LE JASEUR
BORÉAL
JANVIER 2021 VOL. 9 NO 1
TABLE DES MATIèRES Mot du comité
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Présentation de l’AÉFEUL 2020-2021
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La fille du rivage
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R–PLOT, graphique en boîte à moustache
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PFE : Projet de Fin d’Études ou Projet Fastidieux Effrayant ?
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Les mots entrecroisés du dimanche après-midi
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Vue du ciel
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Les auxiliaires d’enseignement de la FFGG
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La Semaine des sciences forestières, un événement hors du commun à ne pas manquer!
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Dans les obscures étages supérieurs du ABP et/ou Kruger – Maxime Fortin
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Chouette un questionnaire !
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Le Greenday - Cocktail par Alexis FD
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Connais-tu ta classification canadienne des sols ??
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Un mot du président de l’AFOR
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Nos pompiers en Californie
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L’Association Lavalloise des étudiantes et étudiants gradués en géographie
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L’AÉGUL, l’Association des étudiant.e.s en géographie de l’Université Laval
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Les coups de cœur alcoolisés des coordinateurs
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Memes pas drôles
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Corrigé mots entrecroisés et de Chouette un questionnaire !
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Mot de fin
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MOT DU COMITé Chers lecteurs et lectrices,
COMITé COORDINATEURS
Vous vous apprêtez à lire la première édition du Jaseur Boréal de 2021. Le Jaseur Boréal, c’est LE journal des membres de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) de l’Université Laval. Vous retrouverez dans cette édition une présentation des associations étudiantes (AÉFEUL, AÉGUL, ALEGG et AFOR), une présentation de quelques auxiliaires d’enseignement, un interview exclusif avec Maxime Fortin, une brève introduction sur l’utilisation de R (The R Project for Statistical Computing) et du package ggplot, des mots croisés, un jeu-questionnaire d’identification d’oiseaux, un interview exclusif de 3 étudiants pompiers forestiers qui sont allés en Californie, un aperçu de certains projets de fin d’études (les fameux PFE), et bien plus. Sachez que vous pouvez retrouver les précédentes éditions du Jaseur Boréal / Abritibi en ligne à l’adresse suivante : https://issuu.com/larbritibi Un énorme merci à tous les étudiants / membres de la FFGG qui ont participé à la réalisation de cette édition, le Jaseur Boréal ne serait rien sans vous. Fait intéressant, c’est la plus grosse édition depuis 2011 (date à laquelle l’Arbritibi, le prédécesseur du Jaseur Boréal fut fondé).
Myriam Delmaire Antoine Harel Ann-Julie Lévesque
Graphisme et mise en page réalisés par Antoine Harel
Photo de la page de couverture 1 Emma Côté
Photo de la dernière couverture Emma Côté
Photos diverses (bas des pages) Antoine Harel Édition Vol. 9 NO. 1
Merci infiniment à Ann-Julie et à Myriam, votre enthousiasme et votre aide furent essentiels. Antoine Harel, coordinateur du Jaseur Boréal
Tirage Numérique
Distribution
Tu souhaites t’impliquer ? Le Jaseur Boréal est constamment à la recherche de journalistes, chroniqueurs, poètes et autres.
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Format PDF sur le groupe public Facebook Abitibi-Price (FFGG) et sur le site internet Issuu (https://issuu.com/larbritibi)
Présentation de L’AéFEUL 2020-2021
Salut les lecteurs du Jaseur!
Même si vous ne nous voyez pas au pavillon comme à l’habitude, sachez que l’AÉFEUL travaille très fort pour vous. Nous continuons de tenir nos rencontres et de réfléchir aux meilleurs moyens de remplir notre mission envers vous. À l’occasion de la première parution du Jaseur Boréal depuis la pandémie, nous avons décidé de vous présenter les objectifs de notre association pour l’année scolaire 2020-2021. Sachez que le défi auquel nous sommes confrontés n’a pas la moindre chance de faire ramollir la fougue des forestiers(ères) et des environnementalistes! L’AÉFEUL veut vous proposer quelques façons d’atténuer votre nostalgie et de faire de la vie étudiante à distance un succès. Il s’agit là de notre priorité. C’est pourquoi nous avons créé une plateforme Discord sur laquelle les membres de la faculté peuvent se réunir pour discuter. Différents évènements ont aussi été organisés pour recréer le sentiment de famille qui règne habituellement au pavillon, tels que le Sous-Boilympique ainsi que des Kahoots festifs.
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L’AÉFEUL travaille aussi étroitement avec les comités de programme ainsi que le corps enseignant pour s’assurer que la qualité de l’éducation qui est donnée aux étudiants de la faculté ne soit pas amoindrie par la pandémie. Cette session a présenté son lot de défis; les cours en ligne et les études à la maison ont été une adaptation pour tous. Nous tenons à faciliter au meilleur de nos capacités cette transition pour les étudiants ainsi que pour les enseignants. La famille de la faculté nous manque terriblement. Ce qui nous motive à remplir notre mandat, c’est de savoir qu’on le fait pour nos membres. C’est dur de ne pas voir nos potes de la faculté, mais on a espoir de vous revoir la bine bientôt! Nous tenions aussi à présenter chacun de membres, puisque c’est l’individualité de chacun d’entre nous qui fait la force de l’AÉFEUL. Ça, pis parce que c’est bin drôle de lire des conneries écrites par votre exec. On vous envoie plein d’amour. L’AÉFEUL Frédéric Brunet Poste : VP socio Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Bonjour moi c'est toutou, j'ai pas de coccyx et j'aime bien jouer dehors, j'ai une affinité particulière pour la swince.
Moïse Samson Poste : Président Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Jeune homme motivé par la forêt et désireux de salir ses bottes à cap pendant encore longtemps!
Alexis Ouellette Poste : VP festif Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Mes parents ne m'ont jamais appris mes couleurs et j'ai passé ma maternelle pareil! Je ne comprends pas : le cricket, la musique country et le mahjong. J'aime : niaiser Max, send it like Larry et les ventes de garage pleines de vieux cossins.
Simon Saint-Laurent Poste : VP externe Baccalauréat : opérations forestières Amateur de bière de micro et de jeux de mots, cache son manque de cheveux avec un casque de poil à carreaux. Jérémy Duchesne Pomerleau Poste : VP éco Baccalauréat : environnements naturels et aménagés Raphael est une des bibittes de l’AÉFEUL. Ayant une affinité
Sandrine Paquin Poste : VP institutionnelle Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers J’ai laissé ma marque au sein de l’association étudiante. Plus exactement, sur le divan du salon étudiant.
plutôt fine pour les champignons, c'est une des choses que l'on apprend le plus vite à son sujet. Sinon, il est facilement reconnaissable grâce à son fameux bandeau.
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Emmanuel Jean Poste : VP interne Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Apparemment son impressionnante barbe est en fait constituée de mousse de nombril. C’est là-dedans qu’il garde ses lunchs au frais quand il va sur le terrain.
Maxime Paradis Poste : VP finances Baccalauréat : génie du bois Salut moi c’est Max, j’aimerais mieux connaître mes arbres, donc mon bois pref c’est le thuya parce que ça sent bon! J’aime pas les cours en ligne, mais j’aime bien le basket, le ski alpin et les roadtrips.
Jeanne Bellavance-Morin Poste : VP communications Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Tite criss à temps partiel, lunatique à temps plein. Fonctionne à la photosynthèse. J’aime le touring et les pâtes au pesto.
Jonathan CaronChampagne Poste : VP exécutif Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Qu’est-ce qui est jaune et qui attend? Moi apparemment. Monica Gagnier Poste : VP sportive Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Une Franco-Ontarienne qui trippe beaucoup trop sur les citrouilles et les chats.
Olivier Roberge Poste : VP recrue Baccalauréat : opérations forestières Fier représentant d'une minorité visible (OP). Amateur du pin blanc, de Nutella et de blagues plates.
Lysianne Desgagnés Poste : VP recrue Baccalauréat : développement durable du territoire J'aime rire, faire des activités de plein air et sortir de ma zone de confort quand je peux. Les couchers de soleil sont ma passion.
Kimberly Boyle Poste : VP recrue Baccalauréat : aménagement et environnement forestiers Jeune gaspésienne un peu trop enthousiaste à l’idée de devenir une forestière!
Olivier Magnan Poste : VP recrue Baccalauréat : Génie du bois Troublante passion pour la sauce soya. Sinon, je suis un excellent cuistot. Je ferais un excellent parti.
Jérémy Duchesne Pomerleau Poste : VP recrue Baccalauréat : environnements naturels et aménagés Y’a pas grand-chose à dire sur lui, mais il est là juste pour continuer de hanter la vie de Maxime Paradis. 6
La fille du rivage On la voyait souvent sur le bord du Fleuve ou du Lac
Son humeur montait et descendait avec la marée
SAMUEL JALBERT Étudiant en aménagement et environnement forestiers
Elle lançait parfois un caillou dans une flaque pour secouer la torpeur de son esprit navré
samuel.jalbert.1@ulaval.ca
Elle construisait des châteaux lunatiques
Et traçait les élans de son cœur volage Son souffle chaleureux était périodique Cabotant mon cœur, sans ancrage
On la surnommait la fille du rivage
Elle disait : « Regarde la plage! C’est la rencontre de deux êtres si différents qui se percutent éternellement. »
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R–PLOT, graphique en boite à moustache
ANTOINE HAREL Candidat à la maîtrise en sciences forestières antoine.harel.1@ulaval.ca
Cette chronique a comme sujet le package ggplot. Cette fonction permet de faire de très beaux graphiques sur R. Je vais vous présenter un exemple de graphique de type boîte à moustache (boxplot). Comme c’est le premier d’une série d’articles, je vais aussi commencer par vous montrer comment charger votre jeu de données, installer les packages, etc. Le texte situé derrière une étoile « * » s’adresse donc aux novices de R. C’est sûr que si vous souhaitez faire un graphique très rapidement pour visualiser votre jeu de données ou le résultat d’une analyse, je vous recommande d’utiliser les commandes de base sur R. Par contre, s’il s’agit d’un graphique destiné à une publication scientifique ou une présentation, ggplot peut se révéler particulièrement utile puisqu’il permet de personnaliser tous les aspects de votre graphique.
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Pour un graphique en boîte à moustache, votre jeu de données devrait ressembler à :
Il est maintenant temps de faire le graphique, je vous présente le script en entier, puis je vous explique ligne par ligne. ggplot(data = DATA) + geom_boxplot(mapping = aes(x=PRODUCTIVITE, y=FLUX, group = PRODUCTIVITE, fill=PRODUCTIVITE)) + ylab("Flux totaux (15 juin - 15 octobre)\nde CO2 du sol (umol m-2. s-1)") + xlab("Classe de productivité") + scale_fill_manual(values=c("#56B4E9", "#009E73", "#F0E442", "#0072B2"), name = "Classe de productivité", breaks=c("1","2","3","4"), labels=c("Classe 1 ", "Classe 2 ", "Classe 3 ", "Classe 4")) + theme_few() + ylim(800, 2300) + theme( axis.text = element_text(family ="Arial", size = 12, face ="plain"), axis.title.x = element_text(family ="Arial", size =12, face ="bold"), axis.title.y = element_text(family ="Arial", size =12, face ="bold"), legend.title = element_text(family ="Arial", size =14, face ="plain"), legend.text = element_text(family ="Arial", size =14, face ="plain"), panel.background = element_rect(fill = "white"), plot.background = element_rect(fill = "white"), legend.background = element_rect(fill = "white"), legend.key = element_rect(fill="white"), legend.margin = margin(15,0,0,0), panel.border= element_rect(linetype = 1, size=2), panel.grid.major.y = element_line(colour="black", linetype = 3, size = 0.5), panel.grid.major.x = element_blank(), legend.position = "bottom", legend.direction = "horizontal", legend.key.size = unit(3, 'lines'), legend.spacing.x = unit(0, 'cm’), plot.margin = unit(c(0.2, 0.2, 1, 0.2), "cm"))
*Vous devriez pouvoir copier-coller ce code et l’essayer dans R
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La légende n’est pas très utile dans ce graphique, c’est juste pour l’exemple. ☺
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Maintenant que nous avons vu comment faire un graphique sur R, dans un prochain article je vous montrerai simplement les différents types de graphiques sans aller dans les détails. À à suivre…
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PFE : Projet de Fin d’Études ou Projet Fastidieux Effrayant ? Le projet de fin de session est un cours que tout étudiant du bac en aménagement et environnement forestiers, ainsi que d’opérations forestières doit faire. Une description plus détaillée du projet est disponible dans l’édition Avril-2020 du Jaseur Boréal.
Voici quelques projets réalisés durant la session d’automne 2020. étudiante : Laurie Chicoine, Directrice du projet : Alison Munson, Titre du projet : Réponse de
l’épinette
blanche
à
la
compétition
en
plantation
Le projet vise à déterminer l’effet de la compétition sur la disponibilité des ressources et la croissance des épinettes blanches en plantation. Pour ce faire, de jeunes plantations dégagées antérieurement sont comparées à d’autres n’ayant jamais été traitées. Ces comparaisons se basent sur des données dendrométriques (hauteur, diamètre à hauteur de souche) et écophysiologiques (luminosité, teneur en eau du sol, nutrition foliaire, compétition).
étudiant : Maher Haj Amor, Directrice du projet : Maude Flamand-Hubert, Titre du projet : Les différents usages d’une forêt privée dans la région Chaudière-Appalaches et la sélection de l’usage optimal pour un lot privé situé à Sainte-Apolline de Patton
Mon projet de fin d’études vise ainsi à évaluer les différents usages d’un territoire forestier privé dans la région Chaudière-Appalaches et d’identifier les conditions qui en permettraient un usage optimal selon les objectifs du propriétaire pour son lot.
étudiante : Claudelle Bourque Directeur du projet : Jean-Claude Ruel Titre du projet : Dynamique d’acclimatation et de croissance de semis naturels et plantés d’épinette rouge et de thuya occidental dans un contexte d’enrichissement en coupe progressive irrégulière
En somme, l’étude préliminaire de semis naturels et plantés d’épinette rouge et de thuya sous des conditions créées par la coupe progressive irrégulière (CPI) a permis de constater qu’à court terme, les semis, tant naturels que plantés, ont semblé performer davantage dans le traitement 30 % de prélèvement de la surface terrière marchande (comparativement aux traitements 40 et 50 %), et ce, pour les deux essences étudiées. Cela pourrait s’expliquer par la repousse rapide d’une végétation concurrente favorisée par un degré d’ouverture plus grande du couvert forestier.
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Les mots entrecroisés du dimanche aprèsmidi
Par Ann-Julie Lévesque Corrigé à la page 46
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Vue du ciel Par Rémi Vande Weghe Rémi est un ingénieur forestier et a gradué du Baccalauréat en aménagement et environnement forestiers en 2020. Travaillant à La Tuque, il a eu l’opportunité de parcourir du haut des airs, grâce à son drone, plusieurs traitements forestiers. En voici quelques uns.
@ Rémi Vande Weghe Dans les strates feuillues, le scarifiage par poquet a pour but d’aider à la régénération du BOP qui a besoin d’un minimum de perturbation au sol pour germer (contexte : on est à La Tuque et il y a une usine qui prend du BOP). Mais ce procédé aide aussi bien d’autres essences à s’installer comme le BOJ, l’EPB et le PIB. C’est une pelle mécanique équipée d’un peigne de 2 mètres de large qui est utilisée. Les bouleaux vont germer aux extrémités du poquet et presque aucune compétition ne va s’installer à l’intérieur de celui-ci permettant d’obtenir un puits de lumière pour les jeunes semis très souvent concurrencés par les peupliers. Ce traitement permet d’ailleurs d’affaiblir très fortement le peuplier en cassant les racines des tiges mères des drageons. Plus tard, une éclaircie par puits de lumière réalisée en hiver avec des scies mécaniques permettra de dégager les bouleaux de la forte compétition exercée par le peuplier.
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@ Rémi Vande Weghe Ici, après une coupe par arbre entier, une ébrancheuse enlève les branches des tiges. Il y a donc accumulation de débris ligneux près du chemin. Les aires d’ébranchage représentent parfois une superficie assez importante de l’aire de coupe et représentent donc une perte de superficie productive. Pour y remédier, une mise en andains permet de concentrer ces déchets en une superficie bien moindre. La superficie récupérée entre les andains est très souvent plantée pour garantir une bonne régénération de cette aire très perturbée.
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@ Rémi Vande Weghe Scarifiage Zipper pour préparer la plantation de résineux
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@ Rémi Vande Weghe La coupe par bandes est très pratiquée en strate mixte et représente un procédé de régénération visant à obtenir une structure jardinée en installant un enchainement de peuplements de classes d’âges différentes. C’est un traitement très intéressant dans les strates où la composition de BOP est importante, car celui-ci réagit très mal aux blessures causées lors de la coupe. Ce type de coupe permet de récolter l’intégralité de la bande sans nuire ou presque aux arbres des bandes résiduelles.
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Les auxiliaires d’enseignement de la ffgg Auxiliaire d’enseignement vous avez dit? Mais qu’est-ce que ça mange en hiver?! Emploi réservé aux étudiantes et étudiants inscrits à l’université, il représente une opportunité d’une part de gagner un revenu d’appoint, mais d’autre part, d’apporter une vision critique des cours d’un point de vue étudiant. L’auxiliaire offre une aide précieuse aux enseignants qui doivent parfois conjuguer avec de grands groupes. Ses tâches sont entre autres de préparer des documents, notes et séances de cours, d’accompagner les étudiants, de corriger des travaux et des examens, de préparer des exercices, d’assister l’enseignant pour répondre aux questions des étudiants et d’animer des forums en ligne. Bon an, mal an à la FFGG, c’est une soixantaine d’étudiants et d’étudiantes qui, par session, obtiennent des contrats d’auxiliaire. Bien que ce soient principalement des étudiants et étudiantes de 2e cycle (50 à 60%), suivi du 3e cycle, ceux et celles du 1er cycle peuvent également devenir des auxiliaires pour des cours qu’ils et elles ont déjà suivis. Les étudiants et étudiantes acquièrent ainsi une expérience enrichissante d’encadrement, de développement pédagogique et d’approfondissement des connaissances. Ce travail démontre également un engagement envers son programme d’étude et sa faculté et devient très souvent un atout majeur dans un curriculum vitae. Je le recommande à quiconque ayant ce désir de faire sa part pour l’amélioration continue des cours à la FFGG. Nancy Gélinas, Doyenne de la Faculté de foresterie, géographie et géomatique Un message général a été lancé sur Facebook et 4 questions furent posées aux auxiliaires intéressés. Les questions sont : Q1 – Ton prénom, nom et le/les cour(s) auquel/auxquels tu participes ? Q2 – Pourquoi as-tu choisi d’être auxiliaire ? Q3 – En quoi consistent tes tâches ? Q4 – Qu’est-ce que tu trouves de positif dans ce travail ? Q1 – Claudie-Maude Canuel, planification forestière : mise en œuvre (FOR – 3101) et aménagement forestier (FOR – 4042).
Q4 – Tout! Je me sens vraiment privilégiée. Mon supérieur est super avec moi, l'horaire est adapté à mes disponibilités, j'apprends énormément à chaque fois, c'est super valorisant d'aider d'autres étudiants. Ça me permet aussi de connaître les autres cohortes d'étudiants, je développe mes capacités à vulgariser et à enseigner une matière qui m'intéressait déjà beaucoup. Ça me force aussi à rester à jour et à sortir du simple cadre de mon projet de maîtrise.
Q2 – Pour développer mes compétences pour l'enseignement et les outils utilisés (ArcGIS, Excel, Access, OpenSolver), pour approfondir la compréhension de la matière, pour m'impliquer dans la formation des futurs ingénieurs forestiers et pour diversifier mes tâches dans mes semaines et ouvrir mes horizons (pas juste rester dans le petit cocon de mon projet de maîtrise).
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Q1 – Florence Leduc, fondements de la foresterie (FOR – 1010).
Q3 – J'assiste aux cours pratiques, réponds aux questions des étudiants, les aide dans leur apprentissage et dans la réalisation des travaux. J'aide le chargé de cours en révisant certains documents (consignes, examens...) et en participant à l'occasion à la correction.
Q2 – Au début, c'était le professeur du cours qui m’avait proposé de l’aider puisque le cours était à la fois en ligne et en présentiel et j’ai accepté parce que c’est un emploi qui me convient bien. Puisque j’ai un 20
horaire chargé, j’aime bien pouvoir travailler un peu quand je veux et quand j’ai du temps.
Sans oublier qu'on est payé pour faire quelque chose de motivant. Que demander de plus?
Q3 – Au début de la session, les cours étaient à la fois en ligne et en présentiel, alors je devais surveiller le clavardage pour répondre aux questions des étudiants, si je le pouvais, ou avertir le prof si une question devait être abordée en classe (en parlant à la classe il ne pouvait pas surveiller les questions en ligne). Maintenant que les cours sont entièrement à distance, je fais de la correction.
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Q2 – L'aspect monétaire était évidemment important, mais la raison principale est parce que le domaine de l'enseignement m'intéresse. Je voulais apprendre comment la « machine » universitaire ou éducationnelle fonctionne, comment monter un cours, comment rédiger des questions d'examen, etc.
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Q1 – Lucas Moreau, carbone forestier changements climatiques (FOR – 2040).
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Q1 – Nicolas Roy, Géographie des transports (GGR– 2109). J'ai également été auxiliaire pour les cours Changements climatiques (hiver 2019), Introduction à la carte du monde (été 2019 et été 2020), Géographie des États-Unis (automne 2019) et Géomorphologie littorale et marine (hiver 2020).
Q4 – J’aime bien revoir la matière du cours de fondements, je trouve que c’est un cours très intéressant et c’est utile de revoir les concepts de base. J’aime aussi le fait que l’horaire soit flexible. ---
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Q3 – Principalement de la correction d'évaluations. En général, c'est surtout de la correction d'examens, mais il arrive parfois que j'aie à corriger des travaux (courts ou longs). Sinon, il m'est arrivé d'avoir à rédiger des questions pour des tests, examens et questionnaires formatifs, mais c'est du cas par cas en fonction des besoins et des demandes de l'enseignant.
et
Q2 – La curiosité, j'ai toujours aimé appréhender le milieu scolaire non pas seulement comme étudiant, mais aussi comme formateur. Être auxiliaire d'enseignement, c'est mettre un pied dans ce monde-là !
Q4 – Ça m'a permis de voir l'envers de la médaille et d'apprécier davantage tout le travail et les efforts qui sont mis dans les cours. En tant qu'étudiant, c'est quelque chose dont je n'étais pas conscient avant d'être auxiliaire. Au-delà de cet aspect, contrairement à d'autres emplois étudiants dits « typiques », il n'y a pas d'horaire de travail fixe. Je peux donc travailler à mon rythme, tout en gardant en tête les échéanciers.
Q3 – Je supervise les étudiants en les guidant dans leurs questionnements sur les différents travaux qu'ils ont à mener ou bien dans leur compréhension du cours. Je corrige aussi leurs travaux et examens. Q4 – Tout ! Partager ses connaissances ou corriger un travail ne peut pas se faire sans connaitre soi-même le sujet, en apprenant aux autres on découvre donc nos propres lacunes. Rencontrer des personnes de tout horizon avec des chemins parfois différents et donc des a priori parfois importants sur tout ce qui a trait au carbone forestier et plus généralement à la forêt. C'est un sujet d'actualité, comme tous ces sujets ces tempsci, bon nombre d'étudiants ont des réponses toutes faites avant même d'avoir commencé le cours. Leur faire découvrir ce qu'est vraiment la science du carbone forestier et par la même occasion le potentiel de la forêt est donc une belle expérience. Sans parler de la rencontre avec certain(e)s étudiant(e)s qui ont soif d'apprendre et d'approfondir leurs connaissances.
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Q1 – Antoine Harel – sols forestiers (FOR-1005), excursion en écologie forestière (FOR-2022) et problématique forestière (FOR-2015). Q2 – Être auxiliaire me permet de revoir la matière ce qui est vraiment le fun parce que ce sont des cours que j’ai vraiment aimés. Aussi, ça donne un avant-goût du rôle de professeur et de comment le cours est organisé et géré. Ça me permet aussi de me changer les idées en faisant autre chose que mon projet de maîtrise. 21
Q3 – Pour le cours de sols forestiers, je participe activement à la correction des travaux et des examens et je réponds aux questions des étudiants. Je corrige aussi les travaux durant l’excursion en écologie, mais mon travail consiste plus à aider les étudiants à utiliser les outils (type écologique, végétation potentielle, etc.) et à répondre aux questions.
quand j’ai vu l’offre d’emploi affichée sur le SPLA, il était tout indiqué pour moi de devenir auxiliaire d’enseignement pour ce cours. Q3 – En grande majorité, j’effectue la correction pour les laboratoires du cours. Pour cette session (H-2021), je vais aussi aider les étudiants lorsque nécessaire durant les périodes virtuelles de dépannage pour les laboratoires et le projet final du cours.
Q4 – C'est vraiment gratifiant. On se sent utile ! Par exemple, le cours d’excursion en écologie forestière se passe sur le terrain et c’est vraiment deux belles semaines où on apprend à connaître les étudiants et à « transmettre nos connaissances » (j’en apprends d’ailleurs beaucoup de mon bord). ---
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Q4 – J’apprécie particulièrement les horaires qui sont très flexibles. Je peux corriger les travaux quand j’ai un peu de temps de libre, entre deux travaux scolaires ou deux rencontres. Aussi, j’aime vraiment la géomatique, autant la théorie que la pratique ! Donc, c’est vraiment un plus de pouvoir travailler dans une discipline qui me passionne. En bonus, ça me permet de toujours revoir les concepts de base.
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Q1 – Véronique Rouleau, problématique forestière du Québec (2021), écologie forestière (2020), excursion en écologie forestière (2019 et 2020), évaluation environnementale (2019), sols forestiers (2018)
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Q2 – J’adore l’université, les cours, le partage des connaissances et c’est une façon pour moi de participer à tout ça. Q3 – Les tâches varient en fonction des cours, mais de façon générale, il s’agit principalement d’assister le professeur dans sa fonction d’enseignement et surtout pour la correction des travaux et des examens. Q4 – J’adore lire les travaux des étudiants; puisque les sujets sont souvent variés, cela rend la correction vraiment intéressante et j’en apprends sur plusieurs sujets. Cela me permet aussi de rester informée sur les nouvelles connaissances dans plusieurs domaines forestiers. ---
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Q1 – Myriam Delmaire, je participe en tant qu’auxiliaire d’enseignement au cours GMT1005/GMT-6001 - Fondements des SIG Q2 – Au début, je me cherchais un emploi durant mes études. Le cours de SIG a été pour moi un cours que j’ai vraiment apprécié durant mon baccalauréat. Donc,
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La Semaine des sciences forestières, un événement hors du commun à ne pas manquer!
Par Catherine Ouellet, étudiante en environnements naturels et aménagés de l’Université Laval
Depuis maintenant 52 ans, la Semaine des sciences forestières (SSF) met de l’avant le thème de la forêt en vulgarisant des connaissances scientifiques et techniques en lien avec la foresterie auprès d’un grand public. L’an dernier, plus de 2000 visiteurs ont assisté au Salon de la forêt. Toutefois, outre le Salon de la forêt, cette semaine des sciences forestières offre également un jeu-questionnaire de génie en arbre, une soirée de contes et légendes, le colloque de la semaine des sciences forestières, un concours photo, la journée de la recherche et bien plus! Cette année, le Salon de la forêt virtuelle se tiendra les 20 et 21 mars 2021 derrière votre écran sous le thème de « La forêt, de haut en bois ». Il y en aura pour tous les goûts tout au long de l’événement avec l’Association forestière des deux rives, Boréalis, le Centre d’études de la forêt et plusieurs autres exposants. Vous aurez également accès à des conférences, un cinéma forestier, une section jeunesse, des kiosques étudiants et plus encore. Vous trouverez toutes les informations directement sur le site internet de la Semaine des sciences forestières, ssf.ffgg.ulaval.ca. De plus, n’oubliez pas de venir mettre à l’épreuve vos connaissances forestières au jeu-questionnaire du Génie en arbre le 11 mars 2021. Tous les étudiants sont les bienvenus. Nous vous attendrons avec impatience! Connu sous le nom de Traqueur de contes et cumulant vingt ans d’expérience, Christian Lalonde sera l’un de nos invités spéciaux lors de notre soirée de contes et légendes du 16 mars 2021. Il sera accompagné par des étudiants qui, ensemble, vous feront voyager. Le Colloque de la semaine des sciences forestières est organisé par la SSF dans le but d’offrir l’opportunité aux étudiants d’aborder des thèmes importants de la foresterie. Les experts invités discuteront des problématiques actuelles touchant le milieu forestier et ils pourront répondre à toutes vos questions. Cette année le thème sera : « La stratégie de production de bois : les enjeux sur l’optimisation de la forêt » et il vous sera disponible le 18 mars 2021. À vos appareils photo, cette année le concours photo sera sous le thème : « Forêt sortir de la maison ». Les gagnants se verront attribuer de merveilleux prix, dont un forfait de deux nuits pour deux personnes dans un chalet du Parc national de la Jacques-Cartier. Tous les détails du concours sont disponibles sur les différents médias sociaux de la Semaine des sciences forestières ainsi que sur notre site internet. Vous avez jusqu’au 1er mars 2021 pour participer. Bonne chance à chacun d’entre vous! N’oubliez surtout pas de nous suivre sur notre Facebook et notre Instagram!
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Dans les obscures étages supérieurs du ABP et/ou Kruger Par Myriam Delmaire
Maxime Fortin, candidat à la maitrise en sciences forestières avec Sylvain Jutras et Heather McGrath Et avant : Baccalauréat en aménagement et environnement forestiers à l’Université Laval
Quel est ton sujet de maitrise ?
Mon terrain devait se dérouler en Mauricie et en Abitibi. Donc, j’ai commencé la maitrise en travaillant sur les différents scénarios possibles, si jamais il était impossible de se déplacer en région. Finalement, j’ai pu effectuer mes travaux terrain, sans trop de difficulté, mais avec beaucoup de mesures sanitaires à respecter! J’ai apprécié pouvoir effectuer mon terrain. Me promener en forêt, me promener en pick-up et faire de l’inventaire avec mon coéquipier m’a vraiment fait apprécier mon début de maitrise. Je fais de l’inventaire, mais cette fois-ci c’est pour mon propre projet!
Mon sujet de maitrise est l’évaluation de l’incertitude des lits d’écoulement potentiel et des délimitations des bassins versants. Il s’insère à la suite d’un autre projet de maitrise qui a permis de produire les lits d’écoulement potentiel à l’aide de données provenant de la technologie du LiDAR. Je suis dans l’équipe de laboratoire d’hydrologie forestière de Sylvain Jutras, professeur titulaire et j’ai comme codirectrice Heather McGrath de Ressources Naturelles Canada.
Qu’est-ce qui t’a mené au choix d’un tel sujet ?
Ensuite, j’ai commencé à travailler dans le laboratoire d’hydrologie forestière en tant qu’étudiant gradué. Ce qui est vraiment le fun dans ce laboratoirelà, c’est qu’il y a beaucoup de ressources et plusieurs professionnels de recherche. Ainsi, j’ai vraiment été bien encadré et j’ai eu l’opportunité d’échanger sur mon sujet de maitrise avec d’autres personnes, que seulement mon directeur de maitrise. C’est toutes des personnes qui sont extrêmement motivées, ce qui me rend encore plus motivé.
Au début de mon baccalauréat en aménagement et environnement forestiers, j’avais déjà un intérêt pour l’hydrologie forestière. Avant de faire ce choix, j’ai travaillé deux étés pour le laboratoire d’hydrologie forestière en étant auxiliaire de recherche pour l’étudiant à la maitrise qui a travaillé les lits d’écoulement potentiel. C’est certain que ces deux étés ont influencé le choix de mon sujet, car je connaissais déjà l’équipe et j’avais acquis plusieurs connaissances en lien avec l’hydrologie nécessaire à mon projet de maitrise. Aussi, j’apprécie mon projet, car il m’amène à la création d’un outil qui pourra être utile pour les forestiers.. Il y a un livrable concret à produire d’ici la fin de la maitrise ce que je considère très motivant!
Au début de la session d’automne, j’avais un bureau à l’étage obscur du ABP. Avec les différentes consignes gouvernementales, c’est certain qu’on y allait le moins possible. C’est évident que dans les conditions actuelles, avec deux cours de deuxième cycle, exclusivement à distance, ça a été un nouveau défi pour moi. Je suis quelqu’un qui aime être en présence d’autres personnes et parler. Donc, c’est certain que de vivre une session entièrement à distance, dans mon salon, sans la cafétéria du ABP, ça a été plutôt difficile sur le moral et la motivation. Finalement, je me suis adapté, comme pas mal tout le monde, je pense bien! Aussi, les rencontres virtuelles
Le début de la maitrise, en temps de pandémie ? En mars, j’ai commencé à planifier mon terrain durant le tout début de la pandémie. À ce moment-là, il y avait beaucoup d’incertitude concernant la possibilité de faire des travaux terrain et de se déplacer en région. 24
qu’on a faites avec mon laboratoire, soit environ 1 fois par semaine ont beaucoup aidé au déroulement de ma première session de maitrise.
De cette façon, j’aurais une méthode bien définie pour l’analyse de mes données.
Moment de stress ou élément inédit de ta maitrise ?
Peux-tu nous parler en gros de ton dispositif ? Expérience, prise de données … ?
Je dirais que c’est plus un moment cocasse durant mon été terrain! Mon coéquipier et moi devions inventorier 3 sections d’un cours d’eau et on avait décidé de terminer par la section la plus facile. L’inventaire s’effectuait sur un terrain quand même assez accidenté. En arrivant à la dernière branche, on a rencontré une gélinotte huppée. C’est assez étonnant, mais une gélinotte peut être très agressive quand elle protège ses petits. Au début, on ne l’avait pas remarquée, mais en s’approchant d’elle et de ses petits, elle s’est mise à nous attaquer. C’est surprenant de voir comment une gélinotte sait se défendre. Elle nous a suivis sur plus de 30 m. Finalement, on n’a pas inventorié la dernière section du cours d’eau !!!
L’expérience que j’ai effectuée sur le terrain a été d’inventorier différents types de cours d’eau et de les positionner selon leurs coordonnées GPS. Les trois grands types de cours d’eau que je regarde sont les permanents, les intermittents et les éphémères. Un cours d’eau permanent est un cours d’eau dont le lit ne s’assèche pas. Un cours d’eau intermittent est un cours d’eau dont le lit s’assèche à certaines périodes de l’année et un cours d’eau éphémère est un écoulement sans lit occasionné principalement par les précipitations ou la fonte des neiges. L’absence de cours d’eau est essentielle aussi à positionner sur le terrain, car c’est une donnée importante pour la vérification de nos modèles. Plusieurs autres informations ont été collectées. Le but étant d’aller caractériser une réalité terrain pour ensuite la comparer avec nos modèles. Ces données terrain pourront donc confirmer ou infirmer les modèles produits dans le laboratoire et bien sûr, par la suite pouvoir les améliorer. Ce que j’ai particulièrement aimé dans mon expérience sur le terrain, c’est qu’on s’est servi de GPS connectés par Bluetooth qui étaient directement reliés avec nos téléphones cellulaires. Donc, toute la collecte de données se faisait à partir de nos cellulaires, sans formulaire papier. La précision était donc meilleure que lors de l’utilisation de GPS traditionnels. Aussi, les formulaires étaient déjà dans le cellulaire. Donc, mes données étaient déjà compilées.
Où es-tu rendu en ce moment dans ton projet? Puisque j’ai fait un été d’inventaire et que je vais utiliser des données recueillies par l’équipe d’hydrologie depuis 2017, je suis rendu à déterminer comment je vais analyser mes données. D’ailleurs, j’ai l’avantage d’avoir une grande quantité de données pour valider mes algorithmes, grâce aux données de mon laboratoire. En ce moment, j’essaie de développer une méthode qui va me permettre d’évaluer l’incertitude de plusieurs algorithmes en même temps. 25
Chouette un questionnaire ! Par Lyne Touchette Réponse à la 46 1
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Le Greenday Cocktail par Alexis FD Donc, on commence par piler 2 pouces de concombre dans le shaker. Par la suite, on y ajoute : v 2 oz de gin ; v 1 oz de jus de lime ; v 1 oz de sirop de gingembre ; v 3 oz de jus de canneberges blanches ; v De la glace. Et on shake !!! Puis après ça, très important, il faut le passer au tamis avant de le mettre dans un verre, sinon la purée de concombre c’est pas top agréable en bouche ! Pour ce qui est du sirop de gingembre, c'est pas super compliqué (dépendamment de la quantité qu'on veut faire) : v 1 part de gingembre pour ; v 1 part d'eau ; v 1 part de sucre banc ; On coupe le gingembre en dés comme sur la photo ci-dessous, sans éplucher (ça donne du piquant au sirop quand on n’épluche pas); On met le tout dans une casserole, on amène à ébullition, puis on diminue le feu et on laisse mijoter 15 minutes ; Ensuite, il faut le passer au tamis aussi, puis au frigo ça se conserve facilement plus d'un mois. Aussi, plus longtemps tu laisses le gingembre dans le sirop avant de passer au tamis, plus il va gouter! (Tu peux faire le sirop et laisser 3-4 jours macérer au frigo avant d'enlever les morceaux si tu veux que ça goute extra !) !
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Connais-tu ta classification canadienne des sols ?? Par Antoine Harel Réponse à 46
Pour tous ceux qui ont passé FOR-1005
Voir la page 31 pour les énoncés 30
Horizontal 1. 2. 3. 4. 5. 6.
Merci à Louis Allard, Alice Desaulniers et Karina-Maude St-Cyr pour leur photo.
Sol principalement composé de matériaux organiques ; Sol faiblement développé ; Échelle utilisée pour évaluer la décomposition de la matière organique ; Charte de couleur utilisée en pédologie ; On retrouve ce sol dans des sites où il y a des conditions de réduction périodique ou permanente ; Sol que l’on retrouve dans l’ouest du Canada, là où la température annuelle moyenne du sol est de 0ºC.
@ Alice Desaulniers
@ Louis Allard
Vertical 1. 2. 3. 4. 5.
@ Karina-Maude St-Cyr
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Sol dans lequel les horizons B sont enrichis en matériaux amorphes (aluminium et fer) ou en matière organique ; Horizon qui, à l’état sec, a une consistance dure comme du ciment ; Sol ayant un horizon éluvial de couleur pâle et un horizon B illuvial où l’argile s’est accumulée ; Sol que l’on retrouve dans le nord du Canada, là où le pergélisol se situe près de la surface ; Horizons organiques au-dessus des horizons minéraux et qui sont constitués de feuilles, brindilles, matériaux ligneux ; Sol faiblement développé.
Un mot du président de l’AFOR Par Alexandre Morin-Bernard Si tu es inscrit.e à un programme de 2e ou 3e cycle en foresterie, génie du bois et des matériaux biosourcés ou agroforesterie, tu es aussi membre de l’AFOR, l’Association des étudiant.e.s gradué.e.s en foresterie de l’Université Laval ! Pour la session d’hiver 2021, l’association compte ainsi près de 180 membres ! Le conseil exécutif de l’association est constitué de 5 membres, élus lors de l’assemblée générale d’automne 2020 : v Président : Alexandre Morin-Bernard, Doctorat en sciences forestières v Vice-présidente exécutive : Rosalie Champagne-Côté, Maîtrise avec mémoire en sciences forestières v Vice-président aux finances : Ayaovi Locoh, Doctorat en sciences forestières v Vice-présidente aux affaires institutionnelles : Pauline Litzler, Maîtrise en agroforesterie v Vice-présidente aux affaires socioculturelles et sportives : Yasmin Mbarki, Maîtrise avec mémoire en sciences forestières
Président
VP exécutive
VP Finances
VP Affaires Institutionnelles
VP Affaires socioculturelles
Je tiens d’entrée de jeu à remercier et à féliciter les membres de l’exécutif, et tout particulièrement les trois nouveaux membres qui ont décidé cet automne de s’impliquer pour pourvoir les postes vacants, malgré le défi énorme que cela représente. Au cours des derniers mois, nous avons fait face à des défis sans précédent, qui nous ont poussés à redéfinir note rôle. Avec l’appui de plusieurs d’entre vous et en collaboration avec la direction de la Faculté, nous avons mis en place des mesures permettant à ceux et celles qui le désiraient ou en avaient besoin d’accéder aux bureaux et de travailler depuis le campus. Je tiens d’ailleurs à vous rappeler que malgré le confinement actuel, vous êtes autorisé.e.s à travailler sur le campus si cela est nécessaire pour votre projet ou si votre domicile n’offre pas un environnement de travail adéquat. N’hésitez pas à en faire part à votre directeur ou directrice de recherche et à nous contacter si vous rencontrez des difficultés en ce sens. Seules les activités communautaires et sociales sont strictement interdites. La mission première de l’AFOR est et a toujours été d’assurer la représentation de ses membres auprès des nombreuses instances facultaires, notamment les directions de programme, les comités de programme, le Fonds d’enseignement et de recherche (FER), le Fonds d’investissement étudiant (FIÉ), le comité scientifique et d’aménagement de la Forêt Montmorency, le comité facultaire de santé psychologique et ainsi de suite !
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En des temps plus normaux, l’AFOR tient également un rôle prépondérant dans l’animation de la vie étudiante en organisant des activités qui permettent aux membres de se rencontrer et d’échanger, notamment la renommée soirée Vins et fromages et les fort appréciés 5 à 7. Bien que ces activités ne puissent se tenir dans le contexte actuel, votre exécutif redouble d’efforts pour vous proposer, au courant de la session à venir, des activités sous une forme différente qui nous permettront, malgré tout, de garder le contact et la motivation dans nos études ! Notre credo pour l’hiver : Oui à la distanciation physique, non à la distanciation sociale ! Je termine en vous rappelant de ne pas hésiter à me contacter ou à rejoindre tout autre membre de l’exécutif, que ce soit pour des questions, des suggestions, ou du soutien dans l’un de vos projets ou dans votre cheminement académique. Nous sommes là pour vous assister et relayer vos demandes aux instances facultaires ou à tout le moins, pour vous diriger vers les ressources appropriées. Sur ce, bonne rentrée et au plaisir de vous rencontrer lors de nos activités à venir !
Alexandre Morin-Bernard, président
APPEL DE PROJETS – FONDS D’INVESTISSEMENT ÉTUDIANT Vous recevrez dans les prochaines semaines un courriel annonçant l’ouverture de l’appel de projets pour le Fonds d’investissement étudiant. Ce Fonds contribue financièrement à l’acquisition et à l’aménagement du matériel scientifique et pédagogique à la Faculté ou encore à l’aménagement des aires étudiantes en vue de rehausser la qualité du milieu de vie des étudiants et des étudiantes inscrits à un programme de la Faculté. L’argent disponible provient notamment de nos contributions en tant qu’étudiant.e.s, jumelées à celles de la Fondation de l'Université Laval et de la Faculté elle-même. En raison de la pandémie, des montants n’ont pas été dépensés et les sommes disponibles cette année sont donc plus importantes qu’à l’habitude ! Je vous invite donc à réfléchir dès maintenant à des propositions, en gardant en tête qu’elles doivent profiter au plus grand nombre pour être retenues. Pour tous les détails sur le programme et les critères de sélection, ainsi que des exemples des projets retenus dans les années passées, visitez le https://www.ffgg.ulaval.ca/fonds-investissement-etudiant
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Par Ann-Julie Lévesque À l’automne dernier, alors que la Californie était ravagée par des feux de forêt d’ampleur phénoménale, les pompiers québécois de la SOPFEU ont été sollicités pour apporter de l’aide à leurs homologues américains. C’est le cas de trois étudiants de la faculté, soit David Normandeau, étudiant de 3e année en opérations forestières, Jeanne BellavanceMorin et Frédéric Brunet, tous deux étudiants de 3e année en aménagement et environnement forestiers. Ces incroyables pompiers ont accepté de partager leur expérience inédite avec le Jaseur Boréal, pour notre plus grand plaisir. 1.
des camps montés pour lutter contre le feu. Nous avions chacun nos tentes et une roulotte pour nous laver. Le feu a été considéré comme contenu uniquement le 3 décembre 2020 avec un total de 129 000 ha brûlés. JEANNE ET FRÉDÉRIC Frédéric et moi avons pris part au premier envoi de pompiers canadiens en Californie; 60 Québécois ont été envoyés lors de ce départ. À ce moment-là, les ressources américaines travaillaient déjà depuis de longs mois et étaient exténuées. L’été 2020 a été le plus dévastateur de l’histoire contemporaine des États-Unis au niveau des feux de forêt; 1,7 million d’hectares ont été brûlés, soit environ 1000 fois la superficie du campus de l’Université Laval. Cinq des plus gros feux jamais documentés ont eu lieu cet été en Californie. Frédéric et moi avons travaillé sur le North Complex Fire dans le nord de l’État. Celui-ci a brûlé 129 068 hectares et a fait 16 morts, devenant ainsi le feu le plus mortel de la saison.
Comment s’est présentée l’opportunité d’aller combattre les feux de forêt en Californie ?
DAVID En étant pompier forestier au sein de la SOPFEU, lorsque des provinces ou des pays extérieurs demandent de l’aide, le Québec répond à ces demandes selon sa disponibilité. Cette année, lorsque la Californie a demandé de l’aide, la saison des feux du Québec était terminée et nous avons donc eu la possibilité de donner notre disponibilité pour un éventuel départ. Deux départs ont finalement eu lieu. Pour ma part, j’ai eu la chance d’être sur le deuxième départ, car j’étais en voyage lors du premier.
3. Comment s’est déroulé votre quotidien lors de cette mission ? DAVID En commençant par un accueil digne de films tenant fidélité aux Américains, nous avons eu deux jours de formation où nous avons vu comment utiliser les techniques de combat des incendies de la région et quelles étaient les mesures d’urgence telles que l’utilisation du « Fire Shelter ». Les journées commençaient par un déjeuner à 5h30 le matin, suivi d’un briefing sur les conditions et responsabilités de la journée. Une fois le briefing écouté, nous partions sur la partie du feu qui nous était attitrée. Notre rôle variait entre patrouille, nettoyage en bordure des lignes d’arrêt mécanisées, extinction finale de secteur et support pour les équipes de brûlage (Hotshots).
2. À quoi ressemblait la situation à votre arrivée (nombre d’effectifs, ressources déployées, ampleur du feu, etc.)? DAVID Un départ dans une autre province se fait en sections de 20 pompiers. Le deuxième départ était le jeudi 17 septembre et en direction de Plumas National Forest. Le feu était à 30 % contrôlé, il restait donc encore plusieurs secteurs en activité et beaucoup de travail à faire. Nous restions en « bulle » à proximité 34
Vers 18h nous revenions à notre campement pour souper et finalement retourner dans nos tentes pour être prêts pour le lendemain. La moyenne du nombre d’heures par jour était de 13h.
5. Quel a été le plus grand défi/difficulté ? DAVID L’expérience était incroyable du début à la fin. Un moment tannant était lors de notre 2e journée sur le feu lorsque les Hotshots avaient grand besoin de notre aide pour continuer un brûlage et où nous avons dû partir à 18h30, car sinon nous allions dépasser nos heures convenues par la SOPFEU. Nous avions l’impression d’abandonner l’équipe américaine qui était encore loin de terminer sa journée. Nous avons immédiatement vu que les conditions de travail des pompiers forestiers aux États-Unis étaient différentes des nôtres, nous qui étions présents en tant que support. Des équipes étaient 24h/24h sur les feux.
JEANNE ET FRÉDÉRIC Un campement temporaire avait été mis sur pied à Quincy pour les pompiers canadiens pour limiter les contacts avec les pompiers américains dû à la covid. Le réveil avait lieu vers 5h, pour avoir le temps de déjeuner et démonter nos tentes avant le briefing matinal de 6h. Nous partions ensuite vers notre section de travail du feu. Une de nos tâches principales sur le feu était l’extinction de points chauds à l’aide d’outils manuels. Nous avons aussi éclairci certaines portions de forêt pour permettre un futur brûlage contrôlé réalisé par les « hotshots » américains, soit les équipes de pompiers les plus expérimentées. Certaines maisons ont aussi été préparées pour l’arrivée du feu pour limiter les dommages sur cellesci. Le combustible (arbustes, meubles de jardin, décorations en bois, etc) entourant la maison était éloigné de celle-ci pour limiter l’intensité de l’incendie à proximité de la maison. Le retour vers le campement se faisait vers 6h. Nos soirées étaient consacrées à la préparation du matériel pour le lendemain ainsi que douches, bouffe, dodo tôt! Ainsi de suite pendant 14 jours!
JEANNE ET FRÉDÉRIC Pour ma part, la plus grande difficulté a surtout été de constater l’ampleur de l’impact des feux de forêt chez nos voisins du sud. Au Québec, on est surtout habitués de voir de l’épinette noire brûlée, alors que les feux sont souvent situés en zones peu habitées. Ce n’est pas du tout la réalité en Californie, alors que ceux-ci impactent grandement la vie des gens de la communauté. Le feu sur lequel nous travaillions a détruit plus de 2400 maisons et a tué 16 personnes à lui seul. 6.
Quelques photos à nous partager ?
4. Quel a été votre meilleur moment lors de cette expérience ? DAVID L’un de nos secteurs lorsque nous aidions les Hotshots pour faire un brûlage sécuritaire était directement sur la Pacific Crest trail, un sentier très connu qui était de toute beauté. Triste à voir brûler, mais le spectacle et l’ambiance étaient uniques. JEANNE ET FRÉDÉRIC C’était sans doute lorsque nous travaillions sur de la préparation de brûlage avec un handcrew américain qui provenait de l’Oregon. C’était super intéressant d’en apprendre sur leurs techniques de travail, mais surtout de simplement pouvoir échanger avec eux. On était souvent isolés des Américains étant donné la pandémie, alors les rares occasions qu’on a pu parler aux Américains étaient les meilleurs moments lors du voyage.
@ David
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L’Association lavalloise des étudiantes et étudiants gradués en géographie L’Association lavalloise des étudiantes et étudiants gradués en géographie (ALEGG) regroupe tous les étudiant.es inscrits aux programmes de maîtrise ou doctorat en sciences géographiques, avec mémoire et essai, et tous les étudiant.es en biogéosciences de l’environnement. L’Association a pour but la défense des droits et intérêts de ses membres. Ses tâches varient grandement, passant de l’organisation d’activités culturelles, sportives et sociales dans le but de promouvoir la vie étudiante, à la représentation de ses membres avec les autorités compétentes. L’ALEGG compte 7 représentants. v Arielle Frenette – Coprésidente aux affaires externes Arielle est la représentante ex-officio de l’Association et des étudiants dans leur rapport avec d’autres associations ou corps publics ou privés. Elle veille au bon fonctionnement de l’association. v Marie-Claire Nadeau – Coprésidente aux affaires internes et déléguée aux finances Marie-Claire est chargée des relations à l’intérieur de l’Association et assiste les autres membres du CE dans leurs fonctions. Elle tient également les livres comptables de l’Association. v Camille Latourelle-Vigeant – Déléguée aux activités socioculturelles v Véronique Migué – Déléguée aux activités socioculturelles Camille et Véronique s’occupent des dossiers concernant les activités socioculturelles offertes par l’Association et ses comités. Si vous avez des idées d’activités pour dynamiser la vie étudiante, n’hésitez pas à aller vers elles! v Mathieu St-Pierre – Délégué aux affaires académiques et institutionnelles v Jean-Bernard Giroux – Délégué aux affaires académiques et institutionnelles Mathieu et Jean-Bernard s’occupent des dossiers académiques. Ils siègent notamment sur le comité de programme et assurent la liaison entre les étudiants et les professeurs du programme et du département. C’est eux qui gèrent les plaintes que vous pourriez émettre durant votre cheminement. v Romane Hamon – Représentante des étudiant.es à la maîtrise en biogéosciences de l’environnement Comme le nom de son poste l’indique, Romane représente les étudiants de sa maîtrise auprès du CE de l’Association. Pour ne rien manquer des événements de votre association et des communiqués qui pourraient vous intéresser, nous vous invitons à aller aimer le groupe et la page Facebook de l’ALEGG. N’hésitez pas à entrer en contact avec nous pour toutes questions. Nous espérons vous accueillir, très prochainement, dans le local de l’Association de notre très cher ABP. Bonne rentrée à tous! Le comité exécutif de l’ALEGG
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L’aégul, l’association des étudiant.e.s en géographie de l’université laval SARAH-ÈVE BOUFFARD Vice-présidente aux communications Il est temps pour l’AÉGUL de se présenter et pour vous qui nous lisez, de nous connaître! Vous saurez ainsi qui contacter en cas de pépin. L'association des étudiants.es en géographie de l'Université Laval compte environ 250 étudiants.es, tous issus des programmes d’études de premier cycle en géographie. Les principaux objectifs de l’association sont de représenter et de protéger les droits de ses membres, être présente pour eux et leur offrir une excellente qualité de vie étudiante. L’association étudiante se compose de 9 exécutants.es. Le comité exécutif 2020-2021 est composé de : FÉLIX-ANTOINE CLOUTIER – Président : Félix-Antoine est le président de l’AÉGUL. Il a pour mandat de diriger tous les exécutants et de participer aux différents conseils facultaires et réunions départementales. C’est la personne qui est à la tête de l’association. SARAH-ÈVE BOUFFARD – Vice-présidente aux communications : Sarah-Ève s’occupe de la page Facebook de l’AÉGUL et tâche de répondre aux courriels qui sont acheminés à l’association. Son rôle consiste notamment à communiquer les dates importantes, les différentes activités organisées par l’AÉGUL et à partager les informations qui concernent la communauté d’étudiants.es en géographie. MARIE-ÈVE LAJEUNESSE – Vice-présidente aux affaires externes : Le rôle de Marie-Ève consiste à représenter les membres de l’association étudiante dans les institutions externes à l’université. L’une de ses tâches est d’assister tous les mois au caucus des associations de la CADEUL. ROSE ST-GELAIS – Vice-présidente aux affaires internes : Rose s’occupe d’épauler et de diriger les étudiants.es dans leurs questionnements concernant les aspects pédagogiques d’un parcours universitaire. Elle contribue à faciliter la communication entre les étudiants.es et le corps professoral en cas de problématiques entre eux. MÉGAN JULIEN – Vice-présidente aux finances : Son rôle se résume à s’occuper de la bonne santé financière de l’association. Elle a pour mandat de faire le suivi des entrées et des sorties d’argent au compte. Elle a également la responsabilité de signer tous les documents d’ordre financier. MARC-ANTOINE LEPAGE – Vice-président aux affaires socioculturelles : Marc-Antoine planifie des évènements sociaux afin de favoriser les liens entre les membres et ainsi agrémenter leur expérience universitaire. Les idées que lui sont partagées lui permettent de s’inspirer et lui sont les bienvenues. MARC-ANTOINE VIBERT – Vice-président au développement durable : Son implication au sein de l’association consiste à tenir compte de l’aspect durable du développement lors de prises de décision. Lorsque les cours seront à nouveau enseignés sur le campus, il lui sera possible de s’impliquer davantage sur le terrain. LIAM VERVILLE – Vice-président aux festivités : Il se doit d’assurer le déroulement adéquat des activités prévues par l’association. Étant donné la situation pandémique actuelle, il s’affaire à participer au processus de prise de décision pour améliorer la vie étudiante. Il vous promet un évènement festif lorsque les conditions le permettront.
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KATHLEEN MALTAIS – Vice-présidente recrue : Kathleen est étudiante au baccalauréat en développement durable du territoire. Elle a été élue à l’automne 2020 pour représenter les étudiants de son programme au sein de l’AÉGUL. Son rôle consiste à participer au processus de prise de décisions et elle s’assure que les intérêts des étudiants en développement durable soient considérés. Sachez qu’il est possible pour vous de nous contacter par divers moyens. L’AÉGUL dispose notamment d’une page Facebook et de trois groupes Facebook pour chacune des cohortes au sein desquels vous êtes invités.es à échanger entre vous. L’adresse courriel de l’association constitue également un bon moyen pour nous contacter. Le local de l’association, quant à lui, est adjacent à la cafétéria. N’hésitez pas, nous sommes là pour vous! Adresse courriel : aegul@asso.ulaval.ca Page Facebook officielle de l’AÉGUL : AÉGUL Groupes Facebook : Cohorte 2018-2019 Géographie Cohorte 2019-2020 Géographie Cohorte 2020-2021 Géographie
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Les coups de
alcoolisés des coordinateurs
Ann-Julie Lévesque
La Queen Anne’s Revenge de la microbrasserie Le Corsaire Cette bière blanche fruitée à souhait est mon coup de cœur du moment. Bien acidulée, elle met vraiment en valeur les petits fruits d’ici: framboises, camerises et touche d’hibiscus, comme on dit, ça fait la job sur un temps. Information complémentaire : son nom est tiré du navire de Barbe Noire, à vous de la consommer en chaloupe pour vivre la thématique à 100 %. Puisque cette bière est bien locale, provenant d’aussi près que Lévis, voilà une raison de plus pour la déguster sur la terrasse, ou autre (il n’y a pas vraiment de mauvaise occasion). Quand le poêle à bois part en peur, elle est grandement appropriée pour se rafraîchir. Cheers !
corsairemicro.com
corsairemicro.com
Quelques cues pour se la procurer : directement à la microbrasserie à Lévis ou chez Alimentation L’Impact dans Limoilou. Aussi, fort probablement en stock chez Accommodement ChaLou Beauport/St-Émile, mais à vérifier.
Amaretto Avril de la distillerie Mariana Depuis sa sortie, cette liqueur est assurément restée parmi mes coups de cœur. Tout ce qu’on aime d’un amaretto, mais avec un effet « wow » supplémentaire. Ses touches de caramel, d’érable et son parfum d’amande sont vraiment agréables. Délicieux dans un classique Amaretto Sour, dans un matcha latté ou tout simplement sur glace. Très sympathique quand il ne reste plus de dessert. Pour informations : https://www.saq.com/fr/13673941 Recette de matcha latté (remplacer le Disaronno http://1ou2cocktails.com/project/matcha-amande/
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par
du
Avril
merci)
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Les coups de
alcoolisés des coordinateurs
Myriam Delmaire Acerum Blanc du Domaine Small Distillé à Saint-Agathe-de-Lotbinière, ce spiritueux d’alcool blanc est élaboré à partir du sirop d’érable, produit par le domaine. Un subtil goût d’érable accompagne cet alcool blanc dans sa dégustation. Personnellement, je le bois sur glace ou encore, je remplace le classique rhum blanc dans mes cocktails préférés par l’Acerum blanc. L’Acerum est disponible exclusivement à la boutique du Domaine. J’ai d’ailleurs de source sure eu la confirmation que le domaine est actuellement en production d’Acerum ! https://domainesmall.com/microdistillerie/acerum-blanc-750ml/
St-Laurent Whisky Trois Grains 3 ans En tant qu’amatrice de Whisky, lorsque j’ai appris que la distillerie StLaurent sortait un whisky canadien, il m’était impossible de ne pas me le procurer! Disponible depuis le 9 décembre à la SAQ, ce whisky distillé à Rimouski est le premier whisky distillé à l’est de Montréal depuis la prohibition (selon la distillerie). Bien qu’il s’agisse d’un whisky particulier, de par son jeune âge, il s’agit à mon avis d’une bonne bouteille de Whisky, produit au Québec. https://www.saq.com/fr/14683800
Antoine Harel Je vous recommande le gin Ungava (Les spiritueux Ungava Ltée) et le gin Le Norkotié (Distillerie Vent du Nord). Ce sont mes deux gins québécois préférés. Je suis pas du genre à faire des drinks. Un glaçon et un fond de gin. Parfait pour corriger des copies (blague évidemment).
https://www.saq.com/fr/11156764 https://www.saq.com/fr/14447065
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MEMES pas drôles
Nos memes sont pas drôles ! Envoyez-nous les vôtres pour qu’on les mette dans la prochaine édition du Jaseur Boréal!
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Corrigé Les mots entrecroisés du dimanche après-midi
Connais-tu ta classification canadienne des sols ??
1 – Gélinotte huppée (Bonasa umbellus, Linnaeus) 2 – Chouette rayée (Strix varia, Barton) 3 – Plongeon huard (Gavia immer, Brunnich) 4 – Jaseur d’Amérique (Bombycilla cedrorum, Vieillot) 5 – Cardinal à poitrine rose (Pheucticus ludovicianus, Linnaeus) 6 – Tyran tritri (Tyrannus tyrannus, Linnaeus) 7 – Pluvier semipalmé (Charadrius semipalmatus, Bonaparte) 8 – Paruline à poitrine baie (Setophaga castanea, Wilson)
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MOT DE FIN Et voilà, c’est déjà la fin de cette première édition de 2021. Nous espérons qu’elle vous a plu. Préparer une édition du Jaseur Boréal prend toujours beaucoup de temps, mais c’est avec plaisir (et fierté) que nous, les 3 coordinateurs, travaillons d’arrache-pied pour vous préparer la plus belle édition possible. Nous essayons de rendre le Jaseur Boréal le plus représentatif et complet de la FFGG en intégrant des articles sur des sujets variés: des opérations forestières à la géomatique en passant par l’écologie. La prochaine édition du Jaseur Boréal est déjà en préparation (et oui !). N’hésitez pas à communiquer avec nous pour toutes questions ou pour nous transmettre votre article, texte, photographies, dessins, memes, etc. Au plaisir, Ann-Julie, Antoine et Myriam, coordinateurs du Jaseur Boréal Pour communiquer avec nous : antoine.harel.1@ulaval.ca
@Antoine Harel
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@Antoine Harel