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Vous avez entre les mains l’édition « carrière » de Janette dont plusieurs sujets sont consacrés à la vie professionnelle, avec notamment un dossier comportant les témoignages de certaines femmes qui ont osé entreprendre. Entreprendre ou faire partie d’une entreprise, j’ai toujours du respect pour celles et ceux qui « font » et qui, par leur travail, permettent à un projet d’avancer, de se construire et, par ricochet, à toute la société de fonctionner.
Entre passion et obligation, priorité et nécessité, le travail occupe une place différente dans la vie de chacun. Actuellement, il semblerait que la tendance soit tout de même d’aimer de moins en moins travailler. Mais reléguer son travail au dernier plan, au moins de temps possible rend-il plus heureux ? Bien entendu, repos, loisirs et temps passé avec nos proches sont une part importante et constituante de notre existence. Mais je suis persuadée que le travail aussi. Je pense que celles et ceux qui
le perçoivent comme une menace au bonheur, une entrave à l’épanouissement, y gagneraient à changer de point de vue. Je n’ai jamais eu peur du travail, d’y passer du temps, car je pense qu’il peut apporter beaucoup. Pour ma part, il a tout d’abord été synonyme d’indépendance financière et donc d’indépendance tout court : de liberté ! Puis il est source de satisfaction : satisfaction du travail bien fait et satisfaction d’être utile, de contribuer à un tout. Il rythme nos journées, nous évitant d’être encore en pyjama à midi et de n’avoir rien accompli. Enfin, il est lieu de vie sociale. Collègues, clients, fournisseurs… Ils sont autant de rencontres, autant d’enrichissements et d’apprentissages sur les autres et sur nous-même. Alors, oui, vive le travail ! Et je vous souhaite d’en avoir ou d’en trouver un qui vous plait.
Bonne lecture,
JANETTE EST TOUJOURS AU FAIT 15
JANETTE FAIT SES EMPLETTES
JANETTE BIEN DANS SON CORPS, BIEN DANS SA TÊTE
44 Janette et Psyché
› Je possède donc je suis : renouons avec notre vraie valeur
46 Beauté
› Ces petites astuces beauté pour ne plus être en retard le matin
48 Santé
› S’armer pour arrêter de fumer
50 Les bons plans de…
› Danièle
51 Les envies de Janette
52 La kitchenette
› Cobbler à la rhubarbe et aux fraises
54 Dans votre assiette
› Le gras, c’est la vie !
56 Sexperte
› Quand trop de travail tue la sexualité !
édité à 21000 exemplaires 10 numéros par an
Direction et rédaction en chef
Paule Kiénert
Rédaction magazine et web
Élodie Lambion
Communication, community management
Léna Le Roy
Commercialisation
des espaces publicitaires
Sandra Martarello
Direction commerciale :
Sandrine Furminieux
Design graphique
Studio Piknik
Rédaction
Rédaction mode & beauté
Adelaïde Dubucq
Sophie Ortega
Anne Roth
Alexia Saunière
Alexia Vargiu
Rédaction culture
Pablo Chimienti
Charles Demoulin
Jane Doe
Rédaction bien-être & bien chez soi
Sophie Caruelle
Vanessa Marchiori
Marion Mokhtari
Céline Molitor
Coralie Piaia
Sophie Pilcer
Gaël Sanpo
Dr Stéphanie Dangel
Mélanie Trinkwell
Rédaction loisirs & voyage
Anne Faber
Salomé Jeko
Vanessa Schmitz-Grucker
Couverture
Mélissa, par Nader Ghavami Détail du look en page 16
Janette magazine est un produit de Caractère, Maison d'édition sàrl 433, route de Thionville
L-5887 Alzingen
Contact redaction@janette.lu publicite@janette.lu
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ISSN 2354-5399
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Secret beauté de l’actrice américaine Eva Longoria, qui en est l’ambassadrice, et de nombreuses stars qui, comme elle, l’ont intégré dans leur routine beauté et ne savent plus s’en passer, le traitement Morpheus8 est désormais disponible dans la capitale (6, place d’Armes). S’il est autant plébiscité, c’est qu’il a été conçu pour améliorer le teint et la texture de la peau aussi bien du corps que du visage, offrant ainsi une apparence plus radieuse et plus jeune après chaque utilisation.
www.morpheus8.lu
Surnommé BAC, le nouveau bar du quartier Pfaffenthal est un concept inédit, imaginé par un trio aux idées fortes, novatrices, ayant à coeur de partager, de raconter cette histoire qui est la leur. Derrière le bar central qui se veut rassembleur, les alcools exclusivement luxembourgeois inspirent aux barmans des cocktails uniques, que vous ne goûterez pas ailleurs. Du sol au plafond, le noir est omniprésent. Çà et là, des lumières roses jouent les contrastes tout comme les objets chinés, détournés. Un bar avec une identité que vous aurez rarement croisée.
7, rue Vauban L-2663 Luxembourg
Vous aurez hâte de préparer et d'expérimenter de nouveaux plats dans la collection Le Creuset Azur Cette nouvelle couleur crée une oasis de tranquillité et de splendeur méditerranéenne dans la cuisine. Nos abonnées aux Pochettes de Janette ont pu avoir un avant-goût de cette nouvelle collection qui nous fait voir la vie en bleu, en découvrant ce mignon coquetier.
www.lecreuset.be - @lecreusetbelux
Enfourchez l’une des trottinettes électriques tout-terrain de Lux-Trotters et aventurez-vous dans les sentiers forestiers et champêtres du Grand-Duché. Ouverte à tous les âges, sportive, écologique et ludique, idéale pour un team building, un enterrement de vie de jeune fille/garçon ou une sortie en famille, cette activité sera riche en découvertes et en fous rires. Que vous soyez plutôt peureuse ou davantage intrépide, vous aurez la liberté d’adapter la vitesse de votre monture afin de profiter pleinement de l’expérience. www.luxtrotters.lu
Je suis Nélia, scrum master crédits immobiliers, spécialisée dans les questions de rénovation énergétique.
Mon métier ? Accompagner nos clients dans toutes les étapes de leurs travaux de rénovation : diagnostic de performance énergétique, estimation des coûts, recherche d’aides financières et bien sûr propositions de solutions de financement. Les métiers de banquiers réservent bien des surprises…
Découvrez-les sur
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Chaque mois, Janette rend hommage à une femme dont le parcours est inspirant. Bette Davis, surnommée Première Dame du cinéma américain, et qui aurait eu 115 ans cette année, était à l’honneur. Abonnez-vous à notre page Facebook pour découvrir l’histoire de nos prochaines muses.
Le mois dernier, l’ONG Fairtrade et Janette vous ont invitées, chères lectrices, à découvrir une capsule mode équitable et made in Luxembourg unique lors d’un afterwork 100% féminin, 100% festif. Pour ne manquer aucun événement Janette, abonnez-vous à sa newsletter sur janette.lu !
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Chaque semaine sur son blog, Janette dévoile la toute dernière tendance mode ou beauté en vogue. La « curvecut » semble avoir attiré votre curiosité ! Pour découvrir les prochaines tendances et rester à la pointe de la mode, c’est sur janette.lu que ça se passe.
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un e main au c u l ! »
Franchir le pas de l’entrepreneuriat demande courage et force, détermination et passion. Malgré les incertitudes, les doutes et les difficultés, les entrepreneuses que Janette a rencontrées se sont lancées au Grand Duché, ont cru en leurs projets et, à force de travail, voient désormais leurs rêves devenir réalité. Avec authenticité et spontanéité, elles témoignent sur ce pari qui a changé leur vie. Qu’elles soient sources d’inspiration pour celles d’entre vous qui souhaitent à leur tour oser !
Pauline Cobut
Diplômée en criminologie, après dix ans passés dans le domaine de la criminologie financière au Luxembourg puis au Canada - où elle obtient aussi une certification en wedding planning - en février 2022, Pauline lance sa propre société au Luxembourg : Organized by Pauline
« Lorsque je suis tombée enceinte de ma fille, j’ai beaucoup réfléchi. Mon métier me plaisait, mais je ne m’y retrouvais plus. J’ai alors fait appel à un coach pour m’aider à renouer avec mes valeurs. Passionnée par la décoration intérieure et l’événementiel, l’organisation de mon intérieur m’ayant aidée lors du post-partum, j’ai décidé de créer ma propre société. Celle-ci m’apporte une certaine flexibilité, même si j’y pense constamment. Nous, les femmes, nous sommes capables de gérer plusieurs choses en même temps et c’est un réel avantage. Il faut savoir s’entourer, prendre le temps de se renseigner, car ce n’est pas tous les jours évident. Mais si le projet vient des tripes, que la passion est là, tout va rouler. Depuis que j’ai osé créer ma société, je suis plus épanouie, j’ai cette envie constante de me surpasser. »
Lors d’un job étudiant dans la restauration, c’est la révélation pour Stéphanie. Cette passion devient peu à peu son métier. Les projets se succèdent, se concrétisent et aujourd’hui, elle gère les enseignes Cocottes, Wine Not ?, le restaurant Um Plateau ainsi que la friterie La Baraque.
« Être indépendante pour moi, c’est l’opposé de la dépendance. C’est ce que je recherchais : être libre de mes choix, être ma propre patronne. Je crois qu’avoir envie d’être indépendante, on le sent au fond de soi. Si vous le ressentez dans vos tripes, il faut croire en vos rêves, vous lancer, sinon vous le regretterez ! Lorsque vous êtes convaincue, que votre projet est réalisable, concret, il faut s’en donner les moyens. Personnellement, la routine m’ennuie, car j’ai un esprit créatif. La passion m’anime : je me réveille chaque matin en étant contente d’aller au boulot, car je fais ce que j’aime. Chaque nouveau concept est une remise en question. Le bien-être de mes équipes est également primordial : la bienveillance, le fait de les accompagner, de les entourer, de les encadrer, c’est essentiel pour moi que chacun se sente bien pour pouvoir partager ce bien-être avec nos clients. »
Sandrine a passé 20 ans dans le domaine des ressources humaines. Sa fille Sara, elle, est institutrice maternelle de formation. Elles ont décidé d’associer leurs idées, les valeurs qui leur tiennent à cœur afin de donner vie à Blanche Loutre, baby & family store.
« Nous provenons d’une famille de femmes indépendantes, c’est donc dans nos gênes cette force de caractère qui nous pousse toujours à aller de l’avant, à porter des projets, à y croire et surtout, à rester positives. Blanche Loutre, ce projet mère-fille, nous tient à cœur, car il symbolise des valeurs qui sont très importantes à nos yeux telles que la transmission, le partage, l’équité. Il nous réunit autour de centres d’intérêt comme la pédagogie, l’écologie, l’artisanat, le domaine de la petite enfance. Mon vécu dans d’autres secteurs en tant qu’indépendante, ma forte personnalité, le dynamisme de Sara et sa recherche de nouvelles idées, notre joie de vivre à toutes les deux sont complémentaires et enrichissent notre projet. Ce n’est pas toujours facile d’être sur tous les fronts, mais il faut croire en ses projets, rester soi-même, être bien encadrée, structurée et organisée. »
Formée au Lycée Hôtelier à Diekirch, à l’Institut Paul Bocuse et auprès de nombreux chefs étoilés, en juin 2019, Caroline ouvre son propre restaurant Eden Rose à Kayl. En mai 2021, Valérian la rejoint en cuisine et c’est ensemble qu’ils obtiennent une étoile Michelin en mars 2023.
« Lorsque je me suis lancée en 2019, peu de gens ont cru en moi. Un seul banquier m’a soutenue dans mon projet. À l’époque, la pâtisserie sans gluten attirait peu alors que j’ai un amour pour celle-ci. Seuls mes parents et Valérian m’ont encouragée. Même si j’ai vécu des moments difficiles, j’ai gardé cette « niaque ». J’ai du caractère, mais c’est parce que j’ai dû apprendre à forger celui-ci lors de ma scolarité, et aussi dans ce milieu professionnel très masculin. Pour exercer ce métier, il faut être passionnée. Je travaille 6 jours sur 7 de 9h à minuit puisque je gère également le tea time. Je suis à la fois entrepreneuse et chef pâtissière : deux facettes qui sont parfois difficiles à concilier. Il faut y croire, travailler dur. L’étoile est une belle récompense pour notre courage et notre travail à tous les deux. »
Mannequin, il y a 5 ans alors que de nombreuses femmes lui posent des questions sur son quotidien, Jade devient créatrice de contenu. À la tête de sa propre entreprise, avec son mari et leurs associés, ils lancent un food truck puis un restaurant dans le centre-ville.
« Avec mon mari, alors que j’étais enceinte, nous avons décidé de quitter Paris pour venir vivre ici. Les établissements que nous avions l’habitude de fréquenter là-bas, nous ne les retrouvions pas. Cela nous a donné envie d’en créer un. Le covid a légèrement chamboulé nos plans, mais en septembre 2021, nous avons opté pour un food truck, au nom de Hyde. Un an plus tard, nous avons ouvert le restaurant Emilona. En tant que femmes, nous ne sommes pas toujours prises au sérieux. L’homme, père de famille, personne ne lui demande comment il fait pour tout gérer alors que nous, nous devons sans cesse nous justifier. Dans l’esprit actuel, il y a encore souvent cette mentalité d’il y a 30 ans alors que nous aussi, nous sommes ambitieuses. Pour moi, il suffit d’être organisée, de croire en son projet, de prendre le temps et d’attendre le bon timing pour se lancer. »
Après avoir voyagé pour se former et devenir souffleuse de verre, en 1995, Pascale décide de se poser à Berdorf et d’ouvrir son propre atelier de soufflage de verre. Au fur et à mesure des années, malgré l’intensité du travail, une patience et un souffle à toute épreuve, cette passion ne l’a jamais quittée.
« Comme j’avais beaucoup voyagé pour me former, je souhaitais me poser, avoir mon entreprise puis fonder une famille. En France, pays où j’ai passé beaucoup de temps, je pouvais bénéficier d’aides financières pour me lancer - ce qui n’était pas le cas au Luxembourg à l’époque. En faisant l’analyse sur le long terme, j’ai décidé de m’installer au Grand-Duché, à Berdorf au cœur du Mullerthal. Comme c’est un art délicat, le pouvoir d’achat étant plus élevé, cela faisait sens de créer ma société ici. Au début, c’est surtout mon entourage qui m’achetait mes créations puis au fur et à mesure, j’ai réussi à créer mon réseau de clients fidèles. Récemment, j’ai eu une stagiaire à laquelle j’ai expliqué à quel point c’est essentiel d’avoir une alchimie, d’avoir l’esprit d’équipe, car toute seule la création d’objets est impossible. En pratiquant ce métier, il faut accepter d’être tout à la fois : créatrice, technicienne, réalisatrice, comptable, secrétaire, et à la fin aussi vendeuse. »
Jupe et veste - chez Comma
Pull - chez The Corners
Boots Sacha
Sac Coach - chez Maroquinerie du Passage
Collier Ginette NY - chez Isabelle Kass
Dans les bureaux même les plus sérieux, on constate peu à peu la fin du tailleur gris, bleu ou noir. Sauf uniforme dû à la profession, rien ni personne ne vous empêche désormais d’afficher un look plus coloré et branché sur votre lieu de travail. Alors, heigh-ho, heigh-ho, on va au boulot !
Décor : Moulin d’Altwies
Modèle : Mélissa
Photographie : Nader Ghavami
Stylisme : Alexia Vargiu
Coiffure : Corina - Ferber Hair & Style
Maquillage : Ivana - Institut Marian Miguelez
Sélection mode ::: 17
Pantalon Only
T-shirt Marc O' Polo
Chaussures Sacha
Foulard Christian Lacroix - chez Maroquinerie du Passage
Pantalon Only
T-shirt Marc O' Polo
Chaussures Sacha
Foulard Christian Lacroix - chez Maroquinerie du Passage
Trench Comma
Sélection mode ::: 19
Sélection mode ::: 21
Robe Morgan - chez Ville Neuve
Chaussures Sacha
Pochette Gianni Chiarini - chez Maroquinerie du Passage
Montre Montblanc et collier Ginette NY - chez Isabelle Kass
Pour réaliser les photos de son édition de mai, Janette s’est rendue au Moulin d’Altwies, splendide lieu d’accueil pour des événements divers, entièrement rénové mais qui a su garder toute son authenticité. Découvrez les coulisses du shooting et profitez des conseils de nos experts en mode, maquillage et coiffure !
remplacer le fameux look tailleur classique pour aller au travail
« Tout est question d’équilibre ! Par exemple, on peut sélectionner une pièce casual comme un jean (coupe droite) à porter avec une chemise et des escarpins (ou des mocassins) pour ajouter un côté chic à la tenue. Autre idée, on peut remplacer la chemise qui paraît parfois très classique par un pull à col roulé à porter avec une jupe en tweed. Selon la saison, on peut adopter une robe fleurie bien coupée (pas trop courte, pas trop décolletée) à porter avec de beaux escarpins. Pour celles qui l’oseront, un tailleur classique mais très coloré (rose, parme, bleu, jaune) saura lui aussi vous sortir de l’ordinaire ! »
réaliser une coiffure discrète mais tendance pour épater ses collègues de travail
« Élaborer une technique de wavy hair avec un simple lisseur est une bonne astuce pour avoir une coiffure simple, moderne et tendance. Cette astuce s’adapte à plusieurs types de cheveux. Pour les cheveux longs, un conseil : faites vos boucles wavy avec un lisseur et portez-les relâchés pendant la journée. Pour le soir, attachez vos cheveux en les relevant à l’arrière de votre tête et en les entortillant. Utilisez trois épingles pour les maintenir, laissez quelques mèches ressortir à l’avant, et le tour est joué ! »
de l’institut Marian Miguelez
une jolie mise en beauté sans trop en faire pour aller au bureau
« Pour un glow naturel, démaquiller sa peau avec un lait et une lotion adéquats, mais surtout bien nourrir et hydrater la peau avec une crème adaptée, c’est cela qui donne à la peau un beau rayonnement naturel. Ensuite, appliquer une BB crème et souligner le regard d’un crayon marron fondu au tampon mousse et d’un mascara marron. Tout simplement. »
Le Moulin d’Altwies pour son accueil chaleureux et le fabuleux décor dans lequel nous avons pu prendre les photos. Merci également à Ivana de l’institut Marian Miguelez et à Corina du salon Ferber pour la superbe mise en beauté de Mélissa, ainsi qu’aux boutiques Ville Neuve, The Corners, Marc O’Polo, Comma, Only, Maroquinerie du Passage, Isabelle Kass et Sacha du centre commercial Belle-Étoile pour le prêt des vêtements, chaussures, accessoires et bijoux !
Pour la réalisation de ce shooting, nous remercions :
Défilé printemps-été 2023
Le blouson court oversize nude est la veste de mi-saison à se procurer d’urgence. La coupe et les multiples détails de ce modèle - comme les poches à rabat, le col montant, les pressions ou encore les poignets boutonnés - le rendent irrésistible.
Iro - 545 €
L’imprimé fleuri est de retour cette année et on le porte sans modération sur une petite jupe à volants. La veste casual vient casser l’esprit girly et tropical de ce joli bas. Et l’association est à tomber !
Guess - 90 €
Pour compléter ce look casual et floral, on enfile une brassière en maille que l’on dissimule sous le blouson. Avec son effet déchiré, cette dernière apporte une pointe de nonchalance.
Zara - 15,99 €
On termine cette allure avec un joli bijou qui apportera la touche de brillance : une boucle d’oreilles « earcuff » en forme de serpent. Elle donne un côté rock et sensuel.
APM Monaco - 126 €
Aujourd’hui, le sac se porte sous le bras. On craque donc désormais pour les pochettes XXL et fourre-tout. Certaines sont pourvues d’une chaîne ou d’une lanière, mais cette dernière n’est plus vraiment indispensable.
Lottusse - 719 € +
Depuis quelques années déjà, les baskets sont au cœur de toutes les tendances. Et pour les féminiser, on ose davantage les porter avec des jupes courtes. Elles permettent aussi d’adoucir le côté sexy de certaines pièces.
Chloé - 550 €
N’hésitez pas à l’associer à vos différents looks, il donnera indéniablement la touche chic à vos tenues !
Le blazer – FilippaK - 635 €
Solaires Chanel 420 €, crème solaire visage Collistar 36.49 € robe Scotch & Soda 239.95 €, ceinture Scalpers 49.90 € sandales IKKS 185 €, sac Arket 179 €
Solaires Lacoste 127 €, tee-shirt Twinset Milano 114 € jean Loïs 159.95 €, sac Jérôme Dreyfuss 490 € baskets Tommy Hilfiger 199.90 €, socquettes Calzedonia 4 €
10. Vans - Authentic-Stackform – 110 €
11. Veja - Petale White Multico – 180 €
12. Salomon sur Zalando – XT6 179,95 €
Vous venez d’investir un nouvel espace, et vous souhaitez réaliser un dressing sur-mesure. Celui-ci peut être génialement pensé : s’il ne l’est pas en fonction de certains paramètres propres à vous et à votre espace, il pourra faire l’objet de certaines frustrations. Dans cet article, nous vous aidons à décrypter les étapes clés pour réussir votre mission.
Avant toute chose, chère Janette, nous vous invitons à trier vos vêtements et accessoires toutes saisons confondues. Cela vous permettra de penser votre espace pour une garde-robe qui correspond à une utilisation réelle de vos vêtements et accessoires.
Inventorier les tenues qui vont remplir le dressing est la base du processus. En effet, de combien de vêtements de chaque genre disposez-vous ? Quels accessoires mettrezvous en place dans votre dressing ? Allez-vous le partager avec Jano ou pas ?
Souhaitez-vous plier vos pulls et vos tee-shirts à la Marie Kondo ? Préférez-vous les piles classiques ? Aimez-vous avoir vos pantalons sur cintres, sur des étagères ou dans des tiroirs ? Souhaitez-vous rassembler la garde-robe été avec celle d’hiver ? Disposez-vous de suffisamment de place pour le faire ? Les réponses à ces questions essentielles à se poser en amont vous donneront les clés pour dérouler la suite du processus.
Bien que certaines entreprises travaillent très bien, rares sont celles qui pensent l’espace avec vous en le liant directement avec les objets à y entreposer. Nous vous conseillons donc en fonction des réponses aux questions précédentes, d’observer et de mesurer l’espace dont vous disposez et de projeter dans cet espace votre dressing idéal.
Pour ce faire, réaliser un croquis reste la meilleure solution. Installez-vous là où votre dressing sera construit. Reportez les mesures et imaginez des espaces pour des portants, d’autres pour des étagères, et enfin pour des tiroirs de différentes profondeurs en fonction des vêtements ou accessoires que vous aurez à y entreposer. Pensez hauteur, avec par exemple des portants hauts destinés à vos robes longues. Pensez profondeur, pour par exemple les costumes de Jano ou des manteaux qui seront rangés sur des cintres plus larges. Et enfin pensez largeur par rapport au besoin d’espace pour chaque genre qui rejoindra votre dressing. Par exemple, si vous possédez beaucoup de jupes, de robes et de hauts que vous aimez avoir sur cintres, il vous faudra l’espace en conséquence. Réfléchissez également à chacun de vos accessoires : bijoux, sacs, chaussures, devraient être installés selon vos critères.
Faites appel à des experts que vos amies vous auront conseillés. Vérifiez leurs tarifs, la durée du chantier, ce qui est compris dans l’offre et les délais proposés. Et voilà, il ne vous reste plus qu’à finaliser vos choix de couleur, matières et accessoires et votre dressing prendra bientôt vie !
J’aime les belles choses et je reconnais le savoir-faire et l’excellence qu’il y a derrière, car j’ai travaillé pour LVMH. Je possède des pièces de marques telles qu’Azzaro, Thierry Mugler, Christian Lacroix, Sonia Rykiel ou Givenchy, que je mixe avec H&M, La Fée Maraboutée, ou autre.
La Malle de Lux, parce qu’au-delà du choix des vêtements qui est toujours recherché et pertinent et qui me correspond, c’est une atmosphère un peu « copines qui se retrouvent » pour le plaisir de chiner.
Adélaïde DubucqSabine Marrucho est maman, française au Luxembourg, experte en stratégie de marque, fondatrice de l’agence Brandalys. Attirée par le style, elle cherche toujours la petite touche créative qui donnera un supplément d’âme aux tenues qu’elle porte.
La citation mode
« Les gens oublieront ce que vous avez dit, ils oublieront ce que vous avez fait, mais n'oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir. »
Maya Angelou
Quel est le créateur qui vous inspire le plus ?
Elie Saab, pour ce mélange de culture : la fusion entre l’Orient et l’Occident, ce style inspiré des voyages, des rencontres : bohème, sensuel, sensoriel.
Du marron chocolat avec du beige ou le noir avec le blanc, pour illustrer mon côté rond (Yin), plus sensible ou mon côté carré (Yang), plus businesswoman.
Le style, c’est le prolongement de notre personnalité, c’est une façon d’exprimer notre identité, nos valeurs, nos passions, c’est un mode d’expression.
La petite robe noire, parce que c’est la « minimum viable dress ».
La paire d’escarpins, parce que je me sens un peu plus wonderwoman, pour un mix entre élégance et pouvoir féminin.
L’accessoire, généralement un pendentif : il se porte de différentes manières et permet de ne pas avoir des looks trop statiques.
Vous souhaitez nous parler de votre dressing ?
Envoyez "dressing" à redaction@janette.lu pour prendre part à cette rubrique.
01. Denim for every body - C&A - 29,99 €
02. Tube de fleurs séchées Polhine - chez Black Wombat - www.black-wombat.com - 3 €
Dans une démarche toujours respectueuse des saisons, de l’environnement et du produit, la Boulangerie Fischer a élaboré de nouvelles recettes pour ses salades, sandwichs et autres mets printaniers.
L’équipe Traiteur de la Boulangerie Fischer met tout en œuvre pour vous offrir une cuisine tournée vers la fraîcheur du produit de saison et le mariage des saveurs. Dans ce contexte, elle vous propose depuis le mois d’avril une nouvelle carte gourmande. Au menu : des sandwichs colorés, des salades aux notes méditerranéennes et ses gaspachos, ces bonnes soupes froides gorgées de soleil dont on raffole toutes et tous !
UN VOYAGE culinaire
Côté encas, à base de pain, craquez pour une demi-baguette aux céréales composée de betterave rouge et de fromage de chèvre. Le tout associé à la roquette et à la sauce andalouse
signée La Moutarderie ! Un délice ! Vous souhaitez une autre alternative ? Le Sandwich Provençal, aux légumes d’été grillés, agrémenté de pesto est pour vous. Et pour rester sous la couleur du ciel bleu azur, nous avons misé sur les aromates pour notre nouveau bagel au saumon préparé avec roquette, câpres et ciboulette !
Côté salades, on quitte l’Italie pour vous emmener en Grèce avec la Salade Athènes aux Orecchiettes, tomates, poivrons, feta, concombre, caprons, olives noires, oignons rouges, origan et un filet d’huile d’olive bien sûr… Allez, une dernière virée, entre terre et mer, pour finir cette belle échappée avec la Salade des Champs, son jambon cuit local et quelques dés de comté ou encore la Salade aux Crevettes, rehaussée par un peu de gingembre, un « super-aliment » dont la teneur en nutriments et antioxydants est excellente. Enjoy !
Fischer reste à vos côtés en toute circonstance, que ce soit au quotidien ou pour vous accompagner dans vos événements de famille. Et qui dit printemps, dit saison des communions et des mariages. Consultez le site www.fischer1913.com pour découvrir toutes les offres.
Retrouvez également dans votre pochette de Janette du mois votre bon pour déguster cette nouvelle gamme.
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Alors que l’ « indoor » s’inspire très nettement de la nature avec la tendance actuelle du ‘tout végétal’, l’ « outdoor » reproduit à son tour les schémas de l’indoor. Le concept du vivre dedans/dehors commence à s’imposer et abroge les limites entre ces deux espaces. On choisit désormais ses tissus outdoor avec soin, dans le souci de pouvoir les recycler à l’intérieur une fois la belle saison passée. Par ailleurs, on reloooke de fond en comble ce petit bout de terrasse qui fait grise mine et, pour cela, on ne lésine pas sur les bonnes astuces empruntées aux codes de la maison. Et enfin, on éveille ses sens, les orteils posés sur l’herbe…
Remisé là, depuis quelques saisons sur votre balcon, votre mobilier extérieur fait pâle fgure même lorsque la belle saison est revenue. Le secret pour le « pimper » ? Des accessoires de bon ton et de bonne facture. Grâce aux progrès des tissus techniques, le confort extérieur est enfn assuré, sans avoir à tout mettre à l’abri à chaque fois qu'un nuage de pluie menace… Au revoir les chaises en plastique et les bancs en bois à l’assise trop raide ; bonjour les coussins ou tapis moelleux, parfaits pour se prélasser tel un lézard au soleil… Côté bonnes idées, afn de pouvoir réutiliser le décor extérieur à l’intérieur, la célèbre marque Lafuma propose une nouvelle gamme de fauteuils ‘Privilège’ à l’allure très élégante. En version haut de gamme, la marque belge Tribù a réussi à créer du mobilier extérieur aux lignes racées, dont la fnesse n’a rien à envier aux meubles d’intérieur. Alors n’hésitez plus : jouez la carte du dedans/dehors.
Pourquoi ne pas poser également un regard neuf sur ce petit morceau de toit terrasse, ou de rez-de-jardin, dont vous disposez…Voilà une chance et vous allez le découvrir bientôt ! Usez notamment de petits arbustes odorants pour donner la sensation d’un jardin secret, abusez de plantes grimpantes type glycine pour cacher un vilain détail architectural telle une gouttière, enfn plantez-y le décor, pour ainsi dire, avec
une banquette façon « lit de jour » ainsi qu’une jolie guirlande guinguette pour célébrer le tout ! Vous l’avez compris, tout est affaire d’intention ! Un mur bien triste à camoufler ? On opte pour une peinture, voire un papier peint d’extérieur si votre budget le permet. Une dalle à l’allure un peu triste ? On multiplie les tapis, type kilims, ou nattes pour plus de générosité. Peu d’attrait pour le mobilier du commerce ? On bricole un salon avec quelques palettes de bois que l’on habille de coussins imprimés ou on chine du mobilier culte qui ne craint pas la pluie, comme une chaise en rotin ou chaise Panton par exemple.
Au diable les jardins qui se donnent entièrement à voir façon pelouse de golf ! Essayez donc de faire naître un sentiment de voyage et de découverte à mesure que vous progressez dans votre jardin. Créez des perspectives avec des plantations hautes, qui pourront dissimuler le voisinage ou diriger l'œil vers la destination fnale. De grands arbres, comme des fguiers par exemple, donnent de la hauteur et du volume ; accompagnés d’une platebande d'herbes parfumées, ils vous inviteront assurément à la sieste… De la même façon, vous obtiendrez de grands résultats avec de petites terrasses. Pensez hauteur et volume en plantant des espèces grimpantes dans des jardinières peu profondes (faites attention au poids de celles-ci s’il s’agit d’un balcon) ; elles masqueront astucieusement les bâtiments voisins. Et petit conseil de
décoratrice : choisissez un sol clair, quitte à y poser un tapis, pour agrandir l'espace. S’agissant du mobilier, optez pour des pièces élégantes : intemporalité garantie.
› Harmonisez le décor de votre terrasse avec le décor de votre pièce à vivre si ces deux espaces communiquent visuellement.
› Privilégiez la qualité de l’équipement d’extérieur pour éviter qu’il ne soit déjà abimé à la saison prochaine.
› N’hésitez pas à verdir en volume le moindre mètre carré de balconnet, il vous assurera l’évasion tant désirée…
› Ne vous contentez pas du standard et pensez « confort d’utilisation », notamment pour remiser tables et chaises une fois l’été passé.
› Dans la mesure du possible, oubliez les matériaux ‘cheap’ comme le plastique et optez pour du bois pour son côté intemporel.
› Ne gardez pas ces immondes pots en plastique roses, verts ou jaunes dont vous héritez avec l’achat de vos plantes en jardinerie. Songez à replanter cellesci dans de jolies jarres ou des pots en terre cuite qui ont l‘avantage d’être également très bon marché…
Créez un extérieur ‘easy minded’ !
Vous avez la tête pleine de projets ? Rénover certaines pièces de votre foyer ou acheter la maison, celle dont vous avez toujours rêvé, installer des panneaux photovoltaïques pour économiser ou une serre dans votre jardin, épargner pour les études de vos petits et grands Janetons et tant d’autres idées qui vous obnubilent à longueur de journée… Avez-vous déjà pensé à anticiper, à investir pour les réaliser ? Quelle satisfaction de voir vos projets se concrétiser grâce à un investissement responsable. Avec easyLIFE Invest for Future, vous n’avez pas besoin d’être un expert du monde financier : investir est à votre portée !
Comme toutes les Janette, tous les Jano, investir vous rassure, vous permet de faire face à l’imprévu, d’envisager l’avenir plus sereinement, d’assurer celui de ceux que vous chérissez, d’anticiper les éventuelles di cultés, mais vous avez besoin d’être guidés, d’être conseillés vers l’investissement adapté à vos besoins, à vos nances actuelles. Or, le produit d’investissement que vous recherchez, c’est easyLIFE Invest for Future, car celui-ci s’adapte aussi bien à vos besoins qu’à
vos projets ! Selon votre pro l d’investisseur et votre propension au risque, vous pouvez répartir votre placement entre fonds d’investissement et support à capital protégé, pour sécuriser votre épargne.
La preuve que votre investissement s’adapte à votre mode de vie, vous avez l’opportunité de choisir entre trois formules : Safe, Balanced ou Dynamic. Celles-ci vous proposent di érentes répartitions entre épargne protégée et investissement en fonds. Étant modulables tout au long du contrat,
elles évoluent en même temps que votre pro l, s’adaptent à chaque étape de votre vie.
Vous vous souciez des impacts de vos investissements sur l’environnement ? LALUX aussi ! C’est la raison pour laquelle easyLIFE Invest for Future vous o re une alternative responsable intéressante, en accord avec vos valeurs éthiques, sociales et environnementales, celles qui vous tiennent
particulièrement à cœur à l’heure actuelle. Parce que ce qui compte pour vous compte aussi pour nous ! Soyez assurés que votre épargne, tant la partie en capital protégé que celle en fonds, est investie de manière responsable selon des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), grâce au label ESG Insurance Product de LuxFLAG
Accessibilité ET flexibilité À tort, vous pensez que l’investissement est inaccessible à votre foyer, que vous ne disposez pas des ressources nancières nécessaires pour y accéder, qu’engagement et exibilité sont incompatibles. Saviez-vous qu’easyLIFE Invest for Future est déjà accessible dès 1 000 € de prime unique et 50 € de versement mensuel ? Combinez protection du capital
et performance des fonds, et investissez donc à votre propre rythme, sans avoir d’incidence sur votre vie nancière quotidienne. C’est vous qui choisissez la façon dont vous aimeriez procéder. Anticiper et épargner sans vous priver, cela vous étonne et pourtant, c’est la réalité ! Autre bonne nouvelle : votre épargne est encore plus exible ! En cas de besoin, face à un coup dur - la vie étant faite d’événements imprévus, d’épreuves inattendues - vous avez également la possibilité de retirer tout ou une partie de votre capital, en respectant certains montants minimums. Cette exibilité est évidemment la bienvenue !
Que vous investissiez pour vos propres projets ou pour l’avenir de vos petits
Janetons qui deviendront grands : vous avez le libre choix des béné ciaires. Ainsi, vous plani ez tranquillement votre succession, vous assurez à vos proches le meilleur des avenirs et vous leur garantissez l’accès immédiat au capital que vous aurez épargné pour eux. Cerise sur le gâteau : le capital à la n du contrat est non-imposable, ce qui s’avère non négligeable.
Demandez conseil à votre agent LALUX qui, comme à l’accoutumée, sera là pour vous conseiller et vous aidera à mettre en place votre contrat easyLIFE Invest for Future pour faire grandir vos projets et surtout, pour les concrétiser !
Jano, Janette, easyLIFE Invest for Future vous intéresse ?
Rendez-vous sur lalux.lu afin d’en apprendre davantage sur cet investissement responsable.
Avec le retour de la belle saison, pourquoi ne pas revisiter notre petit bout de jardin, ou terrasse, façon « été en tente double » ? Convoquons les vacances immédiatement ! Débarquement pour la Sicile avec ce vase à l’allure folle ! Halte au Mexique, affalée sur ce bain de soleil irrésistible. Punta Cana, un cocktail à la main… Vous y êtes ? Alors, lors de votre prochain achat pour la terrasse, pensez “évasion” ; un bon pied de nez à notre ciel luxembourgeois… Faites appel également aux couleurs, une bonne astuce pour faire rayonner le plus petit des balcons et le métamorphoser en un lieu à part entière et où il fera bon vivre.
Tout comme la place Guillaume II, Monoprix voit son écrin originel embelli. Situé sur l’un des spots les plus sympas et emblématiques de la capitale, le magasin accueillera dorénavant une belle terrasse dotée d’une centaine de places où vous délasser avant ou après avoir arpenté ses allées, lors de la pause-déjeuner ou après votre journée. Mais cette sérénité retrouvée n’est pas la seule surprise réservée par Monoprix cette saison…
S’installer, regarder les gens passer, prendre une bonne dose de vitamine D, trinquer et déguster, admirer la beauté de la place récemment rénovée et ce, tout en respectant la to-do-list que vous vous êtes fixée, il n’y a qu’un seul endroit pour cela : Monoprix. Avec sa centaine de places disposées çà et là le long du magasin, la terrasse ensoleillée du matin au soir sera votre nouveau point de ralliement avec Jano, entre amies, entre collègues ou simplement pour souffler avant de rejoindre votre foyer ou de retourner travailler. À toute heure, une belle carte vous permettra de vous restaurer. Prendre le temps et profiter pleinement, c’est possible quand vous n’avez pas besoin d’enchaîner les magasins.
Les ingrédients qui manquent à l’appel pour le repas, la fourniture scolaire réclamée par Janeton, le linge de maison que vous cherchez en vain depuis des mois, le cadeau qu’il vous faut dans l’immédiat, la vaisselle pour recevoir vos convives ce week-end, plus la liste s’allonge, plus votre stress est palpable. Respirez, Janette, car Monoprix vous permettra de trouver tous les articles que vous avez répertoriés et même plus dans un seul et même espace. En vous facilitant la vie, vous aurez dorénavant du temps pour flâner, pour observer les collections inédites, pour admirer les dernières tendances et pour vous, tout simplement. Quelle satisfaction d’avoir le temps de manger ou siroter une
douceur salée ou sucrée au soleil une fois votre liste des choses à trouver complètement barrée !
Réfractaire au shopping, Jano ne supporte pas de passer d’une boutique à l’autre. Alors que vous, vous aimez déambuler, il est davantage gain de temps et efficacité. Monoprix l’a bien compris et lui dédie dès à présent un espace reprenant une belle sélection de vêtements où il trouvera son bonheur quelle que soit la saison.
Avec cette terrasse exclusive et ce nouvel espace dédié à Jano, Monoprix est bel et bien dans la place !
Monoprix Guillaume II (2, place Guillaume II, L-1248 Luxembourg), mais aussi… Monoprix Fort Bourbon (3-11, rue du Fort Bourbon L-1249 Luxembourg), Monop Chimay (14, rue Chimay L-1249 Luxembourg), Monop Pasteur (8, avenue Pasteur L-2310 Luxembourg), Monop Liberty Plaza (12, rue Joseph Junck L-1249 Luxembourg)
Toute Janette et tout Jano portent en eux l’héritage de cette période après guerre où la population garde les stigmates du manque et de la faim. L’explosion de l’industrie et des nouvelles technologies ont donné à chacun le sentiment de pouvoir combler ce manque par la possession. Pourtant, la sensation de manque n’a plus de raison d’être dans notre société et, malgré tout, aujourd’hui, nous l’exprimons encore fortement. En effet, vous avez déjà expérimenté les après-midi shopping, carte bancaire à la main, à acheter plus vite que votre ombre, à dépenser au-delà de vos capacités financières. Vous avez déjà expérimenté ce sentiment de puissance et de pouvoir qui naît de la possession d’un, voire
plusieurs objets. D’ailleurs, chère Janette, ne parlons-nous pas de « pouvoir » d’achat, lorsque nous discutons de la capacité financière d’un compte en banque ? Parce que, assurément, nous sommes à la recherche de notre pouvoir lorsque nous dépensons et donc possédons, sans compter.
Lorsque nous vivons une pulsion d’achat, la dopamine et sa
copine, la sérotonine, coulent dans nos veines, et nous procurent un bien-être sans nom. Néanmoins, cette sensation est temporaire et, par conséquent, elle prend fin inévitablement ; ces hormones se retirent aussitôt que nous passons le pas de notre porte, nous laissant un mélange de culpabilité, d’incompréhension et de doutes. Les hormones de la récompense, du plaisir instantané et du bonheur, agissent uniquement lors de l’achat, de ce moment unique où le terminal de paiement émet son léger
« bip » d’affirmation, comme s’il souhaitait nous dire : « Félicitations, vous êtes désormais l’heureuse Janette détentrice de cette magnifique robe qui vous ira à merveille ce printemps ! »
Néanmoins, à condition que cet achat ait été fait dans la précipitation, dans la quête d’un idéal infranchissable, ceci est un leurre. C’est pourquoi nous le répétons régulièrement, pour pouvoir toucher de nouveau ce sentiment de puissance, qui est déjà en nous, même si bien caché.
Lorsque nous sommes dans l’énergie de posséder, nous nous éloignons de qui nous sommes réellement. Nous sommes dans une projection de qui nous souhaitons être, de cet idéal fantasmé plus que réellement aligné à soi. « Je souhaite tel appareil nouvelle technologie parce que je sais que j’en ai besoin pour améliorer ma qualité de vie, cela m’est primordial ! » Dans ces souhaits, ces requêtes, il y a une certaine pression « avoir plus, avoir mieux, améliorer tel aspect de ma vie, faire plus. » Et cela peut provoquer une tension dans le corps. Toutefois, voici deux techniques qui vous aideront à acheter un bien en alignement avec votre cœur :
• Lorsque vous êtes sur le point d’acheter un objet, un vêtement, prenez quelques secondes à l’écart du mouvement, du bruit, tout en gardant l’objet précieux dans vos mains. Fermez vos yeux, prenez une inspiration par le nez puis une expiration par la bouche. Répétez jusqu’à trois fois si vous en avez besoin. Puis, imaginezvous avec cet objet, chez vous, dans votre quotidien, au travail, seule, avec famille et amis. Alors que vous vous projetez dans ce futur, quelles sont vos sensations corporelles ? Quelles sont vos pensées ? Quels sont vos mots ? Posé plus simplement : est-ce que cet objet vous procure du plaisir ?
• Un autre exercice que j’adore aussi pratiquer, Janette dépensière que je suis, est de mettre l’objet convoité dans un panier de commerce en ligne. Je le laisse dans ce panier, le temps de quelques jours. Si l’envie de le posséder est encore présente après deux ou trois jours, alors je l’achète. Et, petit secret entre Janette : la plupart du temps, l’objet me sort de la tête et j’oublie mon envie ! Donc, il ne m’était pas aussi utile que je le pensais.
Bon à savoir : ces techniques fonctionnent parfaitement pour nos petits Janetons !
Dans une société de surconsommation et matérialiste, il est difficile de savoir quelle Janette nous sommes. Dans une société où nous regardons d’autres Janette, plus belles, plus fortes, plus, plus, plus, par écran interposé, nous ne savons plus voir notre vraie valeur. Et pourtant, elle est bien présente. Il y a en chaque Janette un super pouvoir, une force, et parfois, il suffit de poser son intention sur ce qu’il y a à l’intérieur de soi, et non à l’extérieur. L’art existe depuis que l’Homme est Homme et est un moyen prodigieux pour se connecter à soi, sans faille et sans « chichi ». L’écriture, la lecture, le dessin, la peinture, la danse… Tous ces moyens sont d’autant plus puissants qu’ils sont accessibles à toutes et permettent une ouverture à soi ! Et bonus supplémentaire, chère Janette, l’art, peu importe lequel, fait jaillir en soi la dopamine et la sérotonine, avec un effet plus long, parce qu’il est accompagné par la fierté d’un travail accompli.
Souvent, il s’agit de se déshabiller, de se mettre à nu, pour enfin choisir et porter les vêtements qui nous correspondent le mieux.
Avis à celles qui ne sont pas vraiment du matin, cet article est fait pour vous ! Et plus particulièrement pour celles qui ont du mal à arriver à l’heure au travail tout en étant coiffées et maquillées.
Selon Janette, il suffit de changer quelques gestes à votre routine beauté matinale pour ne pas être en retard.
Si vous avez l’habitude d’appliquer un sérum, une crème hydratante, une protection solaire et un fond de teint, optez plutôt pour un produit qui rassemble tout en un. L’idéal est d’opter pour une BB crème ou une CC crème. Les deux intègrent des actifs hydratants, parfois un filtre solaire et protègent des agressions extérieures. À mi-chemin entre le soin et le maquillage, elles permettent de gagner du temps et subliment la peau sans l’étouffer. Pour choisir entre les deux, tout dépend de votre peau : la BB crème est plus couvrante et joue davantage le rôle du fond de teint en camouflant les imperfections alors que la CC crème est plus légère et permet d’unifier le teint.
Le trait d’eye-liner, façon oeil de biche c’est très joli, très tendance et si vous savez le maîtriser tant mieux pour vous, mais ce n’est pas un exercice facile pour tout le monde. Alors si vous n’avez pas encore l’expérience nécessaire, utilisez plutôt un crayon à estomper sur la paupière. Ce produit permet d’avoir un « smocky eye » léger et un regard travaillé en quelques secondes seulement.
FAIRE SON SHAMPOOING
LA VEILLE OU UTILISER
UN SHAMPOOING SEC
Réaliser son shampooing au petit matin est une véritable corvée, pourtant on s’obstine encore à laver nos cheveux au saut du lit alors qu’il serait tellement plus simple de le faire la veille pour n’avoir plus qu’à les coiffer le matin. Il y a aussi l’option « shampooing sec », n’hésitez pas à vous prémunir de ce produit qui sauve souvent la mise. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez saupoudrer
Sophie Ortega
vos racines avec un peu de fécule de maïs, laissez poser quelques minutes pendant votre session maquillage et retirez l’excédent avec une brosse.
AVEC SA MANUCURE
S’il y a bien quelque chose qui retarde les femmes, c’est la manucure ! D’autant plus qu’on a toujours tendance à la faire ou à effectuer des retouches au dernier moment. Et ensuite, il faut attendre que ça sèche… C’est la pire chose à faire le matin, si on veut être à l’heure. Faites-la donc la veille si vous êtes prévoyante. Si ce n’est pas le cas, gardez à portée de main un pot de dissolvant avec mousse intégrée pour un nettoyage rapide et munissezvous d’un petit vernis pour faire une retouche à la pause dej’ par exemple.
Après toutes ces astuces beauté, en voici une qui a son importance en terme de logistique. En tant que femme, vous avez probablement tendance à accumuler de nombreux produits de beauté et de maquillage dans vos tiroirs de salle de bains. Pour vous éviter de perdre un temps fou à chercher en vain, préparez une trousse ou un espace dans lequel isoler les produits du quotidien essentiels à votre routine matinale.
MAGNETIC EYE COLOR
Ce crayon-fard s’utilise pour les yeux, il s’estompe facilement sur la paupière, mais il peut aussi être utile pour créer des effets de lumière dans le coin interne ou externe de l’œil, au niveau de l’arcade sourcilière et aussi sur les pommettes.
Nudestix - 26 €
BAIN DISSOLVANT EXPRESS
Ce dissolvant avec mousse intégrée peut se transporter et s’utiliser partout sans avoir à utiliser de coton. Sa formule, enrichie en vitamine E, évite le dessèchement des ongles.
Monoprix - 4,49 €
STUDIO FIX EVERY-WEAR
ALL-OVER FACE PEN Disponible en 33 teintes, ce stylo réunit fond de teint et correcteur en une formule. Sa texture fluide fond pour une sensation de seconde peau et une hydratation immédiate.
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La dernière innovation de Börlind, ROSE NATURE, une série de soins contre le vieillissement précoce de la peau dû au stress et à l’exposition à la lumière bleue.
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À la veille de la journée mondiale sans tabac, les méfaits du tabagisme sont bien connus et toujours répétés. Mais maintenant que le premier pas vers la volonté de se sevrer est là, comment s’y prendre ? Comment mettre toutes les chances de son côté ?
Voilà, les nombreuses informations sur la dangerosité du tabagisme vous ont (enfin) convaincue de vous libérer de cette dépendance physique et psychique. Il ne s’agit pas ici de lister à nouveau les dangers du tabac, ses effets à court et long terme, bien culpabilisants et sources d’angoisse. Votre motivation est probablement longuement mûrie, décidée avec conviction cette fois et l’envie de vous libérer de ce cette
dépendance reste très personnelle et d’une certaine façon unique. Une dernière introspection peut s’avérer utile pour bétonner votre motivation. Il peut être utile de coucher sur le papier les piliers de cette entreprise pour les affiner, voire les relire dans les moments difficiles et ne pas perdre de vue sa motivation initiale. Malheureusement , il n’existe pas
de recette formatée transposable d’un individu à l’autre mais certains conseils peuvent vous aider à tenir le cap.
C’est une alternative au sevrage complet à zéro cigarette. Celui-ci reste bien sûr une option possible
qui s’accompagne le plus souvent de substituts nicotiniques, par patchs, inhalateurs, gommes à mâcher ou comprimés sublinguaux. La prise de substituts est réputée pour limiter la redoutée prise de poids mais impose de ne pas fumer conjointement.
Cependant se fixer un nombre décroissant de cigarettes fumées par jour vous permet de limiter l’apport de nicotine « sur-mesure », et d’être maître de votre consommation. Cela peut être très gratifiant par ailleurs. Les fumer à moitié est aussi une bonne attitude, ainsi que de réduire vos espaces fumeurs en vous interdisant de fumer dans votre voiture, certaines pièces, sur votre lieu de travail ou dans la rue. Ce freinage tabagique peut vous conduire doucement mais sûrement vers une date d’arrêt total, que vous déterminez seule.
On préconise souvent de communiquer cette date à vos proches, mais cela reste un élément de pression, de jugement aussi en cas de retard ou d’échec. Le sevrage tabagique rend un peu nerveux et irritable, au moins les premières semaines, donc pas la peine d’en rajouter avec des commentaires plus ou moins bien perçus.
À contrario, il faut tout de même privilégier les interactions non fumeurs au moins pour un temps et bannir dans les premières semaines les situations à risque, particulièrement la consommation d’alcool qui appelle souvent la cigarette et peut saper en quelques minutes votre volonté.
Chaque cigarette non fumée doit être une petite victoire, qui doit
conduire à l’arrêt du tabagisme à terme.
L’argent économisé peut être mis de côté de façon symbolique et vous permettre de vous offrir un petit cadeau, à considérer comme une petite récompense. Il s’agit surtout de vous féliciter, de vous encourager vers la fin de la dépendance psychique.
Ce nouveau rituel peut s’inscrire dans une stratégie pour limiter puis stopper le tabac, stratégie qui consiste à restructurer votre quotidien, vos habitudes, ou tous les temps qui étaient inévitablement associés avec le fait d’allumer une cigarette.
Ce nouveau mode de vie, sans tabac va vous conduire doucement mais sûrement vers de nouvelles activités, sources de plaisir. L’activité sportive, ou l’exercice physique est bien sûr conseillé pour réduire la potentielle prise de poids qui accompagne le sevrage tabagique du fait de la compensation par grignotage.
Et très concrètement, valorisez l’amélioration de votre souffle, de votre goût, et de l’aspect de votre peau.
La sollicitation de professionnels de santé reste une aide précieuse. La consultation auprès d’un tabacologue, d‘un médecin, d’un psychologue peut vous aider dans la construction de votre stratégie d’arrêt, vous soutenir dans les moments difficiles ou même les rechutes.
La ligue médico-sociale propose des consultations gratuites (stop-femmen@ligue.lu) et la Fondation Cancer a un site dédié : maviesanstabac.lu avec aide gratuite possible également.
Il existe aussi de nombreuses applications de coaching au sevrage tabagique.
Toutes les méthodes sont bonnes, et très personnelles. Les méthodes alternatives telles que l’hypnose, l’acupuncture ou la mésothérapie peuvent être intéressantes pour certaines ainsi que le vapotage qui devrait s’inscrire dans une durée limitée.
Enfin, si toute tentative peut se solder par une rechute, on ne peut pas parler d’échec. Chaque tentative vous apprend un peu plus de votre dépendance, de votre fonctionnement en général, et des stratégies personnelles qui fonctionnent ou pas.
Chaque tentative vous a évité de fumer un nombre quel qu’il soit de cigarettes. Et chaque tentative vous rapproche du succès.
Il faut tout de même privilégier les interactions non fumeurs au moins pour un temps et bannir dans les premières semaines les situations à risque, particulièrement la consommation d’alcool qui appelle souvent la cigarette.
Née à Remich, Danièle a étudié la biologie à Heidelberg et à Munich. Mariée et mère de trois enfants, après avoir travaillé huit ans au CRP-Santé, elle a laissé la recherche derrière elle pour rejoindre l’entreprise familiale Moes Frères. Avec son père Gérard et son frère Pit, ils ont transformé la quincaillerie locale d’origine en un magasin spécialisé regroupant un large assortiment de produits.
Pour une cuisine à votre image
Pour une dégustation conviviale
« Électricité Folschette, c’est l’entreprise familiale que je recommande lors de l’achat d’une cuisine. L’équipe vous conseille de manière personnalisée et professionnelle lors de l’élaboration de votre projet et le service après-vente est remarquable. »
16, route de Luxembourg L-1899 Kockelscheuer
« Dans un cadre restauré avec soin, propice à la convivialité, la Distillerie Diedenacker organise des dégustations d’eaux-de-vie. Un moment riche en découvertes, idéal à vivre avec les amis, où le savoirfaire local est mis en valeur. »
9A, rue Puert L-5433 Niederdonven
« Pour m’évader sans trop m’éloigner de la maison, j’adore me rendre au Pavillon Desom. Sur sa magnifique terrasse avec vue sur la Moselle, j’ai le sentiment d’être en vacances tout en dégustant de la bonne cuisine accompagnée d’excellents vins. »
9, rue Dicks L-5521 Remich
« L’espoir, ce n'est pas la conviction que quelque chose va bien se passer, mais la certitude que quelque chose a un sens, quelle que soit la façon dont cela se passe. »
Vaclav Havel© Simona Sergi | Unsplash © Distillerie Diedenacker © Desom Luxembourg
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Pour cesser de courir après le temps, vous avez tout testé… En vain ! Et si la solution se trouvait sous vos yeux depuis longtemps : le rangement et l’organisation de votre foyer. En faisant appel à Organized by Pauline, vous doublerez votre gain de temps. Elle rangera, organisera ces pièces auxquelles vous n’osez vous attaquer, elle facilitera votre quotidien en regroupant, en catégorisant. Formée en décoration d’intérieur, elle soignera l’esthétique finale en choisissant des contenants adaptés à votre mode de vie, à votre style.
Experte dans le domaine de l’esthétique, formée en naturopathie, en médecine traditionnelle chinoise, en soins ayurvédiques et en reiki, à l’institut Marian Miguelez, Esmeralda insuffle cette soif d’apprendre, ce désir de se surpasser à toute son équipe. Avide de méthodes aussi bien naturelles qu’innovantes, chaque esthéticienne vous fera bénéficier des meilleurs soins beauté et bien-être adaptés à vos spécificités. L’équipe veillant constamment à se perfectionner, les effets sur votre corps et votre esprit seront décuplés.
Sorte de laboratoire à recettes délicieuses, faciles et rapides, la kitchenette accueille chaque mois Anne Faber qui s’inspire de son livre pour améliorer notre quotidien côté cuisine !
Cobbler à la rhubarbe et aux fraises
Pour 6 personnes
350 g de rhubarbe
Préparation : 30 minutes
Four : 40 minutes
400 g de fraises
110 g de sucre
1 fève tonka ou 1 gousse de vanille amandes effilées, à saupoudrer
Pour la pâte : 125 g de farine
1 c.à.c. de levure chimique
60 g de sucre
½ c.à.c. de sel
20 g de flocons d’avoine
170 ml de crème fraîche liquide
1 c.à.c. d'extrait de vanille
Pour la chantilly :
200 ml de crème fraîche liquide
50 g de sucre glace
• Préchauffez le four à 170 °C chaleur tournante.
• Coupez la rhubarbe en cubes de 1 cm. Équeutez les fraises et coupez-les en quartiers. Mettez les fruits dans un plat allant au four de 20 x 25 cm.
• Mettez le sucre dans un petit bol. Râpez la moitié de la fève tonka dans le sucre ou, si vous utilisez une gousse de vanille, coupez-la dans le sens de la longueur, grattez les graines et mélangez avec le sucre.
• Versez le sucre sur les fruits et remuez pour que tous les fruits soient enrobés de sucre.
• Pour la pâte : mettez la farine, la levure chimique, le sucre, le sel et les flocons d’avoine dans un bol. Ajoutez la crème fraîche liquide et l'extrait de vanille et mélangez afin d’obtenir une pâte.
• Répartissez la pâte sur les fruits, de manière à obtenir 6 petits amas. Saupoudrez d'un peu d'amandes effilées et enfournez le cobbler pendant 40 minutes.
• Pendant ce temps, préparez la chantilly. Versez la crème dans une cruche, ajoutez le sucre glace et fouettez jusqu'à ce qu'elle soit ferme.
• Après 40 minutes, sortez le cobbler du four et servez chaud ou à température ambiante, en ajoutant à chaque portion une cuillerée de crème chantilly.
Depuis sa création le 25 mars 1992, l’ONG Fairtrade Lëtzebuerg et ses partenaires s’engagent à agir ensemble pour développer un commerce équitable plus juste, plus durable entre les producteurs et travailleurs d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et des Caraïbes et les consommateurs luxembourgeois. En choisissant des produits certi és Fairtrade tels que les délicieux ingrédients utilisés pour cette recette, vous e ectuez un acte de bon sens, garantissant ainsi des prix équitables aux producteurs, et contribuant à améliorer leurs conditions de vie et de travail.
e future is fair !
2 A, rue de la Gare, L-6910 Roodt-sur-Syre (bâtiment Gare CFL)
Tél. : +352 35 07 62 | info@fairtrade.lu
www.fairtrade.lu
@ONGFairtradeLetzebuerg
@fairtrade_letzebuerg
@fairtrade lëtzebuerg
@fairtradeletzebuerg1458
Préparation : 5-10 minutes (plus une heure de réfrigération)
cannelle et le lait de coco, jusqu’à obtenir une mousse douce et crémeuse.
2 avocats Fairtrade bien mûrs, en morceaux
2 cuillères à café de jus de citron
30 g de cacao en poudre Fairtrade
2 cuillères à soupe de beurre de cacahuètes Fairtrade
150-200 ml de sirop d’érable
1 cuillère à café de cannelle en poudre Fairtrade
150 ml de lait de coco Fairtrade (du réfrigérateur)
50 g de chocolat noir végétalien Fairtrade, nement concassé
• Réduisez les avocats en purée (au préalable, assurez-vous qu’ils soient bien mûrs) avec le jus de citron, le cacao en poudre, le beurre de cacahuètes, le sirop d’érable ainsi que la
• Ajoutez le chocolat noir à la mousse et laissez celle-ci au réfrigérateur pendant environ une heure.
• Répartissez la mousse de manière équitable dans des pots. Avant de servir, peau nez la présentation en ajoutant un peu de crème de coco ou de crème fouettée au soja, de la noix de coco râpée et éventuellement quelques copeaux de chocolat extra noir supplémentaires.
Variez la quantité de sirop d’érable pour obtenir des goûts différents.
Longtemps relégué sur le banc des accusés de la prise de poids, le gras est désormais peu à peu réhabilité et c’est plutôt une bonne nouvelle. En effet, la fameuse phrase « le gras, c’est la vie » se révèle être pleine de sens.
Les lipides font partie des macronutriments indispensables au bon fonctionnement de notre corps. Ce sont les précurseurs des acides gras essentiels. Ils ont aussi un rôle au niveau de la thermogénèse (le maintien de la température), mais également un rôle structurel et physiologique car ils sont nécessaires à certaines réactions biochimiques. D’un point de vue structurel, les parois de nos cellules sont en grande partie composées
de lipides. La filtrabilité de ces parois va dépendre de la qualité et de la quantité des lipides ingérés. Plus les parois seront souples, plus nous éviterons les problèmes cardiovasculaires et plus les échanges cellulaires seront aisés. Ainsi, l’énergie sera mieux utilisée et les vitamines et minéraux seront également mieux distribués et donc assimilés.
Il existe 3 grands types de graisses : les saturées, les monoinsaturées et les polyinsaturées. Les graisses saturées ne sont pas nécessaires car le corps peut les fabriquer seul et on en consomme déjà trop. Elles viennent principalement de produits d’origine animale comme le beurre, la crème
fraîche, le fromage, la viande ou de préparations type biscuits, gâteaux, céréales industrielles. Les graisses monoinsaturées sont plus intéressantes. Elles comprennent notamment les oméga 9 naturellement présents dans l’huile d’olive, les avocats, les graines et oléagineux, mais aussi les omégas 7. Ceux-ci sont très intéressants pour la santé de la peau, du cœur et du système digestif. Ils se retrouvent assez peu dans notre alimentation. Ils sont un peu présents dans les noix de macadamia ou encore les anchois. Pour un apport suffisant, il faudra recourir à un complément alimentaire à base notamment d’argousier, riche en oméga 7.
Les graisses polyinsaturées quant à elles sont divisées en deux catégories : les oméga 6 et les oméga 3. Les oméga 6 sont largement représentés dans notre alimentation. Pour être en bonne
santé, on devrait les retrouver dans un ratio de 5 oméga 6 pour 1 oméga 3. Or, avec l’alimentation moderne, on est plutôt dans un ratio de 20 pour 1. Les oméga 6 sont pro-inflammatoires et donc il vaut mieux les limiter. Ainsi, il n’est pas nécessaire de consommer régulièrement des huiles de tournesol, de soja ou encore de maïs, riches en oméga 6. En revanche, les oméga 3 sont très intéressants pour notre santé car ils constituent une excellente source de carburant pour nos cellules. De plus, ils sont antiinflammatoires, or aujourd’hui de nombreuses pathologies trouvent leur lit dans l’inflammation. Ils jouent aussi un rôle de choix dans la lutte contre le surpoids en agissant au niveau des calories et en favorisant le déstockage des graisses. Ils sont aussi de redoutables protecteurs contre les maladies cardio-vasculaires. On peut en trouver d’origine animale
(petits poissons gras : hareng, sardine, maquereau, anchois ou encore saumon) et d’origine végétale (huile de colza, huile de lin, de cameline, graines de lin broyées).
Veillez à consommer au moins 2 à 3 cuillères à soupe par jour de lipides de bonne qualité. Il est important de les acheter dans des récipients en verre afin de ne pas absorber les perturbateurs endocriniens des contenants en plastique.
Pour cuisiner : de l’huile d’olive car elle résiste très bien à la cuisson. Attention à ne jamais la faire fumer sinon elle est devenue toxique et vous pouvez la jeter. La graisse de canard supporte également très bien la cuisson, tout comme le ghee, ce beurre clarifié ayurvédique aux nombreuses vertus. Pour les assaisonnements à froid : une huile riche en oméga 3. Ceux-ci s’oxydant facilement, il faut toujours les garder au frigo. Les graines de toutes sortes constituent également une option intéressante. Les graines de lin peuvent parsemer vos salades ou encore vos plats chauds. Elles doivent être moulues pour être bien absorbées et conservées au frigo. Attention à les ajouter au dernier moment et à ne pas les faire cuire. Les graines de chia se conservent de la même façon et se consomment toujours avec du liquide. Laissez-les toujours gonfler une dizaine de minutes dans du lait végétal, un yaourt ou tout autre liquide avant de les consommer.
Vous l’aurez compris, les bonnes graisses sont nécessaires à un corps en pleine santé. Elles permettent une meilleure utilisation de l’énergie et donc favorisent un poids sain. Ne les fuyez pas, mais choisissez-les avec soin et incorporez-les dans vos plats au quotidien.
Les Omega 3 jouent aussi un rôle de choix dans la lutte contre le surpoids en agissant au niveau des calories et en favorisant le déstockage des graisses. Ils sont aussi de redoutables protecteurs contre les maladies cardio-vasculaires.
Reprenons l’étymologie du mot travail, « le tripalium » en latin signifie torture. Envie de sexe sous la torture, y a-t-il des amateurs ? Exception faite des amateurs de latex, fouet, menottes et pratiques alliant fessée et ligotage dans un donjon au 2ème étage d’un pavillon de banlieue, bref nous éliminons d’emblée les aficionados des pratiques de domina bottée et d’esclave consentant. Monsieur et Madame tout le monde, selon l’expression consacrée, pratiquant une sexualité guimauve et routinière et ayant pour seule fantaisie une petite levrette du samedi soir après avoir gentiment visionné quelques scènes torrides sur un you porn sans abonnement, ont de plus en plus de fallacieux prétextes dont l’éternel « pas ce soir chéri (e), je suis trop fatigué(e) ! »
Fatigué(e), parenthèse oblige, car en aucun cas cette excuse massue, quoi qu’on en dise, n’est réservée aux femmes. Nos Jano aussi, exténués par leur laborieuse journée de travail, s’emparent de l’argument de la fatigue.
Le travail tue-t-il vraiment le sexe dans un couple ? Le chômage serait-il
Sophie Pilcer, sexologuesource de désirs sexuels irrépressibles ? Non, un peu de sérieux. La vraie difficulté serait de quitter la torture et de parvenir à rentrer chez soi en se libérant, en se déliant de son statut d’esclave travailleur et d’ouvrir un espace de sexualité libre, créative et érotique.
Si le travail est synonyme de stress, alors, oui, il pourrait rendre indisponible à la galipette. Autre option : l’amour au travail avec ce petit goût de transgression excitante qui, je vous l’accorde, n’est pas donné à tout le monde, mais osez imaginer l’excitation dès l’arrivée au travail, l’émoustillante réunion de 10h35, le mail suggestif de 12h qui laisserait présager que la pomme de la pause médiane sera croquée avec délectation et plutôt en mode jupette retroussée à la basic instinct, et que les nuances de grey seront un remake très jouissif de la scène dans l’ascenseur que l’on souhaiterait un peu plus souvent en panne !
Eh oui, je le concède, il n’est pas donné à tout le monde de jouer Emmanuelle sur son lieu de travail ! Pour le coup,
pas de panique (dans tous les sens du terme), le sexe n’a de raison d’être tué sous aucun prétexte. Travail, fatigue, stress ne seront pas les fossoyeurs de votre jouissance !
À moins de considérer le sexe avec effort pour d’obscures motivations ressemblant plus à du devoir conjugal qu’à l’extase orgastique !
Et si la clef était de faire l’amour en dehors des horaires dédiés ? Et si la clef passait par un changement de point de vue ? Faire l’amour ne doit pas être un effort épuisant mais un espace de liberté et la possibilité de se retrouver, de se ressourcer et de retrouver son énergie et sa tension sexuelle. Mais pour cela, deux ingrédients sont nécessaires. Ingrédient numéro 1 : faire l’amour pour soi, pour son propre plaisir et non pas pour garder son partenaire ou pour le rassurer. Ingrédient numéro 2 : ne jamais considérer la sexualité comme naturelle et innée mais comme un espace à créer, à cultiver, avec un apprentissage de soi et de l’autre, sans fin mais avec la volonté d’enrichir l’envie d’avoir envie pour garder la faim de l’autre.
Apparue dans les années 70, la pensée écoféministe revient sur le devant de la scène. Combinant justice sociale, environnementale, et de genre, ce mouvement qui participe à la convergence des luttes n’a pas fini de nous surprendre !
L’écoféminisme est un courant philosophique et éthique. Il explique les mécanismes et les conséquences d’un modèle de société basé sur le patriarcat.
C’est en 1974 que la notion d’écoféminisme est décrite pour la première fois en France par la militante et écrivaine Françoise d’Eaubonne, dans son ouvrage Le féminisme ou la mort
Les idées portées par ce mouvement
remontent toutefois au 19ème siècle, lorsque des féministes décrivent les liens entre la cause animale et la cause des femmes. Celles-ci dénoncent également l’asservissement des peuples colonisés par les pays occidentaux.
Contraction des mots "écologie" et "féminisme", le terme "écoféminisme" est ainsi bien moins réducteur qu’il n’y paraît. Il
s’intéresse à toutes les formes d’oppression et de domination : entre hommes et femmes, pays du Nord et pays du Sud, classes sociales, êtres humains et animaux…
Selon l’approche écoféministe, la destruction de l’environnement et l'oppression des femmes reposent sur un même système de
domination. Le courant retrace les discriminations, l’infériorisation et la dévalorisation subies par les minorités, la gent féminine et l’environnement au cours de l’Histoire.
Les figures du mouvement analysent les causes ayant conduit à ce modèle de société. Elles expliquent comment les femmes, les colons et la nature ont été considérés pendant des siècles comme des objets, justifiant le droit de les utiliser, les vendre, les violenter, ou de décider à leur place.
Il faut dire qu’à travers les époques, l’idée d’une prétendue supériorité d’une partie de la population a contribué à sa prise de pouvoir. Jugé rationnel et sensé, l’homme occidental était considéré capable de décider, de guider et d’expliquer ce qui était bon et juste. La parole des colons, des femmes et des enfants, était ainsi discréditée. Si les temps ont changé, aujourd’hui encore les stéréotypes liés à l’image de la masculinité sont valorisés. Les hommes en sont tout autant victimes que les femmes : on leur demande dès le plus jeune âge de se montrer courageux et de ne pas pleurer. La compétition, la force et la raison dominent la sphère économique et le monde du travail. Un gros salaire et une belle voiture sont toujours des signes de réussite, tout comme le fait de pouvoir voyager en avion ou de posséder une grande maison. Ce sont pourtant ces mêmes éléments qui nuisent à notre environnement en poussant nos ressources à l’épuisement.
était considéré capable de décider, de guider et d’expliquer ce qui était bon et juste. La parole des colons, des femmes et des enfants, était ainsi discréditée. Si les temps ont changé, aujourd’hui encore les stéréotypes liés à l’image de la masculinité sont valorisés.
À travers le monde, les femmes sont aujourd’hui les personnes les plus exposées à la pauvreté : elles gagnent moins, possèdent moins et assurent la majorité du travail non rémunéré.
Elles sont majoritaires dans les emplois précaires et sous-représentées dans les instances politiques ou économiques. Certaines n’ont pas accès au crédit, au droit de vote ou même à la propriété, rapporte l’association Oxfam.
Elles sont par ailleurs les premières impactées par le réchauffement climatique. Au Sud, la raréfaction des ressources et de l’eau entraîne un travail quotidien plus important. Au Nord, les femmes plient sous le poids des injonctions sociales qui les placent en première ligne pour préserver la planète. La charge mentale liée au tri des déchets, à une alimentation moins carbonée,
et de manière générale à l’ensemble des petits gestes écologiques, pèse principalement sur leurs épaules.
LES REVENDICATIONS DU MOUVEMENT
L’écoféminisme propose de repenser la manière de lutter contre la crise écologique et contre les inégalités, en mettant fin à la logique actuelle. Pour réduire les phénomènes de dépendance et de domination, le mouvement propose une approche positive, universelle et peut-être utopiste, qui consiste à prendre du recul pour reconstruire la société de façon inclusive et sans rapport de force.
Reconsidérer notre rapport aux autres, à la nature, à nos besoins, serait ainsi la clé de voûte permettant de se libérer d’un modèle dévastateur. Il s’agit là de construire de nouveaux horizons désirables, ne répondant plus uniquement aux valeurs androcentrées ou occidentales.
Sortir d’un système aliénant, en créant un monde respectueux de la vie sous toutes ses formes : voici le rêve des écoféministes, qu’ils soient hommes, ou femmes !
Jugé rationnel et sensé, l’homme occidentalSophie Caruelle
Il suffit d’un petit bout de jardin ou d’une terrasse pour créer son carré potager. Peu gourmande en temps et en espace, la culture surélevée est pratique, accessible et donne de bons résultats, même quand on n’a pas la main verte !
à proximité d’un point d’eau. Il faut pouvoir en faire le tour facilement afin de jardiner dans les meilleures conditions. Tout au long de la saison, le plus grand défi sera de maintenir la terre fraiche. En effet, l’eau s’évapore plus rapidement dans un bac qu’en pleine terre. L’arrosage sera donc le point clé pour garantir une bonne pousse et favoriser un espace productif. 03
oignons… Les légumes à cycles courts permettent aux cultures et aux récoltes de se succéder tout au long de l’année. Vous pouvez aussi miser sur des légumes peu volumineux, tels que le mini-concombre, les carottes grelots ou la courgette « verte non coureuse des maraîchers ». Pour résumer, évitez les variétés envahissantes et longues à pousser !
Le carré potager est délimité par des bordures. Les planches peuvent être achetées en jardinerie (en kit) ou la structure faite à la main. Veillez à choisir un bois résistant, d’acacia ou de châtaignier, traité et lasuré. Une fois le châssis assemblé, bâchez l’intérieur du carré avec un feutre de culture que vous agraferez au bois. Cela évitera que l’eau et la terre ne s’échappent. Côté outils, prévoyez une griffe, un plantoir, une pelle à terreau, un arrosoir et un petit sécateur. Une paire de gants, des tuteurs et des étiquettes pour les semis vous faciliteront la vie. Le seau de jardin et le voile d’hivernage font aussi partie des « must have » !
Le carré potager peut être posé au sol, surélevé ou en escalier, selon l’espace disponible. Il est idéalement exposé au soleil, à l’abri du vent et
Remplissez le carré pour moitié de terre du jardin et complétez avec du terreau horticole. Déversez un sac de vermiculite ou de billes d’argile pour assurer un bon drainage et éviter que la terre ne se tasse. Ajoutez du compost à la fin de l’hiver. Ce super-engrais naturel, composé de matières organiques décomposées, améliorera la qualité de votre sol et favorisera la croissance des légumes. Si vous confectionnez vous-même votre compost, pensez à l’aérer et à le retourner régulièrement afin d’obtenir un humus sain et de qualité.
Dans cet espace réduit, optez pour des légumes « simples » et à croissance rapide : tomates cerises, laitues à couper, haricots verts, plantes aromatiques, carottes, poireaux, ail, échalotes,
Vous l’avez peut-être remarqué, les carrés potagers sont souvent divisés en cases. Cet agencement permet de contrôler la densité de légumes en fixant un nombre maximal de plants. Pour un rendement optimal, le potager pourra ainsi accueillir un seul plant d’aubergine, de courgette ou de tomate par case de 40x40cm. L’ail, la betterave ou la laitue seront plantés par lots de 5 sur cette même surface. Les carottes, oignons ou poireaux seront au nombre de 9, etc. Pas de stress si vous débutez, une culture en ligne conviendra tout aussi bien ! Il convient juste de respecter l’espacement indiqué au dos de chaque paquet de graines. Lors de la levée, n’hésitez pas à éclaircir les semis trop serrés pour permettre aux plantules de se développer.
En fin de saison, on enlèvera les restes de végétaux. Viendra alors le moment de « décompacter » la terre pour l’aérer, puis la laisser au repos… Jusqu’au printemps prochain !
Que vous soyez à la tête d’une boutique physique ou que vous songiez à vendre vos produits ou créations en ligne, Letzshop vous servira de tremplin pour concrétiser ce rêve numérique. Grâce à ses conseils et à son approche unique, la première marketplace 100% luxembourgeoise vous donnera la visibilité que vous recherchez tout en favorisant et valorisant le commerce local, c’est-à-dire le vôtre.
Depuis son lancement en septembre 2018, à l’initiative d’un groupement d’intérêt économique composé du Ministère de l’Économie, de 18 villes et communes du Grand-Duché de Luxembourg, ainsi que de la Chambre des Métiers, de la Confédération luxembourgeoise du Commerce et de la Chambre de l’Artisanat, Letzshop n’a cessé de croître. Actuellement, la plateforme regroupe plus de 500 commerçants et artisans locaux. Et si vous étiez la prochaine à les rejoindre, Janette ?
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Sauter le pas en créant votre vitrine en ligne, l’idée vous séduit, mais elle s’accompagne aussi de nombreuses craintes : présence de contraintes, peur que votre e-shop
fasse de l’ombre à votre boutique physique. L’équipe de Letzshop dissipera toutes vos inquiétudes grâce à son accompagnement sur-mesure. Véritable soutien, ne prenant aucune commission, elle vous aidera à gagner en visibilité notamment grâce au référencement, vous guidera dans l’élaboration et la gestion de votre boutique en ligne a n que vous puissiez vendre vos produits ou créations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Démarches à suivre, photographies des produits, conseils par rapport à l’actualisation, solutions logistiques, campagnes publicitaires thématiques sur son blog et sur ses réseaux sociaux, contrôles de qualité seront au cœur des échanges réguliers que vous aurez avec l’équipe. Letzshop, un partenaire solide et durable qui vous aidera à prospérer au Grand-Duché.
Vous redoutez que votre terrasse, balcon ou maison soient envahis par les fourmis. Et si elles n’étaient pas votre pire ennemi ?
Les fourmis sont des insectes fréquemment relégués dans la case des nuisibles et pour cause, au printemps, il n’est pas rare de les voir envahir nos habitations. De par leur petite taille, elles s’infiltrent partout et il est parfois bien compliqué de détecter leur provenance.
Même si on n’apprécie pas leur présence, il faut reconnaître qu’elles ont une grande utilité au sein de la biodiversité. Tout d’abord, elles sont de véritables éboueurs écologiques. Elles se chargent de tous les déchets organiques en décomposition. Elles contribuent également à la dégradation du bois mort. De par les galeries qu’elles creusent dans la terre, elles améliorent aussi l’aération des sols. Dernier point à ne pas négliger, elles sont les prédateurs de certains insectes et de leurs œufs et constituent aussi la nourriture d’autres animaux comme les oiseaux. Elles ont donc un rôle capital au sein de nos écosystèmes.
Les insecticides chimiques que l’on retrouve dans le commerce s’avèrent redoutablement efficaces pour lutter contre ce type de nuisibles. Cependant, ils ne sont pas sans danger, ni pour
l’homme, ni pour la nature. De nombreuses substances chimiques se sont révélées gravement toxiques au fil du temps et pour répondre à de nouvelles normes, les industriels ont dû modifier leur composition. Des substances comme le chlorpyrifos ou encore le dichlorvos ont été longtemps utilisées mais sont aujourd’hui interdites dans la majorité des pays. Les produits actuels se targuent donc d’être produits à partir de substances végétales, mais cet élément ne les empêche pas d’être nocifs pour l’Homme et l’environnement.
La majeure partie de ces composants peuvent provoquer des réactions respiratoires sévères, mais peuvent aussi être potentiellement cancérigènes. Par ailleurs, ils sont une source notable de perturbateurs endocriniens entravant le bon développement hormonal de tous, mais des enfants en particulier.
Le côté insidieux de ces produits est aussi qu’ils imprègnent les habitats pendant de longs mois parfois. De plus, le format en spray aérosol est aussi une catastrophe sur différents plans : les brumes dissipées entrent plus facilement dans nos voies respiratoires (pendant la vaporisation, mais également après), ils ne peuvent pas être rechargés et leur recyclage est compliqué.
Si vous étiez amenée à utiliser ce genre de produits, veillez toujours à le faire en portant un masque, sans présence d’enfants et d’animaux et veillez ensuite à bien aérer la pièce.
En outre, du côté de nos amies les
fourmis, si elles s’imprègnent de ces substances, elles vont certes mourir, mais il est possible qu’elles retournent au préalable dans leur nid et donc polluent l’environnement dans lequel elles (et nous) évoluent.
Les huiles essentielles sont très puissantes et ne doivent pas être utilisées à la légère. Elles concentrent une énorme quantité de plantes et donc de principes actifs, c’est ce qui les rend très efficaces. Pour repousser les fourmis, les huiles de menthe poivrée et de lavande fine sont parfaitement indiquées. La menthe poivrée rebute énormément les fourmis qui n’apprécient pas du tout la forte odeur mentholée qu’elle dégage. Elle sera donc une alliée de choix pour les repousser. Quant à la lavande fine, l’indispensable de la pharmacie familiale, elle va nous être d’un grand secours par sa portée à large spectre. Un de ces composés, le linalol, est en effet un insectifuge puissant. Les fourmis, comme d’autres insectes, ne supportent pas son odeur.
Retrouvez la recette du répulsif à fourmis naturel en flashant
ce QR code :
Ah les écrans ! Le fameux problème de tous les parents. Au début, on se promet de ne pas les faire regarder la télévision, on jure que jamais ils ne toucheront à notre GSM, ni à notre tablette, encore moins à l’ordinateur… Et puis comme tout le monde, au fil des ans, de la fatigue et des négociations, on finit par lâcher du lest, et à tendre à notre Janeton implorant, notre téléphone au restaurant, juste pour avoir le temps de terminer de dîner tranquillement… Mais tout en culpabilisant évidemment.
Alors s’il est difficile, et parfois absurde d’interdire les écrans – n’avons-nous pas nous-mêmes regardé des dessins animés ? Joué à Mario Kart ? Et notre cerveau ne s’est-il pas développé normalement pour autant ? – il est néanmoins mieux de réduire leur utilisation à une durée qui vous paraît acceptable. Voici donc quelques idées pour proposer des alternatives à la lumière bleue et retrouver en même temps un peu de sérénité…
Au quotidien, commencez par limiter leur usage en établissant des règles claires : la télévision ou l’ordinateur seulement le week-end, la tablette uniquement pendant les vacances, et le tout avec une durée limitée et jamais avant de dormir. Si votre enfant sait lire l’heure, facile, s’il n’en est pas capable, optez par exemple pour un sablier ou un minuteur, ou comptez en dessins animés : « Trois épisodes de Pat’Patrouille et on éteint ! ». En contrepartie, proposez des activités en plein air comme un petit tour à vélo après l’école, une balade jusqu’à la boulangerie, ou une partie de basket ou de football improvisée
au parc. Pensez également à mettre un livre ou un magazine entre les mains de votre enfant ou conviez-le à vous aider dans la préparation du repas par exemple.
Cas classique où la tablette et le portable sont réclamés : les voyages qui durent longtemps, notamment en voiture. Pourtant, il n’est pas si compliqué de s’occuper différemment. Préparez en amont quelques jeux à faire ensemble sur le trajet, une playlist adaptée à ses goûts, une boîte surprise avec ses jouets, une bande dessinée, un petit goûter, pourquoi pas une carte de votre itinéraire pour qu’il puisse repérer votre avancée ou une liste de choses à trouver en chemin. Autre alternative aux jeux du téléphone ou aux films ? Le podcast. Il en existe une flopée adaptée au jeune public et disponible en libre écoute. Contes, faits scientifiques ou historiques, explications de langages : ces
derniers sont souvent passionnants et plairont à coup sûr aux petits comme aux grands.
Autre situation souvent ennuyante pour les enfants : le fameux restaurant. Là encore, prévoyez le coup : carnet à dessin, coloriages, jeux de cartes, solitaire, mots croisés… Préparez un petit kit pour chaque sortie et si vraiment le temps devient long, n’autorisez par exemple le téléphone qu’à l’heure du dessert, histoire au moins que votre enfant ne mange pas machinalement les yeux rivés sur l’écran, mais qu’il apprécie ce qui se trouve dans son assiette.
Enfin, n’oubliez pas que votre enfant vous observe et que vous êtes son exemple : si vous êtes vous-même scotchée à votre GSM ou à votre ordinateur, difficile pour lui de comprendre qu’il est important de faire autre chose… À vous peut-être de commencer par réduire votre propre temps d’écran ?
Détendez-vous, Janette, respirez profondément, accordez-vous tout simplement du temps afin de vous laisser chouchouter et transporter dans un univers de sérénité. Du lundi 22 au samedi 27 mai 2023, pour accueillir ce sentiment de bien-être tant convoité, un temple du zen s’installera au cœur de Differdange, dans votre galerie du Centre Commercial OPKORN.
Après le succès de la première édition en septembre dernier, venez faire le plein de zénitude lors de cette nouvelle édition printanière. La Place du Zen fait son grand retour et vous accueillera chaque après-midi avec une animation ou un atelier dédié au bien-être, propice à la quiétude.
Au programme : des ateliers insolites, créatifs et culinaires où Jano, les Janetons et vous pourrez profiter d’une pause dans votre quotidien, synonyme de relaxation et d’apaisement. Pour vous guider, vous conseiller et vous accompagner tout au long de cette expérience unique, dont
vous sortirez ressourcés, ces ateliers seront encadrés par des professionnels du bien-être, ravis de partager avec vous leur savoir-faire et expertise.
En parallèle de ces ateliers exclusifs, vous pourrez découvrir une sélection de produits et d’accessoires vous permettant de prolonger les bienfaits de cette semaine de bien-être à la maison avec Jano et les Janetons. Une Place du Zen qui vous aidera à vous relaxer sur le long terme. Articles de lithothérapie et soins de la peau seront disponibles sur les espaces éphémères de votre galerie OPKORN.
Et pour clôturer cette semaine en beauté, le samedi 27 mai 2023, la grande Braderie de Differdange vous réservera une multitude de bonnes affaires. Dans vos boutiques préférées, vous pourrez ainsi bénéficier de tarifs zen tout en vous mêlant aux animations bien-être proposées.
Impatiente de découvrir comment OPKORN compte vous chouchouter durant cette semaine zen ? Retrouvez le programme complet des ateliers et des animations sur opkorn.lu et sur la page Facebook et Instagram du centre OPKORN.
L’arrivée d’un nouveau-né est un moment incroyablement riche en émotions, en changements, en premières fois, en joies petites et grandes, véritables montagnes russes. Voyons comment se préparer au mieux à traverser cette période singulière de la vie.
Bernard Geberowicz, psychiatre et thérapeute familial, co-auteur avec la journaliste Colette Barroux-Chabanol du livre « Le couple face à l’arrivée de l’enfant » aux éditions Albin Michel, estime que la majorité des parents traverseraient des difficultés à l’arrivée du premier bébé. Ainsi, 20 à 25 % des couples se sépareraient dans les premiers mois après la naissance d’un enfant.
Au moment de la naissance tout est transformé ; les femmes deviennent des mères, les hommes des pères, le couple d’amoureux devient un couple parental.
Il est alors important de donner le temps à chacun d’appréhender son nouveau rôle avec bienveillance. Trouver sa place dans la famille est une étape délicate qui entraine de nombreux changements de dynamique avec leur lot de crises, de doutes et peut-être même, de disputes. De plus les conditions sont souvent difficiles. En effet, les changements hormonaux, le manque de sommeil et les peurs que nous pouvons avoir sont autant de facteurs qui sont sources de situations intenses. Tous les ingrédients d’un clash sont donc intrinsèquement concentrés dans cette étape de la vie…
Préparez-vous à l’arrivée de ce nouveau membre dans la famille. Pendant la grossesse, on se prépare à la venue du bébé, on pense à la chambre, à la poussette, à l’inscription à la crèche, mais on pense moins souvent à confronter nos visions pour la vie de futurs parents.
C’est d’autant plus important que chacun porte en lui un héritage d’évidences, de croyances bien ancrées en ce qui concerne ce qui doit être fait et, surtout, comment cela doit être fait.
Est-ce à la maman de s’occuper essentiellement du nouveau-né ? Quelle sera la place du papa ? Comment jouera-t-il son rôle de tiers défusionnel ? Qui se lèvera la nuit ? Que pensez-vous du portage, du co-dodo ? Quelle place laisserez-vous aux grands-parents ? Posez-vous autant de questions que possible afin de créer un modèle éducatif commun qui vous ressemblera, qui servira de boussole durant cette aventure.
Échangez avec bienveillance en utilisant les bases de la communication non violente comme formalisée par Marshall Rosenberg pour s’écouter et s’entendre ; la situation peut s’avérer parfois délicate, les parents pouvant être épuisés ou à fleur de peau. Dans ces moments-là, rappelez-vous les principes suivant avant de vous adresser à votre partenaire : observation, sentiment, besoin, demande. Plus précisément, que se passe-t-il ? Comment est-ce que je me sens ? De quoi ai-je besoin ? Puis formulez une demande concrète, précise et ouverte.
Concrètement, au lieu de fondre sur Jano en l’accusant de ne jamais s’occuper du bébé, vous pourriez lui expliquer que vous avez passé une nuit plutôt courte que par conséquent vous êtes très fatiguée, que vous avez besoin de faire une sieste au calme, vous lui demandez donc de sortir en promenade avec votre Janeton pendant 2 heures.
Prenez du temps pour vous individuellement ainsi que pour votre couple. En quelques jours, le nouvel arrivant aura probablement pris une place énorme dans vos cœurs et dans vos vies. Votre monde, dès lors, peut facilement tourner uniquement autour de votre petite étoile, de votre mission de maman pour un temps. Seulement, si vous n’y êtes pas attentives, vous pourriez, sans vous en rendre compte, vous oublier. Prendre soin de vous est indispensable pour aller bien mais aussi pour garder un équilibre, vous permettre de jouer tous les autres rôles de votre vie qui en font la richesse et la diversité, le pilier de votre épanouissement. De quoi a besoin la femme que vous êtes ? L’amie a-t-elle pris assez de temps avec ses copines dernièrement ? Avez-vous pu aménager des moments de qualité pour votre couple ? Sans culpabiliser, accordez-vous du temps.
Demandez de l’aide. Si vous en avez la possibilité, faites appel à votre entourage pour vous décharger un peu et ainsi faire baisser la pression quotidienne pour vous, pour votre couple. Les grands-parents, les ami(e)s seront très probablement ravis de vous apporter leur soutien, n’hésitez pas à leur faire part de vos besoins précisément sans culpabilité, ni honte.
Bien préparées, vous pourrez profiter sereinement de cette période merveilleuse. Consciente de tous les bouleversements en cours ne prenez pas de décisions hâtives, laissez passer les tempêtes si elles arrivent. Observez avec bienveillance votre Jano qui devient papa. Nul doute que cette période restera gravée comme l’une des plus belles et passionnantes de votre existence.
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Trouver sa place dans la famille est une étape délicate qui entraine de nombreux changements de dynamique avec leur lot de crises, de doutes et peut-être même, de disputes.Anne Roth
Nos petits Janetons retrouvent avec plaisir les vêtements de printemps, robe colorée pour les filles et bermuda pour les garçons !
CFO : « Qu’arrivera-t-il si l’on investit dans le développement des collaborateurs et qu’ils quittent l’entreprise ? ».
CEO : « Que se passera-t-il si on ne forme pas les collaborateurs et qu’ils restent ? »
Cette célèbre discussion d’un CFO avec un CEO relate avec beaucoup d’exactitude l’intérêt des entreprises à investir sur leurs collaborateurs. Évidemment, la formation a un coût ! Toutefois, l’investissement ne sera pas vain.
?
La formation continue est un processus d'apprentissage qui vise à maintenir, améliorer ou acquérir de nouvelles compétences et connaissances tout au long de la vie professionnelle d'une personne. Elle peut prendre plusieurs formes telles que des cours, des ateliers, des conférences, des séminaires, des programmes de certification, des formations en ligne, des stages ou des programmes de mentorat.
La formation continue est souvent entreprise par des professionnels qui cherchent à se tenir à jour avec les nouvelles tendances, technologies et pratiques dans leur domaine de travail. Elle peut également être entreprise pour acquérir de nouvelles compétences
pour une promotion, une transition de carrière ou simplement pour le plaisir d'apprendre.
QUELS SONT LES AVANTAGES DE LA FORMATION CONTINUE DU CÔTÉ DE L’EMPLOYEUR ?
Les avantages sont nombreux.
Augmentation de la productivité :
Les employés formés sont souvent plus productifs et plus efficaces dans leur travail. Ils sont mieux équipés pour faire face aux défis quotidiens, car ils ont acquis de nouvelles compétences et connaissances dans leur domaine.
Adaptabilité :
La formation continue permet aux employés de s'adapter aux nouvelles technologies, pratiques et processus de travail. Les employés formés sont donc mieux équipés pour gérer les changements et les défis qui se présentent dans leur environnement de travail.
Attraction et rétention des talents :
Les employés sont plus susceptibles de rester dans une entreprise qui offre des opportunités de développement professionnel. La formation continue peut également
attirer des candidats qualifiés qui cherchent une entreprise qui investit dans le développement de ses employés.
Meilleur service client :
Les employés formés sont plus à même d’offrir un meilleur service client, car ils ont acquis de nouvelles compétences et connaissances dans leur domaine. Cela peut améliorer la satisfaction client et renforcer la réputation de l'entreprise.
Innovation : La formation continue peut stimuler l'innovation en encourageant les employés à proposer de nouvelles idées et à améliorer les processus existants.
QUELS SONT LES
DE LA FORMATION CONTINUE DU CÔTÉ DU SALARIÉ ?
La formation continue, si elle présente de nombreux avantages pour l’entreprise, est avant tout une plus-value énorme pour les salariés qui en bénéficient.
Pour les employés, suivre ces formations contribue ainsi à l’acquisition d’une qualification ou d’un certificat reconnu dans la profession.
En effet, celles-ci permettent aux salariés d’acquérir une ou plusieurs qualifications, et donc d’augmenter leur valeur sur le marché du travail. Au sein de l’entreprise, cela signifie également une reconnaissance supplémentaire sur ces nouvelles compétences.
Mais effectuer une formation continue, c’est aussi être acteur de son évolution professionnelle, faire évoluer ses savoirs et son savoir-faire, et augmenter son employabilité. Cela permet d’être formé tout en gardant son poste, et de relancer sa motivation.
DONC :
• d’acquérir une qualification ou un certificat reconnu dans la profession ;
• de faire évoluer ses compétences et ainsi être acteur de son évolution professionnelle ;
• d’acquérir la reconnaissance de ses
compétences au sein de l’entreprise ;
• d’augmenter son employabilité dans un secteur sous tension ;
• de garder son poste tout en étant formé ;
• d’améliorer la qualité de son travail ;
• d’avoir un regain de motivation ;
• d’améliorer sa capacité d’adaptation ;
• d’améliorer son ouverture aux autres ;
• de diminuer sa résistance au changement ;
• d’avoir davantage confiance en ses capacités ;
• d’améliorer sa productivité générale ;
• d’inciter les autres employés de l’entreprise à suivre des activités de formation.
La formation continue est importante car elle permet aux travailleurs de rester compétitifs sur le marché du travail, d'améliorer leur performance, de progresser dans leur carrière et de s'adapter aux
changements dans leur industrie. Elle est également bénéfique pour les employeurs car elle leur permet de maintenir leur main-d'œuvre à jour avec les dernières tendances et technologies, ce qui peut augmenter l'efficacité et la productivité de l'entreprise.
Vous passez un entretien d’embauche ?
Janette vous accompagne avec son podcast 100% dédié aux techniques de préparation à l’entretien.
Pour écouter gratuitement votre séance sophro’ flashez ce QR code :
Long fleuve tranquille ou plutôt ascension fulgurante, la vision que vous vous faites de votre parcours professionnel sur le long terme en dit long sur votre ambition. Faites le test pour déterminer votre désir de réussir, Janette.
La journée se termine et vous ne parvenez toujours pas à finir ce dossier :
A - Vous allez y passer la soirée…
B - Vous le fermez, cela attendra demain !
C - Vous ne voulez plus le voir : direction le placard !
À vos yeux, le mot « travail » peut être défini comme :
A - Une passion dévorante.
B - Une occupation épanouissante et stressante.
C - Une obligation déprimante.
Vous avez obtenu une majorité de
L’ambition, cela vous connaît et surtout, ne vous excusez pas d’avoir envie de réussir, Janette. Trop souvent perçue comme négative, elle n’écrase pas les autres. Au contraire, vous apprenez de vos collègues, vous êtes modeste, vous êtes en compétition avec vousmême et pas avec les autres. Atteindre vos objectifs, vous faites tout pour y arriver, mais vous n’êtes pas prête à tout. Votre investissement mérite d’être récompensé, votre positivité est un moteur. Le désir de réaliser vos rêves est tout à votre honneur.
Votre manager a repéré une légère erreur dans l’un de vos dossiers :
A - On apprend tellement de ses erreurs : vous rebondissez !
B - Vous vous vexez, vous niez en bloc… Il a dû se tromper.
C - Cela ne vous fait ni chaud ni froid !
Réveil compliqué ce matin. Pour vous motiver, vous pensez :
A - À la fierté d’atteindre l’objectif que vous vous êtes fixé.
B - À cette prime que vous méritez.
C - Aux prochaines vacances. Que le décompte commence !
Vous avez obtenu une majorité de B
Votre ambition dépend de votre motivation
Certains jours, vous avez envie de déplacer des montagnes, mais ce désir manque de régularité. Soutenue, entourée et reposée, vous arrivez à vous surpasser, mais dès qu’un grain de sable apparait, vous retombez dans vos travers faits de doutes et d’incertitudes. La peur vous empêche d’avancer. Ayez confiance en vous, ne vous comparez pas aux autres, dites-vous que vous faites de votre mieux, soyez indulgente envers vous-même. Le courage de tout affronter dépend de votre mental. Vous pouvez le faire, Janette !
Les objectifs inscrits sur votre to-do list ont tous été accomplis :
A - Vous suppliez votre manager de vous déléguer de nouvelles tâches.
B - Vous hésitez, cela vaut-il la peine de débuter une nouvelle mission ?
C - Les réseaux sociaux n’attendent plus que vous !
Dans 5 ans, au niveau professionnel, vous vous imaginez :
A - Dans le bureau de votre PDG.
B - Dans une autre société.
C - Au même poste. Pourquoi changer ?
Vous avez obtenu une majorité de C
Vous assumez pleinement la procrastination plutôt que l’ambition
Le travail n’est pas votre priorité. Avouez que c’est parce que vous êtes obligée sinon, vous feriez bien l’impasse sur le bureau à la moindre occasion. Vos priorités sont ailleurs et il n’y a rien de mal à cela, Janette. Vous assumez le fait que vous préférez garder votre énergie pour les personnes et les choses qui comptent vraiment et c’est tout à votre honneur. Cependant, pour tenir jusqu’à la pension, pensez à vous lancer quelques petits défis professionnels. Les journées vous paraitront de suite moins longues !
La paperasse entassée, la fiche de salaire volatilisée, la demande de congé dont la validation tarde à arriver, ce temps perdu, vous allez enfin le récupérer et l’utiliser pour ce qui compte vraiment - votre bien-être au travail et à la maison - grâce à myHR, le logiciel de gestion des ressources humaines made in Luxembourg disponible sur le cloud.
Quelle que soit la taille de votre société, lorsqu’il s’agit des documents liés aux ressources humaines, vous vous sentez submergée : classeurs surchargés, surconsommation de papier, perte de temps et d’énergie pour tout centraliser, pour répondre aux demandes et attentes de chacun de vos employés. Et si vous laissiez toutes ces tâches à un expert en la matière : le logiciel de gestion du personnel myHR.
Intuitif, s’adaptant à l’identité et aux exigences de votre entreprise, évoluant avec elle, myHR stocke de manière sécurisée toutes les informations relatives à vos employés auxquelles vous pouvez accéder partout et à n’importe quel moment sur ordinateur, tablette et smartphone. Pour un accès facile et rapide à toutes vos données, l’équipe myHR peut même vous donner un coup de pouce en important celles-ci sur la plateforme sur laquelle vous disposerez directement de toutes les fonctionnalités. À vous de choisir celles qui correspondent à votre société.
SÉRÉNITÉ retrouvée
Partenaire de taille pour votre département RH, le logiciel facilite la collecte, la maintenance, la gestion des données et réduit considérablement votre charge
de travail et aussi mentale. Ce temps gagné vous permettra de vous concentrer sur le bien-être de vos employés, de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Même Jano et les Janetons pourront en béné cier !
En tant qu’employée, vous aussi, vous avez tout à y gagner. À l’ère du télétravail, grâce à son accès collaboratif, myHR favorise la communication, améliore les échanges d’informations ainsi que l’organisation. Au revoir malentendus et quiproquos ! Son système vous permet de vous sentir
impliquée, ce qui valorise votre travail. Congés, absences, notes de frais, ches de salaire, formations, planning, plus besoin de chercher, accédez à vos données quand et où vous le souhaitez.
Proche de ses clients et passionnée, l’équipe myHR vous o rira un service sur-mesure, veillera à innover en tenant compte de vos retours et sera même présente pour rassurer les Janette les moins à l’aise dans cette nouvelle démarche. Libérez-vous du temps en intégrant myHR dans votre quotidien !
IMS Luxembourg lance « HandiDiag », un outil d’évaluation des pratiques d’inclusion du handicap en milieu professionnel. L’app’ mesure l’indice de maturité de l’organisation à travers six processus clés : recrutement et carrière, cadre légal, accessibilité de l'environnement de travail, employabilité, management, performance. Un bilan sur les points forts et d’amélioration, un benchmark employeurs du Luxembourg et un plan d'actions sont ensuite proposés. Gratuit, disponible en français et anglais pour tous les employeurs du Luxembourg.
www.handidiag.lu.
Face à l'incertitude géopolitique, à une inflation forte et à des taux d’intérêts toujours croissants, comment se constituer un portefeuille de « bonne mère de famille » ? Comment évaluer à travers un regard critique les propositions financières du moment ? Le webinaire de 13 heures s’adresse aux artisans souhaitant acquérir une connaissance sur les différents produits d'investissement, leurs risques et leur rendement, pour faire fructifier leur épargne en fonction de leurs objectifs. Un focus sera aussi fait sur la place de l'or, des valeurs « vertes » et du Bitcoin dans un portefeuille.
Du 24 mai au 6 juin 2023, Chambre des Métiers, 585 €, www.handsup.lu/fr/ formation-continue/formations/formation?project_id=14163
La Chambre des Salariés organise une séance d’informations sur les aides à la formation destinée aux particuliers souhaitant développer leurs compétences, changer de métier ou booster leur carrière. Les mesures d’aides à la formation, les différents types de congés pour se former avec prise en charge de la rémunération, ainsi que les questions relatives à l’organisation du temps de travail, aux aides financières et aux déductions fiscales éligibles seront également présentées. La session est organisée en mode hybride. Participation gratuite, mais inscription obligatoire.
22 mai 2023 (18h00 -19h30), CSL, www.csl.lu/fr/events/ conges-et-aides-a-la-formationpour-particuliers-5/
Commentant sa carrière, l’actrice luxembourgeoise de 39 ans a toujours suivi son intuition : « J’ai pensé que je devrais peut-être écrire ou étudier le droit. J’ai même eu l’idée d’ouvrir un magasin de fleurs, mais j’étais tellement fascinée par le cinéma que je ne pouvais pas rester à l’écart », confiait-elle. Interprète dans une cinquantaine de courts-métrages, films et téléfilms, elle acquiert une notoriété internationale face à Daniel Day-Lewis dans « Phantom Thread » et reçoit notamment le Prix du cinéma européen 2022, comme meilleure actrice dans « Corsage ». Elle est actuellement à l’affiche dans « Ingeborg Bachmann – Reise in die Wüste » (de Margarethe von Trotta), et du prochain « Les Trois Mousquetaires : Milady » (de Martin Bourboulon), qui sortira en décembre prochain.
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« Je ne veux faire que ce à quoi je crois. »
VICKY KRIEPSJane Doe
Même si la société évolue, certaines mentalités sont encore bien ancrées et ce, notamment dans le monde professionnel. De nombreux préjugés impactent les personnes handicapées. Pourtant, engager une personne handicapée n’est pas handicapant. La campagne #BeInclusive lancée par Handicap International rappelle à quel point un regard nouveau porté ici peut être le début d’une amélioration ailleurs.
c’est ensemble que nous pouvons y arriver et cela commence par une prise de conscience à l’échelle locale avant que celle-ci se développe à un niveau international. En effet, ici ou ailleurs, Natalya et Merville méritent que leur travail soit considéré de la même façon, reconnu à sa juste valeur.
Plus d’un milliard de personnes à travers le monde vivent avec un handicap congénital, mental, lié à des problèmes de santé, provoqué par un accident de la vie. Au niveau professionnel, elles ont deux fois moins de chance de trouver un travail, leur salaire est moins élevé et à tort, les employeurs leur confient moins de responsabilités. Cette situation empire même lorsqu’il s’agit de femmes. Ce constat prouve la nécessité de sensibiliser le grand public par rapport à l’inclusion des personnes handicapées dans la société où vous travaillez, mais aussi dans les pays en voie de développement.
Pour changer cette perception erronée vis-à-vis du handicap grâce à un regard neuf, du 2 mai au 17 mai 2023, Handicap International organise sa campagne #BeInclusive, dans la continuité de celle organisée l’année passée.
Bien plus qu’un simple hashtag, cette campagne invite tout un chacun à ouvrir les yeux sur les compétences des personnes handicapées, sur la plus-value qu’elles apportent à la société qui les a engagées. Accéder à l’emploi sans subir de discriminations, obtenir un travail décent et réduire considérablement les inégalités,
Au sein de votre entreprise, invitez vos employés à devenir acteurs du changement grâce aux ateliers proposés et animés gratuitement par l’équipe Handicap International chargée de l’éducation au développement et de sensibilisation. Des expositions peuvent également être organisées dans des espaces publics tels que le hall de votre société. #BeInclusive, c’est percevoir l’autre tel qu’il est vraiment ! Pour en savoir davantage sur les ateliers et les expositions organisés par Handicap International, contactez Hafsa, Isabelle et Leïla par mail sensi.lux@hi.org ou par téléphone +352 42 806 035.
Télétravail, congé parental, absences diverses et variées, vacances programmées, certains membres de votre équipe ne font que se croiser, ne se voient plus que par écran interposé. Difficile de rassembler quand chacun oeuvre de son côté. La première victime collatérale de cette réalité, c’est la dynamique au travail. Vous sentez bien que le moral des troupes est au plus bas, mais vous ne savez comment faire pour que votre équipe soit à nouveau motivée, ait envie de relever les défis à vos côtés. Pour leur insuffler un nouvel élan, c’est à vous d’agir dès à présent en plaçant ces 5 trucs au sommet de la liste de vos priorités.
C’est plus fort que vous, cela vous rassure d’avoir le contrôle sur tout sauf que cela a un prix : la démotivation de votre équipesans parler que vous commencez peu à peu à vous essouffler. Ce manque de confiance frustre vos collaborateurs qui estiment que vous ne reconnaissez pas leurs capacités, leurs qualités. Peur d’un côté, frustrations et doutes de l’autre, la productivité en prend un sacré coup. En leur confiant quelques responsabilités, ils auront envie de vous prouver que vous avez eu raison de baisser la garde. En plus de vous dégager du temps, votre effort sera bénéfique au sein du bureau où régneront motivation et détermination.
L’augmentation salariale, évidemment, c’est la récompense ultime, le Saint-Graal, mais la reconnaissance au quotidien, ce n’est déjà pas si mal. La positive attitude, vous avez beau essayer, vous ne parvenez pas à l’instaurer. Entre pression et perfection, vous voyez toujours le verre à moitié vide et vos employés subissent votre négativité. Il ne faut pas distribuer des compliments à tout-va, mais quelques félicitations et remerciements par-ci, par-là, lorsqu’une mission a été accomplie avec succès, qu’une initiative a permis une avancée, cela aura le don de booster leur motivation. Vous fédérerez ainsi vos employés et vous accueillerez davantage la positivité.
Les non-dits, les malentendus sont à l’origine des conflits qui sèment la zizanie au bureau d’où la nécessité de communiquer constamment avec clarté, honnêteté et efficacité. Mais la communication n’est pas à sens unique, elle engage également toute votre équipe. Faites en sorte que votre porte soit toujours ouverte - façon de parler - soyez à leur écoute, invitez-les à exprimer ouvertement leur ressenti, prenez en compte leur « feedback » et cherchez ensemble des pistes d’amélioration. En prêtant une oreille attentive, en misant sur la collaboration, vos discussions n’en seront que plus constructives, vos liens se renforceront et le travail d’équipe fera son apparition.
L’injustice, c’est souvent elle qui est au centre de toutes les conversations lors de la pause-café. Brigitte de la compta en mode Calimero, ressassant constamment « C’est trop injuste », s’évertue à dresser la liste de vos supposés préférés. Pourtant, vous vous obstinez à rester impartiale. Soyez indulgente envers vous-même, vous restez humaine. Pour éviter d’être clouée au pilori, veillez à ce que les règles soient les mêmes pour toute l’équipe, restez la plus neutre possible et ne faites pas une fleur à l’un de vos collaborateurs, mais bien à tous.
L’impartialité, c’est le secret d’une équipe soudée où personne ne se sent mis de côté, où chacun est prêt à s’investir pour y arriver.
Certes, les règles sont essentielles et pas que dans le milieu professionnel, mais il faut savoir lâcher du lest. Alors que vous pensez qu’en partageant des instants avec vos employés, vous perdrez toute forme de crédibilité, c’est tout l’inverse qui risque de se passer : vous n’en serez que plus respectée. Un afterwork improvisé durant lequel trinquer raisonnablement avec vos employés, un team building à l’étranger - alors là, ils vous élèveront même au titre de meilleure manager de l’année. En remplaçant la rentabilité par un peu de divertissement, vous parviendrez instantanément à remonter le moral des troupes, à créer une dynamique de groupe et c’est justement ce que vous recherchiez en débutant la lecture de ces 5 trucs !
:
1980 : première opération à cœur ouvert
1964 : premier rôle majeur dans le film « Des pissenlits par la racine »
15 mai 1938 : naissance à Toulon
1966 : incarne une femme libérée dans le film « Galia »
Femme libre et libérée, actrice parmi les hommes, icône du cinéma français, son talent et son grand coeur subjuguent toujours autant. Ce nom franc qu’on n’oublie pas, c’est celui d’une guerrière qui, dans l’intimité, a affronté bien des épreuves. Elle aurait eu 85 ans en ce mois de mai 2023.
1968 : début de son idylle avec Alain Delon
28 août 2017 : décès à Paris 1988 : réalisation de son premier film « La Barbare »
1972 : rôle emblématique dans « Le Grand Blond avec une chaussure noire »
Le 15 mai 1938, Marcel Aigroz, jardinier, et Gabrielle Reynaudo, épicière, accueillent modestement leur troisième enfant à Toulon : Mireille. Cadette de la famille, lors de la déclaration de guerre, ses parents l’envoient avec ses deux frères en Suisse auprès de la famille paternelle. De retour au village, en août 1945, sa mère lui accorde peu de temps alors qu’elle se montre toujours disponible pour aider les habitants. Son père, lui, ne lui adresse jamais la parole sauf pour la traiter de bâtarde à l’abri
2007 : joue au théâtre aux côtés d’Alain Delon dans « Sur la route de Madison »
des regards - elle serait la fille d’un marin de passage dans la région. Mais Marcel va encore plus loin : un jour, il l’entraine dans le grenier où une corde est accrochée, il menace de se suicider et l’accuse d’avoir gâché sa vie. Cet acte d’une extrême violence l’encourage à tout faire pour fuir ce milieu familial. L’échappatoire, c’est à l’âge de 15 ans qu’elle la trouve : le Conservatoire de Toulon.
Dès les premiers cours, elle a honte de ce corps décharné - d’où son surnom
« Une vie est faite de tant de choses, de malheurs, de bonheurs, de rires, de larmes
c’est ça une vie ! »
« la grande sauterelle » - et de ses ignorances littéraires. Mais les encouragements d’un de ses professeurs lui donnent peu à peu confiance en elle. Sa démarche change, son style devient plus coquet. Son charisme est indéniable et durant l’été 1955, il lui permet d’incarner un rôle muet à l’écran. Professionnelle, séduisante, solaire, elle sait exactement ce qu’elle fait et elle le fait bien. Sans-le-sou et avec un carnet d’adresses vierge, elle « monte » à Paris et y réjouit son amie du Conservatoire, Anne-Marie. Elle enchaine les petits boulots pour payer ses cours de théâtre jusqu’à sa rencontre avec un journaliste qui la présente à ses contacts. Elle comprend immédiatement qu’elle doit se créer une nouvelle image. Elle devient blonde, elle opte pour un nom qui « claque » et qu’on n’oublie pas : Darc. Les journalistes s’intéressent de plus en plus à elle. Mais c’est le producteur Georges Lautner qui va bouleverser sa vie.
En 1964, elle tient son premier rôle dans « Des pissenlits par la racine ». Elle fait preuve d’un culot monstre, elle est spontanée, cultivée, elle a de l’humour et c’est cette personnalité qui lui permet d’entrer dans le cercle très fermé formé par Gabin, Audiard, Blier, Ventura et Lautner. Seule femme parmi les hommes, ils l’aiment comme une sœur, la protègent et sont inséparables. En 1966, à sa demande, Georges Lautner accepte de produire le film « Galia ». Ensemble, ils composent son personnage loin de ses rôles ingénus habituels. À l’époque, cela choque, elle incarne la femme nouvelle à la fois androgyne et fragile, la libération de la femme.
À presque 30 ans, son sourire cache bien des blessures. Sa famille ne
montre aucun intérêt envers elle et elle n’a toujours pas connu le grand amour. Mais elle s’apprête à succomber au charme d’Alain Delon. Sur le tournage du film « Jeff », ils se rapprochent. Pourtant, elle a peur de lui, de ne pas être à la hauteur du comédien, il la trouble. Au début de leur idylle, alors qu’il est soupçonné du meurtre de son garde du corps, elle le soutient, même si son entourage lui conseille de le quitter pour ne pas ternir sa réputation. Elle s’occupe de l’acteur, elle l’aime passionnément, elle le maternise. Ils rêvent d’avoir un enfant, mais cela n’arrive pas. Cette blessure, elle la garde pour elle, elle n’en parle à personne. Elle ne vit plus que pour Alain, elle délaisse sa carrière - ce qui inquiète ses proches - mais elle va bientôt prouver qu’elle n’a rien perdu de sa superbe.
Le réalisateur Yves Robert lui propose un rôle avec une robe au décolleté indécent dont personne ne peut parler. Le couturier Guy Laroche crée celle-ci pour le film « Le Grand Blond avec une chaussure noire ». Lors du premier essayage, elle s’amuse de la situation, incite même le couturier à descendre davantage. Sur le plateau, Pierre Richard s’étonne de ne pas encore avoir rencontré Mireille. Le tournage débute, elle l’accueille et quand elle se retourne, il reste sans voix face à cette robe mythique dans laquelle l’actrice est éblouissante. Le succès du film fait d’elle une actrice populaire, symbole de la féminité.
À 41 ans, elle se plaint subitement d’une douleur dans la poitrine. Des angines mal soignées pendant l’enfance ont provoqué une insuffisance cardiaque. Le 7 mars 1980, le
cardiologue l’opère pour lui placer une valve artificielle. C’est au tour d’Alain de la soutenir et de prendre soin d’elle. Mais en pleine convalescence, celui-ci s’éloigne peu à peu. Elle finit par le quitter après 15 ans d’amour. Elle souffre terriblement. En juillet 1983, victime d’un accident de voiture, elle reste immobilisée pendant des mois. Pierre Barret débarque dans sa vie. Alors qu’elle réalise son premier film « La Barbare », l’état de santé de Pierre se dégrade et malgré une greffe du foie, il décède en octobre 1988. La nuit, elle pleure de douleur, mais le jour, elle ne laisse rien transparaitre. Huit ans plus tard, elle retrouve l’amour aux côtés de Pascal Desprez. En 2007, la complicité entre « Mimi » et Alain renait sur scène dans la pièce de théâtre « Sur la route de Madison ». En mars 2013, elle subit une nouvelle opération cardiaque. Cette femme au grand cœur, cette guerrière aux multiples blessures s’éteint le 28 août 2017 à Paris.
Subjuguante dans le film « Galia », Hollywood s’intéresse peu à peu à elle. Le producteur Raymond Danon, par le biais d’un ami américain, lui organise un rendez-vous pour des essais de l’autre côté de l’Atlantique. Avant son départ, son fidèle ami Georges Lautner essaie de la dissuader. Pourtant, elle semble déterminée et monte dans l’avion aux côtés de Raymond. Avant le décollage, ce dernier se rend aux toilettes et là, prise de panique, refusant de s’éloigner de sa bande d’amis, elle quitte subitement l’appareil sans prévenir le producteur. Elle tire ainsi un trait sur Hollywood avant même d’y avoir tenté sa chance.
Comme tous les ans, le mois de mai est celui du Festival de Cannes. Du 16 au 27 attendez-vous donc à voir beaucoup de cinéma, de stars et de paillettes dans les médias. Les cinémas chez nous aussi sont à la fête avec plusieurs très belles propositions parmi les sorties. En voici quatre qui valent clairement la peine de retourner se faire une toile.
De Claire Denis avec Margaret Qualley, Joe Alwyn Benny Safdie, John C.Reilly…
Habituée des grands festivals, la scénariste et réalisatrice française Claire Denis a ajouté, l’an dernier, à sa déjà belle liste de récompenses (Léopard d’Or de Locarno, Bayard d’or de Namur, Ours d’argent de la Berlinale) un Grand Prix cannois grâce à son drame Stars at noon Le film, adaptation du roman éponyme de Denis Johnson et donc inspiré de la vie de ce dernier, raconte l’histoire de
Trish (Margaret Qualley, le jeune hippie qui cherche à séduire Brad Pitt dans Once upon time in Hollywood), une jeune journaliste américaine bloquée sans passeport dans un Nicaragua en pleine effervescence électorale qui, après s’être éprise d’un mystérieux voyageur anglais va découvrir, à ses côtés, les aspects les plus dangereux du Nicaragua d’aujourd’hui.
À travers le regard de Claire Denis, cela donne un thriller étonnant et à l’érotisme torride.
De Zach Braff avec Florence Pugh, Morgan Freeman, Celeste O’Connor…
Allison va bientôt se marier avec l’homme de sa vie. Mais un jour, au volant, elle perd le contrôle de son véhicule. Sa future belle-sœur meurt dans l’accident. Quelques années plus tard, en se rendant à une réunion d’entraide et d’écoute, Allison retrouve celui qui aurait dû devenir son beau-père. Une relation très forte va naître entre eux. Signé Zach Braff (Garden State), l’inoubliable docteur Dorian dans la série Scrubs, A Good Person est un drame sur le deuil, la résilience, le pardon… Un drame subtil, touchant avec aussi pas mal d’humour.
De Rob Marshall avec Halle Bailey, Melissa McCarty, Awkwafina…
Voilà des mois qu’on en entend parler, qu’il fait polémique –depuis les premières images montrant une comédienne noire dans le rôle de la Petite Sirène, enfin le voilà ! Après Beauty and the Beast, Dumbo, Aladdin, The Lion King ou encore Mulan, les studios Disney proposent un nouveau remake en prise de vue réelle d’un de ses classiques d’animation, The Little Mermaid C’est Rob Marshall (Chicago, Pirates of the Caribbean…) qui signe cette nouvelle version de l’histoire de la sirène Ariel, fille du roi Triton, qui va tomber amoureuse d’un humain.
De Chie Hayakawa avec Chieko Baishô, Hayato Isomura, Stefanie Arianne…
Les retraités, on nous le rabâche assez souvent, ça coûte cher et ça ne produit rien. Alors, pourquoi ne pas passer un pacte avec eux ? 100.000 yens à dépenser à leur guise en échange d’un suicide assisté.
C’est la solution proposée par la réalisatrice Chie Hayakawa dans Plan 75, premier film on ne peut plus glaçant, remarqué l’an dernier sur la Croisette. Une dystopie d’anticipation qui se passe de fioritures et d’effets spéciaux pour critiquer frontalement un Japon très réaliste, mais aussi le libéralisme, l’individualisme… Un film choc !
Un plat ultra fin ! Bien plus tendre que la grand-mère du Chaperon rouge.
Profitez d’un moment d’exception à l’hôtel Le Royal ! Plongez dans la fraîcheur des saveurs, une atmosphère trendy et la douceur d’un service attentif au restaurant Amélys.
Terrasse ensoleillée, plaisir des papilles et moments mémorables. La belle vie commence ici.
aussi, vivez votre conte de fée.Le Royal Hotels & Resorts 12, boulevard Royal • L-2449 Luxembourg T (+352) 24 16 16 737 restauration-lux@leroyal.com • amelys.lu
Les sorties musicales de ce mois de mai feront honneur à la pop sous toutes ses formes : folk, rock, française. Un peu de pop pour bouger, n’est-ce pas justement ce dont vous avez besoin durant ce mois ponctué par les jours fériés ?
Virgin Records / 19 mai 2023
Fidèle à son style, fidèle à lui-même, avec la simplicité qui le caractérise, mais aussi ce petit brin de folie, pour ce second opus, l’auteur-compositeur-interprète écossais a veillé à faire ce qu’il aime : écrire des chansons émotionnelles abordant des thèmes forts et universels tels que l’amour, la perte. Vintage et décalé, avec des références franches au clip « Club Tropicana » de Wham!, le clip du single « Forget Me » prouve à quel point Lewis Capaldi est un artiste à part entière faisant preuve de second degré.
Atlantic Records / 5 mai 2023
Ce nouvel album, l’artiste qui a su conquérir le monde entier, l’avait imaginé tout autrement, mais comme il l’a précisé lors de l’annonce de sa sortie, une série d’événements extrêmement douloureux ont bouleversé sa vie, ont impacté sa santé mentale et ont modifié sa façon de voir la musique et l’art. Véritable thérapie, son écriture spontanée a donné vie aux chansons de l’album qu’il décrit comme honnête, sincère et ayant du sens. Une sorte de journal intime qui ne décevra absolument pas ses fans.
Capitol Records / 5 mai 2023
Entre douceur et amertume, ce second album de l’auteurecompositrice-interprète britannique vous fera passer par des émotions diamétralement opposées. « Il y a 18 mois où j'ai vraiment eu le cœur brisé et me suis retrouvée seule, puis 18 mois où j'ai été plus heureuse que je ne l'ai jamais été. » C’est ainsi que l’artiste justifie cette dualité. Certains morceaux vous rappelleront les années 70, Fleetwood Mac, Elton John, etc. Le premier extrait « Weekends » - à écouter sans plus tarder - est joyeux, dansant, festif et même disco.
Barclay / 12 mai 2023
Six ans après son album Blitz, le chanteur français revient sur le devant de la scène avec un douzième opus composé de 12 titres ayant été enregistrés entre Londres, Paris et Saint-Malo. Duo avec Vanessa Paradis pour le morceau « Tirer la nuit sur les étoiles » - qui donne son nom à ce nouvel albumvéritable déclaration d’amour intimiste avec « Boyfriend », le dandy français mélange la musique électronique aux sonorités orchestrales et y ajoute même parfois des chœurs gospel. Un album aussi poétique que son titre.
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Un endroit qui répond aux attentes de toute votre famille, un lieu à la fois atypique et convivial, un site alliant culture, shopping, histoire, gastronomie et divertissement, facile d’accès évidemment, vous l’aurez compris, c’est de Belval dont il s’agit. Un seul déplacement et le loisir de vous adonner à une multitude d’activités en solo, en duo avec Jano ou en famille.
de haut. Du lundi au dimanche (excepté le mardi), marches et ascenseurs permettent à tous de béné cier de cette visite où les panneaux explicatifs dévoilent les secrets de ce lieu emblématique et où la vue imprenable est à couper le sou e. Une activité mémorable à réaliser avec vos proches qui ne demandent qu’à découvrir la beauté du Grand-Duché à vos côtés. Une fois l’ascension terminée, au pied des Hauts Fourneaux, les accueillantes terrasses vous invitent également au farniente, à pro ter des rayons du soleil.
LA LIBERTÉ de choisir
Grâce aux transports en commun, en délaissant votre voiture pour une alternative plus écologique et économique, vous pro tez pleinement de chaque instant gagné et ce, avec sérénité. À peine arrivés, vous plongez au cœur de l’Histoire, celle de l’industrie sidérurgique luxembourgeoise que nous avons tendance à oublier d’où cette sensation d’être ailleurs alors que vous êtes bel et bien au Grand-Duché. Dans ce décor unique et esthétique où passé, présent et futur cohabitent avec harmonie, les Hauts Fourneaux et les nouveaux bâtiments nés de l’imagination d’architectes internationaux s’apportent mutuellement et créent une atmosphère singulière.
Comment résister à la visite du Haut Fourneau auquel le grand public peut accéder librement et ce, jusqu’à 40 mètres
Belval, lieu historique à l’architecture unique, centralise toutes les activités que vous a ectionnez. Restaurants pour tous les goûts, pour tous les budgets et adaptés au temps dont vous disposez, exposition « La Cité des Sciences » retraçant cette reconversion faite d’innovations, chasse au trésor pour les Janetons en quête d’aventures urbaines, cinéma où vivre les sorties du moment, concerts d’exception à la Rockhal et shopping dans le centre commercial, cette diversité est la garantie de voir tous les membres de votre famille avec le sourire aux lèvres et de repartir avec des souvenirs plein la tête
Puissant et fascinant, entre tradition et modernité, le flamenco est un art qui a tant de choses à raconter, qui parvient à vous faire voyager au cœur de son berceau : l’Andalousie. Alliant chant, danse et accompagnement musical, pendant une dizaine de jours, il sera à l’honneur avec une programmation familiale, ludique et hétéroclite : quatre spectacles à la Kulturfabrik, deux au Escher Theater dont un imaginé spécialement pour les Janetons, trois ateliers autour de la danse et de la guitare ainsi que trois films sur le thème à découvrir à la Cinémathèque.
Du mardi 16 mai au samedi 27 mai 2023, organisé par la Kulturfabrik et le Círculo Cultural Español Antonio Machado en collaboration avec le Escher Theater et la Cinémathèque de Luxembourg
Infos : kulturfabrik.lu
Exposition à ciel ouvert, organisée dans le cadre de l'European Design Festival, les drapeaux imaginés par des artistes et designers luxembourgeois, reflétant leur vision de cet élément aux symboles ambivalents, s’inscrivent dans le travail effectué, en amont, par d’autres créateurs. Des rencontres inattendues au cœur de la ville.
Du lundi 15 mai 2023 au vendredi 16 juin 2023 par le biais d’un parcours à ciel ouvert au cœur de la capitale Infos : cerclecite.lu
Lorsque l’opéra et le théâtre sont de connivence, cela crée « L’inondation ». Cet opéra d’un genre nouveau, dont la partition sera jouée par l’Orchestre de Chambre du Luxembourg, mettra en exergue l’amour tumultueux entre un couple et une jeune femme qui vient chambouler leur quotidien du jour au lendemain.
Le vendredi 26 mai 2023 à 20h et le dimanche 28 mai 2023 à 17h au Grand Théâtre
Infos : theatres.lu
MUSIQUE
Janette et le BEATUS Wellness- & SPA-Hotel offrent à l’une d'entre vous 3 nuits pour 2 personnes en chambre "Mönch" Superior avec balcon vers le lac dans ce splendide hôtel bien-être 5* au bord du lac de Thoune, d'une valeur de 1600€.
Au nord des Alpes, découvrez l'ambiance du sud, un secret de bien-être et une hospitalité personnelle directement au bord du lac de Thoune. Sont inclus la cuisine BEATUS (boissons non comprises), l'accès à l'oasis de bien-être de 2000 m2, le programme quotidien de sport et de détente et les excursions guidées (du lundi au vendredi). Réjouissez-vous d'une détente luxueuse au lac.
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La rencontre entre trois femmes, trois voix, trois univers, donne vie à ce spectacle d’improvisation en français et en luxembourgeois. Betsy Dentzer, Luisa Bevilacqua et Claire Parsons s’inspirent mutuellement, mélangent leurs sons, leurs mots, leurs histoires le temps d’une soirée mémorable.
Le samedi 6 mai 2023 à 20h au Cube 521 Infos : cube521.lu
E-mail :
Tél. :
Nationalité : non, je ne souhaite pas recevoir d’informations de la part de Janette magazine
Envoyez ce coupon par voie postale, participez par email à concours@janette.lu ou sur notre site Internet www.janette.lu/concours
Avant le 31 mai 2023
Janette Magazine
BEATUS Wellness- & SPA-Hotel
433, route de Thionville – L-5887 Alzingen
Offre réservée aux personnes de plus de 18 ans – Concours non cessible à une tierce personne – Règlement du concours sur demande – Janette s’engage à ne pas communiquer vos données à des tiers.
Le pouvoir de l’argent
Inspiré librement d’une histoire vraie, l’auteur, via une narration subtile, nous livre un roman audacieux et inventif sur le pouvoir de l’argent. En fait, l’histoire d’Heinrich Kieber, devenu ici Johann Kaiser, un personnage bien réel qui a vendu aux services secrets allemands les données fiscales et bancaires des clients de la banque du Liechtenstein où il était
employé. Une malversation ayant suscité une crise majeure dans ce pays, au sein de la famille régnante à qui appartenait la banque, et surtout parmi les nombreux clients qui bénéficiaient des multiples possibilités d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent offertes par la législation de ce petit paradis fiscal. Une excellente découverte.
‘L’HOMME QUI FIT CHUTER LE PARADIS’, DE BENJAMIN QUADERER CHEZ SEUIL
Mentir est un art ‘SÉRAPHINE NE SAIT PAS NAGER’, D’ANNE-LISE BROCHARD CHEZ PLON
Séraphine est une femme comblée. Amoureuse d’un mari affectueux, épanouie au travail, maman d’une adorable petite Luz, elle virevolte dans un quotidien serein ourlé de petits bonheurs. Sauf qu’elle a construit sa vie sur un mensonge. D’où vient cette zone d’ombre qui la fait évoluer tel un équilibriste sur un fil tendu audessus d’un précipice ? Elle a omis de dire qu’elle a un frère incarcéré à qui elle va rendre visite tous les mercredis… De l’émotion, de la tendresse, de l’humour, de l’originalité.
Vivre, aimer et peindre
‘JE VEUX PEINDRE ET AIMER’, D’EVELYNE DRESS CHEZ GLYPHE
Dans un style fluide, élégant et agréable, l’auteure parle de Rebecca et de son amour immodéré pour la vie, la peinture et… les hommes. Forte de son enthousiasme et de sa sensualité, Rebecca nous entraîne dans cette quête palpitante qui est la sienne. Une quête faite de rencontres surprenantes et qui va de la Grande Guerre aux Années folles en passant par la Provence, New York, Paris et même la Turquie. Émotions, divertissement, sensibilité et surtout amour sont au programme de ce merveilleux voyage.
Bienvenue à la ‘Crim’ ‘CRISTAL 417’, DE MARK EACERSALL, HENRI SCALA, BORIS GOLZIO CHEZ GLÉNAT
Après un stage remarqué à la ‘crim’ de Paris, Pauline est mutée au 36 quai des Orfèvres. Vu ses qualités, elle se voit confier des dossiers non résolus, tandis que son indicatif radio sera le 417. À 25 ans, Pauline découvre en long et en large le travail propre aux homicides, les tâches ingrates, les responsabilités, les interrogatoires serrés, bref : le métier. Et Pauline de devoir grandir vite, très vite. Via un dessin réaliste très épuré, les auteurs nous immergent dans le saint des saints de la police parisienne.
Depuis la création de leur équipe 100% féminine en 2020, les joueuses du Luxembourg Hockey Club ne cessent de marquer l’Histoire du sport féminin dans notre pays et défendent même, avec fierté, nos couleurs à l’étranger. Avant de rejoindre Vienne où elles participeront à l’Euro Hockey Club Challenge, du 26 au 29 mai 2023, Janette a rencontré Julie et Patrizia, team managers, dont la complicité reflète l’état d’esprit positif de cette équipe prête à relever tous les défis.
Créée en 2020 tandis que le club existe depuis 1976, expliquez-nous comment votre équipe a vu le jour.
Patrizia : Historiquement, au Luxembourg, les équipes de hockey sur gazon étaient mixtes. Il y avait peu de femmes qui pratiquaient ce sport. Ces dernières années, par hasard, beaucoup de femmes expatriées, originaires de pays où ce sport est plus national, ont intégré le club. Peu à peu, la base de l’équipe féminine s’est formée, mais il a fallu trouver un championnat dans lequel évoluer. Nous avons discuté avec différents pays dont l’Allemagne et, finalement,
nous avons opté pour la Belgique. Aujourd’hui, il y a environ 20 joueuses, de 16 à 46 ans, représentant 10 nationalités différentes. Cette diversité, c’est une richesse !
Le hockey, c’est bien plus qu’un sport. En quoi est-ce véritablement un état d’esprit ?
Patrizia : Il y a une communauté autour du hockey. Dans notre club, tout le monde se connaît, c’est très familial. Certains membres sont actifs depuis des années et, à présent, ce sont leurs enfants qui jouent.
C’est une grande famille. De plus, le fair-play, la bienveillance envers les autres équipes, envers ses propres
coéquipières, c’est fondamental. Évidemment, il y a la compétition, mais celle-ci s’accompagne de nombreuses valeurs, de respect. C’est un sport qui demande aussi une certaine discipline.
Comment parvenez-vous à allier vie professionnelle, vie privée et passion sportive ?
Julie : Cela nécessite une compréhension de la part de l’entourage, du milieu professionnel également. D’un autre côté, comme les entraînements hebdomadaires débutent vers 20h15, cela impose une limite au niveau du travail. Cela permet de trouver un équilibre.
Patrizia : Je rejoins Julie, il faut beaucoup de compréhension de la part de l’entourage. Mon mari et mes deux garçons jouent également au hockey. Souvent, nous passons la journée hors de la maison, cela crée des liens forts avec les autres familles, membres du club. Il faut être organisée et raisonnable.
En tant que team managers, rencontrez-vous certaines difficultés ?
Patrizia : Chaque joueuse a sa propre personnalité, son stress, ses problèmes, son énergie et c’est vrai que des conflits peuvent naître. Avec Julie, nous sommes les médiatrices de l’équipe. L’ambiance est tellement importante : nous jouons mieux quand celle-ci est agréable. Dès qu’il y a un conflit, cela se ressent très vite donc nous en parlons, nous trouvons sa source et nous mettons tout en place pour le résoudre. Parfois, lors d’un match, certains mots sortent, les voix s’élèvent, mais il faut prendre du recul et se dire que c’est sur le moment, qu’il n’y a rien de personnel.
Julie : Nous avons aussi un rituel : après chaque match, nous demandons aux joueuses d’écrire le top et le flop du match sur un bout de papier. On en tire quelques-uns au sort et on les lit. C’est devenu un jeu qui permet de maintenir une ambiance conviviale au sein de l’équipe et de passer directement à autre chose.
Pourriez-vous nous en dire davantage sur l’Euro Hockey Club Challenge et vos débuts dans celui-ci ?
Julie : Chaque pays a le droit d’envoyer ses deux meilleures équipes donc le niveau est extrêmement élevé. Nous avons la chance d’avoir des joueuses qui ont de l’expérience dans notre équipe et qui nous en font bénéficier. Comme le hockey se joue différemment en fonction des pays, chacune transmet ses connaissances aux autres. Au printemps 2021, notre capitaine nous a motivées, elle nous a poussées à y participer. Nous y sommes allées et nous ne l’avons pas regretté. Cela demande beaucoup d’organisation, un investissement personnel et même financier, mais cela en vaut la peine.
2023, comment vous sentezvous ?
Patrizia : Même si les scores sont inversés par rapport à nos performances en championnat - là-bas, nous perdons alors qu’ici, nous gagnons - c’est une chance unique pour nous de représenter le Luxembourg et c’est une immense fierté de promouvoir le pays à l’étranger puisque c’est lui qui nous a réunies. Ce challenge s’accompagne d’une certaine appréhension qui nous soude davantage. Il y a une énergie
Interview ::: 89
indescriptible, une ambiance extraordinaire. Julie : Il y a énormément de partage avec les autres équipes. Même si nous perdons, elles nous félicitent, nous encouragent. Nous retrouvons la bienveillance, le fair-play. Même en cas de défaite, nous gardons constamment le sourire, car c’est une expérience incroyable. C’est une aventure humaine avant tout !
Comment vous préparez-vous pour un tel défi ?
Patrizia : Alors qu’habituellement, nous avons deux entraînements par semaine, nous allons en ajouter un qui sera davantage axé sur la préparation physique. Évidemment, il y aura également une préparation mentale, primordiale avant un tel événement.
Quels sont vos prochains objectifs ?
Patrizia : Marquer au moins un goal par match lors de l’Euro Hockey Club Challenge 2023. Accueillir de nouvelles joueuses afin de former, idéalement, deux équipes féminines la saison prochaine et continuer à monter en division.
Julie : En ce moment, avec Romane, nous nous occupons de l’organisation de l’Euro Hockey Club. C’est vrai que pour améliorer celle-ci et pour faire en sorte que toutes les filles puissent participer à l’événement, un coup de pouce sous la forme d’un sponsoring est toujours le bienvenu.
ENVIE D’EN APPRENDRE DAVANTAGE SUR LE HOCKEY SUR GAZON ?
Participez au Family Day le 1er juillet 2023 au centre sportif Boy Konen à Cessange et rencontrez l’équipe féminine de hockey.
Suivez leurs performances sur Instagram : @lhc.ladies
Ambiance californienne, charmantes villes bordées par l’océan et arrièrepays empreint du terroir local, le Pays basque est une destination incontournable à découvrir d’urgence, et pas seulement par les adeptes de surf.
À l’extrémité sud-ouest de la France, le Pays basque s’étend de part et d’autre de la frontière espagnole. Côté français, il longe l’océan Atlantique des Landes jusqu’aux Pyrénées et offre un joli mix de nature, de culture, de fêtes, en plus d’un patrimoine fortement ancré et revendiqué. La langue basque, Euskara, est couramment parlée dans la région par les Euskaduna (littéralement « personne qui parle basque ») : elle est ce qu’on appelle un isolat, c’est-à-dire une langue sans famille
linguistique et d’ailleurs le seul isolat qui subsiste en Europe !
Destination Biarritz pour démarrer la découverte de la côte basque, qui, après les vastes plages des Landes, devient plus escarpée. Connue pour ses spots de surf légendaires et lieu préféré de villégiature de la noblesse d’antan, Biarritz l’est aussi pour son élégance et sa douceur de vivre, à découvrir au fil de la promenade au sein de la ville. Ne manquez pas sa Grande Plage, majestueuse, son emblématique rocher de la Vierge d’où vous pourrez admirer les surfeurs et son petit port de pêche. Poursuivez ensuite la route jusqu’à Bayonne, internationalement connue pour
son jambon et ses célèbres fêtes estivales. La ville clame haut et fort son identité basque, à retrouver dans les rues pleines de charme du Grand et du Petit Bayonne. Longez les quais de la Nive pour admirer les maisons traditionnelles à l’architecture basque, pénétrez la cathédrale et ne manquez évidemment pas d’y tester la gastronomie locale à base de piperade, chipirons à la plancha, poulet basquaise ou gâteau basque.
Reste enfin à découvrir toutes les petites villes qui longent la côte, plus jolies les unes que les autres. Anglet, Bidart, la très mignonne Guétary et enfin l’incontournable baie de Saint-Jean-de-Luz. Plage
familiale, centre-ville animé et rues piétonnes bordées de petites boutiques locales, port de pêche traditionnelle et halles gourmandes : Saint-Jean-de-Luz vaut le détour ! Rendez-vous sur la colline de Sainte-Barbe pour arpenter le sentier du littoral et admirer le panorama sur le Fort de Socoa sur la route qui mène vers l’Espagne.
Il est temps de découvrir maintenant l’arrière-pays : première escale à la Rhune, un sommet situé à 905
mètres d’altitude sur la chaîne des Pyrénées. On y accède à pied ou via Le Train de la Rhune, un authentique train à crémaillère, presque centenaire, qui vous amène jusqu’au sommet. Si la vue est imprenable, profitez de l’ascension et des pâturages sur la route pour admirer les troupeaux de moutons et les Pottoks sauvages, race de poney typique de la région, déambuler en toute liberté. Continuez la route jusqu’à Espelette, réputé pour son piment, suspendu à chaque devanture et
vendu sous toutes ses formes chez les commerçants du village. Enfin, faites une dernière halte à Saint-Jean-Pied-de-Port, célèbre étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, au pied du mythique col de Roncevaux et tout près de la frontière espagnole. Vous pourrez y découvrir sa cité fortifiée, la rue de la citadelle ou encore la porte Saint-Jacques et puis évidemment, faire un saut en Espagne si vous souhaitez prolonger le voyage. La ville de Saint-Sébastien en l’occurrence vaut bien qu’on s’y attarde au moins une journée, ne serait-ce que pour ses bars à pintxos et ses nombreux restaurants gastronomiques !
Comment ça vous n’avez jamais poussé la route jusqu’en Moselle-Est ? À un tout petit peu plus d’une heure de Luxembourg, ce coin de Moselle bordant en partie la frontière allemande a pourtant fort à offrir, et nous ne parlons pas seulement de l’hospitalité de ses habitants !
Pour mieux comprendre l’histoire de ces derniers, c’est d’abord dans l’ancienne cité minière de Petite-Rosselle que Janette vous propose de faire une halte, plus précisément au parc Explor Wendel, seul site muséographique minier conservé dans son intégralité en France. Dédié à l’exploitation du charbon depuis 1862, ce dernier est devenu aujourd’hui un lieu de loisirs et de culture pour toute la famille. L’occasion d’arpenter le musée et de descendre dans les galeries en compagnie d’un ancien mineur qui ne manquera pas d’anecdotes à raconter sur son métier.
Rendez-vous ensuite à Forbach pour grimper les 118 marches de la tour du Schlossberg qui surplombe la ville, offre un magnifique panorama sur la région et constitue un rare vestige lorrain du Moyen Âge. Envie d’une pause dans vos visites ? Jetez un œil à la belle
programmation du théâtre Le Carreau ou allez faire quelques trous sur le green du golf de Sarreguemines, à quelques minutes de route – profitez-en pour faire escale au restaurant attenant, ne serait-ce que pour un cocktail !
Mais Sarreguemines, c’est avant tout de la faïencerie de renommée internationale, à découvrir au sein du Musée de la Faïence et de son beau Jardin d’Hiver, ainsi que dans celui dédié aux techniques faïencières, au sein du Moulin de la Blies – dans le top 10 des monuments préférés des Français de 2015. À proximité, le parc Archéologique Européen de Bliesbruck-Reinheim vous dévoilera quant à lui des vestiges de l’Âge de
bronze au Vème siècle… Thermes publics, quartiers artisanaux, villa restituée : à la mi-août, lors de la fête « Vita Romana », le site se transforme en spectacle vivant, où tout se fait à la façon des Romains, combats de gladiateurs compris.
Pour finir votre périple en MoselleEst, direction l’impressionnante et incontournable citadelle de Bitche dont la découverte se fait par un parcours spectacle dans ses souterrains, ou encore la trop peu connue ligne Maginot aquatique. Un ingénieux système d’inondations défensives de la Seconde Guerre mondiale, situé entre Hoste, Sarralbe et Wittring, à découvrir dans le cadre verdoyant du Pays d’Albe et des Lacs.
Offrez-vous une pause loin du monde numérique en faisant l’expérience de la vertu bienfaisante de la nature. Private Selection Hotels & Tours vous invite à faire connaissance avec une cinquantaine d’hôtels de première classe gérés de manière durable et dotés d’un charme tout particulier, situés en Suisse et en Europe, tout en intégrant consciemment la nature dans votre séjour hôtelier.
D’UNE détente sportive ?
Découvrez les plus belles randonnées et pistes cyclables, comme le sentier de randonnée sur le thème «Fromage et Chocolat» de Montreux sur le lac Léman jusqu’à Gstaad dans l’Oberland bernois. Vous y découvrirez des panoramas à couper le souffle, des aperçus sur la fabrication du fromage et la « Maison Cailler », la maison traditionnelle du chocolat suisse. Chaque étape se termine dans l’un de nos charmants hôtels à la magie particulière, où vous trouverez vos bagages acheminés, une merveilleuse oasis de bien-être en plus d’un délicieux dîner. D’autres itinéraires de randonnée attrayants d’hôtel en hôtel avec de magnifiques panoramas de montagne se trouvent aussi dans la magnifique Engadine (région de St Moritz) - autour du Parc national suisse - ou dans la région de l’Eiger de Grindelwald à Wengen dans l’Oberland bernois.
OU ÊTES-VOUS PLUTÔT adepte de (e-)bicyclette ?
De magnifiques itinéraires vous mèneront le long des canaux de l’Aar et de quatre lacs, de la ville baroque de Soleure en passant par la capitale, Berne, jusqu’à Spiez sur le lac de Thoune - ou tout autour du lac de Constance d’hôtel en hôtel - bien sûr avec transport de bagages, expérience gastronomique et bien-être tout au long de cet élément de liaison naturel qu’est le triangle de trois pays (DACH) - entre peuples et cultures.
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Vous pourriez découvrir quel type de wellness vous convient le mieux : êtes-vous attirée par la détente dans l’eau chaude et la vapeur, l’harmonie du corps, de l’esprit et de l’âme ou êtes-vous plutôt une amatrice de soins de beauté ou de fitness ?
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Le mois dernier, nos lectrices ont eu l’opportunité de découvrir une capsule mode équitable et made in Luxembourg unique lors d’un afterwork 100% fashion et 100% féminin ! Après avoir été introduites à la mode équitable par Geneviève Krol, directrice de l'ONG Fairtrade Luxembourg, nos Janette ont pu assister
à l’interview, par Coralie Jegousse, de la jeune créatrice luxembourgeoise de robes de mariées sur-mesure et fondatrice de Melucéline, Céline Bijleveld. Sa collection capsule accompagnée d’accessoires Fairtrade ont ensuite été présentés lors d’un défilé de mode sous la forme originale d’une chorégraphie.
Nos lectrices ont ensuite pu se régaler avec de délicieux mets salés et sucrés bio et végans proposés tout au long de la soirée par Délice Végétal. L’afterwork s’est terminé en douceur avec le tirage au sort du concours pour remporter un panier de produits Fairtrade ainsi qu’une Pochette de Janette.
Chaque mois, nous interrogeons nos Ambassadettes sur un sujet d’actualité. Ce mois-ci, nous leur avons demandé : « Quelle businesswoman êtes-vous ? »
« Sous réserve d’un minimum de confance en sa propre capacité à s’adapter et à rebondir, et d’un maximum de détachement vis-àvis du matériel, des diktats sociaux et du jugement d’autrui, il n’est pour moi de meilleur parcours que celui truffé de virages et autres détours ! On en apprend tellement sur soi… Et c’est de loin la plus belle entreprise de la vie ! Alors, roulez jeunesse « et au-delà », osez des expériences diverses et variées, vous irez toujours là où ce n’était pas marqué, et c’est précisément ça qui vous marquera ! »
« Être une businesswoman en 2023 n'est pas toujours simple. Je suis avocat à mon compte et, encore de nos jours, il n'est pas facile d'être une femme dans le monde du travail car il faut avoir plusieurs casquettes dont celle de mère pour ma part. Cependant, ça ne doit pas nous faire peur, nous sommes fortes, engagées, passionnées, emphatiques et surtout travailleuses, nous les femmes. Alors comme moi, n'hésitez à vous lancer car nous avons tellement de qualités à offrir. »
« Je suis une businesswoman passionnée de mode ! Je vis et je respire mode, sous toutes les formes depuis toujours. Mon rapport avec la mode et le sens de l'esthétique est inné, il a ensuite été nourri par ma curiosité, mon goût pour le beau et mes études de design. Par peur de décevoir et par sécurité, je n'ai pas fait d'études dans ce domaine précis mais le chemin que j'ai emprunté pour revenir à la mode m'a appris beaucoup d'autres choses notamment pour la création de mon entreprise inouï.e. Ma vie de maman solo m'impose d'avoir une activité salariée à côté de mon entreprise ce qui n'est pas facile tous les jours mais il y a quelques mois, j’ai été certifée en tant que Personal Stylist et Personal Shopper et j'ai créé mon entreprise pour proposer mes services aux particuliers et en B2B. »
« Je réponds hyperactive passionnée ! J'aime avoir plein de choses à faire. J'organise tout pour en faire le maximum chaque jour que ce soit dans mon boulot, avec ma famille, mes amis et dans mes projets personnels… Je m'investis complètement dans ce que j’entreprends, j'y mets tout mon cœur et toute mon énergie. Une journée bien remplie m'emplit de joie et d'ondes positives. Nous n'avons qu'une seule vie, il faut profter de chaque jour pour vivre pleinement. »
Johanna
« Si je devais me décrire comme une businesswoman, je dirais simplement que je suis curieuse. Curieuse de voir jusqu’où on peut aller, être toujours à l’affût de nouvelles opportunités, de nouvelles rencontres et ressentir l’adrénaline d'un futur projet. Il faut oser se diversifier, aller au bout de ses compétences et se découvrir de nouveaux talents. Avoir la capacité d’analyser le contexte rapidement et oser pour se lancer. Être une businesswoman, c’est aussi se donner le droit d’écouter son instinct, de douter et d’échouer. Si je devais choisir la businesswoman que je souhaiterais incarner : une femme forte et douce, qui inspire et « lead » avec bienveillance. »
Question à nos Ambassadettes ::: 95
« Je ne me considère pas comme une businesswoman, mais on me décrit plutôt comme un caméléon, une petite pile électrique qui apprend, découvre et se challenge chaque jour. “Learning by doing” est mon mantra Avec les années, j’ai pu comprendre qu’un travail pouvait être aussi une passion. Je suis passionnée, déterminée mais le plus important pour moi est de trouver un équilibre entre ma vie perso/maman et mes activités. Mon côté artistique prend une place prépondérante dans mon quotidien. »
Votre magazine Janette vous est offert. Vous pouvez ainsi le trouver gratuitement dans 350 points de distribution partenaires au Grand-Duché de Luxembourg. Pour connaitre ces endroits - qui ne sont que de bonnes adresses ! - où vous procurer votre magazine, il vous suffit de flasher le QR en bas de cette page.
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« En mai, fais ce qu’il te plaît… » Mais pas que !
Le 1er mai, fête du travail, est un jour férié. Fière d’être une bosseuse, avouez tout de même que vous appréciez. Lâchez votre ordi et profitez !
Toutes ces fleurs dans la nature vous mettent du baume au cœur et vous inspirent. Et si vous vous essayiez à la peinture ou à la poésie ? Le monde a besoin de romantisme.
Vous prônez les occupations et la nourriture saines. Passez à l’action, il n’est pas trop tard pour vous lancer dans la création d’un potager. On ne plaisante pas !
Et si vous décrochiez un peu des écrans pour troquer la lumière bleue contre le bon air printanier ou une balade en forêt ?
Stop à l’obésité ornithologique ! Arrêtez de gaver les oiseaux de boules de graines, la nature leur offre à présent de quoi se sustenter… S’ils arrivent toujours à décoller !
Le muguet porte bonheur. À cultiver, à cueillir et à offrir sans modération ! Le tout est d’y croire et, surtout, de partager.
Cet été, vous avez décidé de voyager écolo. Commencez déjà votre road book pour ne pas vous retrouver dans le premier charter faute d’un manque de préparation.
Les jours fériés et les ponts du mois de mai vous incitent au farniente. Mais voilà qu’au lieu d’en profiter, vous vous plaignez des jours ouvrés intercalés ! Attention à ne pas rejoindre la catégorie des perpétuels insatisfaits…
Faire ce qu’il vous plaît, la devise du mois est bien intégrée. Restez tout de même vigilante sur un point : la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres !
Marre de faire les courses et de cuisiner, et si en mai vous instauriez le resto hebdo ? Que Jano passe derrière les fourneaux s’il a peur pour le compte commun !
Vous êtes en quête de renouveau ? Attention à ne pas aller trop loin dans le changement et le ménage de printemps, vous pourriez ne plus vous y retrouver !
La hausse des prix vous freine dans la conquête d’une nouvelle garde-robe d’été ? Chacune ayant son éthique, on vous conseille l’upcycling ou la carte bleue de Jano…
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