Portefeuille 2014 05 fr

Page 1

&

Stratégie Accents APPROCHE FONDÉE SUR LE PORTEFEUILLE

2 Thème Investir dans l’immobilier : une riche idée !

5

Vrai ou faux ?

Période de déflation en vue

6 Stratégie

À elle seule, la valorisation ne peut pas faire remonter les cours

12 Actions

En point de mire Secteur Technologie

14

Sous la loupe

Investissez dans des entreprises de croissance prometteuses !

Sous la loupe

15

Les indicateurs de confiance confirment la croissance économique

Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • N° 05 - 5 mai 2014


Thème

Investir dans l’immobilier : une riche idée !

Les Belges sont persuadés qu’investir dans la brique est le placement le plus sûr. À vrai dire, le marché immobilier reste relativement soutenu et les taux bas ont de quoi les conforter dans leur idée. Or les tracasseries et les frais prévus et imprévus qu’implique un achat immobilier peuvent en décourager plus d’un. Si la perspective de chercher des locataires ou d’avoir à entretenir un second bien immobilier ne vous tente guère, KBC vous propose des solutions de remplacement.

2

Stratégie & Accents


Thème

Acheter un bien immobilier coûte bien plus cher que le prix demandé par le vendeur. La transaction s’accompagne de nombreux frais : droits d’enregistrement, frais de notaire et éventuellement TVA. En outre, il faudra payer chaque année l’assurance incendie, l’entretien, les réparations et éventuellement la facture du syndic.

Fiscalité: une charge mais aussi des avantages Acheter un deuxième bien a aussi des implications fiscales. Comme tout bien immobilier en Belgique, les secondes résidences et les immeubles de rapport sont soumis au précompte mobilier. De plus, nombreuses sont les provinces et communes belges qui les taxent. En général, cette taxe est due lorsque le propriétaire lui-même n’est pas domicilié à l’adresse du bien. Si vous envisagez de revendre votre seconde résidence ou votre immeuble de rapport dans les cinq ans, vous payerez en plus une taxe sur la plus-value réalisée. En revanche, financer l’acquisition d’une seconde résidence ou immeuble de rapport vous apporte aussi des avantages. Pour commencer, les intérêts sont déductibles du revenu immobilier. En déclarant ces intérêts à l’impôt, vous réduisez vos revenus immobiliers imposables. En outre le capital que vous remboursez à la banque peut, sous certaines conditions, vous valoir un avantage fiscal dans le cadre de l’épargne à long terme.

Vos obligations en tant que bailleur Si vous avez acheté le bien pour le donner en location, vous êtes responsable de tout ce qui a trait à l’entretien de l’immeuble. Depuis 2009, vous devez pouvoir produire un certificat de performance énergétique et depuis 2010, la loi sur la copropriété vous impose encore d’autres obligations supplémentaires. Les revenus que vous tirez de votre bien immobilier

Stratégie & Accents

sont taxés différemment selon que vous louez le bien à des fins privées ou professionnelles. Le revenu cadastral sert de référence pour déterminer ces revenus. En tant que bailleur, vous devez aussi tenir compte du risque de vacance locative, des locataires qui ne payent pas leur loyer ou qui endommagent votre bien. En outre la loi offre aux locataires une protection à toute épreuve, si bien que vous pourrez difficilement expulser un mauvais locataire. En général, une action en justice sera votre seul recours.

Heureusement, cela rapporte Un investissement direct dans l’immobilier implique que vous mettez tous vos œufs dans le même panier et que vous comptez sur le bénéfice que vous réaliserez sur l’augmentation de la valeur de votre bien et sur vos revenus locatifs. Ces dernières décennies, les prix de l’immobilier ont augmenté de manière ininterrompue mais dans le proche avenir, il est peu probable qu’ils continueront de grimper à la même cadence. Le secteur immobilier belge ayant bien résisté à la crise, les prix des biens se sont maintenus et habiter en Belgique coûte donc très cher. Cependant, selon les perspectives de KBC (octobre 2013), la progression attendue du chômage et la hausse des taux d’intérêt réels devraient peser sur les prix. Un (léger) tassement des prix semble donc probable. Le rendement brut d’un bien donné en location équivaut à la somme de tous les revenus locatifs sur un an, divisée par le prix d’achat du bien, plus les frais. Pour connaître le montant qui vous restera au bout du compte, vous devrez encore déduire de nombreux frais de votre rendement brut (impôts, réparations, assurances, etc.). Votre rendement net sera donc nettement plus faible.

3


Thème

Quelle alternative? Vous pouvez aussi envisager d’investir indirectement dans l’immobilier sous la forme d’actions de sociétés cotées ou d’organismes de placement collectif (OPC), autrement dit des fonds. KBC vous propose une large palette de produits d’investissement en immobilier commercial mais aussi en maisons de repos, encore que ce dernier ne soit généralement pas d’un accès facile pour l’investisseur privé.

4

Selon la Stratégie d’investissement KBC, un investissement immobilier mérite certainement une place dans le cadre d’un portefeuille diversifié. Parlez-en avec votre conseiller KBC.

Stratégie & Accents


Vrai ou faux ?

Période de déflation en vue

L’inflation s’effrite jusqu’à +0%, mais reste positive. Aucun risque de déflation par conséquent ? L’inflation se situe dans le bas de la fourchette +0 - +2%. Un pourcentage nettement inférieur aux objectifs officiels des banques centrales, mais néanmoins positif. Il en sera encore longtemps ainsi. Le risque de déflation est très limité. L’inflation atteint +0,5% dans la zone euro et +1,5% aux États-Unis. Une tendance à la baisse qui n’étonne guère vu le recul des prix des matières premières, le cours du baril légèrement orienté à la baisse, la faible croissance économique et la surcapacité. Notre scénario intègre ce phénomène depuis bien longtemps. La faible inflation semble atteindre son plancher. Nous voyons l’inflation globale se rapprocher de l’inflation de base, qui est légèrement plus élevée (+0,8% dans l’UEM, +1,6% aux États-Unis). Nul ne peut toutefois présager de l’avenir… Si le redressement de l’économie est brisé pour une raison quelconque, l’inflation peut devenir négative. Nous préférons une forte diminution des prix du pétrole à un signal de déflation. Les monétaristes estiment que la création monétaire massive des banques centrales comportent d’importants risques inflationnistes. L’inflation peut en effet déraper en cas de haute conjoncture, lorsque le marché du travail se resserre et quand les banques centrales ferment les robinets monétaires.

Stratégie & Accents

5


Stratégie

À elle seule, la valorisation ne peut pas faire remonter les cours Accents ❯❯ Nous prenons une partie de notre bénéfice. Les actions ne sont plus extrêmement bon marché. Les cours obligataires se sont envolés. ❯❯ La hausse des taux du marché est en outre plus probable que leur baisse.

Luk Van Heden Stratégist KBC Asset Management

Les rapports cours/bénéfice des actions se sont à nouveau normalisés à la suite de l’envolée des cours des actions et de la maigre croissance bénéficiaire des entreprises en 2013. Si les résultats des prochains trimestres ne démontrent pas que les entreprises renouent avec la croissance, les investisseurs pourraient douter du redressement des cours. Dans ce contexte, nous ne surpondérons plus les actions. Nous prenons également notre bénéfice sur les obligations. Le gain escompté est en effet très maigre depuis de la remontée des cours de ces derniers mois.

Depuis fin 2012, le S&P 500 a grimpé de 28,6%, alors que la hausse des bénéfices des entreprises est restée limitée à 5,8%. La valorisation des actions a donc bondi de 22%. En Europe, l’écart est tout aussi important. Le MSCI Europe a gagné 16,4% depuis la fin 2012, alors que le bénéfice par action s’est contracté de 1,8%. Les actions sont donc devenues plus chères et les obligations un peu moins chères ces derniers mois, tout au moins dans les segments du marché les plus sûrs. L’Ukraine a jusqu’ici peu affecté les Bourses. Autres développements notables : Une correction sur la Bourse technologique américaine, le Nasdaq, emmenée par les entreprises biotechnologiques. La quête aveugle du rendement sur les marchés obligataires. Les différentiels de taux d’intérêt ne reflètent par conséquent pas toujours le risque sur débiteurs.

espagnol-allemand ont déjà régressé de respectivement 3,6 et 4,7 points de pourcentage depuis leur record atteint durant la crise. Il est encourageant pour ces États affaiblis de constater que leur taux ne dépasse plus que d’une centaine de points de base le niveau de fin 2009, avant l’éclatement de la crise. La Grèce est même parvenue à placer avec succès un emprunt obligataire d’une durée de cinq ans.

Les taux obligataires restent artificiellement bas...

...et frôlent l’exagération

• •

La réduction des achats de soutien (tapering) est à peu près le seul élément à avoir influencé les taux obligataires depuis mai 2013, tant aux États-Unis qu’en Europe. Selon nous, les taux obligataires ne devraient subir aucune autre influence dans les mois à venir. Le taux allemand (1,55%) et américain (2,65%) des obligations d’État à dix ans a aujourd’hui reculé d’environ 10 points de base par rapport au mois précédent et d’environ 40 points de base par rapport au début 2014. Les différentiels de taux entre les États membres de l’UEM se sont en outre (nettement) resserrés. Les différentiels de taux italien-allemand et

6

Les perspectives bénéficiaires pour les investisseurs en obligations se sont encore dégradées

Dans de nombreux segments du marché obligataire, l’appât du gain a perturbé l’équilibre entre risque et rendement. En soi, il s’agit là d’un signe d’exagération. Nous pensons depuis longtemps que les risques sont asymétriques sur le marché obligataire. La baisse du taux du marché est nettement moins probable que sa remontée. Il suffit de peu pour mettre les taux obligataires sous pression haussière : un peu plus d’optimisme conjoncturel, un peu moins d’aversion pour le risque, l’insatisfaction face au maigre rendement des valeurs refuges... L’attitude de la Banque centrale américaine bride toutefois le potentiel de hausse. Selon elle, un taux américain à dix ans de 3%

Stratégie & Accents


Stratégie 8%

Source: KBC Asset Management / JP Morgan Bonds Indices

7% 6% 5% 4% 3% 2% 1%

SH CA

Go vie s US

Ce nt ra lE ur op e

EM

U

Co rp or at es

an y Ge rm JP M

um

Co rp or at es US

Be lgi JP M

Go vie s U EM

nd ex

Ita ly

Bo nd sI

JP M Em

er gin g

JP M

Sp ain

0%

Les obligations ont démarré 2014 sur les chapeaux de roues

est dangereux. C’est pourquoi nous prévoyons tout au plus une légère remontée du taux obligataire aux États-Unis. Le marché obligataire européen s’inspire de la situation outre-Atlantique. Les différentiels de taux d’intérêt - même entre les États membres européens - pourraient encore diminuer quelque peu, mais le recul sera limité.

Politique monétaire : un seul Dieu, beaucoup de religions... Le contexte est le même pour toutes les banques centrales : l’inflation est trop faible et la croissance devrait s’améliorer, bien qu’elle reste vulnérable. La Banque centrale américaine y voit une raison pour sortir de sa politique monétaire extrêmement accommodante, tandis que la BCE reste sur ses gardes. La politique de la Réserve fédérale est on ne peut plus claire : poursuivre le tapering au rythme actuel. Le rachat de titres de créance prendra donc fin en septembre - octobre 2014. Le taux directeur pourrait rester inchangé pendant encore au moins six mois, un premier relèvement étant possible à la mi-2015. La Fed communique abondamment à propos de ce

Stratégie & Accents

scénario ainsi qu’à propos des facteurs susceptibles d’influencer son raisonnement, soit de mauvaises nouvelles économiques à propos du chômage, du marché résidentiel et du taux à dix ans. Les commentaires relatifs à la Banque centrale européenne se succèdent, illustrant le flou qui entoure sa politique. Il ne fait aucun doute que la BCE ne relèvera pas son taux directeur avant 2016. À court terme, un nouvel abaissement symbolique de 10 à 15 points de base à 0,10-0,15% est toutefois possible. La probabilité de l’introduction d’un taux de dépôt négatif (contre 0% actuellement) augmente. Cette mesure pourrait entraîner une dépréciation de l’euro, qui est de plus en plus souhaitée par les autorités. La BCE mise sur l’évaluation de la qualité des actifs au lieu des achats de soutien. L’étude de qualité des portefeuilles de crédits des banques européennes vise à restaurer la confiance entre les banques et à faciliter ainsi le transfert de liquidités. Elle se déroule dans les coulisses et implique un peu de nettoyage çà et là.

7


Stratégie Portefeuille

Actions sans protection du capital

62

26

5

7

Très dynamique

Obligations

34

Placements alternatifs Actions avec protection du capital

32

10,5

15

41,5

29

8

11

Dynamique

8

11

Défensif

Immobilier

25

Cash

0

28

20

40

Très défensif

47

60

80

100

Depuis le début de 2014, les cours obligataires ont augmenté (beaucoup) plus que prévu (voir graphique à la page précédente). Les perspectives bénéficiaires pour les investisseurs en obligations se sont donc encore dégradées. Nous prenons surtout notre bénéfice sur les obligations d’État et nous renonçons à notre préférence pour les obligations d’entreprises. Le marché des obligations d’entreprises a perdu de sa liquidité. Faute de solutions alternatives, nous nous tournons vers les actions. There is no alternative (il n’y a pas d’autre solution). Il y a d’ailleurs de bonnes raisons de miser sur les actions. Pénurie de papier actions. Les entreprises utilisent leurs liquidités abondantes pour racheter leurs actions. Le bénéfice futur (qui grimpe à un rythme de 5 à 6% en base annuelle) est alors réparti sur un plus petit nombre d’actions. Flux d’investissement. Combien de temps les investisseurs institutionnels tels que les fonds de pension ou les assureurs pourront-ils se permettre de rester absents des marchés d’actions ? Ils se sont engagés à offrir un rendement minimal ou à compenser l’inflation. Tapering : lorsqu’une banque centrale se prépare à freiner l’économie, les actions se montrent toujours très performantes, ce qui est logique, le resserrement se produisant en période de haute conjoncture. Chacun sait que les actions sont risquées. Les solutions alternatives deviennent également plus risquées à mesure que les taux diminuent. Les taux ne doivent pas beaucoup remonter pour que le rendement devienne négatif (taux + évolution des cours) et investir en liquidités ne protège pas contre la dépréciation monétaire. Protection contre l’inflation : avec une obligation à dix ans allemande, vous êtes perdant si l’inflation dépasse dans les dix prochaines années le niveau moyen de 1,55%. Avec le dividende du MSCI Europe, vous êtes gagnant tant que l’inflation ne dépasse pas en moyenne le niveau de 3,20%.

• • • • •

8

Stratégie & Accents


Stratégie

Accents dans le portefeuille

Dollar américain Nous sommes optimistes à l’égard du dollar américain. Le billet vert nous permet de nous couvrir contre d’éventuels rebondissements de la crise de l’euro, mais il a d’autres atouts. Tant que le cours de change USD/EUR dépasse 1,00-1,10, le dollar est sous-évalué. Une plus grande modération salariale et une meilleure évolution de la productivité aux ÉtatsUnis orientent le cours d’équilibre vers le niveau de 0,90-1,00 USD par EUR. Malgré la reprise conjoncturelle en Europe, les prévisions de croissance sont moins élevées qu’aux ÉtatsUnis. De plus, la Banque centrale américaine passera plus tôt que la BCE d’une politique soutenant la conjoncture à une politique restrictive. Le désaccord dans les rangs de la BCE génère une certaine lenteur. Et Mario Draghi s’opposera à l’appréciation de l’euro, qu’il dévaluera au besoin.

Petites actions de la zone euro Nous ne sommes pas défavorables aux actions américaines. Nous croyons cependant au redressement de la croissance en Europe. Les signaux ne manquent d’ailleurs pas. Vu les dernières nouvelles conjoncturelles, les valorisations bon marché ne se justifient plus. La crise de l’euro n’est pas résolue, mais elle a disparu des écrans radar. Par suite de la récession, les entreprises européennes ont pris ces deux dernières années un retard de 25% à 30% sur leurs consœurs américaines en matière de bénéfices.

onal affichent une valorisation conforme à celle des sociétés américaines de même calibre, mais les sociétés axées sur le marché européen sont nettement moins chères que leurs consœurs américaines. Cette différence ne se justifie plus.

Technologie La correction sur le NASDAQ, qui a été le théâtre de nombreuses ventes ces dernières semaines, est moins liée aux technologies de l’information qu’à la biotechnologie et à l’e-commerce, un segment de la distribution. La technologie affiche un rapport cours/bénéfice de 14,4 (la prime est donc insignifiante), alors que ses perspectives bénéficiaires sont les meilleures. Elle est le secteur de croissance par excellence. Elle parvient à séduire les consommateurs grâce au renouvellement constant des produits. L’e-commerce et l’Internet constituent sans conteste des niches en plein boom. En outre, la demande d’investissement des entreprises redémarre enfin. De nombreux géants IT affichent une santé éblouissante. Ils possèdent des bilans pour ainsi dire exempts de dettes et disposent de liquidités abondantes, qu’ils reversent de plus en plus aux actionnaires. Nous n’avons pas encore de résultats pour le premier trimestre 2014. Une croissance bénéficiaire de 12% est attendue pour les douze prochains mois. L’objectif est réalisable.

Le moment est venu pour un mouvement de rattrapage. Les actions européennes affichent une décote de 17% par rapport aux valeurs américaines. Jusqu’il y a peu, cette décote se justifiait par la croissance bénéficiaire plus lente et par les risques plus élevés. Les entreprises européennes au rayonnement internati-

Stratégie & Accents

9


Stratégie

Perspectives économiques

Perspectives économiques 16-04-2014

UEM

Royaume-Uni

Etats-unis

Japon

Croissance économiques(%) 2013

-0,3

1,8

1,9

1,5

2014

1,2

2,5

2,7

1,6

2015

1,7

2,2

3,0

1,3

2013

1,3

2,6

1,5

0,4

2014

0,8

2,3

1,5

2,3

2015

1,3

2,1

2,1

1,8

16-04-2014

0,25

0,50

0,25

0,10

07-2014

0,10

0,50

0,25

0,10

10-2014

0,10

0,50

0,25

0,10

16-04-2014

1,51

2,61

2,63

0,61

07-2014

1,80

3,00

3,00

0,60

10-2014

1,90

3,20

3,20

0,70

1 EUR = GBP

1 EUR = USD

1 EUR = JPY

Inflation (%)

Taux officiel (%)

Taux à dix ans (%)

Cours de change 24-04-2014

-

0,82

1,38

141,28

07-2014

-

0,83

1,35

143,10

10-2014

-

0,81

1,33

143,64 source: KBC AM

10

Stratégie & Accents


Stratégie

sélection d’obligations

Au début 2014, la Banque centrale américaine a commencé à réduire l’ampleur de ses achats de titres de dette. Le ton est ainsi donné pour 2014. Nous prévoyons une nouvelle hausse des taux obligataires, tant aux États-Unis qu’en Europe. Il ne faut toutefois pas s’attendre à un rebond spectaculaire, car les banques centrales s’y opposeront. Même après sa remontée opérée en 2013, le taux allemand à dix ans n’excède pas encore l’inflation moyenne escomptée sur cette période. Cela ne signifie cependant pas que certains segments des marchés obligataires sont dénués d’attrait.

Notre sélection d’obligations(1) Monnaie Emprunt

Prix d’émisCoupon sion ou cours indicatif

Rating

Rendement Contre(en %) valeur en EUR (*)

Marché primaire AUD

BNP PARIBAS FORTIS FUNDING 4,700% 2014-2019

101,875

13/05

A+

4,278

4

USD

KBC IFIMA NV 2,600% 2014-2019

101,500

07/05

A

2,280

4

Marché secondaire EUR

ABN AMRO BANK NV 2,500% 2013-2023

102,180

29/11

A

2,244

4

GBP

NESTLE FINANCE INTL. LTD 2,250% 2012-2023

94,490

30/11

AA

2,916

4

NZD

ABN AMRO BANK NV 6,000% 2013-2019

101,540

17/6 en 17/12

A

5,642

4

USD

PETROBRAS GLOBAL FINANCE 4,375% 2014-2023

94,290

20/5 en 20/11

BBB

5,180

4

(1) (*)

Voir note 2 en dernière page. Score conçu pour comparer la sensibilité des différents produits d’épargne et d’investissement au risque. Il est exprimé sur une échelle de 1 à 7. Plus le score est élevé, plus le produit s’adresse à l’investisseur dynamique.

Stratégie & Accents

11


En point de mire actions

Secteur Technologie

Accents ❯❯ Un secteur de croissance qui profite pleinement de la reprise économique. ❯❯ Une valorisation attrayante. ❯❯ Des prévisions bénéficiaires revues à la hausse.

Un secteur de croissance qui profite pleinement du redressement économique La technologie est un secteur cyclique, axé sur la croissance. Il profite donc au maximum d’une phase de redressement économique telle que celle que nous connaissons actuellement. Tant les consommateurs que les entreprises sont en effet disposés à investir dans les technologies les plus récentes. Le renouvellement incessant des produits engendre sans cesse de nouveaux besoins. Les gadgets hightech envahissent le marché et allèchent le consommateur. Peut-être porterons-nous tous des Google Glass et une iWatch d’ici dix ans, mais il est encore plus probable que nous utiliserons des applications qui n’existent pas encore aujourd’hui. Les consommateurs ne sont pas les seuls à succomber aux gadgets technologiques puisque la demande d’investissement des entreprises redémarre elle aussi. Le graphique n°1 montre que lors de la dernière enquête réalisée fin 2013, les entreprises ont revu à la hausse leurs budgets IT. Cette évolution assure la croissance stable des revenus dans le secteur technologique.

Graphique 1: Croissance attendue des budgets IT au cours des 12 prochains mois 10%

Source: Dectiva et UBS

9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0%

Global Q4 2012

États-Unis Q1 2013

Q2 2013

Allemagne Q3 2013

Q4 2013

Une valorisation attrayante L’examen de la prime traditionnelle (graphique n°2) nous montre que le secteur technologique cote plus de 20% en deçà de sa moyenne des dix dernières années. De nombreux géants IT bénéficient d’une santé éblouissante. Ils possèdent des bilans quasi exempts de dettes et disposent de liquidités abondantes, qu’ils reversent de plus en plus aux actionnaires. Ils affichent selon nous de belles perspectives de croissance doublées d’une valorisation attrayante. La valorisation des sociétés Internet a grimpé jusqu’à 158 fois le bénéfice rapporté en 2013 et 5,7 fois le chiffre d’affaires. Les entreprises biotech sont valorisées à 44 fois le bénéfice et 19 fois le chiffre d’affaires. Le marché global est coté à 21 fois le bénéfice et 2,2 fois le chiffre d’affaires. Avec un rapport cours/bénéfice de 14,7, le secteur technologique affiche une modeste prime de 5% par rapport au marché au sens large.

12

Stratégie & Accents


Actions en point de mire

(1)

Graphique 2: Valorisation du secteur IT par rapport à sa moyenne 22,5 20 17,5 15 12,5 10

valorisation du secteur technologique

04 -20 14

04 -20 13

04 -20 12

04 -20 11

04 -20 10

04 -20 09

04 -20 08

04 -20 07

04 -20 06

04 -20 05

04 -20 04

7,5

valorisation moyenne du secteur technologique

Des prévisions bénéficiaires revues à la hausse Les chiffres du quatrième trimestre 2013 et les premiers résultats bénéficiaires de 2014 confirment que le chiffre d’affaires et le bénéfice s’appuient sur les dernières tendances technologiques telles que les appareils mobiles, l’informatique dématérialisée, les jeux en ligne, l’e-commerce, les mises à jour de réseaux, etc.

Les entreprises matures du secteur réalisent de belles performances, mais les petits acteurs n’ont pas tenu leurs promesses

Ces tendances, qui s’alimentent mutuellement, pourraient encore générer davantage de revenus à l’avenir, ainsi qu’Intel et Yahoo! l’ont déjà confirmé au premier trimestre 2014. Le secteur technologique est donc l’une des rares branches industrielles dont les analystes revoient à la hausse les prévisions de croissance bénéficiaire. Dans la plupart des autres secteurs, les bénéfices attendus sont revus à la baisse. La correction sur le NASDAQ, qui a été le théâtre de nombreuses ventes ces derniers jours, est moins liée aux technologies de l’information qu’à la biotechnologie et à l’e-commerce. La valorisation de ces entreprises a atteint des sommets vertigineux. Nombre d’investisseurs et de spéculateurs commencent (à raison) à se demander si ces attentes élevées sont réalisables. La situation est donc bien différente de celle du secteur technologique au sens large, où les attentes sont réalistes, où la valorisation est attrayante et où les fondamentaux permettent la poursuite de la croissance.

Informations sur l’entreprise Entreprise

Cours

Objectif de cours

Recommandation

Dernière modification de la recommandation

Intel

26,26 USD

29 USD

acheter

05-04-2012

Yahoo!

36,48 USD

42 USD

acheter

02-04-2014

Stratégie & Accents

13


Sous la loupe

Assurance placement de la branche 23(1)

Investissez dans des entreprises de croissance prometteuses !

Accents ❯❯ La diversification et la qualité demeurent des éléments clés dans le portefeuille. ❯❯ La recherche et le développement sont essentiels pour une croissance durable.

La recherche et le développement (R&D) sont plus que jamais une priorité. Plus encore : ils sont considérés comme essentiels à une croissance durable. Les entreprises peuvent uniquement (continuer de) croître en consentant des investissements continus dans de nouvelles connaissances et leur application. Les entreprises qui investissent dans la recherche contribuent à la diversification du portefeuille d’actions. Car la diversification et la qualité constituent un must dans tout portefeuille. Dans le cadre de notre stratégie d’investissement, nous sommes optimistes à l’égard des actions, principalement en raison de leur potentiel de croissance. En outre, l’embellie économique crée un climat favorable aux actions.

KBC-Life MI+ Growth by Innovation 2 KBC-Life MI+ Growth by Innovation est un fonds lié à l’assurance placement de la branche 23 KBC-Life Multinvest. Son rendement est déterminé par un panier de 20 actions d’entreprises de croissance prometteuses dont les efforts en R&D peuvent déboucher sur une plus-value. À l’échéance finale2, 100% de la hausse éventuelle3 du panier sont pris en compte. La plus-value maximale s’élève à 60% à l’échéance finale. Une baisse éventuelle4 est prise en compte à hauteur de 100%, mais est limitée à -10%. En d’autres termes, l’un des objectifs d’investissement consiste à

préserver au moins 90% de la prime nette investie (hors taxes et frais d’entrée) à l’échéance finale, sauf en cas de défaillance ou de défaut de paiement de KBC Banque. Vous ne courez aucun risque de change. Certaines actions du panier sont cotées dans d’autres devises, dont l’évolution du cours de change n’a aucune incidence sur le rendement. Les fonds MI+ prévoient le versement d’au minimum 125% de la valeur d’inventaire initiale en cas de décès à la suite d’un accident.

Exemples: Valeur d’inventaire initiale

Valeur de départ du panier*

Valeur finale du panier

Evolution pertinen- Plus-ou moinste du panier par value à la date rapport à la valeur finale* de départ

Valeur d’inventaire à la date finale

Rendement actuariel***

Scénario 1

1 000 EUR

100

85

-15%

-10%

900 EUR

-2,35%

Scénario 2

1 000 EUR

100

110

10%

10%

1100 EUR

0,68%

Scénario 3

1 000 EUR

100

135

35%

35%

1350 EUR

3,87%

Scénario 4

1 000 EUR

100

165

65%

60%

1600 EUR

6,59%

* Ces exemples sont basés sur une valeur de départ du panier de 100. ** Une hausse éventuelle du panier est prise en compte à hauteur de 100%. La plus-value à l’échéance finale est de maximum 60%. La prime nette investie (hors taxe et frais d’entrée) est protégée à 90% à l’échéance finale sauf en cas de faillite ou de défaut de paiement de KBC Banque. *** Rendement actuariel, y compris frais et taxes et hors précompte mobilier. En cas de rachat pendant les huit premières années du contrat, les fonds présentant une durée inférieure à 8 ans peuvent être soumis au précompte mobilier. Ces exemples ne fournissent aucune indication quant au rendement escompté et ne déterminent pas quel sera le scénario le plus probable. La valeur de l’investissement peut augmenter ou diminuer et l’investisseur peut récupérer un montant inférieur à sa mise en cas de sortie avant ou à l’échéance.

Conditions : période d’émission du 28-04-2014 au 25-05-2014 inclus (sous réserve de clôture anticipée). Valeur d’inventaire initiale : 1 000 EUR. Versement minimal : 2 500 EUR. Frais d’entrée : 3% par versement, déduits du montant de souscription. Taxe d’assurance sur les versements : 2%. Frais de sortie avant l’échéance finale : 1% ; à l’échéance finale : 0%. Commission de gestion : jusqu’à 2,4% en base annuelle (déjà inclus dans la valeur d’inventaire). Classe de risque légale : 3 sur une échelle de 0 (faible risque) à 6 (risque élevé). Profil de risque : défensif. En cas de retrait partiel, un montant d’au moins 1 250 EUR doit rester investi. Montant de retrait minimal : 1 250 EUR.

14

(1) Voir note 3 en dernière page. (2) (Valeur finale moins valeur initiale) divisée par la valeur initiale. (3) 6,59% en moyenne en base annuelle (frais et taxes inclus, hors précompte mobilier). (4) -2,35% en moyenne en base annuelle (frais et taxes inclus, hors précompte mobilier). Ces rendements ne sont pas garantis.

Stratégie & Accents


Sous la loupe Organisme de placement collectif(1)

Les indicateurs de confiance confirment la croissance économique KBC EquiPlus 90 Premium Best Performer USD1 KBC propose, en tant que promoteur, 90 Premium Best Performer USD1, un compartiment de la sicav belge1 KBC EquiPlus, Ce compartiment investit dans deux paniers d’actions2 : une sélection de 30 actions de qualité européennes et 30 actions de qualité américaines d’entreprises caractérisées par une capitalisation boursière élevée, une gestion de qualité, une structure bilantaire saine et une évolution bénéficiaire favorable. À l’échéance, les performances3 des deux paniers sont calculées et celles du panier le plus performant sont étudiées : si le panier le plus performant a augmenté, l’évolution positive est versée à titre de plus-value en plus de votre mise initiale. En cas de baisse du panier le plus performant, l’évolution dé-

favorable est prise en compte à titre de moins-value, avec un maximum de -10%4. Vous récupérez donc au moins 90% de votre mise initiale (soit 900 USD sur 1 000 USD avant frais et taxes) à l’échéance. Les fluctuations de change des actions cotées dans une autre monnaie n’affectent pas le rendement. Le fonds5 est libellé en dollar américain. L’appréciation éventuelle du dollar face à l’euro peut générer un rendement supplémentaire. Sa possible dépréciation par rapport à la monnaie unique peut avoir un impact négatif sur le rendement. La volatilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la composition du portefeuille.

Accents ❯❯ L’optimisme conjoncturel se renforce. ❯❯ En cas de doute à propos de la région offrant les meilleures perspectives de croissance, cette formule unique vous permet de faire toujours le bon choix.

Exemples Scénario

Évolution du panier européen3

Évolution du panier américain3

Résultat du meilleur panier3

Résultat (avant frais et taxes) à l’échéance

Montant perçu à l’échéance sur la base d’un capital initial de 1 000 USD

NÉGATIF

-15%

-20%

-15%

-15% mais limité à -10%

1 000 ) 100 = 900 USD (-1,52% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)

NEUTRE

-7%

+10%

+10%

+10%

1 000 + 100 = 1100 USD (1,39% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)

POSITIF

+30%

40%

+40%

+40%

1 000 + 400 = 1400 USD (4,99% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)

Ces scénarios ne fournissent aucune indication quant au rendement escompté et ne déterminent pas quel sera le scénario le plus probable. La valeur de l’investissement peut augmenter ou diminuer et l’investisseur peut récupérer un montant inférieur à sa mise en cas de sortie avant l’échéance.

Conditions : période d’émission du 28 avril 2014 au 26 mai 2014 avant 6 heures du matin (sous réserve de clôture anticipée) avec date valeur le 6 juin 2014. La souscription n’est possible que dans votre agence bancaire. Frais d’entrée : 2,5% pendant la période de souscription ; 3,5% ensuite (dont 1,00% pour le fonds). Frais de sortie à l’échéance finale : néant. Avant l’échéance finale : 1%. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière : 1% à la sortie (max. 1 500 EUR). À l’échéance finale : néant. Plus-value exempte de précompte mobilier. Parts de capitalisation de 1 000 USD. Ordre minimum : 10 000 USD. Service financier : KBC Bank et CBC Banque. Le prospectus, les informations clés pour l’investisseur et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank et CBC Banque ainsi

Stratégie & Accents

que sur www.kbc.be ou www.cbc.be. Nous vous conseillons de lire le document «Informations clés pour l’investisseur» avant d’investir dans ce compartiment. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo). (1) Voir note 1en dernière page. (2) Les actions font l’objet d’une sélection internationale. La sélection s’effectue en quatre étapes sur la base de plusieurs critères : facteurs macroéconomiques (étape n°1), données financières historiques (étape n°2), rapports d’analyse (étape n°3) et données liées à la technique des options (étape n°4). Lors de la première étape, les actions sont filtrées sur la base de leur capitalisation boursière et de leur liquidité (négociabilité en Bourse). Le panier final est approuvé par le Conseil d’administration de la sicav. Il doit également répondre à plusieurs exigences légales : nombre minimal d’actions, ventilation géographique et sectorielle suffisante, poids des actions individuelles,... La sélection repose aussi sur des paramètres susceptibles d’influencer le rendement potentiel des investissements. Vous trouverez plus d’informations sur la composition du panier dans le prospectus. (3) (Valeur finale moins valeur initiale) divisée par la valeur initiale. (4) Min. (-1.52% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes). (5) Par ‘fonds’, on entend un compartiment de la sicav de droit belge KBC EquiPlus.

15


Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles. Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank. Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Les informations du présent document sont valables au moment de sa rédaction. Elles peuvent être modifiées sans préavis et n’offrent aucune garantie pour l’avenir. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers présentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Aucun passage de ce document ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse, écrite et préalable de KBC AM. Ces informations sont soumises au droit belge et relèvent de la juridiction exclusive des tribunaux belges. Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclosures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions. Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Photos utilisées: www.shutterstock.com Rédaction terminée le 28-04-2014 (1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un État, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt. Plusieurs risques sont associés à une obligation. De nombreux émetteurs d’obligations ont un rating. Ce rating indique la probabilité de voir l’entreprise ou l’autorité émettant l’obligation rembourser l’emprunt et les intérêts sur celui-ci, soit leur solvabilité. (3) KBC-Life Multinvest est une assurance vie de la branche 23 dont le rendement est lié à un ou plusieurs fonds d’investissement. Le fonds sous-jacent vise à réaliser une plus-value, mais sa valeur nette d’inventaire (VNI) peut fluctuer. Le risque financier lié aux fluctuations de la VNI du fonds sous-jacent est supporté par le preneur d’assurance. La compagnie d’assurances ne garantit ni le remboursement des primes versées ni le rendement. De plus amples informations sont fournies dans la fiche produit, dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière, disponibles gratuitement auprès de votre conseiller KBC et de KBC Assurances SA, ayant son siège social en Belgique. Siège de la société : KBC Assurances SA - Professor Roger Van Overstraetenplein 2 - 3000 Leuven Belgique. TVA BE 0403.552.563 - RPM Leuven - IBAN BE43 7300 0420 0601 - BIC KREDBEBB.

WWW

Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir

Le parution du prochain numéro le 2 juin 2014


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.