LYON PEOPLE Décembre 2024

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SHOPPING DE LUXE LES GOURMANDISES DES HALLES

Parc des Oiseaux

Boutique FRED - 91, rue du Président Edouard Herriot, Lyon 2ème

L’AGRESSION

DE CÉCILE SIMÉONE

VA-T-ELLE SONNER LE RÉVEIL DES DÉCIDEURS ?

Le coup de poing donné par un cycliste (photo ci-dessus) au visage de Cécile Simeone, l’ancienne miss météo de Canal+, a entraîné des réactions en chaîne dans l’ensemble du microcosme lyonnais. Nous déplorons, depuis plusieurs mois, la torpeur et l’absence de soutien des dirigeants économiques aux acteurs du commerce, de l’artisanat et de la restauration lourdement impactés par les absurdités écologistes (lire à ce sujet la terrible interview des patrons d’Argenson, page 30). Leur réveil a-t-il enfin sonné face à l’ampleur des protestations ? Révélée sur notre site internet, l’agression de la décoratrice oullinoise a en effet été reprise par tous les médias locaux et nationaux, accompagnés de centaines de commentaires allant à 90% dans le même sens, à savoir le ras le bol généralisé contre les incivilités des cyclistes, et les autoroutes à vélos. Même le vélocipède amateur Fabien Bagnon, à peine remis (moralement) de sa ridicule chute, a été contraint de réagir pour demander que justice soit rendue à la décoratrice.

Le premier décideur lyonnais à s’opposer frontalement aux Verts

Jean-Michel Aulas a réagi sur X (ex Twitter) en rejouant le derby (politique) contre les Verts. Dans un post repéré par Actu Lyon, l’ancien président de l’OL a dénoncé les passages en force des commissaires politiques écologistes Bruno Bernard et Grégory Doucet et leur obsession tout-vélo, responsable du chaos lyonnais. « Cet incident est très symptomatique de ce qui se passe à Lyon en matière de sécurité, le manque d’analyse et de concertation dans les décisions liées à la circulation et la protection de nos commerçants et conducteurs de voitures démunis devant ces changements non régulés » a taclé l’ancien boss de l’Olympique Lyonnais. Connu pour son franc-parler, Jean-Michel Aulas ose (enfin) dire tout haut ce que tous les décideurs lyonnais pensent tout bas. Sa franchise tranche avec les messes basses de la classe dirigeante économique qui n’ose toujours pas prendre la défense des commerçants et des habitants bientôt emmurés dans la Presqu’ile, avenue des Frères Lumière, route de Genas ou derrière le stade de Gerland.

Marco Polisson Rédacteur en chef

Expédié en 48h

Emballage anti-casse

Livré à domicile

DÉCEMBRE

06 LA VIE LYONNAISE

10 LA VIE JURIDIQUE

12 LA VIE POLITIQUE

16 LA VIE CULTURELLE

18 LA VIE GASTRONOMIQUE

22 DOSSIER GASTRONOMIE HALLES DE LYON

34 LE CAFÉ DES LYONNES BLANDINE PEILLON

36 DOSSIER SPECTACLE PARC

47 DOSSIER SPÉCIAL

74 MEGÈVE PEOPLE

78 STYLE SHOPPING

90 STYLE GASTRONOMIE

92 PEOPLE SPORT OL — SAINT-ÉTIENNE LOU — CLERMONT

97 PEOPLE EVENTS LES 15 ÉVÈNEMENTS

QU’IL NE FALLAIT PAS MANQUER

122 CARNET MONDAIN

Lyonpeople.com n°255 - Décembre 2024

Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler

Couverture : Spectacle Parc des Oiseaux par Allumeurs de Rêves

Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com

Directeur de la rédaction Marc Engelhard

Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com

Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com

Journalistes Margot Nourry, Philippe Lecoq, Jocelyne Vidal

Directeur artistique Ghislain Laîné - ghislain@lyonpeople.com

Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com

Directrice de clientèle Sophia Jeannot - sophia@lyonpeople.com

Chef de publicité Flavie Laforêt - flavie@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43

Directrice du TOP 500 des Lyonnais Maison Clémence Bricon

Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com

Assistante commerciale Camille Megido - camille@lyonpeople.com

Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com

INSTALLATION HÔTEL

BARS D’AMBIANCE DISCOTHÈQUES

RESTAURANTS

Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Karine Bourgain, Bertrand Perret

Ont collaboré à ce numéro Laurette, Alexandra Carraz, Odile Mattei, Jocelyne Vidal, Lou-Ann Girardet Pauline Morasz, Jacques Bruyas, Philippe Lecoq, Jean-Marie Nauleau, Christian Mure. Diffusion Agence Coyote Diffusion

Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique à partir du site lyonpeople.com

Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.

100 000 lecteurs tous les mois

Etude Médiamétrie 05/2005

Lyon People est certifié par 139, rue Bugeaud - Lyon 6e Tél. 04 72 82 97 78

SALLES DE CONFÉRENCES

PRESTATION

ÉVÉNEMENTIEL CONGRÈS INAUGURATION SÉMINAIRES LANCEMENT DE PRODUITS

GROUPE EUROSONO LYON

Parc d’Yvours, bat. B9

2, rue d’Yvours - 69540 IRIGNY

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55, route de la filière - 74370 Charvonnex

Tél. 04 72 44 34 34 Fax 04

CAMPING SAUVAGE LA PLACE BELLECOUR BIENTÔT DÉFIGURÉE

Textes : Marco Polisson – Illustration Ville de Lyon

C’était une promesse de campagne des écologistes : transformer Bellecour en jardin ou en annexe du parc de la Tête d’Or. A l’arrivée, c’est encore beaucoup plus grave et affligeant qu’annoncé. La paupérisation de Lyon est en marche, et gagne désormais tous les espaces urbains, même ceux qu’on pensait sanctuarisés. Bellecour est de ceux-là. L’ancienne place royale est en passe de se transformer en aire de pique-nique géante pour les consommateurs des fast-foods et des kebabs de la rue de la République. On connaissait déjà le projet d’aire de pique-nique autoroutière annoncée pour la rue de la République piétonnisée. On connait désormais à quoi ressemblera la place Bellecour « végétalisée ». Présentée à la presse, la forêt promise lors de la campagne municipale de 2020 « se compose de voilages et de structures en bois, hommage aux métiers à tisser des Canuts » dixit, sans rire, l’éphé(maire) de Lyon. Les végétaux annoncés ont laissé place à un improbable caravansérail entoilé qui défigure la place de part en part.

AU LIEU DE PLANTER DES ARBRES, IL FAUDRA EN RASER UNE CENTAINE POUR FABRIQUER CES TENTES.

Intitulée « Tissage Urbain », cette installation de tentes signée Tristan Israel et Romain Froquet est promise pour l’été 2025. Elle complètera parfaitement le jardin d’enfants déjà installé sur la rive droite du Rhône, devenu la risée des internautes. Edifié pour plusieurs dizaines de milliers d’euros, elles sont déjà victimes du vandalisme. On peut imaginer que le même destin touchera cette installation, comme ce fut le cas pour le socle de la statue de Louis XIV, quelques jours après sa rénovation. Mauvais goût et mauvaises manières. Comme il est désormais d’usage chez les écologistes, le projet qui touche l’épicentre du 2ème n’a fait l’objet d’aucune concertation avec le principal concerné : le maire de l’arrondissement qui n’a pas tardé à réagir. Dans un communiqué, Pierre Oliver exprime « son opposition ferme au projet de réaménagement de la place Bellecour porté par Grégory Doucet et son équipe écologiste. » « Des risques accrus de squat et de trafic sous les fenêtres des riverains. Ce projet, d’une ampleur financière démesurée et d’une conception déconnectée des besoins réels des Lyonnais, suscite une profonde inquiétude quant aux conséquences sécuritaires que cette installation pourrait engendrer » poursuit le maire du 2ème qui « demande solennellement au Maire de Lyon de retirer ce projet déconnecté des attentes des Lyonnais. » Coût de la plaisanterie : 1 600 000 euros.

> À lire sur notre site web : La place Bellecour pour les nuls (écologistes) par l’historien Jean Etevenaux

> À lire sur papier glacé : Lyon People – Bellecour, place des grands hommes (200 pages - à commander auprès de Marie 04 72 82 97 78)

LES ARTICLES LES PLUS LUS SUR NOTRE SITE WEB

> Cécile Simeone violemment frappée par un cycliste (Actualités)

> La boutique du joaillier Augis braquée (Actualités)

> Lyon à vélo : insécurité et incivilités servies sur un grand plateau (Actualités politiques)

> Inauguration de la boutique Panerai (Les fêtes)

> Le nouveau Porsche Macan électrise la confluence (Les fêtes)

AGENDA

Fête de la Chandeleur

Sofitel Bellecour

Jeudi 30 janvier 2025 à 19h

Organisation : Vincent Galoche et Marc Jean (Com 1 Conseil) En partenariat avec Lyon People

Le diffuseur du mois

L’INDUSTRIE RESTAURANT 140, avenue de l’industrie - Rillieux-la-Pape

Jessica Fougerol et son équipage
Collection Cœur Entrelacé

GÉRARD COLLOMB

Un an après sa disparition, les fidèles de Gérard Collomb se sont retrouvés au cimetière de Loyasse pour honorer la mémoire de l’ancien maire de Lyon au cours d’une cérémonie privée. Autour de sa tombe, située à quelques mètres de celle d’Edouard Herriot, son ami Roland Bernard a redit, devant ses enfants Thomas et Anne-Laure, sa fierté d'avoir accompagné durant 40 ans celui qui a fait de Lyon « le must des capitales européennes ». Parmi la cinquantaine de personnes rassemblées par Mina Hajri et Grégory Dayme, les amis de l’ancien

sénateur-maire, ses fidèles collaborateurs, chauffeurs, adjoints, et élus auxquels se sont jointes des figures de la ville comme Colette Sibilia et Arlette Hugon. Avant le mâchon de l’amitié, tous ont repris en chœur avec Lucien (qui l'a accompagné en chanson dans de nombreuses maisons de retraite) deux titres prisés par Gégé : « Mon amant de Saint Jean » de Lucienne Delyle et « C’était mon copain » de Gilbert Bécaud. Avec également un clin d’œil à Johnny : « Envie d'avoir envie. Envie de rallumer sa vie »...

Écoles Hybria et EKLYA LE SENS DE LA SOLIDARITÉ

Les étudiants d’EKLYA School of Business et d’HYBRIA, écoles de la CCI Lyon implantées à Ecully, ont remis deux chèques à deux associations lyonnaises : 4 300 euros pour Docteur Clown et 1500 euros pour France Alzheimer Rhône lors d’une cérémonie dans les salons du Département du Rhône, en présence de Christophe Guilloteau, président du Département, Philippe Valentin, président de la CCI et Sébastien Arcos « Outre la dimension financière, ce sont des valeurs de solidarité que nous souhaitons transmettre à nos étudiants : savoir donner du temps et contribuer à un projet collectif au profit d’enfants et adultes malades. » assure le directeur des deux écoles.

LE CHIFFRE DU MOIS 3 MILLIONS D’€

C’est le coût du changement de logo des Transports en Commun Lyonnais, décidé par les écologistes du Sytral. Une dépense qui s’ajoute au 1,6 million d’euros que va couter le village de tentes de la place Bellecour (page 6). Dans un contexte budgétaire tendu, les contribuables qui doivent également supporter la hausse des tarifs TCL apprécieront la gabegie qui règne à la Ville de Lyon comme à la Métropole.

AVIS DE RECHERCHE PATRIMOINE DE BRON

Dans le cadre du magazine consacré au patrimoine de Bron, nous recherchons des informations sur les familles, entreprises et propriétés ci-dessous.

Particuliers

Famille Trouilhet

Nous recherchons des informations sur la famille des propriétaires de Calor qui a résidé à Bron.

Mas Pré-Vieux

Nous souhaitons rentrer en contact avec la famille de médecins qui a vécu et travaillé dans cette maison avant sa vente au promoteur OGIC.

Entreprises

Alloin Raffin

Très belle usine située dans le quartier des Essarts.

Quelle est son histoire ?

Cinéma Arc en Ciel

Nous recherchons des photos de ce cinéma mitoyen de l’hôtel de ville qui a été remplacé par une supérette U.

CORPS CONSULAIRE

Les élections du Bureau du Corps Consulaire de Lyon ont eu lieu le 20 novembre 2024 au Cercle de l'Union.

Ont été réélus et élus pour le Mandat 2024-2027 :

Secrétaire Général

M. Hugues POUZET, consul d'Estonie

Chargée du Protocole

Me Marie-Christine HERRBACH, consul du Luxembourg

Trésorier

M. Jean-Paul MUCHADA, consul d’Uruguay

Chargé des Relations Extérieures

M. Rolland Martin, consul de Corée du Sud

SOIRÉE BOXE DU BARREAU DE LYON

Une dizaine d’avocats sont montés sur le ring à l’occasion de la première soirée du club de boxe du Barreau de Lyon. Texte : Margaux Nourry – Photos ©

Certains avocats du Barreau de Lyon ont délaissé leur costume pour enfiler des gants de boxe jeudi 7 octobre 2024. Et pour cause : le club de boxe du Barreau de Lyon a organisé sa première soirée de combats d’exhibitions dans la salle de fitness Healthy & Conditioning, située dans le 6e arrondissement, où les membres du club s’entraînent habituellement. Avant l’arrivée du public, les huit boxeurs en compétition, sur la vingtaine de licenciés, s’échauffent sur le ring et s’entraînent sur les sacs de frappe. En parallèle, le reste de l’évènement se met en place : les serveurs dressent un buffet tandis que le DJ s’installe. 19h30, les spectateurs commencent à arriver. Amis et famille,

nombreux sont ceux qui viennent supporter leur protégé. Parmi la large assemblée, on retrouve également de nombreux acteurs du monde judiciaire, huissiers-audienciers, bâtonnier, avocats, juge, etc. En effet, cette soirée se destine, au monde de la justice. La salle se remplit rapidement, le public est au rendez-vous.

QUATRE COMBATS SANS KO

L’heure des assauts sonne enfin. À noter qu’il s’agit ici de sparring, c’est-à-dire de combats avec l’accord de ne pas se mettre ko. « L’objectif

n’est pas de se faire massacrer mais de valoriser la stratégie », précise ainsi Me Edouard Duhen, avocat indépendant et président du Club « Boxe Barreau Lyon ». Jab, crochet, cross, uppercut... Les coups s’enchaînent au rythme des ovations et encouragements du public. Les combats aussi. Au total, il y a eu quatre échanges divisés en trois rounds de vingt à trente secondes. Les boxeurs montent sur le ring dans un ordre défini par leur poids et leur niveau. Dans la chaleur de la salle, l’ambiance est familiale et festive grâce à la petite centaine de spectateurs présents.

> Plus d'informations sur :

helloasso.com/associations/boxe-barreau-de-lyon

MN Lyon People
(1ère ligne) Kamel Benaibouche (Healthy & Conditioning), Bastien, Nadir, ? , Pierre Cadet (La Table d’Eugène), Me Mildred, Me Madjid Belabbas. (2e ligne) Me Edouard Duhen (Duhen Avocat, Boxe Barreau Lyon), Gabin Barge (Le Grand Café de Genève) et Me Benoît Martinez (Cabinet Beside Avocats)
Me Thierry Braillard (Thierry Braillard & Associés et membre de la Commission sportive du Barreau de Lyon), Me Hervé Banbanaste (Banbanaste Avocats et membre de la Commission sportive du Barreau de Lyon), Me Edouard Duhen (Duhen Avocat, Boxe Barreau Lyon) et Me François Loye (JuriEurop Avocats et membre de la Commission sportive du Barreau de Lyon)
Me Yann Guittet (ISEE), Me Xavier Godard (Avocat honoraire expert de justice) et son fils Lucian, et Me Emmanuelle Delay (ISEE)

SAINT-PRIEST

ASSISES DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE

L’INSÉCURITÉ APPELÉE À LA BARRE

Àl’initiative de son maire, Gilles Gascon, la Ville de Saint-Priest organisait le 5 novembre dernier, ses premières « Assises de la Sécurité Publique ». Organisées au Théâtre Théo Argence, ces dernières avaient vocation à alerter sur l’insécurité grandissante dans le pays. Un constat qui n’échappe pas à la métropole lyonnaise, victime elle aussi, de ce phénomène. Administrés, maires et représentants syndicaux des forces de police ont ainsi essayé d’apporter des réponses. L’idée a peut-être été résumée en une phrase, lourde de sens. Alors que les minutes s’égraînaient et que les constats tragiques se multipliaient, Cyril Daubargues, expert en sécurité auprès des collectivités locales, eut ainsi ces mots, pointant cette triste réalité : « ce n’est plus de l’insécurité, c’est la peur d’être une victime ». Une précision volontairement alarmiste, alors que ce sentiment grandit de jour en jour, motivant de fait, l’organisation de ces « Assises de la Sécurité Publique ». De Laure Cédat, maman d’Iris, fauchée sur la voie publique, à Olivier, parent d’un jeune enfant du LOU Rugby exposé aux prostituées du quartier de Gerland, en passant par de nombreux élus de la métropole ou Alain Barbéris, secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Nationale, nombreux étaient les protagonistes à pointer une situation alarmante, à laquelle la métropole de Lyon ne semble échapper.

POUR BRUNO BERNARD, LA SÉCURITÉ N’EST PAS DU RESSORT DE LA MÉTROPOLE

Et ce, même si « la sécurité n'est pas de la compétence de la Métropole », dixit son président dans des propos rapportés par le maire d’Oullins, Jérôme Moroge. « Les choses s’aggravent et ça va très vite », rapporta pourtant l’édile, conforté dans ses dires, par l’invité du jour, l’avocat au barreau de Paris, Thibault de Montbrial « De plus en plus de gens de notre société, se sentent abandonnés. Nous avons un pays merveilleux, il ne faut pas le laisser s’effondrer », soutint ce dernier. Une évidence également valable pour le Rhône, même si les élus du département se trouvent souvent confrontés aux incohérences de la Justice, à un manque de moyens, voire

de soutien, de la part de l’État et des élus écologistes. « Si vous ne combinez pas le travail de l’élu local, qui a les pieds dans la boue et les services de l’État, la sécurité est bloquée », attesta le sénateur Etienne Blanc, à la tête d’un texte de 20 mesures, prochainement proposé au gouvernement. La réponse pourrait ainsi passer par une harmonisation des statuts des polices et de meilleures réponses de la Justice. Pour les aider, l’une des pistes proposées par les maires présents, serait le développement de la vidéoprotection, à laquelle la Ville de Lyon et la Métropole de Lyon sont toujours opposées. « Le dogme est un de nos ennemis », pointa d’ailleurs Thibault de Montbrial. Face à ce manque de coopération, les élus locaux se disent prêts à agir de leurs côtés, malgré leurs maigres ressources. « Il faut passer à l’action », souhaite Gilles Gascon, alors qu’un millier de caméras vont être disposées le long de cette « colonne vertébrale » que représentent Saint-Priest, Décines ou Mions. « L’idée est de mutualiser ces nouveaux CSU (centre de supervision urbaine, ndlr) », poursuit l’édile san-priod, ce dernier militant également pour l’instauration d’une « police métropolitaine des transports » « Dans les transports, c’est une victime par heure. Au Sytral, on se contente de cela, comme si c’était la norme. Pire, on s’en félicite », explose Gilles Gascon, soutenu par ses pairs. « Unis, nous sommes plus forts », lui glissa le maire de Mions, Mickaël Paccaud. Ensemble, on va plus loin, dit-on. Faudra-t-il attendre 2026 pour que ça bouge dans le bon sens ? >

Texte : Morgan Couturier – Photos © Margaux Nourry
Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris

La signature de la convention entre les villes de Meghri et Bron

AL’ARMÉNIE AU CŒUR RÉGION AUVERGNE RHÔNE ALPES

uvergne-Rhône-Alpes est la Région française la plus mobilisée pour l’Arménie. C’est dans ce cadre, et pour rappeler le soutien régional au peuple arménien, que ce jeudi 21 novembre, Fabrice Pannekoucke et Laurent Wauquiez ont accueilli la délégation arménienne pour une journée d’amitié et de travail, qui inaugure une nouvelle étape de son ambition partenariale. Une signature de six conventions de Jumelages « Auvergne-

Rhône-Alpes – Syunik » a symbolisé cette union. Dans le Rhône, les villes de Bron (Jérémie Breaud) et de Mornant (Renaud Pfeffer) sont en première ligne. Actuellement, « la région arménienne du Syunik est prise dans l’étau du panturquisme porté par l’Azerbaïdjan et la Turquie, entraînant des conséquences humaines désastreuses. La Région Auvergne-RhôneAlpes agit pour la population arménienne

dont la cause est insuffisamment relayée en France, et plus globalement à l’international. En 2022, un plan de soutien humanitaire à l’Arménie et plus particulièrement au Syunik, avec une dotation de 300 000€ visant à aider la population arménienne à se préparer et se protéger, et à contribuer au renforcement du pays par un appui au développement territorial. » Cette aide devait être doublée à 600 000 euros.

ELECTIONS MUNICIPALES 2026

Qui va sortir Doucet et ses Verts ?

La question nous est posée dix fois par jour. Alors que les Lyonnais s’impatientent… l’opposition s’organise pour partir à la reconquête de Lyon et du Grand Lyon. A petit pas, pour le moment. La sociologie de la capitale des Gaules (sic) a tellement changé que la mission s’avère compliquée. De David Kimelfeld à Pierre Oliver, tout le monde s'interroge sur la nécessité de s’unir dès le premier tour pour engager les électeurs dans une dynamique favorable. Premier artisan de cette volonté d’union, Emmanuel Hamelin a décidé de mettre fin à sa retraite politique face au chaos créé par les écologistes et leurs alliés d’extrême gauche. À 66 ans, celui qui fut député UMP de la 2ème circonscription du Rhône (2002-2007) a en effet décidé de repartir au combat : il a le profil idéal pour fédérer le centre gauche avec le centre droit, la société civile (Christophe Marguin) et la droite. Délégué départemental du parti Horizons – où l’a rejoint Pascal Blache, maire de Lyon 6 -, il a déjà réuni le bloc central avec Sarah Peillon (Renaissance), François-Xavier Penicaud (MODEM) et Bernard Fialaire (Parti Radical). Même s’il est connu et apprécié du microcosme, Emmanuel Hamelin doit néanmoins combler son déficit de notoriété auprès du grand public. Pour ce faire, il devrait pouvoir compter sur ses appuis au sein de certains médias lyonnais. Seconde mission : prendre son bâton de pèlerin pour convaincre David Kimelfeld, Georges Képénékian ainsi que Béatrice de Montille et Pierre Olivier « On pense qu'on peut y arriver car il y a de grandes thématiques locales sur lesquelles on a des idées, des ambitions communes. On pourra s'entendre malgré nos différences au niveau national », a-t-il déclaré chez nos confrères de Lyon Mag. Les collombistes historiques sont, eux aussi, dans cette dynamique, il convient donc de tirer un trait sur 2020 pour repartir avec un nouvel état d’esprit et des balles neuves. Il n’existe aucune autre alternative. Gare à ceux qui feront perdre le camp de l’alternance en 2026…

Textes : Marco Polisson - Photos © Charles Pietri et DR
Emmanuel Hamelin et Gérard Collomb au dîner de gala du Top 500 des Lyonnais en 2022

SOYEZ SANS LIMITES

VERNISSAGE

FRANCK TREMBLAY L’ART DES VIGNERONS

Mettre en lumière les humains derrière les vins. Tel est l’objectif du photographe Franck Tremblay à travers sa série Vinum Fabulas, littéralement ces « histoires de vin ». Cette dernière a été dévoilée en petit comité, ce mercredi 13 novembre 2024, au restaurant et bar à vin Sauf Imprévu, dans le 6e arrondissement de Lyon. Les photographies étant réparties entre les deux lieux, situés à quelques mètres l’un de l’autre. Restaurateurs, vignerons et artistes étaient au rendez-vous de ce vernissage. Le tout est rempli de sens : Franck Tremblay

est spécialisé dans le culinaire et les métiers qui entourent l’alimentation mais n’a jamais photographié le secteur viticole. L’un de ses sujets a d’ailleurs été le chef multiétoilé Pierre Gagnaire. Et c’est bien lui qui a fait le lien entre les parties de ce projet photographique. Les lieux d’exposition ne sont autres que les établissements de son fils, Félix Gagnaire. Étant donné que Sauf Imprévu est également une cave à vin, Gagnaire père et fils ont le réseau nécessaire pour mener à bien le projet de Franck Tremblay. C’est ainsi que le photographe s’est

retrouvé dans le domaine Alain Graillot, avec les fils Antoine et Maxime, au nord de Valence, dans l’aire d’appellation CrozesHermitage, mais également chez LouisClaude Desvignes, à Villié-Morgon, dans le Beaujolais avec Emmanuelle et Benoît, les enfants du fondateur.

Jusqu'au 30 décembre 2024 Sauf Imprévu 40, rue Pierre Corneille et 15, rue Vauban - Lyon 6e

À LIVRES OUVERTS

“LA DÉLICIEUSE CUISINE TRADITIONNELLE FRANÇAISE”

de Joseph Viola

Du poulet dominical de notre enfance au tartare transgressif de notre adolescence en passant par les quenelles nantuaises ou lyonnaises puis par le Homard Thermidor forcément révolutionnaire ou le lièvre à la royale, bourgeoisement légitimiste, Joseph Viola , MOF et prestigieux chef lyonnais nous propose en 400 pages les 150 recettes incontournables du parcours initiatique du gourmand au gourmet et cette bible est en tous points une réussite rare et le cadeau idéal à placer sous le sapin de Noël.

L'emblématique patron de "Daniel et Denise" s'en donne à cœur joie de recette en recette et offre avec ce bréviaire du bon goût l'opportunité à chacune et chacun de se mettre dans la peau d'un chef ou d'une "mère" fut-elle la vôtre.

Éditions de la Martinière/ 400 pages/ 45,90 €

“MURS MURS EN VUES” de Pierre Veyssilier

Collectionneur assidu, Pierre Veyssilier a rassemblé depuis de nombreuses années un ensemble de documents sur la publicité murale qu’il nous propose de partager dans ce livre avec bien d’autres photos de passionnés. Un ouvrage unique en son genre, une présentation claire et contemporaine, un classement facile d’accès, une sélection aussi vaste que rigoureuse pour que chaque élément du patrimoine publicitaire soit mis en valeur. Un ouvrage de référence parce qu’il y a toujours autant de merveilles à découvrir…au gré de nos départementales, nationales et autres routes de vacances ou de vagabondages.

Éditions APAGIP / 252 pages / 59 €

Texte : Margaux Nourry – Photos © MN Lyon People

Textes : Jacques Bruyas

“LA TURQUIE JUSQU'À CHYPRE”

de Jean Étèvenaux

Docteur en Histoire, écrivain, conférencier, journaliste, Jean Étèvenaux est un véritable globe-trotter des Lettres à l'égal de son héros de BD, Tintin, auquel il a déjà consacré un ou deux ouvrages... et le voici sur les traces du "grand mamamouchi" du "Bourgeois Gentilhomme" en nous entretenant de la Turquie à travers les siècles du Grand Turc envoyant force émissaires au Roi Soleil en passant par le grand Empire Ottoman et ses soubresauts fatidiques de la fin du XIXe et début du XXe siècle, puis par Ataturk, la République laïque de 1923, la crise chypriote récurrente jusqu'à Erdogan se croyant la réincarnation de Soliman le Magnifique... Un livre documenté, savant mais se lisant comme un véritable roman. Éditions Les Auteurs du Savoir / 271 pages / 17 €

“LES

MISCELLANÉES DU CHOCOLAT”

de Marcel Bonniaud et Cyrille Piot

Le chocolat, c’est bon. C’est bon au goût et c’est bon pour la santé. Aussi bon pour la santé du corps que pour celle de l’esprit… on lui prête même des vertus aphrodisiaques !

Le chocolat est également bon pour l’économie française. On vous propose ici de connaître tous les secrets du chocolat, depuis la cueillette des cabosses jusqu’aux dernières créations des meilleurs chocolatiers, en passant par les procédés de fabrication aussi bien que par les batailles homériques qui se livrent dans ce monde impitoyable. Et on vous assure que ça ne fera en rien diminuer votre amour du chocolat. Au contraire !

Le chocolat dans tous ses états, c’est l’objet de ce petit livre. Éditions du Poutan / 214 pages / 12,50 €

Toute l’essence de Porsche.

NOUVEAU MACAN. 100% ÉLECTRIQUE.

Que ce soit dans les grandes métropoles ou en agglomération, le Macan 100% électrique est chez lui au cœur de l’action. Là où avoir de la personnalité a son importance. Et où chacun a la chance de se réinventer.

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Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo #SeDéplacerMoinsPolluer

MAGALI ET CHRISTOPHE MICHELON “NOUS N’ACCEPTERONS PAS QU’ILS TUENT NOTRE ÉTABLISSEMENT !“

Argenson, la plus ancienne brasserie de Gerland, dont l’histoire est intimement liée au stade et au Palais des Sports, traverse une situation délicate à cause des écologistes. Ses patrons Magali et Christophe Michelon confient leur colère à Lyon People.

Propos recueillis par Morgan Couturier et Marco Polisson – Photos © Lyon People

LP : Votre maison, qu’on pensait indéboulonnable, traverse une période très compliquée, qui s’est traduite par son placement en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Lyon, le 10 octobre 2024. Comment le vivez-vous ? Magali : On le vit super mal ! On l’accepte mal, parce qu’avant tout, c’est totalement injuste et infondé, dans le sens où on ne s’est pas placé sous la protection du Tribunal de Commerce à cause d’une faute de gestion ou parce que l’on connaîtrait mal notre métier. Notre maison est en ordre de marche, elle est très bien tenue. Si on est encore là aujourd’hui, ce n’est pas pour rien.

Comme tous les restaurateurs, vous avez déjà surmonté d’autres épreuves... Ce n’a pas été simple avec le Covid mais l’après

Covid ça été encore autre chose ! Cela fait deux ans que j’active tout ce que je peux activer pour faire barrage auprès des institutions publiques, fiscales ou sociales et faire valoir nos droits. Le problème, c’est qu’il y a un contexte extérieur qui nous impacte et personne ne veut rien entendre. J’assainis. Je continue d’être linéaire dans ma gestion. Ça devait tenir ! Je ne dis pas que c’était simple, mais ça devait tenir. Et puis le tramway est arrivé...

Depuis plus d’un an, les travaux du tramway T10 ont en effet isolé complètement votre brasserie. Les embouteillages sont incessants et il est très compliqué de vous rejoindre à Gerland...

Avant, il fallait entre cinq et dix minutes pour accéder à notre restaurant, dans un rayon de 3 à 5 kilomètres. Aujourd’hui, il faut une demi-

heure, voire 45 minutes. Quand le matin, tu as déjà passé une heure, une heure et demie dans les bouchons et que le soir, tu dois repasser autant de temps dans ta voiture, si tu as un déjeuner d’affaires et que tu sais qu’il va falloir 45 minutes pour arriver au restaurant, tu ne viens plus. Tu n’as pas 107 ans pour manger et en plus, tu sais que tu vas galérer pour repartir. Alors les gens ne viennent plus !

D’autant que la situation ne cesse de se dégrader au fil des travaux...

Il y a eu un premier impact des travaux du mois de février au mois de juillet 2024, où l’on a perdu entre 30 et 50 couverts jour. Mais bon, les gens venaient quand même un peu. Et depuis la rentrée, on a passé une autre étape. Depuis, on est en zone sinistrée. Comme je l’ai dit à la Maire du 7e, que j’ai interpellée en parallèle du

Sytral, il existe désormais une barrière qui est le rond-point (avenue Tony Garnier et avenue Jean Jaurès). De l’autre côté des tranchées, tout se passe bien, il y a de beaux projets.

“AVANT LES TRAVAUX, NOUS FAISIONS 150160 COUVERTS PAR JOUR. AUJOURD’HUI, ON NE FAIT MÊME PLUS 100 COUVERTS”

Tout l’inverse de votre quartier ?

Dès que l’on passe le barrage, on arrive ici et c’est zone sinistrée. C’est une zone de guerre, une zone de non-droit depuis le port Édouard Herriot jusqu’à Viatris.

Ce discours, vous l’entendez de la bouche de vos clients ?

Clairement, oui ! On a lancé une pétition « Halte aux travaux ». On a déjà rempli 15 pages ! Et les mails arrivent de plus en plus régulièrement ; exaspération des gens, incompréhension et stupéfaction face à ce qu’ils vivent et voient autour de notre belle maison.

À combien chiffrez-vous la baisse de fréquentations due à ces travaux ?

Christophe : On doit être à 30% de pertes, facile ! Avant les travaux, nous faisions 150160 couverts par jour. Aujourd’hui, on ne fait même plus 100 couverts. Tout le monde a compris qu’il ne faut plus venir à Gerland.

En effet, vous n’êtes pas les seuls à être touchés...

Le pôle médical, à côté, connaît les mêmes ennuis. Le stade, le palais des sports, les bureaux, tout le quartier en a ras le bol. On avait même des employés du Sytral qui venaient manger, ce sont les premiers à ne plus venir, parce que c’est le bazar. On avait aussi le staff d’Equita Lyon. Chaque année, ils venaient au moins 3-4 fois. Cette année, on ne les a pas vus.

Le Sytral ou la Métropole de Lyon vous ontils donné une date de fin des travaux ?

Non, ils ne nous ont pas donné de date précise. On parle de 2026 ! Comment tenir jusque-là ?

Après les travaux, le quartier retrouvera-t-il sa mobilité automobile ? Retrouverons-nous les 2 x deux voies ?

Il n’y aura plus qu’une seule voie dans chaque sens. Il y avait deux doubles voies. Sur l’une d’elles, il y aura le tram, et il y aura un allerretour, sur l’autre.

Donc nous resterons dans la configuration actuelle ?

Oui, sans tous ces panneaux, tous ces interdits. Les gens ne savent plus où il faut rouler. Régulièrement, il y a des accidents. On ne sait plus où passer. Mais c’est comme ça dans toute la ville... il n’y a plus de fluidité.

Avez-vous été prévenus avant le démarrage des travaux ?

Non, on l’a su, mais pas par le Sytral. Ils n’ont même pas fait de consultation avant de démarrer les travaux. Au niveau du droit public, il y a un problème. Il y a des règles pour eux aussi, je pense ! Mais ils se croient tout permis. Ils n’ont pas cherché à discuter avec les commerçants ou les entreprises. Ils ne cherchent pas à mesurer l’impact qu’ils vont provoquer. Alors que c’est une explosion totale qu’ils sont en train de provoquer.

Avez-vous déposé un recours ou intenté une action judiciaire ?

Je vais m’en occuper avec notre bureau d’avocats. Mais il y a d’autres choses à gérer. Mais c’est pareil, ça fait la deuxième fois que l’on est impacté par le Sytral. Je commence un peu à en avoir ras le bol ! En 2013, déjà, on avait eu les tranchées pour le métro, sur l’avenue Jean Jaurès. Les clients ne pouvaient plus venir. Comme il y avait une voie d’accès, ils ont estimé que l’on n’était pas impacté. Alors on n’a pas été indemnisé. Et pourtant, on a mené une lourde procédure juridique, avec près de 15 000€ de frais d’avocat.

Avez-vous sollicité un expert pour chiffrer votre perte d’exploitation et demander une indemnité au Sytral ?

Mais on ne peut rien demander au Sytral ! Ils ont une commission d'indemnisation amiable qui s'appelle la CIA. Je me suis renseignée. J'arrive à avoir une personne au téléphone, qui me dit : « Ecoutez, il faut voir. Il y a des questions d'éligibilité ». J'ai répondu : « D'accord, donnezles-moi, ces questions d'éligibilité ». Je me mets tout de suite au travail, j’anticipe les choses, je travaille mes tableaux, je sors les chiffres. Et le lendemain, elle me rappelle.

Quelle fut la réponse ?

Tenez-vous bien ! Elle me répond : « Vous n’êtes pas éligible ! ». Pour deux raisons. La première, c’est que l’on n’a pas le nez dans les tranchées et la deuxième, c’est que l’on a une voie d’accès. Il existe une commission d’indemnisation amiable constituée de pas moins de 10 personnes, rémunérées par nos impôts et il n’y a pas une seule personne qui prend la peine d’étudier un tableau Excel. Juste parce que l’on a une voie d’accès, on nous dit que l’on n’est pas éligible !

J’ai dit : « Vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Vous ne mesurez aucune donnée économique et financière. Vous ne cherchez même pas à comprendre. Vous ne venez même pas nous voir ».

Justement, les élus écologistes sont-ils venus vous voir ?

Non ! J’ai écrit à la Mairie du 7e et à la Métropole. J’ai tout ici (elle montre des documents). J’ai également écrit à la Mairie de Lyon, à laquelle j’ai fait passer tous les mails envoyés à la Mairie du 7e. J’ai aussi contacté le Sytral. Mais personne n’est venu. Personne ne m’a répondu. Ils sont dans leur tour d’ivoire, très loin de ce qui se passe au quotidien.

Le Pont Pasteur
Voie sans issue avenue Jean Jaurès
Intersection av. Jean Jaurès / av. Tony Garnier
L'avenue Tony Garnier

Autre problème non réglé, la prostitution. À 50 mètres de votre restaurant, derrière le virage sud du stade de Gerland, se sont établies une centaine de camionnettes de prostituées. Quelles en sont les conséquences pour votre commerce et votre clientèle ?

Ce n’est pas compliqué, quand vous voyez des énergumènes vagabonder, camés complets, ça ne donne pas envie. Pire, ça ramène une clientèle un peu bizarre.

Ils ne viennent pas dîner après avoir fait leurs affaires (sourire) ?

Certains s’arrêtent, ils veulent boire un coup. Certains demandent même de la monnaie, d’autres les WC... Tu prends peur. La clientèle, on est obligé de filtrer.

Ce problème ne date pas d’hier. A l’époque de l’OL, le quartier était déjà gangrené par la prostitution ?

Christophe : Oui, mais c’était plus haut, sur l’avenue Tony Garnier. Puis il y a eu une grosse entreprise, qui a dit : « Si elles ne partent pas, on déménage ». Alors ils ont viré les camionnettes. Depuis ce jour-là, elles sont venues ici.

Magali : Quand ils veulent, ils savent les déloger. Pendant la Coupe du Monde de Rugby, pendant trois mois, on ne les a plus vues. Idem les soirs de match du LOU Rugby. Donc, à un moment donné, il va falloir qu’ils prennent leurs responsabilités et qu’ils règlent ce problème d’ordre public à tous les niveaux.

Concrètement, là aussi, leur présence apeure la clientèle ?

Depuis la rentrée, c’est monté d’un cran. Un soir, une cliente nous appelle, en disant : « il y a des gens bizarres dans le quartier, j’annule ma réservation ».

Êtes-vous contraints d’employer un vigile ?

Christophe : Non, je ne mets pas de vigile, parce que ça coûte trop cher. On n’a pas les moyens, que la ville fasse son boulot. Mais régulièrement, on a des hommes qui viennent (pour les prostituées, nldr) et qui se garent devant le restaurant. Alors pas tous, il y en a qui se garent un peu plus loin et ils marchent. Mais quand ils partent, comme notre portail est ouvert, ils pissent à droite, à gauche et ils laissent un souvenir. Tous les matins, on remplit un sac-poubelle de déchets : des capotes, des bouteilles, des seringues, du monoxyde de diazote (du gaz hilarant, nldr).

Ces sacs, on les met de côté. Je vais les apporter à la mairie du 7e, très bientôt.

“AVEC LEURS TRAVAUX, ILS VEULENT NOUS FINIR”

Faute de soutien des banques, cette mise en redressement judiciaire va-t-elle vous permettre de survivre et de vous protéger ?

Christophe : On s’est mis en RJ pour se protéger et laisser passer l’orage des travaux. Maintenant, la nouvelle façon de gérer une boîte, ce sont les mandats ad hoc, les sauvegardes ou les redressements judiciaires face à la pression fiscale et sociale et les banques qui ne jouent plus leur rôle ! Et puis certains vont directement à la liquidation judiciaire, mais nous, on se bat, on bloque.

Entre résignation et colère, quel est votre état d’esprit aujourd’hui ?

Magali : On ne peut pas lâcher. Quand vous avez la chance d’avoir un établissement comme celui-là, que vous êtes professionnels, rigoureux, honnêtes et que vous faites les choses correctement, vous ne pouvez pas lâcher. Les gens nous disent que l’on a l’un des plus beaux sites de la ville. Le problème, c’est que l’on est face à une injustice intolérable. Et moi, je ne supporte pas l’injustice. Aujourd’hui, on est victime d’un détournement de clientèle, d’abus de pouvoir et d’un laxisme de gestion qui est inadmissible. Ils sont en train de mettre à sac des entreprises, dans laquelle des hommes et des femmes ont investi toute leur vie. Sous couvert de quoi ?

D’un aménagement du territoire ?

Magali : Oui d’accord, très bien, on n’a rien contre. Simplement, il faut faire les choses intelligemment. Avant de démarrer un chantier, il faut en mesurer les conséquences et tenir compte du tissu économique. Surtout, n’attaquez pas 40 chantiers en même temps. C’est juste inadmissible !

Christophe : On a conscience de posséder une belle maison et je ne suis pas résigné. J’ai 63 ans, je suis à la retraite depuis l’an dernier. Je travaille dans ma boîte gracieusement. Je ne prends pas un « copec » et pourtant, mes pires

années, ce sont les quatre dernières. Avec leurs travaux, ils veulent nous finir. Donc là, on s’est mis en sécurité, sous la protection du Tribunal de Commerce pour pouvoir souffler.

“S’IL

FAUT ENTAMER UNE GRÈVE DE LA FAIM, JE L’ENTAMERAI”

Quid des projets que vous aviez imaginés ? Magali : On a des projets à venir pour l’Argenson. Il y a des leviers qui vont être activés, une diversification, un renouvellement. Le problème, aujourd’hui, c’est que je me pose la question de savoir s’il faut vraiment lancer les choses. Plus rien n’est accessible. On ne nous laisse plus le choix, c’est une prise d’otage permanente maintenant. On ne peut même plus les interpeller ces gens-là. Mais je n’accepterai pas qu’ils tuent cette boîte. Depuis quand, sous couvert de projets, on empêche les boÎtes de bosser ? S’il faut entamer une grève de la faim, je l’entamerais.

Vous en êtes arrivés là ?

Si demain, nous ne sommes pas entendus, pris en considération avec des propositions à hauteur de ce que l’on perd, de l’impact, si les choses ne bougent pas pour qu'aujourd'hui le tissu économique reprenne de la vigueur dans cette ville qui était magnifique, que les Lyonnais défendaient, je vous le déclare et je vous le signe aujourd'hui, j'entame une grève de la faim et j’installe ma tente devant Argenson ! Je ne peux pas tolérer ces abus ! On se bat pour cette boîte. On a encaissé les coups comme un boxeur sur un ring et on reste debout.

Pourquoi ne pas avoir choisi un plan de sauvegarde ?

Christophe : La Holding est en sauvegarde, l’Argenson est en RJ.

Magali : On aurait pu activer la sauvegarde pour l’Argenson. Mais je connais cette boîte par cœur. Elle a une résilience incroyable. Je sais de quoi elle est capable ! Donc je ne voulais pas aller en sauvegarde. Je sais que l’on peut tenir, la boÎte devait tenir. En 2027, on devait être désendettés, mais le Sytral nous a pliés, lamentablement. C’est vrai, on aurait pu sonner l’alarme plus tôt, mais je ne voulais pas mettre l’Argenson sur la place publique. C'est inacceptable d'être des professionnels et des bosseurs et de devoir en arriver là. C'est totalement injuste !

« Suite à un ras-le-bol total de la gestion de la ville de Lyon, à l’incompétence, ingérence des pouvoirs publics et politiques mettant en danger quotidiennement les citoyens et tout le tissu économique lyonnais, je voulais exposer certains faits inadmissibles et dramatiques. La prise d’otage de toutes les institutions politiques et publiques est quotidienne et récurrente au-delà d’être dangereuse, de ne plus respecter l’ordre public et de mettre à sac des entreprises sérieuses et légitimes. La parution du numéro du POINT avec pour titre « FAUT-IL QUITTER LYON », le grand débat ! Embouteillages, insécurité, logement, pollution, et bien d’autres… Il y a de quoi épiloguer et balancer !!! » Magali Michelon

MD Lease Limonest SHOWROOM

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120, rue Duguesclin - 69006 Lyon

Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h 6

HALLES DE LYON PAUL BOCUSE

102, cours Lafayette - Lyon 3e

Le temple de la gourmandise

DOSSIER RÉALISÉ PAR PHILIPPE LECOQ (TEXTE), SABY MAVIEL ET MARGAUX NOURRY (PHOTOS)

CMAISON BAHADOURIAN

’est bizarre, on entre chez Bahadourian avec un peu de timidité, ou plutôt de déférence, comme on franchit les portes d’un lieu de culte. Ici, en effet, les décennies de labeur, toutes ces heures passées à s’ouvrir au monde, à l’appréhender et à le comprendre, avant d’en rapporter ses meilleures effluves, ses meilleurs produits, sont inscrits sur les murs, dans les étals, dans chaque produit choisi avec soin et affiché dans toute sa splendeur et son identité. À l’origine de cette saga connue de nombreux amateurs bien au-delà de nos frontières lyonnaises, Djebraïl Bahadourian, et puis son fils Armand, et aujourd’hui Sandrine

aux Halles, fille d’Armand, épiciers avec un E majuscule — le mot signifiait autrefois « celui qui achète et vend en gros », avant d’évoluer au XVIe siècle en « marchand de produits alimentaires » — qui vendent non seulement des épices mais toute une gamme de produits destinés à nourrir le corps et l’âme.

« Bahadourian, avec tes épices, tu nous amènes du soleil dans nos cuisines, m’avait dit Paul Bocuse » cite en souriant Armand. Du soleil, oui, et bien plus encore, car les épiceries de la famille sont une invitation au voyage, à la découverte de l’autre, là-bas, tout autour de la méditerranée. Au partage aussi...

BAHADOURIAN C’EST AUSSI UN RESTAURANT

Puisqu’il avait les produits, la cuisine, et le savoir-faire, Armand Bahadourian a poussé en 1996 les murs de l’épicerie des Halles pour créer Inch’Ka, restaurant de 35 couverts à découvrir en urgence si ce n’est déjà fait. Un rendez-vous inégalable avec la cuisine méditerranéenne, arménienne bien sûr, libanaise et marocaine.

Un concentré de saveurs.

Tél. 04 72 84 86 86

Nouvelle Audi S6 Avant e-tron

Consommation mixte : 16,6–17,4 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km. Le break S 100% électrique au premier rang

Gamme Audi S6 Avant e-tron 503CH : consommation mixte : 16,6–17,4 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Certains des équipements et options présentés sur les visuels peuvent ne pas être disponibles en France. Publicité diffusée par le concessionnaire CENTRAL AUTOS enregistré à l’Orias sous le n°7032704 en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non exclusif de VOLKSWAGEN BANK. CENTRAL AUTOS - Société par Actions Simplifiée au capital de 1 024 200,00€ - 49 bis boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons.

VCHEZ ANTONIN

ous serez, ils seront, entre deux cents à deux cent cinquante à défiler les jours « J » – il y en a au moins deux dans les semaines à venir – devant l’étal de chez Antonin, dans un ballet savamment orchestré pour l’occasion. Plateaux d’huitres, de langoustes, homards, oursins de Bretagne, et autres commandes de fruits de mer festifs seront prêts à l’heure dite – attention le timing sera précis – afin d’éviter une cohue indescriptible. Éric Giraud – non, le patron ne s’appelle pas Antonin, Antonin Bellegarde est le créateur de l’enseigne, c’était en 1906 aux Cordeliers – attaque sa 35ème saison d’hiver avec le sourire. A bientôt 70 ans – il en fait

LES MARENNES D’OLÉRON PLÉBISCITÉES

La Fine de Claire verte n°3 est l’huître la plus demandée pendant les fêtes de fin d’année. Mais les amateurs trouveront aussi Chez Antonin les « Perles des Parcs de l’Impératrice » de son ami Joël Dupuch (Bassin d’Arcachon), les Utah Beach (Normandie), les Spéciales Roumegous (Oléron) et les Spéciales Le Gall (Bretagne). « Toutes mes huîtres ont au moins trois ans et demi de vie, elles arrivent donc chez nous à pleine maturité », précise Éric. Un gage.

Tél. 06 15 55 52 88

dix de moins – toujours le couteau à la main, il continue d’ouvrir des dizaines de coquilles tout en saluant les habitués et donnant ici et là des consignes à son équipe. « Je ne travaille pas, je m’amuse, c’est un privilège », assure-til, « il me reste encore quinze ans »... Et son équipe a besoin de lui, de son savoir-faire, vu que les bons écaillers se font rares, que les clients réclament de plus en plus des plateaux d’huitres déjà ouvertes, et que le restaurant attenant à l’étal ne désemplit pas du mois de décembre. Éric est une figure des Halles, sa maison un rendez-vous incontournable, fruit de l’alchimie d’un patron faussement bougon et de produits d’exception.

AFROMAGERIE

La Mère Richard

h, bon sang... Quand arrive sur table, par un miracle de savoir-vivre, ce petit paquet blanc siglé de délicates lettres d’or, sur lequel on peut lire ce doux prénom un tantinet désuet mais célébré... Renée... Renée, dite la « Mère Richard » depuis son adoubement par Paul Bocuse, qui a élevé le Saint-Marcellin au rang d’icone. Merci ! Et merci aussi à Renée, sa fille, d’avoir bien voulu abandonner ses velléités de notariat pour s’installer derrière ce comptoir si alléchant. On s’emballe. Normal. Un Saint-Marcellin de chez Renée, affiné comme il faut, coulant comme personne, parfumé, prêt à être allongé subtilement sur une tartine de bon pain... Divin. Mais fin de l’allégorie. Car la fromagerie Richard n’est

pas mono-produit, loin de là. Renée vous propose aussi le fameux Saint-Félicien, et les fromages de saison : le Mont d’Or, le Munster, les Époisses affinés au marc de Bourgogne... et puis les raclettes, nature, truffée, fumée. « Nous faisons aussi beaucoup de fondue, toujours avec la recette que maman proposait aux Cordeliers il y a cinquante ans, à base de Comté de 18 mois Beaufort et Suisse », confie Renée, qui égrène d’autres rencontres possibles avec le Saint Nectaire fermier, le Salers fermier, le Reblochon, la Rigotte de Condrieu pur chèvre ou encore le Picodon... Renée trône sur un palais de saveurs. La chance.

Tél. 04 78 62 30 78

POUR VOS FÊTES, AN-TI-CI-PEZ

Les clients de la Maison Richard aiment bien composer eux-mêmes leur plateau, un assortiment de fromages dont ils détiennent seuls les clefs. Le mieux, pour eux, est de venir aux Halles passer commande en amont des fêtes, et de venir quérir leur plateau non pas le jour de grand rush mais deux ou trois jours plus tôt, si possible. L’équipe de Renée leur expliquera tous les secrets de conservation selon leur choix. Ce sont des pros.

Boucherie Massot

Sa patte, si l’on peut dire pour un bouchervolailler, « c’est le zéro intermédiaire »

Didier Massot, MOF des Halles, choisit ses producteurs avec passion et minutie, il les visite, les entretient – dans tous le sens du mot – et, surtout, il magnifie leur travail. Zéro intermédiaire, « surtout pour les volailles festives » souligne-t-il, c’est la garantie d’une qualité assurée et de « tarifs hyper contenus » ce qui n’est pas rien à l’approche des fêtes quand les étiquettes s’envolent. « J’ai un éleveur de Bresse qui me fournit poulets et poulardes tout au long de l'année. Il me fait également les chapons et les poulardes roulées pour les fêtes. J'en ai un autre qui élève

les dindes de Bresse, un produit vraiment saisonnier, un troisième pour les oies, et enfin encore un pour les canettes et les pintades » Meilleur Ouvrier de France mais aussi champion du Monde 2016, Didier dirige une équipe d’une grosse dizaine de personnes à peine renforcée d’extras pour les fêtes. Mais dès le 8 décembre c’est la ruée. Commandes, conseils, choix cornéliens – volaille ou rôti farci ? Quel accompagnement ? – les clients venus de la France entière prennent quartier devant ses étals, pour la qualité bien sûr, mais pour le nom aussi, pour annoncer avec fierté à l’assemblée familiale que le produit vient de « chez Massot, à Lyon »

Hubert, Hervé et puis Jules... En trois générations, la Maison Mons a su faire d’un nom propre un nom commun –on ne se rend pas « à la fromagerie » mais « chez Mons » – avec près de vingt boutiques situées entre Lyon, la Suisse et Londres, mais aussi le Roannais puisqu’il faut bien le rappeler : c’est là-bas que tout a commencé. C’est d’ailleurs encore dans le 42, que les

caves d’affinage – dont le célèbre tunnel de la Collonge, à Ambierle – et même des unités de fabrication ont été réhabilitées ou créées. Et en ce début décembre, que les amateurs de tous les fromages produits ou affinés par Mons se rassurent, les cinquante personnes qui œuvrent aux côtés de la famille sont déjà dans les préparatifs des fêtes depuis quelques semaines. Avec ce triptyque en tête qui a

UN CORNER DE MOF

PRÈS DES TERREAUX

Didier Massot dispose d’un autre point de vente à Lyon, un corner situé au marché des Fines Gueules la Platière, au 9 de la rue du même nom à deux pas de l’Hôtel de Ville. « Un quartier qui bouge », se satisfait Didier, qui propose évidemment les mêmes produits à la vente. Volailles, on l’a vu, mais aussi agneau de l’Aveyron, Blonde d’Aquitaine, Charolaise et Limousine pour les races bovines, et le fameux porc d’Auvergne...

Tél. 04 78 62 31 75

hissé Hubert et Hervé, Meilleur Ouvrier de France, au sommet : savoir-faire, excellence, tradition. Chez Mons tout est fait main, à l’ancienne, avec les meilleurs producteurs du pays, dont certains – ou du moins leurs aïeuls – travaillaient déjà avec Hubert. Pas de concession avec la qualité, et de l’innovation, des recettes devenues signatures comme le camembert aux cèpes – une tuerie – le BrillatSavarin ou le petit Délice aux truffes noires. Des fromages ? Non, des « petits Jésus en culotte de velours » disait mon grand-père...

DES SÉLECTIONS EN BOITES POUR LES FÊTES

Elles se nomment « La Mignonne » ou « l’Élégante », se commandent à l’avance et se retirent juste avant le jour « J » dans une des boutiques de Mons ou arrivent par la Poste pour ceux qui passent par le site... À l’intérieur, des sélections de fromages de fêtes, disposés sur un joli plateau en bois, avec tous les must de la maison, dont parfois le Barriquet, champion de France des fromages 2024.

Tél. 04 78 62 36 77

BOBOSSE ET LA GASTRONOMIE, COPAINS COMME COCHONS

Véritable institution depuis plus de 60 ans, la charcuterie Bobosse doit sa renommée à la qualité de ses produits. Un savoir-faire que l’as de l’andouillette entretient dans le Beaujolais, depuis son atelier de fabrication, ou sur les étals de ses différentes boutiques.

Imaginez la gourmandise de l’instant, de cette légendaire andouillette arrivant devant nos yeux, dégustée visuellement, avant même que l’assiette ne soit posée. Nul besoin d’en perforer l’échine et d’en extirper quelques délicieux fragments de fraise de veau, pour approuver la qualité du produit. Voilà 60 ans, que la scène est répétée. Rejouée encore et encore. Même à domicile, loin des cuisines des restaurants qui savent la sublimer, la simple mention de Bobosse suffisant à allécher quelques babines. Bon nombre de Lyonnais en savent la qualité. Pour les autres, ils la devinent, l’envient, tel un passage obligé, qu’il ne faudrait pas avoir manqué. Sur la carte, son intitulé fait d’ailleurs titiller, que l’on soit à la Mère Brazier, à la Brasserie Georges ou dans ce millier de restaurants se plaisant à la dorer.

Ces lettres de noblesse ne datent pourtant pas d’hier. La renommée de la charcuterie ne s’est pas construite en un jour. Celle-ci a appris à tirer les ficelles, au sens propre, comme au figuré. À la main, qui plus est, alors qu’à 50 kilomètres de là, Belleville-en-Beaujolais, petite commune de 13 500 habitants, respire les parfums de cette spécialité, embossée à raison de 300 kilos tous les jours. Comme René Besson en son temps, l’excellence du produit tient alors à la scrupuleuse sélection de ces créations, bannies des plateaux de fabrication, à la moindre imperfection.

PLUS DE 140 RÉFÉRENCES DE PRODUITS

Pour autant, réduire la Charcuterie Bobosse à ce mets délicieux, serait faire offense à cette institution, appréciée autant pour le sourire de ses patrons, Pierre Couturier et Bruno Delattre, que pour l’attractivité de ses étals. Et pour cause, forte de ses produits 100% français, où même le bon traitement des animaux est scrupuleusement respecté, l’enseigne affiche un listing impressionnant de quelques 140 produits. Sous l’enseigne bleue et noire de l’institution, trônent alors çà et là, quelques belles références, à commencer par l’emblématique saucisson à cuire pistaché, garnis de 480g de farce. Le sérieux est pourtant de mise, alors que ce même produit se décline avec une pointe de truffe, de morilles ou un léger goût fumé. Il faudrait pouvoir s’arrêter là. Hélas, la gourmandise de la

“DES INCONTOURNABLES DE LA CHARCUTERIE FRANÇAISE QUE NOUS TRAVAILLONS AVEC PLAISIR”

vitrine n’en laisse que très rarement l’occasion, le regard se détournant facilement vers les boudins blancs et autres quenelles de brochet. Si tant est qu’il reste une place dans l’estomac, ou que les yeux soient encore plus gros que le ventre, les clients se prennent également à craquer pour ces innombrables saucissons suspendus, pour ces terrines de campagne, de canard aux pistaches ou de ris de veau que l’on aime à déguster par de fraîches températures et pour ces pâtés croûtes de canard, de pintade ou de poulet, citron, moutarde, que les fêtes viennent régulièrement magnifier. Dans ce florilège de douceur, faisant l’apologie du faitmaison, la maison Bobosse fait figure de phare gourmand. Inévitable. Inimitable, la charcuterie est un peu tout à la fois. Et dire que dans tout cela, sa simple évocation suffit à creuser l’appétit. Fini d’imaginer, place à l’action. Que la table soit dressée !

Texte : Morgan Couturier – Photos © Margaux Nourry et Saby Maviel

Consommation mixte : 16,6–17,4 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km.

Gamme Nouvelle ID.7 Tourer GTX 340CH : consommation mixte : 16,8 à 20,3 kWh/100 km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Certains des équipements et options présentés sur les visuels peuvent ne pas être disponibles en France. Publicité diffusée par le concessionnaire CENTRAL AUTOS enregistré à l’Orias sous le n°7032704 en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non exclusif de VOLKSWAGEN BANK. CENTRAL AUTOS - Société par Actions Simplifiée au capital de 1 024 200,00€ - 49 bis boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons.

BOUCHERIE trolliet

Citée comme l’une des cinq meilleures boucheries de France par un célèbre guide gastronomique, la Maison Trolliet appartient au cercle fermé de ces producteurs sourcés sur les cartes des grands chefs. Et si le client lambda se rend dans cette belle boucherie des Halles, c’est peut-être pour avoir goûté de sa viande avant même d’y avoir mis les pieds. À l’origine de cette réputation XXL, Maurice Trolliet, Meilleur Ouvrier de France 1986, installé aux Halles en 1992, et jamais reparti depuis même si la maison est aujourd’hui tenue par son fils Alexis – boucher lui aussi, talentueux lui aussi – et sa fille Laurence : « le

VOLAILLE, VEAU ET GIBIER POUR LES FÊTES

Les têtes d’affiche de Noël ? L’incontournable volaille de Bresse, une évidence, dont la célèbre poularde en vessie, mais aussi le veau de Dordogne nourri sous la mère, « un produit devenu très rare avec très peu d'éleveurs » note Laurence. Et puis par goût ou pour se démarquer une autre spécialité maison, le gibier sauvage de Sologne... À vos commandes.

Tél. 04 78 62 36 60

nom, le mérite, reviennent principalement à papa, encore avec nous, plus avec les couteaux mais comme responsable de tous les achats. Et c'est parce qu'il nous a enseigné la qualité, la régularité dans la qualité, que le nom perdure. Les gens qui viennent chez nous savent pourquoi ils viennent, ils savent ce qu'ils vont trouver » Humilité et reconnaissance. Vive les enfants ! Et cet esprit de famille se retrouve pendant les fêtes, aux Halles, puisque les renforts au labo et à la vente sont des retraités de la Maison. Intégration et formation inutiles. Bonne

SMAISON PUPIER

i ce n’est pas le premier rendez-vous de la Maison Pupier avec les fêtes de fin d’année, loin de là, ce sera celui du nouvel équipage qui en a repris les rênes en début d’année. Une véritable chance pour les Lyonnais qui retrouvent aux manettes de cette belle maison née en 1947 des grands noms de la poissonnerie. Dont deux MOF, Jean-Luc Vianey, le célèbre poissonnier de la Croix-Rousse qui a embarqué dans l’aventure son chef Yannick Decelle, et le non moins célèbre Cédric Bejaoui, qui a enchanté des années les amateurs de poisson du quartier d’Ainay. Ainsi armé, le navire affronte donc sans crainte les rendez-vous festifs, toujours synonymes de très forte affluence.

Avec de nombreux atouts dans la manche, notamment l’exigeant sourcing des deux MOF qui privilégient la petite pêche artisanale de poissons sauvages, les petits ostréiculteurs patiemment testés, et recherchent sans cesse l’excellence. Poissons de saison, Saint-Jacques de Dieppe, langoustes vivantes de Bretagne, on en passe, leur obsession se retrouve dans les circuits ultra-courts, la traçabilité, et le développement durable. Des poissonniers militants ? Mais oui ! Et s’ils ont bien des pancartes ce ne sont pas eux qui défilent, mais leurs clients, ravis que la maison Pupier perdure avec de si belles têtes d’affiche.

Tél. 04 81 91 25 75

AVALANCHE DE PLATS CUISINÉS POUR LES FÊTES

« Tout est fait maison » se réjouit Cédric Bejaoui qui a décidé avec ses acolytes de développer la partie traiteur de la proposition Pupier, mission confiée à Yannick Decelle. Au menu, gratins de fruits de mer, coquilles Saint-Jacques, navarins de homards, médaillons de saumon... « On peut aussi faire des poissons froids sur plateau », ajoute le MOF. Mais passez plutôt les voir pour les commandes. La liste est longue.

NOUVEAU LEXUS LBX

MAISON ROUSSEAU

Que différencie la maison Rousseau des autres maisons de poissons et coquillages des Halles de Lyon ? Réponse, facile... Chez Rousseau, il y a Alexandra, la patronne, son sourire, sa bonne humeur, son savoir-être en un mot. Facile, oui, essentiel même, mais insuffisant. Car en quatre générations de présence il n’y a pas toujours eu Alexandra Lemmens, ni son mari Jean-Louis, ni leur équipe. Eux, ils sont là depuis 2001. Alors ? Suivez-nous, direction l’enseigne lumineuse, les huitres les plus réputées sont au rendez-vous ; les crustacés à peine arrivés de la pêche baignent dans un vaste vivier ; langoustines, bulots et

bigorneaux occupent les étals... Un restaurant, non, deux avec le « Petit Salon », des mangedebout en terrasse, « jusqu’à quatre cents couverts les grands jours », confie Alexandra. Eh bien voilà... Chez Rousseau, on cuisine, beaucoup, crustacés et coquillages avec le bouillon maison, poêlées de couteaux et ormeaux introuvables ailleurs, œufs brouillés aux oursins en saison, gratins de homard... Et tiens, un tartare de saumon aux huîtres. Un must. On résume ? Chez Rousseau, Il y a Alexandra, plein de plats, on les trouve que là-bas, c’est pour ça qu’on y va...

Tél. 04 78 62 37 65

VPLUS DE QUATRE CENTS PLATEAUX POUR NOËL

« Nous prenons les commandes jusqu'au 22 décembre » explique Alexandra. « Et la journée du 24, tout le monde est sur le pont, avec des renforts, les écaillers en bas, et les vendeurs au magasin. Nous fixons une heure de disponibilité du plateau au client. Il vient quand il veut mais pas avant. Et les plateaux montent en fonction des heures. La salle de restaurant est refroidie, comme un frigo. Et le bar réservé au retrait des plateaux ».

Cerise et potiron

oilà une échoppe qui donne vraiment envie de s’y aventurer. Bien placée dans les Halles, vite repérable, « Cerise et Potiron » offre de surcroit un univers particulièrement bien travaillé pour que le quidam s’y sente bien. Quand le mot « agréable » se conjugue avec « courses », même le plus renfrogné apprécie. Car ils sont beaux et bien rangés ces champignons frais et butternuts, panais et topinambours. Il y a même des crosnes et des cardons, ce qui à Lyon fait figure d’hommage aux anciennes générations, et contraindra gentiment

les plus jeunes à réclamer les recettes à leur maman... Côté fruit, c’est la saison de l’exotique, la spécialité de « Cerise », si on me permet ce diminutif, avec en tête d’affiche l’ananas Victoria et le litchi droits venus de la Réunion, mais aussi le fruit du dragon, le fameux pitaya... Et puis la châtaigne qui, avec de nombreuses variétés de pommes, valorise la production hexagonale. L’obsession de « Cerise », variété et goût, sont bien au rendez-vous, notamment pour les fêtes avec plus de 150 références. Ah, flûte, j’oubliais les fruits secs. Et donc ? Il y en a plein !

DE BELLES IDÉES POUR LES FÊTES

Comment nous sauver la fin de repas avec des idées à la pelle que l’on n’a pas toujours ? Chez Cerise et Potiron, il est possible de commander des corbeilles ou paniers de fruits frais – exotiques ou de saison – et puis de fruits secs, afin de surprendre nos invités. La classe.

Tél. 04 37 23 54 69

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“JE SUIS UNE FEMME ENGAGÉE, PAS UNE MILITANTE. MON ENGAGEMENT EST DANS LE MOUVEMENT”

BLANDINE PEILLON

SERIAL ENTREPRENEUSE LYONNAISE

Chaque mois, Alexandra Carraz-Ceselli, fondatrice de L’Équipe des Lyonnes, un réseau de 3000 membres qui encourage les femmes à prendre leur place dans le débat public, nous propose de découvrir une lyonnaise au parcours exceptionnel, au cours du podcast « Le Café des Lyonnes ». Ce mois-ci, nous vous emmenons à la rencontre d’une « serial entrepreneuse » audacieuse et déterminée. Fondatrice de l'agence Charleston, puis Jours de Printemps à Lyon, Jolie Siam au Vietnam, investie dans différents mandats auprès des acteurs économiques locaux, pour de multiples associations, femme de réseaux et de projets concrets, toujours au service des autres, on ne présente plus Blandine Peillon, à la tête du réseau Pro d’Ici, dernier né de sa longue série d’initiatives vertueuses pour l’éco système lyonnais. Une femme de conviction, qui prône la solidarité et la détermination pour avancer et ouvrir de nouvelles portes.

Propos recueillis par Alexandra Carraz - Photos © Jean-Luc Mège et DR

Pensez-vous être une femme engagée ? Si oui, qu’est-ce que cela signifie pour vous ? BP : Oui, Je suis une femme engagée, mais pas une militante. Je suis plutôt une engagée de la vie en général, portée par des valeurs comme l'égalité des chances. Mon engagement, c'est le mouvement, la contribution. Cela se traduit par le fait que je sois une opportuniste, dans le bon sens du terme. On peut me solliciter pour tout, et je mets en route une sorte de machine de guerre. Mon souhait est de faire avancer les choses, contribuer, essayer de voir comment je peux aider. Nous ne nous rendons pas toujours compte à quel point il est facile de donner un coup de main. Cela ne coûte pas grand-chose et les effets sont en revanche énormes.

Vous avez souvent bousculé les codes à Lyon, quel est votre retour d'expérience ? Pensezvous que les femmes sont assez présentes dans l'espace public, ou se mettent-elles des freins ?

Je ne sais pas si cela a vraiment été un sujet pour moi. Être une femme, je l’ai toujours perçu comme une chance. Dans les institutions et les mandats que j'ai occupés, nous n’étions pas nombreuses mais j'ai trouvé que nous étions valorisées. Les hommes appréciaient notre présence, et ils nous accompagnaient. En revanche, je sais que ce n’est pas l’expérience de toutes. En ce qui me concerne, j'ai grandi dans un environnement où l'on m'a donné ma place. Dans ma famille, avec deux filles et deux garçons, l'équité régnait. J'ai grandi avec cet exemple, ce qui m'a permis de m'affirmer et de trouver ma place sans difficulté dans la vie en général.

Avez-vous déjà rencontré des difficultés à exprimer vos idées et à vous faire entendre dans certaines situations ? Sincèrement, jamais. J’ai une autre chance dans la vie, c'est d’être grande, et très souvent, je suis plus grande que les hommes. Je pense que cela aussi été un atout pour moi. Ce n’est pas que je parle fort ou que je veux écraser, mais je pense que la posture physique a également été importante. Mes 1,80m m’ont beaucoup aidée donc, mettez des talons les filles !

Pourquoi est-il important de s'engager dans des mandats en dehors de sa sphère professionnelle ?

Nous nous enrichissons en puisant à l'extérieur un tas d'expériences des autres. Personne ne viendra vous chercher si vous restez chez vous. Il est crucial de ne pas rester isolé. L'erreur, c'est de penser que tout ce qui nous arrive ne concerne que nous. En réalité, en sortant, on réalise que ce n'est pas si grave et que d'autres ont vécu des situations similaires. C'est essentiel que les gens vous connaissent et que vous fassiez le premier pas. Adopter une posture d'ouverture est indispensable.

“BEAUCOUP DE FEMMES FONT DES CHOSES, MAIS ELLES EN PARLENT MOINS”

D'après votre expérience, pensez-vous que les femmes sont aujourd'hui suffisamment présentes et engagées dans différents secteurs ? Est-ce qu'elles osent moins s'affirmer et s'engager, ou au contraire, cette réalité a-t-elle évolué ?

Je connais beaucoup de femmes qui font énormément de choses et qui restent très discrètes. Donc, je ne dirais pas qu'elles ne sont pas assez présentes. Je pense que chacune agit selon ses envies et ses capacités.

Je ne suis pas du genre à culpabiliser les autres, sauf quand il s'agit d'entrepreneurs qui ne se concentrent que sur leur business. Je trouve que beaucoup de femmes font des choses, mais elles en parlent moins. Et je crois vraiment à la charge mentale des femmes, c'est une réalité. Moi-même, j'ai souvent culpabilisé, me demandant si j'avais assez poussé mes enfants dans leurs études ou si j'avais fait les choses correctement. J'ai toujours pensé que l'exemplarité était importante, que mes enfants, en me voyant agir, auraient envie de faire pareil. Mais cela n'a pas toujours fonctionné. Parfois, ils voyaient plutôt ma fatigue ou le fait que j'étais souvent absente. Donc, je n'ai pas toujours bien fait, mais l'essentiel, c'est que j'ai agi.

Comment peut-on se libérer de la charge mentale liée à la parentalité ?

Pour se libérer de cette charge mentale, il est essentiel d'accepter que tout ne sera pas parfait. En tant que parent, j'ai réalisé que, même si je n'ai pas toujours pris les bonnes décisions, j'ai donné à mes enfants les "codes de la vie". Ce qui compte, c'est qu'ils s'épanouissent selon leur propre chemin, sans se laisser influencer par les comparaisons avec les autres. Si j'étais sur une île déserte avec eux, je les trouverais formidables, peu importe leur parcours. Aujourd'hui, je suis fière de voir que mes enfants sont devenus des entrepreneurs, prouvant ainsi que ma contribution a été significative.

Si vous aviez une baguette magique ou une page blanche, quelles mesures prendriezvous pour que les femmes s'engagent davantage dans le débat public ?

Il y a une chose qui m'a intéressée, c'est assez récent, ce sont les concours d'éloquence. Je pense que cela s'apprend dans le milieu scolaire ou éventuellement dans l'enseignement supérieur. L'éloquence et la prise de parole sont essentielles ; je pense que lorsque l’on sait s'exprimer, nous craignons moins le regard des autres. Et même si l'on dit des inepties, ce n’est pas grave, nous n'en mourons pas, nous pouvons en rigoler après et puis passer à autre chose.

> Retrouvez cet entretien dans son intégralité sur la chaîne « L’équipe des Lyonnes »

Parc des Oiseaux

LES NUITS DU PARC

“UN PETIT POISSON, UN PETIT OISEAU” UNE LUMINEUSE HISTOIRE D’AMOUR

Une heure quinze de cheminement pour petits et grands autour de l’étang, dans un Parc des Oiseaux magnifié dès la tombée de la nuit par des objets lumineux, des sentiers et des arbres savamment éclairés et décorés, et puis sept rendez-vous de spectacles lumières pour raconter l’histoire... Le défi proposé par le directeur du parc Emmanuel Visentin à Gilbert Coudène était grandiose, comme le lieu magique, inspirant... alors le patron des Allumeurs de Rêves s’en est emparé.

L'étang vu de la tour

: Philippe Lecoq

DÉAMBULATION FÉÉRIQUE DANS LES ALLÉES DU PARC

Gilbert Coudène ? La « Région des Lumières », des dizaines de spectacles intergénérationnels projetés sur le patrimoine remarquable de villes d’Auvergne-Rhône-Alpes, c’est lui, avec sa dream team. Le spectacle lumières en décembre sur Fourvière, c’est lui aussi. Coudène a fait du terroir sa marque de fabrique et son succès dans le monde du mapping vidéo. C’est sa patte. Dans la région, comme à l’international. Chaque histoire que ce concepteur lumière lyonnais scénarise et met en scène est un hommage à un lieu, à ses habitants, à son histoire, et à ses secrets qui font sa réputation...

Alors l’histoire, justement. « Nous sommes dans la Dombes, avec ses étangs remplis de carpes, dans ce très beau parc qui accueille plus de 2000 oiseaux du monde entier... J’ai très vite pensé à la belle chanson de Gérard Bourgeois et Jean Marc Rivière rendue célèbre par Juliette Gréco ». Et de fredonner, en direct :

Un petit poisson, un petit oiseau

S'aimaient d'amour tendre Mais comment s'y prendre Quand on est dans l'eau

« Nous allons raconter l’histoire des familles

Carpulet et Chantaigu » poursuit Gilbert, « nos Roméo et Juliette, ils vont se rencontrer, se plaire... Leur premier baiser. Mais leur amour semble impossible, où s’aimer ? Et comment s’y prendre quand on est là-haut ? “Nous emmenons les spectateurs suivre leur histoire le long d’un parcours tracé dans le parc”. Celui-ci passe par la crique des manchots – à la fois oiseaux et un peu poissons – devant la tour panoramique où cinq scènes

de célèbres amours impossibles sont projetées, et puis par les bords de l’étang, vidé l’hiver, qui semble comme rempli d’eau par un jeu d’images, 17 000 m2 tout de même... Dans cet étang virtuel les poissons Carpulet et les oiseaux Chantaigu vont se bagarrer, mais Juliette et Roméo vont transformer la bataille en grand bal, après s’être costumés : Carpulet en oiseau et Chantaigu en poisson, ce sera du côté de la scène musicale », débobine à très grande vitesse Gilbert.

Ouf ! Voilà un pitch aux détails prestement préservés... Tant mieux, rien que l’idée de départ, la poésie qui émane du scénario concocté par Coudène et par les beaux dessins de la talentueuse graphiste Margot Zussy, donnent déjà l’envie d’aller à la rencontre des Carpulet et des Chantaigu. D’autant que la musique, omniprésente, acteur toujours privilégié des spectacles de notre directeur artistique, a été confiée à Paul Lecomte, Léopold Cordier, et Serge Folie. « J’ai souhaité faire créer trois partitions différentes, avec de nombreux chants d’oiseaux mêlés à plusieurs instruments, comme le xylophone, le marimba, le violon, la flute, le cor... joués par des amis musiciens de l’opéra de Lyon », souligne Gilbert, qui utilisera aussi des chansons populaires connues, parfois dansantes, sur le thème des oiseaux et des poissons.

Dont sept, comme déjà évoqués, réservés aux spectacles de mapping vidéo. On évalue sans mal le matériel à installer sur place, le nombre de projecteurs et donc de professionnels nécessaire au bon fonctionnement de l’ensemble.

Mais imagine-t-on le nombre d’artistes, illustrateurs, motion designers, musiciens, ingénieurs et techniciens, qui ont œuvré avec Les Allumeurs de Rêves (Estelle, Barbara, Christophe, Jules) à la conceptionréalisation ? Les sociétés Vendredi 4 (Sylvie, Sébastien, Léo, Théo, Mattéo), Studio Epsztein (Leslie, Sébastien), Big Company (Stéphane, Hugo, Damien, Maxime), Théoriz (Jonathan, Marguerite, Pierre, Benoît et Romain) et Pixel n’Pepper (Nathanaëlle, Cyril) ont été appelées par Gilbert. Pour la Lumière, les entreprises se nomment Pitaya, Blachère et Tilt. Et pour la technique, Emmanuel Visentin a choisi 7e Sens avec le régisseur général Karacas, Alabama-Novelty, et Sowarp.

Tous sont mobilisés pour le coup d’envoi du 28 novembre, pour ce rendez-vous avec la magie, avec la poésie, celle de la lumière qui s’installe dans la nuit, celle du conte imaginé par Gibert Coudène, et celle de la musique qui l’accompagne. Petits et grands sont sensibles à la poésie pour peu qu’elle ne soit pas inlisible.

Alors chut... la magie va opérer. Et l’émerveillement suivre. C’est écrit.

Les Nuits du Parc

Ouverture à la tombée de la nuit

Du 28 novembre 2024 au 10 mars 2025, selon calendrier

Tél. 04 74 98 05 54

> Plus d’infos sur parcdesoiseaux.com

DE L’ÈRE VOLCANIQUE À L’AIRE DE GLACE

La crique des manchots comme vous ne l’avez jamais vue

LES NUITS DU PARC EMMANUEL VISENTIN

“UN

ÉVÉNEMENT

QUI

PEUT PRENDRE UNE ENVERGURE NATIONALE”

Emmanuel Visentin est le directeur du parc des Oiseaux depuis bientôt vingt ans. Il est aussi directeur d'AinTourisme (ex-comité départemental du tourisme de l’Ain).

LP : Quelle est la genèse de ce spectacle Lumières au parc des Oiseaux de fin novembre à mars ? Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans une telle opération ?

EV : Une nécessité et une opportunité. D’abord la nécessité de désaisonnaliser l’exploitation du Parc, liée notamment aux épisodes caniculaires que nous avons connus. Pendant ces épisodes les habitants de la région et les touristes préfèrent rester chez eux. Et comme les projections sur le climat montrent que le nombre de jours de forte chaleur va fortement augmenter d'ici 2050, nous avons décidé de sortir de l’été-dépendance et d’ouvrir progressivement notre Parc en automne-hiver. Il faut se préparer.

Voilà pour la nécessité, vous avez évoqué une opportunité ?

En fait, il y en a trois. La première, nous avons un projet ambitieux de création d’un parc d'hébergement touristique contiguë au Parc, et créer une activité hivernale va fortement augmenter le nombre de jours d'exploitation,

Propos recueillis par Philippe Lecoq – Photos Jean-Luc Mège

donc la rentabilité de l’investissement. La deuxième opportunité, en miroir avec ce que nous avons évoqué, est que nous traversons de plus en plus d’automnes et d’hivers agréables, propices à la visite. Et puis la troisième, c’est l’appétence des équipes du Parc des Oiseaux à innover et à sortir du quotidien. Elles ont une rare capacité d'adaptation qui a notamment fait ses preuves dans le développement des « Musicales du Parc », entièrement organisées en interne. C’est une véritable opportunité de pouvoir compter sur ce capital humain.

Justement, combien de salariés avez-vous sur le parc ?

55 employés permanents. Au mois d'août, avec la saison estivale et les Musicales, nous montons à environ 150 fiches de paie. La particularité de notre structure est de compter plus de trente-cinq métiers différents. Malgré notre dimension modeste en comparaison des grands parcs français, nous avons fait le choix de préserver en interne les fonctions les plus essentielles d'une entreprise traditionnelle de loisirs.

Alors, pourquoi avoir choisi un spectacle Lumières ?

Nous avions déjà créé deux événements lumières pendant la période estivale en 2017 et 2019, en partenariat avec la Fête des Lumières de Lyon. Il s’agissait en 2017 d’une déambulation dans le parc, la nuit tombée, au milieu de décors lumineux, à laquelle a été ajouté un spectacle sur écran d'eau en 2019. Avec ces deux éditions nous avons pu vérifier que le Parc était adapté à de tels événements, mais elles n'avaient pas apporté de fréquentation supplétive. Pour deux raisons : l'été est déjà une période haute de fréquentation ; et la nuit tombe vraiment tard.

Vous avez tout de suite opté pour une déambulation dans le parc ?

La déambulation est évidente dans notre Parc. Il est fait pour. Nous avons la chance d'avoir un chemin en enrobé, plat, sécurisé. Il est conçu pour faciliter la gestion de flux, ce qui est essentiel en hiver et en nocturne. Donc oui, le cheminement a toujours été notre objectif. Et puis, second point,

je voulais un événement festif et léger car l’hiver est synonyme de fête et de ressourcement positif.

Vous évoquez les oiseaux, j’imagine que vous avez aussi des exigences pour ne pas que les lumières, le bruit, puissent les déranger ?

Au parc, il n'est pas possible de rompre avec la condition du bien-être des oiseaux. C'est dans notre ADN, le départ de toute réflexion et de toute innovation. Aussi bien pour les oiseaux dits en captivité, que pour les oiseaux sauvages qui vivent sur le parc. Dans le cahier des charges de l'appel d'offres, il y avait un certain nombre de sites exclus pour ne pas les déranger. Et lorsque nous avons reçu les réponses des candidats, j'ai aussitôt envoyé les propositions à notre vétérinaire et notre responsable animalier pour validation, et aussi à la Ligue de protection des oiseaux puisqu'une moitié du parc est labellisée refuge LPO. Des adaptations ont été apportées au projet initial à la suite de ces consultations. Comme par le passé pour les Musicales, les équipes du parc adhérent à ce projet car elles savent que nous sommes très vigilants sur ce sujet.

Cela dit c’est l’hiver, les oiseaux sauvages ont migré, non ?

En hiver, oui, il y a beaucoup moins d'oiseaux sauvages sur le site, et la plupart des oiseaux captifs sont dans leurs abris. Un tel événement au printemps serait impossible au Parc car susceptible de déranger la période de reproduction.

C’est le projet de Gilbert Coudène qui a été retenu. Au-delà des exigences dues aux oiseaux présents sur le site, êtes-vous intervenu sur le scénario ?

Pendant l’été nous avons surtout discuté avec Gilbert Coudène du principe du parcours,

de l'emplacement de certaines scènes et des moyens à mettre en œuvre pour réussir les principales séquences. Nous avons également échangé sur les choix musicaux car nous avons la même sensibilité sur ce sujet essentiel à la réussite du projet. Nous avons eu de nombreux échanges techniques sur la scène du bal, autre enjeu extrêmement important. Mais je lui laisse son parti pris artistique. Chacun son métier. Je crois que

nous partageons deux valeurs essentielles à la concrétisation d’un tel projet : l’ambition et l’exigence.

Il y a quatorze sites « Lumières », dont sept de vidéo-mapping. C’est « énorme » techniquement mais aussi en amont pour la partie création. Quel est le budget du spectacle ?

Un million d’euros. Il s’agit d’un événement entièrement financé par la billetterie, sans subventions des collectivités ou mécénat. Il nous faudra donc accueillir entre 50 et 60 000 visiteurs pour équilibrer l’exploitation. C'est une première édition, avec beaucoup d’innovations dont un écran de 17 000 m2. La création d'un événement de cette dimension dans la région est un défi collectif important pour le Parc des Oiseaux. Un défi qui rentre dans une stratégie maitrisée qui va agir comme un tremplin pour le développement futur de notre entreprise.

Comme toujours avec Gilbert Coudène, le spectacle s’inscrit dans le territoire... Oui, la Dombes sera omniprésente dans le récit de Carpulet et Chantaigu. Les artistes, artisans et techniciens sont les principaux ambassadeurs d’une région Auvergne–Rhône-Alpes qui a élevé les Lumières parmi ses domaines d’excellence. C'est la première édition d'un événement qui peut vraiment prendre une envergure nationale dans les prochaines années. Je suis confiant et convaincu que le bouche à oreille fera notre succès !

8 décembre
L’ode aux femmes “Fourvière en voix” revient illuminer la basilique

Comme l’an passé, le spectacle lumières imaginé et projeté par les équipes des Allumeurs de Rêves, sur la basilique de Fourvière, sera au rendez-vous du mois de décembre. Mais à la différence de l’année dernière il participera aux fêtes des Lumières de Lyon, au moins trois soirs de suite et plusieurs fois par soir, les 5, 6 et 7 décembre.

Conçu par les équipes de Gilbert Coudène, ce spectacle visuel et sonore est projeté sur la façade monumentale de la basilique, ses tours, et sa chapelle. Chacun de ceux qui avaient pu le voir s’en souvient. C’est magnifique. Magique. Saisissant. Juste beau.

Et ouvert à tous les publics, comme le veut la tradition des spectacles vidéo mapping du Festival Région des Lumières créé et financé par la Région Auvergne-Rhône-Alpes, avec à la clef un incroyable succès populaire.

Pendant ces trois jours de Fête des Lumières, le spectacle a été réduit à 10 minutes à la demande de la préfecture, pour des raisons de sécurité, afin de favoriser le turnover du public. En fin d’année, du 26 au 31 décembre, le spectacle reviendra, tous les soirs, dans sa version d’origine à 18’.

Sur 200 000 visiteurs en 2023, 4 000 personnes en situation de handicap avaient pu s’inscrire. Grâce au dispositif « Bouquet d’Accessibilité

Universelle », conçu par le pôle d’innovation SWING le Lab, le spectacle sera cette année encore vraiment accessible à tous, avec un parking dédié, un handi-accueil, de l’audiodescription, maquette tactile, plancher vibrant, zone de point de vue réservée, cheminement PMR…

Pour mémoire, le spectacle rend hommage à des femmes lyonnaises, de Sainte-Blandine aux résistantes Elise Rivet et Daisy GeorgesMartin, à des vierges du monde accueillies dans la crypte de Fourvière, comme Notre Dame de Czestochowa (Pologne) ou Notre Dame d’Aparecida (Brésil)… Avec ces portraits, des voix féminines sur la bande son, des chœurs, des airs populaires et des chants a capella…

DU MONT BLANC

Les Frimas P.48

Antonin Immobilier P.52

Terrésens P.54

Chalet 141 P.56

Restaurant Coucou P.59

Chalet Maier P60

Stéphane Germain P.63

Agence immobilière de Megève P.63

Chalet Mont-Blanc P.64

Ascent Megève P.67

Chalet 34 P68

Nehome P71

The White Pearl P.72

MEGÈVE CENTRE

LES FRIMAS

L’ ACTUEL CHANTIER DU LUXE DISCRET

C’est dans l'hyper-centre de Megève, rue Ambroise Martin, qu’a débuté un chantier d’envergure.

À seulement trois minutes à pied de la place de l’Eglise, le promoteur Palauma Global Group s’est mis au défi d’ériger d’ici fin 2026 un complexe nommé “Les Frimas”. Explications de ce projet alliant rénovation d’un chalet et construction de deux nouveaux sujets, destinés à accueillir des appartements du T2 au T5.

Texte : Pauline Morasz – Photos © Palauma Global Groupe

CLASSÉ PATRIMOINE REMARQUABLE

C’est dans les années 40 que Jean-Pierre Gaiddon, ami d’Henry Jacques Le Même, entame la construction de ce chalet. Sans nul doute inspirées par cette amitié, des caractéristiques signatures du désormais célèbre “Chalet du skieur” font de ce sujet un actif remarquable... Et d’ailleurs remarqué par un architecte des bâtiments de France (ABF) qui en lui attribuant une étoile lors d’une promenade rue Ambroise Martin, lui a conféré le classement de patrimoine remarquable. Si ce classement ne repose que sur la subjectivité de ceux qui sont en mesure de l’attribuer, il impose toutefois aux propriétaires de nouvelles obligations dont l’ambivalence est indiscutable. Eyal Bompuis l’a bien compris : si ce classement empêche, à vie, la destruction de ce patrimoine, il induit également des règles strictes quant à la constructibilité potentielle de la parcelle. Toute adaptation du bâti est ainsi soumise à la validation stricte de l’ABF. Le promoteur a donc contacté un premier cabinet d’architectes au commencement du projet de réhabilitation de la parcelle. Problème : le cabinet, sélectionné “pour son coup de crayon”, soumet un projet totalement déconnecté du visage que l’urbanisme souhaitait donner à la ville. Changement de tactique et rapprochement d’un cabinet local ayant déjà œuvré sur des réhabilitations de ce type : TEMA. Le projet est accepté, le chantier peut débuter.

UNE RÉNOVATION

AUX PETITS OIGNONS

Les grands traits guidant cette rénovation se sont naturellement dessinés. Si historiquement les salons cathédrale se situaient en étage pour bénéficier de la charpente et la chaleur, la montagne étant désormais plébiscitée toute l’année implique une configuration ouverte sur l’extérieur, permettant d’en profiter hiver comme été.

L’évolution au fil du temps induit également la nécessité d’adapter les chalets historiques aux normes et températures actuelles : c’est pour répondre aux actuelles réglementations thermiques et environnementales que la toiture a dû être intégralement déposée, dans l’optique d’être remise en état et augmentée de 20 centimètres, le tout dans le parfait respect de son design initial. À l’intérieur, les vieux planchers seront intégralement tombés, épaissis puis reposés. Même sort pour l’iconique bow window qui sera déposée puis refaite à l’identique avec des matériaux améliorant son isolation. Une baie vitrée viendra agrémenter la cuisine actuelle pour créer un accès au rez-de-chaussée sur l’extérieur, ajoutant une terrasse et le jardin aux lieux de convivialité du chalet.

La future cuisine contemporaine agrémentée d’une nouvelle baie vitrée
Master bedroom, alliant douceur et chaleur dans les matériaux sélectionnés
L’espace bien-être avec salle de fitness, sauna, hammam et ski room

Une pièce de vie à la luminosité naturelle décuplée par la bow window

C’est tout l’enjeu de cette rénovation d’exception : sublimer l’existant en réinventant l’intérieur, tout en conservant l’enveloppe extérieure. Dichotomie résultant d’ailleurs selon le promoteur d’un antagonisme marqué entre les chalets d’hier et la vision que l’on en a aujourd’hui.

À BAS

L’OSTENTATOIRE, PLACE À L’ÉLÉGANCE RARE

“On en a assez du luxe, tout est luxe aujourd’hui, surtout à Megève !” - c’est de ce constat sans appel du promoteur qu’a émergée la notion de luxe discret, s’inscrivant en filigrane dans l’ensemble des facettes du projet : l’élégance rare, qui se lit et s’apprécie sans être clinquante. La priorité ici est d’apporter un réel confort d’usage, “du beau

pour être confortable, chaleureux et élégant, pas juste beau”. Selon Benoît Chanal et Gaël Lombard, “à toute clientèle, aussi longtemps qu’elle aura une sensibilité à l’élégance”. Il y a ceux qui cherchent à s’installer à Megève, et ceux qui cherchent à se rapprocher du centre. Toutefois, si la clientèle française représente aujourd’hui 40 à 50% de la

clientèle de l’agence, le dynamisme de Megève, village animé toute l’année, et non plus seulement une station, permet le regain d’une clientèle étrangère. Après les Genevois, fervents adeptes et principaux acteurs de l’effervescence du village le week-end, ce sont les Britanniques et le Moyen-Orient qui se hissent dans le top 3 de cette clientèle.

Gaël Lombard, Sales Consultant chez BARNES Mont-Blanc
Benoit Chanal, Consultant Private Office chez BARNES Mont-Blanc

ANTONIN

L’AGENCE DES CHALETS SUR-MESURE

L’agence immobilière Antonin Allard concrétise les projets spécifiques de ses clients avec une approche familiale sur-mesure et inspirée par le monde de l’art.

Le luxe aujourd’hui c’est la personnalisation », annonce Antonin Allard, le fondateur de son agence immobilière homonyme, située à Megève. En effet, l’agence propose une prise en charge complète en s’adaptant aux besoins et aux attentes spécifiques de ses clients. L’entreprise se dédie principalement à la transaction immobilière. Elle s’adresse à une clientèle exigeante à la recherche de biens qui leur permettent de raconter leur histoire familiale. « Ceux qui ont fait le tour du marché se tournent vers nous pour rechercher des biens spécifiques hors du marché », précise Antonin. Parmi eux, on compte de nombreuses familles lyonnaises qui sont amoureuses de Megève, mais également une clientèle internationale basée à Genève ou Londres, issue de l’industrie, de la finance ou du trading.

Après la signature de la transaction, l’agence suit ses clients dans l’entièreté de la rénovation : « Notre vocation est de les guider pour former une équipe sur-mesure avec un architecte, un décorateur, des artisans locaux, etc. », poursuit-il. C’est pourquoi l’entreprise dispose également d’une société d’assistance à maîtrise d’ouvrage.

Une approche globale et artistique. Hormis la transaction et la rénovation, la gestion du bien immobilier est également proposée avec la mise en place d’une équipe dédiée toute l’année. Par ailleurs, l’agence Antonin développe son activité en louant les biens transformés par et pour ses clients, ainsi qu’en proposant une approche marketing basée sur les vidéos. Cette offre globale correspond à l’un de leurs atouts principaux. Mais pas seulement : l’agence se caractérise aussi par son travail avec des artistes. D’ailleurs, elle est aujourd’hui installée dans une ancienne galerie d’art qui, cet hiver, proposera un parcours artistique en collaboration avec le chalet Magic Megève. Un chalet dont la conception a été réalisée avec des artistes de renommée internationale. Cette inspiration artistique permet « d’enrichir les projets de nos clients pour des chalets plus personnalisés et sensibles », assure Antonin Allard.

Des relations de confiance. Fondée il y a onze ans, l’agence Antonin qui s’inspire du modèle du « family office » compte aujourd’hui sept employés dont Antonin et son épouse. « L’important pour nos clients, c’est d’avoir un interlocuteur de confiance, sur place, toute l’année et durant tout le projet, complète le directeur d’agence. On vend un bien mais surtout un projet, donc on suit nos

clients sur plusieurs années. » D’ailleurs ces liens se fêtent chaque année à l’occasion de l’inauguration du sapin de Noël de Megève. Le 7 décembre 2024, l’agence réunit donc ses clients, qu’ils soient Lyonnais, HautSavoyards ou étrangers, ainsi que ses partenaires architectes, artisans et artistes pour se retrouver avant les fêtes de fin d’année.

Agence Antonin Allard

112, rue Saint-François – Megève

Tél. 04 50 90 60 16 > Plus d’infos : www.antoninallard.com

Société indépendante à l’esprit entrepreneurial fort, nous mettons à la disposition de nos clients et partenaires une plateforme globale leur permettant d’accéder à des services à haute valeur ajoutée en matière de gestion privée, de family office et d’investissements sur de nombreuses classes d’actifs (titres cotés, immobilier, private equity, produits structurés, etc).

LÀ MEGÈVE, TERRÉSENS

RENFORCE SON SENS DE L’HOSPITALITÉ

Le vent en poupe, le groupe lyonnais spécialisé dans l’immobilier de montagne, s’offre une arrivée remarquée dans la station haut-savoyarde de Megève.

e 21 décembre prochain, Terrésens dévoilera sa nouvelle résidence haut de gamme, l’Éclat des Vériaz, offrant 90 premiers logements, pour « une capacité totale de 500 couchages », au cœur d’un « parc verdoyant de 3 hectares ». Le spécialiste de l’immobilier de loisirs a trouvé une autre façon de séduire ses futurs occupants en dévoilant, quelques visuels attrayants de son « projet phare ». « Sa superficie nous a permis de concrétiser notre envie de développer un Mountain Resort exclusif à l’esprit de village chaleureux, dans un cadre d’exception », glisse l’entreprise, présidée par Géraud Cornillon Un modèle de réussite auquel la station hautsavoyarde ne pouvait échapper.

« S’implanter à Megève était un objectif depuis nos débuts, en 2008 ! Terrésens a développé L’Éclat des Vériaz avec l’idée d’en faire son Everest. Il associe hôtel, résidence de tourisme (sous gestion locative) et chalets dans un esprit de hameau », évoque le promoteur.

Et pour cause, le projet propose des logements allant des studios aux appartements 6 pièces, ainsi que des « chalets somptueux », pour la plupart ouverts sur le manteau enneigé du Mont-Blanc. S’il faudra encore patienter jusqu’au 2e trimestre 2025 pour découvrir la seconde tranche, incluant des chalets pouvant aller jusqu’à 200 m2, L’Éclat des Vériaz est déjà paré à « devenir le prochain incontournable de la station ».

“RENOUER AVEC LA TRADITION PERDUE DES ÉTABLISSEMENTS PREMIUM PENSÉS POUR LES FAMILLES”

Megève est à la fois un lieu de détente et de plaisir, après une journée de descentes le long des versants du Mont d’Arbois ou de Rochebrune. Cela tombe bien, Terrésens en a fait sa spécialité. Dans ce cadre exceptionnel, sa nouvelle résidence promet d’inviter ses clients à la détente, avec un vaste espace bien-être mêlant « piscine intérieure, piscine extérieure chauffée, sauna, jacuzzi, hammam, espace de halothérapie et salles de soin », le tout sublimé par un service de conciergerie dédié à « proposer des services qui enrichiront l’expérience des clients » Pour autant, Terrésens n’oublie pas ses visiteurs les plus actifs. Ainsi, une salle de fitness et un « espace de coworking cocooning » permettront à chacun de définir ses propres défis, avant de faire une pause

bien méritée au bar du Daddy Pool, avec son « offre culinaire ». Au menu : des petitsdéjeuners gourmands et des goûters après le ski. « Le concept incarne une nouvelle vision de la montagne, où authenticité et créativité se rencontrent pour des souvenirs mémorables. » « Ce choix nous permet de rester en phase avec notre concept de résidence : offrir un cadre où chacun peut organiser son séjour selon ses envies, sans imposer de contraintes ou de formules tout inclus », soutient le groupe lyonnais. De quoi avancer l’idée qu’en son for intérieur, Terrésens détient déjà tous les ingrédients pour proposer des « vacances sans compromis, entre sérénité et plaisir ». Et ainsi épouser ce slogan qui lui est cher : « Vivez l’expérience » ! Inoubliable !

Terrésens

Résidence L’Eclat des Vériaz à Megève 3190, route nationale – Megève reservation@terresens.com > Plus d’informations sur www.terresens-hr.com

VENTE ET LOCATION DE BIENS HAUT DE GAMME DANS LES ALPES

Megève · Combloux · Saint-Gervais-les-Bains · La Chapelle d’Abondance · Les Carroz d’Arâches · Morzine Champagny-en-Vanoise · Peisey-Vallandry · La Toussuire · Notre Dame de Bellecombe · Les Saisies · Bisanne 1500 La Rosière · Plagne 1800 · Plagne Montalbert · Alpe d’Huez · Les Deux Alpes · Vaujany · Chamrousse · Serre Chevalier ...

Emplacements d’exception · Résidences skis aux pieds · Domaines skiables internationaux · Vue panoramique sur les reliefs · Prestations haut de gamme Piscines et espaces bien-être · Expérience unique

Quand le cosy s’invite à l’extérieur, pour se plonger dans un panorama à tomber

Il y a ceux qui investissent Megève ponctuellement, décuplant son dynamisme effervescent, et ceux qui y ont grandi, y trouvant refuge depuis des décennies. Ceux pour qui investir à Megève s’inscrit dans un parcours établi, d’autres pour qui cela constitue le rêve d’une vie.

Invitation dans un lieu où l’esthétique fait la part belle à une expérience holistique.

RETOUR À LEURS PREMIÈRES AMOURS

— Qu’est-ce que tu voudrais faire plus tard ?

— Avoir un chalet à Megève !

Si l’évidence de cette envie l’a toujours accompagnée, c’est en 2017 qu’une opportunité s’est présentée au cœur du Jaillet. Considérant ce quartier comme le plus bel endroit connecté au village, ce lieu avec une vue prodigieuse sur la chaîne des Aravis ne tarda pas à orienter le choix de la maîtresse des lieux. Les propriétaires entamèrent alors une réflexion pour métamorphoser ce vieil édifice au bois érodé par les ans en refuge idéal pour se ressourcer. Les massifs enneigés s’inscrivent comme la toile de fond d’une architecture de façade irradiant l’authenticité, étayée de coursives qui enveloppent voluptueusement le bâti. Un sentiment d’immensité nous accompagne dès l’entrée, où un large espace nous accueille, donnant accès à un vaste plateau de 180 m2 offrant

Texte : Pauline Morasz - Photos © Guillaume Grasset

un panorama à 360°. Dès lors, nous voilà envoûtés par une vue, trésor immatériel en toute saison, suscitant une émotion évidente à l’origine de la conception. Un travail que les maîtres des lieux superviseront de A à Z, insufflant çà et là leur naturelle générosité, alliant simplicité et confort hôtelier.

ESTHÉTIQUE

HOLISTIQUE, DOUCEUR ET CHALEUR

Après des années à parcourir le monde en s’émerveillant des services proposés par des hôtels 5 étoiles, transmettre cette expérience du luxe fut pour eux une évidence. Le pari délicat impliquant de transposer le raffinement de ces lieux écrins dans un projet aux volumes généreux. C’est ainsi que les espaces furent réfléchis pour favoriser une circulation fluide et une intimité préservée, alternant subtilement rangements cachés et profusion de mobilier où se lover. Si l’élégance de la palette chromatique distillée au travers

de ce dernier n’a d’égale que sa sobriété, l’omniprésence du mélèze ancien mêlé à un camaïeu d’étoffes qui appellent à la douceur sont autant d’éléments qui invitent au repos de l’âme. Ses inspirations, au-delà des matières veloutées sélectionnées, sont aussi le fruit d’heureuses rencontres. Être entourée d’amis avisés en matière de décoration peut aussi bien mener à des discussions impromptues que dessiner les contours de ce que l’on cherche à réaliser. Il n’y a pas de secret aux bonnes idées, si ce n’est peut-être d’être entourés par ceux qu’on connaît depuis tant d’années. Les échanges quotidiens qui les font vivre, parfois décousus, souvent impromptus, font pourtant apparaître autant d’évidences qu’ils nous aident à révéler ce que l’on souhaitait et dont seuls les contours étaient jusqu’alors esquissés. Si la fonctionnalité a guidé le choix des matériaux pour favoriser la facilité d’utilisation des pièces de vie, c’est l’approche holistique qui définit ici la notion d’esthétique ; car tout répond aux aspirations des hôtes, faisant de chaque espace un refuge près à sublimer les moments de partage et de bonheur en toute simplicité.

“LUXE,

CALME ET VOLUPTÉ”

« Une paire de baskets, un jean et un pull, on n’a besoin de rien de plus pour être bien à Megève », telle est leur définition de la douceur de vivre mégevane. Force est de constater que le panorama époustouflant et le charme des activités proposées au fil des saisons suffisent à faire opérer la magie. La situation de ce lieu

d’exception le hisse d’ailleurs à la position de « l’un des chalets phare de Megève, avec sa vue unique sur le clocher qui n’a d’égale que sa proximité à pied au village » selon Sacha Billiot (Eden Luxury), chargé de sa gestion depuis le premier jour. Si l’effet saisissant du panorama offert dès l’entrée est selon lui la raison de son succès, il semblerait que l’étroite relation de confiance nouée depuis des années entre les propriétaires et cet expert ait permis d’assurer des expériences

Carrefour entre l’intérieur et ouvert sur la terrasse, ce duo de canapés est une invitation à la volupté

sans faute. La sélection affinée des hôtes a instauré une fidélité pérenne, ritualisant des séjours reposants où chaque membre de la famille distille bonheur enivrant et souvenirs palpitants. Si l’on y revient, c’est indiscutablement pour son ADN, alliance de confidentialité et d’expérience sans faille d’un refuge intemporel où générosité rime avec simplicité.

Profitant d’un angle offrant une vue dégagée, le salon est une invitation à la déconnexion (canapés B&B Italia)
Dans la master, similitudes avec la Ferme du Passieu. Coïncidence ? Certainement pas, juste le résultat de choix en concertation avec son ami Pierre !
Œuvre d’art sélectionnée par @ventedart, voilages par Damien d’Atelier Bruneel
Un subtil camaïeu relie et différencie les chambres au travers de coussins et plaids subtilement choisis chez Maison de Vacances, avec autant d’épopées que de conseils avisés de Vanessa Droin
Un ilot généreux pour cuisiner, se retrouver, laisser le temps de filer, agrémenté d’un office caché ultra-équipé
Loin du style savoyard traditionnel, c’est ici l’Italie qui donne le ton au travers du mobilier (B&B Italia)

UN BANC D’ÉCAILLER

POSÉ SUR LA PISTE D’ATTERRISSAGE

Et si vous passiez le réveillon sur le tarmac d’une piste d’atterrissage ? C’est ce que propose le Coucou Café. Ce bistro traditionnel, situé à l’altiport de Megève, embarque une nouveauté à sa carte de Noël.

Texte : Margaux Nourry – Photos © Megève People

Le Coucou Café, c’est le restaurant de l’altiport du village haut-savoyard de Megève. L’établissement est l’endroit idéal pour un repas dans un environnement hors du commun, au bord d’une piste d’atterrissage au milieu des montagnes. Ce lieu unique est accessible depuis les pistes de ski ou par la route de l’Altiport.

Le café-restaurant propose une cuisine bistronomique traditionnelle où la simplicité rime avec une qualité garantie par des matières premières issues de producteurs locaux. Depuis sept mois, Cyril Emery et Karine Alonzo pilotent cet établissement et le réinventent tout en gardant son identité montagnarde. Le menu se compose ainsi de plats aux multiples saveurs : le top des recettes savoyardes jusqu’au couscous du vendredi.

LES FÊTES AU BORD D’UNE PISTE

D’ATTERRISSAGE

Mais ce n’est pas tout... En effet, pour les fêtes de fin d’année, une nouveauté vient compléter la carte du Coucou Café. Il s’agit d’un banc d’écailler. Langoustines, huîtres de la marque Gillardeau, crevettes de Madagascar... De quoi ravir les papilles. Ces mets de qualité seront disponibles directement à la table du restaurant mais également en commande à emporter depuis le 1er décembre.

Par ailleurs, le café-restaurant se démarque des autres établissements d’une autre manière en étant ouvert toute l’année, hiver comme été, même le 25 décembre. « Nous sommes ouverts tous les jours chaque midi ainsi que les vendredi et samedi pour le service du soir », précise Cyril Emery, le gérant. Ajoutant que « des privatisations et des réservations sont tout de même possibles le soir à partir d’une dizaine de personnes ». Les places sont comptées avec la soixantaine de couverts du Coucou Café. Pas de panique pour ceux qui loupent le banc d’écailler pour les fêtes, il est prévu qu’il reste à la carte jusqu’en avril 2025.

UN RÉVEILLON COMME CHEZ-SOI

Si vous optez pour un dîner du réveillon au Café Coucou, vous ne serez pas dépaysé et vous vous sentirez comme chez-vous ! En effet, il est aménagé comme une maison d’un amoureux de l’aviation avec différents espaces : salon, table d’hôte, coin bureau ou encore multimédia. Des jeux de société, magazines et livres sont également mis à la disposition des visiteurs. Toutes les générations vont trouver leur bonheur. L’ensemble créé une atmosphère confortable et chaleureuse.

Coucou Café - Altiport

3368, route de la Côte 2000

74 120 Megève

> Vente à emporter - Plateaux de fruits de mer

> Réservez votre réveillon du nouvel an Tél. 07 71 25 48 52

CHALET MAIER

UN JOYAU D’EXPÉRIENCE HÔTELIÈRE

Adresse d’exception conjuguant brillamment emplacement idéal et vue abyssale, ce chalet tout juste rénové a indiscutablement de quoi impressionner. Au-delà du cadre naturel somptueux, un élément matériel attise la convoitise : une piscine extérieure, dont la rareté dans l’environnement mégevan confère à cette adresse une exclusivité inégalée. Rencontre avec ceux qui ont contribué à transformer ce rêve en réalité.

À L’ORIGINE DU GRAAL, UNE PROUESSE ARCHITECTURALE

D:

eux composantes à l’origine de ce projet : un chalet et le souhait de l’horloger Jean-Louis Maier, de faire de ce lieu une expérience qui se vit hiver comme été. Il est vrai que si nombre de propriétés ont instauré des standards élevés en matière de divertissement à force de spa et salles de home cinéma, il ne suffit

désormais plus de transfigurer les codes du mobilier pour se démarquer. Les piliers de l’exclusivité se sont ainsi hissés au rang de l’expérience partagée, dont le prestige dépend d’un souvenir qui marque à jamais. Sacha Billiot, co-fondateur de l’agence Eden Luxury Homes, spécialiste en hôtellerie de luxe 2.0 le confirme : la piscine extérieure est l’atout

phare de ce chalet puisqu’il est le seul à en disposer, et que désormais, sa clientèle est « en recherche de prestations haut de gamme tout au long de l’année ». Promesse tenue avec une piscine chauffée et des espaces de détente intérieurs pour pallier la fin de l’été. Sur les plans de base émanant du coup de crayon de Bruno Perrin (Art Project), c’est un travail à quatre mains entre Olivier Croze (Groupe ERM), maître d’œuvre, et Géraldine Contet, architecte d’intérieur lyonnaise qui s’était déjà chargée de la rénovation de ce chalet avant sa cession et qui a supervisé l’ensemble du nouveau chantier. Olivier Croze revient sur la prouesse représentée par la création de cette extension malgré un « accès relativement

En plus d'une piscine intérieure, l’espace détente offre une salle de sport avec tapis de marche et vélo elliptique

enclavé », qui ne réside ainsi pas uniquement dans l’aspect challengeant du timing serré qui régissait le chantier. Au-delà des étapes rendant incompressibles certains délais avec lesquels il a fallu jongler, la partie décaissée a demandé une maîtrise sur tous les aspects sachant qu’un angle du chalet était momentanément « suspendu dans le vide avec les deux futurs niveaux inférieurs creusés ». C’est ainsi la maîtrise technique parfaite en termes de sousœuvre qui a permis la réalisation de ce Graal. Et de surcroît de scinder les travaux en deux moments distincts, permettant d’alterner leurs phases sans perturber le planning des locataires ayant souhaité profiter du chalet durant l’hiver.

Olivier Croze, Groupe ERM, Maître d’œuvre sur le chantier
La terrasse extérieure avec cuisine dédiée, calibrée pour accueillir de grandes tables (14 personnes)

La piscine intérieure offre luminosité et pureté des traits

La piscine extérieure mobile intégrée à la nouvelle terrasse, ou le Graal architectural

Un chantier ambitieux pour une extension exceptionnelle

Géraldine Contet, architecte d’intérieur en charge du projet

CONJUGAISON À L’UNISSON D’UNE SIGNATURE COUTURE ET D’ÉPURE

La piscine extérieure a été conçue sur fond mobile pour accroître l’espace terrasse en toute saison, parée de pierres de Luzerne pour rester dans le langage des matériaux extérieurs. Si cet espace de détente n’a pas nécessité de rupture spécifique au travers de matériaux de par sa vocation à se fondre dans un paysage naturellement somptueux, la conception de la piscine intérieure et de l’espace détente ont quant à eux nécessité un travail de conception particulier. En effet, comme Géraldine l’explique, créer une expérience est indissociable du fait de ne pas se sentir enclavé, surtout dans cet espace souterrain destiné à accueillir la piscine intérieure. S’il n’y a donc pas le moindre lien entre les deux bassins, il existe un point central à la conception de la piscine intérieure : le carrelage. Ce dernier, « le Blue Tempest de chez Ariostea, constitua le point de départ de l’identité graphique de la pièce, le choix ayant insufflé l’âme du projet. Un carrelage avec une puissante identité graphique, contrebalancée par la sélection d’autres matières plus douces et sobres pour équilibrer l’ensemble ». Un équilibre maîtrisé, dont résulte un esthétisme indéniable d’où jaillit la lumière, mêlant avec brio épure et couture.

UN ATTRAIT CONFIRMÉ

DÈS CE PREMIER ÉTÉ

Ce choix ambitieux de concentrer la rénovation sur la création de cette piscine extérieure a porté ses fruits : dès cet été, un locataire a joué les prolongations, pour continuer à investir les lieux durant les weekends de septembre. Nul doute que les expériences « fantastiques » qui y ont été organisées durant l’été ont joué dans ce souhait, balayant toute forme de lassitude au profit d’une habitude qui pourrait bien se pérenniser. Affaire à suivre quant à ceux qui feront de ce lieu prodigieux leur repaire, profitant d’un accueil où rien n’est laissé au hasard, digne d’une expérience hôtelière.

> Plus d'infos sur maier-hospitality.com

MEGÈVE - ROCHEBRUNE

SKIS AUX PIEDS ET PROCHE VILLAGE

APPARTEMENT 3 CHAMBRES

Prix : 990 000 €

Appartement proche pistes et village, rénové en 2006, de 76,37 m2 (loi Carrez), comprenant entrée, 3 chambres, 2 salles de bains avec wc, salon-salle à manger et cuisine indépendante. Belle terrasse ensoleillée avec jouissance d’un jardin. Annexes : garage, cave, placard à skis. Vendu avec mobilier.

À 350 MÈTRES DE LA RUE PIÉTONNE

PROXIMITÉ VILLAGE

APPARTEMENT 3 CHAMBRES

Prix : 2 350 000 € HAI

Cet appartement au 1er étage situé à proximité des commerces et des remontées du Chamois d’une super cie de 128 m2 soit 127,80 m2 loi carrez propose une entrée, une buanderie, 2 chambres avec leurs salles de douches et balcon, une chambre avec sa salle de bains et balcon, un toilette-invités, un vaste espace à vivre avec sa salle à manger et son salon avec cheminée et balcon, une cuisine équipée ouverte sur un balcon. 2 parkings extérieurs.

MEGÈVE - CENTRE

3 PIÈCES + CHAMBRE DE SERVICE

Prix : 1 300 000 € HAI

Appartement 3 - 4 pièces (92,12 m2 loi carrez), dont une chambre de skieur au rez de chaussée avec sa salle de douches et toilettes d’une super cie de 8,48 m2 loi carrez. Idéalement situé à proximité du village dans une résidence de standing avec ascenseur se compose d’une entrée, un salon avec cheminée, une salle de séjour, 2 chambres, une cuisine séparée, une salle de bains avec douche, un toilette indépendant, un balcon d’angle. Magni que vue dégagée sur Rochebrune. Plein Sud. Annexes : une cave, un local ski-room, pk ext privé.

133, rue Monseigneur Conseil - 74120 MEGÈVE

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Chalet Felipona

AGENCE IMMOBILIERE DE MEGEVE

1525, Route Nationale - BP 60 - 74120 Megève

Tél. +33 4 50 911 811 - Fax +33 4 50 911 810 infos@ici-et-maintenant.com www.ici-et-maintenant.com

CHALET MONT BLANC

Niché au sur le versant sud de la Vallée de Chamonix en face du massif le plus haut d’Europe, le Chalet Mont-Blanc vous fait vivre une expérience exceptionnelle.

C’est une histoire familiale qui débute au XIX e siècle avec la conquête du Mont Blanc. En 1928, Paul Lacroix achète une ancienne ferme à Coupeau, qu'il transforme en Chalet « Val Vison ». En 2018, un projet ambitieux voit le jour avec la construction du Chalet Mont Blanc (900 m2 habitables), dédié aux amoureux de nature, bien-être et aventure. Ce nouveau chalet de

12 chambres est idéal pour des séjours en famille, entre amis ou pour des événements d’entreprise. Il allie modernité et tradition montagnarde. Situé sur un hectare de terrain avec vue imprenable sur le massif du Mont Blanc et les Aiguilles de Chamonix, c’est une propriété d’exception.

Les espaces communs, chaleureux et accueillants, invitent à la détente autour du

feu ou à un dîner convivial pour 24 convives. La décoration est raffinée et différente mettant en valeur la nature environnante. Un Chef et du personnel sur place sont prêt à satisfaire toutes vos envies.

Le Chalet Mont Blanc est idéal pour des séjours sur mesure pour 12 à 26 personnes. > Plus d’infos : www.lechaletmont-blanc.fr

LE CHALET DISPOSE DE 12 CHAMBRES SPACIEUSES AVEC LARGE BALCON ENSOLEILLÉ ET VUE SPECTACULAIRE, CHACUNE ÉQUIPÉE D'UNE SALLE DE BAINS PRIVÉE.

Le chalet propose aussi un VASTE SPA AVEC PISCINE, SALLE DE SPORT, ET ESPACE DE MASSAGE , ainsi qu’une salle multifonctions adaptable (cinéma, yoga, jeux, etc.)

Chalet à vendre

Megève

3 432 000 € HAI

Ce chalet avec vue sur le Mont-Blanc comprend un espace de vie avec cuisine ouverte, véranda, une grande terrasse, une suite parentale, trois chambres et un grand garage.

Il dispose également d’un soussol de 125 m2 aménageable, avec cave et chau erie.

Demi chalet à vendre

Demi-Quartier (Megève)

2 190 000 € HAI

Ce chalet skis aux pieds à la Princesse, comprend une cuisine ouverte sur le salon, quatre chambres en suite, dont un dortoir pour enfants, un espace détente avec sauna, un garage et une buanderie. Un ascenseur dessert tous les niveaux.

Appartement à louer

Megève proche centre

30 000 € HAI Grande saison - charge incluses

Cet appartement en duplex T3, proche rue piétonne comprend une pièce à vivre avec cuisine américaine, deux chambres avec salles de douche ensuite, et un salon en mezzanine.

Il dispose également d’un balcon, d’une place de parking couverte et d’une cave.

Chalet à louer

Combloux

Nous consulter

Ce chalet contemporain avec vue sur le Mont-Blanc, o re un double salon, une piscine, une cuisine équipée et une terrasse. Une extension avec salon, home cinéma, local à ski et sauna.

À l’étage,une suite parentale, deux chambres doubles et une chambre d’enfants.

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150, route de Cassioz - 74120 Megève +33 (0) 684 837 835 veronique@ascent-megeve.com www.ascent-megeve.com

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CHALET 34

UN

DUO SINGULIER

QUI SE DISTINGUE AVEC BRIO

Composé de deux chalets conjuguant subtilement les essences de bois et des pierres de taille, ce domaine privé vient tutoyer les cimes enneigés, offrant des panoramas d’exception. Entièrement conçue par ses propriétaires, cette réalisation est l’incarnation de l’immobilier au sommet, faisant la part belle à la nature au travers d’un ingénieux travail de structure. Immersion dans cet intérieur de caractère.

Texte : Pauline Morasz - Photos © Sotheby’s International Realty Megève, Andy Parant

UNE IDENTITÉ UNIQUE INSUFFLÉE PAR

UN PARTI-PRIS CHROMATIQUE

Née sous le coup de crayon de l’architecte Pascal Chatron-Michaud qui en a façonné les grandes lignes architecturales, la singularité de ces deux chalets fut indiscutablement étayée par un travail main dans la main entre les propriétaires et les architectes Jean-Marc et

Anne-Sophie Mouchet. Si la renommée de ces derniers résulte de leurs emblématiques créations montagnardes, il n’en est pas moins que leur force réside dans leur capacité à créer des décors entièrement personnalisés. De relations étroites se tissent des intérieurs d’exception, dont la singularité s’illustre au travers d’une adaptation au rêve de chaque client, menant à des réalisations sans concession. L’art et la manière de connecter les espaces entre eux au travers d’une subtile utilisation de la matière illustre magistralement leur savoir-faire. Pourtant, contrairement à nombre de ses pairs, le Chalet 34 se démarque par l’originalité d’une

< Anne-Sophie et Jean-Marc Mouchet, duo phare du projet

utilisation du bois habituellement omniprésent, ici limitée. Loin des codes montagnards usuels, un parti-pris chromatique résolument assumé affirme le caractère de ce chalet. Orange et vert sont ainsi distillés au travers du mobilier, apportant chaleur dans des espaces pensés comme des écrins de douceur. Cette particularité confère à l’atmosphère, calme et volupté, favorisant respiration et inspiration. Il apparaît en effet que pour se différencier dans la haute sphère des habitats de caractère, tout est une question d’atmosphère.

Chambre avec tête de lit tapissée et tapis annonçant la couleur à l’honneur
Cuisine La Cornue, pièce maîtresse d’orange vêtue
Bibliothèque sur-mesure (Collection Confidentielle, Maison Chabot)
La salle de cinéma

Salon et salle à manger organisés autour de la cheminée

TIRER LE FIL

AU TRAVERS DES MATIÈRES POUR CRÉER DES ESPACES DIFFÉRENCIÉS À VOCATION PARTAGÉE

Le raffinement des touches de couleurs créant une unité au travers des 780 m2 du chalet principal n’est bien entendu pas le seul facteur à l’origine de l’atmosphère qui fait son succès. Les 18 pièces qui le composent sont en effet configurées pour favoriser fluidité et facilité d’usage. Articulées autour de la cheminée, les pièces de vie sont ainsi réparties de sorte à laisser circuler l’énergie, incarnant une harmonie parfaite entre convivialité et intimité - évidemment facilitée par le fait que le domaine soit complété par un chalet invités. Côté espace nuit, le (ré)confort suggéré par les matières cosy continue bien entendu à se distiller. Ici, la nature s’infiltre par-delà les vitres, se reflétant dans les miroirs savamment installés à cet effet, au même titre que les œuvres murales esquissées par Collection Confidentielle viennent amplifier cette notion d’immersion dans la splendeur des nuits étoilées. Contrebalançant cette dichotomie entre l’intérieur et l’extérieur, les matières viennent insuffler cette atmosphère

enveloppante, du sol aux murs en passant par la literie. Si le bois est encore une fois limité dans son utilisation, c’est au profit de mobilier, du tapis insufflant une cohérence graphique entre les chambres aux têtes de lit mêlant étoffes, tapisseries et matériaux nobles. Autant de conceptions uniques qui confirment la singularité du chalet.

L’ESSENCE

DE LA SINGULARITÉ SAVAMMENT DOSÉE

Tout en dualité en comparaison avec les touches de couleurs éparses au travers du mobilier, certains partis-pris viennent

affirmer la singularité chromatique du chalet. C’est le cas de la cuisine, que les propriétaires ont choisi on ne peut plus orange. Un choix audacieux qui appuie leur volonté de rendre cet ensemble unique et résolument singulier. Plus discrètement, certaines niches de la bibliothèque du coin lecture viennent se parer de cette teinte affirmée, créant du rythme tout en reflétant la lumière naturelle. Entre jeux de miroir destinés à focaliser le regard pour amplifier la sensation de confort et le sentiment d’être à la maison, tout est ici pensé et réalisé pour que chaque usager puisse se l’approprier - car s’il faut le rappeler, l’art de recevoir réside dans un fragile équilibre des contraires savamment maîtrisés entre extérieur et intérieur, originalité et simplicité, proximité et intimité.

COMBLOUX

THE WHITE PEARL PUR JOYAU DU MONT BLANC

« Magnifier la nature en jouant la partition de l’harmonie entre le vieux bois, le verre, les pierres locales et un environnement d’exception... » Un exercice de style parfaitement maîtrisé à Combloux, dans le luxueux chalet qui donne ses lettres de noblesse à l’architecture de montagne. Visite guidée...

Texte : Jocelyne Vidal - Photos © Gaetan Haugeard

La montagne coule dans leurs veines...

Ingrid Angelloz-Nicoud, skieuse de compétition devenue chef d’orchestre de ANCM Collection Montagne, au côté de Stéphane, son époux architecte, partage avec lui, la passion de sculpter des chalets de rêve dans le mélèze, les tavaillons et les pierres de la Vallée de l’Arve. « Nos pérégrinations personnelles, confie Ingrid, nous ont menés

à Combloux où nous avons réalisé en 2019 L’Aigle Blanc, un programme de deux chalets de huit appartements intégrés avec leurs parkings dans un bel espace paysager, face au Mont Blanc. »

UNE PRESTATION

GLOBALE SUR MESURE

Forts du succès de leur entreprise de contractant général, offrant au client une prestation globale, sur mesure et clés en main, pour la gestion de son projet, aux délais et prix garantis par GFA (Garantie Financière d’Achèvement), Ingrid et Stéphane s’associent à Lucas Chevalier L’ancien skieur professionnel, doublé d’un talent de menuisier-charpentier, rejoint ainsi la structure ANCM Collection Montagne pour l’enrichir de ses compétences, héritées de plusieurs générations d’artisans. Tandis que Stéphane Angelloz-Nicoud architecte DPLG, appliqué à la construction durable, accompagne le client, de la conception à

la construction de son chalet, Ingrid en gère le suivi global de A à Z. Uni dans un challenge permanent de l’excellence, le trio de ANCM Collection Montagne signe plusieurs constructions et rénovations de chalets haut de gamme dans les deux Savoie (Massif du Mont-Blanc, Courchevel, Les 2 Alpes...) avant de poser au cœur du village de Combloux, la première pierre de son vaisseau amiral. Un chalet spacieux surgi d’un somptueux décor, avec le Mont Blanc et l’église baroque de Combloux en toile de fond.

“MÊLER L’ANCIEN AU CONTEMPORAIN SANS FROIDEUR

NI RUSTICITÉ”

Magnifier la nature en jouant la partition de l’harmonie entre le vieux bois, le verre, les pierres locales triées en fonction de leurs couleurs, et un environnement d’exception...

ANCM Collection Montagne

Deux autres chalets complètent la collection : Les chalets de l’Aigle blanc à Combloux et le Flocon de Cristal à Megève

LA DÉCORATION PREND DE L’ALTITUDE

Mêler l’ancien au contemporain sans froideur ni rusticité, tel fut le parti pris architectural de Stéphane Angelloz-Nicoud. Loué le temps d’un séjour d’exception ou d’une réception familiale, The White Pearl s’avère également le show-room idéal de ANCM Collection Montagne. L’entreprise déploie in situ, l’éventail de ses savoir-faire, auprès de clients invités à se projeter en toute confiance, dans le chalet de leur rêve. Sitôt franchi côté jardin, le pas japonais de granit, on ouvre une porte habillée de vieux bois dont l’imposte de verre distille une douce lumière. L’entrée aux volumes généreux se pare de consoles agrémentées de décorations florales d’Isabelle Minini. M.O.F. de La Montagne Couronnée, la fleuriste décline une chatoyante palette de bouquets des quatre saisons, à chaque étage du chalet entièrement climatisé. Le temps d’ôter ses chaussures dans un douillet ski

room chauffé, on admire en rez de jardin, le raffinement de l’une des quatre suites et dortoir, aux tonalités bleutées rehaussées par des tables de nuit de noyer, revêtues de cuir. Au White Pearl, la décoration de montagne prend de l’altitude avec des tentures de Pierre Frey et Missoni sélectionnées par Marielle Guinchard chez Murmure. Les luminaires de Philipe Starck et Tom Dickson font amis amis avec une lampe Pipistrello de Gae Aulenti Au premier des trois étages desservis par un ascenseur intérieur, une pièce à vivre de 84 m2 s’illumine d’époustouflants panoramas sur le Mont Blanc. Face au « piano » de la cuisine Leicht (Expo 5 à Brignais), une double terrasse et un balcon filant invitent à tutoyer le toit de l’Europe. Ajoutez un home cinéma, une salle de sport et un espace détente doté d’un jacuzzi et d’une vaste piscine chauffée, pour hisser au sommet le raffinement de White Pearl, pur joyau du Mont Blanc.

> Les trois chalets sont à réserver sur www.ancm.fr

Megève

VIVE LE VENT D’HIVER !

La station haut-savoyarde ayant appris à diversifier ses activités pour affronter les bouleversements climatiques, Megève demeure très attractive, chaque hiver. Un attrait inébranlable, justifié par une riche programmation. Texte : Morgan Couturier – Photos © Commune de Megève / Gabriel Zacharski, Simon Garnier, Mélanie Calceï, Antoine Barbot, Marie Bougault

Ànous rabâcher depuis notre tendre enfance, qu’il ne faut pas croire tout ce que l’on dit à la télé, le mieux reste encore d’abandonner son canapé et sa tisane, pour vérifier les faits. Alors à mettre le nez dehors, comme l’eut fait Emily Cooper à Megève, dans la série Emily in Paris, on se réjouit rapidement à vivre son conte de fées. En mieux qui plus est, lorsque la station nous invite à nous extirper du coin du feu. Exit le manteau à fourrure de la belle actrice, la station haut-savoyarde n’a pas attendu l’hiver, pour revêtir son manteau blanc. Non pas qu’elle soit moins attirante, lorsque celui-ci est laissé au placard, comme l’an passé, mais à choisir, Megève est bien plus belle ainsi,

sur Netflix comme dans la vie réelle. Pour apprécier le décor, le public veut y ajouter des flocons tout en regardant les remontées s’activer pour embarquer ses hôtes, jusqu’au sommet des pistes. Et ce, avant que ces derniers ne dévalent avec joie, les quelque 400 kilomètres de poudreuses.

Bonne nouvelle, le mois de novembre a laissé sous-entendre que l’hiver 2024-2025 serait une belle saison et une bonne moisson.

Megève a donc prévu d’agir en conséquence bien qu’il soit de coutume de prendre du temps pour soi, de se délecter du confort des établissements hôteliers, avant de

reprendre des forces à la table de l’un de ses 135 restaurants et bars. Dès lors, le village haut-savoyard invite à prendre l’air. À mettre le nez dehors, qu’importe le mercure, pour apprécier sa (riche) programmation. Bien sûr, si l’illumination revisitée du sapin ou le show son et lumière joué tous les soirs, sont déjà de remarquables arguments pour sortir de sa chaumière et aller apprécier la meilleure fondue de la ville, au restaurant la Petite Fontaine, l’hiver risque d’être mouvementé. Surprenant aussi, alors que du 13 au 15 du mois, de vaillants concurrents viendront affronter en maillots, des eaux à 5°C, à l’occasion des championnats de France de nage en eau froide.

IL VA Y AVOIR DU SPORT

Une manière comme une autre, de rappeler que Megève et son Palais ne dorment jamais, ce dernier aimant à se partager entre les compétitions sportives et la relaxation. Une spécialité de la maison, alors que Megève et ses 17 espaces bien-être et forme, sont devenus une référence en la matière. Ici-bas, choisir n’est donc plus renoncer, la seule contrainte de cette abondance de biens étant le temps, et cette irrémédiable envie de le prolonger. Ou de revenir. Mais avant de partir, il faudra bien se découvrir, pour savourer l’arrivée de nouveaux-venus, à l’instar du Four Seasons Megève Collection, présenté comme le plus grand spa de montagne (900 m2) de la région. Un énième cadeau fait aux touristes, pourtant déjà nombreux à se mobiliser sur l’esplanade de la patinoire, pour se délecter dès le 22 décembre et jusqu’au 3 janvier, de l’installation du village de Noël et de son célèbre homme en rouge.

Entre temps, Megève aura ajouté une année au compteur, en festoyant sur la place du village, à l’occasion d’un réveillon à « l’ambiance hors du commun ». S’il reviendra alors à chacun d’arroser cette date à sa guise, le meilleur remède, sera encore de prendre place dans l’espace balnéo du Palais, réincarné pour l’occasion, en salle de cinéma, avec la projection, les pieds dans l’eau, du film d’animation « Les Cinq Légendes ». Megève aussi, n’en manque pas. D’autant qu’à son menu, les choses sérieuses ne tarderont pas à arriver. Des événements par milliers, dont le contenu devrait détourner les passants de leurs assiettes et faire lever les corps, qu’ils soient attablés au Prieuré (racheté par le chef Emmanuel Renaut) ou au nouveau restaurant de Marc Veyrat.

Au cœur de ses montagnes, Megève promet donc de varier les plaisirs et donc de nous inciter à enfiler nos bottines, pour arpenter les rues. Celles-ci mèneront alors aux 20 ans de l’immanquable Grande Odyssée (les 11 et 12 janvier) et ses adorables toutous ou au concours d’élégance automobile, sur

lequel quelques beaux bolides d’exception, d’hier et aujourd’hui, seront livrés sur la place publique. Plus tard, il conviendra de reprendre les skis, si tant est qu’ils aient été lâchés, pour embarquer sur l’Edelweiss, prête à jouer un mauvais tour à ses participants, sur les 9, 15 ou 22 kilomètres, menant aux sommets de Rochebrune et de la Cote 2000. Ainsi se veut la station, partagée entre le sport, le bien-être et les arts de la table. Une association qui mérite d’être vécue. Essayée. Après tout, Megève le revendique, c’est entre ses ruelles, que se cache « le plus beau des terrains de jeux ».

AGENDA HIVER

13 décembre – 15 décembre : Championnats de France Open Nage Hivernale

22 décembre – 3 janvier : Le village de Noël

30 décembre : Gala de patinage

31 décembre : Nouvel an

2 janvier et 27 février : Soirée cinéBalnéo

12 janvier – 23 janvier : Grande odyssée

17 janvier – 19 janvier : Concours l’élégance à Megève

18 janvier : Edelweiss

12 février – 5 mars : Nuits lumineuses

19 février : Soirée givrée fluo

28-30 mars : Braderie de Megève

Westfield La Part-Dieu

QUAND LE SHOPPING DE NOËL DEVIENT

MAGIQUE

C'est reparti pour une expérience inoubliable, Westfield La Part-Dieu invite petits et grands à plonger dans l’esprit de Noël avec une programmation festive et des décors enchanteurs.

Les visiteurs pourront ainsi découvrir les installations de Noël et préparer les fêtes en profitant d’une expérience de shopping unique avec l’arrivée de nouvelles enseignes exclusives.

UN DÉCOR FÉÉRIQUE

Depuis le 12 novembre, devant les Galeries Lafayette, un majestueux sapin de Noël de 14 mètres prend place, orné de décorations féeriques dorées et blanches.

Au pied du sapin, oursons géants et automates accueillent les visiteurs dans un décor magique, véritable invitation à rêver et à s’émerveiller.

Partout dans le centre, des ornements festifs créent une ambiance magique pour tous les âges, transportant petits et grands dans l’univers des fêtes.

UN SHOPPING DE NOËL SOLIDAIRE ET DURABLE

UNE RENCONTRE AVEC LE PÈRE NOËL

Jusqu’au 31 décembre, le Père Noël accueillera les visiteurs sur la Place Centrale, chaque jour de 10h00 à 13h00 et de 14h00 à 20h00.

OUVERTURES EXCEPTIONNELLES

Pendant la période des fêtes, le centre Westfield La Part-Dieu sera ouvert tous les dimanches à partir du 1er décembre et jusqu’au 22 décembre, de 10h00 à 19h00.

Westfield La Part-Dieu réaffirme pour la 5ème année consécutive son engagement en faveur du développement d’une offre de shopping durable et solidaire avec le retour de « La Fabrique de Noël », un pop-up store solidaire en partenariat avec la Maison Métropolitaine d’Insertion pour l’Emploi (MMI’e). Situé au niveau 1, cet espace proposera des jouets revalorisés et des cadeaux éco-responsables, permettant à chacun de faire son shopping tout en contribuant à une cause caritative.

NIVEAU 1 ENTRÉE LANTERNE, À CÔTÉ DE JENNYFER

Toujours à proximité de l’entrée de la Lanterne, les visiteurs pourront également faire emballer leurs achats au stand de papiers cadeaux animé par une association jusqu'au 24 décembre (L'Association Care qui met les femmes au coeur de ses programmes en luttant contre la pauvreté et les inégalités en apportant une aide humanitaire d'urgence et de développement dans plus de 100 pays. Egalement présente, l'association Scouts et Guides de France Groupe de Villeurbanne) NIVEAU 0, PRÈS DE VICTORIA SECRET (PORTE DE LA LANTERNE)

DES NOUVELLES OUVERTURES D’ENSEIGNES POUR FAIRE LE PLEIN D’IDÉES CADEAUX

Toujours dans l’objectif de fournir une expérience shopping complète à ses visiteurs, Westfield La Part-Dieu a accueilli ces dernières semaines des nouvelles enseignes telles que Promod, Edji, Sketchers, Mangos, La Fabrique à Cookies et Piadineria... de quoi avoir encore plus de choix pour réaliser ses courses de Noël !

Avec plus de 280 enseignes, Westfield La Part-Dieu est le lieu idéal pour faire ses emplettes de Noël et trouver des cadeaux qui feront plaisir à tous. Que ce soit pour les enfants avec La Grande Récré ou Lego et pour les adultes avec des idées de cadeaux responsables (La Fabrique de Noël, La Recyclerie, Cent Façons) ou bien encore des articles de beauté (Rituals, Sephora) ou des cadeaux high-tech avec Dyson ou la Fnac

LES ENFANTS

POURRONT

IMMORTALISER

CET INSTANT MAGIQUE

AVEC UNE PHOTO

SOUVENIR !

DES ACTIVITES LUDIQUES ET ESCAPADES GOURMANDES POUR TOUTE LA FAMILLE

Pendant les vacances de Noël, Westfield La Part-Dieu devient le lieu idéal pour passer du temps en famille ou entre amis, avec une large gamme d'activités et de découvertes. Entre la salle d’arcade La Tête dans les Nuages, l’escalade et l’accrobranche chez Hapik, la salle de fitness John Reed, et les films à découvrir au cinéma UGC Ciné Cité, il y en a pour tous les goûts.

Côté restauration l’espace de restauration « Les Tables » se distingue par sa diversité et permet aux visiteurs de se restaurer dans une ambiance conviviale, du lundi au dimanche. Avec une trentaine de concepts de restauration différents, allant des indépendants lyonnais aux dernières enseignes de restauration tendances. Pub traditionnel, brasserie, coffee-shop, restaurants aux spécialités asiatiques (Panasia, Temakinho), berlinoises (Berliner) ou bien encore de la street-food coréenne (Chikin Bang)... « Les Tables » regroupent un mélange d’univers culinaires pour ravir les papilles des visiteurs, avec des produits de qualité tout au long de l’année, dans un cadre unique à Lyon sous une verrière de 4 000 m2

> Pour plus d’informations https://fr.westfield.com/lapartdieu

ODOREM MET LES LYONNAIS AU PARFUM

Boutique élégante, installée depuis 3 ans à Lyon, ODOREM a conquis le public avec ses fragrances singulières, 100% françaises. Mais au-delà des parfums et des senteurs de maison, l’enseigne lyonnaise brille également au travers de la photographie, où l’humain et la nature sont, eux aussi, sublimés.

Ils ne sont pas là pour changer le monde, ni changer les choses, avec des bouquets de roses. Mais comme Laurent Voulzy en son temps, Nicolas Berger et Benoît Marion nous laissent imaginer le parfum, l’Eden, le jardin. On y trouve un paradis de la fragrance, chez eux, au 11 rue Auguste Comte dans le 2ème arrondissement. Avec pour enseigne ODOREM, dont la « sonorité un peu mystérieuse », renvoie aux souvenirs des cours de latin. Et donc à l’odeur, champ lexical retenu par cette charmante boutique qui évoque un cabinet de curiosités. La référence n’est peutêtre pas galvaudée d’ailleurs, tant les parfums qui composent la boutique sont rares et inédits. « Nous avons sélectionné des marques indépendantes et exclusivement françaises. C’était une volonté de notre part, ce qui fait que pour 90% de notre offre, nous sommes les seuls à les proposer à Lyon », précise Nicolas Berger, élevé aux senteurs par son grand-oncle, lequel composait lui-même ses parfums. Si bien que l’intéressé s’est pris de passion pour le métier, devenant presque incollable sur les odeurs. « Il connaît toutes les notes olfactives. Ça permet de mieux proposer nos marques et nos parfums », décrit son associé, photographe de profession. Un bagage utile à l’heure de partir au contact des créateurs et d’extraire de ces longs échanges une liste de flacons souvent méconnus. Ces derniers ne demandent qu’à se faire connaître d’ailleurs, alors que derrière l’esthétisme de leurs bouteilles, ils délivrent leurs fragrances naturelles, inévitables signatures de la maison. « Nous voulons des créations avec des notes et des associations assez atypiques. Il y a une vraie signature olfactive. Une personne qui porte ces parfums, ne passe pas inaperçue », ajoute Nicolas Berger, fier de présenter ce concept portant sur l’imaginaire. Ou plutôt sur « l’émotion d’une découverte ».

“UNE PERSONNE QUI PORTE CES PARFUMS,

NE PASSE PAS INAPERÇUE”

« Notre souhait premier est de convoquer le rêve, grâce aux évocations personnelles de chacun, tant par le pouvoir olfactif que visuel », dixit ODOREM, via son site internet. D’où ce singulier mélange avec la photo, Benoît Marion utilisant à propos son sens de l’objectif pour « réinventer la nature avec certains clichés » Résultat, dans cette boutique intimiste, où même les fauteuils invitent à s’éterniser, ses œuvres se vendent aussi bien que les flacons. Reste que ces derniers demeurent les rois, une dizaine de marques se chargeant de capter le nez des passants, avant d’en imprégner les cœurs. Dans le lot, les plaisirs diffèrent. Les goûts aussi. Il y a les « grands crus », matières d’exception, de la marque annécienne Les Indémodables ou Oriza L.Legrand, historique maison de parfum, créée au... XVIIIe siècle. Viennent ensuite les « marques de créateurs », faisant découvrir des compositions très éloignées des grandes maisons. S’inscrivent alors des noms tels qu’Isabelle Larignon, Bastille, Anatole Lebreton ou Jardins d’Écrivains, faisant souvent office de révélations. Ou plutôt d’initiations, tant ces sillages sortent des carcans du quotidien. « C’est pratique pour les personnes qui recherchent des parfums les plus naturels possible », dixit Benoît Marion. Un parti-pris revendiqué, bien que celui-ci ne soit guère répercuté sur la note. ne veut pas être une parfumerie trop élitiste.

Nous proposons des flacons accessibles dès 80€ pour 100ml », détaille Nicolas Berger. D’autant que le duo n’est pas du genre à s’arrêter en si bon chemin. À ces parfums respirant l’originalité, ODOREM ajoute une multitude de bougies et autres senteurs de maison. Sans oublier les ateliers olfactifs, où particuliers et entreprises se laissent porter par des exercices sur l’art de la superposition des parfums, sur la maîtrise de la haute parfumerie française en révisant la pyramide olfactive, tout en se dévouant à leurs souhaits, à un instant intime en tête-à-tête, pour dénicher leur fragrance idéale. De là, naît « une signature parfumée ». Unique. Comme ODOREM.

ODOREM

Ouvert du mardi au vendredi de 10h30 à 13h et de 14h à 19h et le samedi de 10h30 à 19h 11, rue Auguste Comte – Lyon 2e Tél. 09 53 75 41 20 > Plus d’informations sur www.odorem.fr

PAUL

CP COMPANY

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UNE BEAUTÉ SANS PAREIL !

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BAGUE « ROSE DES VENTS » EN OR ROSE 750/000, OPALE ROSE ET DIAMANTS RÉF : JRDV95149_0000

4 200 €

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BRACELETS « FORCE 10 »

GRAND MODÈLE, MANILLE EN OR ROSE 750/000 ET DIAMANTS, CÂBLE EN OR ROSE 750/000

RÉF : 0B0185-6B1101

14 130 €

GRAND MODÈLE, MANILLE EN OR BLANC 750/000 ET DIAMANTS, CÂBLE EN CORDERIE NOIRE

RÉF : 0B0186-6B0275

7 800 €

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BAGUE « NUDO » EN OR ROSE 750/000, OR BLANC 750/000, TOPAZE ET DIAMANTS

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BRACELETS « MACRI CLASSICA »

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REVÊTEMENT DLC ET DIAMANTS

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BOUCLES D’OREILLES « HORSEBIT » EN OR ROSE 750/000 ET DIAMANTS RÉF : 796167 J8540 5702

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EN OR ROSE 750/000 RÉF : 081931

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2 950 €

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EXCLUSIVITÉ BOUTIQUE

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MONTRE « DAY-DATE 40 » EN OR JAUNE 750/000, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET PRÉSIDENT EN OR JAUNE 750/000, CADRAN CHAMPAGNE, 40 MM

RÉF : M228238-0006

41 300 €

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MONTRE « OVERSEAS » EN OR ROSE 750/000, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELETS EN CUIR MARRON ET CAOUTCHOUC MARRON, CADRAN ARGENTÉ, 41 MM

RÉF : 4500V/000R-B127

44 200 €

CHANEL

MONTRE « PREMIÈRE ÉDITION ORIGINALE » EN ACIER REVÊTU D’OR JAUNE 750/000, MOUVEMENT QUARTZ, BRACELET EN ACIER

REVÊTU D’OR JAUNE 750/000 ET CUIR NOIR, CADRAN LAQUÉ NOIR, 26,1 X 20 MM

RÉF : H6951

6 350 €

CARTIER

MONTRE « SANTOS DE CARTIER » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELETS EN ACIER ET EN CUIR MARRON, CADRAN OPALIN ARGENTÉ, 39,8 MM

RÉF : WSSA0018

8 350 €

BOUTIQUE ROLEX

93, rue du Pdt Herriot LYON 2e

IWC

MONTRE « AVIATEUR CHRONOGRAPHE

TOP GUN » EN CÉRAMIQUE, REMONTAGE AUTOMATIQUE, CHRONOGRAPHE, BRACELET EN TISSU NOIR, CADRAN NOIR, 44,5 MM

RÉF : IW389101

9 900 €

BULGARI

MONTRE « OCTO FINISSIMO » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET INTÉGRÉ EN ACIER, CADRAN BLEU, 40 MM

RÉF : 103431

15 000 €

PANERAI

MONTRE « LUMINOR MARINA » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN ACIER, CADRAN NOIR, 44 MM

RÉF : PAM01562

9 700 €

BLANCPAIN

MONTRE « FIFTY FATHOMS AUTOMATIQUE » EN TITANE, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN TISSU NOIR, CADRAN NOIR, 45 MM RÉF : 5015 12B30 NABA 18 350 €

PARMIGIANI FLEURIER

MONTRE « TONDA PF » EN ACIER ET PLATINE, REMONTAGE AUTOMATIQUE, MINUTE RATTRAPANTE, BRACELET EN ACIER, CADRAN GRIS SABLE GUILLOCHÉ, 40 MM RÉF : PFC904-1020001-100182

33 200 €

OMEGA

MONTRE « SPEEDMASTER MOONWATCH PROFESSIONAL » EN ACIER, REMONTAGE MANUEL, CHRONOGRAPHE, BRACELET EN ACIER, CADRAN NOIR, 42 MM

RÉF : 310.30.42.50.01.001

7 600 €

HUBLOT

MONTRE « CLASSIC FUSION TITANIUM GREEN » EN TITANE, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN CAOUTCHOUC VERT, CADRAN SOLEILLÉ VERT, 42 MM RÉF : 542.NX.8970.RX 8 200 €

FRANCK MULLER

MONTRE « CRAZY HOURS YACHTING » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN CUIR BLEU, CADRAN BLEU, 46,3 X 35 MM RÉF : V 35 CH YACHT (BL) 16 600 €

TAG HEUER

MONTRE « TAG HEUER CARRERA » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, CHRONOGRAPHE, BRACELET EN ACIER, CADRAN ARGENTÉ SOLEILLÉ, 39 MM RÉF : CBS2216.BA0041

6 550 €

LONGINES

MONTRE « HYDROCONQUEST GMT » EN ACIER ET CÉRAMIQUE, REMONTAGE AUTOMATIQUE, GMT, BRACELET EN ACIER, CADRAN VERT, 41 MM RÉF : L3.790.4.06.6

3 300 €

TISSOT

MONTRE « TISSOT PRX POWERMATIC 80 » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN ACIER, CADRAN VERT, 40 MM RÉF : T137.407.11.091.00

775 €

BREITLING

MONTRE « NAVITIMER AUTOMATIC GMT 41 » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, GMT, BRACELET EN CUIR BLEU, CADRAN BLEU GLACIER, 41 MM RÉF : A32310171C1P1 5 650 €

MAIER HORLOGER JOAILLIER

99 & 101, rue du Pdt Herriot LYON 2e

TUDOR

EXCLUSIVITÉ BOUTIQUE

MONTRE « BLACK BAY CHRONO » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, CHRONOGRAPHE, BRACELET EN ACIER, CADRAN BLEU, 41 MM RÉF : M79360B-0002

5 720 €

ZENITH

MONTRE « DEFY SKYLINE » EN ACIER, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELETS EN CAOUTCHOUC NOIR ET ACIER, CADRAN NOIR, 41 MM RÉF : 03.9300.3620/21.I001 9 400 €

MIDO

MONTRE « MULTIFORT TV BIG DATE » EN ACIER REVÊTEMENT PVD, REMONTAGE AUTOMATIQUE, BRACELET EN CAOUTCHOUC BRUN, CADRAN BRUN, 39,2 X 40 MM

RÉF : M049.526.37.291.00

1 300 €

MAIER VINTAGE

16, rue des Archers LYON 2e

Photos
© Saby Maviel

BRASSERIE DES BROTTEAUX

Emmanuel Faucon

Tartare de boeuf dans la baVette d’aloyau

1, place Jules Ferry - Lyon 6e

T 04 72 74 03 98

Restaurant

THE MAZE

resto-bistro-club

CELEST

Lun-jeu 8h-22h. Ven 8h-22h30, midi et soir le week-end www.brasseriedesbrotteaux.com Brasserie des Brotteaux

LES 3 DÔMES

Jérémy Ravier

Restaurant

Cuisine gastronomique avec vue panoramique (dès 32€ le midi)

Amine Kortbi (Chef) the maze, l’instant partage ! 462, chemin de Champivost - Limonest

T 04 89 41 07 40

Lun-ven midi : 12h-14h15 - jeudi 18h-2h - ven-sam soir : 19h-4h www.themaze.fr themazelyon

TOP

DES ADRESSES by

Gourmandes

restaurant Gastronomique

Aude Andrillat & carte signée par Anthony Bonnet vue exceptionnelle, Suspendu à 150 m au-dessus du sol

Radisson Blu (32e étage) - 129, rue Servient - Lyon 3e

T 04 78 63 55 46

Mar-Sam : à partir de 19h, dernière commande 20h45 celest-bar-restaurant.com

LE CÈPE

ASPERR MOLUT FUGITATQUIS UPTATE NON PORENES EQUAT

Sofitel Lyon Bellecour - 20, quai Gailleton - Lyon 2e

T 04 72 41 20 97

Ouvert du lundi au samedi, midi et soir www.les-3-domes.com @sofitellyon

Claude Barbet

Bouchon Lyonnais et Cuisine Familiale

4, avenue du Général Brosset - 69390 Vourles

T 04 72 41 01 06

Lun-ven midi et jeu-ven soir - Week-end sur privatisation lecepebouchon-vourles

Odipsum est plam ipiet re, serati ommolorupta sum comnienimus apero beatatur molo mos eat maiorunti inctas escillorum ius, sitatur, et facitat. Dunt. Igent moditation plaborem repeditisit quia dolenis alistori ut rendicto dollatum reribus at velliquam, sunt quiaeptaqui to tet am.

LE BRUNCH

Partouche Hôtel

LES BRUNCHS DU PAVILLON HôTEL***** & SPA

3, rue Georges Bassinet - Charbonnières-les-Bains T 04 78 87 79 79

Ouvert le dimanche midi www.pavillon-rotonde.com pavillonhotelspa

Emmanuel Faucon de bons plats accompagnés De bons vins

1, place Jules Ferry - Lyon 6e

T 04 78 41 68 10

L’ AFFAIRE DU 6

Edith Rosay

Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir) 63, cours Vitton - Lyon 6e T 04 78 89 49 24

Tous les jours de 07h à minuit (sauf le dimanche)

Restaurant

Brasserie

Restaurant

Ô GÔNES DE SAÔNE

Jean-Claude Di Carmine

CUISINE gourmande DU TERROIR

58, rue Pierre Bouvier - Fontaines-sur-Saône

T 04 78 22 09 26

Ouvert midi et soir 7J/7 www.ogonesdesaone.fr ogonesdesaone

POUR UNE FOIS BY JÉRÔME

Jérôme Sauron

Mar-sam : midi et soir. Ouvert 7/7 à partir du 15 avril www.decale.rest restaurantdecalelyon

restaurant Bar à vin

Grenouilles

Micro brasserie Bistronomique, Fait maison, Produits frais

10 bis, rue de la Terre Noble - Brindas

T 06 81 43 30 08

Mer : 11h-15h - Jeu-ven-sam : 11h-15h et 17h-22h30 - Dim : 11h-15h30 www.pourunefoisbyjerome.fr pourunefoisby

Julie Spitters (Chef) cuisine traditionnelle DE SAISON

70, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e T 04 78 17 53 53

Ouvert tous les jours - Midi & Soir www.casino-lyon.com/acacia casinolyonpharaon Restaurant

bouchon

En partenariat avec Au Comptoir de la Caisse, leader de la location de matériel caisse T. 04 37 64 64 84 • www.aucomptoirdelacaisse.fr

LE THÉODORE BISTROT DES HALLES

Marco Chopin

Cuisine lyonnaise à l’hôtel dieu

21-23, quai Jules Courmont - Lyon 2e T 04 78 82 38 49

Lun-sam : midi et soir 12h-22h et dim midi

Le Théodore le.theodore

bistrot

CHEZ ANTONIN

Eric Giraud

restaurant de Fruits de mer & écailler

Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e

T 04 87 37 10 99

LES OLIVIERS

Alexandre Tamburini

Rencontre entre créativité et raffinement

Golden Tulip Lyon Ouest & Spa ****

145, chemin de Paisy - Limonest

T 04 87 74 10 13

Du lundi au samedi : Midi & Soir

Restaurant BAR lounge

Antonio Salvati (Chef)

Cuisine de tradition italienne méditerranéenne

Boscolo - 11, quai Jules Courmont - Lyon 2e T 04 87 25 72 10

Ouvert 7/7 : Petit déjeuner jusqu’à 11h - 12h-15h déjeuner 15h-19h aperetivo - 19h-22h diner angelorestaurant

Christophe Marguin

cuisine du marché / SALON PRIVATIF

Restaurant

11, avenue de Grande Bretagne - Lyon 6e

T 04 78 94 51 17

Lun-ven : 12h-14h et 19h-22h www.restaurantlepresident.com restaurantlepresident

Restaurant ecailler

LES GARÇONS BOUCHERS

Catherine Dhinaun et David Mollard

Steakhouse - MaîtreS restaurateurS

Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e

T 04 72 40 08 59

Mardi-samedi : 10h-15h - Dimanche : 10h-14h30 www.chez-antonin.fr

Restaurant brasserie

LE RIVE GAUCHE

Cyril Cornudet / Chef Guillaume Lepeltier

Cuisine créative, de saison et de tous horizons

31, cours Franklin Roosevelt - Lyon 6e

T 04 78 89 51 21

Ouvert 7/7 de 8h à 23h (lun : 8h-15h et dim : 8h-15h30) www.le-rivegauche.fr

Restaurant

DOLCE BY SICILIANS

Vito et Paola Morreale

CUISINE sicilienne

44, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e T 04 78 52 22 29

Ouvert du lundi au dimanche : 12h-14h40 et 19h-22h30 www.bysicilians.com dolcebysicilians

33 CITÉ

Frédéric Berthod

Cuisine de Saison / Produits du Marché

33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e T 04 37 45 45 45

Restaurant

Restaurant

Du mardi au samedi, déjeuner et dîner www.33cite.com 33 cité 33cite

Ouvert 7/7 midi, le soir sur réservation à partir de 40 pers. www.garconsboucherslyon.com

LE PLATO

Frédéric Therriaud

Restaurant

cuisine créative, faite maison avec des produits de marché 1, rue Villeneuve - Lyon 4e

T 04 72 00 01 30

Lun-ven : 12h-14h et 19h30-22h30 - Sam : 12h-14h et 19h30-23h

restaurant-leplato.fr leplato.lyon

Restaurant - BAR LE CAFÉ DU MARCHÉ

Bénédicte

Cuisine du Marché au fil des saisons

25, quai Saint-Antoine - Lyon 2e T 04 26 28 12 46

Service continu du mardi au dimanche www.lecafedumarchelyon.fr le-cafedumarche

Georgy Sfez

pizza & biere (Pizza sicilienne, in pala et gluten free) 6, rue Challemel Lacour - Lyon 7e T 04 72 71 79 88

Ouvert 7/7, midi et soir sur place, clickandcollect et livraison www.zappo.fr zappo-lyon

Trattoria

Les tribunes VIP OL — SAINT ETIENNE

Le dernier derby du général ?

Texte

Très grosse ambiance pour le premier derby de John Textor et Laurent

Prud'homme présents en tribunes. Dans un Groupama incandescent, l'OL a battu 1- 0 son ennemi juré et préféré St-Etienne.

Côté pelouse

Les Gones ont largement dominé la première période en se créant moult occasions avec un trio offensif inspiré à l'image de son diamant Malick Fofana. C'est donc assez logiquement et symboliquement que le Général Alexandre Lacazette marquait à la 29ème minute un but du... genou. Peu importe l'esthétique, un derby cela se gagne. Au retour des vestiaires les Stéphanois ont conservé le ballon mais sans se créer de grosses occasions, c'est même l'OL qui marqua en fin de match le second but par Nuamah mais la VAR le refusait pour une main préalable de Mikautadze. Lucas Perri gagna un dernier face à face avec un Stéphanois et permis à l'OL de gagner ce derby 1-0.

Côté agapes

La President Box affichait complet avec notamment Julie Zennati, et Ycare, au rayon variétés. Au rayon sport, nous avons noté la présence des skieurs Adrien Theaux, Nils et Sam Alphand, de notre skateur champion du monde Aurélien Giraud et de l'adorable Bafetimbi Gomis. Pour les politiques : la délégation congolaise des sports et des loisirs, emmenée par son ministre Didier Budimbu avec lequel l'OL a signé des partenariats sous l'impulsion du sémillant Laurent Prud'homme épaulé par Cyril Grool. Était également de la partie, et entre deux avions, François-Noël Buffet, ministre chargé des Outre-Mer qui décollait le lendemain pour juguler l’inflation en Martinique.

: Franck Girardet - Photos © Saby Maviel
Alexcia Couly, Miss Rhône-Alpes 2024
Didier Budimbu Ntubuanga, ministre des Sports du Congo et John Textor , président de l'OL

Le tifo du virage Nord « Bad Gones »

Le

Christophe Marguin, président des Toques Blanches Lyonnaises, entouré de ses fils, Victor et Gaspard
Cyril Egret (Crédit Agricole), Renaud Pfeffer, vice-président à la Région AURA, délégué à la sécurité et aux Sports et Jacques Mottard, PDG de Sword Group
Antoine Gelot (poissonnerie Durand) et Aurélien Giraud, champion du Monde de skateboard
Patrick Bouchet (All In), Marc Favaro (AFAA architectes), Thierry Ascione (All In) et Frédéric Ascione (All In)
Laurent Prud’homme entouré des artistes, Julie Zenatti, Pierre Garnier, Joseph Kamel et Gauvain Sers
Françoise Dufour (Coca-Cola), l’architecte Jacques Rival et son épouse Virgine Adnet (Sportfive)
Laurent Prud’homme, directeur général de l’OL, entouré des skieurs de l’équipe de France, Blaise Giezendanner, Adrien Theaux, Nils et Sam Alphand
William Senglet (IDEAL groupe), Ludovic Da Silva (Cushman et Wakefield), Patrick Bouchet (All In) et Cyril De Oliveira (Isowatt)
Bafétimbi Gomis, ancien joueur de l’OL et Franck Girardet (Lyon People)
Virginie Mathieu, consul des Seychelles, son mari Serge Mathieu, président du groupe Novali, Didier Anav, PDG de la Holding Group Story et Sophie Alvoro (Une à Une)
Christophe Marguin, Pascal Parent, François-Noël Buffet, Daniel Valéro, maire de Genas, Sophie Cruz et Christophe Guilloteau
Tom et Jean-Claude Voituret
Maître Thierry Braillard, avocat, Jean-Michel Aulas, ancien président de l’OL et Didier Budimbu Ntubuanga, ministre des Sports du Congo
Luc Letournaux, Daphné Di Palma (Atria Conseil) et Stéphane Borel (Masséna Patrimoine)
tifo du virage Sud « Lyon 1950 »
La gagne ! Laurence Fautra, maire de Décines et Laurent Prudhomme, directeur général de l’OL

Renaud Pleffer, maire de Mornant et ses fils, Augustin et Louis (École Bellevue), accompagnés de Jean-Claude Pietrocola (Trophée OvalGreen)

Christophe Cizeron (GL events), Fabrice Berthon (Sommet de l’Élevage), Arnaud Combes et Frédéric Fauriol (GL events)

Jean-Marc Folliet (Cap Juniors) et Jocelyn Jeanniard (Carrefour Market)

LOU RUGBY — CLERMONT LES TRIBUNES VIP

Le LOU Rugby a rendu les armes, face à son voisin clermontois (22-30). Pas suffisamment réalistes, les Lyonnais payent leur indiscipline et sombrent au classement. Dans la chaleur du salon présidentiel, à l’abri des fraîches températures, la mi-temps avait déjà livré un soupçon de résumé. « L’ASM a une belle équipe. On s’en sort bien », entendait-on, les esprits à peine remis de cet essai, encaissé à dix secondes de la mi-temps. Et pour cause, le LOU Rugby avait eu sa chance, mais aussi sa maladresse et un manque de réalisme trop dommageable pour être devant. Hélas, le repos des guerriers n’eut guère de retentissements. Clermont s’est inséré dans la brèche, montrant à son voisin, tous les bienfaits d’une équipe pragmatique. En face, les Rouge et Noir eurent bien un brin de révolte, dans le sillage de Baptiste Couilloud. Mais en ces temps compliqués, le capitaine est bien trop seul à performer. À deux minutes de la fin, le sort de ses partenaires était donc plié, tel un mauvais scénario, reconduit depuis quatre matchs. Au lendemain de ce derby égaré, le LOU Rugby pointe désormais à une triste 12e place. Bien loin de ce début de saison réussi, qui lui assurait à une époque pas si lointaine, une belle place au soleil.

> Prochain match à Gerland

LOU Rugby – Cardiff

Samedi 7 décembre 2024

et Pascal Marcou (LOU Rugby)

Laurent Ecuvillon (Implid)
Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel
Paul Freire (Biomérieux) et Sophie Laval (Serfim)
Joel Simon (SG Auvergne Rhône-Alpes) et Ludovic Dalstein (Société Générale Private Banking)
Xavier Berujon (Cedralis), William Madrolles (Evian Resort) et Gérard Barrero (Eiffage Construction)

Denis

Alexandra

entourées

et leur fille

(GL events) et Valérie Tomasicchio (Gimir)
Brigitte Honegger (Bh2g) entourée de Nicolas de Tavernost et Christophe d’Indy (Indy Racing)
Morgan Couturier (Lyon People) et Rémy Appéré (Melkart)
Catherine Arbaud et Alexandra Fratti (LOU Rugby)
Carole Luciani (Casa Cosi), Grégoire Lafaille (Bureau-Vallée) et Émilie Gicquel, lauréate du championnat Corsica Pizzeria 2024 (Casa Cosi)
Yvan Patet, président du groupe EM2C et Hervé Bal (Éditions HB)
Régine Reyboubet, Delphine Bares et Elodie Rouina (Aéroports de Lyon)
Jacques Vuillermoz (Vuillermoz), Marco Polisson (Lyon People) et Yves Gazil (Pia Gazil)
Richard Brumm (Métropole de Lyon), l’architecte Albert Constantin et Benoit Licour (Groupe Maïa)
Gilles Bruyère, président du Groupe Bruyère et Michel Vacelet, dentiste
Pascale Mathiolon (Serfim), Olivier Camps et Vanessa Goillerey (Mercedes-Benz Groupe Chopard)
Fratti, Catherine Arbaud (LOU Rugby)
de Coralie et l’ancien rugbyman, Julien Bonnaire (Intersite Design)
Rose

scènes magiques de vos contes préférés à découvrir avec l’elfe de Noël 6

Je me facilite la vie, je télécharge l’appli

Conception
Ville de Saint-Priest
Illustration
Laura Péju
11/2024

LLes 15 Évènements

QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !

Textes : Morgan Couturier et Marco Polisson Photos Lyon People et Région AURA

500

MÂCHON MILOTTIER

PERSONNES

SE RÉGALENT À VILLECHENÈVE

’association Les Fins Gourmets Milottiers, gérée par Sylvain Chirat, Michel Thévenot, Éric Perrier et Alain Badoil, a organisé un deuxième

Mâchon les samedi 9 et dimanche 10 novembre 2024 dans la salle des fêtes de Villechenève. Ce mâchon solidaire au profit des enfants malades a rassemblé du beau monde. Les parrains de cette édition étaient les Toques Blanches Lyonnaises, Olivier Canal (La Meunière), André Chouvin (Le Tilia) et Nicolas Vernay (La Table de Guy). Étaient également présentes Mado de La Tornade Blonde et Arlette Hugon, l’ancienne gérante de Chez Hugon. De leur côté, La Banda Véranaise, la Confrérie de la Gourmanderie et la Consœurie de la Tarandouille se sont chargés de l’animation. Au total, sur les deux jours de festivités, près de 500 mâchonneurs ont savouré les plats de Sylvain Chirat et sa brigade. Cette grande assemblée a permis de verser un chèque de 4 500 euros à l’association Le sourire d’Elias, et la même somme au Centre Léon Bérard..

2 3

RUBANS DU PATRIMOINE

LA VILLE DE CHARLY LAURÉATE

Le patrimoine de la ville de Charly, située au Sud-Ouest de Lyon, a été mis en lumière en recevant un prix national des rubans du Patrimoine 2024, le 22 octobre dernier. Ce concours récompense les communes et intercommunalités ayant réalisé des projets de rénovation ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Il est ici question de la restauration de la serre et de l’orangerie au sein du domaine Melchior Philibert, témoins du passé agricole du XIX e siècle de la ville. Comme la plupart des édifices patrimoniaux, au fil des années, cet ensemble a subi les affres du temps et le manque d’entretien. « Il y avait urgence par rapport à la serre et à l’orangerie qui étaient en ruine, atteste Olivier Araujo, maire de Charly. Nous avions dû condamner les lieux au public. »

L' ALLIANCE FRANÇAISE DE LYON FÊTE SES 40 ANS

Avant-guerre, une tentative d'implantation d'une Alliance Française sur Lyon avait été initiée par quelques élus et intellectuels autour d'Édouard Herriot... mais la greffe avait été avortée par le conflit mondial. En 1984, autour de Charles Mérieux, Marie-France Bertin, Geneviève Courgide et le parrainage de Raymond Barre, l'Alliance Française de Lyon prend corps et s'installe rapidement en son actuelle adresse 11, rue Pierre Bourdan à Lyon 3e accueillant annuellement plus de 1500 apprenants. Le 24 octobre dernier, l'actuelle équipe dirigeante autour de Jean-Charles Ovise, président, Jacques Bruyas, vice-président et Nicolas de la Cruz, directeur, souffla le gâteau du 40e anniversaire devant une centaine d'invités (enseignants, élus, nombreux acteurs de la vie culturelle et du Monde économique...), en le prestigieux et emblématique cadre du Musée Couty.

PENNONS DE LYON

4 NOUVEAUX DIGNITAIRES

ONT PRÊTÉ SERMENT SUR LA CHARTE SAPAUDINE DE L’AN 1320 AU SOFITEL

De cape et d’épée. Issus d’une tradition multiséculaire, les Pennons de Lyon sont toujours très actifs au sein de notre cité.
Texte : Marc de Jouvencel – Photos © Alexandre Moulard

Leur réunion statutaire annuelle, qui se déroulait dans le salon Le Melhor, au 8ème étage du Sofitel, a été précédé d’une cérémonie avec prestation de serment de 4 nouveaux dignitaires :

- SE Osamu Ogata, consul du Japon comme Honorable Pennon

- SE Jessica Engel, consul général d’Allemagne comme Honorable Pennon

- Antoine Quadrini, président du CESER comme Dignitaire Pennon

- Vincent Galoche, directeur général du Sofitel Bellecour comme Dignitaire Pennon

Le lendemain en prélude du déjeuner mensuel du Cercle de Confiance de la Bannière économique (au Lyinc) s’est déroulée la prestation de serment de François Thuilleur, PDG du groupe Paredes ORAPI comme scutifère pennon. Prochain rendez-vous le 4 février 2025 au siège de la Région Auvergne Rhône-Alpes où le Comité des Fêtes de la Ville de Lyon et la Compagnie des Pennons sous la Présidence de Christian Gelpi recevront les associations participant à la Fête des Bannières du Monde et les Confréries participant chaque année à la Célébration de la Charte Sapaudine à l’Hôtel de ville de Lyon prochaine célébration le 22 mai 2025.

du

et

général Gilles Darricau,

du

Sécurité

Le général de gendarmerie Thierry Renard et Christophe Bernollin, président de la chambre de Métiers du Rhône
Jean-Luc Raunicher, président du MEDEF AURA et Christian Gelpi, président des Pennons de Lyon
Marco Polisson, rédacteur en chef de Lyon People et Pierre-Edouard Dieu, président du groupe BMW Mini Altitude 69
Christian Gelpi, président des Pennons de Lyon et le général de gendarmerie Christophe Marietti
L’arrivée
connétable
des dignitaires pennons
Christian Gelpi, président des Pennons de Lyon et Aka Ezoa Lambert, consul général de la République de Côte d’Ivoire
Marc Simon-Jean, directeur régional EDF et Christophe Bernollin, président de la chambre de Métiers du Rhône
Les nouveaux membres des Pennons de Lyon, entourés de Jean-Luc Raunicher, Philippe Grillot, Christophe Marguin et Christian Gelpi
Anne Prost, consul du Pérou, Christian Gelpi, président des Pennons de Lyon, Marie-Christine Herrbach Laverrière, consul du Grand-Duché de Luxembourg et Jean-Paul Muchada, consul d’Uruguay
salut de la garde des Pennons
Le
directeur
campus
de la CCI Lyon et son épouse Anne-Catherine, Olivier Dugrip, recteur de l’académie de Lyon et son épouse Linda

Égypte

à l’hôtel Hilton Pyramides 5*(nl) ou similaire, 1 nuit à Louxorà l’hôtel SteigenbergerAchti 5*(nl) ou similaire, Le logement en cabine double etchambre
avec bain ou douche, La pension complète
programme (du petit déjeunerdu jour2 au petit déjeunerdu jour9), Les services d’un guide local conférencier-égyptologue parlant français, Les droits d’entrée dans les sites visités. Hors assurances, taxes de séjour, TSA (Taxe SecurityAirport) et suppléments éventuels - Exemple de prix constaté au 22/11/2024 - Taxes aériennes incluses (soumises à modifications). Hors frais d’agences et assurance, sous réserve de disponibilité.

ANNIVERSAIRE DE L' ESN

APOLLO

DÉCOLLAGE RÉUSSI VERS LA VINGTAINE

« Entreprise pas comme les autres », spécialisée dans la data et les applications, Apollo a célébré sa vingtième année d’existence, à l’Abbaye Paul Bocuse. Une date symbolique, qui ne doit pas endiguer la progression attendue.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel

Viser la lune, ça ne lui fait pas peur. 20 ans, d’ailleurs, que le président Yann Samama y croit encore et en cœur. D’autant que les chiffres lui donnent raison, sa société spécialisée dans la transformation numérique des entreprises ne cessant de grandir, comme le nombre de ses salariés, baptisés « apollos ». Ils étaient donc plus d’une centaine, à l’Abbaye Paul Bocuse « pour boire et manger », dans la plus pure tradition d’une société nommée à plusieurs reprises « great place to work »

« On a atteint une taille qui va nous permettre d’accélérer », annonce le chef d’entreprise.

« En 20 ans, nous avons réalisé plus de 200 000 jours de projets. On veut être utile », poursuit ce dernier, dont les ambitions l’ont déjà mené à s’exporter à Grenoble ou à Paris. « Président à la créativité souvent débordante », Yann Samama peut alors compter sur ses hommes et ses femmes, dont sa directrice générale, Aude Negre, pour poursuivre son développement.

Coder la croissance est une marque de fabrique. Paré au décollage !

Le docteur Rana Dbouk, son époux Yann Samama, président d’Apollo et Mathilde Samama (Essca Lyon)
Aude Negre, directrice générale d’Apollo et Yann Samama, président d’Apollo
Yann Samama, président d’Apollo et Aude Negre, directrice générale
Pierre-Yves Binet et Charles Samama (Apollo)

Aurélie

Condette et Esther Deregnaucourt (Apollo)
Jessica Brisard et Vinciane Tatu (BNP Paribas)
Emma Verbeke, Rihab Hanchi (Apollo), Virginie Etievent (Sparks Formation) et Charlotte Balader (Alpha Nova)
Yann Samama, président d’Apollo entouré de Nicolas Priest (Inelys) et Jean-Charles Roche (JCR)
Maître Gino Marinho (Akilys Avocats), Juliette Lutz (Geode Conseils), Olivier Mazeran, Maître Jérôme Lucas (Akilys Avocats) et Maître Séverine Girardon, (Thivel Notaire Lyon & Tarare)
Virginie Adnet (OL Sportfive), Didier Anav (Holding Groupe Story) et Maître Jérôme Lucas (Akilys Avocats)
Yann Samama, président d’Apollo entouré de Lionel Lerissel (Groupe Uitsem-Smerra) et Cyril Roat (Smerra)
Maître Séverine Girardon (Thivel Notaire Lyon & Tarare), le docteur Rana Dbouk, Sylvaine Beraudier (Inelys), Anne-Laurence Roche (Access) et Eva Verpillot
Cyril Blanc (RGF Staffing) et David Lehmann (OneSys)
Julia Lagana et Florinda Plepi (Sparks Formation)
Jessica Bordes (Harvest) et Debora Butte (Tech-O)
Charles Potier (Utwin), Caroline Desplanques (Agicap) et Nil Chemin (Ouidou)
Aude Negre, directrice générale d’Apollo

3E GALA AU THÉÂTRE DES CÉLESTINS FONDATION RECHERCHE ALZHEIMER

Dans la corbeille comme dans les balcons du Théâtre des Célestins, le public a pu apprécier la beauté du 3e gala de la Fondation Recherche Alzheimer. Organisé par Christelle Barbet, un show entraînant et divertissant, prompt à inciter les invités à apporter leur contribution dans la quête de traitements contre la maladie. Il y eut du Renaud, du Bernard Lavilliers, du Pierre Richard, du Sylvie Testud ou du Élodie Fregé. Tous ont chanté qu’il faut aimer la vie. L’aimer même si le temps est assassin et emporte avec lui, la mémoire des plus grands. De ces 1,28 millions de personnes atteintes d’Alzheimer donc, maladie encore incurable, en dépit des efforts des chercheurs.

Texte : Morgan Couturier – Photos Saby Maviel

Didier et Marie Caudard-Breille, Serge et Virginie Mathieu et Christelle Bardet
Bernard Lavilliers
Marylène Millet, maire de Saint-Genis-Laval et Elisa Botticelli (Ecotone)
Yves Rioton (Séminaires et Business Events), l’horloger Louis Maier, Catherine Laforêt, conseillère régionale et Nicolas Winckler (Lyon People)
Pierre-Yves Lenoir, directeur du Théâtre des Célestins et Serge Luc (ID Techniques)
Sophie Cruz, conseillère régionale et Christophe Guilloteau, président du Département du Rhône
Philippe Pelisson (Négociants), Martine Bal (Martine Bal Immobilier), Pierre Nallet (AnaHome Immobilier) et Hervé Bal (Editions HB)
Pierre Oliver, maire de Lyon 2, Christelle Bardet (France Alzheimer) et Christian Thermoz, premier adjoint au maire de Lyon 6
Le professeur Bruno Dubois et le docteur Olivier de Ladoucette, président de la Fondation Recherche Alzheimer
Autour de Christelle, les chevilles ouvrières du Gala France Alzheimer
Laurent Gerra, Marie-Christine Herrbach, consul du Luxembourg et Gérard Herrbach, président France Alzheimer Rhône

NOËL FÉÉRIQUE À THE VILLAGE ILLUMINATIONS

ET MAGIE EN

CADEAUX

Rituel de fin d’année depuis six ans, l’illumination de The Village fut sublimée par un décor merveilleux. Un cadre à la fois féérique et apaisant pour réussir ses emplettes de Noël, jusqu’à la tombée de la nuit.

Photos © Alexandre Moulard et Marjorie Bruyere (Compagnie de Phalsbourg)

Cette année encore, The Village invite petits et grands à plonger dans l'esprit des fêtes avec une programmation exceptionnelle et une scénographie féérique. Jusqu'à fin décembre 2024, les visiteurs sont entrainés dans une ambiance festive, conquis par un Noël qui mêle shopping, surprises et moments magiques.

Dès leur arrivée, ils sont transportés dans un univers hivernal spectaculaire. A l’ombre de son sapin de 16 mètres, The Village s’est métamorphosé pour l’occasion avec des

illuminations scintillantes, des décorations élégantes et un décor enneigé digne des plus belles cartes postales.

Preuve que The Village sait être généreux avec ses visiteurs, en témoigne l’ajout de nouvelles boutiques, telles que les réchauffantes doudounes Jott ou le gourmand restaurant italien, Giardino by Cavallo. Une manière aussi, de mettre en lumière, le sens de l’accueil des clients réguliers, conviés à une chaleureuse soirée VIP. C’est aussi ça la magie de Noël. Ou plutôt la magie de The Village, tout simplement !

Philippe Journo, président de la Compagnie de Phalsbourg et Nicolas Rudancic, directeur The Village
Laurent Barillet (Lamy), Carole Barillet (Allianz assurance), et leurs enfants Timothée et Faustine
Nadine Roque, Julien Roque, Elsie Bertrand (K Laser Lyon 6) et Robin Roque (Air Liquide)
Maia Denonfoux, Chrystèle (LCL conseillère en patrimoine) et son époux Patrice (Rolland DG)
Annie Ozoyan (Crédit Agricole Centre Est) et Sona Dib (Les Mets d'Anouche)
Philippe Journo, président de la Compagnie de Phalsbourg, son épouse Karine et ses fils Joachim et Eliott
Anne-Sophie Perez et Fabrice Pierron (Sixt) avec Sophie Vaissellet (The Village)
David Antonelli, Virginie Trichon et Anna leur petite fille
Patrick Nicole-Williams, maire de Villefontaine accompagné de son épouse en compagnie de Jean Papadopulo, président de la Capi (Communauté d’Agglomération Porte de l’Isère)

PASINO GRAND INAUGURATION

Une soirée exceptionnelle à La Tour Salvagny pour fêter les travaux d’agrandissement et d’embellissement de l’ex-Casino Lyon Vert

Après plusieurs mois de travaux, le Pasino Grand La Tour Salvagny a organisé une soirée d’inauguration exceptionnelle, placée sous le signe du raffinement et de la convivialité, dans la grande tradition des réceptions Partouche. Mardi 5 novembre 2024, il n’est pas 19h, et déjà la foule des grands jours se presse à l’entrée du casino. Chantal Partouche, Cathy Merli et leurs équipes accueillent les invités pour cet événement prestigieux, marquant une nouvelle étape dans l’histoire de ce lieu emblématique.

UN NOUVEAU CAPITAINE À LA BARRE DU NAVIRE AMIRAL PARTOUCHE

En début de soirée, eut lieu le traditionnel couper du ruban inaugural en présence des maires de La Tour de Salvagny, Charbonnières et Tassin. L’occasion pour Chantal Partouche de transmettre le flambeau à son successeur Prosper Masquelier. Un passage de relais effectué en douceur et en toute discrétion. Parmi les invités d'honneur, Isidore Partouche, fondateur et président du Groupe Partouche, Ari Sebag, membre du Directoire du Groupe Partouche, Fabrice Paire, président du Directoire du Groupe Partouche ainsi que le chef étoilé Michel Sarran, venu avec des créations culinaires exclusives.

Photos Saby Maviel et Alain Rico
lyon people • décembre 2024 • 106
Maître Cécile Conan (Conan Belleville Hôtel d’Ainay) et Anne Prost (Anne Prost Organisation)
Maître Marc Van Gorp (Bremens Notaires) et Virgile Vandel (OL Sportfive)
Myriam Magnenet, Albert Dray (l’Affaire du 6) et Mireille Malka (Jordan Malka)
Claude Partouche, Geneviève Watine et Muriel Fiorini, ancienne directrice de la boutique Cartier
L’horloger Jean-Louis Maier et Nicolas Winckler (Lyon People)
Alexcia Couly (Miss Grand Lyon 2024) et Eva Partouche (Pasino Grand)
Esther Marciano et Jean-Claude Lavorel, président Groupe Lavorel Hotels
Patrick Partouche, Chantal Partouche, et Laurent Prud’homme, directeur général de l’Olympique Lyonnais
Fabrice Iafrate, Vérane Thisse Prost et Jordan Benhamou (Grand Casino de Lyon Le Pharaon)
Contrôle des cuisines pour l’humoriste Kev Adams
Maître Bruno Allard (Allard Nekaa Avocats) et son épouse Isabelle
Thibaut Gaudin (Brasserie des Monts d’Or) et Pierre Yves Gas (Plein Gaz)
Isabelle Barnel (yourcommunicationwhithme), Marco Polisson (Lyon People) et Catherine Condamin (Laboratoire Mavala)
Damien Gosmat (Abbaye Paul Bocuse), Aurélie Hernandez (FH Fleuriste Lyon) et Gino Iervese (Bocuse)
Delphine Boucher et Nicole Neyret
Anaïs Morsilli-Buffard, Bernard Bufard, Christelle Poirier, Dany Morsilli (La Sphère des Possibles) et Amaza Aiballal, joueur de foot au Maroc
Geneviève Blanchard, le fleuriste Franck Hernandez, Marie-Charlotte Iamumbo (Franck Hernandez), Romain Salles (Mobbar) et Raphael Février (Franck Hernandez)
Arthur Benhamou, Cathy et Guy Benhamou (Casino le Pharaon), Chantal Partouche, Hubert et Patricia Benhamou (Casino de Divonne-les-Bains)
Maître Yves Hartemann, avocat, Vinciane Neyret (Le Petit Monde), son mari Maître Christophe Neyret, avocat et Nathalie Hartemann
LE COUPER DE RUBAN : Patrick Partouche, Gilles Pillon, maire de La Tour de Salvagny, Chantal Partouche et Prosper Masquelier, nouveau directeur du Pasino Grand

CENTRE SCOLAIRE

SAINT-THOMAS D’AQUIN LA PREMIÈRE PIERRE D’UN GRAND PROJET SPORTIF

David Poulain (Léon Grosse), Bruno Drécourt (Saint-Thomas d’Aquin), Joëlle Sechaud (conseillère de la Métropole de Lyon), Clotilde Pouzergue (maire déléguée Oullins-Pierre-Bénite), Jean-Charles Kohlhaas (Vice-président de la Métropole de Lyon), Luis Reggiardo (architecte associé Soho), Xavier Gouët (Directeur général du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin), Philippe Blanc (Association immobilière Saint-Thomas d’Aquin), Dominique Ferrière (professeur EPS Saint-Thomas d’Aquin), Elisabeth Cazergue (Caisse d’Epargne Rhône-Alpes)

(Office Notarial), Maître Anaïs Reneteau (Notaire), Julien Calligaro (AXA) et Fabienne Besson Leclercq (Inspir In)

Les installations sportives étant devenues inadaptées face à l’évolution des effectifs, le Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin a entamé la construction d’un nouveau pôle sportif, baptisé Henri Didon. Élevé sur plus de 1600 m 2 , à l’horizon fin 2025, ce « projet d’excellence », vise à réaffirmer « la place du corps dans l’éducation ».

Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel

Se contenter du minimum n’étant pas l’adage du sport, le Centre scolaire Saint Thomas d’Aquin ne put s’empêcher de viser « plus vite, plus haut, plus fort ». En référence au Dominicain Henri Didon, lequel souffla la devise olympique, à l’oreille de Pierre de Coubertin, l’établissement oullinois a donc livré une prestation de taille. À l’aube de la construction de son futur pôle sportif Henri Didon, il n’y eut donc pas une, mais trois poses de la première pierre. « Quelle aventure et quelle histoire ! Ce projet voit enfin le jour », s’est réjoui le directeur, Xavier Gouët. D’ici un an, les quelque 1800 élèves, du collège au Bac+5, pourront ainsi profiter de 1600 m2 dédiés au sport. « Un lieu multifonctionnel, écologiquement responsable et ouvert aux acteurs engagés sur le territoire. Ce n’est pas seulement un projet scolaire, mais une opportunité de collaboration », dixit le directeur. Les travaux désormais bénis par le frère Cyrille-Marie Richard, place à leur exécution. En se souvenant qu’avec un coût estimé à 5 millions d’euros, tout don sera loué !

Pour soutenir le projet, rendez-vous

Loïc-Olivier Labrosse (Léon Grosse), Bruno Drécourt (Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin), David Poulain (Léon Grosse) et Philippe Pignolet (Soho Architecture)

Marc Faivre d’Arcier (Directeur Valpré) et Thibault Laurin (Directeur général adjoint du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin)

Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin)

Bernard Weulersse (Responsable du contrôle de gestion opérationnel FedEx), Maître Martin

et

Bernard Weulersse (Responsable du contrôle de gestion opérationnel FedEx), Eve et Damien Nonat (ADN Développement)
Arnaud Renard
Laurent Constantin (Président acti & naga), Baudouin Tertrais (Credofunding), Xavier Gouët (Directeur général du
Bretagne (notaire Bazaille et Associés)
Damien Nonat (ADN Développement)
Serge Cariou (Caves & Saveurs),
Maître Aude Dauphin (avocat Rollux et Dauphin) et Olivier Desseigne (Directeur du site Saint-Thomas d’Aquin à Mornant)
Cécilia Rogier (Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin), Luis Reggiardo (Soho Architecture), Elisabeth Cazergue et Pascal Charriere (Caisse d’Épargne)
Cédric Assambo (Luma Vision), Jean-Charles Kohlhaas (Vice-président à la Métropole de Lyon) et Philippe Blanc (Association immobilière de Saint-Thomas d’Aquin)
Marc Faivre d’Arcier (Directeur Valpré), Xavier Gouët (Directeur général du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin) et Alexandre Paviot (Papiers Paviot)

Anne-Sophie Condemine, adjointe au maire de Lyon 2, Karine Gaudinet-Guérin (Tomorow Business School), Sébastien Arcos (EKLYA Business School), son épouse Vanessa Arcos

HOTEL DU DÉPARTEMENT

AVANT-PREMIÈRE BEAUJOLAIS NOUVEAU 2024

La soirée de lancement du Beaujolais Nouveau a réuni plusieurs centaines de personnes dans les salons de l’Hôtel du Département du Rhône.

Texte : Marco Polisson – Photos © Saby Maviel

Toujours autant de succès pour la grande fête organisée par Le Progrès et le Département du Rhône. Son président Christophe Guilloteau était particulièrement heureux d’accueillir deux personnalités pour la mise en perce : Fabrice Pannecoucke, le nouveau Président de la Région Auvergne Rhône-Alpes et le ministre caladois Alexandre Portier. L’occasion de célébrer le millésime 2024 réalisé dans des conditions climatiques difficiles « et dans un contexte d’agro-bashing insupportable » a déploré le président du Département du Rhône dont la collectivité, épaulée par la Région AURA a élaboré « le plan Beaujolais qui a permis d’installer 11 jeunes viticulteurs et de sauver de nombreuses exploitations ».

“LE

BEAUJOLAIS

EST LE VISAGE DE LA FRANCE

PARTOUT DANS LE MONDE”

Né en 1990 à la Tronche, le nouveau ministre délégué à la réussite scolaire fut conseiller municipal de Villefranche sur Saône, puis pendant deux ans, le député du Beaujolais avant de rejoindre le gouvernement de Michel Barnier. Sur ses terres rhodaniennes, Alexandre Portier n’a pas boudé son quart d’heure de gloire Beaujolaise. L’occasion de rappeler à un public conquis que « ce vin est franc, généreux, et français. IL constitue un véritable emblème national qui rayonne dans le monde entier. C’est la soirée de la fierté pour notre territoire ! » a conclu le ministre délégué, ravi de cette parenthèse enchantée dans un agenda politique compliqué...

(Detra Vox)
Nicolas Veltz, Clémence Darosey et le chef sommelier Jacques Rouget (restaurant Régis et Jacques Marcon)
Béryl Maillard (consul de St Domingue), Stéphane Pelletier (Broc Bar) et Arlette Hugon (Chez Hugon)
Myriam Malher, Evelyne Haguenauer, Aude Bonnell (AORL) et Isabelle Gonon (Triskell Holding)
Alexandre Portier, ministre délégué à la réussite scolaire
Marco Polisson (Lyon People) entouré de Juliette Kedikian, Nariné Koyoumian et Valérie Gouthez (Plattard)
Sophie Cruz, conseillère régionale, Stanislas Lukomski, Caroline Goulier (Lord Nelson), Romain Blanchin (Groupe SGM)
Isabelle Bretin (Comtoo Solutions), Yves Rioton (Séminaires Business Events), Laetitia Pepino (Avec Joie) et Corine Paris (CPG Assurances)
Le chef Fabrice Bonnot (Cuisine et Dépendances) et Hugon Truchon-Bartes (Prévoir)
L’artiste Alexandre Caillarec (Xela bottle painting)
Jean-Marc Lafont et Sébastien Kargul (Inter Beaujolais)
Christophe Guilloteau, président du Département du Rhône
Fabrice Pannecoucke, président de la Région Auvergne Rhône-Alpes
Les Compagnons du Beaujolais
Régis Longin (Groupama) et Jean-Marie Martino, DG du Département du Rhône

SALON EQUITA LYON 200 000 VISITEURS ! NOUVEAU RECORD

Nouveau coup de maître pour le salon Longines Equita Lyon qui confirme son statut de « place to be » de l’équitation en France et en Europe.

2024, millésime de tous les défis pour GL events equestrian sport qui conclut l’année avec un nouveau record : 199 018 visiteurs ont arpenté les allées, les stands et les carrières d’Equita Lyon qui fêtait ses 30 ans à Eurexpo. Et pour célébrer cet anniversaire autour de Sylvie Robert et de ses équipes, la crème de l’équitation mondiale avec pas moins 20 cavaliers ayant participé aux Jeux Olympiques organisés au château de Versailles par... GL events equestrian sport*.

UN MICROCLIMAT

AU-DESSUS D’EUREXPO.

L’engouement des JO a essaimé sur les 7 halls du salon, porté par ses stars dont le cavalier maison, Olivier Perreau qui a décroché le bronze en saut d’obstacles par équipes. Epargné par la morosité ambiante, l’enthousiasme a gagné l’ensemble des visiteurs, des exposants et des partenaires régalés par Mathieu Viannay et Baptiste Pignol au Village VIP.

*Ses équipes assurent également l’organisation du Saut Hermès (qui retrouvera le Grand Palais les 22 et 23 mars 2025) et du Printemps des sports équestres à Fontainebleau.

Texte : Marco Polisson – Photos © Alexandre Moulard
Alexandra Brun (Altitude 69 BMW) et Coralie Petit (Altitude BMW), Sébastien Rolly (Foresterra) et Bertrand Brun (Altitude 69 BMW)
Baptiste Pignol, Camille Leroy (GL events) et Luc Dubanchet, directeur du SIRHA
Le Chef Mathieu Viannay (La Mère Brazier) et Audrey Ferrière (Atout chef)
Ambiance Village VIP
Emilie Duranel (La Maison de Baba) et Fabien Duranel (WMH Project)
Philippe et Gaëlle Dupuy (CCI Lyon)
Abdias Merakchi, Vérane Thisse-Prost (Casino Le Pharaon), Alex Carlet, Yann Chapalain (Moon Safari Architecture) et Anne Prost

tassinlademilune.fr

HALLES DE LYON

10ÈME FÊTE DES ÉCAILLERS !

Et de 10 pour la fête des écaillers, devenue au fil du temps, un rendezvous gastronomique incontournable. Une décennie d’histoires, partagées avec les écaillers et les commerçants des Halles de Lyon Paul Bocuse, réunis autour d’une table et d’une bonne bouteille, par Pierre-Yves Gas (agence Plein Gas). Pouvait-il en être autrement, alors que la Fête des écaillers a gagné ses lettres de noblesse, dans l’ivresse de ce rendez-vous fédérateur, au cours duquel les Lyonnais entretiennent leur amour du bien vivre et du bien manger. Du bien festoyer en somme, le nombre de participants n’ayant cessé d’exploser au fil des années. La dixième se devait alors d’être pimenté. À la clé, une succulente quête à la perle d’huître, orchestrée par la maison Tisseront. Les 850 invités ont apprécié. Et promis que la fête était loin d’être finie. Même après 10 ans, elle ne fait que commencer !

: Morgan Couturier

Texte
– Photos © Alexandre Moulard
Claude Polidori, président des halles de Lyon Paul Bocuse, Joël Dupuch et Éric Giraud (Chez Antonin)
Les invités de Lyon People Annonces légales avec sa directrice Sophie Bardol
Les invités de Jean Rodolphe Guigonnet, directeur des Centres Porsche Lyon
Claude Polidori entouré des associés de la charcuterie Bobosse, Bruno Delattre et de Pierre Couturier
Joël Dupuch, Edouard Coquillat (Groupe Central Autos) et Nicolas Winckler (Lyon People)
Jean-Claude Caro, Alain Cellerier et la peintre Valérie Barranco
L’équipe de Maison Rousseau
L’équipe de Cellerier
Séverine Eberhardt, l’artiste Jakè, Arnaud Rigal et Béatrice de Montille

LE VILLAGE DES AUBERGISTES #4 S’INSTALLE AU PHÉNIX HÔTEL

L’évènement annuel, « Le Village des Aubergistes Lyonnais » a réuni près de 200 acteurs du milieu de l’hôtellerie – restauration pour une soirée dégustations.

Les Aubergistes Lyonnais étaient en fête le lundi 25 novembre. La quatrième édition du Village des Aubergistes a investi la dernière rénovation du groupe, l’hôtel 4* Le Phénix, situé au 7, quai de Bondy dans le 5e arrondissement.

Cet évènement a vocation à réunir, une fois par an, tout l’écosystème de la collection d’hôtels restaurants, ainsi qu’à créer du lien entre tous ces acteurs et fournisseurs. Au total, vingt exposants ont présenté leurs produits aux invités.

UN ÉCOSYSTÈME MADE IN LYON

Tous ont un point commun, celui d’être des producteurs lyonnais (ou du moins régionaux). Une caractéristique primordiale pour le premier groupe hôtelier devenu une

entreprise à mission en France. On compte parmi les exposants Le Gourmet Lyonnais, la Laiterie de Lyon ou encore les Cafés Gonéo, une maison de torréfaction lyonnaise. « C’est un petit monde, on se connaît tous, témoigne le fondateur des Terrines de Pierre. Ce rendez-vous est le moyen de revoir des personnes que l’on apprécie et de tisser du réseau. » Débutée aux alentours de 18h, la soirée s’est ainsi composée de retrouvailles et de dégustations de bons produits, avec en fond musical le pianiste Patrick Bafon Le tout dans une ambiance chaleureuse et conviviale.

Par ailleurs, le fondateur du groupe hôtelier

Les Aubergistes Lyonnais, Loïc Renart, a rendu hommage à tous ceux qui lui ont permis, malgré les embuches, de mener à bien son projet : « La profonde révolution dans nos petites entreprises, c’est la tendresse de l’écosystème. »

Thibaud Cither (chef de cuisine groupe Les Aubergiste), Morgane Renart (responsable restaurant), Candice Boucharlat (responsable événementiel), Baptiste Monod (Assistant responsable comptoir Phénix), Fanny Dumouchel (second de cuisine), Éloïse Guillot (assistante administration et finance), Eva Luquet (Responsable marketing et communication)
Domaine de Sainte-Marie : Victor Degenève (commercial) et Maylis de Sainte-Marie
Otcho Hard Cider: Kevin Guez et Virgile Beguin
La Laiterie de Lyon : Anaïs Duraffourg et Albane Bultel
Jus de fruits Alain Milliat : Antoine Thivillon
La terrine de Pierre : Pierre Fayard
Discours de Loïc Renart, fondateur du groupe
Les Aubergistes Lyonnais
Cafés Gonéo : Zoé Perrin et Pauline Armatol
L’hôtel Phenix et sa très belle façade Renaissance

SALON EPOQU’AUTO

LES 120 ANS DE ROLLS

ROYCE

Nouveau record d’affluence sur le salon européen des véhicules de collection qui a accueilli 109 000 visiteurs à Eurexpo. Parmi les temps forts, l’anniversaire de Rolls Royce n’est pas passé inaperçu. Passionnés d’automobiles, organisateurs d’Epoqu’Auto et invités du magazine Lyon People et de son département Annonces Légales se sont retrouvés sur l’espace du Rolls Royce Bentley Club de Lyon, animé par ses adhérents en costumes d’époque.

Une ode à la liberté de circulation. À raison de 6 sorties par an, les adhérents du club, créé en 2019 par le comte Marc Engelhard et le tenancier Bernard Lhuillier, traboulent sur tout le quart sud-est et même en Suisse. Une quarantaine de véhicules construits entre 1922 et 2024 sont désormais estampillés Rolls Royce Bentley Club de Lyon dont cette magnifique Silver Wraith de 1954. Ce n’est pas seulement l’anniversaire de Rolls Royce que nous avons fêté, c’est également la liberté de rouler et de circuler dans nos véhicules de collection ou nos voitures du quotidien. Une liberté remise chaque jour en cause par les écologistes de la Mairie et la Métropole de Lyon comme vous en subissez malheureusement les conséquences. Une liberté que nous avons tous à cœur de défendre !

Texte : Marc de Jouvencel – Photos Alexandre Moulard

Louis et Charles Engelhard et leur ami Mathias Arguel
Sébastien Frambourg (Papa de Jules, Rallye du cœur Rhône-Alpes), Florian Sermet (Agence Adjectif) et Franck Denoyel, coordinateur Rallye du Cœur Rhône Alpes
L’avocat Antoine Nanterme (Juris Vendôme), Florent Massonet (Dentaire Cordeliers) et Nicolas Camus (expert de justice AMS Locations)
Florian Sermet (Agence Adjectif) et le comte Marc Engelhard, président du RRBC Lyon
Armand, Jean-François, Jean-Marie et Michael Didier et Isabelle
Olivier et son père Jean-Yves
Thomas Boudier (Foster avocats Lyon) et Alexis Semet (avocat)
L’animateur Franck Presti, Jean-Paul Bessy, commissaire général Epoqu’auto et le magicien Dani Lary
Le notaire Benjamin Duperray, Sophie Bardol (Annonces Légales Lyon People) et Marco
Le bagad de Chambéry autour de la RR Silver Wraith 1954
Michel Franc (courtier en assurance) et Christian Mure (Guide Lyon Gourmand)

Sébastien

LANCEMENT WONDER RALLYE 2025 CHEZ PORSCHE LYON

Le Centre Porsche Lyon Nord, dirigé par Jean-Rodolphe Guigonnet, a accueilli le lancement du Wonder Rallye 2025, événement célébrant le sport automobile et l’audace des femmes au volant.

Cette 4ème édition, créée par Aurélia Roquesalane, conduira les participantes autour du Pays basque du 18 au 22 mai 2025. Le légendaire Sébastien Loeb, entouré de Laurène Godey et Carinne Teyssandier, a marqué la soirée de sa présence. « Chez Porsche Lyon, l’audace et la passion sont notre essence ! » a souligné Jean-Rodolphe Guigonnet.

Photos © Simon Raveneau - PictBySim
Aurelia Roquesalane, Jean-Rodolphe Guigonnet,
Loeb, Laurene Godey et Carinne Teyssandier
Carole Combarmond (Pierraceram) et Lysiane Azzopardi (Cctlo Dekra)
Frédéric Adrait (Artiste peintre)
Bruno Bluntzer (Sibilla), Julien Saunier (JS Racing) et Caroline Noyel (Gone de l’immo)
Emmanuelle Degrave (Latitude decoration) et Mano Dechaud (Artifil, sponsors Wonder Rallye)
Karine Giroudon, Sandrine Bergier et Marie Fayolle
Aurélia Roquesalane et Moura Alain (Geolocpro, sponsor Wonder rallye)
Carinne Teyssandier, Stéphane Jimenez (Neyret immobilier) et Béatrice fauconnier
Sébastien Le Guillou (SLG habilleur) et Julien Pochard (CP Lyon)
Laurene Godey, Sébastien Loeb, Aurélia Roquesalane, Carinne Teyssandier et Jean-Rodolphe Guigonnet
Jacques Revello, Caroline Noyel (Gones de l'immo), Harmony Valiente, Julie Le Guillou et Bruno Bluntzer
Eric Sabatier (Esp l’annexe), Nathalie Janson (Esp l’annexe), Elodie Sabatier (Crédit Agricole) et Wassim Meslem (Cushman & Wakefield)
Emmanuelle Jacqueton (Education nationale), Fabrice Jacqueton (Jfilms) et Jacques Revello (CP Lyon)

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MARIAGE

28/09/2024 - Chloé Klajer et Loïc Guyon

NAISSANCES

14/11/2024 – Madeleine fille de Laurie Giraud 10/11/2024 - Suzanne chez Caroline Bonnardel et Pierre Marie Nauleau

DISPARITIONS

Dans nos intentions de prière, , fondateur de l’agence Jump ; Monsieur Jean-Jacques Ville 2 ; Monsieur Baptiste Rispoli, fils de Frédéric Rispoli et Stéphanie Journoud ;

Monsieur Maurice Noirard, ancien président du Groupe de Recherches Historiques de Tassin La Demi-Lune ;

Monsieur Georges Chorein, ancien conseiller municipal de Sainte Foy-les-Lyon ;

Maître Loik Conan, commissaire-priseur, papa de Cécile et Marie ; Madame Annie Arcos, maman d'Emmanuel et Sébastien Arcos, directeur Eklya. Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.

NOMINATIONS

OLYMPIQUE LYONNAIS

L’Olympique Lyonnais est fier d’annoncer une étape décisive dans la transformation de son organisation sportive avec la nomination de Matthieu LouisJean au poste de directeur technique, au sein d’une cellule sportive remaniée. La nouvelle équipe travaillera en étroite collaboration avec le président John Textor et Laurent Prud’homme, directeur général de l’Olympique Lyonnais.

PRÉFECTURE DU RHÔNE

Par décret du Président de la République en date du 6 novembre 2024, Antoine Guérin a été nommé préfet délégué pour la défense et la sécurité. Diplômé de l’ENA, il a pris ses fonctions ce lundi 18 novembre 2024 et succède à Juliette Bossart Trignart, qui occupait ce poste depuis août 2023.

DISTINCTION

GUILLAUME ENGELHARD

Lors des cérémonies commémorant la Victoire du 11 novembre 1918 au parc de la Tête d’Or, l’adjudant-chef Guillaume Engelhard a reçu les insignes de chevalier dans l’ordre national du Mérite, pour avoir passionnément vécu « 38 années à l’ombre du drapeau français et au profit de l’armée de Terre » sur de nombreux théâtres d’opération où la France était engagée.

ANNIVERSAIRE

JACQUELINE ROUCOU

80 ANS DE PLAISIRS GOURMANDS !

Texte : Morgan Couturier – Photo Lyon People

Énergique comme à ses plus belles années, Jacqueline Roucou a soufflé sa 80e bougie. Avec gourmandise, cela va de soi. Encore une bougie de soufflée, encore une année de passée, et comme put l’entonner Patrick Sébastien : beaucoup d’amour et une santé de fer. « Le plus important », aime-t-elle répéter, sans avoir besoin du célèbre animateur, pour conter sa joie. Une touche de mélodie s’il en fallait, alors que Jacqueline Roucou suffit à l’animation, elle, dont le poids des années, ne semble que renforcer la vitalité. Alors tant pis si, sur le menu de son anniversaire, le nombre 80 se joignit à la fête, en accompagnant ses incontournables langoustes de Bretagne ou la succulente selle d’agneau rôti, préparés par son fils Nicolas Pignol et le chef MOF, Jean-Marc Tachet, Jacqueline Roucou n’a rien perdu de son énergie. Dans la quiétude de Dolomieu, en pleine campagne iséroise, la fille de Roger Roucou, l’emblématique chef de La Mère Guy, eut ainsi démontré toute sa poigne, sans jamais dévoiler le secret de ce dynamisme. Son mari, Yves Pages, peut en témoigner, sa poigne de fer n’est pas près de disparaître. Son amour des autres, non plus. Ses invités, les chefs Pierre Orsi et Cristian Bourillot en tête, peuvent en témoigner. Reste que le plus important des convives, était à trouver ailleurs. Dans ce ciel ensoleillé puis étoilé, dans lequel Jacqueline Roucou voulut convier son père, dans un dernier « je t’aime », décoré du « trophée Roger Roucou ». De quoi l’inciter à veiller sur elle. Et lui offrir l’occasion de célébrer bien d’autres rendez-vous gourmands. À Lyon, dans le Var où la charmante gastronome s’est installée, ou ailleurs. Qu’importe, en la compagnie de Jacqueline Roucou, l’instant est toujours délicieux !

CARNET MONDAIN
lyon
Roger Roucou

Je préfère les produits de ma région

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