Strategie & Accents Actions

Page 1

&

Stratégie Accents

... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial

Actions

dans cette édition:

Abertis Deutsche Telekom Google Johnson&Johnson Royal Dutch Shell Zurich Insurance Group

Dernière mise à jour des cours et des avis: 29-10-2012

Les résultats des entreprises ne suscitent guère l’enthousiasme Au cours des deux dernières semaines, près de 60% des grandes entreprises américaines et 20% de leurs consœurs européennes ont publié leurs résultats pour le troisième trimestre. Nous avons relevé quelques bonnes surprises, mais celles-ci s’expliquent surtout par des prévisions peu élevées. La première lecture des résultats ne nous enthousiasme donc pas vraiment. Les marchés d’actions leur ont également réservé un accueil assez tiède. Les principaux indices boursiers ont par conséquent baissé la semaine dernière. Les bénéfices des entreprises américaines sont comparables aux chiffres publiés il y a un an. Ils restent donc plantureux, mais ils ne progressent plus. Comme prévu, le chiffre d’affaires accuse un léger recul, ce qui signifie que les marges bénéficiaires se main­ tiennent. En Europe, nous observons une rupture de tendance. Après avoir reculé durant les trois derniers trimestres, les bénéfices des entreprises européennes amorcent aujourd’hui leur redressement. Bénéfice et chiffre d’affaires repartent à la hausse, bien que nous soyons toujours loin des niveaux records de 2007. De nombreuses multinationales possèdent des liquidités abondantes qu’elles affectent au rachat de leurs actions plutôt qu’à des investissements. Une partie des liquidités excédentaires est ainsi reversée aux actionnaires. Mais le rachat d’actions propres envoie surtout un signal fort : le management qui rachète les actions de son entreprise est convaincu que celles-ci affichent un cours attrayant.

Stratégie & Accents est une publication bimensuelle de KBC Banque & Assurance N° A21 – 2 novembre 2012

Derniers changements d’avis Abertis

D’augmenter à conserver

Zurich Insurance Group

D’augmenter à conserver


Abertis pâtit de la décélération de ses marchés domestiques

Changement d’avis : d’augmenter à conserver Cours : 11,68 EUR Objectif de cours : 12,00 EUR Secteur : industrie

Activités

Points forts

• • •

L’espagnol Abertis exerce trois activités : exploitation de routes à péage, de réseaux mobiles et fixes et d’aéroports. L’action fait partie de l’indice IBEX 35, qui suit l’évolution de la Bourse de Madrid.

Résultats

Au premier trimestre 2012, le chiffre d’affaires d’Abertis a augmenté de 1,4%, à 888 millions EUR, par rapport à la même période de l’exercice précédent. Le résultat d’exploitation a grimpé de 5,3%, à 311 millions EUR, dans le sillage de la baisse des dépenses d’exploitation. Dans la division Routes à péage, les revenus ont progressé de 2,2%, à 695 millions EUR et le résultat d’exploitation a bondi de 4,7%, à 281 millions EUR. Dans le pôle Réseaux télécoms, les revenus ont reculé de 3,4%, à 125 millions EUR et le résultat d’exploitation s’est tassé de 1,2%, à 31,9 millions EUR.

• •

20 18 16 14

Bon cash-flow libre qui contribue à un beau dividende. Revenus stables adaptés à l’inflation. Extension des activités en Amérique du Sud.

Points faibles

• •

Faible trafic sur les autoroutes espagnoles durant ces dernières années. L’action pâtit de la méfiance à l’égard des économies périphériques européennes.

Opinion Depuis son intégration dans notre liste de recomman­ dations le 3 août 2012, l’action Abertis a vu son cours bondir de 21%, dans le sillage des solides cash-flows, du rendement de dividende élevé et des belles perspectives de croissance en Amérique latine. La décision récente de la Banque centrale européenne de procéder au rachat illimité de titres de créance d’États membres ayant officiellement demandé l’aide du fonds de secours a sans doute restauré la confiance des investisseurs dans le potentiel de bénéfice de cette entreprise espagnole. Le ralentissement marqué de la croissance économique sur les marchés domestiques (Espagne et France) de l’entre­prise et la lenteur du processus décisionnel politi­ que pour résoudre la crise de l’euro restent un handicap. C’est pourquoi nous nous montrons un peu plus prudents depuis cette belle remontée et émettons la recomman­ dation Conserver.

12

Solutions de remplacement : Deutsche Post, Ryanair Holdings

10 8 Source: Thomson Reuters Datastream

6

2008 2009 2010 ABERTIS INFRAESTRUCTURAS Industrials World equity markets

2011

2012

Steven Vermander Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : 03-08-2012

première recommandation : augmenter

18-10-2012

d’augmenter à conserver

Stratégie & Accents

2


La fusion de la filiale américaine est positive pour Deutsche Telekom

Avis : augmenter

Cours : 8,83 EUR Objectif de cours : 10,80 EUR Secteur : télécommunications

Activités

Points forts

• •

Deutsche Telekom est l’une des plus grandes sociétés télécoms intégrées au monde. Elle opère surtout dans les réseaux large bande/fixes, la communication mobile et les entreprises.

Résultats

Au premier semestre 2012, le chiffre d’affaires de Deutsche Telekom a baissé de 0,9%, à 28,8 mil­liards EUR, par rapport à la même période de l’exercice précédent et ce, en raison de la contraction des revenus des services voix et des baisses de tarifs imposées. Le bénéfice opérationnel a reflué de 12,4%, à 2,8 milliards EUR. En Allemagne, le chiffre d’affaires a diminué de 2,6%, à 10,6 milliards EUR, et le bénéfice opérationnel a augmenté de 0,2%, à 2,1 milliards EUR. Aux ÉtatsUnis, le chiffre d’affaires a progressé de 5,3%, à 7,7 milliards EUR, grâce à la hausse du nombre de clients utilisant des cartes prépayées et à l’appréciation du dollar face à l’euro, tandis que le bénéfice opérationnel bondissait de 41,7%, à 740 millions EUR.

16 15 14 13 12 11 10 9 8 7

Opérateur intégré de premier plan en Europe. Solide position sur le marché allemand de la téléphonie mobile.

Points faibles

• •

Endettement élevé. Envergure insuffisante aux États-Unis

Opinion Deutsche Telekom a conclu un accord pour la fusion de sa filiale mobile américaine T-Mobile USA avec MetroPCS. Deutsche Telekom conservera une participation de 74% dans la nouvelle entité. L’opération est positive pour Deutsche Telekom puisqu’elle va accroître l’envergure des activités américaines et réduire la concurrence. Des synergies de 6 à 7 milliards USD sont également attendues. Réussir une fusion est loin d’être une sinécure. Ne pas atteindre le montant total des synergies annoncées est un risque dont il faut tenir compte. Même après la fusion avec MetroPCS, T-Mobile USA n’aura pas une envergure suffisante par rapport à ses deux plus grands concurrents, AT&T et Verizon. Une nouvelle consolidation du marché de la téléphonie mobile améri­ caine, dans laquelle T-Mobile USA serait impliqué, n’est donc absolument pas exclue. Deutsche Telekom génère la moitié de son cash-flow d’exploitation sur son marché domestique, qui est stable. Le chiffre d’affaires des données mobiles croît à un rythme effréné. Dans le domaine de la téléphonie fixe également, le marché allemand est nettement plus attrayant que nombre d’autres pays du sud de l’Europe. Nous émettons par conséquent l’avis Augmenter.

Source: Thomson Reuters Datastream

6 2008

2009

2010

2011

2012

DEUTSCHE TELEKOM Telecommunication Services World equity markets

Kurt Ruts Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : Néant Stratégie & Accents

3


Google investit dans son avenir

Avis : acheter

Cours : 677,30 USD Objectif de cours : 820,00 USD Secteur : technologies de l’information

Activités

Points forts

• •

Google propose un moteur de recherche doté d’options diverses telles que l’Internet, les images, les cartes géographiques, l’actualité, les groupes de discussion et l’e-mail. L’essentiel de ses revenus provient de messages publicitaires ciblés et de publicités sponso­ risées associées aux recherches en ligne.

Au troisième trimestre 2012, le chiffre d’affaires de Google a bondi de 45,1%, à 14,1 milliards USD, par rapport à la même période un an plus tôt, grâce au rachat de Motorola Mobility Holdings, à la hausse des revenus publicitaires ainsi qu’à des effets de change favorables. Le résultat d’exploitation a toutefois chuté de 10,5%, à 2,7 milliards USD, par suite de la hausse des coûts. Le groupe accuse en outre une perte opérationnelle de 527 millions USD. Les recettes publicitaires ont bondi de 18,6%, à 11,5 milliards USD.

800 700 600

500 400 300 Source: Thomson Reuters Datastream

2008 2009 GOOGLE 'A' Software & Services World equity markets

Points faibles

Résultats

200

Premier moteur de recherche, avec une part de marché de 65%. Hausse du taux de réponse aux publicités associées aux recherches.

2010

2011

2012

Google reste tributaire de la publicité. Le rachat de Motorola engendre une contraction des recettes publicitaires de 94% à 77% par rapport à l’ensemble des revenus. Concurrence d’Apple et Facebook sur le marché publicitaire.

Opinion Les 17  000 brevets de Motorola pourraient expliquer l’acquisition de Motorola Mobility. Les brevets étaient en effet le point faible de Google, en butte à la concurrence. Outre ses activités GSM, Motorola possède une division produisant des décodeurs pour la télévision numérique. La transaction devrait donc renforcer la position de Google TV. La publicité reste la principale source de revenus de Google, dont la part de marché résiste bien. Le marché des publicités liées aux recherches sur Internet poursuit sa croissance, ce qui a permis à l’entreprise d’enregistrer une belle hausse de son chiffre d’affaires. La publicité en ligne continue de profiter de l’abandon des médias traditionnels. Google investit également dans son avenir. Les investisse­ ments consacrés à la conquête de nouveaux marchés com­ mencent à porter leurs fruits. Ces nouveaux marchés recèlent un énorme potentiel, que le groupe estime à plusieurs milliards de dollars. Il se lance ainsi dans les publicités mobiles, Display et YouTube. Les nouvelles applications (système d’exploi­ tation mobile Android, Google TV, navigateur Chrome et Google+) commencent à percer. Nous maintenons par conséquent notre recomman­dation d’achat. Yves Dalemans Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : Néant Stratégie & Accents

4


Johnson & Johnson: atouts et faiblesses s’équilibrent

Avis : conserver

Cours : 70,74 USD Objectif de cours : 67,00 USD Secteur : santé

Activités

Points forts

• • •

Johnson & Johnson (J&J) est une société de soins de santé diversifiée. Elle opère dans trois segments : Produits de grande consommation, Produits pharma­ ceutiques et Appareils médicaux & Diagnostics.

Résultats

Points faibles

Au troisième trimestre 2012, le chiffre d’affaires de Johnson & Johnson a progressé de 6,5%, à 17,1 milliards USD, par rapport à la même période un an plus tôt. Le bénéfice après impôts est ressorti à 2,6 milliards USD, soit un recul de 17,9% imputable à des amortissements sur la recherche consacrée à la maladie d’Alzheimer, aux coûts d’intégration consécutifs au rachat de Synthes et aux frais résultant des pro­ blèmes liés aux précédentes prothèses de la hanche. Le chiffre d’affaires a augmenté de 12,5%, à 7,1 mil­ liards USD, dans la division Instruments médicaux & Diagnostics et de 7%, à 6,4 milliards USD, dans le pôle pharmaceutique. L’UE a homologué le Dacogen ainsi qu’une nouvelle version du Velcade.

75 70 65 60 55 50 45 40 35 30 Source: Thomson Reuters Datastream

25

Solide position de marché dans la pharmacie, les appareils médicaux et les diagnostics, qui représentent ensemble près de 80% du chiffre d’affaires. Puissant ancrage sur le marché américain. Bilan en bonne santé.

2008 2009 2010 JOHNSON & JOHNSON Pharmaceuticals & Biotechnology World equity markets

2011

• • •

Durcissement de la concurrence pour les produits phares (Procrit, Remicade, Risperdal). Concurrence générique. Problèmes de production et de qualité.

Opinion Les prévisions de chiffre d’affaires de Johnson & Johnson ont jusqu’à présent été plombées par le risque d’expiration des brevets. Le management table sur l’homologation de plusieurs médicaments. Johnson & Johnson s’est offert Synthes, une entreprise spécialisée dans les équipements chirurgicaux, renforçant ainsi sa position dans ce segment. Le nouveau CEO doit résoudre définitivement les problè­ mes de qualité des médicaments sans prescription et du segment orthopédique. L’Europe devrait approuver une variante biogénérique du Remicade (arthrite rhumatoïde) en 2014, ce qui compri­ mera le prix et les ventes. Les problèmes de production, la pression sur les prix dans l’UE, la stagnation des ventes, les expirations de brevets,... nuisent à l’action. En revanche, les liquidités abondantes et l’entrée en fonction d’un nouveau patron sont des atouts, de même que les nouveaux produits et l’essor des marchés émergents. Points forts et points faibles s’équilibrent. Nous conseillons par conséquent de conserver l’action.

2012

Solutions de remplacement : Merck Co, Teva Pharma Pieter Mahieu Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : Néant Stratégie & Accents

5


Royal Dutch Shell: les réductions de valeur et les provisions risquent de peser sur le cours

Avis : augmenter

Cours : 26,21 EUR Objectif de cours : 30,00 EUR Secteur : énergie

Activités

Points forts

• • •

Royal Dutch Shell est le deuxième producteur mondial de pétrole et le numéro un en Europe. Il s’articule autour de six divisions : Exploration & production, Pétrole & gaz, Produits pétroliers, Produits chimiques, Sables bitumineux et Siège central.

Résultats

Au deuxième trimestre 2012, le chiffre d’affaires de Royal Dutch Shell a diminué de 3,8%, à 119,9 milliards USD, par rapport à l’année précédente. Le bénéfice après impôts a chuté de 53,6%, à 4,1 milliards USD. Dans la division Raffinage et distribution, la production pétrolière et gazière a progressé de 1,9%, à 3,1 millions de barils équivalent pétrole et les revenus se sont tassés de 22,7% à 4,7 milliards USD. Dans le pôle Exploration et extraction, les volumes de pétrole ont gonflé de 3,8%, à 6,3 millions de barils par jour. Les revenus se sont effrités de 27,8%, à 1,4 milliard USD. Dans la branche Chimie, les volumes se sont étoffés de 2,7%, à 4,7 millions de tonnes.

• •

35

30

25

20

15

Source: Thomson Reuters Datastream

10 2008

2009

ROYAL DUTCH SHELL A Energy World equity markets

2010

2011

2012

Excellente position de marché et notoriété de la marque. Belle diversification géographique de la production, excellente santé financière et endettement réduit. Position de force en Asie.

Points faibles

• •

Hausse des coûts d’investissement. Sensibilité aux fluctuations des prix pétroliers et gaziers et des marges de raffinage et de vente.

Opinion Les géants pétroliers ne parviennent pas à profiter des prix pétroliers élevés. Le concurrent Chevron a lancé un avertissement selon lequel le bénéfice du troisième trimestre serait nettement inférieur à celui du deuxième trimestre. Si Chevron est confronté à un climat difficile aux États-Unis, Royal Dutch Shell doit l’être également. Royal Dutch Shell évalue en général les provisions et les réductions de valeurs actées au troisième trimestre de chaque exercice. Compte tenu de la faiblesse des prix du gaz aux États-Unis, nous prévoyons plusieurs réductions de valeur sur les activités américaines. Le management avait déjà annoncé précédemment la constitution de provisions supplémentaires en vue de l’augmentation des taxes au Royaume-Uni. La nouvelle pourrait peser sur le cours à court terme. En 2011, Royal Dutch Shell se classait parmi les actions qui avaient opéré la plus forte remontée. Au lieu de reverser une partie de ses liquidités excédentaires à ses actionnaires, il a préféré investir. En outre, les volumes de production atteindront leur sommet naturel au troisième trimestre. À partir de 2013-2014, Royal Dutch Shell n’assistera plus à une progression plus mar­ quée de sa production par rapport aux con­ currents. Dans ce contexte, nous émettons la recommandation Augmenter. Alex Martens Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : 11-10-12

Stratégie & Accents

d’acheter à augmenter

6


Les provisions supplémentaires compriment le bénéfice de Zurich Insurance Group

Changement d’avis : d’augmenter à conserver Cours : 231,70 CHF Objectif de cours : 245,00 CHF Secteur : finance

Activités

Points forts

• •

Résultats

Points faibles

• •

Opinion

400

200

Zurich Insurance Group a constitué des provisions supplé­ mentaires dans la division Assurances dommages en vue de futures demandes d’indemnisation, ce qui a raboté le bénéfice opérationnel de 550 millions USD au troisième trimestre 2012 et devrait plomber le résultat opérationnel de 10% sur l’ensemble de 2012. Cette décision sapera le moral de l’investisseur à court terme mais constitue un bon choix à plus long terme. L’assureur a non seulement examiné tous ses contrats mais a aussi décidé d’équilibrer les risques et les provisions. Zurich Insurance Group est parvenu ces dernières années à enregistrer des résultats opérationnels stables et à entre­ tenir une communication adéquate avec ses action­naires. Le rendement de dividende de 7% dépasse la moyenne du secteur de 5%. Dans ce contexte, nous émettons la recommandation Conserver.

150

Solutions de remplacement : Allianz, AXA

Zurich Insurance Group s’articule autour de cinq segments : assurances dommages, assurances vie, conseil financier, autres services et fonctions corporate. Outre les assurances, il propose des fonds d’investis­ sement et des crédits hypothécaires.

Au premier semestre 2012, les revenus de Zurich Insurance Group ont augmenté de 17,9%, à 32,7 mil­ liards USD, par rapport à la même période de l’année précédente. Le bénéfice opérationnel s’est étoffé de 17,1%, à 2,5 milliards USD. Dans le pôle Assurances dommages, les revenus ont reculé de 0,7%, à 16,1 milliards USD et le bénéfice opérationnel a bondi de 46,2%, à 1,6 milliard USD. Dans la branche Assurances vie, les revenus ont grimpé de 37,9%, à 12,4 milliards USD et le bénéfice opérationnel a régressé de 10,6%, à 651 millions USD.

350 300

250

Zurich Insurance Group est l’un des cinq plus grands assureurs d’Europe et un leader des assurances d’entreprises. Robuste bilan et excellente réputation dans le domaine des acquisitions.

Forte exposition au segment volatil des assurances d’entreprises. Risque de change, une large part des revenus étant réalisée aux États-Unis.

Source: Thomson Reuters Datastream

100 2008 2009 ZURICH INSURANCE GROUP Insurance World equity markets

2010

2011

2012

Leen Ooms Analyste financier KBC Asset Management

Relevé des changements d’avis durant ces 12 derniers mois : 10-01-11

de digne d’achat à augmenter

18-10-12

d’augmenter à conserver

Stratégie & Accents

7


Les marchés en images Marchés d’actions

Marchés d’obligations

Rapport C/B Rendement de dividende (%) UEM 10,7 4,0 Etats-Unis 13,5 2,1

Taux à dix ans en EUR Taux à dix ans en USD

115

115

110

110

105

105

100

100

95

95

90

90

85 80

85 Source: Thomson Reuters Datastream

N D J F M A M J EURO STOXX 50 - PRICE INDEX S&P 500 COMPOSITE - PRICE INDEX

80 J

A

S

O

5.00

5.00

4.50

4.50

4.00

4.00

3.50

3.50

3.00

3.00

2.50

2.50

2.00

2.00

1.50

1.50

1.00

1.00

0.50 0

0.50 Source: Thomson Reuters Datastream

0

N D J F M A M J J A S O EMU BENCHMARK 10 YR. DS GOVT. INDEX - RED. YIELD US BENCHMARK 10 YEAR DS GOVT. INDEX - RED. YIELD

Evolution de l’indice S&P 500 1600

Source: Thomson Reuters Datastream

1600

1500

1500

1400

1400

1300

1300

1200

1200

1100

1100

1000

1000

900

900

800

800

700

700

600

600 2007

2008

2009

2010

J F M A M J J A S ON D J F M A M J J A S

S&P 500 COMPOSITE - PRICE INDEX

WWW

Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 6, 1080 Bruxelles. Ce document est le résumé d’un rapport d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec) et KBC Asset Management (KBC AM), diffusé par KBC Bank. L’Autorité des services et marchés financiers (FSMA) est l’autorité de contrôle compétente. Les recommandations figurant dans ce document n’entrent pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers mais sont une communication publicitaire, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion de ces recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC Sec et KBC AM et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas liée à des transactions de banque d’affaires. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers présentés sont libellés dans une autre monnaie que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de valeur. Ni KBC Sec ni KBC AM ni aucune autre société du groupe KBC ne peuvent être tenus responsables de l’inexactitude ou de la non-exhaustivité éventuelle des données communiquées dans ce document. Pour certains éléments essentiels de cette recommandation d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons pour KBC Sec aux ‘Disclosures’ consultables sur www. kbcsecurities.com/disclosures et pour KBC AM aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions. Editeur responsable / rédacteur en chef: Alex Wolfers, Product & knowledge management KBC AM / Christiaan De Moor. Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles. D’autre part, l’analyste financier y expose son opinion sur l’entreprise. Il en décrit les points forts et les points faibles et indique, dans son avis global, les motifs à la base de sa recommandation. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Photos utilisées: www.shutterstock.com

Parution du prochain numéro le 16 novembre 2012


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.