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UN 100e ANNIVERSAIRE INOUBLIABLE POUR UN ANCIEN CAMIONNEUR DE TRIMAC
Un vétéran chauffeur de Trimac a eu toute une surprise pour son 100e anniversaire, le 11 février, alors que l’entreprise pour laquelle il a conduit toute sa carrière s’est présentée avec deux camions pour lui offrir des cadeaux spéciaux. M. Beauchemin a commencé sa carrière chez Trimac en mai 1948, alors que l’entreprise de Montréal s’appelait Soulange Cartage. Il a conduit pendant 38 ans Roger Beauchemin (Photo: Trimac) jusqu’à sa retraite en mars 1986.
M. Beauchemin a commencé sa carrière au volant d’un GM et l’a terminée avec un White Western Star. Il a surtout transporté du ciment et de l’équipement lourd au Québec et en Ontario. Son travail consistait à transporter de gros morceaux de ciment utilisés pour construire divers ponts dans toute la province de Québec.
Le travail qu’il a aimé le plus fut son premier voyage à Sept-Îles. À cette époque, le trajet se faisait entièrement sur des routes de gravier. M. Beauchemin garde de bons souvenirs de ses voyages à différents barrages pour Hydro-Québec afin de livrer le ciment utilisé pour leur construction. Il a également été attitré au transport de ciment pour la construction du tunnel Louis-Hippolite-Lafontaine et pour l’île Sainte-Hélène dans le cadre de l’Expo 67.
«Trimac tient à remercier M. Beauchemin pour son travail acharné de transport des matériaux qui ont permis de construire de nombreuses structures emblématiques au Québec et dans les environs, et aussi pour avoir permis à notre entreprise de participer à cette formidable célébration», a déclaré le transporteur.
De son côté, M. Beauchemin n’avait qu’un seul regret : ne pas avoir pu prendre le volant de l’un des camions venus le saluer.
«J’avais envie d’aller travailler, prendre un camion pour un voyage avec», a-t-il déclaré avec humour dans une vidéo de remerciement qu’il a enregistrée pour Trimac. «Je vous remercie beaucoup. C’est quelque chose de très spécial pour quelqu’un comme moi. Pour le reste de ma vie, je n’oublierai jamais cela.»
Fabricants
Isuzu fabriquera des camions de classe 5 à essence Isuzu a commencé la production de ses camions de classe 5 à essence. Le modèle NQR, d’un PNBV de 17 950 livres, et le NRR (PNBV de 19 500 livres) seront alimentés par un moteur V8 de 6,0 litres fonctionnant à l’essence. Selon Isuzu, le NRR sera le premier camion à cabine avancée surbaissée de l’industrie – d’un PNBV de 19 500 livres – à offrir une option de moteur à essence.
Les camions seront assemblés par Builtmore, à Charlotte au Michigan.
«Nous constatons une demande croissante de moteurs à essence dans les classes 3, 4 et 5», a déclaré Shaun C. Skinner, président d’Isuzu Commercial Truck of America et d’Isuzu Commercial Truck of Canada. «Ces nouveaux camions N-Series de classe 5 offriront à nos clients la plus vaste gamme d’options de moteurs à essence sur le marché des cabines avancées surbaissées – et ils répondent aux nouvelles exigences plus strictes à venir en matière d’émissions.»
Le moteur V8 produira 311 chevaux et 351 lb-pi. de couple. Il est jumelé à une transmission automatique Allison 1000 RDS à six vitesses.
Réglementation
Roadcheck : l’accent sera mis sur l’éclairage et les heures de conduite Les contrôleurs routiers accorderont une attention particulière aux infractions liées à l’éclairage et aux heures de conduite lors de l’opération International Roadcheck 2021, qui doit avoir lieu du 4 au 6 mai.
Alors que l’état du matériel roulant sera vérifié par rapport aux critères de mise hors service nord-américains, les inspections donnent également à la Commercial Vehicle Safety Alliance (CVSA) une occasion de recueillir des données et de faire de la sensibilisation en lien avec des exigences spécifiques.




Nouveauté !
TMD adapté au transport de produits pétroliers
«Le Roadcheck est un effort de collecte de données», a souligné le Sergent John Samis de la police de l’État du Delaware, et président de la CVSA. «Les inspections menées pendant les trois jours de l’opération ne sont pas différentes des inspections menées n’importe quel autre jour de l’année. À part la collecte de données, le processus d’inspection est le même.»
L’éclairage non conforme représentait 12,24 % des infractions liées aux véhicules l’an dernier aux États-Unis – ce qui en fait la première infraction liée aux véhicules pour 2020. Lors du dernier Roadcheck, la principale infraction liée aux chauffeurs concernait les heures de service et représentait 34,7 % de toutes les conditions de mise hors service, selon la CVSA.
Toujours lors du dernier Roadcheck, l’éclairage a représenté 7,5 % des infractions liées aux véhicules ayant mené à une mise hors service au Canada. Mais les heures de service représentaient 73,7 % des infractions liées aux chauffeurs de ce côté-ci de la frontière.
Cette année, l’accent sera également mis sur les heures de service, et ce, environ un mois avant l’entrée en vigueur de la réglementation canadienne sur les dispositifs de consignation électronique (DCE) pour les transporteurs sous réglementation fédérale, c’est-à-dire le 12 juin 2021.
Un autocollant de la CVSA sera apposé sur les véhicules ne présentant aucune infraction critique après une inspection de niveau I ou V. En général, les véhicules portant des autocollants apposés récemment – qui sont valides pendant trois mois – ne sont pas réinspectés.
