Juin 2014 n° 33
laGazetteduFoyer La revue du Foyer Résidence Francis Barousse - CCAS Ramonville St-Agne
Un peu d’histoire Voyage Seniors 2014 CASTRES et le SIDOBRE
Castres et le Sidobre
Sommaire Castres et le Sidobre Pages 2, 3 et 4. On veut me marier Page 5. Des milliers de français menacés d’expulsion Page 6. Un peu d’histoire Page 7. La fête d»été 2014 Page 8. Vie au Foyer Page 9. Les Fontenelles Page 10. Voyage Seniors en Vacances Page 11. Le calendrier du foyer Page 12.
L’équipe de rédaction Renée BEAUDON Yvonne SOULET Denise DUCOS Georgina CHASTEL Pierre FERAUT Suzanne DUPRAT Andrée VAISSIE
Foyer Résidence Francis Barousse 83 ter Avenue Tolosane 31520 Ramonville St-Agne 2. La gazette du foyer
Ce fut par une journée chaude et ensoleillée que l’association « L.S.R. »* dont je fais partie nous donna rendez-vous au terminus du métro. A huit heures du matin, nous montâmes dans l’autocar qui nous amena à Castres et le Sidobre. Dans le car, notre camarade JeanPierre jouait quelques airs avec son harmonica, instrument que j’adore et que Jean Pierre joue merveilleusement bien; nous faisant passer ainsi un voyage agréable dans une ambiance chaleureuse. Arrivés à Castres, nous récupérâmes Clara, notre guide qui restera avec nous toute la journée. Pour notre première visite, nous nous arrêtâmes aux jardins de l’ancien évêché pour admirer ses jardins dits « à la française ». Ces jardins furent dessinés par André Le Nôtre et je dis bien dessinés, car ce jardinier paysagiste du roi Louis XIV mour-
ra en 1700, sans jamais avoir mis les pieds dans la ville de Castres. Clara nous fiit monter au 1er étage de l’évêché pour avoir une vue d’ensemble des jardins. Ils représentent de manière très stylisée la fleur de lys, surmontée d’un chapeau d’évêque, réunis par une croix occitane. Ils ressemblent beaucoup aux jardins de Versailles, en plus petits bien sûr, et sont classés depuis 2004 « jardins remarquables ». Notre visite continue à pied. Nous laissons derrière nous l’ancien évêché et ses parterres de tulipes roses et de fleurs multicolores, pour nous diriger vers le centre-ville de Castres et sa cathédrale St-Benoit, construite à l’emplacement d’une ancienne abbaye Bénédictine. Notre guide Clara nous raconta un peu de son histoire. Ce fut au IXème siecle que des seigneurs castrais remettent les clés de l’abbaye Bénédictine à Simon de Monfort, comte de Toulouse de 1213 à 1218.Une abbaye qu’il s’empressa de démolir.
Ce n’est qu’entre 1669 et 1673 que Monseigneur Michel de Tubœuf, évêque de Castres, fait construire le palais épiscopal entre l’Agoût et la tour romane Saint-Benoît, seul vestige de l’abbaye du XIIe siècle. De style baroque, les colonnes sont en marbre rouge du Sidobre et le chœur de la cathédrale eut restauré en 2004. Aujourd’hui il abrite le musée Goya et l’Hôtel de ville. Nous passons devant l’hôtel de Nérac, qui, par son architecture ressemble à l’hôtel d’Assézat de Toulouse. A Castres aussi on fête le carnaval, mais en costumes, coiffures et masques comme à Venise. Nous arrivons sur la place centrale nommée « Place Jean Jaurès », car il ne faut pas oublier que cet homme politique est né dans cette ville en 1859. Devenue piétonne depuis 4 ans, cette place abrite plusieurs jours par semaine un marché pour le plus grand bonheur des habitants.
Après cette promenade très instructive direction le restaurant, et quel restaurant : De notoriété publique ! Il propose depuis des années une spécialité à se mettre à genoux: La poule au pot. Le patron, ainsi que les serveurs, nous reçoivent en nous parlant le patois, ce qui a fait le régal de certains camarades. Bouillon de poule, salade, la poule et son farci avec ses légumes, un dessert et un café et nous voilà prêts pour reprendre la route direction le Sidobre. Le Sidobre est un plateau granitique d’environ 100 km2 couvert de forêts. Il comporte une vingtaine de carrières de granit exploitées par environ soixante -dix entreprises familiales. Apres avoir traversé un très joli sous-bois, nous arrivons dans un endroit «stupéfiant» et le mot n’est pas trop fort. Nous longeons un «chaos», qui est une sorte de rivière pleine d’immenses rochers, puis le «lac du merle», lac artificiel où la baignade est interdite. Nous descendons du car et notre promenade entre les rochers commençe. Tout d’abord le Peyro-Clabado ou la pierre clouée.
Un rocher d’environ 800 tonnes, qui se tient en équilibre sur un deuxième, beaucoup plus petit, se touchant sur une petite surface d’à peu près 1 m2, comme si quelqu’un les avait cloués. Une légende dit que si l’on veut se marier dans l’année, il faut jeter une pierre ou une pièce sur le haut du rocher et qu’elle y reste. La mienne étant tombée, ce n’est pas cette année qu’on me passera la bague au doigt! Un peu plus loin, nous nous arrêtons au « roc de l’oie », un rocher ayant véritablement la forme d’une oie. Une deuxième légende, se rapportant aux étranges animaux géants qui erraient dans le Sidobre, dit : Jadis vivait dans le Sidobre un enchanteur. Chaque nuit, l’oie allait couver son œuf, mais avant le lever du soleil, elle devait regagner la demeure de l’enchanteur. Un jour, elle dormit trop longtemps et ne put regagner le repaire du magicien. Celui-ci, pour la punir, la changea en pierre ainsi que son œuf. On dit que les nuits de vent d’autan et de pleine lune, on entend frémir l’oiseau pétrifié. La gazette du foyer. 3
a. chaos de la Resse, b. peyro clabado, c. roc de l’oie, d. aire pique-nique du lac du Merle, e. & g. saut de la truite, f. les pierres décalées. Nous laissons l’oie à sa couvaison et nous allons voir les «trois fromages». On dirait vraiment trois camemberts l’un sur l’autre. Pour finir, et même si celui-ci se trouve dans une propriété privée, nous arrivons au «rocher tremblant de sept faux». Donnant une petite pièce à la propriétaire, elle glisse une petite branche d’arbre entre les deux rochers et celui du dessus, qui doit peser environ 900 tonnes, se met très nettement à vaciller, d’où le nom du rocher tremblant. 4. La gazette du foyer
Pour finir cette promenade, nous visitâmes le musée du patrimoine géologique. Nous avons pu admirer des pièces exceptionnelles telles que des fossiles de 500 millions d’années, des agates du Tarn, très recherchées, ainsi que des minéraux vieux de plusieurs millions d’années. Cette dernière visite fût très intéressante, mais nous devions reprendre la route direction Toulouse. Nous laissons Clara à Castres en la remerciant chaleureuse-
ment pour cette journée instructive et pleine de bonne humeur. Le voyage de retour fût encore accompagné par la musique de Jean-Pierre et son harmonique, qui s’en plaindrait? Surtout pas moi! A l’arrivée sur Toulouse, nous nous souhaitons un bon retour chacun chez soi, en espérant se retrouver vite pour une nouvelle aventure. Denise Ducos
On veut me marier Mes parents ont du mal à me trouver un seul époux capable de me plaire. On m’a d’abord présenté un médecin. Ce candidat sentait la pharmacie, me parlait grec et m’embrassait en latin, me trouvait toute espèce de maladie, moi douée d’une santé de
Hier matin j’expédiais mon 5ème,un vieux banquier qui recherchait ma dot, je lui clos la bouche au premier mot, plus tard Monsieur, c’est toute ma réponse. Dame, puisqué on veut me donner un époux, je peux bien le choisir à ma guise.
fer et me passant facilement d’emplâtre, je lui priais de se retirer et de se donner de l’air.
Qu’il en vienne un ce soir selon mes goûts, je suis volontiers prête à le suivre à l’église.
On m’a présenté ensuite un avocat, ce monsieur tout pommadé m’avait l’air d’un fat, et quoi qu’il fit pour défendre sa cause, je l’envoyais de suite à ses dossiers.
Vous me direz comment le fautil mademoiselle et nous viendrons chez vous sur un long plat entouré de persil et vous emporterez ce fiancé modèle.
Ensuite un juge vient, je le reçu de même. Bref, deux jeunes officiers furent également renvoyés.
Dame oui, mais je crois que tous vos efforts resteront inutiles. Je mets d’abord à part les magistrats, car ces gens ne vivent que de crimes. Je ne veux ni médecin, ni pharmacien.
Je ne veux point d’un avocat car lorsqu’il n’aurait pas de forçat, il ferait de moi sa victime. Je ne veux point d’un peintre car ces barbouilleurs sont du reste trop laids, ils voient trop de jeunes filles en jupon court devant leurs chevalets. Ni d’un militaire car il peut périr dans
les combats. Je ne veux point d’un commis voyageur car ce monsieur ferait la cour un peu partout pendant que je serais seule à la maison. Et puis vous savez, je crois que j’en ai assez dit pour aujourd’hui. Je m’arrêterai ici, en vous disant que mon rôle de demoiselle me plaît beaucoup mieux. Texte donné par Renée Beaudon La gazette du foyer. 5
Des milliers de français menacés d’expulsion. L’autre jour une information des médias a retenu mon attention; la fin de la trêve hivernale qui interdit les expulsions pendant l’hiver a pris fin. Ainsi, chaque année, cinquante mille familles sont forcées de quitter leur logement, selon la fondation Abbé Pierre, qui précise également que 30 % des personnes à la rue le sont à la suite d’une expulsion. L’année dernière, toujours selon la fondation Abbé Pierre, 115 000 familles étaient sous la menace d’une expulsion pour impayés locatifs, soit une augmentation de 37 % en dix ans. Cette situation à notre époque ne peut que choquer par son caractère injuste et dramatique. Injuste, elle l’est, par les causes de cette situation car la plupart de ces individus ne se sont pas acquittés de leur loyer, non par mauvais volonté, mais par leur situation sociale qui, pour beaucoup, s’est dégradée ces dernières années avec la crise qui a contribué à les marginaliser. Il s’agit le plus souvent de chômeurs en fin de droit, de tra-
vailleurs pauvres qui ont un emploi précaire, de familles monoparentales, phénomène de plus en plus fréquent, de petits retraités. Tous ces gens n’arrivent plus à joindre les deux bouts et à faire face à des charges de plus en plus lourdes; en premier: leur loyer. « Le problème réside dans des loyers trop élevés dus à la spéculation des propriétaires » souligne Jean Baptiste Eyraud, président de l’association du Droit au logement. Les conséquences de ce phénomène sont aussi, dramatiques. Une illustration dans un journal l’évoquait bien: On y voyait, au cours d’une manifestation contre les expulsions locatives, un manifestant tenant une pancarte où était écrit « Si tu m’expulses, moi je vais où ? ». Cette interrogation est révélatrice du désarroi de ces expulsés. Ils peuvent trouver une solution provisoire : relogement chez des proches, place en hébergement d’urgence. Mais ces solutions de remplacement sont précaires et mènent sou-
vent à la rue, c’est-à-dire à la marginalisation. Car autre répercussion néfaste, sans logement; pas d’emploi possible. D’où la menace d’être pris dans une spirale infernale qui ne peut conduire qu’à l’exclusion sociale et à la déchéance. Comment faire en sorte d’enrayer ce phénomène particulièrement grave ? D’abord par l’amélioration de la situation économique qui, en diminuant le nombre de chômeurs, permettra à un plus grand nombre de travailleurs de ne pas tomber dans cette galère et facilitera la réinsertion de ceux qui sont déjà des exclus et qui pourront retrouver un logement décent. Ensuite, par une politique favorisant la construction d’un plus grand nombre de logements sociaux. Par l’accroissement aussi des aides financières au logement des plus démunis, par l’encadrement des loyers afin d’éviter les abus. A cet égard, mettre fin aux pratiques des marchands de sommeil qui louent à des prix forts des logements insalubres. Par la réquisition, enfin, des milliers de logements vides. Tout faire, en somme, pour mettre fin, en ce vingt et unième siècle, au scandale des sans -logis ou logés dans des conditions indignes. Pierre Féraut.
6. La gazette du foyer
Un peu d’histoire... Ce fut lors de la rencontre, organisé au foyer le mois dernier, avec les enfants de l’école Pierre Mendes France, que nous, les rédacteurs de la gazette, avons eu l’idée d’écrire sur l’histoire de notre commune. Ramonville Saint-Agne, de la province du Languedoc, faisait partie sous l’ancien régime de l’antique viguerie de Toulouse et du domaine foncier des archevêques de la même ville. A l’origine, le village était composé non pas de deux, mais de quatre hameaux : Ramonville, Saint-Agne, Lapeyrade et Soule. Saint-Agne, aux portes de la grande cité, marque les limites du gardiage de Toulouse, c’est-à-dire de l’autorité des Capitouls. Plus au sud, Lapeyrade est le bourg le plus important par sa population, mais aussi parce que il y a un lieu de passage pour rejoindre le bac qui permet de franchir le canal Royal, actuellement Canal des deux mers. Situé lui aussi sur le Grand Cami François, Chemin Francès en occitan, le hameau de Ramonville s’implante sur l’actuel carrefour dit «des deux Ormeaux».
Pendant les mois à venir, votre gazette va vous livrer l’histoire de Ramonville St-Agne. Nous vous souhaitons une bonne lecture. Les rédacteurs de La gazette du foyer.
1ère Partie
d’un fort détruit, dont il ne reste que le chemin d’accès dit « del Crouzal ». Ramonville compte sur son territoire en plus du château de Bellevue, plusieurs châteaux. Notamment le château de Ramonville, acheté en 1776 par
Monsieur Loménie de Brienne avec l’autorisation de Louis XVI pour en faire une résidence d’été pour les archevêques de Toulouse. Ces derniers le conservèrent jusqu’à l’époque de la vente des biens nationaux. Château de Ramonville. Aujourd’hui, Château de Latécoère.
Enfin, au creux des coteaux, le bourg de Soule, le plus anciennement peuplé, regroupe les demeures des plus modestes, au sud des moulins et des châteaux, tandis qu’au nord se dressent en surplomb l’ancienne église de GleyzeVieille et les restes La gazette du foyer. 7
Fête d’été 2014
Pendant cette journée, vous pouvez visionner le film des scketchs écrits, joués et réalisés par les résidents du Foyer.
Rendez-vous à la cheminée pour un grand moment de rigolade...
Menu Aperitif offert par la municipalité Sangria Blanche et coktail sans alcool
Entrée
Tapas diverses et variées Plat
Fideua aux fruits de mer Fromage Dessert
Glace Vins rosé Café 8. La gazette du foyer
Samedi 14 juin 2014 é - la t é ’ d e t ê f té - la
d‘é
fête
Foyer Résidence Francis Barousse
Rendez-vous à partir de midi sur la place centrale du Foyer Jeux et bonne hum eur assurés!!!
Le repas sera animé par le duo « Pink Mélodie »
Vie au foyer
Tournage de: les Scènes du foyer - les Scènes du foyer - les Scènes
Grand branle-bas au Foyer Résidence Francis Barousse le mardi 13 mai dernier, car nous avons tourné les sketchs que des résidentes du foyer ont rédigés lors des ateliers écriture, avec Valérie Reich et son association ‘‘De fil(le) en récit’’.
nuitée à l’hôtel, une virée aux courses de chevaux, la préparation d’un grand voyage et l’intimité d’un couple sont aussi de la partie mais évidemment, toute ressemblance avec la réalité, est pure coïncidence. Nous avons appris, et surtout utilisé, des mots que l’on entend seulement au cinéma: Clap, moteur, action, silence on tourne, plan serré, plan large…
Pendant ces séances d’écriture, depuis le mois de janvier dernier et avec beaucoup d’imagination, nous sommes arrivées à écrire des sketchs drôles sur des scènes de la vie quotidienne. Une partie de Scrabble s’est transformée en «Confidences Féminines». Les retrouvailles entre deux vieux copains et deux vieilles amies vous feront beaucoup rire. Une
Chaque scène eut son décor, tous sortis de l’imagination de Valérie et Fernando qui amenèrent les accessoires et l’éclairage nécessaires. Valérie et Fernando, nos ani-
du foyer - les Scènes
mateurs, étaient intraitables sur la qualité des prises de vue et du son. Habillés et maquillés pour l’occasion, nous avons joué à plusieurs reprises des scènes. Tout cela s’est fait dans la bonne humeur et même très souvent dans le fou rire. Merci à Renée, Georgina, Anne-Marie, Colette et Philippe, Rose et Michel, tous acteurs et actrices amateurs. Un grand merci à Valérie et Fernando pour leur patience, pour leur gentillesse et leur professionnalisme. Ces deux journées de tournages furent une belle aventure. Denise Ducos
Les anniversaires du mois
Bernadette LEGROS, née le 11/06 fêtera ses 82 ans à: Lin BOBONY, née le 12/06 fêtera ses 83 ans
Louise VALADE, née le 09/06 fêtera ses 93 ans René HOURS, né le 23/06 fêtera ses 86 ans
La gazette du foyer. 9
D A P H ’E L E D A T S E I F LA
Samedi 24 mai dernier, eut lieu la Fiesta de l’EHPAD Les Fontenelles. Un repas très réussi sur le thème de l’Espagne. Les résidents ont préparé toute la décoration, fleurs en papier, fleurs au tricot, éventails pour les menus, gros pois sur la table... Beaucoup de couleur avec le soleil en prime.
10. La gazette du foyer
Au menu: tapas, sangria blanche, fideua, cuisinée à l’extérieur par notre chef, fromages et glaces.
Le personnel était déguisé aussi, tout le monde à dansé et chanté sur la programmation de Fred.
Nous avons beaucoup apprécié la prestation de Vanessa Paez et surtout celle de ses petites filles adorables dans leur tenu de sévillanes.
Merci à toutes les personnes qui ont participé, résidents, familles, personnel et bénévoles. Les résidents de l’EHPAD.
Séjour Seniors en Vacances 2014 Le Centre Communal d’Action Sociale, CCAS de Ramonville s’est associé pour la cinquième fois à l’ANCV (Agence Nationale pour les chèques-vacances) et leur programme «Seniors en Vacances». Ce programme, permet aux personnes âgées de plus de 60 ans, (55 ans pour une personne en situation de handicap), de partir en vacances à des tarifs préférentiels lors de séjours «tout compris». L’offre « tout compris » inclut : L’hébergement, la pension complète, les excursions, les activités en journée et les soirées animées. Qui peut bénéficier de ce programme ? Toute personne âgée de 60 ans ou plus (le conjoint de moins de 60 ans est éligible sous certaines conditions), retraitée ou sans activité professionnelle, résidant en France. Pour cette cinquième édition, nous vous proposons du 15 au 19 septembre 2014 un séjour en Charente Maritime, à Saint Savinien. Implanté au cœur des Vals de Saintonge, le village de vacances « Les Chênes verts » nous accueillera dans un parc boisé propice à la découverte d’une région entre terre et mer. Le prix de ce séjour est de 320€ TTC hors transport. L’ANCV apporte une aide financière de 150 € aux personnes âgées retraitées non imposables, au vu du montant indiqué sur la ligne «Impôt sur le revenu net avant corrections».
L’aide financière est accordée par l’ANCV si le montant de cette ligne est inférieur ou égal à 61€. Le prix du transport varie encore (plus on est d’inscrits moins cher ce transport nous
coûtera), mais en aucun cas il ne dépassera les 75€ par personne. Le prix final vous sera communiqué avant le départ, lors de la dernière réunion d’information.
Si vous êtes intéressés par ce séjour, rendez-vous d’ores et déjà à l’accueil du foyer pour retirer votre dossier d’inscription.
Faites vite! es Les places sont limité La gazette du foyer. 11
LES ANIMATIONS DU MOIS AU FOYER
12. La gazette du foyer