Point final Ce travail constitue enfin la continuation de réflexions antérieures, notamment celle menée durant la rédaction de mon mémoire Architecture, enseignement et engagement. C’est en effet l’illustration d’une manière de s’engager en tant qu’architecte, Il est peut être encore plus l’aboutissement d’une réflexion menée en troisième année de licence à travers mon rapport d’études Quel logement pour ceux qui n’en ont pas ? Je m’étais alors intéressée aux différentes solutions proposées par des architectes pour abrite, héberger et loger les personnes qui vivent dans la rue et avais abouti sur un constat : un grand nombre de projets type capsule de survie sont pensés, et beaucoup d’entre eux aboutissent même à un prototype mais ceux-ci ne semblent d’une part pas satisfaisant pour ce qui est de permettre à leurs destinataires de se (ré)insérer dans la ville dont ils sont exclus, et - ou donc - d’autre part très rarement réalisés à grande échelle, car peu intéressants pour d’éventuels investisseurs. Ce PFE illustre une autre voie pour répondre à la question du mal logement et de l’intégration dans nos villes.