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Stratégie Accents ... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial
2 Thème Pour que votre assurance hospitalisation reste abordable
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Vrai ou faux ? Les banques centrales, un bastion d’hommes
6 Stratégie La conjoncture se redresse et paraît prometteuse
12 Actions
en point de mire
Trois paramètres pour la valorisation des actions
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Sous la loupe Pour ceux qui pensent à plus tard...
Sous la loupe
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La qualité à l’échelon mondial !
Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 02 - 10 février 2014
Thème
Pour que votre assurance hospitalisation reste abordable Accents : ❯❯ Les primes futures de l’assurance hospitalisation seront bien plus élevées. ❯❯ Le Plan hospitalisation KBC garantit votre confort financier. ❯❯ Une formule flexible sur mesure.
Quel que soit votre âge, le risque que vous deviez être hospitalisé(e) une ou plusieurs fois au cours de votre vie est réel. Un accident est vite arrivé. Ou peut-être pensez-vous à agrandir votre petite famille ? Et comme l’espérance de vie est en perpétuelle augmentation dans notre pays, le risque d’hospitalisation(s multiples) à un âge avancé augmente également. Réfléchir aux conséquences financières d’une éventuelle hospitalisation pour vous et votre famille n’est donc pas un luxe.
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Stratégie & Accents
Thème
Si vous êtes hospitalisé(e), l’assurance maladie légale prend en charge une partie des frais. Si votre employeur a souscrit une assurance collective hospitalisation, vous (et éventuellement les membres de votre famille) bénéficiez d’une intervention financière pour les frais que l’assurance maladie légale ne rembourse pas en cas d’hospitalisation. Si vous n’avez pas d’assurance hospitalisation, ou si votre assurance collective hospitalisation est arrêtée parce que vous prenez votre retraite ou que vous quittez votre employeur, vous devrez prendre vous-même en charge une grande partie de ces frais. Sauf si vous prenez les précautions nécessaires pour vous en prémunir...
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Si vous n’avez pas encore d’assurance hospitalisation, vous pouvez en souscrire une chez KBC. L’Assurance hospitalisation KBC prévoit une couverture étendue en cas d’hospitalisation à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’un accouchement. Elle couvre également les frais pour les soins médicaux ambulatoires si l’assuré souffre d’une affection reprise dans la liste des 31 maladies graves. Toute personne jusqu’à 65 ans peut s’affilier. Contactez votre chargé de relations KBC pour les conditions spécifiques d’acceptation.
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Peut-être êtes-vous actuellement couvert(e) par une assurance collective hospitalisation souscrite par votre employeur. Vous pouvez toutefois perdre cet avantage, par exemple lorsque vous prenez votre retraite, vous quittez votre entreprise ou parce que votre employeur décide de mettre fin à l’assurance collective. Dans ce cas, vous avez le droit, sous certaines conditions, à poursuivre cette assurance collective à titre individuel. Mais dès ce moment, vous devez vous-même prendre ces primes en charge.
plus considérables. Or, les primes coûteuses pour une assurance hospitalisation tombent toujours mal, surtout si vos revenus diminuent tout à coup au moment de votre départ à la retraite. Grâce au Plan hospitalisation KBC, vous pouvez compenser la hausse des primes de l’assurance hospitalisation. Si vous voulez savoir combien vous devez épargner pour pouvoir conserver une assurance hospitalisation abordable, demandez une simulation sur mesure à votre chargé de relations KBC.
Prévoyez l’avenir Que vous soyez aujourd’hui assuré(e) à titre individuel ou collectivement via votre employeur, grâce au Plan hospitalisation KBC*, vous épargnez dès aujourd’hui pour une assurance hospitalisation abordable plus tard. En épargnant régulièrement dans le Plan hospitalisation KBC, vous vous constituez une réserve qui vous permettra de financer les primes ultérieures de votre assurance hospitalisation, par ex. après votre départ à la retraite. Tant que vous êtes affilié(e) à une assurance collective par le biais de votre employeur, votre assurance hospitalisation individuelle reste inactive et vous ne faites qu’épargner. Dès que vous ne bénéficierez plus de l’assurance hospitalisation souscrite par l’employeur, vous pourrez activer l’assurance hospitalisation individuelle souscrite chez KBC Assurances, assurance dont les primes seront alors financées au moyen de l’épargne constituée dans le cadre du Plan hospitalisation KBC.
La prime d’une assurance hospitalisation est déterminée sur la base de votre âge. Plus vous serez âgé(e), plus la prime de l’assurance hospitalisation sera élevée, ce qui est logique dans la mesure où c’est à un âge avancé que les frais médicaux risquent d’être les
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Thème
Les avantages du Plan hospitalisation KBC en un coup d’œil : Votre assurance hospitalisation reste abordable y compris à longue échéance. Vous vous constituez une réserve d’épargne en toute sécurité. Vous bénéficiez d’un rendement garanti de 2,5%** et vous pouvez éventuellement recevoir une participation bénéficiaire annuelle non garantie, en fonction des résultats d’exploitation de KBC et de la conjoncture économique. L’acceptation médicale a lieu à la souscription du Plan hospitalisation KBC et non au moment de votre départ à la retraite ; si l’assurance collective hospitalisation a été souscrite chez KBC***, il n’y a même pas d’acceptation médicale. Pour souscrire une assurance hospitalisation individuelle, nous vous demandons de compléter un questionnaire médical. Sous certaines conditions (en cas de séjour à l’étranger par exemple), vous pouvez suspendre le Pan hospitalisation KBC et le réactiver plus tard. Vous restez, en toute circonstance, le propriétaire de la réserve constituée. Si vous venez à décéder, le montant épargné est payé au bénéficiaire que vous avez désigné. Si vous décidez de ne finalement pas activer l’assurance chez KBC, vous pouvez à tout moment demander le paiement de la réserve constituée. Vous pouvez également intégrer une garantie complémentaire décès : vous aurez ainsi la certitude que si vous venez à décéder, vos proches percevront un montant qui s’ajoutera à la réserve constituée.
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* Le Plan hospitalisation KBC est une assurance vie de la branche 21 proposée par KBC Assurances, dans le cadre de laquelle les versements sont capitalisés à un taux d’intérêt garanti. ** Pour chaque versement, KBC Assurances garantit un taux d’intérêt jusqu’au 21 mars 2036. À la date du 1er janvier 2013, le taux d’intérêt s›élevait à 2,5% pour tous les versements. Les versements futurs peuvent faire l’objet d’un taux d’intérêt garanti différent ; l’échéance du taux pourra varier elle aussi. La participation bénéficiaire n’est pas garantie. *** Siège de la société : KBC Assurances S.A., Professor Roger Van Overstraetenplein 2, 3000 Leuven, Belgique. TVA BE 0403.552.563 – RPM Leuven – IBAN BE43 7300 0420 0601 – BIC KREDBEBB – FSMA 038571 A
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Stratégie & Accents
Vrai ou faux ?
Les banques centrales, un bastion d’hommes
Depuis le 1er février, Janet Yellen est à la tête de la Réserve fédérale (Fed), la Banque centrale américaine. Bien qu’elle ne soit pas la première femme à présider une banque centrale, sa nomination la fait toutefois entrer dans l’histoire. Le président de la Fed est en effet l’une des personnalités les plus influentes du monde. Le 23 décembre 2013, la Fed a fêté ses cent années d’existence. En 1913, le président américain Woodrow Wilson avait signé le Federal Reserve Act instituant la Fed, sa création faisant suite à la grave crise financière de 1907, lorsque l’éclatement d’une bulle spéculative sur le cuivre avait semé la panique sur le marché financier. Bien que les cent dernières années n’aient pas été un sans-faute pour la Fed, cette vénérable institution jouit encore d’une confiance inébranlable. En ouvrant en grand le robinet des liquidités, Ben Bernanke, le prédécesseur de Janet Yellen, a probablement évité que la crise de 2007-2009 ne tourne à la déflation. À Janet Yellen de donner un happy end à cette politique, une tâche qui ne sera pas aisée pour l’une des rares femmes dans ce qui est toujours un bastion d’hommes.
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Stratégie
La conjoncture se redresse et paraît prometteuse À retenir: ❯❯ La croissance bénéficiaire des entreprises devra recommencer à tirer les cours des actions vers le haut en 2014. ❯❯ Lorsque les risques s’estompent, nous augmentons (légèrement) les actions.
Presque tous les observateurs revoient leurs perspectives de croissance à la hausse. L’optimisme au sujet de la conjoncture est certes mitigé, mais il constitue surtout une bouffée d’air frais. Pour la première fois en sept ans, les investisseurs estiment que la croissance de l’économie mondiale pourrait dépasser la “ croissance tendancielle “, une phase qui précède de peu celle du “ boom économique “. Tout le monde attend maintenant de voir comment les banques centrales procéderont pour mettre fin à leur politique de soutien monétaire agressive.
Les actions sont devenues plus chères Les rapports cours-bénéfices ont augmenté du fait de la forte hausse des cours et de la faible croissance bénéficiaire enregistrées en 2013. La croissance bénéficiaire des entreprises devra recommencer à tirer les cours des actions vers le haut en 2014. Aux États-Unis, l’indice d’actions S&P 500 a gagné 27,4% en 2013, tandis que l’augmentation des bénéfices d’entreprises n’a progressé que de 5,6%. En Europe, l’écart était encore plus profond. Fin 2013, l’indice MSCI Europe est ressorti en hausse de 17,7% par rapport à fin 2012. Dans le même temps, le bénéfice par action s’est replié de 1,8%. Les actions sont donc devenues plus chères.
Luk Van Heden Stratège KBC Asset Management
Des obligations un peu moins chères en 2013 En 2013, le taux américain à 10 ans a gagné 1,25 point de pourcentage, et son équivalent allemand a lui progressé de 0,65 point de pourcentage. Cette hausse des taux obligataires a légèrement réduit l’écart de valorisation entre les actions et les obligations. Le niveau des actions donne le vertige à certains investisseurs. Ils oublient toutefois qu’en 2010, 2011 et 2012 (mais pas en 2013), la hausse des cours a été moins importante que l’augmentation du bénéfice par action. Conclusion : l’écart de valorisation reste favorable aux actions. La croissance bénéficiaire que les investisseurs visent actuellement n’est pas exagérée, mais elle devra surtout se concrétiser en 2014.
Jusqu’où l’inflation peut-elle baisser? L’inflation n’est un problème pour aucun pays occidental. C’est le cas depuis longtemps, et la situation
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n’est sans doute pas près de changer, ce qui permet aux banques centrales de maintenir leur politique extrêmement souple. La faiblesse de l’inflation est une bonne chose, car elle offre une bouffée d’oxygène à l’économie. Nous nous attendons même à une inflation proche de zéro pendant quelques mois.
Les banques centrales ne prennent pas de risques Les banques centrales se soucient peu de l’inflation. Le plus grand risque concerne la pérennité de la croissance économique. Elle pourrait en effet être menacée par la hausse des taux, raison pour laquelle ceux-ci doivent rester bas coûte que coûte. Le contexte dans lequel les banques centrales évoluent a rarement été aussi simple. Le président de la BCE, Mario Draghi, ne manque pas une occasion de répéter qu’il fera “ tout “ pour éviter une résurgence de la crise. Le 18 décembre 2013, la banque centrale américaine (Fed) a décidé de revoir le montant de ses rachats d’actifs mensuels destinés à soutenir l’économie, et de les faire passer de 85 milliards à 75 milliards de dollars par mois. Si l’économie américaine évolue favorablement, les rachats pourraient être encore réduits dans le courant de 2014.
Envol des taux obligataires L’annonce par la banque centrale américaine de la réduction des rachats d’actifs destinés à soutenir l’économie (tapering) a été pratiquement le seul événement de taille à faire fluctuer les taux obligataires en 2013, que ce soit aux États-Unis ou en Europe. Lorsque les investisseurs se montrent plus optimistes au sujet de la conjoncture ou que la propension au risque augmente, les obligations des pays les plus sol-
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Stratégie 200 180
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bénéfice par action (base = 100, échelle de gauche) évolution du cours (base = 100, échelle de gauche) rapport cours/bénéfice (échelle de droite)
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160
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140 12 120 10
100
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80 60 01-2009
Source: Datastream 01-2010
01-2011
01-2012
01-2013
6 01-2014
Hausse du cours + baisse du bénéfice = hausse du rapport cours/bénéfice des actions européennes vables peuvent perdre leur attrait. Par conséquent, les taux des marchés obligataires augmentent. Ce potentiel haussier est toutefois limité étant donné que la Fed est déterminée à garder les taux sous contrôle. C’est pourquoi nous tablons tout au plus sur une légère hausse des taux obligataires aux États-Unis et même en Europe.
Renforcement de la croissance économique La conjoncture s’améliore depuis mi-2013. Les indicateurs de la confiance des entrepreneurs et des ménages ont été les premiers à s’améliorer. C’est maintenant au tour des chiffres de l’activité économique. La reprise économique bénéficie d’une large assise. Les perspectives de croissance sont revues à la hausse. Cette amélioration est surtout due à une légère augmentation du pouvoir d’achat en raison d’une inflation faible et de mesures d’austérité un rien plus souples. La croissance de l’économie mondiale pourrait atteindre 3,6% en 2014, un résultat plus élevé que la moyenne à long terme.
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Nous tablons sur des bénéfices d’entreprises plus élevés Les indicateurs de la confiance des entrepreneurs signalent une conjoncture haute presque partout dans le monde. Nous continuons à suivre la situation de près pour déterminer si l’hiver rigoureux qui sévit outre-Atlantique a provoqué une baisse de la croissance du nombre d’emplois. La croissance bénéficiaire des entreprises américaines devra démontrer que la confiance était fondée. Les entreprises publient actuellement leurs résultats pour le dernier trimestre 2013, mais il est beaucoup trop tôt pour tirer des conclusions. Toujours est-il que cette période n’a cette fois pas débuté sur les chapeaux de roue, et que les bonnes surprises se font attendre. En Europe, le spectre de la récession disparaît. En Espagne et en Italie, la confiance des entrepreneurs s’est redressée avec une vigueur surprenante. La France est le seul pays où la conjoncture déçoit. En Europe, nous tablons sur des résultats trimestriels bien inférieurs à ceux publiés aux États-Unis. Les divergences au niveau de l’évolution de la conjoncture, la vigueur de l’euro et les retombées de la crise de l’euro sur les résultats du secteur bancaire sont les principales raisons qui nous poussent à émettre cet avis.
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Stratégie Portefeuille
Actions sans protection du capital
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26
5 2
Très dynamique
Obligations
Placements alternatifs
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Actions avec protection du capital
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15
37
38
5 2
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Dynamique
Défensif
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Immobilier
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Cash
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Lorsque les risques s’estompent, nous augmentons (légèrement) les actions. Nous gardons toutefois les pieds sur terre et nous privilégions les formules à protection du capital. Nous avons également une préférence marquée pour les actions à haut dividende. De nombreux arguments plaident en faveur des actions. Bien qu’ils réduisent la cadence, les bénéfices des entreprises frisent des sommets. Sur plusieurs cycles conjoncturels, la croissance bénéficiaire dépasse la croissance nominale du PIB mondial (5,5% à 6%) et elle est nettement supérieure au taux à court ou à long terme (pas plus de 3%). En outre, l’investisseur en quête de rendement n’a guère le choix. Les liquidités ne rapportent quasiment rien. Une petite hausse des taux obligataires suffit pour que la perte de cours engloutisse le rendement. Un léger sursaut des cours suffit pour que les actions surperforment. Quand les obligations d’État allemandes à dix ans génèrent un rendement inférieur à 2%, les actions offrent peut-être une meilleure protection contre les risques de taux et d’inflation à long terme. Nous sommes prudents à l’égard des obligations, en raison de la faiblesse extrême des taux du marché. Nous ne craignons pas une forte hausse des taux obligataires
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Très défensif
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60
80
100
à court terme, mais nous donnons malgré tout la préférence aux obligations dotées d’une durée résiduelle relativement courte. Nous abandonnons notre préférence marquée pour les obligations d’entreprises. La prime pour le risque sur débiteurs est faible. Notre quête de rendement nous incite à nous tourner vers les marchés émergents, qui offrent des taux nettement supérieurs à ceux des anciens pays industrialisés. Les liquidités sont réduites au minimum dans le portefeuille. Nous les conservons pour nous engager ultérieurement à de meilleures conditions. Les liquidités en euro ne rapportent quasiment rien. Nous optons pour le dollar américain pour les investisseurs dont le profil le permet.
Stratégie & Accents
Stratégie
Accents dans le portefeuille
Accent - Dollar américain Nous sommes optimistes à l’égard du dollar américain. Le billet vert nous permet de nous couvrir contre d’éventuels rebondissements de la crise de l’euro, mais a de nombreux autres atouts. Tant que le cours de change USD/EUR dépasse 1,00-1,10, le dollar est sous-évalué. Une modération salariale accrue et une amélioration de la productivité aux États-Unis poussent le cours d’équilibre en direction de 0,90 à 1,00 USD par EUR. Malgré l’embellie conjoncturelle, les prévisions de croissance sont plus faibles en Europe qu’aux États-Unis. Par ailleurs, la Banque centrale américaine abandonnera sa politique expansive plus tôt que la BCE pour mener une politique restrictive. La BCE s’opposera en outre à un raffermissement de l’euro.
Accent - Actions (small & mid cap) de la zone euro Nous préférons les actions européennes à leurs consoeurs américaines. Nous ne sommes pas défavorables aux actions américaines. Les États-Unis sont le plus grand marché d’actions qui existe et nous prenons cette classe d’actifs en considération. Cependant, nous affichons clairement notre confiance dans le redressement de la croissance en Europe. Suffisamment de signaux pointent en effet dans cette direction. Compte tenu des dernières évolutions de la conjoncture, l’écart de valorisation ne se justifie plus. La crise de l’euro n’est pas résolue, mais elle a disparu des radars. En raison de la récession qui a sévit en Europe, la croissance bénéficiaire de la région a pris un retard d’environ 25% sur les États-Unis ces deux dernières années. Il est temps d’opérer un mouvement de rattrapage. Grâce à des reprises de provisions pour pertes sur crédits, l’embellie conjoncturelle aux États-Unis a déjà dopé les bénéfices des banques, ce qui devrait
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maintenant être possible aussi dans la zone euro. L’enquête en cours sur la santé sur secteur bancaire européen (“ Asset Quality Review “) a d’ailleurs pour objectif de donner plus d’informations sur la vulnérabilité des banques. Nous privilégions les actions européennes de petite capitalisation (small caps). Elles représentent un vaste univers de plus de 600 investissements potentiellement lucratifs. Elles restent souvent dans l’ombre en raison du manque d’intérêt des grands investisseurs institutionnels et/ou du faible suivi des analystes. Ce segment offre donc davantage d’opportunités aux gestionnaires attentifs.
Accent - Articles de luxe Les marges bénéficiaires dans le secteur des articles de luxe sont nettement moins comprimées que dans les autres secteurs. Les producteurs d’articles de luxe sont nettement moins sensibles à la conjoncture qu’on ne le pense généralement et ils possèdent un important pouvoir de fixation des prix. Les barrières à l’entrée sont très élevées pour les nouveaux acteurs, vu que des marques solides peuvent se prévaloir d’une longue tradition et sont difficiles à détrôner. Dans un contexte marqué par l’essoufflement des bénéfices d’entreprises et des marges bénéficiaires, un secteur qui parvient à préserver ses marges et sa croissance bénéficiaire a une longueur d’avance. Il n’est pas bon marché, mais la prime par rapport à l’ensemble du marché des actions est justifiée. Le secteur abrite en outre de nombreuses entreprises européennes. Il s’agit donc d’un complément parfait pour l’accent sur les petites capitalisations de la zone euro.
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Stratégie
Perspectives économiques
Perspectives économiques 30-01-2014
UEM
Royaume-Uni
Etats-unis
Japon
Croissance économiques(%) 2013
-0,4
1,4
1,9
1,8
2014
1,1
2,5
2,9
1,7
2015
1,7
2,4
2,9
1,3
2013
1,3
2,6
1,5
0,4
2014
1,0
2,3
1,6
2,3
2015
1,3
2,1
2,1
2,2
0,25
0,50
0,25
0,10
1,83
2,87
2,82
0,65
1 EUR = GBP
1 EUR = USD
1 EUR = JPY
0,82
1,36
139,32
Inflation (%)
Taux officiel (%) (*) 30-01-2014 04-2014 07-2014 Taux à dix ans (%) (*) 30-01-2014 04-2014 07-2014 Cours de change (**) 30-01-2014
-
04-2014
-
07-2014
-
(*)
hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel; hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.;
(**)
appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc.
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Stratégie & Accents
Stratégie
sélection d’obligations
En 2013, le taux américain à long terme a quelque peu augmenté après l’annonce par la Banque centrale américaine (Fed) de la révision de sa politique monétaire. Une vague d’optimisme conjoncturel pourrait stimuler les taux obligataires. La position de la Fed limite toutefois le potentiel de hausse. C’est pourquoi nous prévoyons tout au plus une légère remontée du taux obligataire aux États-Unis. Étant donné que l’Europe s’inspire des États-Unis, la remontée des taux européens devrait selon nous être limitée. Les différentiels de taux entre les différents pays européens pourraient encore se resserrer légèrement, mais pas davantage vu l›évolution des derniers mois.
Notre sélection d’obligations(1) Monnaie Emprunt
Prix d’émisDate du sion ou cours coupon indicatif
Rating
Rendement Contre(en %) valeur en EUR (*)
Marché primaire AUD
KBC IFIMA NV 4,00% 2014 - 2018
101,50
28/02
A-
3,59
1 298,62
Marché secondaire EUR
LA LORRAINE BAKERY GROUP 4,00% 2013 - 2020
104,95
23/12
-
3,19
1 053,66
AUD
COMMONWEALTH BANK AUSTRALIA 5,00% 2013 - 2019
102,40
24/09
AA-
4,50
666,28
USD
PETROBRAS GLOBAL FINANCE 4,375% 2013 - 2023
90,05
20/11
BBB
5,79
668,00
USD
VODAFONE GROUP PLC 2,95% 2013 - 2023
94,40
19/08
A-
3,69
703,45
PLN
EIB 4,25% 2012 - 2022
103,50
25/10
AAA
3,77
2 483,49
(1) (*)
Voir note 2 en dernière page. Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 29/01/2014
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Actions en point de mire
Trois paramètres pour la valorisation des actions À retenir : ❯❯ Les actions sont bon marché par rapport aux obligations. Cela ne fait aucun doute. ❯❯ Leur valorisation actuelle est acceptable par rapport aux prévisions de croissance bénéficiaire.
Le redressement économique repose enfin, en cette quatrième année du cycle, sur des fondamentaux plus solides. Les indicateurs conjoncturels s’améliorent depuis la mi-2013 et l’embellie économique se manifeste aussi progressivement dans les indicateurs d’activité. Les prévisions de croissance ont été relevées à l’échelon mondial et plusieurs risques tels que la falaise budgétaire aux États-Unis et la crise de l’euro se sont fortement atténués ces derniers mois.
Les marchés d’actions n’ont pas attendu cette amélioration des chiffres pour prendre de la hauteur. Après les hausses de cours de 2012 et 2013, certains se demandent si leur envolée n’a pas été exagérée, une question dont la réponse doit être nuancée. Nous avons analysé la valorisation selon trois paramètres.
Sur la base de critères relatifs Les marchés d’actions sont en compétition avec les marchés obligataires. Les investisseurs doivent en effet choisir entre actions et obligations. La hausse de la demande des premières comprime la demande des secondes.
Sur la base de critères absolus Une première méthode d’évaluation consiste à se baser sur des critères absolus de valorisation. Nous vérifions en outre si la valeur du critère est supérieure ou inférieure à la moyenne à long terme. Cela peut se faire à l’aide du rapport cours/valeur comptable*, du rendement de dividende* ou du rapport cours/ bénéfice*. Sur la base de ces critères, nous pouvons qualifier la valorisation d’assez normale. Surtout en termes de rapport prix/valeur comptable et de rapport cours/bénéfice. Il convient cependant de nuancer notre propos : pour les marchés émergents asiatiques, la valorisation est plutôt bon marché, alors qu’elle est plutôt chère pour l’Europe et les États-Unis. Sur le plan du rendement de dividende, les trois régions sont extrêmement bon marché et ce, faute de projets d’investissement intéressants (du moins selon les entreprises), ce qui explique pourquoi nous continuons de miser sur le thème du buy-back et investissons dans les entreprises qui rachètent leurs actions.
• •
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La valorisation peut être mesurée de plusieurs manières.
Des critères relatifs de valorisation comparent la valorisation des actions avec les taux. La valorisation étant plus ou moins moyenne et les taux étant historiquement bas, le résultat est évident. Le rendement de dividende est partout supérieur aux taux du marché monétaire. Cela n’est pas exceptionnel, mais l’écart est aujourd’hui nettement plus important qu’il ne l’était ces quinze dernières années. La conclusion est la même si nous comparons le rendement bénéficiaire (soit l’inverse du rapport cours/bénéfice) avec le taux à dix ans.
• •
Selon les deux critères, l’Europe est encore moins chère que les États-Unis et les marchés émergents asiatiques occupent une position intermédiaire.
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Actions en point de mire
Sur la base des prévisions bénéficiaires La valorisation des actions doit être considérée dans le contexte des prévisions de croissance bénéficiaire des entreprises. Une croissance vigoureuse justifie une valorisation plus élevée, alors que dans le cas d’une croissance bénéficiaire atone, la valorisation doit être proportionnellement plus faible. Le contexte macroéconomique actuel est marqué par l’atonie de la croissance nominale. Logiquement, la croissance bénéficiaire escomptée devrait donc être légèrement inférieure à la moyenne historique. Cela est le cas pour l’indice boursier américain S&P 500 ainsi que pour le MSCI Emerging Asia. L’écart est cependant minime.
En Europe, les marchés d’actions recèlent un important potentiel de rattrapage.
En ce qui concerne le MSCI Europe, la croissance bénéficiaire escomptée est même supérieure à la moyenne historique. Bien qu’il ne soit pas totalement irréalisable, le défi est de taille pour 2014. L’Europe se trouve à un point de retournement conjoncturel : elle renoue avec la croissance après un an de récession. C’est pendant cette phase de retournement du cycle conjoncturel que la croissance bénéficiaire est traditionnellement la plus forte. L’Europe est aussi la
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région où l’évolution des bénéfices a pris beaucoup de retard sur le reste du monde ces dix-huit derniers mois. Les marchés d’actions y recèlent par conséquent un potentiel de rattrapage important.
Conclusion Les actions sont bon marché par rapport aux obligations (valorisation relative). Cela ne fait aucun doute. En termes absolus, les actions affichent également une valorisation assez juste, acceptable par rapport aux prévisions de croissance bénéficiaire actuelles. Ces attentes ne sont pas exagérément élevées, mais elles vont devoir se réaliser en 2014. La valorisation ne peut plus être le seul moteur des marchés d’actions.
*Glossaire Rapport cours/bénéfice :
rapport entre le cours de l’action et le bénéfice par action (cours divisé par le bénéfice par action ou le bénéfice attendu par action). Plus le rapport C/B est élevé (bas), plus l’action est chère (meilleur marché).
Rapport cours/valeur comptable :
rapport entre le cours de l’action et les fonds propres par action. Si une entreprise ne reverse pas ses bénéfices aux actionnaires, les fonds propres par action augmentent.
Rendement de dividende :
le dividende est la part du bénéfice qui est versée périodiquement (annuellement, sur une base trimestrielle) par une entreprise à ses actionnaires. Le rendement de dividende désigne le rendement en base annuelle issu des revenus de dividendes.
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Sous la loupe Organisme de placement collectif (1)
Pour ceux qui pensent à plus tard... À retenir : ❯❯ La pondération est revue au moins mensuellement. Si la composante actions a fait mieux (moins bien) que la part obligataire, la composante actions est augmentée (réduite).
Le volet obligataire est généralement synonyme de sécurité dans un portefeuille d’investissement. La composante actions est plus volatile et peut générer un supplément de rendement lorsque les Bourses sont florissantes. Mais vu la faiblesse des taux, les obligations pourraient s’avérer un peu moins sûres que par le passé car lorsque les taux augmentent, les cours des obligations d’État et des obligations d’entreprises diminuent. C’est pourquoi il est nécessaire de s’armer contre l’impact négatif d’une hausse des taux. Cela est possible en optant pour un investissement dont la composition est liée à l’humeur des marchés financiers.
Flexible Plan Le compartiment Plan du fonds commun de placement (1) Flexible vise un rendement potentiel en investissant majoritairement, directement ou indirectement, dans une sélection mondiale d’actions et d’obligations. Chaque année, le dernier jour ouvrable bancaire de janvier, le compartiment investit moins en actions qu’en obligations. La pondération est revue au moins
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mensuellement. Si la composante actions a fait mieux (moins bien) que la composante obligations, la composante actions est augmentée (réduite). De cette manière, le compartiment peut comporter jusqu’à 85% d’actions ou d’obligations. Flexible Plan est un investissement sans échéance et sans protection du capital. Compte tenu de la présence d’instruments financiers investissant en actions et en obligations, une évolution négative du cours du compartiment est possible. (1) Voir note 1 en dernière page Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie : néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière : néant. Le service financier est assuré par KBC Bank SA et CBC Banque SA. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Écho) ainsi que sur le site www.kbc.be/recherchefonds. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur («Key Investor Information Document» ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement en néerlandais (ainsi qu’en français pour le KIID) auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Consultez le document Informations clés pour l’investisseur avant de décider d’investir dans ce compartiment.
Stratégie & Accents
Sous la loupe
Assurance placement de la branche 23(3)
La qualité à l’échelon mondial ! Accents :
Les cours des actions ont bien progressé en 2012 et 2013, à tel point que certains investisseurs sont pris de vertige. Ils dénoncent à juste titre la hausse pour ainsi dire insignifiante des bénéfices des entreprises en 2013, voire même leur baisse en Europe pendant plusieurs trimestres d’affilée. Ils oublient que durant les années précédentes, les hausses de cours n’avaient pas suivi l’évolution des bénéfices des entreprises. Pour 2014, nous tablons sur une hausse modérée des bénéfices aux États-Unis et sur leur redressement manifeste en Europe. L’Europe se trouve en effet à un point de retournement conjoncturel. Elle est sortie de la récession et voit la reprise se profiler. Il s’agit là d’une phase pendant laquelle la hausse des bénéfices des entreprises est traditionnellement la plus forte. Le contexte est donc positif pour les marchés d’actions, à condition que les bénéfices des entreprises se redressent effectivement.
Global Selection Comfort Booster-3
jectif d’investissement consiste à prendre en compte à l’échéance finale 150% de la hausse* éventuelle du panier de 20 actions. Une baisse* éventuelle est prise en compte à hauteur de 100%, avec un maximum de 10%. En d’autres termes, l’un des objectifs d’investissement consiste à prendre en compte au moins 90% de la prime nette investie (hors taxes et frais d’entrée) à l’échéance finale. La valeur d’inventaire initiale du fonds se monte à 1 000 EUR. Sa durée s’élève à 5 ans et 2 mois. * (Valeur finale moins valeur initiale), divisée par la valeur initiale. (3): Voir note 3 en dernière page Conditions : période d’émission du 3-2-2014 au 2-3-2014 (sauf clôture anticipée). Date de paiement : 7-3-2014. Valeur d’inventaire initiale : 1 000 EUR. Versement minimal : 2 500 EUR. Frais d’entrée : 3% par versement, déduits du montant de souscription. Taxe d’assurance sur les versements : 2%. Frais de sortie avant l’échéance finale : 1% ; à l’échéance finale : 0%. Commission de gestion : jusqu’à 2,4% en base annuelle (déjà inclus dans la valeur d’inventaire). 3. Classe de risque légale : 3 sur une échelle de 0 (faible risque) à 6 (risque élevé) / Profil de risque : défensif. En cas de retrait partiel, un montant d’au moins 1 250 EUR doit rester investi. Montant de retrait minimal : 1 250 EUR.
KBC-Life MI+ Security Global Selection Comfort Booster-3 est un fonds lié à l’assurance placement de la branche 23 KBC-Life Multinvest. Son rendement est lié à un panier de 20 actions d’entreprises de qualité affichant une capitalisation boursière élevée et son ob-
Stratégie & Accents
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❯❯ Le redressement attendu des bénéfices des entreprises. ❯❯ Un panier de 20 actions de qualité.
Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles. Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank. Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Les informations du présent document sont valables au moment de sa rédaction. Elles peuvent être modifiées sans préavis et n’offrent aucune garantie pour l’avenir. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers présentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Aucun passage de ce document ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse, écrite et préalable de KBC AM. Ces informations sont soumises au droit belge et relèvent de la juridiction exclusive des tribunaux belges. Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclosures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions. Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Photos utilisées: www.shutterstock.com Rédaction terminée le 31-01-2014 (1) Un fonds commun de placement (FCP) est un organisme de placement collectif (OPC) de type contractuel. Les avoirs d’un FCP représentent une propriété indivise de tous les participants. Les parts du fonds représentent le droit de copropriété de l’investisseur. Une part achetée dans un FCP donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois se déprécier. Un investissement dans un FCP permet de répartir les risques et facilite l’accès aux Bourses et marchés étrangers. Les placements en OPC sont couverts par le Fonds de protection des dépôts et des instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum, si un établissement de crédit ou une société de Bourse détient des parts d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut les fournir ou les restituer à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt. (3) KBC-Life Multinvest est une assurance vie de la branche 23 dont le rendement est lié à un ou plusieurs fonds d’investissement. L’objectif du fonds sous-jacent consiste à réaliser une plus-value, bien que sa valeur nette d’inventaire (VNI) puisse fluctuer. Le risque financier lié aux fluctuations de la VNI du fonds sous-jacent est supporté par le preneur d’assurance. La compagnie d’assurances ne garantit ni le remboursement des primes versées ni le rendement. De plus amples informations sont fournies dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière, disponibles gratuitement auprès de votre conseiller KBC et de KBC Assurances SA, ayant son siège social en Belgique. Siège de la société : KBC Assurances SA, Professor Roger Van Overstraetenplein 2, 3000 Leuven, Belgique. TVA BE 0403.552.563 – RPM Leuven – Compte bancaire – IBAN BE43 7300 0420 0601– BIC KREDBEBB FSMA 038571A. Une société du groupe KBC.
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Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir
Le parution du prochain numéro le 10 mars 2014