Modèle : Mamadou
Photographe : Salomé Rateau
Modèle : Mamadou
Photographe : Salomé Rateau
Mesdames, messieurs, bienvenue dans notre safari des parcs parisiens, réserves naturelles exceptionnelles où vous pourrez apercevoir les plus beaux représentants de la faune locale. Oh, sur votre droite ! Voici un magnifique spécimen de "jogger", regardez la grâce avec laquelle il se déplace, cette foulée légère et cette splendide chevelure aérodynamique. En plus, nous sommes chanceux, celui-ci n’est pas un jogger occasionnel, il ne crache pas ses poumons et il a la semelle lisse...
Et là, sur le banc, chut, ne faites pas de bruit, vous risquez de l’effrayer, c’est une jeune lectrice ! De longues heures avec son livre à la main (un Amélie Nothomb ou un Virginie Despentes), la lectrice cherche avant tout le silence et le calme, donc évitez de manger bruyamment des chips à côté d’elle, elle risquerait de vous mordre ! Vers le point d’eau, un joyeux troupeau de fêtards qui n’a pas dormi depuis deux jours !
Confiseur
Directeur de Création
Graphistes
Stagiaire Graphiste
Office Manager
Assistante
Rédactrice en Chef
Secrétaire de Rédaction
Conseiller Éditorial
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Rédacteur·rice·s
Qu’ils sont attendrissants avec leur front en sueur, n’est-ce pas ? Et ici, un superbe exemplaire d’une petite mamie avec son caniche, il a l’air content Médor, il remue la queue le toutou... Un peu plus haut, mon Dieu, ce sont des "homo picnicus" ! Alors eux, ils ne se déplacent qu’en famille, le papa, la maman, la poussette, les enfants, ils sont très sympas jusqu’au moment où ils s’embrouillent parce que le mâle a oublié le tupperware de salade de pâtes à la maison. Et enfin, on vous a gardé le meilleur pour la fin. À la cool, à la fraîche, voici un lecteur du Bonbon. Voyez comme il est rayonnant, heureux d’être toujours connecté à sa ville et rassasié de bon plans ! Mais attendez une minute, en y regardant de plus près, ce lecteur du Bonbon, c’est vous, non ?
Bon mois de juin à vous tous les Bonbons, et célébrez l’arrivée de l’été comme il se doit ! � Mikado
Jacques de la Chaise
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Le Bonbon
15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040
Directeur des ventes
Benjamin Haddad
benjamin.h@lebonbon.fr 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
FRANZ FERDINAND • BECK (SOLO ACOUSTIC) • BENJAMIN BIOLAY
OFENBACH • SUBLIME (DISIZ X LUTHER X ROUNHAA) • SELAH SUE
BOOMBASS X ÉTIENNE DE CRÉCY X DJ FALCON • POLO & PAN
ZAHO DE SAGAZAN • ADÉ • HOT CHIP • HERVÉ • LUJIPEKA
CHARLOTTE CARDIN • WARHAUS • AIME SIMONE • AGAR AGAR
CHARLOTTE ADIGÉRY & BOLIS PUPUL • GABI HARTMANN
LESRAM • NUIT INCOLORE • H JEUNECRACK • JOHNNY JANE
EESAH YASUKE • JASON GLASSER • ALEX MONTEMBAULT
VIOLET INDIGO • OAN KIM & THE DIRTY JAZZ
Les vélos woom sont ultralégers et pensés pour les enfants jusque dans les moindres détails – pour les encourager à se dépenser à vélo tout en s’amusant. Découvrez les différents modèles et couleurs sur woom.com
On fête les 30 ans de la Grande Braderie de la Mode de AIDES
Avis aux chineurs en quête d’achats solidaires et de bons plans. Pour cet anniversaire, AIDES revient en force et met en vente aux Magasins Généraux de Pantin une collection printempsété à ne pas manquer. L’occasion parfaite de dénicher des pièces uniques à prix bradés jusqu’à -70%, tout en contribuant à lutter contre l’épidémie de VIH/sida. Prêt-à-aider ?
Grande Braderie de la Mode de AIDES
Magasins Généraux de BETC à Pantin Du 8 au 11 juin aides.org/braderie
On va explorer les croisements de l’art et du sport au Carreau du Temple
À moins d’un an des JO de Paris, le Festival
Jogging explore de manière innovante les croisements entre l’art et le sport. Pendant 5 jours, les 1800 m2 de la grande Halle du Carreau du Temple accueillent des spectacles qui interrogent et détournent les codes sportifs, une roller dance party, des cours de sport, des installations d’art contemporain… Une programmation qui invite à la créativité et au dépassement de soi, pour tou·te·s !
Festival Jogging 2023
Le Carreau du Temple
4, rue Eugène-Spuller – 3e
Du 28 juin au 2 juillet
Horaires et infos sur lecarreaudutemple.eu
Le Festival d’été du Cabaret Sauvage est de retour ! Depuis plus de 20 ans, le Festival d’été du Cabaret Sauvage laisse entrer le soleil sous le chapiteau le plus culte de Paris !
Avec une programmation choisie rien que pour vous, venez danser et vibrer aux rythmes des musiques actuelles du monde. Salif Keita, Amadou & Mariam, Tryo, Gnawa Diffusion ou encore Bonga et Pongo : dès la fin du mois de juin, le Cabaret Sauvage vous invite à parcourir le globe sans quitter Paris.
Festival d’été du Cabaret Sauvage
Parc de la Villette
59, bd Macdonald – 19e
Du 27 juin au 29 juillet 2023
On est toujours un peu sceptique des lieux trop populaires, alors forcément, il nous fallait découvrir la nouvelle adresse qui fait salle comble à chaque service depuis septembre dernier. Ce resto aux allures d’izakaya japonais, à moitié dedans, à moitié dehors, affole la capitale avec ses tacosushis, cette invention découverte par Axel lors d’un voyage aux États-Unis.
Dans une déco résolument nippone, entre les vieilles photos d’album de famille, les néons, les animes projetés sur les écrans et les toilettes japonaises, on jette notre dévolu sur la star du restaurant. Comme un taco mexicain mais avec une feuille nori ultra croustillante et qui tient bien en place (la recette a nécessité des mois de travail à Axel), le tacosushi se garnit d’un délicieux riz vinaigré et d’une recette au choix.
Le best-seller ? Le furuti, avec saumon et thon frais, avocat, mangue, tobiko orange, mayo japonaise, mâche, sésame et filaments de piment ; mais le petit préféré d’Axel, c’est le panko avec son pavé de saumon en tempura qui croque sous la dent. On accompagne ça, évidemment, d’une entrée typique comme le takoyaki, ce beignet de poulpe et copeaux de bonite séchés, ou de gyozas aux légumes qui réchauffent la gorge et le cœur. Enfin, ne partez pas sans avoir siroté une boisson maison : cette limonade genmaicha préparée minute en vaut la peine.
Véritable passionné du Japon et de sa pop culture depuis son plus jeune âge, il était évident pour Axel qu’il finirait par revenir à ses premières amours après plusieurs années d’expériences dans des maisons de luxe. Pari réussi : ouvert chaque jour midi et soir, le concept cartonne, le resto affiche complet, les collègues du quartier, les copains du soir et les familles du dimanche se régalent tous de ce taco pas comme les autres. Et on ne t’a pas dit le meilleur : le programme de fidélité est tellement incroyable qu’au 100e passage au resto, tu gagnes un aller/retour au Japon. Comme ça, pour le plaisir. Si ça ne finit pas de te convaincre… � S.S.
Noori
20, rue du Faubourg-Saint-Martin – 10e
Tél. : 09 87 30 63 58
Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30
@noori.streetfood · linktr.ee/noori.streetfood
Alerte gourmandise ! Voilà 8 mois seulement que Noori s’est installé à l’entrée de la rue du Faubourg-Saint-Martin et, depuis, l’adresse fusion nippone ne désemplit pas et remplit les estomacs de tout le quartier. Fichtre, quelle est donc cette folie Noori ?
Parfois, dans la vie, il suffit d’une rencontre. En l’occurrence celle entre Yoshika et Caroline, deux femmes touchantes lassées des habituels salons sombres et testostéronés. C’est ainsi qu’est née La Maison Yōso : un cabinet de tatoueuses et de tatoueurs où respect, bien-être et bienveillance sont les maîtres-mots.
En cet après-midi de mai, la lumière tape sur la vitrine de Yōso — fait suffisamment rare pour être notifié tant les salons de tatouage de la capitale et d’ailleurs sont nombreux à opter pour un shop sombre, rock et bruyant. C’est à se demander si on est au bon endroit, et pourtant si Yōso arbore fièrement des murs blancs et un espace zen, c’est bien parce que Yoshika, tatoueuse de longue date, et Caroline, recherchent le calme et la sérénité autant pour leurs tatoueur·se·s que pour leurs tatoué·e·s. Elles ont ouvert le cabinet, situé entre les Buttes-Chaumont et le canal de l’Ourcq, il y a désormais 8 ans, avec pour fondements : le talent, le professionnalisme, l’écoute, l’entraide et la bienveillance.
« On a démarré avec 6 tatoueurs et aujourd’hui nous sommes une équipe de 10 artistes résidents, 4 cowork’ink, et 2 espaces guests. Tout le monde est indépendant au sein du cabinet et a son propre univers artistique, mais surtout on fait tous partie de la société, souligne la multitâche et gérante Caroline. On a longtemps réfléchi à un système qui nous permette de nous serrer les coudes et qui soit juste pour tout le monde. Garder son indépendance tout en allant plus loin ensemble ! » Le bien-être au travail, c’est important, et ça se ressent. Les pâtisseries trônent sur la table, les plantes apportent un sentiment apaisant et nombreux sont les
clients qui poussent la porte du cabinet pour un premier tatouage « parce que ici, on se sent à l’aise ». Et ceux-ci sont toujours bien reçus, avec un premier rendez-vous d’abord avec l’artiste dont l’univers correspond, pour faire connaissance, échanger sur les goûts, les envies et répondre aux questionnements. Les dessins sont exclusivement des créations, permettant un lien plus fort entre tatoueur et tatoué et forcément, une marque unique sur la peau ! Quant à la séance en elle-même, elle a lieu dans l’un des boxes de la boutique ou de sa petite sœur attenante, Shimai, pour le respect de l’intimité et plus de tranquillité. Bref, on s’y sent bien.
À la sortie, flânez donc dans le petit salon de Yōso et sa partie galerie où des planches dessinées par les artistes sont accrochées au mur et où ont régulièrement lieu des expos. Peinture, photographie, graff… Notre petit coup de cœur ? Les porte-clefs au crochet en forme de vulve signés Julie Burton, la crocheteuse du métro. Un chouette lieu, des artistes talentueux·ses, de belles valeurs et un cœur gros comme ça, on dit oui. � S.S.
5, rue Euryale-Dehaynin – 19e
Ouvert du lundi au samedi de 10h à 18h contact@yoso.paris
@yosoparis · yoso.paris.fr
Si comme nous vous rêvez d’évasion, embarquez pour une balade dépaysante dans un quartier aux airs de mini-village perché. Avec l’arrivée de l’été, on file (re)découvrir nos chères Buttes-Chaumont à travers quelques-unes de nos adresses préférées. �S.S.
Le jardin de la butte Bergeyre
On commence notre balade par la découverte d’un havre de paix inattendu. Niché en haut de la butte Bergeyre, surplombant les vignes, voilà un petit jardin partagé accessible à tous les Parisiens. On adore s’y poser la journée avec le chant des oiseaux et un bouquin. Il faut dire que ses fleurs, ses plantes aromatiques et ses bonnes odeurs en font un vrai petit paradis !
78, rue Georges-Lardennois – 19e
Honorati
Vous avez faim ? Ça tombe bien, on vous embarque chez Honorati, une épicerie où Francesca et Christina préparent de délicieux sandwichs à base de focaccia et de produits tout droit venus d’Italie. Au menu ce jour-là : une focaccia ultra moelleuse, farcie d’une délicieuse burrata, quelques tranches de
mortadelle, de la roquette et un filet d’huile d’olive. Décidément, on adooore cet endroit ! 7, rue Armand-Carrel – 19e
La Mouzaïa
Pour digérer, direction le quartier de la Mouzaïa. Ses allées pavées et ses petites maisons colorées en font l’un des endroits les plus mignons de la capitale ! Un petit bout de campagne dans lequel on se perd volontiers lors de journées ensoleillées.
Le quartier de la Mouzaïa – 19e
Julo Paris
Et si je vous emmenais prendre le goûter dans un lieu caché ? Un atelier de pâtisserie insolite où Charles confectionne d’incroyables douceurs. Saison oblige, on opte pour un fraisier de compétition à base de crème pâtissière à la vanille de Tahiti et de ganache au chocolat blanc. Évidemment tout est fait maison et avec passion. Ici, pas de boutique, on commande directement sur Instagram et c’est certainement ce qui fait son charme. Bon week-end les gourmands !
Pâtisserie élégante cachée dans le quartier Commande en MP sur Insta @julo_paris
Le printemps touche à sa fin et laisse place à l’été. Les journées rallongent, le soleil nous fait profiter de ses lueurs un peu plus chaque soir et nous invite à nous balader, en quête d’une terrasse ou d’un coin d’herbe. Pourquoi ne pas s’offrir une escapade à Hawaï pour les vacances ? En attendant de concrétiser notre rêve, on se replonge dans l’histoire de la marque de rhum épicé Sailor Jerry. On vous raconte tout.
Vous connaissez Sailor Jerry ? Les adeptes du tatouage nous diront « mais oui, c’est le nom d’un immense tatoueur, Norman Collins, considéré comme le père du tatouage old school, qui vivait à Hawaï et qui a tatoué de nombreux militaires là-bas ». Mais dites donc, c’est que vous êtes fort ! Oui, vous avez raison, c’est bien lui. Mais l’iconique tatoueur a également donné son nom à une marque de rhum épicé née il y a plus de 20 ans, qui rend hommage à son travail.
De la Hula girl aux images de l’île hawaïenne et du gazon volcanique de Diamond Head dessinés sur le devant de la bouteille en passant par les emblématiques flash tattoos qu’on peut trouver au dos de l’étiquette, tout est fait pour rappeler le style de Norman "Sailor Jerry" Collins. Ancres, pin-ups, hirondelles… La marque de rhum a repris les dessins phares du tatoueur pour habiller sa bouteille.
Avec ses notes gourmandes de cannelle, de vanille et de noix de muscade, Sailor Jerry est plébiscité par les bartenders pour sa qualité
supérieure et son authenticité, et s’est vu décerner de nombreuses récompenses. Il a notamment reçu quatre fois la médaille d’or au concours Rum Masters, aux États-Unis. Au nez, il dévoile un parfum doux et suave, avec des notes de caramel au beurre salé et de vanille. En bouche, on découvre des accents boisés avec des notes de mélasse, aux saveurs subtiles de café et de cacao, qui nous laissent un goût à la fois frais et épicé. Vous l’aurez compris, c’est un spiritueux complexe qui a déjà séduit de nombreux amateurs de rhum. Mais Sailor Jerry est aussi délicieux en version cocktail.
Nos préférés ? Le Sailor Mule, un mélange de rhum épicé, jus de citron vert et ginger beer ; le Jerry’s Daiquiri, au jus de fruit de la passion, sirop de vanille et jus de citron vert ; et enfin le Sailor Punch, à servir avec du thé glacé et du jus de citron. Des recettes faciles à réaliser et très rafraîchissantes, que vous pouvez retrouver sur le site internet de Sailor Jerry, ou à l’occasion de la Sailor Jerry Can Factory. La marque part ainsi en tournée dans les établissements de la côte ouest pendant tout l’été pour vous faire découvrir ses cocktails. Préparés et réalisés sur place, les cocktails sont servis dans des cannettes artistiques au design unique, exclusif et collector. � A.C.
Pause / 6et7
Il lui aura fallu du temps. Après des années à composer, travailler, peaufiner et recommencer, entre des passages dans la bande-son d’Emily in Paris ou la pub mondiale Lancôme, Ehla publie ce mois-ci, enfin, Pause, son premier album. Une revanche sur la vie pour la plus nostalgique de la plus nostalgique de tes copines qui s’inspire des plus grands, vibre pour Kaytranada ou Janet Jackson époque 90’s et qui, de sa voix de velours, se livre avec la pudeur et la force d’une femme de son époque : sans filtre. Ce n’est que le début. � S.S.
Elha
Déjà disponible
Mon Musée Imaginaire
Avec ce livre autobiographique et dessiné, Claire Le Men nous embarque dans une histoire de l’art décomplexée et sensible, à travers son “musée imaginaire”. Au fil des pages, on rencontre les œuvres favorites de l’autrice, et on s’interroge sur leur rôle, leur fonction, leur signification sociale… L’occasion de se plonger dans une lecture passionnante qui revisite des centaines d'œuvres, des mouvements artistiques, des réflexions personnelles pleines d’émotions.
� M.S.
Claire Le Men Éditions La DécouverteS’allonger sur l’herbe, profiter des beaux jours, lire un bon bouquin ou s’écouter un album tout neuf, tout frais… Voilà à quoi ressemble notre programme du mois de juin, plein de journées ensoleillées, d’après-midis au parc et de joues rosées. Pour ceux qui voudraient faire comme nous, on vous dévoile nos coups de cœur du moment, à dévorer dedans comme dehors, seul·e ou accompagné·e.
Cyclique
Le cycle menstruel est un mystère à lui tout seul. Syndromes en tout genre, douleurs, hormones, ovulations, règles… Toutes ces petites choses qui tracassent le quotidien, mais qui peuvent être apaisées grâce à l’alimentation. Voilà tout le propos de Cyclique, le petit guide complet et bienveillant qui nous aide à vivre notre cycle en douceur. Avec une partie dédiée à la naturopathie et une cinquantaine de recettes variées, ce bouquin va devenir votre nouveau compagnon de vie.
� M.S.
Julie Lannot
Éditions Hachette
Aupitape 1 : Hortensia / BMG
Depuis les Inouïs du Printemps de Bourges, Aupinard ne cesse de faire parler de lui. L’artiste autodidacte compose comme il vit, au jour le jour et avec une méchante envie d’évasion. Avec « C’est tout moi », le tout jeune et très prometteur revisite la bossa nova et gagne le cœur d’un public déjà conquis. À écouter plusieurs fois et à suivre de près.
� S.S.
Aupinard
Déjà disponible
Devenue en quelques années une véritable institution de la nuit parisienne, la Casbah est dans mon cœur et sera bientôt dans le vôtre. Cette adresse nocturne où jouer des coudes, refaire le monde avec des inconnus et taper du pied sur le dancefloor est le réflexe à avoir quand on veut passer une bonne soirée.
Parfois, le soir, j’enfile mes fringues préférées, ou les autres quand celles-ci sont au sale, et je file rue de la Forge-Royale. Je tape deux-trois bises, je siffle un Moscow Mule revisité avec du mescal infusé au thé à la menthe, au thym et au romarin, et je m’attable au restaurant du rez-de-chaussée pour dévorer une succession de petites assiettes comme eux seuls en ont le secret. Après ça, je descends deux-trois marches, et me voici à me trémousser d’un pas de danse assuré sur le dancefloor paré de mille boules à facettes (au moins). Parce que c’est ça, la Casbah : un lieu de copains, pensé pour les copains, qui combine une bonne ambiance, un dancing de qualité et un resto oriental 2.0 pour manger en faisant la fête. Voilà.
Avec ses airs de hammam d’époque, le haut lieu des années 90 retapé il y a quelques années ne ressemble à aucun autre club parisien. La programmation du dancing signée Benjamin Belin (ex red’ chef de Saywho et fêtard invétéré) donne lieu à des souvenirs improbables et, pour la plupart, flous, entre 22h30 et 5h du matin. La faute aux transitions endiablées, à mon engouement pour n’importe quelle chanson de Britney, à la sélection de vins vivants et toujours ce Grand Casbah qui traîne entre mes pattes, quand ce n’est pas son petit frère en version shooter. Heureusement, il y a de quoi se sustenter, et franchement, qui n’a jamais eu envie de dîner à pas d’heure sans quitter le club ? Le chef Yves s’éclate en cuisine — et nous éclate l’estomac par la même occasion — en proposant jusqu’à 00:30 des tacos végé, du houmous, labneh, baba ganouch, poireaux mimouna… Et le mercredi, c’est soirée spéciale avec couscous party, karaoké piano jukebox et miniclub. On pourrait vous en parler encore longtemps, mais pour tous les souvenirs, toutes les rencontres, toutes les anecdotes et les heures passées au fumoir, au comptoir ou sous les stroboscopes, on ne vous dira qu’une chose : la Casbah, ça ne se raconte pas, ça se vit. � S.S.
La Casbah
20, rue de la Forge-Royale – 11e
Tél. : 01 88 33 41 78
Du mercredi au samedi de 19h30 à 5h @lacasbah.paris
Envie de partir une semaine à Marseille sans dépenser un sou (ou presque) ? Vous devriez vous intéresser à l’échange de maison. Entre économie, confort et convivialité, ce mode de vacances semble remporter tous les suffrages auprès des Parisien·ne·s, qui sont nombreux à l’avoir adopté, et surtout des familles.
Chaque année, lorsque vient le moment de partir en vacances, c’est toujours le même casse-tête. Hôtel, Airbnb, club de vacances, maison en location… Il faut s’adapter au lieu, au nombre de personnes qui vous accompagnent, mais aussi au rythme de vos vacances. Et lorsqu’on est accompagné de toute sa petite famille, ça devient encore plus compliqué. Faut-il emmener la chaise et le lit de bébé ? Doit-on prévoir les draps et serviettes de bain ? La location est-elle munie d’une cuisine équipée ? Autant de questions qui génèrent du stress et qui font surtout monter les prix.
Car si l’épidémie de Covid-19 semble désormais lointaine, l’inflation vient à son tour bousculer les projets de vacances des Français·es. À tel point qu’elle est devenue une véritable préoccupation pour près de 77% des vacancier·e·s*, selon le baromètre des vacances d’été 2023. Si 3 Français·es sur 4* comptent tout de même voyager entre les mois de juin et septembre, leur budget reste sous surveillance. C’est la raison pour laquelle de nombreux voyageurs ont fait le choix de l’échange de maison.
Une relation de confiance entre voyageurs Échanger son logement contre celui d’un·e autre pour les vacances paraît assez simple à faire sur le papier. Mais qu’en est-il de la réalité ? Comment trouver les bonnes personnes avec qui échanger sa maison, et surtout comment avoir confiance ? Pour accompagner les voyageur·se·s et faciliter la recherche de logements, de nombreuses plateformes ont vu le jour en ligne : Home Exchange, Love Home Swap, Intervac, SwitchHome, et d’autres encore. Ces sites permettent de mettre en relation les utilisateur·rice·s qui souhaitent échanger leur maison, en toute confiance. C’est en tous cas la
promesse vendue par chacun d’entre eux. Thibaut et Mallory, un couple de Belges récemment installés à Paris, ont été conquis dès leurs premiers échanges : « Au début on se pose beaucoup de questions, on a peur de ce que les autres pourraient faire à notre maison, on pense aux dégradations, aux vols, et même au simple fait que notre intimité puisse être violée. Mais une fois qu’on s’est lancés, on s’est vite rendu compte qu’on avait très peu de souci à se faire. » Les deux trentenaires assurent ne jamais avoir rencontré de souci au cours de leurs échanges. Enfin si, un seul : « Un jour, on a eu un petit groupe qui est reparti sans avoir nettoyé l’appartement. Ça nous avait vraiment
embêté sur le coup, car on n’était pas habitués à ça, mais avec du recul, ce n’est vraiment pas grand-chose. Ça n’a clairement pas suffi à nous dégoûter ! »
De la même façon, Judith, qui a déjà 4 échanges à son actif, explique cette confiance mutuelle en raison de la réciprocité de l’échange : « vu qu’on va les un·e·s chez les autres, on est moins inquiet·e·s à l’idée de laisser notre maison, car on sait que les autres ne feront pas chez nous ce qu’ils ne veulent pas qu’on fasse chez eux. Il y a un respect mutuel. »
Pourtant, les échanges ne sont pas toujours réciproques. Sur la plupart des plateformes disponibles en France, il est possible d’accueillir des gens chez soi, sans aller directement chez eux en échange, ou inversement. En échange, on cumule un certain nombre de points qui pourront être réutilisés pour partir, à un autre moment, dans la maison de quelqu’un d’autre.
Ces derniers sont attribués en fonction de la valeur de votre maison : nombre de couchages, équipements, emplacement… Plus votre logement est proche de sites touristiques populaires, plus il sera cher. Une aubaine pour les Parisien·ne·s, qui peuvent facilement échanger un appartement situé en plein cœur de la capitale contre une maison de campagne, plus grande et potentiellement mieux équipée, mais équivalente en termes de points.
Bref, l’échange de maison, ça ressemble un peu à la location entre particuliers, mais gratuitement… enfin presque ! Les sites d’échange demandent un abonnement annuel, qui varie entre 100 et 150€ selon les plateformes, et qui vous donne accès en illimité au troc de maison. Quand on sait que c’est le prix moyen d’une seule nuit d’hôtel à Paris… Le calcul est vite fait, surtout quand on est en famille. Joséphine, maman de deux enfants dont un en bas âge, affirme que l’échange de maison lui permet de voyager plus léger :
fait toujours en sorte de choisir des maisons de famille, où il y a déjà tout à disposition pour un bébé ou des enfants. Ça nous évite de voyager avec les draps, les serviettes, les jouets, le lit pliant, etc. »
De belles rencontres en perspective
Au-delà de ses avantages pratiques et économiques, l’échange de maison permet de partager et d’échanger avec d’autres personnes, et parfois même de faire de belles rencontres ! Thibaut et Mallory ont d’ailleurs fait la rencontre d’un couple de Canadiens à la retraite, qu’ils comptent aujourd’hui parmi leurs amis chers : « c’était un gros voyage qui a nécessité beaucoup de préparation et donc beaucoup d’échanges avec nos hôtes. Ils sont restés quelques jours après notre arrivée sur place et logeaient chez des amis, le temps de prendre l’avion pour aller chez nous. On a donc eu l’occasion de se faire quelques restaurants ensemble, ils nous ont montré le coin et ont pu nous faire visiter leur maison en personnes. C’était vraiment chouette et nous sommes toujours très liés avec eux, plus de 3 ans après.
Joséphine explique quant à elle que l’échange avec des particuliers lui a permis de voyager sans limite, vers des destinations auxquelles elle n’aurait pas forcément pensé toute seule : « un jour, une famille qui vivait à Stockholm nous a proposé de faire un échange réciproque car ils voulaient venir à Paris. Je n’avais jamais imaginé voyager là-bas, car j’ai toujours été plus attirée par les pays du sud, mais on a accepté, et ça a été l’une des plus belles surprises de ma vie. Nous avons adoré notre voyage là-bas. »
de maison semble visiblement cocher toutes les cases pour des vacances de rêve. Il nécessite néanmoins un certain investissement de la part des hôtes. « Il faut préparer sa maison comme si on allait la louer, car on veut qu’elle soit la plus
propre et la plus accueillante possible pour les gens avec qui on échange. Et la plupart laissent également des petites attentions, des cadeaux de bienvenue, comme si on accueillait des amis ou de la famille », affirme Judith. Aucune obligation certes, mais tous l’affirment, il est important que chacun se sente comme chez soi. En tout cas, les Parisien·ne·s semblent conquis·es : l’Île-de-France figure parmi les régions françaises où il y a le plus d’échanges, notamment sur la plateforme leader HomeExchange, qui compte plus de 7 700 membres franciliens. La capitale est encore la destination la plus prisée par les échangeur·se·s, devant le Finistère et les Bouches-du-Rhône, et s’apprête à accueillir près de 3 000 voyageur·se·s de ce type cet été. � Texte : Auriane Camus
(*) Source Ipsos / Europ Assistance
Pour aller plus loin :
· Mon expérience en échange de maison, un podcast de Be Frenchie
· Échanger sa maison - Le nouvel esprit du voyage de Pascale Senk et Martin Rubio aux Éditions des Équateurs
« Ça a été l’une des plus belles surprises de ma vie »
35 ans de carrière, 10 albums et 40 millions de disques vendus. Les chiffres de la légende Texas font tourner la tête, et pourtant, Sharleen Spiteri, leadeuse du groupe mythique, reste la même femme drôle, fraîche et sincère. Pour célébrer une carrière rondement menée, le groupe publie son premier best-of renfermant ses plus gros hits et deux inédits… Et comme toujours, un échange avec la plus texane des écossaises laisse sur notre visage un sourire non dissimulé.
Il y a deux ans, tu me disais que tu vivais chaque jour un peu plus que le précédent. C’est toujours le cas ? Tu as l’impression de continuer à apprendre aujourd’hui encore ?
Quand vient le moment où tu n'apprends plus, tu peux te donner un coup sur la tête et abandonner. Bien sûr qu’on apprend jusqu'au jour où l'on meurt, et c'est ce qu'il y a de plus excitant ! On apprend de nouvelles compétences, on rencontre de nouvelles personnes, on a d’autres conversations... C'est excitant, ça te fait te sentir vivant. J'ai récemment appris à jouer de la batterie, comme je le fais dans le nouveau clip d’« After All ». J’en avais déjà fait un peu en répét mais jamais tout un solo en entier.
Johnny, du groupe, m’a dit : « Pourquoi pas ? ». Alors j'ai appris et j'ai tellement aimé, c'était tellement amusant.
Tu fais ressortir le Dave Grohl en toi !
Dave Grohl et Clem Burke, après tout, j'ai sa coupe de cheveux. C'est drôle parce que j'ai toujours eu une relation d’amour/haine avec les batteurs car ils sont hyper importants pour un groupe. Il y a ceux qui jouent plus fort que les autres instruments et les voix, et puis il y a ceux qui fédèrent un groupe et donnent cette connexion avec les battements du cœur, avec le pouls et avec le sang qui coule dans nos veines. Quand tu entends un bon batteur, tu te sens d’un coup tellement vivant, comme si tout était à sa place.
C’était quoi ton année préférée dans ta vie ?
1997, c’était une excellente année pour nous car on a sorti White on Blonde et c'est à ce moment que Texas a vraiment explosé. On est passé
d'un groupe à succès à un tout autre niveau, des tubes, des tubes et encore des tubes ! Nos vies ont changé et la façon dont les gens nous voyaient aussi, donc c'était une année très mémorable.
Est-ce qu’il y a eu un moment où tu t’es dit « ok, je veux faire des tubes » ?
Dès le premier jour, la première chanson que j'ai écrite, je voulais en faire un tube. N’importe qui qui prétend que ce n'était pas son intention ment, toute personne qui enregistre un disque veut qu’il ait le plus grand succès possible, et ils mentent s'ils disent le contraire.
Je sais que pour être sûre de ta nouvelle musique, tu l'écoutes en cuisinant. Tu continues à fonctionner comme ça ?
J'écoute toujours les mixages quand je cuisine ! C'est toujours très important pour moi d'écouter de la musique en faisant des choses normales
de la vie. Si je me concentre uniquement sur la musique, je ne l'écoute pas de la même manière que si je l'écoutais à la radio. Alors je me mets à la place des auditeurs. Parfois je les écoute aussi dans la voiture.
C’est quoi ta plus grande réussite ?
Ma fille. Je sais que c'est ce que tout le monde dit quand ils ont des enfants, mais c'est vrai ! C’est une fille super, gentille et que j'apprécie en tant que personne. Elle me rend fière. Il y a eu une période entre 14 et 16 ans où je ne l'aimais pas et je me disais : « Oh mon Dieu, je déteste ma fille, qu’est-ce que j’ai fait de mal ? », mais elle a fini par redevenir qui elle était, et je me suis dit : « C'est elle, c'est celle que j’aime ».
Alors cuisiner un album c’est comme cuisiner un bon repas en famille ?
Bien sûr, je compare souvent le fait de faire de la musique à la cuisine. Cuisiner, c'est suivre une recette, savoir s'il faut un peu plus de ceci ou un peu plus de cela. Et ça a toujours été mon argument avec les gens qui écoutent de la musique en streaming et ne prennent pas le temps d'écouter des albums. Quand on va à un buffet à volonté, on pense que c'est super et qu’on peut manger autant qu’on veut, avant d’être malade parce qu’on a fait des mélanges improbables. Alors qu’un chef, lui, réfléchirait à ce qui va ensemble. C'est exactement la même chose avec un disque. Quand je sors un nouvel album et que les gens adorent la chanson n°5, tu sais pourquoi ils aiment la chanson n°5 ? Parce qu’on a travaillé dessus pendant deux ans avant qu’ils l’entendent.
Quand tu regardes en arrière sur 35 ans de carrière et tous ces succès, c’est quoi ton sentiment ?
La fierté ! Je suis tellement chanceuse de pouvoir me coucher le soir, poser ma tête sur l'oreiller et me dire que je fais un métier qui était un rêve. C'est quelque chose que je n'aurais jamais imaginé faire, et me voilà, 36 ans plus tard, à le faire encore et à en vivre
« Dès le premier jour, la première chanson que j'ai écrite, j'ai su que je voulais en faire un tube. »
très bien, ce qui me permet d'avoir un mode de vie agréable.
Cette compilation, c'est un petit plaisir coupable que tu t'accordes ? Une manière de regarder en arrière et voir le travail accompli ?
Il y a cet aspect, mais il y a aussi l'aspect de proposer un best-of pour attirer une génération qui ne connaît pas Texas. Tu vois, on tourne en festival tout l’été, et certaines personnes qui ne sont pas
des fans de Texas pensent ne pas connaître nos chansons, mais quand on en joue une, elles la reconnaissent, et puis une autre, et elles la reconnaissent aussi... Et là, elles se rendent compte qu'elles étaient des enfants assis dans la voiture de leur maman en allant à l'école quand Texas était au sommet, et que tout leur semble familier. Ce best-of, c’est ça : introduire une nouvelle génération à ta musique.
� Texte : Sarah Sirel
Texas - The Very Best Of 1989 - 2023 / Pias Sortie le 16 juin 2023
© Julian BroadToutes les planètes sont alignées pour votre bonheur. Comme si tout le cosmos et l’histoire humaine n’avaient existé que pour ce moment là, et juste pour vous. Vous rayonnez. En revanche, petit problème d’haleine après le 11, faites-vous détartrer.
Tranquillou bilou les Gémeaux, vous êtes bien, vous n’avez pas de souci, en plus vous êtes dans votre période, raison de plus pour ne rien faire pour que ça aille mieux… Et à vrai dire vous n’en avez pas besoin… Vous avez un succès fou, vous allez pécho comme jamais !
Qu’est-ce que vous avez comme chance ! On n’a jamais vu des nouilles déborder de fesses comme ça. Argent, santé, travail, vous pouvez vous lever et fermer les yeux, tout va couler. Bon ceci dit, beaucoup d’entre vous vont avoir évidemment de petits problèmes, ne prenez pas tout pour argent comptant.
Vous vous reposez sur vos acquis. Et là, il serait temps de vous en rendre compte et de remettre les acquis à jour parce que sinon la note va être salée. Si vous décidez néanmoins de continuer ainsi comme une grosse feignasse, dites-vous que vous pouvez vous rassurer avec votre santé, elle est excellente.
Vous faites cavalier seul ce mois-ci. Certains prendront ça pour de l’égoïsme, mais laissez-les penser ce qu’ils veulent, vous avez besoin de ce temps pour vous. Que ce soit pour des vacances ou pour développer une nouvelle idée, prenez ce temps, il sera profitable.
Vous êtes en galère de thune ce mois-ci. Vous allez tout essayer mais rien n’y fait, vous êtes trop pur·e pour ce monde. Niveau boulot, c’est cool, vous allez enfin réussir à vous faire bien voir. Mais ce n’est pas non plus suffisant pour demander une augmentation. Dommage.
C’est l’été de la folie. Vous êtes une véritable pile électrique. Comme toujours, je vous conseillerai, si vous êtes seulement capable de m’écouter, de calmer le jeu et de tourner 7 fois votre langue dans votre bouche, vous risquez quelques péripéties à vous lâcher de la sorte.
Rétrograde pour les Sagittaires. Vous allez passer un sale mois de juin, c’est moi qui vous le dis. Alors barricadez-vous, avec la clim’ ou des ventilos tout de même, et assurezvous que vous traitez bien vos amis, vos collègues, amants et maîtresses comme il convient, parce que je sens de la traîtrise…
Vous allez avoir de la chance. Bien entendu vous n’aurez pas tous la même, certains vont trouver 5 balles alors que d’autres vont rencontrer l’amour. Ce sont les aléas de l’horoscope. Ce qui est sûr, c’est que vous allez être heureux·se, et faire des heureux·ses.
Léna Mahfouf
Vous vous êtes bien amusé·e en ce début de printemps, voici le temps du bilan, et du repos. Vous êtes fatigué·e, et ça tombe bien, car on n’a plus besoin de vous. Au travail, vos amis et vos médecins vous ont suffisamment vu là. Mais ne vous en faites pas, ils seront de retour en juillet.
Jennie Kim
Vous confirmez votre réputation. Intraitable, professionnel·le, carriériste… Mais cet été, ça ne passe pas auprès de vos collègues. Eh oui, le monde a changé, terminé les mails assassins et les sourires de façade, tout le monde vous a grillé·e ! Sinon l’amour ça va super ! Heureusement.
Vous allez gagner de l’argent. Vous avez le nez fin, faites-vous confiance, vous flairez les bonnes affaires. Dans cette dynamique, vous allez vous faire de nouveaux amis, faites-leur confiance, même si ils s’appellent Sylvain.
Un très très très très joyeux anniversaire à Raph et Flora
Je t’aime mon Amour d’Amour
Charles on pense bien à toi.
Ciao notre Christchine, tu vas nous manquer fort ! Ta rédac'
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Pensée pour Christopher qui nous a quitté beaucoup trop tôt. Une âme si douce.
Trop hâte de rencontrer ta famille mon cœur
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Très bel anniversaire Cécile, je t’aime fort. Julien
Courage ma Princesse Je suis avec toi de tout mon coeur.
Laurence de Magalhaes & Stéphane Ricordel
Miet Warlop • Lina Majdalanie
Rabih Mroué • Gaia Saitta
Giorgio Barberio Corsetti
Emma Dante • Patricia Allio
Fouad Boussouf • Yuval Rozman
Matthieu Gary • Martin Fourcade
Matthieu Cruciani • Kery James
Marc Lainé • Étienne Saglio
Jérôme Bel • tg STAN
Céline Fuhrer • Jean-Luc Vincent
26000 couverts
Frédéric Ferrer
Philémon Vanorlé
Lola Lafon
Munstrum Théâtre • Louis Arene
Lionel Lingelser • Yann Verburgh
Lucas Samain
Le Birgit Ensemble
Jean-François Sivadier
Mazarine Pingeot • Léonie Pingeot
Christophe Alévêque
Tiago Rodrigues
Thomas Quillardet
Juan Ignacio Tula • Marica Marinoni
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Sébastien Davis • Bertrand Belin
Superpoze • Marie-Sophie Ferdane
Sharon Eyal • Gai Behar
Marlene Monteiro Freitas
Constance Debré
Hugues Jourdain • Arnaud Hoedt
Jérôme Piron
David Geselson
Akoreacro • Pierre Guillois
Danny Ronaldo • Pepijn Ronaldo
Sophie Perez • Le Zerep
Sidney Pin • Kami • Bee D
saison 23–24
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