GTG 2324 - Trilogie Tudors

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Trilogie Tudors

Trois opéras de Gaetano Donizetti

Anna Bolena

Maria Stuarda

Roberto Devereux

Passion et partage

La Fondation du Groupe Pictet est fière de soutenir le volet pédagogique du « GTJ - Grand Théâtre Jeunesse ».

En participant à ce programme de formation, nous nous engageons en faveur de la génération à venir.

Nous sommes particulièrement heureux de pouvoir offrir aux talents de demain l’opportunité de découvrir les joies de l’opéra et du ballet, et peut-être même de susciter des vocations.

Les associés du groupe Pictet vous souhaitent une très belle saison 2023-2024.

Le Grand Théâtre de Genève remercie ses mécènes et partenaires de la saison 2023-2024 pour leur engagement généreux et passionné.

SUBVENTIONNÉ PAR

AVEC LE GÉNÉREUX SOUTIEN DE POUR LE PROGRAMME PÉDAGOGIQUE

RÉMY ET VERENA BEST

CAROLINE ET ÉRIC FREYMOND

BRIGITTE LESCURE

FAMILLE SCHOENLAUB

GRANDS MÉCÈNES

FONDATION VRM

MÉCÈNES

BLOOMBERG CARGILL INTERNATIONAL SA

FONDATION FAMSA DENISE ELFEN-LANIADO ANGELA ET LUIS FREITAS DE OLIVEIRA

FONDATION LÉONARD GIANADDA MÉCÉNAT

HYPOSWISS PRIVATE BANK GENÈVE SA

FRANCE MAJOIE LE LOUS MKS PAMP SA

DANCE REFLECTIONS BY VAN CLEEF & ARPELS

EMIL FREY

FONDATION JAN MICHALSKI MONA LUNDIN-HAMILTON FONDATION INSPIR '

PARTENAIRES MÉDIA

RTS TV & ESPACE 2 LE TEMPS

FONDATION DU DOMAINE DE VILLETTE ADAM ET CHLOÉ SAID

LÉMAN BLEU LE PROGRAMME.CH

PARTENAIRES D'ÉCHANGE

DEUTZ

FLEURIOT FLEURS

CINESIS MANOTEL

PARTENAIRE MÉDICAL OFFICIEL

CENTRE DE MÉDECINE DU SPORT ET DE L'EXERCICE HIRSLANDEN CLINIQUE LA COLLINE

MANDARIN ORIENTAL

1 Elsa Dreisig (Anna) dans Anna Bolena, mise en scène Mariame Clément, Grand Théâtre de Genève, saison 21-22 © Monika Rittershaus

2 Stéphanie d'Oustrac (Maria) dans Maria Stuarda, mise en scène Mariame Clément, Grand Théâtre de Genève, saison 22-23 © Monika Rittershaus

3 Scénographie de Julia Hansen pour Roberto Devereux, mise en scène Mariame Clément, Grand Théâtre de Genève, saison 23-24 © Magali Dougados

Élisabeth Ire enfant, femme mûre et femme âgée, vidéos de Clara Pons pour Roberto Devereux © Clara Pons

Trilogie Tudors

Deux cycles de trois opéras de Gaetano Donizetti

Anna Bolena

Maria Stuarda

Roberto Devereux

18 au 30 juin 2024

Chanté en italien avec surtitres en français et en anglais

Direction musicale

Stefano Montanari

Mise en scène

Mariame Clément

Scénographie / Costumes

Julia Hansen

Lumières

Ulrik Gad

Avec le soutien de

Dramaturgie et vidéo

Clara Pons

Direction des chœurs

Mark Biggins

Chœur du Grand Théâtre de Genève

Orchestre de la Suisse Romande

Transformation

12 JUILLET – 31 AOÛT 2023

Cycle «Changement II» 2023 – 2025

HÉLÈNE GRIMAUD, Patricia KOPATCHINSKAJA (Ambassadrice «Music for the Planet»), Jonas KAUFMANN, Julia FISCHER, Sir András SCHIFF, Bertrand CHAMAYOU, Vilde FRANG, Sir Antonio PAPPANO & LONDON SYMPHONY ORCHESTRA, Jaap VAN ZWEDEN & GSTAAD FESTIVAL ORCHESTRA entre autres

Location:

Anna Bolena

Tragédie lyrique de Gaetano Donizetti

Livret de Felice Romani

Créée à Milan en 1830

Reprise de la production de 2021

18 juin 2024 — 19h30

26 juin 2024 — 19h

Chanté en italien avec surtitres en français et en anglais

Le spectacle durera environ trois heures avec un entracte de 30 minutes

Enrico VIII, roi d'Angleterre

Alex Esposito

Anna Bolena, sa femme

Elsa Dreisig

Giovanna Seymour, demoiselle d'honneur

Stéphanie d'Oustrac

Ricardo Percy

Edgardo Rocha

Smeton, page d'Anne

Olena Leser

Lord Rochefort, frère d'Anne

William Meinert

Sir Hervey, officier du roi

Julien Henric

Prise de rôle

Membre du Jeune Ensemble

Maria Stuarda

Tragédie lyrique de Gaetano Donizetti

Livret de Giuseppe Bardari d'après la pièce de Friedrich Schiller

Créée en 1835 au Teatro alla Scala de Milan

Reprise de la production de 2022

Coproduction avec l'Opéra Royal du Danemark, Copenhague

20 juin 2024 — 19h30

28 juin 2024 — 19h

Chanté en italien avec surtitres en français et en anglais

Le spectacle durera environ deux heures avec un entracte de 30 minutes

Maria Stuarda, reine d'Écosse

Stéphanie d'Oustrac

Elisabetta, reine d'Angleterre

Elsa Dreisig

Roberto, comte de Leicester

Edgardo Rocha

Giorgio Talbot, comte de Shrewsbury

Nicola Ulivieri

Lord Guglielmo Cecil, grand trésorier

Simone Del Savio

Anna Kennedy, nourrice de Maria

Ena Pongrac

Membre du Jeune Ensemble

Une émission qui remue la culture

Ramdam

Les jeudis à 22h30

En tout temps

Roberto Devereux

Tragédie lyrique de Gaetano Donizetti

Livret de Salvatore Cammarano

Créée le 28 octobre 1837 à Naples

23 juin 2024 — 19h30

30 juin 2024 — 19h

Chanté en italien avec surtitres en français et en anglais

Le spectacle durera environ deux heures dix avec un entracte de 30 minutes

Roberto Devereux, comte d'Essex

Edgardo Rocha

Elisabetta, reine d'Angleterre

Elsa Dreisig

Sara, duchesse de Nottingham

Stéphanie d'Oustrac

Lord Duc de Nottingham

Nicola Alaimo

Lord Cecil

Luca Bernard

Sir Gualtiero Raleigh

William Meinert

Un page

Ena Pongrac

Un membre de la famille Nottingham

Sebastià Peris

Prise de rôle

Membre du Jeune Ensemble

Le Briefing

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Après Anna Bolena en 21-22 et Maria Stuarda 22-23, Roberto Devereux vient conclure cette saison le cycle de la dynastie Tudor de Donizetti. Si ces œuvres n'ont pas été conçues comme une trilogie par le compositeur – les livrets en sont d'ailleurs signés de trois auteurs différents –, les aborder comme telle permet de retrouver, épisode après épisode, un univers et des personnages familiers. L'occasion rêvée de pouvoir apprendre à les connaître, de grandir et de vieillir avec eux — en tout cas pour ceux qui ne se font pas décapiter en cours de route. Car nous, public d'aujourd'hui, avons en commun avec nos homologues des années 1830 une fascination pour ces figures couronnées hautes en couleurs qui continuent de peupler nos sagas littéraires et nos séries télévisées. Pouvoir et séduction, promesses et trahisons, filiations et allégeances : les thèmes présents dans les trois opéras se répondent de l'un à l'autre, permettant de récréer une cohérence narrative au centre de laquelle trône Elisabetta, soit la reine Élisabeth Ire. Dans l'immuable bleu Holbein du palais de Westminster, les saisons se succèdent et l'histoire se répète au rythme des cadences belcantistes et des têtes qui tombent. Celle de la mère dans le printemps d'Anna Bolena ; celle de la cousine et rivale à l'automne de Maria Stuarda et enfin celle, chérie, du favori rebelle dans l'hiver de Roberto Devereux.

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En effet la Trilogie vue par Mariame Clément, c'est avant tout l'histoire d'Elisabetta, fille d'un roi qui a fait décapiter sa mère la reine. Ayant hérité du pouvoir, elle oscille entre volonté d'affirmation de soi et hantise de reproduire les erreurs et les horreurs du passé. Ayant agencé dès le début Anna Bolena, Maria Stuarda et Roberto Devereux comme un tout, Mariame Clément et la scénographe Julia Hansen multiplient les liens, les variations, les échos. Rivalités, amours, jalousies... autour d'Elisabetta petite fille, femme mûre puis vielle femme, les générations de courtisans se succèdent et les fantômes de ceux qui les ont précédés ne sont jamais loin. Tous au long des trois opéras, les morts autant que les vivants, les souvenirs autant que l'action façonnent ce personnage de fiction au destin unique. Pouvoir expérimenter ces trois opéras, comme un Ring de Wagner, l'un à la suite de l'autre pendant une semaine, est une occasion très rare. Pour les solistes, il s'agit très certainement d'un labyrinthe de virtuosité, de mémoire et d'endurance. La soprano Elsa Dreisig interprète successivement la mère Anna et la fille Elisabetta, la mezzo Stéphanie d'Oustrac est par trois fois sa rivale et le ténor Edgardo Rocha incarne tour à tour Percy, Leicester et Roberto Devereux, objets de l'affection des unes et des autres. Le tout sous la baguette de Stefano Montanari, qui mène avec un extraordinaire élan dramatique l'Orchestre de la Suisse Romande tout au long de la traversée de cette Trilogie.

Edgardo Rocha (Roberto) et Elsa Dreisig (Elisabetta) dans Roberto Devereux © Magali Dougados

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After Anna Bolena 21-22 and Maria Stuarda 22-23, Roberto Devereux concludes this season's Tudor dynasty cycle by Donizetti. Although these works were not designed as a trilogy by the composer — indeed, the librettos are by three different authors — approaching them as such allows us to rediscover, episode after episode, familiar characters and offers the perfect opportunity to get to know them, to grow up and grow old with them — at least those who don't lose their heads along the way. For we, the audience of today, share with our predecessors of the 1830s a fascination for these colourful royals who teem in our literary sagas and TV series. Power and seduction, promises and betrayals, dynasties and allegiances: the themes of these three operas resonate against each other and create a narrative at the center of which sits Elisabetta, Queen Elizabeth I. In the unchanging Holbein blue of the Palace of Westminster, one season follows another, and history repeats itself to the rhythm of bel canto cadenzas and falling heads: the mother's in the spring of Anna Bolena; the cousin and rival's in the autumn of Maria Stuarda and finally the beloved head of the unruly favorite in the winter of Roberto Devereux.

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Mariame Clément's Trilogy is first and foremost the story of Elisabetta, daughter of a king who had her mother, the queen, beheaded. As the heir to his throne, she oscillates between her desire for self-assertion and her fear of repeating the mistakes and horrors of the past. Having staged Anna Bolena, Maria Stuarda and Roberto Devereux as a single unit from the outset, Mariame Clément and set designer Julia Hansen expand on connexions, variations and resonances. Rivalries, loves, jealousies surround Elisabetta, as a little girl, a mature and then an aged woman; one generation of courtiers follows another, and the ghosts of those who preceded them are never far away. Throughout the three operas, the unique destiny of this fictitious character is shaped by the dead as much as the living, by her memories as much as her deeds. Experiencing these three operas, like a Wagner Ring cycle, one after the other over the course of a week, is a rare opportunity. For the soloists, it is certainly a tournament of virtuosity, memory and stamina. Soprano Elsa Dreisig successively plays the mother Anna and the daughter Elisabetta, mezzo Stéphanie d'Oustrac is her rival three times over and tenor Edgardo Rocha alternates between Percy, Leicester and Roberto Devereux, the objects of the ladies' affection. All of this is conducted by Stefano Montanari, who leads the Orchestre de la Suisse Romande with extraordinary dramatic impetus throughout this Trilogy.

Anna Bolena

Acte I

À Windsor, les courtisans attendent le Roi Enrico tout en commentant son désamour pour la Reine Anna Bolena. La suivante de celle-ci, Giovanna Seymour, est rongée par la culpabilité : le Roi la courtise. La Reine paraît avec ses dames. D'humeur mélancolique, elle demande à son page Smeton de chanter puis l'interrompt, troublée au souvenir d'un amour de jeunesse. Elle renvoie les courtisans qui attendent vainement : une fois de plus, le Roi ne lui rendra pas visite aujourd'hui. Anna dit toute sa tristesse à Giovanna et la met en garde contre les splendeurs du trône. Restée seule, Giovanna craint d'avoir été découverte, mais finit par se rassurer. Elle déclare au Roi Enrico, arrivé entretemps, vouloir mettre fin à leurs rendezvous : elle ne veut plus de la clandestinité. Il l'assure de son amour, mais Giovanna refuse de lui céder sans être mariée à lui, ce qui est impossible. Enrico se rappelle qu'Anna exigeait aussi le mariage et désirait la couronne. Sous la menace de Giovanna qui veut rompre, il lui promet alors de l'épouser et de se débarrasser d'Anna qu'il soupçonne de l'avoir trompé. Enrico doit cependant rassurer Giovanna qu'il n'usera en aucun cas de cruauté envers son épouse.

Dans le parc du château, où Lord Percy, rappelé d'exil par le Roi, se lamente de son malheur passé, les chasseurs annoncent l'arrivée d'Enrico. Percy s'enflamme à l'idée de revoir enfin Anna, qu'il a aimée jadis. Il se présente devant le Roi qui lui révèle que la Reine a plaidé en sa faveur. Percy est fou de joie, au risque de se trahir. Remarquant son trouble et celui d'Anna,

Lord Rochefort, le frère de cette dernière, s'inquiète. Le chœur s'interroge sur la bonne humeur soudaine du Roi, qui vient d'ordonner discrètement à son chef de la garde Hervey de surveiller de près Anna et Percy.

Dans les appartements de la Reine, Smeton a dérobé un portrait de celle-ci, qu'il aime en secret. Caché, il voit Lord Rochefort venir prier sa sœur de bien vouloir recevoir Percy qui l'aime toujours. Anna cède mais l'implore de ne pas parler d'amour et de quitter à nouveau l'Angleterre. Dégainant son épée, Percy menace de se tuer. C'est alors que Smeton sort de sa cachette. Dans la confusion qui suit, Anna s'évanouit de frayeur.

Enrico surgit, accusant Anna d'infidélité. Celle-ci implore en vain sa pitié. Rochefort et Smeton, qui a essayé de la défendre, comprennent avec consternation qu'ils ont causé sa perte. Percy est lui-même jaloux de Smeton, et Giovanna se bat avec sa mauvaise conscience. Le Roi ordonne qu'Anna et les hommes soient emprisonnés.

Acte II

Les demoiselles d'honneur chantent leur fidélité à la Reine. Cependant, Hervey leur annonce qu'elles devront témoigner devant le Conseil des Pairs. Restée seule, Anna est en prière quand Giovanna vient lui conseiller de confesser sa faute pour tenter de sauver sa vie. Anna maudit sa rivale inconnue au grand désespoir de sa suivante, qui finit par lui avouer que c'est elle. Anna la repousse d'abord, puis lui pardonne. Giovanna est torturée par ce pardon.

Les courtisans rapportent que Smeton est en train de témoigner. Hervey fait appeler Anna et Percy et leur apprend que Smeton a confirmé la culpabilité d'Anna. Enrico et Hervey se félicitent que Smeton soit tombé dans leur piège : ils l'ont fait témoigner en lui faisant croire qu'il sauvait ainsi la Reine, mais en réalité sa déposition la perdra. Anna et Percy sont amenés chacun de leur côté. Anna supplie Enrico de lui épargner la honte d'un procès. Percy la défend en jurant qu'elle repoussait ses avances, mais Enrico rétorque que les aveux de Smeton l'accablent. Anna reconnaît un seul crime : avoir sacrifié l'amour de Percy au vain désir d'être reine. Percy déclare soudain qu'Anna et lui sont époux légitimes.

Enrico, outré, annonce qu'une autre femme sera reine. Anna et Percy sont emmenés par des gardes. Enrico suppose que Percy a menti pour sauver Anna : un mariage plus ancien rendrait invalide son union avec le Roi, et elle ne pourrait donc être jugée pour adultère. Giovanna vient dire adieu au Roi car elle ne veut pas être

la cause de la mort d'Anna. Le risque de perdre Giovanna enflamme encore plus Enrico contre sa femme. Giovanna supplie Enrico au nom de l'amour qu'elle éprouve encore pour lui. Il ignore ses larmes.

Hervey annonce que les Pairs condamnent Anna à mort pour adultère. Les courtisans et Giovanna implorent la clémence du Roi. Rochefort est également condamné à mort. Il avoue à son ami Percy que c'est lui qui a poussé Anna à convoiter le trône. Hervey leur annonce que le Roi les gracie, mais qu'Anna mourra. Percy et Rochefort refusent la clémence. Percy conjure en vain Rochefort de vivre. On les emmène séparément.

Les dames de compagnie d'Anna pleurent son sort. Anna, en proie au désespoir, se rappelle ses noces avec Enrico et imagine les reproches de Percy quand elle a autrefois trahi son amour. L'arrivée de Hervey la ramène à la réalité. Anna comprend que Percy et Rochefort seront aussi exécutés. Smeton avoue l'avoir accusée, croyant la sauver. Smeton, Percy et Rochefort lui souhaitent de mourir en paix. On entend les réjouissances pour le mariage d'Enrico et Giovanna. Anna leur pardonne fièrement avant de partir vers l'échafaud.

Anna Bolena

Act I

At Windsor, the courtiers await King Enrico, commenting on his disenchantment with Queen Anna Bolena. The Queen's lady-in-waiting, Giovanna Seymour, is racked with guilt that the King is courting her. The Queen appears with her ladies. In a melancholy mood, she asks her page Smeton to sing, then interrupts him, troubled by the memory of a youthful love. She sends the courtiers away, but she waits in vain: once again, the King will not be visiting her today. Anna tells Giovanna of her sadness and warns her against the splendors of the throne. Left alone, Giovanna fears she has been discovered, but is eventually reassured. She declares to King Enrico, who has arrived in the meantime, that she wishes to put an end to their trysts: she no longer wishes to love him in secret. He assures her of his love, but Giovanna refuses to give in without being married to him, which is impossible. Enrico remembers that Anna also demanded marriage and wanted the crown. Under threat from Giovanna, who wants to put an end to their relationship, he promises to marry her and get rid of Anna, whom he suspects of having cheated on him. However, Enrico must reassure Giovanna that he will be merciful to his wife.

In the castle park, where Lord Percy, recalled from exile by the King, laments his past misfortunes, the hunters announce Enrico's arrival. Percy is thrilled at the prospect of finally seeing Anna, whom he once loved. He appears before the King, who reveals that the Queen has pleaded in his favor. Percy is overjoyed, at the risk

of betraying himself. Noticing his and Anna's confusion, Lord Rochefort, Anna's brother, becomes worried. The chorus wonders about the King's sudden good mood, as he discreetly orders the captain of his guard Hervey to keep a close eye on Anna and Percy.

In the Queen's apartments, Smeton has stolen a portrait of the Queen, whom he secretly loves. He hides when he sees Lord Rochefort coming to beg his sister to receive Percy, who still loves her. Anna relents but begs him not to speak of love and to leave England again. Drawing his sword, Percy threatens to kill himself. Then Smeton emerges from his hiding place. In the fright of the ensuing confusion, Anna falls into a faint.

Enrico emerges, accusing Anna of infidelity. She begs in vain for mercy. Rochefort and Smeton, who has tried to defend her, realize with dismay that they have caused her loss. Percy himself is jealous of Smeton, and Giovanna struggles with her guilty conscience. The King orders Anna and the men imprisoned.

Act II

The ladies-in-waiting sing of their loyalty to the Queen. However, Hervey announces that they will have to testify before the Council of Peers. Left alone, Anna is at prayer when Giovanna advises her to confess her guilt to save her life. Anna curses her unknown rival, much to the despair of her lady-in-waiting, who finally confesses that it is she. Anna first dismisses her but then forgives her. Giovanna is racked with guilt by this forgiveness.

The courtiers report that Smeton is testifying. Hervey sends for Anna and Percy and tells them that Smeton has confirmed Anna's guilt. Enrico and Hervey congratulate themselves that Smeton has fallen into their trap: they have made him testify in the belief that he is saving the Queen, but in fact his testimony will be her undoing. Anna and Percy are brought in separately. Anna begs Enrico to spare her the shame of a trial. Percy defends her by swearing that she rejected his advances, but Enrico retorts that Smeton's confession confounds him. Anna admits to one single crime: sacrificing Percy's love for the vain desire to be queen. Percy suddenly declares that Anna and he are legitimately married.

Enrico, outraged, announces that another woman will be queen. Anna and Percy are taken away by guards. Enrico assumes that Percy lied to save Anna: an earlier marriage would invalidate her union with the King, so she could not be tried for adultery. Giovanna comes to say farewell to the King because she does not want to be the cause of Anna's death. The risk of losing Giovanna

further inflames Enrico against his wife. Giovanna begs Enrico for the love she still feels for him. He ignores her tears.

Hervey announces that the Peers have condemned Anna to death for adultery. The courtiers and Giovanna implore the King's clemency. Rochefort is also condemned to death. He confesses to his friend Percy that it was he who urged Anna to covet the throne. Hervey tells them that the King will pardon them, but that Anna will die. Percy and Rochefort refuse clemency. Percy vainly begs Rochefort to live. They are taken away separately.

Anna's ladies-in-waiting mourn her fate. Anna, in despair, recalls her nuptials with Enrico and imagines Percy's reproaches when she once betrayed his love. The arrival of Hervey brings her back to reality. Anna realizes that Percy and Rochefort will also be executed. Smeton confesses to having accused her, believing he was saving her. Smeton, Percy and Rochefort wish her to die in peace. Celebrations for Enrico and Giovanna's wedding are heard. Anna proudly forgives them before setting off for the scaffold.

Olena Leser (Smeton)
dans Anna Bolena
© Monika Rittershaus

Maria Stuarda

Acte I

Au Palais de Westminster, les seigneurs et les dames de la cour rentrent d'un tournoi en l'honneur de l'ambassadeur de France, venu demander au nom de son roi la main de la Reine Elisabetta. Si tous se réjouissent de ce prochain mariage, Elisabetta hésite devant une union qui la forcerait à renoncer à sa liberté et surtout à son amour secret, le Comte de Leicester. Des courtisans demandent par ailleurs à la Reine de pardonner à sa cousine et rivale Maria Stuarda, reine d'Écosse, emprisonnée pour avoir comploté contre Elisabetta. Celle-ci est indécise : Talbot, gardien de Maria dans sa prison, plaide pour la grâce, tandis que Lord Cecil, conseiller d'Elisabetta, l'exhorte à la sévérité. Entre le Comte Leicester, en retard. Elisabetta le charge de porter une bague à l'ambassadeur de France en signe d'acceptation du mariage. Blessée par l'indifférence de Leicester qui ne montre aucun signe de jalousie, la Reine suppose qu'elle a une rivale. Talbot prend Leicester à part et lui remet de la part de Maria un médaillon avec son portrait, ainsi qu'une lettre où elle lui demande d'intercéder auprès d'Elisabetta pour qu'elle lui accorde une entrevue. Leicester, ému par la missive de Maria dont il est secrètement amoureux, est surpris par Elisabetta. Soupçonneuse, elle exige de voir la lettre. Leicester la lui remet et plaide si fiévreusement pour Maria qu'il attise la jalousie de la Reine. Il la supplie de rencontrer sa cousine à l'occasion d'une partie de chasse. Elisabetta accepte mais, dans sa jalousie, prévoit déjà de punir sa rivale.

À Fotheringay, Maria se souvient avec nostalgie de sa jeunesse en France. Accompagnée par sa suivante Anna, elle célèbre la nature tout en appréhendant sa rencontre avec la Reine. Les bruits de la chasse royale se rapprochent. Leicester vient annoncer à Maria l'arrivée imminente d'Elisabetta et lui conseille de se comporter avec humilité. Il assure que la Reine a été touchée par le sort de sa cousine et que lui-même œuvrera pour obtenir sa liberté. Il la quitte alors pour retrouver Elisabetta à laquelle il conseille l'indulgence. Les deux femmes se retrouvent face à face et se dévisagent sous les commentaires de la cour assemblée. Maria s'agenouille devant la Reine, mais Elisabetta l'humilie devant l'assistance, l'accusant de l'assassinat de son mari ainsi que d'actes de trahison et de débauche. Tandis que Leicester défend Maria avec véhémence, trahissant son amour pour elle, celle-ci contre-attaque : elle traite Elisabetta de bâtarde et l'accuse de souiller le trône d'Angleterre. Elisabetta fait arrêter Maria, Lord Cecil jubile, Anna et Talbot se rongent les sangs, Leicester se désespère et les courtisans conspuent Maria.

Acte II

Au palais de Westminster, Cecil pousse Elisabetta à signer l'arrêt de mort de Maria Stuarda, quand Leicester fait irruption. Malgré – ou à cause de – ses supplications, Elisabetta laisse à présent libre cours à sa jalousie et, encouragée par Lord Cecil, confirme qu'elle condamne Maria. Les accusations de cruauté de Leicester n'y font rien : Elisabetta persiste, et lui ordonne même d'assister à l'exécution de Maria. À Fotheringay, Maria réfléchit sur son destin et s'inquiète pour Leicester. Cecil vient annoncer à Maria qu'il détient son arrêt de mort. Talbot informe alors Maria que Leicester a reçu l'ordre d'assister à son exécution. Accablée de chagrin, Maria voit se dresser devant elle les fantômes des hommes morts par sa faute, tandis que Talbot la réconforte, tout en la pressant de dire devant Dieu la vérité sur sa participation au complot de Babington.

Les fidèles de Maria se lamentent sur l'exécution d'une reine, qui fera honte à l'Angleterre. Anna les supplie de ne pas troubler plus encore les dernières heures de Maria. Celle-ci paraît et, assurant à ses fidèles qu'elle s'apprête à connaître une vie meilleure, elle les appelle à prier ensemble pour implorer la miséricorde de Dieu. Cecil annonce à Maria que l'heure de son exécution a sonné. Il l'informe qu'Elisabetta lui accorde ses dernières volontés. Maria demande qu'Anna puisse l'accompagner à l'échafaud, et elle charge Cecil de porter son pardon à Elisabetta. Leicester, désespéré, vient faire ses adieux à Maria qui le calme et l'exhorte à oublier la vengeance. Puis, telle une sainte, elle monte à l'échafaud.

Maria Stuarda

Act I

At the Palace of Westminster, the lords and ladies of the court return from a tournament in honor of the French ambassador, who has come to ask for Queen Elisabetta's hand in marriage on behalf of his king. While everyone is delighted at the upcoming marriage, Elisabetta has her doubts about a union that would force her to give up her freedom and, above all, her secret love, the Earl of Leicester. Courtiers also ask the Queen to forgive her cousin and rival Maria Stuarda, Queen of Scots, imprisoned for plotting against Elisabetta. The Queen is undecided: Talbot, Maria's guardian in prison, pleads for mercy, while Lord Cecil, Elisabetta's advisor, urges severity. The Earl of Leicester, expected earlier, finally enters. Elisabetta instructs him to carry a ring to the French ambassador as a sign of her acceptance of the marriage. Wounded by Leicester's indifference, as he shows no sign of jealousy, the Queen assumes she has a rival. Talbot takes Leicester aside and presents him with a medallion bearing Maria's portrait, as well as a letter in which she asks him to intercede with Elisabetta to grant her an audience. Leicester, moved by Maria's missive and secretly in love with her, is caught by Elisabetta who suspiciously demands to see the letter. Leicester hands it over and pleads so ardently for Maria that he arouses the Queen's jealousy. He begs her to meet her cousin during a hunting party. Elisabetta agrees but, in her jealousy, is already planning to punish her rival.

At Fotheringay, Maria reminisces nostalgically about her youth in France. Accompanied by Anna, she celebrates nature whilst dreading her meeting with the Queen. The sounds of the royal hunt draw nearer. Leicester enters to tell Maria of Elisabetta's imminent arrival and advises her to behave with humility. He assures her that the Queen has been touched by her cousin's plight, and that he himself will strive to secure her freedom. He then leaves her to find Elisabetta, to whom he advises clemency. The two women come face to face, staring at each other under the comments of the assembled court. Maria kneels before the Queen, but Elisabetta humiliates her in front of the courtiers, accusing her of murdering her husband as well as acts of treachery and debauchery. While Leicester vehemently defends Maria, betraying his love for her, Maria retorts by calling Elisabetta a bastard and accusing her of defiling the English throne. Elisabetta has Maria arrested, Lord Cecil gloats, Anna and Talbot are mad with worry, Leicester despairs and the courtiers scorn Maria.

Act II

At the Palace of Westminster, Cecil urges Elisabetta to sign Maria Stuarda's death warrant, when Leicester bursts in. Despite — or because of — his pleas, Elisabetta now gives free rein to her jealousy and encouraged by Lord Cecil, confirms that she condemns Maria. Leicester's accusations of cruelty do nothing: Elisabetta persists, even ordering him to attend Maria's execution. At Fotheringay, Maria reflects on her fate and worries about Leicester. Cecil comes to tell Maria that he holds her death warrant. Talbot then informs Maria that Leicester has been ordered to attend her execution. Grief-stricken, Maria sees the ghosts of the men who died because of her, while Talbot comforts her, urging her to tell the truth, before God, about her part in the Babington plot.

Maria's faithful household laments the execution of a queen, which will bring shame to England. Anna begs them not to disturb Maria's last hours any further. Maria enters and, assuring her followers that she is about to go on to a better life, calls them to pray together for God's mercy. Cecil tells Maria that the hour of her execution has come. He informs her that Elisabetta has granted her one last wish. Maria asks Anna to accompany her to the scaffold and instructs Cecil to convey her forgiveness to Elisabetta. A despairing Leicester enters to bid farewell to Maria, who calms him and exhorts him to forget vengeance. Then, like a saint, she mounts the scaffold.

Stéphanie d'Oustrac (Maria) dans Maria Stuarda ©Monika Rittershaus

Roberto Devereux

Acte I

Au Palais de Westminster, les Dames de la cour d'Elisabetta remarquent que la confidente de la Reine, Sara, duchesse de Nottingham, est en proie à une profonde affliction. Sara blâme le livre qu'elle est en train de lire, mais la vraie cause de son chagrin est son amour secret pour le favori de la Reine, Roberto Devereux, comte d'Essex. Celui-ci, tout juste rentré d'Irlande, est accusé de complot par les Pairs. Si Elisabetta ne le croit pas coupable de trahison politique, elle le soupçonne néanmoins d'inconstance amoureuse. Lorsque Lord Cecil, son conseiller, lui demande au nom du Parlement, de prononcer la sentence de Roberto, Elisabetta déclare que les preuves de culpabilité sont insuffisantes et accepte de recevoir l'accusé. Face à la Reine, Roberto proteste de sa loyauté et reproche à Elisabetta de prêter foi aux accusations de trahison qui pèsent sur lui. Elisabetta rappelle à Roberto qu'elle lui a autrefois donné une bague, gage de sa protection : en cas de danger, il n'aura qu'à la renvoyer à la souveraine pour être sauvé. Lorsqu'Elisabetta l'interroge sur l'existence d'une potentielle rivale, Roberto répond « ne pas aimer », sans parvenir à dissiper les soupçons de la Reine jalouse. Lors de ses retrouvailles avec son ami Roberto, le Duc de Nottingham lui confie qu'il a surpris sa femme Sara en larmes, en train de broder une écharpe. Ils sont interrompus par Lord Cecil, qui vient chercher le Duc : les Pairs l'attendent pour rendre leur sentence. Nottingham promet à Roberto d'intercéder en sa faveur.

Roberto rend visite à Sara dans ses appartements en cachette. Celle-ci lui révèle qu'elle a été mariée au Duc contre son gré : c'est la Reine elle-même qui a arrangé les noces. Quand elle lui rappelle qu'il porte lui-même la bague de la Reine, Roberto ôte le bijou de son doigt et affirme n'aimer qu'elle. Sara lui avoue qu'elle aussi l'aime encore, mais elle l'implore de fuir afin de ne pas attiser la colère de la Reine. Les amants se séparent la mort dans l'âme après que Sara a offert à Roberto l'écharpe qu'elle a brodée pour lui.

Acte II

Les Lords et les Dames de la Cour attendent avec appréhension la décision du Conseil. Lord Cecil confirme leurs craintes : les Pairs ont condamné Roberto à mort. La sentence ne sera toutefois effective que lorsque la Reine l'aura ratifiée. Gualtiero apprend à la Reine que Roberto n'a pas passé la nuit chez lui. Il remet à la souveraine une écharpe qu'on a trouvée sur lui en le désarmant. Nottingham, venu apporter la sentence du Conseil et plaider la grâce de Roberto, se heurte au refus de la Reine, qui affirme posséder une preuve de la trahison de son favori. Quand Roberto comparaît devant Elisabetta, celle-ci brandit l'écharpe en lui reprochant son infidélité. Nottingham blêmit, reconnaissant l'ouvrage de sa femme. Sous couvert de venger la Reine, il insiste à présent pour que l'ami qui l'a trahi soit exécuté. Elisabetta offre à Roberto la vie sauve à condition qu'il révèle le nom de celle qu'il aime.

Roberto choisit la mort. La Reine confirme la sentence de Roberto devant la cour, et tous blâment le condamné.

Acte III

Sara reçoit une lettre de Roberto lui demandant d'aller porter à la Reine la bague qu'il a laissée chez elle et qui seule peut désormais le sauver de la mort. Nottingham survient : il exige de voir la lettre qui vient d'être apportée à Sara. Accusant violemment son épouse d'infidélité, il la confine chez elle afin de l'empêcher de remettre la bague à Elisabetta avant l'exécution.

Dans le cachot des condamnés à la Tour de Londres, Roberto attend d'être libéré, certain que Sara aura fait parvenir la bague à Elisabetta. Il s'imagine laver l'honneur de la Duchesse en s'offrant à l'épée de Nottingham. Des soldats entrent et lui annoncent qu'ils ne le conduisent pas vers la liberté mais vers le billot. Roberto fait le serment qu'une fois au Ciel, il implorera Dieu et les anges de sauver Sara.

Au Palais de Westminster, entourée de ses dames d'honneur, parmi lesquelles elle s'étonne de ne pas trouver Sara, la Reine regrette d'avoir signé la sentence. Elle ne doute cependant pas que Roberto lui fera parvenir la bague, qui lui permettra d'annuler officiellement la condamnation. Envisageant avec effroi la possibilité qu'il ait choisi la mort par fidélité à son amante, elle s'avoue qu'elle accepterait qu'il appartienne

à une autre, pourvu qu'il vive. Lord Cecil vient annoncer que l'exécution est imminente, quand Sara arrive justement avec la bague. Elisabetta comprend que sa mystérieuse rivale n'est autre que sa confidente. Elle ordonne qu'on n'exécute pas la sentence. Mais un coup de canon retentit : il est trop tard.

Le Duc de Nottingham paraît, annonçant triomphalement que Roberto est mort. Elisabetta accuse Sara d'avoir trop tardé à apporter la bague, mais Nottingham avoue avoir séquestré sa femme pour accomplir sa vengeance. Elisabetta, accablée, décide de renoncer au trône. Giacomo, le fils de Maria Stuarda, sera roi d'Angleterre.

Roberto Devereux

Act I

At the Palace of Westminster, Elisabetta's court ladies notice that the Queen's confidante, Sara, Duchess of Nottingham, is in deep distress. Sara blames the book she is reading, but the real cause of her grief is her secret love for the Queen's favourite, Roberto Devereux, Earl of Essex. He has just returned from Ireland and is accused of plotting by the Peers. Although Elisabetta doesn't believe him guilty of political treason, she does suspect him of being fickle in love. When Lord Cecil, her advisor, asks her, on behalf of Parliament, to sentence Roberto, Elisabetta declares that there is insufficient evidence of guilt and orders that Roberto be brought to her presence. Roberto protests his loyalty to the Queen and criticizes Elisabetta for believing the accusations of treason made against him. Elisabetta reminds Roberto that she once gave him a ring as a token of her protection: in case of danger, he need only return it to her to be saved. When Elisabetta questions him about the existence of a potential rival, Roberto replies that he is “not in love”, but fails to dispel the jealous Queen's suspicions. Having met with his friend Roberto, the Duke of Nottingham confides that he has caught his wife Sara in tears, as she was embroidering a scarf. They are interrupted by Lord Cecil, who has come to fetch the Duke: the Peers are waiting for him to pass sentence. Nottingham promises Roberto to intercede on his behalf.

Roberto secretly visits Sara in her apartments. She reveals that she has been married to the Duke against her will: the Queen herself arranged the nuptials. When she reminds him that he himself wears the Queen's ring, Roberto removes it from his finger and claims to love only her. Sara confesses that she still loves him too but begs him to flee so as not to arouse the Queen's anger. The two lovers part with a heavy heart after Sara offers Roberto the scarf she has embroidered for him.

Act II

The Lords and Ladies of the Court await the Council's decision with apprehension. Lord Cecil confirms their fears: the Peers have condemned Roberto to death. However, the sentence will only be effective once the Queen has ratified it. Gualtiero informs the Queen that Roberto has not spent the night at home. He gives her a scarf that was found on him when he was disarmed. Nottingham, who has come to deliver the Council's sentence, pleads for Roberto's pardon, but is dismissed by the Queen, who claims to have proof of her favourite's treachery. When Roberto appears before Elisabetta, she produces the scarf, reproaching him for his infidelity. Nottingham blushes, recognizing his wife's embroidery. Claiming to avenge the Queen, he now insists that the friend who betrayed him be executed. Elisabetta offers Roberto his life on condition that he reveal the name of the woman

he loves. Roberto chooses death. The Queen confirms Roberto's sentence before the court, who unanimously affirms the Earl's guilt.

Act III

Sara receives a letter from Roberto asking her to take the ring he has left with her to the Queen. Only this ring can save him from death. Nottingham enters, demanding to see the letter that has just been brought to Sara. Furiously accusing his wife of infidelity, he confines her to her rooms to prevent her from giving the ring to Elisabetta before the execution.

In the dungeon of the condemned at the Tower of London, Roberto waits to be released, certain that Sara will have delivered the ring to Elisabetta. He imagines that by offering his life to Nottingham, he will clear the Duchess's honour. Soldiers enter and tell him they're not leading him to freedom, but to the block. Roberto vows that once in Heaven, he will beg God and the angels to save Sara.

At the Palace of Westminster, surrounded by her ladies-in-waiting, among whom she is surprised not to see Sara, the Queen regrets having signed the sentence. She has no doubt, however, that Roberto will send her the ring that will enable her to officially overturn the sentence. Frightened by the possibility that he may have chosen death out of loyalty to his lover, she admits

to herself that she would accept his belonging to another, as long as he lives. Lord Cecil comes to announce that the execution is imminent, when Sara arrives with the ring. Elisabetta realizes that her mysterious rival is none other than her confidante. She orders that the sentence not be carried out. But a cannon fire is heard: it is too late. The Duke of Nottingham appears, triumphantly announcing that Roberto is dead. Elisabetta accuses Sara of taking too long to bring the ring, but Nottingham confesses to having kidnapped his wife to exact his revenge. Overwhelmed, Elisabetta decides to renounce the throne. Giacomo, Maria Stuarda's son, will become king of England.

Edgardo Rocha (Percy), Alex Esposito (Enrico VIII) et Elsa Dreisig (Anna) dans Anna Bolena © Monika Rittershaus

1491

Henri Tudor naît le 28 juin. 1492

Christophe Colomb « découvre » le Nouveau Monde le 12 octobre.

1509

Henri VII meurt le 21 avril. Henri VIII est marié à Catherine d'Aragon, veuve de son aîné Arthur, le 11 juin.

1516

Naissance de Marie Tudor.

1527

Naissance de Philippe II.

1533

Henri VIII déclare son mariage avec Catherine d'Aragon annulé, le 25 janvier il se marie à Anne Boleyn, qui donne naissance le 7 septembre à Élizabeth.

1536

Le 19 mai Anne Boleyn est exécutée. Le lendemain, Henri VIII se fiance à Jeanne Seymour. Le mariage est célébré 10 jours plus tard. Le parlement consacre le schisme anglican en votant contre l'infaillibilité papale sur les Écritures.

1537

Le 12 octobre, Jeanne Seymour donne naissance au futur Édouard VI. Elle meurt trois jours plus tard.

1547

Henri VIII meurt le 28 janvier. Il est enterré au côté de Jeanne Seymour. Édouard VI succède à son père.

1553

Marie Tudor succède à son demi-frère Édouard VI.

1554

Mariage de Marie Tudor avec Philippe II, fils de Charles Quint.

1558

Charles Quint meurt le 21 septembre. Philippe II succède à son père. Le 17 novembre, mort de Marie Tudor. Élizabeth monte sur le trône.

1587

Exécution de Marie Stuart le 18 février.

1588

Bataille de Gravelines avec la Grande Armada.

1596

Mort de Francis Drake le 28 janvier au Panama.

1598

Mort de Philippe II, le 13 septembre.

1603

Mort d'Élisabeth, fin de la dynastie des Tudors, place aux Stuarts.

1797

Naissance de Gaetano Donizetti le 29 Novembre.

1804

Napoleon Ier déclare le Premier Empire le 18 mai.

1814

Première abdication de Napoléon Ier.

1815

Suite au traité de Vienne et à la dissolution de l'Empire napoléonien, le duché de Milan retourne sous la tutelle des Habsbourg.

1830

Suite à une représentation de La Muette de Portici à La Monnaie, débuts des révoltes qui mèneront à l'indépendance de la Belgique. Première de Anna Bolena le 26 décembre au Teatro Carcano à Milan.

1848

Le 25 février, la Seconde République est déclarée en France, Louis-Philippe s'exile en Angleterre. Gaetano Donizetti meurt à Bergame le 8 avril, après trois ans de maladie mentale et physique.

1848-1849

Première phase du Risorgimento en Italie et première guerre contre les Austro-Hongrois.

Bref lexique de la Trilogie

D'Anna (Bolena) à Ultime (réflexion sur le pouvoir), les mots clés de la Trilogie Tudors par la metteure en scène Mariame Clément et le directeur musical Stefano Montanari

MARIAME CLÉMENT C'est l'histoire d'une femme qui a désiré le pouvoir et qui le regrette amèrement : par ambition, elle a quitté son amour de jeunesse pour épouser un roi qu'on décrirait aujourd'hui comme un homme toxique. Anna Bolena est un opéra des illusions perdues – amour, désir, grandeur, pouvoir. Pouvoir politique, mais aussi pouvoir que l'on croit avoir sur les autres.

Bel canto

STEFANO MONTANARI Il faut rappeler que le bel canto, ce n'est pas que les premières 30 années du XIXe siècle ! Depuis le XVIe, tous les textes qui concernent la façon de jouer ou de chanter parlent du buon gusto et du bel canto. Si on cherche stricto sensu à définir le bel canto, c'est la capacité à rendre fluide le passage entre les graves, les médiums et les aigus, c'est l'idée de lier ces techniques de façon souple, naturelle et virtuose et surtout de lier les phrases du texte. Legare, c'est à la fois enchaîner de façon fluide des choses différentes, et à la fois ne pas tout jouer de la même façon. Chez Donizetti, presque déjà sur la fin du bel canto, on trouve une pléthore de petits signes dans la partition, un tas d'effets annotés comme des accents, des liaisons, des points d'arrêt, des staccatos. On pourrait dire que ce n'est pas du tout legato !

Mais si c'est du legato, parce que ces différents effets, il faut les interpréter dans cette vision de la structure homogène du bel canto.

Chœur

SM J'ai été vraiment étonné de la force musicale du chœur dans Anna Bolena : il n'y a pas que les grands personnages qui aient droit d'émouvoir le spectateur ! Donizetti lui accorde une importance primordiale, en en faisant un véritable protagoniste, comme dans la tragédie grecque. Il est beaucoup plus présent dans Anna Bolena que dans les deux autres opéras. Dans Roberto par exemple, on est dans un usage plus commun, comme un commentaire musical. On trouve le chœur dans les moments où on l'attend effectivement, comme dans les strettes finales. Dans Anna Bolena, c'est lui qui fait débuter l'opéra, il compatit aux souffrances des personnages, partage l'émotion du public et la véhicule sur scène.

Elisabetta

MC Le choix de centrer la Trilogie sur Elisabetta, personnage commun à Maria Stuarda et Roberto Devereux, et que nous faisons déjà apparaître comme enfant dans Anna Bolena (puisqu'Élisabeth est historiquement la fille

Anna (Bolena)

d'Henry VIII et Ann Boleyn), s'est imposé très rapidement. On peut ainsi varier les points de vue, créer des effets d'écho ou de réminiscence, par exemple en introduisant dans Anna Bolena et Maria Stuarda l'Elisabetta âgée de Devereux ou dans Maria et Devereux cette même Elisabetta enfant. Nous avons le privilège, unique à l'opéra, de suivre Elisabetta de son enfance à sa vieillesse (notons au passage qu'il est rare qu'une héroïne d'opéra soit une femme âgée). Nous la voyons exercer le pouvoir et se débattre, non seulement avec ses histoires d'amour, mais aussi avec son passé, ses souvenirs, ses doutes, ses angoisses, les modèles avec lesquels elle se construit… C'est le destin individuel de ce personnage de fiction que nous explorons à travers ces trois opéras.

SM Le défi consiste également à donner à cette aventure une continuité cohérente dans son identité musicale. Cela passe en partie par un travail sur la distribution. Les interprètes ne

doivent pas perdre de vue la façon de chanter et de sentir ce répertoire, alors qu'ils ont travaillé d'autres pièces entre-temps…

MC Il serait vain de dépenser toute notre énergie à tenter de rétablir sur scène la vérité historique qui fait défaut dans ces œuvres, plutôt que de l'employer à servir les œuvres ellesmêmes. Comme les auteurs de l'opéra, nous nous sommes nourries, avec Julia Hansen, scénographe, de références historiques quand cela nous arrangeait, sans avoir plus d'états d'âme qu'eux quand il s'agissait de tordre le cou à l'histoire pour plus d'efficacité dramatique ou même pour des raisons esthétiques. Une fois posée cette liberté, l'histoire est évidemment une source d'inspiration merveilleuse, en particulier visuelle, pour notre histoire à nous.

Histoire
Elsa Dreisig (Elisabetta) et Stéphanie d'Oustrac (Sara) dans Roberto Devereux © Magali Dougados

Maria (Stuarda)

MC Elle se donne à voir comme un être simple, sans appétence pour le pouvoir, prête à renoncer à la couronne pour vivre modestement. Ce souci de projeter une image de désintéressement et de normalité nous est familier aujourd'hui : bien des dirigeants modernes s'y emploient. Marie Stuart y a excellé, et elle est restée dans la postérité, en particulier au XIXe, comme une victime. L'existence même de l'opéra de Donizetti en est une preuve. Elle y acquiert quasiment le statut de sainte : au deuxième acte, l'opéra se mue peu à peu en oratorio célébrant son martyre. En réalité, Marie Stuart a sans doute beaucoup intrigué, et son innocence est aujourd'hui sujette à débats. Ce qui m'intéressait ici, c'était la fabrique de l'image du pouvoir : en acculant Élisabeth à une situation où celle-ci n'a d'autre choix que de se défendre, de frapper avant d'être frappée, Marie atteint le statut d'icône et de victime. Elle est exécutée, certes, mais elle a gagné la guerre de l'image. Dans le cadre de la Trilogie, ce deuxième épisode est un opéra d'apprentissage pour Élisabeth, qui comprend à ses dépens l'importance de maîtriser son image publique.

Roberto (Devereux)

MC Dans Anna Bolena et dans Maria Stuarda, il a fallu dépenser énormément d'énergie à justifier les comportements erratiques des personnages de ténors, Percy et Leicester. Nous avons imaginé que le premier, revenant d'exil, ne maîtrise plus les usages de la cour, dont il sous-estime les dangers, et que le second a la vanité de se croire assez charismatique et influent pour jouer les fins diplomates, rôle dans lequel il échoue lamentablement. Devereux, lui, est un personnage intelligent politiquement, mais plongé dans une vraie situation de conflit.

Profondément loyal à sa reine, il l'aime d'un amour sincère et désintéressé mais qui relève plus de l'admiration et de la complicité intellectuelle que du frisson amoureux qu'il a fait renaître en Élisabeth. Sans doute se sent-il coupable d'avoir entretenu les illusions de la vieille reine, honoré qu'il était d'avoir été distingué par elle. Il comprend par ailleurs que le rôle sans avenir de favori le contraint à sacrifier sa propre vie : la femme qu'il aimait, Sara, a épousé son ami Nottingham en son absence. Quand l'opéra commence, il a donc conscience qu'il est temps de mettre fin à son comportement ambigu.

SM Le rôle des hommes semble assez différent dans Devereux. Le personnage de Nottingham est aussi très complexe. Il n'est pas seulement le mari trahi par sa femme, il perd également Roberto, avec qui il entretenait une amitié très intime, très proche. C'est presque de l'adoration.

Schémas

MC Ce type d'opéra comporte des éléments structurels récurrents : triangles amoureux, jalousies, trahisons, rapports entre pouvoir et passions privées. En réunissant ces trois œuvres dans une trilogie, on peut utiliser ces similitudes, ces situations types, pour en faire des éléments structurants de la personnalité et de l'histoire d'Élisabeth.

SM Dans les trois opéras, on trouve des passages musicaux un peu similaires. Dans Roberto Devereux, on oscille entre des moments très cantabile, très doux et puis des passages un peu plus rapides, un peu moins large. En travaillant sur Devereux, il y a certains moments où, dans ma tête, je me demande si c'est Anna Bolena ! Car Donizetti composait avec des structures musicales qu'il lui arrivait

de reprendre et de replacer à sa guise. Si on veut trouver une cohérence dans cette trilogie, on la trouve tout autant dans la musique que dans les livrets. Le danger serait de trop croiser musicalement les trois opéras, de leur ôter du relief propre à chacun.

Travail (en profondeur)

SM Je me rends compte jour après jour, en travaillant avec l'orchestre, que l'écriture musicale de Donizetti est simplement prodigieuse. On y trouve des détails par centaines qui génèrent un grand équilibre d'ensemble, à tel point que si un musicien manque une note ou se trompe dans une entrée, on l'entend immédiatement. Ce trait donne une identité forte et une fantaisie puissante à la pièce. Donizetti a une énorme culture musicale, il sait comment utiliser précisément la musique pour obtenir l'effet dramatique voulu. J'aime ces moments de travail ensemble, sur la longueur des notes, leur degré d'ouverture, sur ce qu'on met en avant ou sur la manière de penser une phrase. Le travail en profondeur qu'on fait, que ce soit avec les chanteurs, l'orchestre ou le chœur est important, car il n'en reste jamais cent pour cent au final. Mon travail, c'est de faire faire au mieux avec le talent de chacun, d'amener chacun au meilleur de lui-même.

Ultime (reflexion sur le pouvoir)

MC Dans Roberto Devereux, la scène finale est souvent considérée comme une scène de folie : la vieille Élisabeth délire. Outre le fait que je trouve cela un peu paresseux, je me méfie toujours de cette propension à déconsidérer la parole des personnages féminins : on a vite fait de dire que l'héroïne dit n'importe quoi. De là à

ne pas l'écouter, il n'y a qu'un pas. Dans les opéras de la trilogie, dont les héroïnes sont des reines, cette dévalorisation de la parole féminine se double d'un propos politique sous-jacent : guidées par leurs passions, les femmes sont trop irrationnelles pour exercer le pouvoir. La scène finale de Devereux est édifiante : faire abdiquer Élisabeth Ire, c'est une énorme entorse à la réalité historique ! Dans notre Bolena, loin d'être folle, Anna invente en pleine conscience une fiction pour épargner sa petite fille. Dans Devereux, on peut lire son abdication finale comme une ultime réflexion sur le pouvoir. Au terme de sa vie, Élisabeth se demande si elle veut finir son règne par un crime, et s'interroge plus généralement sur la reine qu'elle est devenue. D'une exécution à l'autre, la Trilogie progresse par retournements successifs : dans Bolena, un roi fait exécuter une femme ; dans Stuarda, c'est une reine qui fait exécuter une femme ; dans Devereux, une reine fait exécuter un homme. Est-ce une victoire ou une défaite pour Élisabeth ? A-t-elle égalé son père ou répété ses erreurs ? A-t-elle hérité de lui non seulement le pouvoir, mais la manière de l'exercer ? Désire-t-elle ce pouvoir vicié, ou bien la dégoûte-t-il ? Cette femme exécutée dans le premier volet, c'était sa mère… Ces questions jamais résolues sous-tendent toute notre Trilogie.

SM La fin de Devereux, ce n'est pas une grande fin. Quand on suit l'effet musical, qui va vers une sorte d'inconnue, on ne se pose même pas la question de savoir si Élisabeth devient folle ou pas. Basta. Pour moi c'est très simple. Il faudrait presque imaginer un quatrième volet à la Trilogie ! Donc ça deviendrait une tétralogie. Ou on peut même imaginer de laisser la fin ouverte…

Elsa Dreisig (Elisabetta)
dans Roberto Devereux
© Magali Dougados

Stefano Montanari

Direction musicale

Anna Bolena, Maria Stuarda Roberto Devereux

Diplômé de violon et de piano, Stefano Montanari se spécialise en musique de chambre à Florence et à Lugano. De 1995 à 2012, il est violon solo de l'Accademia Bizantina de Ravenne, dirigée par Ottavio Dantone, avec laquelle il se produit dans le monde entier. Il enseigne à l'Académie internationale de musique ClaudioAbbado de Milan et publie une méthode de violon baroque. En parallèle, il mène une carrière de chef d'orchestre au Teatro Donizetti de Bergame, à la Fenice de Venise, et dirige dès lors dans le monde entier : à Novare, Mantoue, Toronto et aux Arènes de Vérone, comme à l'Opéra de Monte-Carlo ou encore au Théâtre Bolchoï de Moscou. Il se produit également au clavier, accompagnant et dirigeant du clavecin ou du pianoforte et participe à un projet d'édition critique d'opéras du XIXe siècle mené par la Haute École des Arts de Berne. Il a obtenu un Diapason d'or pour son enregistrement des Sonates pour violon op. 5 de Corelli et son album O Solitude, avec Andreas Scholl et l'Accademia Bizantina, a été nommé pour les Grammy Awards 2012.

Mise en scène

Anna Bolena, Maria Stuarda Roberto Devereux

Diplômée en lettres et histoire de l'art de l'École normale supérieure de Paris, Mariame Clément signe sa première mise en scène en 2004 avec Il signor Bruschino/Gianni Schicchi à l'Opéra de Lausanne. Depuis, elle multiplie les productions sur les scènes les plus prestigieuses, de l'Opéra de Paris à Covent Garden, en passant par Dresde, Vienne, Madrid et Glyndebourne. Elle aborde un répertoire varié allant du baroque au contemporain, comprenant des créations comme Les Pigeons d'argile de Philippe Hurel (Toulouse, 2014) ou des raretés comme Barkouf d'Offenbach (Opéra national du Rhin, 2018), prix de la meilleure redécouverte aux Opera Awards 2019. En 2020, sa production de Don Quichotte pour le Festival de Bregenz remporte le prix de la meilleure production de l'année au Österreichischer Musiktheaterpreis.

Après Anna Bolena (21-22), Maria Stuarda (22-23) et Roberto Devereux (23-24) au Grand Théâtre, elle mettra en scène en août 2024 les Contes d'Hoffmann d'Offenbach au Festival de Salzbourg.

Julia Hansen

Scénographie et costumes

Anna Bolena, Maria Stuarda Roberto Devereux

Née à Hambourg, Julia Hansen travaille comme scénographe et costumière indépendante en Allemagne et à l'étranger. Elle est lauréate de nombreux prix dont l'EOP (Prix européen de la mise en scène d'opéra) et le premier prix du Syndicat professionnel de la critique. Plus récemment, sa production de Don Quichotte de Massenet à Bregenz est récompensée par un Prix autrichien du théâtre musical 2018 et Barkouf d'Offenbach reçoit le prix Oper! Awards de la meilleure redécouverte 2019. Ses engagements récents l'ont notamment conduite à l'Opéra de Paris, au Theater an der Wien, au Volksoper de Vienne, au Théâtre des Champs-Élysées, au Semperoper de Dresde, au Teatro Municipal de Santiago du Chili, au Royal Opera House de Londres, à l'Opéra de Cologne ainsi qu'à l'Opéra de Malmö. Ses projets futurs la mèneront au Festival de Salzbourg avec Les Contes d'Hoffmann, à Glyndebourne avec Les Noces de Figaro, au Staatsoper Berlin avec Roméo et Juliette de Gounod et au Royal Opera de Copenhague avec Der Rosenkavalier.

Ulrik Gad

Lumières

Anna Bolena, Maria Stuarda

Roberto Devereux

Originaire du Danemark, Ulrik Gad est diplômé de l'École nationale danoise des arts du spectacle de Copenhague, où il a enseigné le design de lumières de 2009 à 2017. Il met son savoir à la disposition d'une grande variété d'arts, de la scène au cinéma, en passant par l'architecture. Très actif en Scandinavie, Ulrik Gad éclaire les scènes du Théâtre Royal de Copenhague, du Théâtre de Aarhus, des opéras de Göteborg et Malmö, ainsi que le Théâtre dramatique royal de Stockholm. À l'opéra, il éclaire

La Bohème, Madame Butterfly et Don Giovanni à Copenhague. Il collabore également à des productions théâtrales avec des metteurs en scène renommés tels que Michael Thalheimer ou encore Katie Mitchell. Il signe également les lumières de Der fliegende Holländer et de Die Zauberflöte au Norrlandsoperan (Suède). Au Grand Théâtre, il a collaboré à l'éclairage de l'ensemble de la Trilogie Tudors mise en scène par Mariame Clément.

Clara Pons

Dramaturgie

Anna Bolena, Maria Stuarda

Dramaturgie et vidéos Roberto Devereux

Dramaturge du Grand Théâtre depuis 2019, Clara Pons a étudié la philosophie et le piano avant de se tourner vers la vidéo et le théâtre. Elle a travaillé comme assistante à la mise en scène sur les scènes internationales. Son adaptation du Schwanengesang de Schubert a été montrée notamment à La Monnaie, au Komische Oper Berlin, au Theater an der Wien et au Norske Opera Oslo. En 2013, elle a présenté son film Irrsal/Forbidden Prayers dédié aux lieder de Hugo Wolf à la Tonhalle de Düsseldorf, puis en tournée avec plusieurs orchestres, dont le Philharmonique de Rotterdam. Suivent en 2015 le film Wunderhorn, adaptation des lieder de Mahler et en 2017, Harawi de Messiaen. Son dernier film, Lebenslicht, adapté des cantates de Bach et présenté en première mondiale au Concertgebouw Brugge en janvier 2019, est le fruit de la collaboration avec Philippe Herreweghe et le Collegium Vocale Gent. Clara Pons travaille aussi comme vidéaste pour la scène lyrique ; son travail interroge la relation entre narration, musique et image.

Mathieu Guilhaumon

Chorégraphie

Maria Stuarda

Né à Perpignan, il débute sa formation dans la même ville et étudie la danse classique, le jazz et les claquettes avant de partir à New York compléter sa formation. Il intègre en 1998 l'Écoleatelier Rudra Béjart à Lausanne et danse au sein du Groupe 13, formé par Maurice Béjart. En 2001, il rejoint le Stadttheater Bern Ballet ; il y chorégraphie les pièces Entertaining Angels, en 2002, et Le Humane Passioni – Il Piacere en 2004 dans le cadre des Soirées Jeunes Chorégraphes. Il passe ensuite un an au Ballet Theater Augsburg. De 2006 à 2012, il rejoint le Ballet de l'Opéra national du Rhin. Il entame alors une collaboration artistique avec la metteuse en scène Mariame Clément et signe la chorégraphie de nombreux opéras. En 2013, il chorégraphie Peer Gynt pour le Ballet de l'Opéra national du Rhin et Añañucas pour le Ballet Nacional Chileno. Depuis 2013, Mathieu Guilhaumon est d'ailleurs directeur artistique de ce ballet.

Elsa Dreisig

Soprano

Anna Bolena — Anna Bolena. Elisabetta — Maria Stuarda, Roberto Devereux

Franco-Danoise, Elsa Dreisig fait ses études au CNSM de Paris et à la Hochschule für Musik de Leipzig. En 2016, elle remporte le « Premier Prix féminin » au concours Operalia-Plácido Domingo. Elle est par ailleurs nommée « Jeune artiste de l'année » par le magazine Opernwelt et « Révélation artiste lyrique » aux Victoires de la musique classique. De 2015 à 2017, elle est membre de l'opéra Studio du Staatsoper de Berlin. Elle fait ensuite ses débuts à l'Opéra national de Paris (Pamina), à l'Opéra de Zurich (Musetta), au Festival d'Aix-en-Provence (Micaëla) et à Genève (Anna Bolena) ainsi qu'avec le Philharmonique de Berlin, à Salzbourg, Lucerne et à Paris (La Création de Haydn). En 2023, elle fait ses débuts au Wiener Staatsoper où elle interprète le rôle-titre de Manon ainsi qu'à La Scala de Milan en Comtesse Almaviva dans Les Noces de Figaro. En 2024, elle débute dans le rôle de Mimi (La Bohème) à Trondheim en Norvège et dans celui d'Elisabetta dans Robert Devereux au Grand Théâtre de Genève.

Stéphanie d'Oustrac

Mezzo-soprano

Giovanna Seymour — Anna Bolena. Maria Stuarda — Maria Stuarda. Sara — Roberto Devereux

Stéphanie d'Oustrac étudie le chant lyrique au Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, où elle obtient un Premier prix. Après ses débuts avec Les Arts Florissants et William Christie, elle incarne de nombreuses héroïnes baroques, notamment dans Médée de Charpentier, Armide et Atys de Lully. Véritable tragédienne, elle s'épanouit dans des rôles comme Carmen, Sesto (La clemenza di Tito), Rosine (Il barbiere di Siviglia), Charlotte (Werther), Phèdre (Hippolyte et Aricie) et Cassandre (Les Troyens). En 2002, elle est nommée « Révélation artiste lyrique de l'année » aux Victoires de la musique. Elle est nommée aux International Opera Awards 2022, catégorie « Female singer ». Elle est l'invitée régulière des grands festivals et des grandes scènes d'opéra. Au Grand Théâtre, elle a été Giovanna dans Anna Bolena avant de tenir le rôle-titre de Maria Stuarda, et de clôturer la Trilogie Tudors mise en scène par Mariame Clément avec Sara dans Roberto Devereux.

Edgardo Rocha

Ténor

Riccardo Percy — Anna

Bolena. Roberto Comte de Leicester — Maria Stuarda

Roberto Devereux — Roberto Devereux

Edgardo Rocha étudie le piano, la direction et le chant à Montevideo puis en Italie, avant de faire ses débuts en Gianni di Parigi au Festival de Martina Franca en 2010. Spécialiste du répertoire rossinien, il chante L'italiana in Algeri, Le Comte Ory, Il turco in Italia, La gazza ladra, Il barbiere di Siviglia et Belfiore dans Il viaggio a Reims à Vienne, Madrid, Naples, Zurich, Dresde et Hambourg, de même que La donna del lago au Festival de Salzbourg. Il se produit aussi en Iago dans Otello à La Scala, dans Don Pasquale, I puritani et Les Pêcheurs de perles à Nancy, Stuttgart et Florence. Il chante La Cenerentola à Stuttgart, Séville, Monte-Carlo, en tournée européenne aux côtés de Cecilia Bartoli. Familier du public romand pour ses prestations dans Il barbiere di Siviglia à Lausanne, il fait également ses débuts sur la scène genevoise dans La Cenerentola en 20-21 avant de revenir pour Anna Bolena en 21-22 et en 22-23 dans L'Éclair et dans Maria Stuarda.

Alex Esposito

Baryton-basse

Enrico VIII — Anna Bolena

Né à Bergame en Italie, Alex Esposito reçoit en 2007 le prestigieux Prix Abbiati, décerné par les critiques italiens au meilleur chanteur lyrique de l'année 2006. Il se produit régulièrement dans les grands théâtres lyriques et festivals internationaux (La Scala de Milan, La Fenice de Venise, Staatsoper de Vienne, Bayerische Staatsoper de Munich, Deutsche Oper de Berlin, Royal Opera House de Londres, Teatro Real de Madrid, Opéra national de Paris, Festivals de Salzbourg et d'Aix-enProvence) où il a travaillé sous la direction de chefs d'orchestre comme Claudio Abbado, Kent Nagano, Daniele Gatti, Fabio Biondi et avec des metteurs en scène tels Peter Mussbach, Claus Guth, Damiano Michieletto ou Pierluigi Pizzi. Il a interprété les rôles de Leporello (Don Giovanni), Papageno (Die Zauberflöte), Figaro (Le nozze di Figaro), Guglielmo (Così fan tutte). ll est invité régulier du Festival Rossini de Pesaro et y reçoit en 2016 le « Premio d'oro ».

Olena Leser

Mezzo-soprano

Smeton – Anna Bolena

Née en Crimée, Olena Leser a étudié aux conservatoires de Kiev et de Leipzig. De 2009 à 2012, elle a été membre de l'opéra de Leipzig, où elle a travaillé avec Peter Konwitschny dans Eugène Onéguine et Elektra, ainsi qu'en tant que Flora dans La traviata et Zaida dans Il turco in Italia. En 2011 elle débute à l'Opéra d'État de Vienne dans le rôle de la Deuxième Dame de Die Zauberflöte. En 2012, on a pu l'entendre dans les Kindertotenlieder de Gustav Mahler au Gewandhaus de Leipzig sous la direction de Tomáš Netopil. Elle chante régulièrement dans des productions d'opéra à l'Opéra d'État de Vienne, le Teatro Real de Madrid, le Teatro Comunale de Bologne, le Rossini Opera Festival Pesaro, le Théâtre Mikhailosvki de Saint-Pétersbourg, le New National Theatre de Tokyo et au Théâtre national de Prague.

Lord Guglielmo Cecil — Maria Stuarda

Diplômé en 2004 du Conservatoire de Turin, le baryton Simone Del Savio a été choisi en 2005 pour l'Accademia Rossiniana d'Alberto Zedda. Son vaste répertoire s'étend de Rossini à Mozart et Donizetti, de Verdi à Puccini. Parmi les nombreux rôles qu'il a interprétés, on peut citer Leporello, Don Alfonso, Bartolo au Teatro dell'Opera de Rome, au Teatro Regio de Turin et à l'Opéra national de Paris, Don Alvaro dans Il viaggio a Reims à La Scala de Milan et au Teatro dell'Opera à Rome, Don Pasquale en 2014 en tournée dans plusieurs théâtres français, Giorgio Germont à la Deutsche Oper Berlin et au Grand Théâtre de Genève, Schaunard et Marcello, notamment au Royal Opera House de Londres, à l'Opéra national de Paris et au Teatro Comunale de Bologne, dirigé par Juraj Valčuha. Simone Del Savio a incarné Dandini dans La Cenerentola et Ping dans Turandot au Grand Théâtre de Genève.

Nicola Ulivieri

Basse

Giorgio Talbot — Maria Stuarda

Nicola Ulivieri est diplômé du Conservatoire de Bolzano . En 2006, il a reçu le prestigieux « Premio Abbiati » de la critique italienne reconnaissant ses interprétations de Mozart. Il s'est produit dans toutes les plus importantes salles en collaboration avec des chefs d'orchestre prestigieux, tels que Claudio Abbado, Roberto Abbado, Zubin Mehta, Daniele Gatti, Daniel Harding, Fabio Luisi, Daniel Oren, Gianandrea Noseda, Michele Mariotti, Maurizio Benini, Evelino Pidò, Myung-Whun Chung et James Conlon. Il chante principalement Mozart, Rossini, Bellini et Donizetti Parmi ses engagements récents et futurs : La sonnambula à Barcelone, Il viaggio a Reims à Amsterdam, I puritani à Turin, Don Giovanni à Trieste, Il barbiere di Siviglia à Bilbao ou le Requiem de Verdi à Lisbonne.

Nicola Alaimo

Baryton

Le Duc de Nottingham –Roberto Devereux

Prix Abbiati 2016, Nicola Alaimo se produit sur les grandes scènes lyriques internationales (Metropolitan Opera, La Scala de Milan, Teatro Regio de Turin, Festival de Salzbourg, Royal Opera House de Londres, Teatro Real de Madrid, Deutsche Oper de Berlin…) et est régulièrement invité au Festival Rossini de Pesaro. Il chante également Simon Boccanegra à Anvers, Adriana Lecouvreur à Palerme, La forza del destino au Metropolitan Opera, La Bohème à Bologne, Le Comte Ory et Il pirata à La Scala de Milan. Il s'est également produit aux Arènes de Vérone dans Il barbiere di Siviglia et dans Simon Boccanegra à l'Opéra national de Paris. En 2018, il enregistre un disque d'airs de Rossini, Largo al Factotum , chez Bongiovanni. Parmi ses engagements récents : Falstaff à Tokyo, L'italiana in Algeri et La Cenerentola à Zurich, et à venir : Guillaume Tell à Liège. Au Grand Théâtre, il a tenu le rôle-titre du Nabucco de Christiane Jatahy.

Julien Henric

Ténor

Sir Hervey – Anna Bolena

D'origine lyonnaise, Julien Henric étudie le théâtre et le chant dans sa ville natale. En 2018, il est nommé révélation lyrique de l'ADAMI. Membre du Jeune ensemble du Grand Théâtre de Genève de 2020 à 2022, Julien Henric y a incarné les rôles de l'Adjudant de Koutouzov (Guerre et Paix), un jeune serviteur (Elektra), Pong (Turandot) et Janek Prus (L'Affaire Makropoulos). La saison 2023-2024 de Julien Henric est marquée par ses nombreux débuts : au Festival de Bergame dans Lucia di Lammermoor (Arthur Bucklaw), à l'Opéra d'Avignon dans La Flûte Enchantée (Tamino), à l'Opéra national du Rhin dans Guercoeur (Heurtal), à l'Opéra national de Grèce pour Pénélope (Ulysse), à l'Opéra de Saint-Étienne pour la 9e Symphonie de Beethoven ainsi qu'au Festival d'Auvers-sur-Oise dans la Petite Messe solennelle de Rossini. Il est également de retour à l'Opéra National de Paris dans The Exterminating Angel (Lucas), ainsi qu'au Grand Théâtre de Genève dans Don Carlos (Le Comte de Lerme).

Basse

Lord Rochefort – Anna Bolena. Sir Gualtiero Raleigh – Roberto Devereux

Diplômé du programme Cafritz Young Artist du Washington National Opera, où il interprète Sarastro dans Die Zauberflöte, William Meinert est lauréat des concours Shreveport Opera Mary Jacobs Smith Singer of the Year 2022 et de la Houston Grand Opera Eleanor McCollum Competition 2019. Il chante le Commendatore (Don Giovanni) à Baltimore, Commentator dans Scalia/ Ginsburg de Derrick Wang (Opera North), Vodník dans Rusalka (Madison Opera) et le Duc dans Roméo et Juliette de Gounod (Pensacola Opera). Artiste en résidence du Santa Fe Opera, il y interprète Hjarne et Corbin dans The Thirteenth Child de Poul Ruders en 2019. Il s'est produit dans les Vêpres de Monteverdi avec les American Bach Soloists et Le Messie de Haendel avec le Washington Bach Consort. Au GTG, membre du Jeune Ensemble, il était le Grand Prêtre de Baal dans Nabucco, Charles Quint dans Don Carlos ou encore l'Oracle dans Idoménée

William Meinert

Ena Pongrac

Mezzo-soprano

Anna Kennedy – Maria Stuarda. Un page –Roberto Devereux

La mezzo-soprano croate Ena Pongrac a été formée aux Universités des Arts de Graz et de Berlin. Elle approfondit sa formation auprès notamment de Christa Ludwig, Gundula Janowitz, Brigitte Fassbaender ou encore Anne Sofie von Otter. En 2016, elle fait ses débuts en Zerlina (Don Giovanni). Les rôles contemporains font également partie de son répertoire, comme Madame Lapérouse dans Melusine d'Aribert Reimann et Lana dans Exit Paradise d'Arash Safaian. Au cours de la saison 18-19, Ena Pongrac a été membre de l'Opernstudio du Theater Basel où elle interprète, entre autres, Alisa dans Lucia di Lammermoor, Der Trommler dans Der Kaiser von Atlantis, Dinah dans Trouble in Tahiti et Kate Pinkerton dans Madame Butterfly. Elle a été membre de l'ensemble du Theater Basel pour la saison 20-21, ainsi que du Jeune Ensemble du Grand Théâtre de Genève pour 22-23, où on a entre autres pu l'entendre dans le rôle d'Anna Kennedy dans Maria Stuarda.

Luca Bernard Ténor

Lord Cecil – Roberto Devereux

Né à Zurich, le ténor lyrique Luca Bernard a acquis ses premières expériences sur scène en tant que membre des Zürcher Sängerknaben. Il a étudié le piano et la composition à la ZHdK puis le chant. En 2017, il est Ottokar dans Der Zigeunerbaron puis en 2018 Stanislas dans Der Vogelhändler à l'Operettenbühne Hombrechtikon. De 2019 à 2021 on l'a entendu dans une grande variété de rôles à l'Opéra de Zurich en tant que membre de l'International Opera Studio. Au cours de la saison 21/22, il a chanté à l'Opéra Maggio Fiorentino de Florence, où il a interprété Gastone (La traviata), Jaquino (Fidelio) et Scaramuccio (Ariadne auf Naxos). Au Festival de Glyndebourne 2022, il se produit dans le rôle d'Ernesto dans Don Pasquale. Pour la saison 23-24, il fait partie du Jeune Ensemble du Grand Théâtre de Genève.

Sebastià Peris

Baryton

Un membre de la famille de Nottingham – Roberto Devereux

Originaire de Valence en Espagne, Sebastià Peris, membre du chœur du Grand Théâtre de Genève, commence des études d'économie à l'Université de sa ville natale avant de se tourner vers le chant lyrique en entrant au prestigieux Conservatorio Superior de Música

Joaquín Rodrigo. Il a interprété des rôles tels que Figaro et le Comte dans Le nozze di Figaro et Papageno dans Die Zauberflöte ; Marcello et Schaunard dans La Bohème ; Moralès et Dancaïre dans Carmen ; Peter dans Hänsel und Gretel ou encore Junius dans The Rape of Lucretia. En 2016, il remporte le premier prix du concours de la Société wagnérienne de Madrid et reçoit une bourse pour se rendre aux Bayreuther Festspiele 2017. Après un passage à l'Opera Studio du Deutsche Oper am Rhein Düsseldorf/Duisburg, Sebastià Peris devient artiste du Chœur du Grand Théâtre de Genève.

Elsa Dreisig (Elisabetta) dans Roberto Devereux © Magali Dougados

Sopranos

Fosca Aquaro

Floriane Coulier*

Nicola Hollyman

Jana Iliev

Mayako Ito

Victoria Martynenko

Martina Möller-Gosoge

Daria Mykolenko*

Cristiana Presutti

Anna Samokhina

Iulia Elena Surdu

Edit Suta-Francescon*

Altos

Camille-Taos Arbouz*

Elise Bédènes

Audrey Burgener

Magali Duceau-Berly

Varduhi Khachatryan

Mi Young Kim

Céline Kot

Vanessa Laterza

Mariana Vassileva-Chaveeva

Ténors

Jaime Caicompai

Rémi Garin

Lyonel Grelaz

Sanghun Lee

José Pazos

Terige Sirolli

Georgi Sredkov

Bisser Terziyski

David Webb

Marin Yonchev

Louis Zaitoun

Basses

Peter Baekeun Cho

Romaric Braun

Nicolas Carré

Phillip Casperd

Christophe Coulier

Rodrigo Garcia

Igor Gnidii

Seong Ho Han

Vladimir Kazakov

Emerik Malandain*

Sebastià Peris

Dimitri Tikhonov

Figuration

Anna Bolena

Elisabetta

Agathe Liechti (enfant)

Bonnie Wyckoff (âgée)

Double d'Anna Bolena

Emma Terno

Un peintre et le bourreau

David Blunier

Laquais

Harry Favarger

Qori Fernandez

Amine Melki

Leonardo Rafael

Maria Stuarda

Elisabetta

Agathe Liechti (enfant)

Bonnie Wyckoff (âgée)

Giacomo (fils de Maria Stuarda)

Isaac Liechti

Ambassadeur du roi de France

David Blunier

Laquais

Alexey Bogachuk

Harry Favarger

Qori Fernandez

Amine Melki

Anna Bolena

Emma Terno

Roberto Devereux

Double d'Elisabetta

Bonnie Wyckoff

Elisabetta enfant

Garance Decker

Agathe Liechti

Prince James

Timothée Galisson

Laquais

Harry Favarger

* remplaçants

Amine Melki

Premiers violons

Bogdan Zvoristeanu

Abdel-Hamid El Shwekh

Roman Filipov

Yumiko Awano

Caroline Baeriswyl

Linda Bärlund

Elodie Berry

Stéphane Guiocheau

Aleksandar Ivanov

Guillaume Jacot

Yumi Kubo

Florin Moldoveanu

Bénédicte Moreau

Muriel Noble

Yin Shen

Salma Sorour

Michiko Yamada

Cristian Zimmerman

Seconds violons

Sidonie Bougamont

François Payet-Labonne

Claire Dassesse

Rosnei Tuon

Florence Berdat

Yesong Jeong

Ines Ladewig Ott

Claire Marcuard

Merry Mechling

Eleonora Ryndina

Claire Temperville

David Vallez

Cristian Vasile

Nina Vasylieva

Altos

Frédéric Kirch

Elçim Özdemir

Emmanuel Morel

Jarita Ng

Luca Casciato

Fernando Domínguez Cortez

Hannah Franke

Hubert Geiser

Stéphane Gontiès

Marco Nirta

Verena Schweizer

Catherine Soris Orban

Yan Wei Wang

Violoncelles

Lionel Cottet

Léonard Frey-Maibach

Gabriel Esteban

Hilmar Schweizer

Laurent Issartel

Yao Jin

Olivier Morel

Caroline Siméand Morel

Son Lam Trân

Contrebasses

Héctor Sapiña Lledó

Bo Yuan

Alain Ruaux

Ivy Wong

Mihai Faur

Adrien Gaubert

Gergana Kusheva

Nuno Osório

Zhelin Wen

Flûtes

Sarah Rumer

Loïc Schneider

Raphaëlle Rubellin

Jerica Pavli

Jona Venturi

Hautbois

Nora Cismondi

Simon Sommerhalder

Alexandre Emard

Clarinettes

Dmitry Rasul-Kareyev

Michel Westphal

Benoît Willmann

Camillo Battistello

Guillaume Le Corre

Bassons

Céleste-Marie Roy

Afonso Venturieri

Francisco Cerpa Román

Vincent Godel

Katrin Herda

Cors

Jean-Pierre Berry

Julia Heirich

Isabelle Bourgeois

Alexis Crouzil

Pierre Briand

Clément Charpentier-Leroy

Agnès Chopin

Trompettes

Olivier Bombrun

Giuliano Sommerhalder

Gérard Métrailler

Claude-Alain Barmaz

Laurent Fabre

Trombones

Matteo De Luca

Alexandre Faure

Vincent Métrailler

Andrea Bandini

Laurent Fouqueray

Tuba

Ross Knight

Timbales

Arthur Bonzon

Olivier Perrenoud

Percussions

Christophe Delannoy

Michel Maillard

Michael Tschamper

Pratique d'orchestre (DAS)

Anouch Papoyan, violon

Eleonora Dominijanni, violoncelle

Johan Kulcsár, cor

Production

Guillaume Bachellier, délégué production

Régie du personnel

Grégory Cassar Gateau, régisseur principal

Mariana Cossermelli, régisseur adjoint

Régie technique

Marc Sapin, superviseur et coordinateur

Vincent Baltz, coordinateur adjoint

Frédéric Broisin, régisseur de scène

Aurélien Sevin, régisseur de scène

Équipe artistique

Assistant à la direction musicale

Simone Ori

Assistant à la mise en scène

Luc Birraux

Assistant à la mise en scène GTG

Leonardo Piana

Assistante à la création vidéo

Claudia Rohrmoser

Chefs de chant

Jean-Paul Pruna

Xavier Dami

Réginald Le Reun

Régie de production

Manon Launey

Jean-Pierre Dequaire

Régie

David Blunier

Valérie Tacheron

Régie surtitres

Saskia van Beuningen

Directeur artistique adjoint

Arnaud Fétique

Chargé de production artistique et casting

Markus Hollop

Assistante de production et responsable de la figuration

Matilde Fassò

Chargée d'administration artistique

Élise Rabiller

Responsable des ressources musicales

Eric Haegi

Régie du Chœur

Marianne Dellacasagrande

Équipe technique

Anna Bolena

Directeur technique

Luc Van Loon

Adjointe administrative

Sabine Buchard

Régisseur technique de production

Catherine Mouvet

Chef de plateau

Patrick Savariau

Machinerie

Yannick Sicilia

Éclairages

Stéphane Gomez

Accessoires

Patrick Sengstag

Joëlle Bonzon

Stamatis Kanellopoulos

Électromécaniciens

David Bouvrat

Son/Vidéo

Jean-Marc Pinget

Habillage

Sonia Ferreira Gomez

Veronica Segovia

Charlotte Simoneau

Perruques/Maquillage

Karine Cuendet (jusqu'à la 1e)

Christèle Paillard (jusqu'à la 1e)

Carole Schoeni (dès la 1e)

Ateliers costumes

Carole Lacroix

Maria Stuarda

Directeur technique

Luc Van Loon

Adjointe administrative

Sabine Buchard

Régisseur technique de production

Catherine Mouvet

Chef de plateau

Patrick Savariau

Machinerie

Juan-Manuel Calvino

Éclairages

Stéphane Gomez

Accessoires

Patrick Sengstag

Stamatis Kanellopoulos

Pierre Wullenweber

Électromécaniciens

David Bouvrat

Son/Vidéo

Jean-Marc Pinget

Habillage

Sonia Ferreira Gomez

Claire Barril

Christelle Majeur

Perruques/Maquillage

Karine Cuendet (jusqu'à la 1e)

Christèle Paillard (jusqu'à la 1e)

Carole Schoeni (dès la 1e)

Ateliers costumes

Carole Lacroix

Roberto Devereux

Directeur technique

Luc Van Loon

Adjointe administrative

Sabine Buchard

Régisseur technique de production

Catherine Mouvet

Chef de plateau

Stéphane Nightingale

Machinerie

Daniel Jimeno

Éclairages

Stéphane Gomez

Accessoires

Yoann Botelho

Annick Polo

Patrick Sengstag

Électromécaniciens

David Bouvrat

Son/Vidéo

Christian Lang

Jérôme Ruchet

Habillage

Cécile Cottet Nègre

Olga Kondrachina

Joëlle Müller

Perruques/Maquillage

Karine Cuendet (jusqu'à la 1e)

Christèle Paillard (jusqu'à la 1e)

Carole Schoeni (dès la 1e)

Ateliers costumes

Christine Nicod

DIRECTION GÉNÉRALE

Directeur général

Aviel Cahn

Assistante administrative

Victoire Lepercq

SECRÉTARIAT GÉNÉRAL

Secrétaire générale

Carole Trousseau

Attaché de direction et Chargé du contrôle interne

Swan Varano

Adjointe administrative

Cynthia Haro

DIRECTION ARTISTIQUE

Directeur artistique adjoint

Arnaud Fétique

Responsable de la planification

Marianne Dellacasagrande

Assistant à la mise en scène

Leonardo Piana

ADMINISTRATION ARTISTIQUE

Chargé de production artistique et casting

Markus Hollop

Chargée d'administration

artistique

Elise Rabiller

Assistante de production et responsable de la figuration

Matilde Fassò

RÉGIE DE SCÈNE

Régisseur-e général-e

NN

Régisseur

Jean-Pierre Dequaire

MUSIQUE

Chef de chant principal

Jean-Paul Pruna

Chefs de chant/Pianistes

Xavier Dami

Réginald Le Reun

Responsable ressources

musicales

Eric Haegi

Jeune Ensemble

Luca Bernard

Giulia Bolcato

Omar Mancini

William Meinert

Ena Pongrac

DRAMATURGIE ET DÉVELOPPEMENT CULTUREL

Dramaturge

Clara Pons

Rédacteur-traducteur

Christopher Park

Responsable développement culturel

Sabryna Pierre

Collaboratrice jeune public

Léa Siebenbour

CHŒUR

Chef des chœurs

Mark Biggins

Régisseure des chœurs

Marianne Dellacasagrande

Assistant régie des chœurs et logistique

Rodrigo Garcia

Sopranos

Fosca Aquaro

Chloé Chavanon

Nicola Hollyman

Iana Iliev

Mayako Ito

Victoria Martynenko

Martina Möller-Gosoge

Cristiana Presutti

Anna Samokhina

Iulia Elena Surdu

Altos

Elise Bédènes

Audrey Burgener

Magali Duceau

Varduhi Khachatryan

Mi-Young Kim

Céline Kot

Vanessa Laterza

Negar Mehravaran

Mariana Vassileva-Chaveeva

Ténors

Jaime Caicompai

Rémi Garin

Lyonel Grélaz

Sanghun Lee

José Pazos

Terige Sirolli

Georgi Sredkov

Bisser Terziyski

David Webb

Marin Yonchev

Louis Zaitoun

Basses

Romaric Braun

Nicolas Carré

Phillip Casperd

Aleksandar Chaveev

Peter Baekeun Cho

Christophe Coulier

Rodrigo Garcia

Igor Gnidii

Seong Ho Han

Vladimir Kazakov

Sebastià Peris Marco

Dimitri Tikhonov

BALLET

Directeur du Ballet

Sidi Larbi Cherkaoui

Directeur opérationnel du Ballet

Florent Mollet

Adjoint

Vitorio Casarin

Coordinatrice administrative

Léa Caufin

Maître de ballet principal

Manuel Renard

Danseuses

Yumi Aizawa

Céline Allain

Zoé Charpentier

Diana Dias Duarte

Zoe Hollinshead

Emilie Meeus

Stefanie Noll

Sara Shigenari

Madeline Wong

Danseurs

Jared Brown

Quintin Cianci

Oscar Comesaña Salgueiro

Ricardo Gomes Macedo

Armando Gonzalez Besa

Julio Leon Torres

Adelson Carlos Nascimento Santo Jr.

Juan Perez Cardona

Mason Kelly

Luca Scaduto

Geoffrey Van Dyck

Nahuel Vega

TECHNIQUE DU BALLET

Directeur technique du Ballet

Rudy Parra

Régisseur plateau

Alexandre Ramos

Régisseur lumières

Dylan Larcher

Technicien son & vidéo

Jean-Pierre Barbier

Service médical

Dr Victoria Duthon

Dr Silvia Bonfanti

(Hirslanden Clinique La Colline)

MÉCÉNAT ET SPONSORING

Responsable du mécénat

Frédérique Walthert

Adjointe administrative

Natalie Ruchat

PRESSE

Responsable presse et relations publiques

Karin Kotsoglou

Assistante presse

Sophie Millar

MARKETING & VENTES

Directeur Marketing & Ventes

Alain Duchêne

MARKETING

Responsable communication

digitale

Wladislas Marian

Social media and influencer manager

Alice Riondel

Graphiste

Sébastien Fourtouill

Vidéaste

Florent Dubois

Assistante communication

Corinne Béroujon Rabbertz

Coordinatrice communication

Paola Ortiz

Responsable développement clientèles privées et institutionnelles

Juliette Duru

BILLETTERIE

Responsable billetterie et du développement des publics

Christophe Lutzelschwab

Responsable adjoint-e développement des publics

NN

Collaboratrices billetterie

Hawa Diallo-Singaré

Jessica Alves

Feifei Zheng

ACCUEIL DU PUBLIC

Responsable accueil du public

Pascal Berlie

Agent-e-s d'accueil

Eric Aellen

Romain Aellen

Sélim Besseling

Michel Chappellaz

Laura Colun

Liu Cong

Raphaël Curtet

Yacine El Garah

Naomi Farquet

Arian Iraj Forotan Bagha

Marco Forti

Victoria Fragoso

Estelle Frigenti

David Gillieron

Nathan Gremaud

Emma Grigio

Youri Hanne

Margaux Herren

Benjamin Lechevrel

Lili Lesimple

Youssef Mahmoud

Ilona Montessuit

Margot Plantevin

Luane Rasmussen

Tanih Razakamanantsoa

Julia Rieder

Laure Rutagengwa

Illias Schneider

Doris Sergy

Rui Simao

Emma Stefanski

Quentin Weber

FINANCES

Responsable Finances

Florence Mauron-Fort

Comptables

Paola Andreetta

Andreana Bolea

Laure Kabashi

RESSOURCES HUMAINES

Responsable RH

Mahé Baer Ernst

Gestionnaires RH

Laura Casimo

Marina Della Valle

Alexia Dubosson NN

INFORMATIQUE

Chef de service

Marco Reichardt

Administrateurs informatiques et télécoms

Lionel Bolou

Ludovic Jacob

ARCHIVES

Archiviste / Gestionnaire des collections

Anne Zendali Dimopoulos

CAFÉTÉRIA DU PERSONNEL

Coordinateur

Christian Lechevrel

Collaborateur buvette

Norberto Cavaco

Cuisinier

Olivier Marguin

TECHNIQUE

Directeur technique

Luc Van Loon

Adjointe administrative

Sabine Buchard

Collaboratrice administrative et comptable

Chantal Chappot

Régisseures techniques de production

Ana Martín del Hierro

Catherine Mouvet

BUREAU D'ÉTUDE

Responsable du bureau d'étude

Yvan Grumeau

Assistant Christophe Poncin

Dessinateur-trice-s

Stéphane Abbet

Antonio Di Stefano

Solène Laurent

LOGISTIQUE

Responsable logistique

Thomas Clément

Chauffeurs / Collaborateur administratif

Dragos Mihai Cotarlici

Alain Klette

SERVICE INTÉRIEUR

Huissier responsable

Stéphane Condolo

Huissier-ère-s

Bekim Daci

Teymour Kadjar

Antonios Kardelis

Fanni Smiricky

Huissiers/Coursiers

Cédric Lullin

Timothée Weber

INFRASTRUCTURE ET BÂTIMENT

Ingénieur infrastructure

bâtiment et sécurité

Roland Fouillerat

Responsable d'entretien

Thierry Grasset

CHEFS DE PLATEAU

Stéphane Nightingale

Patrick Savariau

MACHINERIE

Chef de service

Stéphane Guillaume

Sous-chefs

Juan Calvino

Stéphane Desogus

Daniel Jimeno

Yannick Sicilia

Sous-chef cintrier

Killian Beaud

Brigadiers

Eric Clertant

Henrique Fernandes Da Silva

Sulay Jobe

Julien Pache

Damian Villalba

Machinistes cintriers

Alberto Araujo Quinteiro

David Berdat

Vincent Campoy

Nicolas Tagand

Machinistes

Chann Bastard

Philippe Calame

Vincent De Carlo

Fernando De Lima

Sedrak Gyumushyan

Benjamin Mermet

Hervé Pellaud

Julien Perillard

Geoffrey Riedo

Yannick Rossier

Bastien Werlen

SON & VIDÉO

Chef de service

Jean-Marc Pinget

Sous-chef

Claudio Müller

Techniciens

Amin Barka

Christian Lang

Youssef Kharbouch

Jérôme Ruchet

ÉCLAIRAGE

Chef de service

Simon Trottet

Sous-chefs de production

Marius Echenard

Stéphane Gomez

Sous-chef opérateur lumières et informatique de scène

David Martinez

Coordinateur de production

Blaise Schaffter

Techniciens éclairagistes

Serge Alérini

Dinko Baresic

Salim Boussalia

Stéphane Esteve

Romain Toppano

Juan Vera

Électronicien

Clément Brat

Opérateurs lumière et informatique de scène

Florent Farinelli

William Desbordes

Jean Sottas

Responsable entretien

électrique

Fabian Pracchia

ÉLECTROMÉCANIQUE

Chef de service

Jean-Christophe Pégatoquet

Chef de service

David Bouvrat (ad intérim)

Sous-chef

Fabien Berenguier (ad intérim)

Electromécaniciens

Sébastien Duraffour

Stéphane Resplendino

Christophe Seydoux

Emmanuel Vernamonte

ACCESSOIRES

Chef de service

Damien Bernard

Sous-chef

Patrick Sengstag

Accessoiristes

Vincent Bezzola

Joëlle Bonzon

Stamatis Kanellopoulos

Cédric Pointurier-Solinas

Anik Polo

Padrut Tacchella

Silvia Werder

Pierre Wüllenweber

HABILLAGE

Cheffe de service

Joëlle Muller

Sous-cheffe

Sonia Ferreira Gomez

Responsable costumes Ballet

Caroline Bault

Habilleur-euse-s

Claire Barril

Cécile Cottet-Nègre

Angélique Ducrot

Sylvianne Guillaume

Philippe Jungo

Olga Kondrachina

Christelle Majeur

Veronica Segovia

Charlotte Simoneau

Lorena Vanzo-Pallante

Habilleuse ballet

Raphaèle Ruiz

PERRUQUES ET MAQUILLAGE

Cheffe de service

Karine Cuendet

Sous-cheffe

Christèle Paillard

Perruquières-maquilleuses

Lina Frascione Bontorno

Cécile Jouen

Alexia Sabinotto

ATELIERS DÉCORS

Chef des ateliers décors

Michel Chapatte

Assistant

Christophe Poncin

Magasinier

Roberto Serafini

MENUISERIE

Chef de service

Stéphane Batzli

Sous-chef

Manuel Puga Becerra

Menuisiers

Giovanni Conte

Ivan Crimella

Frédéric Gisiger

Aitor Luque

Philippe Moret

German Pena

Bruno Tanner

SERRURERIE

Chef de service

Alain Ferrer

Serruriers

Yves Dubuis

Samir Lahlimi

NN

TAPISSERIE DÉCORATION

Chef de service

Dominique Baumgartner

Sous-chef

Martin Rautenstrauch

Tapissier-ère-s et décorateur-trice-s

Line Beutler

Daniela De Rocchi

Raphaël Loviat

Dominique Humair Rotaru

Fanny Silva Caldari

PEINTURE DÉCORATION

Chef de service

Fabrice Carmona

Sous-chef

Christophe Ryser

Peintres

Gemy Aïk

Ali Bachir-Chérif

Stéphane Croisier

Janel Fluri

ATELIERS COSTUMES

Cheffe des ateliers costumes

Sandra Delpierre

Assistant-e-s

Armindo Faustino-Portas

Carole Lacroix

Gestionnaire stock costumes

Philippe Joly

ATELIER COUTURE

Cheffe de l'atelier couture

Corinne Crousaud

Costumière

Caroline Ebrecht

Tailleur-e-s

Amar Ait-Braham

Lisbeth Tron-Siaud

NN

Couturier-ère-s

Sophie De Blonay

Léa Cardinaux

Ivanna Denis

Marie Hirschi

Gwenaëlle Mury

Léa Perarnau

Xavier Randrianarison

Yulendi Ramirez

Ana-Maria Rivera

Soizic Rudant

Astrid Walter

DÉCO ET ACCESSOIRES

COSTUMES

Cheffe de service

Isabelle Pellissier-Duc

Décoratrices

Corinne Baudraz

Emanuela Notaro

CUIR

Chef de service

Arthur Veillon

Cordonnier-ère-s

Venanzio Conte

Catherine Stuppi

PERSONNEL SUPPLÉMENTAIRE

TEMPORAIRE

Médiamaticien

Enzo Incorvaia (apprenti)

Technique de scène

Noah Nikita Kreil (apprenti)

Ressources humaines

Elodie Samson

Anita Hasani (apprentie)

Vlora Isaki

Ballet

Anna Cenzuales (stagiaire)

Carole Fernandez

Léo Merrien (stagiaire)

Serrurerie

Théo Fleury

Romain Grasset

Bureau d'étude

Lorenzo Del Cerro

Atelier couture

Fanny Bétend

Anastasia Dorotchik

Christine Nicod

Amandine Penigot

Pauline Voegeli

Habillage

Sarah Bourgeade

Delphine Corrignan-Pasquier

Marion Levite

Gisèle Rüefli

Ann Schoenenberg

Nadia Stragliati

Informatique

Alexandre Da Silva Martins (apprenti)

Dramaturgie et développement culturel

Alexandra Guinea

Latcheen Maslamani

Mansour Walter

Billetterie

Lea Arigoni

Laura Baumgartner

Pascaline Brion

Solana Cruz (apprentie)

Guillaume Larivé

Morgane Wagner

Manon Wanekeum

Infrastructure et bâtiment

André Barros (apprenti)

Décoration costumes

Ella Abbonizio

Perruques et maquillage

Nicole Chatelain

Carole Schoeni

Nicole Hermann-Babel

Séverine Irondelle

Cristina Simoes

Delfina Perez

Mia Vranes

Nathalie Tanner

Séverine Uldry

Nathalie Monod

Léa Yvon

Éclairage

Edward Brett

Tristan Freuchet

Adrien Nicolovicci

Camille Rocher

Lionel Rocher

Juliette Riccaboni

Alessandra Vigna

Électromécanique

Alejandro Andion

Buvette

Abema Dady-Molamba

Léonie Laborderie

Chœur — organisation et support

Molham Al Sidawi

Senou Ronald Alohoutade

Harry Favarger

Pauline Riegler

Son & Vidéo

Matteo Buttice

Clément Karch

Arthur Scazzola

Marketing

Cyril Robert

Peinture

Eric Vuille

Régie

David Blunier

Benjamin Delpouve

Chantal Graf

Manon Launey

Valérie Tacheron

Saskia Van Beuningen

Archives

Noé Andreetta

Karine Gay

Noé Nari

Léana Polard

Machinerie

Claude Attipoe

Marius Iacoblev

André Tapia

Accessoires de scène

Yoann Botelho

Mélina Kuepfer

Dorota Smolana Tomic

Magasinière

Daniela Queiros Pinheiro

La Fondation du Grand Théâtre de Genève

Le Grand Théâtre est régi depuis 1964 par la Fondation du Grand Théâtre de Genève sous la forme juridique d'une Fondation d'intérêt communal, dont les statuts ont été adoptés par le Conseil municipal et par le Grand Conseil. Principalement financée par la Ville de Genève avec le soutien de l'Association des communes genevoises et de mécènes, la Fondation a pour mission d'assurer l'exploitation du Grand Théâtre,

Conseil de Fondation

M. Xavier Oberson, Président*

Mme Sandrine Salerno, Vice-présidente*

M. Guy Dossan, Secrétaire*

M. Sami Kanaan*

Mme Frédérique Perler*

M. Claude Demole*

Mme Dominique Perruchoud*

M. Ronald Asmar

M. Marc Dalphin

M. Shelby R. du Pasquier

M. Rémy Pagani

* Membre du Bureau

Situation au 31 mars 2023

notamment en y organisant des spectacles d'art lyrique, chorégraphique et dramatique (art. 2 de ses statuts).

Le Conseil de Fondation est composé de quatorze membres, désignés par le Conseil municipal et le Conseil administratif de la Ville de Genève, et d'un membre invité représentant du personnel.

M. Charles Poncet

M. Thomas Putallaz

Mme María Vittoria Romano

M. Juan Calvino, Membre invité représentant du personnel

M. Guy Demole, Président d'honneur

Secrétariat Cynthia Haro fondation@gtg.ch

Devenez mécène du Grand Théâtre !

Vous ferez partie de la plus grande structure artistique de Suisse romande. Vous renforcerez son ancrage à Genève et son rayonnement au-delà de ses frontières. Vous participerez au déploiement des ambitions du Grand Théâtre, celles d'excellence artistique, d'innovation et d'ouverture à tous les publics. Chaque saison, le Grand Théâtre présente des productions lyriques et chorégraphiques qui évoquent les grands sujets de notre époque, destinées à faire vivre l'expérience incomparable de l'art dans toutes ses formes au plus grand nombre. Avec une compagnie de ballet menée par le grand chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui, à la pointe de l'expérimentation transdisciplinaire, le Grand Théâtre développe un nouveau répertoire de danse contemporaine dont les tournées feront briller Genève et la Suisse à l'étranger.

Votre don constitue un soutien vital à la réalisation de projets audacieux. Il existe un large champ d'initiatives que vous pouvez soutenir et qui vous permet de vous associer aux valeurs du Grand Théâtre : participez directement au financement d'une saison ou d'un spectacle ; contribuez à la création d'un ballet ; soutenez

un projet qui rassemble plusieurs disciplines artistiques ; engagez-vous pour la jeunesse et pour la diversification des publics ; engagez-vous pour l'accessibilité à toutes et tous et à petit prix ; aidez les artistes du Grand Théâtre, sa troupe de jeunes chanteurs en résidence ou les danseurs de sa compagnie de ballet.

À titre privé, dans le cadre d'une fondation ou d'une entreprise, votre mécénat se construit selon vos souhaits en relation privilégiée avec le Grand Théâtre, pour mettre en avant des valeurs communes et enrichir votre projet d'entreprise ou personnel. Rejoignez-nous pour bénéficier non seulement d'une visibilité unique et d'un accès exceptionnel aux productions, mais aussi pour vivre des moments inoubliables en compagnie des grands artistes de notre époque !

Rejoignez-nous, engageons-nous ensemble à pérenniser les missions du Grand Théâtre !

Informations et contact

+41 22 322 50 58

+41 22 322 50 59 mecenat@gtg.ch

Ville de Genève, Association des communes genevoises, Cercle du Grand Théâtre de Genève, Aline Foriel-Destezet, République et Canton de Genève

Ses grands mécènes : Allianz, Fondation Alfred et Eugénie Baur, Généreux donateur conseillé par CARIGEST SA, Chopard, Guy Demole, FCO Private Office SA, Caroline et Éric Freymond, Ernst Göhner Stiftung, Indosuez Wealth Management, JT International, Fondation Leenaards, Brigitte Lescure, Fondation Francis et Marie-France Minkoff, Fondation du Groupe Pictet, REYL Intesa Sanpaolo, Fondation Edmond J. Safra, Famille Schoenlaub, Union Bancaire Privée, UBP SA, Stiftung Usine, Fondation VRM

Ses mécènes : Rémy et Verena Best, Bloomberg, Cargill International SA, Dance Reflections by Van Cleef & Arpels, Denise Elfen-Laniado, Fondation FAMSA, Angela et Luis Freitas de Oliveira, Emil Frey, Fondation Léonard Gianadda Mécénat, Hirslanden Clinique La Colline — CMSE, Hyposwiss Private Bank Genève SA, Fondation Inspir', Mona Lundin-Hamilton, France Majoie Le Lous, Fondation Jan Michalski pour l'écriture et la littérature, MKS PAMP SA, Adam et Chloé Said, Fondation du Domaine de Villette

Le Cercle du Grand Théâtre de Genève

Le Cercle du Grand Théâtre de Genève rassemble toutes les personnes et entreprises intéressées à soutenir les activités du Grand Théâtre dans le domaine des arts lyrique, chorégraphique et dramatique. Depuis sa création en 1986, le Cercle apporte chaque saison un important soutien financier au Grand Théâtre par des contributions aux spectacles.

Pour la saison 2023-2024, le Cercle soutient les productions suivantes : Don Carlos, María de Buenos Aires et le ballet Eléments.

Pourquoi rejoindre le Cercle ?

Pour partager une passion commune et s'investir dans l'art vivant avec la plus grande scène culturelle de la Suisse romande.

Certains de nos avantages exclusifs :

· Cocktails d'entracte

· Dîner de gala annuel

· Voyages lyriques sur des scènes européennes

· Conférence annuelle Les Métiers de l'Opéra

· Participation à la finale du Concours de Genève (section voix)

· Priorité pour la souscription des abonnements

· Priorité de placement et utilisation de la même place tout au long de la saison

· Service de billetterie personnalisé

· Tarifs préférentiels pour la location des espaces du Grand Théâtre

· Invitation au pot de Première

· Meet & Greet avec un·e artiste et/ou un·e membre de la production

· Accès gratuit à toutes les activités de La Plage

Bureau (novembre 2023)

M. Rémy Best, président

M. Shelby du Pasquier, vice-président

Mme Véronique Walter, trésorière

Mme Benedetta Spinola, secrétaire

Autres membres du Comité (novembre 2023)

M. Luis Freitas de Oliveira

M. Romain Jordan

Mme Pilar de La Béraudière

Mme Marie-Christine von Pezold

M. François Reyl

M. Julien Schoenlaub

M. Gerson Waechter

Membres bienfaiteurs

M. Metin Arditi

M. et Mme Rémy Best

M. Jean Bonna

Fondation du groupe Pictet

M. et Mme Luis Freitas de Oliveira

Mme Mona Hamilton

M. et Mme Pierre Keller

Banque Lombard Odier & Cie

MKS PAMP SA

M. et Mme Yves Oltramare

M. et Mme Jacques de Saussure

M. et Mme Julien Schoenlaub

Société Générale Private Banking Suisse

M. et Mme Pierre-Alain Wavre

M. et Mme Gérard Wertheimer

Membres individuels

S.A. Prince Amyn Aga Khan

Mme Marie-France Allez de Royère

Mme Diane d'Arcis

M. Luc Argand

M. Cesar Henrique Arthou

M. Ronald Asmar

Mme Christine Batruch-Hawrylyshyn

M. et Mme François Bellanger

Mme Maria Pilar de la Béraudière

M. Vincent Bernasconi

M. et Mme Philippe Bertherat

Mme Antoine Best

Mme Saskia van Beuningen

Mme Clotilde de Bourqueney Harari

Comtesse Brandolini d'Adda

M. Yves Burrus

Mme Caroline Caffin

Mme Emily Chaligné

M. et Mme Jacques Chammas

Mme Claudia Ciampi

M. et Mme Philippe Cottier

Mme Tatjana Darani

M. et Mme Claude Demole

M. et Mme Guy Demole

M. et Mme Michel Dominicé

M. Pierre Dreyfus

Me et Mme Olivier Dunant

Mme Marie-Christine Dutheillet de Lamothe

Mme Denise Elfen-Laniado

Mme Diane Etter-Soutter

M. et Mme Patrice Feron

M. et Mme Éric Freymond

M. et Mme Nicolas Gonet

M. et Mme Yves Gouzer

Mme Claudia Groothaert

M. et Mme Philippe Gudin de La Sablonnière

Mme Bernard Haccius

Mme Victoria Hristova

M. et Mme Éric Jacquet

M. Guillaume Jeangros

M. Romain Jordan

Mme Jane Kent

M. Antoine Khairallah

M. et Mme Jean Kohler

M. David Lachat

M. Marko Lacin

Mme Brigitte Lacroix

Mme Éric Lescure

Mme Claire Locher

M. Pierre Lussato

Mme France Majoie Le Lous

M. et Mme Colin Maltby

M. Bertrand Maus

M. et Mme Olivier Maus

Mme Béatrice Mermod

Mme Vera Michalski-Hoffmann

M. et Mme Christopher Mouravieff-Apostol

M. Fergal Mullen

M. Xavier Oberson

M. et Mme Patrick Odier

M. et Mme Alan Parker

M. et Mme Shelby du Pasquier

Mme Jean Pastré

Mme Sibylle Pastré

Baron et Baronne Louis Petiet

M. et Mme Gilles Petitpierre

Mme Marie-Christine von Pezold

M. et Mme Charles Pictet

M. Charles Pictet

M. et Mme Guillaume Pictet

M. et Mme Ivan Pictet

M. Nicolas Pictet

Mme Françoise Propper

Comte de Proyart

M. et Mme Christopher Quast

Mme Zeina Raad

Mme Brigitte Reverdin

M. et Mme Dominique Reyl

M. et Mme François Reyl

Mme Karin Reza

M. et Mme Jean-Pierre Roth

M. et Mme Andreas Rötheli

M. et Mme Jean-Rémy Roussel

M. et Mme Adam Said

Mme Maria-Claudia de Saint Perier

Marquis et Marquise de Saint Pierre

M. Vincenzo Salina Amorini

M. Alain Saman

Mme Nahid Sappino

M. Paul Saurel

Mme Isabelle de Ségur

Baronne Seillière

M. Jérémy Seydoux

Mme Nathalie Sommer

Marquis et Marquise Enrico Spinola

Mme Christiane Steck

M. Riccardo Tattoni

Mme Suzanne Troller

M. et Mme Gérard Turpin

M. Olivier Varenne

M. et Mme Jean-Luc Vermeulen

M. et Mme Julien Vielle

M. et Mme Olivier Vodoz

Mme Bérénice Waechter

M. Gerson Waechter

M. et Mme Stanley Walter

M. Stanislas Wirth

Membres institutionnels

1875 Finance SA

BCT Bastion Capital & Trust

FCO Private Office SA

Fondation Bru

Fondation de l'Orchestre de la Suisse Romande

International Maritime Services Co. Ltd.

Lenz & Staehelin

Moore Stephens Refidar SA

Schroder & Co Banque SA

SGS SA

Plus d'informations et le détail complet des avantages pour les membres du Cercle sur gtg.ch/cercle

Inscriptions

Cercle du Grand Théâtre de Genève

Gwénola Trutat

Case postale 44

1211 Genève 8

+41 22 321 85 77 (8 h-12 h)

cercle@gtg.ch

Compte bancaire

No 530290

Banque Pictet & Cie SA

Organe de révision

Plafida SA

Prochainement

Opéra

Tristan & Isolde

Opéra de Richard Wagner

Nouvelle production 15 au 27 septembre 2024

Récilal

Jakub Józef Orliński

Contre-ténor

Michał Biel, piano

Œuvres du baroque italien, Henry Purcell, Franz Schubert et de compositeurs polonais. 20 septembre 2024

Opéra

La Clémence de Titus

Opéra de Wolfgang

Amadeus Mozart

16 au 29 octobre 2024

Chœur du Grand Théâtre de Genève

Orchestre de la Suisse Romande

Nouvelle saison au GTG

Sacrifices

Saison 24 — 25

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IMPRESSUM

Directeur de la publication

Aviel Cahn

Rédaction

Sabryna Pierre

Clara Pons

Traduction

Christopher Park

Relecteur

Patrick Vallon

Photo couverture

© Marc Asekhame

Réalisation graphique

Sébastien Fourtouill

Impression

Moléson Impressions

Impression avec des encres végétales sans cobalt sur papier FSC

Grand Théâtre de Genève

Boulevard du Théâtre 11

Case postale 44 1211 Genève 8

Standard +41 22 322 50 00

Billetterie +41 22 322 50 50

Contact info@gtg.ch gtg.ch #WeArtGTG

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