux fois par an d’août à octobre vers le sud (surtout

phase de diapause (ralentissement ou arrêt) qui leur permet de survivre toute la durée de l’hiver. Cela leur permettra de migrer de la région des grands lacs et aussi de la Californie

La raison de cette migration et comment les papillons retrouvent le même lieu que leurs prédécesseurs après plusieurs générations reste une énigme. Son sang froid lui donne une grande capacité d’adaptation à différents climats. Le dessus de ses ailes est de couleur orange vif, garni de nervures de ton ébène et bordées de noir à points blancs. Le dessous de ses ailes est beigeorange.

au Mexique ) et au printemps vers le nord. Ce papillon est plus connu sous le nom de monarque et fut ainsi nommé en souvenir de Guillaume d’Orange, le monarque qui régna sur l’Angleterre de 1689 à 1702. Pesant à peine un demi gramme, le monarque est un papillon majestueux dont l’envergure peut atteindre jusqu’à 10 cm. L’un des aspects le plus curieux de la migration des monarques est que leur voyage du sud au nord se fait en plusieurs générations, alors que le voyage du nord au sud se fait en une seule génération. Les monarques qui naissent en automne, entrent dans une 4. La gazette du foyer

vers l’état du Michoacan au Mexique où ils vivront à l’état d’inactivité dans les forêts de sapins sacrés (ou Oyamel). Les monarques y sont présents en nombre si important qu’on ne peut parfois même plus distinguer la moindre parcelle d’écorce, ou de branches où ils se posent. Les monarques se regroupent en essaims la nuit et prennent leur envol la journée si la température est suffisamment élevée. Le voyage vers le nord prendra plusieurs générations, la durée de vie d’un monarque est d’environ deux mois l’été, plus de sept mois pour la forme hivernale.

On les appelle souvent les «papillons d’asclépiades» parce que ceux-ci déposent une dizaine d’oeufs sous les feuilles vénéneuses de cette plante. La larve grignote les feuilles durant deux semaines ; Elle devient ensuite une chenille dodue qui se nourrit ellemême de la plante, qui possède dans sa sève des toxines vénéneuses, qu’elle va stoker et qui durant toute sa vie la protégera contre les petits prédateurs du type lézard, guêpe ou oiseau et lui donnera une quasi immunité. En général les papillons étaient associés à la beauté, l’amour et les fleurs. Et certains autochtones croyaient que les papillons étaient la réincarnation de leurs guerriers tombés au combat. Pour la communauté Otomis qui habite la région ils incarnent l’âme de leurs défunts. Source internet


La truie de la ferme d’En Ballard

Un jour un petit garçon de la ferme d’En Ballard était allé garder la truie de la ferme dans un champ de luzerne comme cela se pratiquait encore dans les temps anciens. Le temps passa et le jeune garçon occupé à jouer dans un coin ne vit pas le temps passer, la nuit était tombée depuis un mo-

ment lorsqu’il se résolut à rentrer à la ferme avec la nuit. La lune était pleine, le temps clair, il n’eut pas de peine à retrouver son chemin. Sur le trajet se trouvait la mare de ferme où la truie avait l’habitude de boire avant de rentrer à sa porchère. La lune resplendissante se mirait dans l’eau glauque de

la mare émerveillant le jeune garçon. La truie entra dans la mare troubla l’eau qui fit des vaguelettes faisaient disparaître l’astre de la nuit. Tout affolé notre garçon fila vers sa maison se précipitant vers son père « Papa viens vite la truie a avalé la lune ». Bernard Velay

La gazette du foyer. 5


Fête d’été Foyer Résidence Francis Barousse 27, 28 et 29 juin 2013 Jeudi 27 juin 11h30 départ de l’accueil pour un Pique-nique à la ferme de 50 Avec «couleurs et rencontres» Centre social d’animation. Vendredi 28 juin 15h Salle restaurant Visionnage du film «Une douce folie» Dont vous êtes les protagonistes

Samedi 29 juin à partir de 11h30 Place central du foyer en présence de M. le Maire et des membres du conseil d’administration Repas Champêtre Servi par toute l’équipe du foyer et animé par:

manivel’swing

6. La gazette du foyer


ENTREE Assortiment de charcuteries et ses melons frais PLATS Rôtis de viandes Terrine de poisson Salades de pommes de terre et de légumes du jardin PLATEAU DE FROMAGES DESSERT Glace et ses petits gâteaux secs éventails Vin Rouge Vin Rosé Pétillant Café Bon appétit à tous!...

La gazette du foyer. 7


Renseignements S V P Lorsque j’étais très jeune, mon père a eu l’un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vielle boite en bois, bien polie, fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son coté. J’étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j’étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui

arriver devant l’escalier … Le téléphone !!!! Rapidement, j’ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l’ai trainé jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j’ai décroché le combiné et l’ai placé contre mon oreille. « Renseignement S V P » dis-je dans le microphone, juste au- dessus de

devait manger des fruits et des noix. Un peu plus tard, mon petit canari est mort, j’ai donc appelé « Renseignements S V P » et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m’a écouté attentivement et m’a dit les choses usuelles qu’un adulte dit pour consoler un enfant, mais j’étais inconsolable. Je lui ai demandé : « Pourquoi les oiseaux

parler. Par la suite, j’ai découvert qu’en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique son nom était « Renseignements S V P » et il n’y avait rien que cette personne ne savait pas. « Renseignements S V P » pouvait fournir le numéro de n’importe qui en plus de l’heure exacte. Ma première expérience personnelle avec ce « génie dans une bouteille » s’est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m’amusais au sous-sol et je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie … j’étais seul et personne ne pouvait m’entendre et me réconforter. Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement 8. La gazette du foyer

ma tête. Un clic ou deux et j’entends une petite voix claire me dire : « Renseignements » je dis alors : « je me suis fait mal au doigt », « Est-ce que tu saignes ? » m’a demandé la voix. Je lui réponds : « Non, je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal ». Elle me demande alors : « Peux –tu ouvrir la boite à glace ? » je lui réponds que oui je pouvais. « Alors, prends un petit morceau de glace et pose le sur ton doigt » me dit-elle. Après cette expérience, j’ai appelé « Renseignements S V P » pour n’importe quoi. Je lui ai demandé de l’aide pour ma géographie et m’a dit où se trouvait Montréal. Elle m’a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m’a dit que le petit écureuil, que j’avais trouvé dans le parc la journée précédente,

chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d’une cage ? ». Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d’une voix si calme : « Rappelle-toi toujours qu’il existe d’autres mondes où on peut chanter ». D’une certaine façon je me sentais mieux. Une autre fois que j’utilisais le téléphone « Renseignement S V P » « Renseignement » répondais la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors : « Comment épelez-vous le mot réparation ? ». Tout ça se passait dans la ville de Québec. Quand j’ai eu 9 ans nous sommes déménagés vers la côte nord, à l’autre bout de la province. Je m’ennuyais terriblement de mon amie. « Ren-


seignement S V P » appartenait à cette vielle boite en bois de notre maison familiale, et curieusement, je n’ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l’entrée. Même à l’adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance

voix claire que je connaissais si bien : « Renseignements ». Je n’avais rien prévu de tout ça, mais je m’entendis lui dire : « Pouvez-vous m’aider à épeler le mot «réparation » ? ». Il y eu un long moment de silence. Ensuite, j’entendis une voix si douce me répondre : « Je suppose que ton doigt doit

férente me répondit « Renseignements » j’ai donc demandé à parler à Sally. « Êtes- vous un ami ? » me demanda la voix inconnue. Je lui répondis : « Oui un vieil ami ». J’entendis la voix me dire : « Je suis désolée d’avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu’à temps

ne m’ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficulté, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j’avais à cette époque. J’appréciais maintenant la patience, la compréhension et la gentillesse qu’elle avait pour consacrer son temps à un petit garçon. Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au collège, à Montréal, mon avion devait faire escale à Québec. J’avais près d’une demiheure entre le transfert d’avion. J’ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma sœur, qui vit toujours à Québec. Ensuite sans penser vraiment à ce que je faisais, j’ai composé le « O » et j’ai demandé : « Renseignement S V P ». Miraculeusement, j’entendis alors cette même petite

être guéri maintenant » je me suis mis à rire et lui dit : « C’est donc toujours vous ? ». Je lui dis : « Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toute ces années ». « Je me demande, dit-elle, si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n’ai jamais eu d’enfants et j’étais toujours impatiente de recevoir tes appels ». Je lui ai dit comment si souvent, j’ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pouvais la rappeler, lorsque je reviendrai visiter ma sœur. « Je t’en prie, tu n’auras qu’à demander Sally » me répondit-elle. Trois mois plus tard, alors que j’étais de nouveau à Québec, une voix dif-

partiel ces dernières années parce qu’elle était très malade, elle est morte il y a 5 semaines déjà ». Avant même que j’ai eu le temps de raccrocher, elle me dit : « Attendez une minute, m’avez-vous dit que votre nom était Paul ? » je répondis « oui ». « Eh bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle a écrit, au cas où vous appelleriez, laissez- moi vous le lire » Ce message disait : « Diteslui que je crois toujours qu’il y a d’autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je vous dire ». Je lui dis merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire …

Auteur inconnu Québécois d’où le langage. La gazette du foyer. 9


Nous avons tous chanté A la Claire fontaine et Goutte goutte gouttelette de pluie ou il pleut bergère. Ou mieux il pleut sur la route et un petit coin de paradis sous un coin de parapluie. Si l’eau est symbole de vie, d’abondance, de purifi-

cation de renouvellement, elle peut aussi être cause et symbole de désastre : pluies torrentielles, inondations, rivières et océans dévastateurs. Pour ma part j’ai choisi de voir l’eau encore autrement et vous offre

ces quelques rimes réjouissantes et poétiques « Vive l’eau vive » qui a été en 1999 publié pour un concours à la « Bibliothèque internationale de poésies ».

Vive l’eau vive J’ai une passion : la peinture Fleur portrait, nature morte ? Non : seule la vivante nature Celle dont l’atmosphère transporte. Posons- nous près d’une rivière Avons-nous su voir ses reflets ? Un vrai mirage de lumière Bien douce apparence de paix ! Délaissons plaines et forêts Montons : un torrent nous appelle Déplions notre chevalet Que choisir : gouache ou pastel !... Rien de cela, car plus avant Bourdonne une cascade blanche Toute l’écume, remous d’argent Brossons à l’huile cette avalanche. Prenons des blancs resplendissants Et jouons avec nos couteaux Pour rendre cette eau mouvement Lourde de fortissimo Que tu sois limpide ou profonde Ou bien même inondant les rives Très chère eau, qu’adviendrait le monde Et sans toi, pourrai-il survivre ? Yvonne Soulet 10. La gazette du foyer


La vie au foyer

Une journée «particulière» Le vendredi 24 mai fut une journée «particulière ». Nous avons fêté comme tous les mois, les résidents (es) dont c’était l’anniversaire. Un superbe gâteau et une flute emplie de champagne ont clôturé le repas. Après les bisous, nous avons

fure. Un ruban symbolique avait été posé en travers de la porte, Monsieur le Maire avec complaisance et armé d’un ciseau a coupé le ruban ce qui a officialisé l’ouverture du salon et cela sous les applaudissements des personnes présentes. Tout a

casion, Monsieur BONHOURE coiffeur à Tarascon (Bouches du Rhône), gagne la coquette somme de 5 millions de francs. Nous ne savons pas si YANN joue au loto mais s’il le fait nous lui souhaitons la même chance qu’a eu Monsieur BONHOURE

entonné le « Joyeux anniversaire » dont c’est la rigueur en cette circonstance. Journée « particulière », puisque en présence de Monsieur Christophe LUBAC maire de Ramonville et son adjointe Madame MariePierre DOSTE, Madame Carine JANDAU directrice du foyer Francis BAROUSSE, YANN le coiffeur et de nombreux résidents (es) nous avons découvert le nouveau salon de coif-

été refait, les peintures, l’éclairage, des posters ornent les murs et enfin de vrais meubles de salon. Nous avons maintenant un endroit très convenable qui peut rivaliser (en plus petit bien sûr) avec des salons dont je tairais le nom. Un résident, dans un speech dont il a le secret, nous a rappelé que le 7 novembre 1933 a eu lieu au Trocadéro le premier tirage de la loterie nationale, à cette oc-

mais en euros cette fois-ci. Puis nous nous sommes rendus à la cheminée où nous attendaient champagne, blanquette et petits gâteaux. Encore une petite manifestation sympa qui se termine dans la bonne humeur. Un grand merci à tous et à toutes pour cette journée « particulière » DD

La gazette du foyer. 11


PASSE-TEMPS Les mots de l’image. Trouvez au moins 20 mots commençant par les lettres CO et dont l’illustration ou l’idée figure dans le dessin ci dessous.

Lettre Bonus. Utilisez les lettres du mot de départ et ajoutez-y la lettre bonus pour former, en mélangeant ces lettres, un nouveau mot correspondant à l’indice. La lettre bonus est: C Mot de départ REG ABUS BARON MOUDRE OISELES BALISIER 12. La gazette du foyer

Nouveau mot

Indice Méditerranéen Chou Tollé Protocole Pas scalènes Emporté


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.