LE JASEUR
BORÉAL
2022 VOL. 10 NO 2 MARS
TABLE DES MATIèRES Dans les obscurs étages supérieurs du ABP et/ou Kruger – Olivier Villemaire-Côté
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Dans les obscurs étages supérieurs du ABP et/ou Kruger – Pauline Litzler
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La mystérieuse murale du Jaseur Boréal
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PFE : projet de fin d’études ou projet fastidieux effrayant ?
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Séminaire Team Carbone
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La Semaine des Sciences Forestières – Des-Chênes-toi au Salon de la Forêt
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MEMES pas drôles
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comité
mot du comité
COORDINATEURS
Chers lecteurs et lectrices, Voici la première édition du Jaseur Boréal de 2022 et peut-être la dernière (voir mot de fin). Le Jaseur Boréal, c’est LE journal étudiant de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) de l’Université Laval.
Myriam Delmaire Antoine Harel Ann-Julie Lévesque
Graphisme et mise en page réalisés Antoine Harel
Cette édition est assez courte. Vous y retrouverez un interview exclusif avec Olivier Villemaire-Côté (étudiant au doctorat) et Pauline Litzler (étudiante à la maîtrise), quelques descriptions de projets de fin d’études (PFE) et c’est pas mal tout.
Photo de la page de couverture 1
Alors que la précédente édition du Jaseur Boréal était la plus grosse jamais réalisée, celle-ci fait décidément partie des plus courtes.
Photo de la dernière couverture
Antoine Harel
Antoine Harel Sachez que vous pouvez retrouver les précédentes éditions du Jaseur Boréal / Abritibi en ligne à l’adresse suivante : https://issuu.com/larbritibi Un énorme merci à tous les étudiants / membres de la FFGG qui ont participé à la réalisation de cette édition, le Jaseur Boréal ne serait rien sans vous.
Photos diverses (bas des pages) Antoine Harel Édition Vol. 10 NO. 2
Tirage Merci infiniment à Ann-Julie et à Myriam, nous avons publié ensemble six éditions du Jaseur Boréal depuis 2019 et c’était vraiment une belle aventure. Antoine Harel, coordinateur du Jaseur Boréal Tu souhaites t’impliquer ? Le Jaseur Boréal est constamment à la recherche de journalistes, chroniqueurs, poètes et autres.
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Numérique
Distribution Format PDF sur le groupe public Facebook Abitibi-Price (FFGG) et sur le site internet Issuu (https://issuu.com/larbritibi)
Dans les obscurs étages supérieurs du ABP et/ou Kruger Olivier Villemaire-Côté, candidat au doctorat avec Jean-Claude Ruel et Jean-Pierre Tremblay. Titre : La régénération du thuya occidental sous forte pression de broutement par le cerf de Virginie Et avant : J’ai zigzagué un peu, mais toujours dans la même direction. Une année au bacc en biologie à Laval, puis deux ans en foresterie. Ensuite je suis parti pour la Colombie-Britannique où j’ai complété mon bacc en foresterie et où j’ai travaillé un an comme assistant-ingénieur aux opérations pour une compagnie forestière sur la côte Pacifique. Je suis revenu à Laval pour compléter ma maîtrise, et j’en suis maintenant au doctorat.
Quel est ton sujet de doctorat ?
cousin du thuya occidental, et travailler dans des forêts anciennes de thuya (même si c’était pour les couper…) m’a donné un coup de foudre. Ce sont des espèces dont les vieux individus sont témoins des vieilles forêts et ça en fait pour moi une espèce d’un grand intérêt et dont la protection et la mise en valeur sont essentielles. Donc quand j’ai vu l’offre de projet de maîtrise offerte par Jean-Claude Ruel (qui s’est éventuellement poursuivie en doctorat), j’ai sauté sur l’occasion.
Globalement, je m’intéresse à la complexité des interactions entre les différentes perturbations, naturelles et anthropiques. On sait par exemple que la formation d’une trouée en forêt peut être positive pour la régénération de plusieurs essences d’arbres, et on sait que le broutement par les ongulés peut limiter la régénération de ces mêmes espèces. Mais on comprend encore mal comment ces différentes perturbations interagissent entre elles, dans quelles circonstances un scénario se produira plutôt qu’un autre. Et comprendre ces dynamiques devient de plus en plus important dans le contexte de changements globaux dans lequel nous sommes, qui ne fera que complexifier les interactions. Je m’intéresse donc comme cas d’espèce à la régénération du thuya occidental, qui a plusieurs difficultés à cause d’une sylviculture mésadaptée et d’une grande pression de broutement par le cerf. J’étudie comment la régénération du thuya est affectée par le cerf, à la fois en conditions naturelles, après des coupes partielles et en conditions contrôlées à l’aide d’une plantation expérimentale.
Le début de ton doctorat, comment ça s’est passé ? Plutôt bien je dirais. Le début du doctorat est un moment assez spécial. Disons que l’objectif est qu’on développe de l’autonomie en recherche, alors on est plutôt laissés à nous-mêmes. La direction de recherche est là pour nous épauler, mais c’est plutôt une collaboration qu’une supervision. Par exemple, mon doctorat était réfléchi d’avance, et consistait en gros à 15 lignes dans une demande de financement. Alors quand je suis sorti de ma première rencontre et que mes directeurs m’ont dit qu’ils avaient hâte de voir ce que j’allais faire, eh bien ça m’a déboussolé un peu! Mais en creusant et en réfléchissant, j’ai modelé le projet à ma façon, et au final il restait environ 2-3 des 15 lignes du projet original; c’était maintenant mon projet.
Qu’est-ce qui t’a mené au choix d’un tel sujet ? Mon séjour dans l’Ouest canadien à travailler dans de vieux peuplements de Thuja plicata. C’est le cousin du thuya occidental, et travailler dans des forêts anciennes de thuya (même si c’était pour les 4
As-tu un travail à temps partiel (si auxiliaire d’enseignement ou chargé de cours) (ça intéresse beaucoup de monde ça)
Où es-tu rendu dans ton projet ? J’y suis depuis janvier 2018. Ça fait donc un peu plus de 4 ans, moins un congé parental de 8 mois (avoir des jumelles, ça ralentit un brin la productivité, sans parler de la foutue COVID qui a bouleversé certains échéanciers). Donc après 3 ans 1/3, je suis plutôt avancé. J’ai réalisé toute ma collecte de données : terrain au Nouveau-Brunswick sur des parterres de coupe, en Gaspésie en forêt non aménagée et sur le campus où j’ai réalisé une plantation expérimentale. Et la rédaction avance bien !
J’ai fait quelques contrats pendant mon doctorat, généralement liés à l’enseignement. J’ai eu quelques charges de cours en remplacement de professeurs en année d’étude et de recherche (sylviculture, gestion et conservation de la faune), et j’ai contribué à plusieurs cours comme assistant d’enseignement (sylviculture, gestion et conservation de la faune, dendrologie, stage en sylviculture feuillue, etc.). Et j’aime au moins autant ça que la recherche !
Peux-tu nous parler de tes articles ? (si déjà publiés) Comment s’est passée la soumission de ton premier article ? (si déjà publié) J’ai publié mes résultats de maîtrise en 2017 et je suis en voie de soumettre mon premier article de doctorat. Les deux autres devraient suivre dans les prochains mois ! C’est assez particulier le processus de publication : on envoie notre manuscrit, puis c’est silence radio pendant des mois. Alors on oublie presque, on travaille sur autre chose, et BAM ça revient avec des dizaines de commentaires et de choses à modifier, retravailler. Pour l’instant ça s’est plutôt bien passé pour moi, à voir pour la suite ! As-tu participé à des conférences récemment ou dans les prochains mois ? (si applicable) C’est sûr qu’avec la COVID et mon congé parental ça a changé pas mal les options à ce niveau. J’ai présenté dans plusieurs colloques à la maîtrise et au début du doctorat, et maintenant je devrais pouvoir présenter mes résultats de doctorat dans certains colloques comme ceux du CEF (Centre d’étude de la forêt) ou de la CSEE (Société canadienne d’écologie et d’évolution). Ce sont de belles opportunités pour discuter de ses résultats et rencontrer des collègues. En format virtuel c’est par contre plutôt limité, et j’avoue que mon intérêt a donc grandement diminué.
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Dans les obscurs étages supérieurs du ABP et/ou Kruger Pauline Litzler, candidate à la maîtrise professionnelle en agroforesterie sous la direction de Jean-François Bissonnette. Titre : Facteurs d'adoption des systèmes agroforestiers chez les femmes du projet PAEF au Mozambique Et avant : baccalauréat en agronomie à l’Université Laval.
devait impliquer pour moi un stage au Mozambique avec l’ONG Socodevi. Le projet porte sur l’autonomisation économique des femmes et j’aurais étudié plus précisément les facteurs d’adoption des systèmes agroforestiers. Le but était de documenter ce que les gens aiment ou pas des systèmes agroforestiers et pourquoi iels installent des systèmes agroforestiers à certains endroits et pas ailleurs. Avec la pandémie, le déroulement de ce stage a été retardé plusieurs fois.
C’est quoi l’agroforesterie ? En gros, l’agroforesterie c’est la rencontre des arbres et des champs. Soit on amène des arbres dans un système agricole, soit des cultures dans un système forestier. On parle de haies brise-vent sur les bords des champs, de systèmes intercalaires (haies d’arbres au milieu du champ) et de forêts nourricières, par exemple. Cela inclut aussi les produits forestiers non ligneux (PFNL) et les cultures sous couverts forestiers. C’est donc assez large. Ce qui m’intéresse dans l’agroforesterie c’est d’intégrer les arbres aux cultures, plus précisément dans un contexte tropical.
Qu’est-ce qui t’a mené au choix d’un tel sujet ? C’est un sujet qui m’intéresse. Déjà au baccalauréat, j’ai étudié un peu les facteurs favorisant l’implantation de systèmes agroforestiers au Sahel et j’ai même fait un stage au Sénégal où j’ai étudié ce sujet à nouveau, avec une zone géographique plus petite. Pour mon projet au Mozambique, j’ai contacté par courriel une chercheuse de Socodevi qui a fait un doctorat sur un sujet similaire dans la même région et je lui ai demandé si elle connaissait d’autres chercheur·e·s qui recherchaient des stagiaires. Elle m’a mise en contact avec deux chercheur·e·s dont un qui m’a proposé ce projet au Mozambique. Donc petite leçon de l’histoire : on ne perd rien à envoyer des courriels.
Est-ce une pratique courante ? C’est une pratique assez ancienne, mais qui s’est perdue en grande partie dans les pays à haut niveau de revenus avec l’industrialisation de l’agriculture (p. ex. on enlève les arbres des champs pour laisser passer le tracteur et la machinerie…). Plus ce sera connu comme pratique et plus ce sera populaire, car l’agroforesterie a beaucoup d’avantages, tant pour le maintien de la qualité des sols, la biodiversité, l’hydrologie. Quel est ton sujet de maîtrise ? Alors c’est un peu particulier dans mon cas. Je fais une maîtrise avec projet d’intervention, ce qui devait impliquer pour moi un stage au Mozambique avec l’ONG Socodevi. Le projet porte sur 8
J’ai aussi commencé une deuxième maîtrise en développement international et action humanitaire en septembre 2021. C’est aussi une maîtrise de cours, et comme il y a des cours qui sont communs à mes deux maîtrises, il y en a qui sont déjà crédités.
Le début de ta maîtrise, comment ça s’est passé ? Le début de ma maîtrise s’est passé à distance. J’ai fait toute ma première année depuis la France en fait. J’ai trouvé cela assez rushant, mais c’est difficile de savoir si c’est à cause du mode d’enseignement (distance / présentiel) ou à cause des cours (cours de 1er cycle / cours d’étudiants gradués).
Pourquoi faire une deuxième maîtrise ? Ce que j’aimerais faire comme travail après mes études serait de monter des projets de systèmes agroforestiers. Ce serait comme utiliser l’agroforesterie en développement international.
Quels sont les cours que tu as suivis durant ta maîtrise ? Agroforesterie (AGF-6000), Agroforesterie tempérée (AGF-7001), Enjeux contemporains de la propriété des ressources (AGF-7004), Fondement et principe de l’agroécologie (AGE-7001), Systèmes alimentaires et transition agroécologique (AGF7000), Ruralité et sous-développement (AGC-7001), Gestion du développement agricole et rural (AGC7005), Aménagement écosystémique : principe et fonctions (FOR-7024), Analyse qualitative en recherches sociales et environnementales (GGR7026), entre autres. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il y a beaucoup de cours de disponibles. Ce sont les cours que j’ai choisis moi, en fonction de ce qui m’intéressait, mais il y en a plein d’autres. On peut vraiment bâtir le cheminement que nous souhaitons. Par exemple, il y a plusieurs cours d’économie, de SIG et de sociologie même, selon nos intérêts agroforestiers. Où es-tu rendue dans ton projet ? Physiquement je suis à Québec, haha. Plus sérieusement, je suis rendue à ma dernière session de cours et il va me rester mon projet d’intervention, potentiellement cet automne (au Mozambique ou au Pérou…). Je travaille aussi pour le Congrès mondial d’agroforesterie qui se déroulera à Québec cet été. Je suis dans plusieurs sous-comités d’organisation et je suis aussi responsable des communications. Je gère notamment les réseaux sociaux. Ce congrès se déroulera du 17 au 20 juillet, au Centre des congrès de Québec. Voici le lien vers le site internet du congrès : https://www.agroforestry2022.org/fr
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La mystérieuse murale du Jaseur Boréal dans les souterrains de l’Université Laval. Qui l’a peinte ? Quand ? Le mystère perdure….
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pfe : projet de fin d’études ou projet fastidieux effrayant ? Le projet de fin de session est un cours que tout étudiant/e du bac en aménagement et environnement forestiers, ainsi que d’opérations forestières doit faire. Une description plus détaillée du projet est disponible dans l’édition avril-2020 du Jaseur Boréal. Voici quelques projets réalisés durant la session d’hiver 2022. étudiante : Florence Leduc directeur : Alexis Achim titre du projet : Comparer la réaction de croissance de gaules d’érable à sucre et de hêtre à grandes feuilles à la suite de coupes partielles Mon projet consiste à évaluer la réaction des gaules d’érable à sucre et de hêtre à grandes feuilles créée par différents types de coupes partielles par l’entremise de la dendrochronologie. Le but est de vérifier l’hypothèse selon laquelle une plus forte ouverture du couvert pourrait favoriser la croissance de l’érable au détriment du hêtre. Les données ont été récoltées dans les forêts publiques de l’Outaouais et des Laurentides. étudiante : Ann-Julie Lévesque directeur : Éric Bauce titre du projet : Suivi des impacts de la tordeuse des bourgeons de l’épinette (TBE) dans différents types de forêt prémature Mon projet consiste à évaluer la défoliation causée par la TBE au sein de peuplements âgés d’une trentaine d’années, situés au Saguenay et au Bas-Saint-Laurent. Le but est de mieux décrire les impacts de l’insecte, actuellement peu documentés dans les jeunes peuplements. Les données proviennent du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs et ont été récoltées dans des peuplements résineux purs et des peuplements mixtes à dominance résineuse. Le taux de défoliation des arbres et de la régénération sera évalué en fonction de la composition forestière. étudiant : Gabriel Tremblay directrice : Alison Munson titre du projet : Plan décennal d’enrichissement de la canopée dans les parcs Campivallenciens L’objectif de mon projet est de mettre sur pied un plan directeur permettant de planifier, à travers les 10 prochaines années, les plantations pouvant être effectuées dans les parcs de la municipalité de Salaberry-deValleyfield. Ce plan inclura donc l’année de plantation prévue selon la priorité du projet et la faisabilité opérationnelle, ainsi que le mode de plantation et les essences suggérées pour chacun des parcs. Le tout s’inscrit dans un effort de la ville d’augmenter son indice de canopée et d’offrir un milieu de vie plus sain et naturel à ses citoyens.
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étudiante : Anne-Julie Parent directeur : Jean-Claude Ruel (Émilie Champagne en codirectrice) titre du projet : L’effet des plantes environnantes sur le risque de gel tardif de semis de chêne rouge La Direction de la recherche forestière possède un dispositif expérimental dans la région de Portneuf portant sur la migration assistée. Plusieurs essences sont étudiées, dont le chêne rouge. Ce dernier a subi des épisodes de gel du printemps durant l’année 2021. Je tente donc de déterminer si les plantes environnantes autour des semis pourraient avoir un effet, positif ou négatif, sur le phénomène de gel.
étudiante : Jeanne Bellavance-Morin directeur : Mathieu Bouchard titre du projet : Impact des facteurs environnementaux et humains sur la productivité des équipes terrestres lors du combat des incendies de forêt Mon PFE s’insère dans le cadre d’une étude plus large, soit l’étude de productivité des équipes terrestres lors de la lutte contre les feux de forêt. Une énorme partie des données récoltées à l’été 2021 sont inutilisables puisque l’étude a été mal comprise par les pompiers forestiers y participant. Je m’occupe donc de mettre en place un plan de communication permettant une meilleure compréhension de l’étude et des données à récolter par les pompiers ainsi que les cadres de la SOPFEU. J’analyse donc les données récoltées à l’été 2021 pour y identifier les erreurs les plus fréquentes ainsi que les solutions possibles à celles-ci.
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la semaine des sciences forestières des-chênes-toi au salon de la forêt
Merci à Kimberley Boyle pour les photos
Le comité de la SSF 2021-2022 !
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génie en arbre
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génie en arbre
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contes et légendes
Merci au conteur professionnel Christian Lalonde ainsi qu'aux deux étudiants de la FFGG Moise Samson et Jonathan CaronChampagne pour cette ambiance mémorable et ces belles histoires !
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salon de la forêt
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salon de la forêt
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salon de la forêt – monica présidente
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salon de la forêt
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salon de la forêt
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salon de la forêt
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salon de la forêt
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corrigé / memes pas drôle !
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Et voilà, c’est ce qui conclut cette courte édition du Jaseur Boréal. Les trois coordinateurs [Antoine, Ann-Julie et Myriam] sommes arrivés à court d’idées et certains d’entre nous approchons de la fin de nos études. Pour être honnêtes, nous sommes un peu tristes à l’idée de laisser tomber le Jaseur Boréal. En effet, nous n’avons pas été en mesure de trouver de jeunes étudiants de la FFGG qui souhaitaient prendre en main le journal. Cela signifie qu’il n’y aura pas de nouvelles éditions du Jaseur Boréal durant les prochaines sessions. Ce n’est pas la première fois que cela arrive, mais bon; ça nous fait un peu de peine. Histoire à suivre ! Bonne fin de session, Antoine, Ann-Julie et Myriam, coordinateurs du Jaseur Boréal PS : [Antoine] : je serai encore étudiant à la FFGG pour les 4 prochaines années (oui oui, le doctorat). Je reste disponible pour répondre et aider tout étudiant qui souhaite reprendre en main le Jaseur Boréal. Qui sait, peut-être que dans 1 ou 2 ans, j’aurai à nouveau plein d’idées et que de nouvelles éditions sortiront.