QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !
CHAMPIONNAT DU MONDE DE PÂTÉ-CROÛTE L’ALBUM PHOTOS DE LA 15ÈME ÉDITION gastronomie
QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !
CHAMPIONNAT DU MONDE DE PÂTÉ-CROÛTE L’ALBUM PHOTOS DE LA 15ÈME ÉDITION gastronomie
N°256 – Janvier 2025
DE REMISE SUR VOTRE INSCRIPTION* 100€ CLUB DE SPORT PREMIUM
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DU 8 JANVIER AU 4 FÉVRIER 2025
14 LA VIE CULTURELLE
16 LA VIE JURIDIQUE
18 LA VIE ÉCONOMIQUE
24 LA VIE GASTRONOMIQUE
26 CHAMPIONNAT DU MONDE DE PÂTÉ-CROÛTE
30 PEOPLE STORY
38 LE CAFÉ DES LYONNES LAURE CÉDAT
40 MEGÈVE PEOPLE
42 STYLE AUTO & MOTO
44 STYLE GASTRONOMIE
46 PEOPLE SPORT LOU — TOULOUSE ASVEL — PARIS
49 STYLE SHOPPING
50 DOSSIER SPÉCIAL ÉVÈNEMENTIEL
61 PEOPLE EVENTS LES 13 ÉVÈNEMENTS
QU’IL NE FALLAIT PAS MANQUER
82 CARNET MONDAIN
Lyonpeople.com n°256 - Janvier 2025
Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler
Couverture : Nicolo Morreale et ses fils par Jean-Luc Mège
Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com
Directeur de la rédaction Marc Engelhard
Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com
Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com
Journalistes Margaux Nourry, Philippe Lecoq, Jocelyne Vidal
Directeur artistique Ghislain Laîné - ghislain@lyonpeople.com
Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com
Chef de publicité Flavie Laforêt - flavie@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43
Directrice du TOP 500 des Lyonnais Clémence Bricon
Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com
Assistante commerciale Camille Megido - camille@lyonpeople.com
Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com
Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Karine Bourgain, Bertrand Perret
Ont collaboré à ce numéro Laurette, Alexandra Carraz, Jocelyne Vidal, Lou-Ann Girardet
Jacques Bruyas, Philippe Lecoq, Jean-Marie Nauleau, Christian Mure.
Diffusion Agence Coyote Diffusion
Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique à partir du site lyonpeople.com
Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.
100 000 lecteurs
tous les mois
Etude Médiamétrie 05/2005
Lyon People est certifié par 139, rue Bugeaud - Lyon 6e Tél. 04 72 82 97 78
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La team Lyon People 2025 dans l’objectif de Jean-Luc Mège
De g à d : Charles-Edouard Gil, photographe ; Jacques Bruyas, critique littéraire ; Grégory Bruno, pamphlétaire ; Jean Etevenaux, historien ; Jean-Marie Nauleau, consultant rugby ; Alice Magis, vidéaste ; Christian Mure, chroniquer gastronomique (Guide Lyon Gourmand) ; Jocelyne Vidal, journaliste ; Margaux Nourry, journaliste ; Bertrand Perret, photographe ; Cyril Marin, webmaster (COF4) ; Karine Bourgain, photographe ; Julien Smati, communicant ; Marc Engelhard, dit Marco, directeur de la rédaction ; Stéphane Guiochon, photographe ; Camille Megido, assistante commerciale ; Nicolas Winckler, directeur de la publication ; Pierre Jourdan, architecte-historien ; Saby Maviel, photographe ; Jean-Luc Mège, photographe ; Morgan Couturier, rédacteur en chef adjoint ; Alexandre Moullard, photographe ; Sophie Bardol, directrice des annonces légales ; Marie Bugnet, assistante de direction ; Ghislain Lainé, directeur artistique ; Clémence Bricon, directrice du Top 500 ; Bruce Mathieu, diffuseur (Coyote) ; Flavie Laforêt, chef de publicité et Victoria Bernard, vidéaste.
Absents de la photo : notre associé Jean-Marc Requien, notre conseillère éditoriale Françoise Petit, les journalistes Philippe Lecoq, Nadine Fageol et Sophie Guivarch, nos consultants Julien Sanglier (basket) et Franck Girardet (football), Jean-Philippe Niewenglowski, consultant commercial, Eric Planat, généalogiste, Odile Mattei, (gastronomie) et Bernard Gouttenoire (arts)
Nous vous remercions d’être à nos côtés aujourd’hui pour clôturer l’année 2024 et envisager 2025.
Inutile de s’attarder sur la conjoncture nationale et locale. Grâce à la série web #Lyonécolo, vous savez tous ce qu’il en est de la double peine qui frappe Lyon depuis 4 ans et demi.
Notre indépendance. En ce qui concerne Lyon People, on s’accroche en conservant notre liberté de ton et notre liberté d’expression pour rester le magazine préféré des Lyonnais, et le plus diffusé (20 000 exemplaires par mois*), grâce aux équipes de Bruce Mathieu (Coyote), loin devant la concurrence aux mains de groupes financiers et/ou sponsorisée par les institutions écologistes( à l'exception de Lyon Mag).
Notre équipage. Les panaches blancs du chroniqueur gastronomique Christian Mure, de l’historien Jean Etevenaux, du critique littéraire Jacques Bruyas et de notre consultant rugby Jean-Marie Nauleau vous rappellent que Lyon People est le seul média lyonnais à vivre en mode intergénérationnel, avec un vivier de 35 talents allant de 81 ans jusqu’à 21 ans, avec nos benjamines Margaux et Camille, Alice et Victoria, sous l’attention bienveillante de Marie Bugnet, l’âme de notre famille.
Notre ligne éditoriale. Entre deux voyages de presse à Marbella ou à Dubaï, notre rédacteur en chef Marco Polisson et son adjoint Morgan Couturier alimentent votre site internet quotidien qui a accueilli sur l’année 2024 une moyenne de 350 000 visiteurs par mois*, ce qui nous place dans le top 3 des sites 100% actualité lyonnaise. Une performance compte-tenu du faible nombre d’articles publiés (2 à 3 par jour pour que la qualité et la causticité soient toujours au rendez-vous).
Grâce à l’incroyable communauté qui nous suit et nous soutient depuis plus de 20 ans, nos réseaux sociaux connaissent une progression constante avec 33 000 suiveurs et 27 000 amis sur Facebook, 10 400 followers sur Instagram et 16 000 abonnés sur LinkedIn. Et pour info, nous n’avons pas l’intention de quitter Twitter... N’oubliez pas de partager nos articles sur vos réseaux pour doper notre audience numérique.
Notre business-plan. Au rayon pub, géré par Nicolas Winckler, l’équipe de Lyon People s’est enrichie de l’arrivée de Flavie Laforêt, notre chef de publicité qui a pris le relais de Sophia, partie vivre de nouveaux challenges professionnels. La fidélité de nos annonceurs ne s’est pas démentie en 2024 avec une moyenne de 120 entreprises et commerces facturés par mois. Sur le podium, les enseignes et marques premium de l’horlogerie, la joaillerie, l’automobile, l’ameublement et la gastronomie, prisées par notre lectorat CSP+.
Marco Engelhard Directeur de la rédaction
Cette fidélité nous oblige et nous encourage à publier des magazines toujours plus élaborés avec, en 2024, un numéro collector de 300 pages consacré au patrimoine de Tassin La Demi-Lune. Une performance née du talent de notre directeur artistique Ghislain Lainé, de nos rédacteurs, photographes et vidéastes. Enfin, notre département Annonces légales en ligne (sous la responsabilité de Sophie Bardol) se développe bien avec une progression de 25% l'an dernier.
Notre avenir. 2025 s’annonce délicate car nous n’avons pas récupéré le marché de la publicité immobilière mais deux beaux rendez-vous viendront ponctuer cette année charnière : la soirée de gala du Top 500 des Lyonnais #7 sous la houlette de Clémence Bricon, Camille et Nicolas, puis le lancement du magazine spécial « Patrimoine de Bron » réalisé par nos contributeurs emmenés par Marco et l’architecte-historien Pierre Jourdan. Sa commercialisation est assurée par Flavie et Jean-Philippe.
Une année de transition et de résistance qui nous conduira jusqu’à 2026, millésime ô combien important pour les Lyonnais avec les élections municipales, et pour notre magazine qui fêtera ses 25 ans au cours d’une fête mémorable que nous préparons dès à présent.
Nous vous présentons nos meilleurs vœux et vous remercions pour votre fidélité.
Nicolas Winckler Directeur de la publication
*Source : ACPM OJD
Vignes
Taycan 4S - Valeurs WLTP : Conso. électrique combinée : de 17,7 à 20,7 kWh/100km. Plus d’informations sur le site www.porsche.fr. Porsche France S.A.S. RCS Nanterre B348 567 504.
Au quotidien, prenez les transports en commun. #SeDéplacerMoinsPolluer
Les déclinistes écologistes au pouvoir peuvent se réjouir : avec seulement 524 000 habitants, Lyon va bientôt perdre son statut de 3ème ville de France au profit de Toulouse. Ce n'est pas un poisson d'avril mais le résultat très factuel des dernières statistiques de l’INSEE. La capitale des Gaules a perdu plus de 1 500 habitants en un an, dans une tendance qui s'accélère depuis l'arrivée des écologistes aux commandes de la ville et de la Métropole. Et cela n'a rien d'anecdotique, car cela se traduit par la fuite des familles et
la fermeture de nombreuses classes : depuis 2020, Lyon a perdu 1 écolier sur 10. Une conséquence directe de l'insécutité et de la politique obsessionnelle anti-voiture des khmers verts qui fait bondir l'ancienne sénatrice du Rhône Michèle Vullien : « Les monomaniaques du vélo assignent les gens à résidence dans une ville où la population vieillit ! » Trop c’est trop, pour la maire honoraire de Dardilly dont l'interview est à retrouver sur notre site internet (épisode 7 de la série Cauchemar à Monplaisir).
avec l’agenda du TOP 500
Mercredi 8 janvier – Vœux du Maire de Lyon 2
Jeudi 9 janvier – Vœux du Maire de Saint-Priest
Jeudi 9 janvier – Vœux du Président du Département du Rhône
Samedi 11 janvier – Vœux du Président du Rolls Royce Bentley Club de Lyon
Lundi 13 janvier – Vœux du Président des Commissaires aux Comptes
Jeudi 16 janvier – Vœux du Maire d’Ecully
Jeudi 16 janvier – Vœux du Maire de Tassin la Demi-Lune
Jeudi 16 janvier – Vœux du Président de la FNAIM
Jeudi 16 janvier - Vœux du Président du Cercle de l’Union
Jeudi 16 janvier - Vœux du Gouverneur militaire de Lyon
Vendredi 17 janvier – Vœux du Général de Gendarmerie Rhône-Alpes
Lundi 20 janvier – Vœux du Président du MEDEF Lyon Rhône
Lundi 20 janvier – Vœux du Président du CESER
Lundi 20 janvier – Vœux du président de l’UNIS
Mardi 21 janvier – Vœux du Président du Club des Clubs
Mardi 21 janvier – Vœux du monde économique CCI - CMA
Mercredi 22 janvier – Vœux du Maire de Lyon 6
Dimanche 26 janvier – Vœux du Maire de Mornant
Lundi 27 janvier – Vœux du Président de la CPME
Mardi 28 janvier – Vœux du Président délégué de l’ASVEL
Mardi 28 janvier – Vœux du président du Rallye du Cœur
Jeudi 30 janvier – Vœux du Président de l’Ordre des Experts-Comptables
Jeudi 30 janvier – Vœux du Président de la Région AURA
> Horaires et lieux sur l’appli Top 500 des Lyonnais
LES
LES PLUS LUS SUR NOTRE SITE WEB
> Fête des Lumières à la sauce Doucet : une déchetterie au parc de la Tête d’Or
> Cauchemar avenue des Frères Lumière : la série de 8 épisodes en ligne
> Une vente aux enchères 100% Porsche à Lyon
> La gerbe de Grégory Doucet arrive après la bataille
> Parc des Oiseaux, une lumineuse histoire d’amour
DE LOUIS XVI
Samedi 18 janvier 2025 à 10h30
Basilique Saint Bonaventure
Place des Cordeliers – Lyon 2
Elle sera célébrée par le père Patrick Rollin, recteur, en présence de S.A.R. Le Prince Rémy de Bourbon Parme avec la participation des trompes de chasse de La Diane Lyonnaise. À l’appel de l’association Présence du Souvenir Bourbonien en Rhône-Alpes.
Pour la grande soirée de la Chandeleur qui se déroulera le jeudi 30 janvier au Sofitel, pour la première fois, Jakè, Bur et Nicolas Perrot réaliseront ensemble un live painting. Les trois œuvres signées des trois artistes seront proposées à la vente dont le produit sera redistribué à trois associations de bienfaisance.
Belle reconnaissance de la profession pour Marie Rigaud et ses équipes. Le Printemps de Pérouges a décroché la deuxième place aux Heavent Festivals Awards où concourraient les meilleurs festivals français. Avec en cadeau bonus la distinction du « meilleur festival Intermédiaire en France ». Rendez-vous en juin 2025 au château de Saint-Exupéry (01)
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Malgré le revers des dernières législatives, Marc Fraysse se défend d’abandonner Villeurbanne à son triste sort actuel. Il sera de la bataille pour sortir de l'ornière la deuxième ville du Rhône.
Texte : Morgan Couturier – Photos © DR Lyon People
Un pour tous, et « tous pour Villeurbanne », ainsi va le sens de l’histoire de Marc Fraysse et ses mousquetaires, lorsqu’à la table du restaurant Le Comptoir des lônes, l’ancien député vient acter les prémices de sa campagne. L’adresse de sa prochaine permanence n’est pas encore confirmée, mais derrière son sourire charmeur et les délicieuses assiettes de Corinne et Patrick Sauvage, ses mèches blanches sont déjà en alerte. L’homme ne veut pas perdre de temps. 2026 est loin et proche à la fois. Alors lorsque l’inconditionnel camarade d’André Soulier reçut l’aval de Laurent Wauquiez et de Jérémie Breaud, le feu sacré ne mit pas longtemps à repartir. « Ce sont eux qui sont venus me chercher », expose-t-il, avec l’excitation d’un jeune premier. De quoi faire oublier la déception de juillet dernier, où l’ancien protégé de Michel Noir avait subi comme beaucoup, les affres du Nouveau Front Populaire. Derrière son costume soigné, ses maigres 12% font néanmoins office de prometteurs préliminaires, le regard visant plus loin, vers l’horizon. Et donc vers ces prochaines élections municipales, quatre ans après avoir investi Emmanuelle Haziza
et récolté la tempête (7,28% au 1er tour, nldr). « Il faut que l’on s’affirme », amorce aujourd’hui son bras droit, José Marco, ancien président du groupe socialiste (de 1995 à 2000).
La crainte de voir Villeurbanne passer chez LFI. Une union symbolique, prompte à dessiner les contours d’une campagne à
succès. Après s’être longtemps affrontés, et parfois querellés, les deux hommes incarnent cette communion indispensable pour renverser l’exécutif villeurbannais. Et pour cause, si certaines voix le disent encore hésitant, le maire sortant, Cédric Van Styvendael, devrait bien incarner l’adversaire numéro un. Et ce, alors que le vice-président de la Métropole de Lyon, cristallise les critiques, dans la même veine que ses camarades écologistes lyonnais alliés à l’extrême gauche de la France Insoumise incarnée par le député Gabriel Amar, gendre de Jean-Luc Mélenchon. Ce que dénonce Jean-Paul Bret « Les gens viennent me voir et me disent : on a besoin de toi », témoigne Marc Fraysse, prêt à faire front républicain avec l’ancien maire socialiste.
“JE
« Je veux être à l’écoute des gens, sans être en campagne », expose-t-il toutefois, conscient que la prise de la place du Docteur Lazare Goujon, ne se fera pas en un jour. Alors du haut de sa riche expérience, Marc Fraysse peaufine son équipe, « des hommes et des femmes remarquables », parmi lesquels figurent déjà le PDG de l’Appart Fitness, Patrick Mazerot ou la pétillante Sandy Lahmy, avocate de la première heure (cabinet Sly Intelligence Ethics), qui s’avère être un précieux allié sur la question de la sécurité. Une thématique récurrente du côté de Villeurbanne, au même titre que la question de l’urbanisme bétonné et de la saleté récurrente. Marc Fraysse le sait, l’entend, bon nombre de ses administrés pleurent régulièrement la « ghettoïsation » de leur ville. « On veut une vraie mixité sociale », le conforte son colistier, José Marco. « Il y a un gros boulot, mais je n’ai pas le trac », atteste l’ancien député. Celui-ci se tient prêt, droit dans ses bottes. Les dossiers sont identifiés. La candidature actée. Reste désormais un défi : « travailler son image... de Marc » !
Consommation mixte : 13,7–15,5 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km.
Gamme Audi A6 Sportback e-tron : consommation mixte : 13,7–15,5 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Certains des équipements et options présentés sur les visuels peuvent ne pas être disponibles en France. Publicité diffusée par le concessionnaire CENTRAL AUTOS enregistré à l’Orias sous le n°7032704 en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non exclusif de VOLKSWAGEN BANK. CENTRAL AUTOS - Société par Actions Simplifiée au capital de 1 024 200,00€ - 49 bis boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons.
Prévert, Trénet, Higelin, Polnareff, Mireille et Jean Nohain... et tous ceux qui s'extasièrent et chantèrent les jardins de leur enfance, auraient craqué devant le "Jardin de la Sablière"* qui sur les hauteurs de Caluire, vers le chemin de l'oratoire, présente un panorama sans égal sur les plaines de l'est du Rhône et les méandres du fleuve et propose une promenade inestimable au sein d'une végétation rare, savamment entretenue et préservée de la rapacité des hommes en mal de constructions anarchiques et dispendieuses. Mais sauvegarder cet espace n'est pas une
mince affaire et Maxime Dehan, petit-fils et fils attentionné des propriétaires met tout son poids et celui de ses connaissances dans la balance encore hésitante d'un préclassement salvateur. Ainsi a-t-il contacté son ami Jacques Bruyas, auteur dramatique, romancier et président de l'Union des écrivains Auvergne-Rhône-Alpes qui a mobilisé 23 autres auteurs à ses côtés pour décliner 24 heures de ce jardin exceptionnel, en
* Situé à quelques encablures de la propriété de l’échevin Pierre de Jouvencel, cette élégante demeure est présentée dans le magazine Lyon People, spécial patrimoine
HOSPITAL INDE” de Alfred de Loyarac
Un personnage romanesque qui m'est cher, un certain Lucien Bonnier se retrouve obligé d'investiguer en Inde, alors qu'il s'y était rendu pour une cure d'Ayurvéda, médecine millénaire de ce pays. Sa femme, médecin légiste, son fidèle second Contet et tous les habituels protagonistes des enquêtes de celui qu'on surnomme "le Maigret lyonnais", se retrouvent ainsi sous d'autres cieux mêlés à une quête de vérité aux côtés de la police indienne et par l'assistance de traducteurs électroniques donnant à cette affaire des résonances bien particulières. Alfred de Loyarac, déjà auteur du" Riffifi au Lou" inaugure ainsi une nouvelle collection de livres courts à lire lors d'un trajet en TGV ou dans les interminables bouchons créés par l'anarchique gestion municipale écologiste. Éditions KDP / 84 pages / 10 €
de Ludovic Misérole
Rose Keller est sans emploi depuis plus d'un mois. En ce dimanche de Pâques du 3 avril 1768, elle est réduite à mendier sur la Place des victoires, à Paris. En acceptant de suivre, pour un écu, un jeune homme soigneusement habillé qui a besoin de quelqu'un pour un peu de ménage, la jeune femme ne peut se douter qu'elle se dirige tout droit vers l'enfer. Elle ne sait pas encore que l'homme qui vient de l'engager n'est autre que Donatien Alphonse François de Sade, celui que l'on surnommera le Divin marquis... Un livre diaboliquement construit, magistralement écrit et qui nous entraîne en un enfer dantesque en lequel le débauché cynique se complaisait tant.
Éditions M+ / 392 pages / 9,50 €
un ouvrage regroupant nouvelles, récits, poèmes inspirés par ce lieu qui méritait bien toute l'attention de ces femmes et hommes de Lettres. La présentation à la presse fut l'occasion d'une soirée sympathique, conviviale autour d'un repas concocté par Xavier Simon au Bistrot Tête d’Or dans le 6ème arrondissement. LR
Textes : Jacques Bruyas
“GARE
de Jacques Morize
Le pitch d'éditeur se suffit à lui-même pour faire saliver d'envie chaque lecteur assidu aux enquêtes du commissaire Séverac.
Le corps de Christophe Navier, journaliste d’investigation français, est retrouvé au pied d’une falaise de l’île de Minorque.
L’épouse du défunt ne croit pas au suicide. Elle porte plainte, exigeant l’ouverture d’une enquête qui échoit au commissaire Séverac. Très vite, la thèse d’un assassinat s’impose, dont le mobile serait le sujet du livre sur lequel Navier travaillait.
Pendant que Séverac s’attaque à cette affaire, Culbuto et son équipe traquent “le roi de la nuit lyonnaise”. Ce sordide personnage est en cavale après avoir étranglé une prostituée dans l’un de ses nombreux établissements. Les enquêtes du Commissaire Séverac quadrille Lyon d'arrondissements en arrondissements à l'égal du Nestor Burma de Léo Malet et ses vingt nouveaux mystères de Paris.
Éditions AO / 272 pages / 21 €
“JEUNE
Dans un réseau de complots internationaux, des agents de la CIA affrontent les hommes de main d’un marchand d’armes russe, déterminés à acheminer une cargaison interdite vers la Syrie. Pendant ce temps, une jeune fille de dix-sept ans, manipulée par un membre charismatique de son gang, devient un pion dans un jeu dangereux. Après avoir volé la cargaison, il attend la rançon dans l’ombre. Désespérée, une mère, sans nouvelles de sa fille, se tourne vers un journaliste policier célèbre, autrefois son grand amour. Dix-huit ans après leur séparation, il est contraint de replonger dans un passé qu’il a fui, risquant tout pour sauver la jeune fille. Ce qu’il découvrira bouleversera son existence, dans une tournure aussi inattendue que fatale. Éditions Le Lys bleu / 428 pages / 25 €
Cette année, 154 élèves avocats* ont prêté serment en audience solennelle. Un temps fort pour les impétrants de la promotion Michel Benichou, qui a eu lieu lundi 16 décembre à l’ancien Palais de Justice (Lyon 5) en présence de hauts magistrats du siège et du parquet.
“JE JURE COMME AVOCAT, D'EXERCER MES FONCTIONS AVEC DIGNITÉ, CONSCIENCE, INDÉPENDANCE, PROBITÉ ET HUMANITÉ.”
Rendez-vous très attendu des acteurs de la vie économique locale et rhodanienne, la 4e édition du Mois de l’Économie a permis de mettre en lumière l’attractivité de Saint-Priest.
Une terre propice à la compétitivité, comme l’a souligné son maire, Gilles Gascon.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Le temps file, parfois aussi vite que les Alpha Jet, autrefois pilotés par Virginie Guyot, invitée d’honneur, au terminus de cette 4e édition du Mois de l’Économie.
Alors même si Saint-Priest figure déjà à la 2e place des villes françaises les plus attractives pour les entreprises, stimuler la croissance économique demeure un combat quotidien, auquel Gilles Gascon ne saurait s’échapper. Bien au contraire. De fait, si ce nouvel opus du Mois de l’Économie permit de magnifier le monde du handicap ou d’exalter le marché de l’emploi, l’édile de SaintPriest n’a pas oublié l’essentiel : fournir un environnement favorable aux affaires n’est pas sans conséquence sur les investissements. Et donc sur les enjeux économiques de demain, thématique retenue par les Rencontres de
l’Initiative Économique, en guise d’épilogue à ce mois d’échanges et de réflexion.
Dès lors, si Saint-Priest possède déjà quelques bons élèves, récompensés au cours de cette ultime soirée, la présence de Virginie Guyot, seule et unique femme à ce jour à avoir été chef de la patrouille de France, ne fut pas anodine. L’occasion était alors trop belle pour prendre de la hauteur et s’inspirer de son parcours pour mieux cerner l’importance de l’engagement, de l’excellence ou de la gestion du stress.
Autant de parallèles avec le monde de l’entreprise que Gilles Gascon souhaitait exacerber. Avant d’embarquer sur de nouveaux défis.
Prix Commerce : Librairie de Saint-Priest
Prix Ressources Humaines : Colas France
Prix spécial du maire : Alysee, Les Ecopriots, Mi-Plaine Entreprises, Porte des Alpes Entreprises
Consommations mixtes gamme Suzuki Swift (WLTP) : 4,4 à 4,9 l/100 km.
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(1) Location Longue Durée pour 37 mois et 30 000 kilomètres pour une Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Avantage, 1er loyer de 4 000 €, puis 36 loyers de 159 €. Offre réservée aux particuliers, valable du 01/01/2025 au 31/03/2025 inclus, dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation de votre dossier par Suzuki Finance, département de Cofica Bail, S.A. au capital de 14 485 544 €, 399 181 924 RCS Paris, siège social : 1 boulevard Haussmann 75 009 Paris, ORIAS n° 07 023 197. Modèle présenté : Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Pack hors option peinture métallisée So’Color, aux mêmes conditions puis 36 loyers de 193 €/mois
(2) Les loyers comprennent les services associés suivants (en option et dans les limites et conditions prévues aux contrats de LLD et d’Assurance) : Entretien inclus • Assistance + : 24h/24 7j/7 au véhicule et aux passagers • Garantie Perte Financière, souscrite auprès de Cardif Assurances Risques Divers, S.A. au capital de 21 602 240 €, Siège social : 1, boulevard Haussmann, 75 009 Paris – 308 896 547 RCS Paris - Entreprise régie par le Code des assurances et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest – CS 92459 – 75 436 Paris Cedex 09, pour les garanties Valeur d’Achat, Assurance complémentaire et Evènements imprévus, et d’Icare Assurance, S.A. au capital de 2 358 816,00 euros - B 327 061 339 R.C.S Nanterre - Siège social : 93,rue nationale 92100 Boulogne-Billancourt ; Entreprise régie par le Code des assurances et et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest - CS 92459 - 75436 Paris Cedex 09, pour la garantie d’Assistance Véhicule de remplacement et est distribuée par Cofica Bail en qualité de courtier en assurance. Conditions et limites de garanties disponibles sur simple demande. Tarifs TTC clés en main conseillé au 01/07/2024. Voir détails sur suzuki.fr *Passionné d’hybride. **Ouverture selon arrêté préfectoral. Opération Instants Hybrid’Addict valable jusqu’au 31 mars. Garantie constructeur 3 ans ou 100 000 km au 1er terme échu.
Consommations mixtes gamme Suzuki Swift (WLTP) : 4,4 à 4,9 l/100 km. (1) Location Longue Durée pour 37 mois et 30 000 kilomètres pour une Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Avantage, 1er loyer de 4 000 €, puis 36 loyers de 159 €. Offre réservée aux particuliers, valable du 01/01/2025 au 31/03/2025 inclus, dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation de votre dossier par Suzuki Finance, département de Cofica Bail, S.A. au capital de 14 485 544 €, 399 181 924 RCS Paris, siège social : 1 boulevard Haussmann 75 009 Paris, ORIAS n° 07 023 197. Modèle présenté : Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Pack hors option peinture métallisée So’Color, aux mêmes conditions puis 36 loyers de 193 €/mois (2) Les loyers comprennent les services associés suivants (en option et dans les limites et conditions prévues aux contrats de LLD et d’Assurance) : Entretien inclus • Assistance + : 24h/24 7j/7 au véhicule et aux passagers • Garantie Perte Financière, souscrite auprès de Cardif Assurances Risques Divers, S.A. au capital de 21 602 240 €, Siège social : 1, boulevard Haussmann, 75 009 Paris – 308 896 547 RCS Paris - Entreprise régie par le Code des assurances et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest – CS 92459 – 75 436 Paris Cedex 09, pour les garanties Valeur d’Achat, Assurance complémentaire et Evènements imprévus, et d’Icare Assurance, S.A. au capital de 2 358 816,00 euros - B 327 061 339 R.C.S Nanterre - Siège social : 93,rue nationale 92100 Boulogne-Billancourt ; Entreprise régie par le Code des assurances et et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest - CS 92459 - 75436 Paris Cedex 09, pour la garantie d’Assistance Véhicule de remplacement et est distribuée par Cofica Bail en qualité de courtier en assurance. Conditions et limites de garanties disponibles sur simple demande. Tarifs TTC clés en main conseillé au 01/07/2024. Voir détails sur suzuki.fr *Passionné d’hybride. **Ouverture selon arrêté préfectoral. Opération Instants Hybrid’Addict valable jusqu’au 31 mars.
Garantie constructeur 3 ans ou 100 000 km au 1er terme échu.
L’église Saint-Jean-Baptiste de Megève a refait peau neuve après deux ans de restauration et rénovation. La porte principale a, quant à elle, retrouvé sa splendeur d’autan grâce à l’Atelier Luc Vaganay, ébéniste lyonnais.
Le savoir-faire lyonnais s’est exporté à Megève. Au cœur du village hautsavoyard trône l’église Saint-Jean-Baptiste, dont l’état se détériorait au fil des années. C’est pourquoi la Ville de Megève a choisi de faire appel à l’architecte Archipat, maître d’œuvre du projet, qui a rassemblé une équipe de « chirurgiens des églises » parmi lesquels... l’ébéniste lyonnais Luc Vaganay et son équipe. Pendant deux ans, l’édifice baroque, classé Monuments historiques, a été entièrement remis à neuf par de nombreux corps de métier et entreprises régionales : maçon, carreleur, décors peints, chauffagiste, électricien, menuisier, ébéniste, etc. Deux ans ont été nécessaires pour mener à bien ces rénovations financées par la DRAC à hauteur de 329 687 euros, le Département de la Haute-Savoie (200 000 euros) ainsi que la Région AuvergneRhône-Alpes (150 000 euros).
Texte : Margaux Nourry – Photos © MN / Lyon People
UN TRAVAIL CHIRURGICAL. Du côté de l’Atelier Luc Vaganay, Benjamin, en charge du projet, a passé près de 110 heures à restaurer la porte principale, celles de la façade Sud et du chœur ainsi que les confessionnaux. Concernant ces derniers, l’ébéniste a été aidé par la menuiserie Vaublanc. Le défi était de taille au vu des spécificités de la porte dont la partie centrale remonte à 1692. Un travail chirurgical où la patience était de mise au vu des nombreuses étapes, du nettoyage au vernissage en passant par le décapage à la main et la sculpture de petites pièces à changer. Pour mener à bien cette restauration, toutes les composantes ont été démontées sur place avant d’être transportées jusqu’à l’atelier lyonnais, situé au 105, rue Vendôme, dans le 6e arrondissement de Lyon. Pendant les travaux, l’église était donc simplement fermée par des portes en bois reconstitué.
UN ATELIER LYONNAIS. Un défi relevé avec brio : « On fait appel à nous pour notre expérience et notre respect des délais et de la qualité », justifie modestement Luc Vaganay qui a repris son atelier en 1985, à l’âge de 23 ans. Son atelier est spécialisé dans la restauration de meubles anciens et, depuis 15 ans, du patrimoine, avec une équipe de cinq ébénistes. Les artisans travaillent pour une clientèle de particuliers mais également d’organismes publics, comme c’est le cas ici. Prochain projet : la chapelle de l’Hôtel-Dieu.
MD Lease Limonest SHOWROOM
350, chemin de Paisy - 69760 Limonest
Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h
Samedi : 9h - 12h / 14h - 17h
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120, rue Duguesclin - 69006 Lyon
Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h 6
Alors que la capitale des Gaules frise avec le 0, s’expatrier à Dubaï en plein hiver apporte une bouffée de chaleur. Ses visiteurs en tenue décontractée, l’émirat se dévoile à travers ses lumières, son architecture futuriste et ses quartiers historiques. Grâce à la compagnie Transavia, nous avons pu la découvrir. Bon voyage !
Peut-être est-ce dans la nostalgie des 6 h de vol, ramenant à Lyon, que la beauté de Dubaï se révèle réellement devant nos yeux. Dans ces minutes interminables, où l’avion perce le ciel, l’esprit se plaît alors à s’occuper en ravivant les souvenirs du séjour.
« Tu préfères rester ici ou retrouver le confort de ton quotidien ? », se prend-on à se questionner, comme si les cinq maigres journées d’un voyage de presse, avaient suffi à chambouler tous nos acquis. Dans cet aperçu rapide, mais déjà copieux, l’idée germe alors d’une vie ailleurs. Ici, dans cet émirat, unis de ses six voisins, depuis 1971, où les surprises d’hier, ne sont déjà plus celles du lendemain. « Si on baisse la garde, on est vite dépassé », expriment même
Texte : Morgan Couturier – Photos © Lyon People
les locaux, comme pour résumer cette ville qui ne dort jamais. Et ne cesse de se transformer. La découverte du pétrole en 1966 a sûrement aidé, après avoir longtemps résisté au monde, grâce à la pêche de perles. Dans le sillage de son père fondateur, le Sheikh Rashid bin Saeed Al Maktoum, la mégalopole émiratie a alors appris à briller différemment. Au travers des lumières qui éclairent sa Skyline, une fois la nuit tombée, avant que ces mêmes architectures futuristes, ne prennent le relais, au lever du soleil. En bourlinguant de rue en rue, on se surprend dès lors, à tenter le mystère de la construction de l’insolite musée du futur et ses robots chiens ou à envier ces autres touristes, ayant la chance de grimper jusqu’au sommet de la plus haute tour du Monde (le Burj Khalifa et ses 828 mètres de haut, pour 163 étages).
“Dubaï est reliée aux deux tiers de la population mondiale à moins de 6 heures d’avion”
« L’avenir appartient à ceux qui peuvent l’imaginer, le concevoir et l’exécuter », eut d’ailleurs prôné le Sheikh actuel, Mohammed bin Rashid Al Maktoum. Une phrase souvent reprise çà et là, à la vue des 180 nationalités vivant sur place. Dubaï est ainsi résumée : c’est un musée à ciel ouvert, dans lequel la démesure submerge d’abord, avant que l’on y prenne goût. Pour cela, il est recommandé de percer les mystères de cette ville unique, de remonter à sa création, à l’histoire de ses souks et de ses traditions, pour en comprendre la beauté. Bien sûr, sous le ciel étoilé, dans le sable du désert où se mélangent scorpions, gazelles et oryx,
certains gardiens des terres originales diront que « Dubaï est un mensonge », une ville artificielle, prompte à enchanter le cœur et les comptes des influenceurs. Mais à mesure des découvertes, l’émirat captive, intrigue aussi, alors qu’on ne sait jusqu’où le progrès semble l’amener. Ainsi va Dubaï, théâtre de toutes les expérimentations, l’écologie étant même devenue un enjeu, en dépit des apparences, de sa riche climatisation et des pistes de ski artificielles. « C’est un vrai laboratoire pour l’écologie, car ce qui pourrait marcher ici, pourrait être mis en place ailleurs. Le gros défi, pour 2071 et les 100 ans du pays, est de gérer l’électricité et l’eau », explique ainsi Nathalie Van de Vrede, Baloise d’origine et guide touristique, expatriée à Dubaï depuis 14 ans. Alors depuis quelques années, naissent les pistes cyclables (800 kilomètres aujourd’hui) et les espaces piétons, soigneusement dispatchées avec les voies de circulation. Grâce à cela, on se prend vite à prendre le chemin de ces plages miaméennes, après avoir savouré un restaurant italien (comme Gigi, propriété comme Coco, de Paris Society), perse ou même iraquien. Dans le cas contraire, les beach clubs voisins servent à engager un peu de farniente, avant de se remplir la panse, au gré des falafels, des knafehs et des baklavas. On y prend goût et quelques kilos, en se demandant si on ne pousserait pas jusqu’à l’obtention d’un visa (1 an renouvelable). La vie y est chère, mais diablement agréable, au point de changer quelques a priori. Mais essayer Dubaï, c’est souvent l’adopter !
Lyon – Dubaï, 2 vols par semaine (mardi et vendredi), à partir de 157€ avec Transavia
e restaurant festif de Collonges au Mont d’Or, situé à 200 mètres de Paul Bocuse tourne la page de « La Bastide » après celle de « Comme en Provence ». Six ans après leur retour tonitruant de Miami, Fabien Chalard et Julien Géliot viennent de céder de leur dernière grosse affaire à un entrepreneur lyonnais. La suite inéluctable et somme toute logique après le redressement judiciaire de leur holding Les Gastronomistes prononcé durant l’été 2024. En 6 ans, le couple de restaurateurs aura vécu un ascenseur entrepreneurial peu commun qui s’est conclu par une bagarre judiciaire mémorable avec leur associé, l’humoriste Laurent Gerra. D’autres procédures sont en cours, ce qui les a contraints à se séparer de La Bastide. Et c’est l’épicurien Christophe Gerbaud, 60 ans, qui remporte la mise. L’ancien associé de Corinne Paris au sein du cabinet CPG Assurances est un bon vivant doublé d’une grande gueule appréciée de tous. Fils de brasseur, cette figure incontournable du Club des Clubs a dirigé de belles affaires au bord de la Méditerranée (notamment le Quai Sud à Antibes). D’où l’idée de rebaptiser La Bastide dont il a acquis les murs et le fond : « The Riviera ». Depuis qu’il a récupéré les clés, il n’est pas resté les
bras croisés car il a réouvert le 2 janvier avec la même équipe de 11 personnes dont le chef Tijani Rezgani (ex Sauvageonne et ex L’Horloge), salarié de La Bastide depuis janvier 2024. Côté cave, en première ligne, les vins du domaine familial Philippe Girard en Bourgogne, la gamme de champagne Vranken Pommery, ainsi que les grands noms de la vallée du Rhône : Ogier, Montez, Colombo et Gaillard. Au niveau déco, Christophe a entrepris de redonner de la luminosité au lobby et à la salle de restaurant. Parmi les nouveautés, dans le jardin d’hiver en façade, une grande table d’hôtes propice aux déjeuners qui s’éternisent et aux rencontres improvisées. Le bar extérieur va être enrichi d’une quatrième face. Cheminées et rôtissoires vont être remises en service et il n’est pas exclu que Claude Barbet, maitre rôtisseur, vienne faire le show avec ses délicieuses broches. Le souriant sexagénaire compte ambiancer The Riviera tous les jeudis soir grâce à un duo saxo Dj. Nous lui souhaitons « bon vent ! » MP
The Riviera 28, rue de la Plage
Collonges au Mont d’Or
Tél. 04 72 27 82 91
Il faut grimper quelques marches pour découvrir la véritable nouveauté du restaurant : le club privé situé dans le loft du 1er étage accessible grâce à un badge électronique nominatif. Les amateurs de cigares et belles quilles y possèderont leur propre casier. Sa terrasse donne sur la piscine réservée aux membres et offre une vue imprenable sur l’entrée du restaurant et le jardin qui va accueillir deux terrains de pétanque sous les palmiers. The place to be l’été prochain.
Meilleure nouveauté 2024
Quatre associés qui ne devraient pas en rester là, dont le talentueux Frédéric Taghavi qui a déjà fait ses preuves en créant l'Aromatic (15, rue du Chariot d'Or à la Croix-Rousse) il y a sept ans, se sont installés en septembre dans un décor flambant neuf à la place du Kinga. Ces quatre jeunes pleins d'allant dont Sylvain Chauffard, chef exécutif du Six aux Brotteaux ont créé leur Epicure qui porte parfaitement bien son nom dans le créneau de la bistronomie de qualité avec des vins aux tarifs compétitifs après leurs dégustations dans les vignobles. Le ton est donné dès notre arrivée avec l'irrésistible Betty qui nous fait partager sa joie de vivre : elle nous propose comme entrée de choix, le pâté en croûte de canard veau et cochon champignons pistache nous met tout de suite dans l'ambiance avec du pain de chez Antoinette. Puis l'œuf fermier poché crémeux champignons morilles crumble de noix est un "petit sommet" qui vaut le déplacement à lui tout seul... Les amateurs de plats canailles seront à la fête avec le pressé de basse côte d'Aubrac confite légumes glacés jus au vin rouge et le filet mignon de cochon fermier d'Auvergne jus de cochon réduit crémeux de céleri rôti... Coup de chapeau au chef Vincent Bouchard qui nous a ensuite épatés avec son maigre de Corse butternut en différentes textures émulsion de coque aux agrumes et sauce vierge à la clémentine de Corse. La carte change tous les mois et le menu déjeuner toutes les semaines : entrée + plat ou plat + dessert à 21 euros. CM
EPICURE
Tél. 04 49 13 00 60 Fermé dimanche et lundi. Service jusqu'à 21 h 30 Textes : Marco Polisson et Christian Mure (Guide Lyon Gourmand) –Photos Margaux Nourry et Lyon People
95, rue Masséna - Lyon 6e (angle rue Juliette Récamier)
Elu meilleur espoir lors de l’édition 2023, le Japonais Taiko Mano a ajouté son nom à la liste de ses nombreux compatriotes victorieux au championnat du Monde de Pâté-Croûte. Un sacre exacerbé par la 2ème place du concurrent kobéen, Seigo Ishimoto.
L’Aindinois Damien Raymond sauve l’honneur tricolore, en accrochant une place sur le podium.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
La patience est la mère de toutes les vertus du côté du Japon, cette terre où l’échec est vu comme un point de passage vers le succès. « Un jour, un pas », aime d’ailleurs à promouvoir le pays de soleil levant. Alors lorsque le titre lui échappa l’an passé, Taiko Mano retint surtout son titre de meilleur espoir, dont l’intitulé semblait imaginer un succès prochain. Le chef du restaurant
Les Saisons, à Tokyo n’eut finalement pas à attendre longtemps. La prédiction fut même mise en œuvre dès cette année, le concurrent numéro 3 décrochant l’or, fort d’un pâté-croûte « à la feuille d’or canard, foie gras, cochon, ris de veau et poivre vert ». Une association savoureuse autant que séduisante dans l’assiette, qui eut raison de la concurrence et de ces 14 adversaires, amenés à performer, dans les antres de la Sucrière.
SUR LES BORDS DE LA CONFLUENCE, LE VENT CONTINUE D’ALLER DANS LE SENS DES DÉJÀJAPONAIS,VAINQUEURS
EN 2014, 2017, 2019, 2021 ET 2022.
Une hégémonie confirmée par la présence du chef Seigo Ishimoto, sur la 2e marche du podium. « Il y a de belles finitions, de jolies tranches », avait d’ailleurs prédit le chef étoilé,
Christophe Roure (Restaurant le Neuvième Art à Lyon 6), son homologue Christophe Raoux saluant, lui, un « niveau qui augmente d’année en année ». Hélas, dans un concours où le « travail des saveurs » demeure aussi précieux que la cuisson de la croûte et le goût de la gelée, la France dut se résoudre à rendre les armes. Et à se contenter de la 3e place, attribuée au petit protégé de Daniel Gobet (sacré en 2018), Damien Raymond « Ce sont les meilleurs, ces Japonais », ne put s’empêcher de reconnaître notre référente culinaire, Odile Mattei, dans l’allégresse des récompenses. Pas de quoi malmener la gourmande kermesse du dîner de gala. Car si le saladier d’argent s’envole à nouveau à l’autre bout de la planète, le championnat du Monde de Pâté-Croûte n’a pas fini de faire parler de lui...
Jérémie Crauser
MAISON CRAUSER ET BELLO
Seigo Ishimoto
RESTAURANT LE CŒUR - Kobe
Olivier Nicolau
RESTAURANT ARRADITZ - Lescar
Cédric Maziller
- Belle Ile-en-Mer
Taiki Mano LES SAISONS / IMPERIAL Hôtel - Tokyo
Premier prix : Taiko Mano
2e prix : Seigo Ishimoto
3e prix : Damien Raymond
Prix de la Confrérie : Jérémie Crauser Prix du Terroir : Cédric Maziller
Prix Richelieu : Jonathan Dudek Prix de la Créativité : Thomas Joly Prix de l’élégance : Olivier Nicolau
Victor Hugo Velázquez 75 FRANCIA / CLUB FRANCE - Mexico
Gary Chopinez CROÛTE BY GAVROCH - Dignoville
Le maire de Bron, Jérémie Bréaud, nouveau membre de la confrérie du Pâté-Croûte et Christophe Marguin, président des Toques Blanches Lyonnaises
3ème place : Damien Raymond (Traiteur Daniel
Prix remis par Jérôme Moroge et Catherine Laforêt
La famiglia de Nicolo : autour de la mama Antonina, de gauche à droite : Pierre-Antoine et Tiziana, Nicolo et Corinne, Anthony et Fabio...
Mais bon, c’est tout de même bien lui, Nicolo Morreale, véritable feu d’artifice né le 31 décembre 1959, devenu pizzaiolo chez un oncle stéphanois à seize ans, puis gérant de pizzeria à dix-neuf, c’est lui qui a fait venir petit à petit tout son petit monde en France : à Saint-Etienne et puis à Lyon il y a plus de quarante ans, pour un voyage qu’aucun d’entre eux ne regrette aujourd’hui.
Un voyage ? Non, une aventure, proposée d’abord à son frère Vito qui a suivi lui aussi l’apprentissage stéphanois, puis à sa maman Antonina et à Franco le cadet de la fratrie... avant que leur papa Antonio ne quitte enfin sa mine de sel sicilienne à 54 ans pour les rejoindre.
Il est un peu le chef de famille de la branche lyonnaise des Morreale, même s’il faut se méfier des mots qui fâchent quand on est né à Serradifalco, Sicile. Pas sûr d’ailleurs qu’il apprécie l’hommage, tant sa famiglia est sacrée, parents, frères, enfants et neveux, cousins aussi.
Texte : Philippe Lecoq – Photos © Jean-Luc Mège et DR
C’est d’ailleurs pour échapper à une vie de mineur que Nicolo a quitté la province de Caltanissetta pour échouer à Saint-Etienne chez l’oncle Raimondo Morreale. C’est chez les Verts qu’il a appris les secrets de la pizza. De la pâte surtout. C’est aussi chez les Verts qu’il a géré son premier établissement. Mais Lyon ne lui en veut pas. Et l’accueille en 1981, rue Franklin, au « Napoli », une pizzeria qu’il rachète avec son frère Vito à la branche stéphanoise – qui détenait des établissements à Saint-Etienne, Toulon et Lyon - et qu’ils rebaptisent « Pizzeria Napoli, chez Nicolo & Vito ». Pour se faire un nom. Et un prénom. Mais doucement... Si l’on prend soin aujourd’hui d’évoquer la saga des Morreale avec Nicolo en tête d’affiche, alors que des dizaines d’articles fort bien tournés ont déjà conté l’épopée familiale, c’est que Nicolo nous réserve une drôle de surprise. Rendezvous est donc pris à la Scala Siciliana, dans la petite rue du commandant Dubois, première pizzeria de ses deux garçons Fabio et Anthony Et quoi ? Vous le saviez ? Nicolo Morreale, 65 ans seulement, compte prendre sa retraite. Avec effet immédiat.
Nicolo nous réserve une drôle de surprise. À 65 ans seulement, il va essayer de prendre sa retraite !
« LE » Nicolo, l’aîné des frères Morreale, le premier à quitter Serradifalco, ce territoire de Sicile qui compte le plus de pizzerias et de restaurants de toutes les communes appartenant à la province de Caltanissetta ? Impensable...
« LE » Nicolo de la rue Franklin, ce patron si accueillant, affable, jovial, enjôleur, parfois tactile, chaleureux, charmeur et parfois chanteur ? Non... fake news !
« LE » Nicolo » qui se souvient de votre nom dès que vous franchissez la porte de sa maison, et sait vous faire patienter avec le sourire jusqu’au second service ? Eh bien oui.
Nicolo est décidé. Il va essayer. Non pas de ne plus travailler, il ne faut pas lui demander l’impossible, mais de lever le pied. Et d’aller peut-être un peu plus souvent goûter au farniente avec son épouse Corinne, chef à la Scala, dans leur maison du sud... Nicolo, les doigts de pied en éventail au bord de la mer ? Ce n’est pas gagné. « Je prends ma retraite, oui, mais je vais venir un peu ici, à la Scala, pour ne pas couper trop vite, et aussi à la Croix-Rousse, au Famosa et à l’Aperitivo », tente d’expliquer Nicolo avec son accent de là-bas conservé malgré ses années de lyonnitude. « Comme un artiste qui remonte toujours sur scène, j’ai besoin du contact avec les clients, c’est une histoire de cœur, tout vient du cœur dans notre métier. Les clients, c’est la vie. Et moi, je ne
veux pas perdre le contact avec les clients. Je ne veux pas perdre l’esprit que nous avons insufflé il y a quarante ans dans Nicolo & Vito ».
Un artiste. Il a tout dit en deux mots Nicolo, alors qu’il est pourtant bavard comme une pie italienne. On pourrait aligner les superlatifs pour jauger son parcours, son courage, son opiniâtreté, sa fièvre de travail, son rêve d’entreprendre. Il ferait semblant de ne rien entendre. Car il s’en moque des superlatifs, des médailles en chocolat. Lui, ce qu’il aime c’est la scène. Nicolo est un comédien né. Non, un acteur plutôt, avec la nuance apportée par Alain Delon. Il ne joue pas, il est et reste lui-même dans son rôle favori : commerçant.
« Je suis né commerçant, c’est comme ça, personne ne peut devenir commerçant s’il ne l’est pas naturellement. C’est dans le sang. Un commerçant ne se fabrique pas, comme un artiste, sinon le client le sent, et ça ne fonctionne pas. J'ai toujours dit à mes enfants, les écoles c'est bien, les diplômes, mais le commerce c'est dans la peau. Tu l’as ou tu ne l’as pas. Pour moi, le commerce, c'est une affaire de tripes. Quand un client pousse la porte, il t'amène son bonheur, son argent, il faut le respecter. Il ne veut pas trouver un patron qui fasse la tête, il demande juste d’être bien accueilli, bien servi, et qu’il ait envie de revenir. Avec ces trois points, c’est gagné... »
Et c’est ainsi que Nicolo & Vito devenu tout naturellement - parce que la famille c’est sacré – Nicolo & Franco après le départ de Vito pour créer Little Italy, c’est ainsi donc que la maison de la rue Franklin est devenue une institution. Une Institution avec un « I » majuscule, fréquentée par les artistes, les sportifs, les grands chefs d’entreprise qui habitent le quartier, mais aussi les voisins, les riverains, les Lyonnais qui viennent chercher là l’esprit Morreale. La cuisine bien sûr, pizzas cuites au four à bois, et spécialités siciliennes, apprises auprès de la mamma Antonina : osso-bucco, escalopes milanaises, polpettes à la sicilienne, cuisses de lapin à la sauce tomate, lasagnes et autres pâtes italiennes... Mais aussi l’ambiance familiale, la chaleur, la proximité, la complicité.
L’institution de la rue Franklin va perdre Nicolo, mais ses savoir-faire et savoir-être vont perdurer, avec Fabio et Anto,
et puis avec Tiziana.
Car les trois enfants de Corinne et Nicolo sont nés rue Franklin, dans l’appartement mais aussi en salle et en cuisine. Avant d’être ados, ils ont donné la main au restaurant, ils sont entrés doucement en scène, comme papa, maman, comme leurs oncles et grandsparents. Ils ont regardé, épié, enregistré, appris, et ils ont la fibre, l’esprit, le sens inné du commerce. Leur père et leur mère ne leur ont rien donné d’autres que leur exemple et leur aide. Ainsi, Fabio et Anto ont emmené leur maman dans les cuisines de la Scala. Ils reproduisent là-bas depuis une quinzaine d’années déjà, avec une pointe de modernité, tout ce qu’ils ont su, vu et entendu, quand ils passaient se faire quelques euros après l’école et les week-end.
À l’image de chez Nicolo & Franco, la Scala multiplie les services. Nicolo est rassuré, satisfait. Il n’aura pas trimé pour rien. Et puis il y a le Famosa et l’Aperitivo, dernières créations de Fabio et Anto à la Croix-Rousse. Tiziana, la petite dernière va elle aussi se lancer. C’est pour 2025. Mais tout cela est une autre histoire. Celle qui se créée.
Nicolo à la retraite ? Rue Franklin oui. Mais Lyon va encore le croiser souvent. C’est écrit.
L’institution de la rue Franklin va perdre Nicolo, mais ses savoir-faire et savoir-être vont perdurer, avec Fabio et Anto, ses deux garçons, à la Scala et puis au Famosa de la Croix-Rousse
Au 3 de la rue Commandant Dubois, à deux pas de la Préfecture, les quarante couverts de la Scala Siciliana affichent complet.
Là, dans cette petite rue sans passage, les deux fils de Nicolo, Fabio et Anto, sont chez eux depuis plus de quinze ans maintenant. Comme rue Franklin, un four à bois et le secret de la pâte à pizzas, comme rue Franklin des photos souvenirs sur les murs, une déco simple et chaleureuse, une ambiance familiale... les recettes du père n’ont pas été oubliées.
MPhilippe Lecoq – Photos © Jean-Luc Mège et DR
ais les débuts n’ont pas été si simples. « On jetait parfois du sel par-dessus l’épaule », se souvient Anthony, qui a naturellement choisi de travailler avec son frère Fabio une fois la décision prise de faire le même métier que leurs parents. « C’était déjà une pizzeria quand nous l’avons achetée à la branche stéphanoise de la famille, comme la rue Franklin, mais il a fallu s’imposer, cravacher. Cela n’a pas été facile au début, mais cela nous a forgé ».
Et puisque c’est la famille, Corinne Morreale - épouse de Nicolo, formée en cuisine par sa belle-mère Antonina, propose son aide à ses garçons après 25 ans passés rue Franklin. Le trio s’impose, car comme dit le padre : si tu es commerçant, dans le sens noble du terme, quelque soit la rue, l’emplacement, le client reviendra. Et donc... Il est revenu. Comme papa - et pour les deux frères ce n’est pas honteux d’être « fils de » mais plutôt une fierté, Fabio et Anto entrent en scène à chaque service. Un seul objectif. Ne pas rater le départ, comme dans une course de Formule 1. Car le retard pris ne se rattrape jamais.
Du 8 janvier au 4 février
LYON 3 ème - 9 -13 Cours de la liberté - ParkiNg Privé : 3 rue rabelais St BONNet de Mure - 124 avenue Général de Gaulle Ouver tS dimanche S 12 et 1 9 janvier
Corinne et Nicolo entourés de leurs deux garçons et de leur fille... La saga continue !
Avec leur maman en cuisine, avec les années d’apprentissage aux côtés de leur papa, Fabio et Anto cartonnent. Mais se sentent un peu à l’étroit. Alors en 2023, direction le plateau de la Croix-Rousse et l’ouverture de Famosa, 120 couverts avec L’Aperitivo ouvert en 2024, un décor léché, mais les mêmes codes familiaux. Bien vu. Là-haut, le Famosa trouve vite sa clientèle qui colle à ses codes. Les deux frères font en sorte d’être aux deux endroits, un jour toi, un jour moi... Mais pas question d’être tranquilles sur le plateau, Nicolo le retraité a déjà prévu de passer du temps avec eux à
l’Aperitivo, non pas pour ses cocktails italiens, mais pour développer les petits-déjeuners...
Heureusement pour Fabio et Anto - c’est une boutade - leur petite sœur Tiziana, cuisinière comme sa maman dans les maisons familiales, rêve de trouver sa propre adresse. Ce sera fait, sans doute en 2025, une fois qu’elle sera devenue maman. Alors Corinne qui a bien soutenu Fabio et Anto, et sans doute aussi Nicolo, iront donner un coup de main... comme ils ont fait avec les deux grands. L’esprit de famille.
La Scala Siciliana 3, rue Commandant Dubois 69003 Lyon-Préfecture Tél. 04 26 00 09 35
Famosa et Aperitivo 4bis, rue de Belfort 69004 Lyon Croix-Rousse Tél. 04 78 61 73 13
> Plus d'information sur www.fabioeanto.com
“LES FEMMES SONT TRÈS ENGAGÉES, MAIS ELLES NE S’EN RENDENT PAS COMPTE”
ADMINISTRATRICE CULTURELLE, CODIRIGEANTE DU CAFÉ 203
Chaque mois, Alexandra Carraz-Ceselli, fondatrice de L’Équipe des Lyonnes, un réseau de 3000 membres qui encourage les femmes à prendre leur place dans le débat public, nous propose de découvrir une lyonnaise au parcours exceptionnel, au cours du podcast « Le Café des Lyonnes ». Et ce mois-ci, impossible de vous résumer la profondeur et la source d’inspiration de cet épisode avec Laure Cédat qui incarne à elle seule la définition de l’engagement et de la résilience. Engagée dans le secteur culturel, elle est également très investie dans le milieu associatif lyonnais et co-dirige, avec son mari, le « Café 203 », repère incontournable du paysage local. Il y a deux ans, Laure connait un drame personnel et familial que tous les Lyonnais gardent en mémoire. Sa fille Iris, et son petit ami Warren, perdent la vie, fauchés par un chauffard sur le quai Joffre à Lyon. De cette épreuve effroyable, naît un combat dans lequel elle s’engage totalement, en prenant la parole dans le débat public, pour faire en sorte que ce drame ne puisse pas se reproduire. Une leçon de courage, de résilience. Une leçon de vie..
Pensez-vous être une femme engagée ?
Oui, profondément, et j’ai envie de dire même, « toujours plus ». Depuis toujours, parce que je crois que le milieu culturel est un milieu associatif et propice à l’engagement. La culture et le beau peuvent changer le monde, nourrir les gens. C’est un choix de cœur que je fais depuis toujours et aujourd’hui, encore plus, parce que depuis la disparition de ma fille Iris et son petit ami Warren, qui sont décédés il y a deux ans sur le quai Joffre, percutés par un chauffard, je me suis engagée encore autrement, encore plus fort, pour la justice, la vérité, pour la sécurité aussi. Donc oui, je suis profondément engagée avec le cœur, et aujourd’hui politiquement, pour que cela change.
Vous avez dû prendre la parole dans une situation à laquelle on n’est jamais préparé. Votre engagement a-t-il évolué de fait après ce drame ?
J’ai été forcée d’envisager ma vie différemment, c’est une certitude. Quand on vit une tragédie comme la nôtre, tout change. S'apercevoir que nous avons en nous assez de force, assez de courage, et aussi assez de mots pour porter quelque chose que d’autres familles ne peuvent pas faire, faute de ressources ou de résilience, pour moi cela s’est vraiment imposé. Ce que je fais aujourd’hui avec la maman de Warren, Jessica, je ne me suis jamais dit un jour que je le ferais. Tout simplement parce qu’on ne se dit jamais que l’un de nos enfants puisse mourir. La vie est là pour nous rappeler, avec une grande humilité, que nous ne sommes pas grand-chose, que le temps passe vite et que la vie est fragile. Aujourd’hui, je suis là engagée, déterminée, convaincue qu’à mon petit niveau, je peux faire quelque chose, pour les autres.
Votre engagement s’est-il transformé en un combat pour la mise en sécurité des Lyonnais ?
Nous avons beaucoup été soutenus par les Lyonnais qui nous ont donné beaucoup d’amour. Aujourd’hui, j’ai envie et j’ai besoin de rendre, et si j’ai la capacité et la motivation à faire que Lyon puisse changer en mieux avec des valeurs d’altruisme, de bienveillance et de sécurité, je vais le faire. Je serai au rendezvous. Il faut qu’aux endroits identifiés comme étant les plus accidentogènes de la métropole, les élus prennent leurs responsabilités. Ils ont le pouvoir d’agir, je leur demande d’être à la hauteur.
Qu’est-ce qui rend la prise de parole compliquée pour une femme dans le débat public ?
Je pense que cette prise de parole n’est pas forcément innée parce que les femmes n’ont pas beaucoup de place. De manière naturelle, elles sont déjà très occupées. En fait, les femmes sont très engagées, mais elles ne s’en rendent pas compte. Elles sont par nature
courageuses, persévérantes et résilientes. Il faut leur dire qu’elles sont admirables. Elles sont extrêmement engagées dans leur vie personnelle, dans leur vie professionnelle. Les femmes, pour se déployer et atteindre tout leur potentiel, doivent être sécurisées et soutenues. C’est une question d’environnement, de ressources personnelles et de circonstances. J’ai la chance d’être très bien accompagnée et très soutenue. J’ai un mari et un fils formidables, et cela compte énormément.
Pensez-vous que les femmes ne sont pas suffisamment présentes dans le débat public en France ? Absolument. Je pense que c’est problématique, parce que les femmes ont une vision différente. Je dirais une vision plus systémique, plus générale, et plus humaine aussi, grâce à leur capacité à être plus attentives aux autres. Je crois que cela engendre des modes de gouvernance très différents, dont la société a un besoin immense aujourd’hui. Nous avons
besoin des femmes à des postes d’importance, et pas seulement à des postes secondaires. Nous avons besoin que les femmes aillent plus loin, plus haut, parce que je crois sincèrement que c’est par elles que la société pourra se transformer.
Quand vous étiez petite, quel métier rêviezvous de faire en grandissant ?
Je voulais être danseuse étoile. J’ai commencé la danse à seulement 2 ans et demi. J’avais tellement envie de danser que, toute petite, je ne pouvais pas atteindre la barre, alors on m’avait mis une chaise. La culture et l’art m’ont appelée très tôt, c’était une évidence. J’ai fait du théâtre, du chant, du piano et de la danse pendant près de 20 ans. Ces disciplines
m’ont construite, en m’apportant de la rigueur et une richesse intérieure incroyable. Tout cet univers a largement contribué à faire de moi la personne que je suis aujourd’hui.
Après le lycée, quelles études avez-vous poursuivies ?
J'ai eu la chance de faire des études en lettres supérieures, donc des lettres classiques assez poussées. Pour moi, cela a été une révélation. Mes parents se sont cotisés pour payer mes études car même étant boursière cela ne suffisait pas. C’était un véritable engagement familial, avec l’idée que l’ascenseur social devait fonctionner. Ensuite, j’ai eu la chance d’obtenir un premier poste chez les Chœurs et Solistes de Lyon, dirigés par Bernard Tétu. À l’époque c’était l’un des grands ensembles vocaux français, qui tournait à travers la France et le monde, et où je suis restée dix ans. J’y ai tout appris, dans un milieu très bienveillant, entourée de femmes exceptionnelles qui ont été mes « mamans de travail ».
Vous avez une carrière dans le champ culturel, où vous avez piloté des festivals, mais vous êtes également engagée dans le milieu associatif Lyonnais. Pouvez-vous nous en parler ?
Oui, je suis présidente d’une association qui s’appelle Quartier Saint-Georges, laquelle promeut le quartier du Vieux Lyon situé au sud de la cathédrale SaintJean. Je suis également bénévole et adhérente dans toutes les associations de mon quartier, dont l’aide aux devoirs pour les enfants du “village”, qui est probablement ce qui me touche le plus. Ce qu’on peut faire de mieux aujourd’hui, c’est donner confiance et donner de l’espoir.
Si vous aviez une baguette magique, quelles mesures prendriez-vous pour que les femmes soient plus présentes et écoutées dans l’espace public ? Je pense à deux choses. La première c’est que si aujourd’hui je suis capable de prendre la parole et de m’engager publiquement, c’est parce que je suis une femme qui se sent sécurisée. Pour qu’une femme puisse pleinement prendre sa place et révéler tout son potentiel dans l’espace public, il faut qu’elle se sente en sécurité chez elle et dans son milieu professionnel. Ensuite, je crois qu’il faudrait repenser la question de la parité. Nous, les femmes, représentons plus de 50 % de la population. Les quotas actuels ne fonctionnent pas, même en termes de pourcentage. Ils ne permettent pas à suffisamment de femmes de se faire une place dans l’espace public. Si nous repensions la parité cela encouragerait d’autres femmes à se dire que c’est possible, et pas seulement pour des postes de second rang ou d’adjointes.
> Retrouvez cet entretien dans son intégralité sur la chaîne « L’équipe des Lyonnes »
Le village de Megève a émerveillé ses visiteurs lors de l’illumination du premier sapin des Alpes, sous la neige et en présence de Madame le Maire
Catherine Jullien-Brèches et Caroline Denat, directrice de l’Office de Tourisme.
Le point d'orgue de la soirée fut la mise en lumière d’un sapin monumental de 20 mètres de haut, composé de 273 conifères, perpétuant une tradition de 50 ans. Cette structure innovante, ornée d’une guirlande créée par la Maison de joaillerie française Messika, incarne l’élégance et la modernité. La fête s’est poursuivie avec un spectacle son et lumière mêlant musique orchestrale et performances artistiques : danse classique, breakdance, acrobaties et chants, pour une scénographie inoubliable. Les bâtiments emblématiques du village, tels que l’église, le clocher, la mairie récemment rénovés furent magnifiquement éclairés grâce à des ingénieurs spécialisés dans l’éclairage patrimonial. Le sapin, autrefois sélectionné parmi les conifères locaux, a été repensé cette année : une structure métallique accueillant des centaines de sapins d’une pépinière locale, formant un cône parfait. La décoration de la place inclut 4,5 kilomètres de guirlandes et plus de 61 000 LED, renforçant l’atmosphère magique de l’événement.
Tout juste consacrée championne du Monde des constructeurs en Formule 1, McLaren se hisse également au sommet du marché des supercars, grâce à sa 750S Spider. Une véritable voiture de course, que Lyon People a pu essayer, avec la complicité de la concession McLaren Lyon.
Rares sont les voitures à procurer autant d’effets, à faire transpirer la nuit en s’imaginant déjà lever ses portes (papillons). Car la belle fait rêver. Fantasmer aussi. Mais avec ses lignes musclées, cet échappement à sortie centrale et cet aileron digne de la monoplace à son nom, la 750S Spider intimide. Effraye quelque peu également, alors que sous sa carrosserie, la McLaren dissimule 750 chevaux prêts à vibrer. L’Anglaise veut avaler l’asphalte, à raison de 2,8 secondes pour un 0 à 100km/h, tout en soufflant à l’oreille de son conducteur, qu’un
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
soupçon de passion peut le conduire à des vitesses astronomiques (jusqu’à 332km/h). « Ça se conduit comme une voiture lambda. Il n’y a que quand on le pied lourd, qu’elle se transforme en monstre », la présente-t-on. Reste donc à la découvrir, à se faufiler à bord de sa cellule en carbone, pour en mesurer la force. La McLaren s’offre telle une voiture docile en mode confort.
Il faut alors la basculer en mode sport ou track, pour laisser apparaître « une vraie machine de guerre », prompte à jouer de ce train arrière, où crépite son échappement. Une douce mélodie, renforçant l’excitation, exacerbée par ce pouvoir d’accélération collant au siège, le pilote et son passager. Allégée de 30kg (1 438 kg au compteur) par rapport à sa devancière, la McLaren 750S Spider demeure néanmoins un bolide confortable, détournant irrémédiablement les regards. Quelle est
cette voiture ? La marque est encore jeune. Il n’empêche, sa symphonie lève les pouces et les têtes, autant qu’elle déclenche les photos. À bord, on s’amourache. On fait corps. La rendre est une souffrance. En une journée, le coup de foudre est véritable.
FICHE TECHNIQUE :
V8 bi-turbo de 750ch
Vitesse max : 332km/h
Toit rigide rétractable en 11 secondes, jusqu’à 50km/h.
À partir de 313 748 € (plus malus de 60 000 €)
C'est à la concession de R.RECCHIAMotos que nous avons découvert la Superveloce 1000 Serie Oro. Un modèle qui incarne l'engagement de MV Agusta en faveur de l'artisanat cousu main. Chaque élément de ce chef-d'œuvre sur deux roues est conçu au Centro Stile MV Agusta et méticuleusement développé dans l'unique
usine italienne de production de la marque à Varese. Chaque moto est ensuite construite à la main par des artisans, qui assemblent soigneusement chaque composant. Ce souci obsessionnel du détail s'étend à la phase d'essai, où chaque pièce est méticuleusement examinée, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique, avant d'être livrée aux collectionneurs et aux amateurs de la marque.
La nouvelle MV Agusta Superveloce 1000 Serie Oro est à la fois un rêve et une œuvre d'art. Le même état d'esprit que Raphaël Recchia qui dirige la concession R.RECCHIA-Motos de Villeurbanne. Les éléments stylistiques distinctifs comprennent des phares ronds faisant référence au passé de MV Agusta, des lignes développées horizontalement et l'amélioration esthétique de l'utilisation de matériaux précieux tels que la fibre de carbone, le cuir véritable, l'Alcantara et le titane. Le design de la Superveloce 1000 Serie Oro rend hommage à la légendaire MV Agusta F4 750 Serie Oro, comme en témoignent les roues stylisées en forme d'étoile et le système d'échappement en titane à quatre sorties. L'attention méticuleuse portée à chaque détail garantit l'harmonie entre les formes, les matériaux et les performances. Le passé glorieux de MV Agusta est ravivé sur la Superveloce 1000 Serie Oro par le choix de la palette de couleurs : Ago Silver, Pearl Shock
Red et Ciclistica Gold. 998 cm3 et une vitesse de 300 km/h !
Une série limitée à 500 exemplaires numérotés dont l'exemplaire n°69 se trouve encore à la concession villeurbannaise de R.RECCCHIA Motos.
MV Agusta - R.RECCHIA-Motos 58-60, place Jules Grandclément 69100 Villeurbanne
Tél. 04 78 54 41 80 recchia-motos.com
Frédéric Therriaud
Restaurant
cuisine créative, faite maison avec des produits de marché
1, rue Villeneuve - Lyon 4e
T 04 72 00 01 30
Lun-ven : 12h-14h et 19h30-22h30 - Sam : 12h-14h et 19h30-23h restaurant-leplato.fr leplato.lyon
Catherine Dhinaun et David Mollard
Steakhouse - MaîtreS restaurateurS
Frédéric Berthod
Cuisine de Saison / Produits du Marché
33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e
T 04 37 45 45 45
Du mardi au samedi, déjeuner et dîner www.33cite.com 33 cité 33cite Restaurant
restaurant Gastronomique
Aude Andrillat & carte signée par Anthony Bonnet vue exceptionnelle, Suspendu à 150 m au-dessus du sol
Radisson Blu Hotel (32e étage) - 129, rue Servient - Lyon 3e
T 04 78 63 55 46
Mar-Sam : à partir de 19h, dernière commande 20h45 celest-bar-restaurant.com
Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e
T 04 72 40 08 59
Ouvert 7/7 midi, le soir sur réservation à partir de 40 pers. www.garconsboucherslyon.com
CAISSE • VIDEO-SURVEILLANCE • TPE
BORNE GESTION MULTI-SITES
ROBOTS DE SERVICE ET DE NETTOYAGE
Charlie Vella / Chef Guillaume Lepeltier
Cuisine du marché - plat du jour 15€
7, place Kleber - Lyon 6e
T 09 86 47 13 30
Ouvert 6/7 de 7h30 à minuit, samedi 8h-21h, Les jeudis on danse : 20h-minuit - Fermé le dimanche
Odipsum est plam ipiet re, serati ommolorupta sum comnienimus apero beatatur molo mos eat maiorunti inctas escillorum ius, sitatur, et facitat. Dunt. Igent moditation plaborem repeditisit quia dolenis alistori ut rendicto dollatum reribus at velliquam, sunt quiaeptaqui to tet am.
Restaurant
Christophe Marguin
cuisine du marché / SALON PRIVATIF
11, avenue de Grande Bretagne - Lyon 6e
T 04 78 94 51 17
Lun-ven : 12h-14h et 19h-22h www.restaurantlepresident.com restaurantlepresident
Alexandre Tamburini
Rencontre entre créativité et raffinement
Golden Tulip Lyon Ouest & Spa **** 145, chemin de Paisy - Limonest T 04 87 74 10 13
Du lundi au samedi : Midi & Soir
Restaurant BAR lounge
Marco Chopin
Cuisine lyonnaise à l’hôtel dieu
21-23, quai Jules Courmont - Lyon 2e
T 04 78 82 38 49
Lun-sam : midi et soir 12h-22h et dim midi Le Théodore le.theodore
bistrot
Eric Giraud
restaurant de Fruits de mer & écailler
Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e T 04 87 37 10 99
Restaurant ecailler
Mardi-samedi : 10h-15h - Dimanche : 10h-14h30 www.chez-antonin.fr
Restaurant - BAR
Bénédicte
Cuisine du Marché au fil des saisons
25, quai Saint-Antoine - Lyon 2e T 04 26 28 12 46
Service continu du mardi au dimanche www.lecafedumarchelyon.fr le-cafedumarche
Restaurant
Vito et Paola Morreale
CUISINE sicilienne
44, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e T 04 78 52 22 29
Ouvert du lundi au dimanche : 12h-14h40 et 19h-22h30 www.bysicilians.com dolcebysicilians
En partenariat avec Global IP • www.global-ip.fr 1359, route de Sain Bel - 69280 Marcy L’Étoile - T. 04 72 30 83 00
Jérémy Ravier
Cuisine gastronomique avec vue panoramique (dès 32€ le midi)
Sofitel Lyon Bellecour - 20, quai Gailleton - Lyon 2e
T 04 72 41 20 97
Ouvert du lundi au samedi, midi et soir www.les-3-domes.com @sofitellyon
Julie Spitters (Chef)
cuisine traditionnelle DE SAISON
70, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e
T 04 78 17 53 53
Ouvert tous les jours - Midi & Soir www.casino-lyon.com/acacia casinolyonpharaon Restaurant
Amine Kortbi (Chef)
resto-bistro-club
Partouche Hôtel
LES BRUNCHS DU PAVILLON HôTEL***** & SPA
HOTEL
Emmanuel Faucon de bons plats accompagnés De bons vins
the maze, l’instant partage ! 462, chemin de Champivost - Limonest
T 04 89 41 07 40
Lun-ven midi : 12h-14h15 - jeudi 18h-2h - ven-sam soir : 19h-4h www.themaze.fr themazelyon
Georgy Sfez
pizza & biere (Pizza sicilienne, in pala et gluten free)
6, rue Challemel Lacour - Lyon 7e
T 04 72 71 79 88
Ouvert 7/7, midi et soir sur place, clickandcollect et livraison www.zappo.fr zappo-lyon
3, rue Georges Bassinet - Charbonnières-les-Bains
T 04 78 87 79 79
Ouvert le dimanche midi www.pavillon-rotonde.com pavillonhotelspa
Jérôme Sauron
restaurant
Bar à vin Grenouilles
Micro brasserie Bistronomique, Fait maison, Produits frais
10 bis, rue de la Terre Noble - Brindas
T 06 81 43 30 08
Mer : 11h-15h - Jeu-ven-sam : 11h-15h et 17h-22h30 - Dim : 11h-15h30 www.pourunefoisbyjerome.fr pourunefoisby
Claude Barbet
bouchon
Bouchon Lyonnais et Cuisine Familiale 4, avenue du Général Brosset - 69390 Vourles T 04 72 41 01 06
Lun-ven midi et jeu-ven soir - Week-end sur privatisation lecepebouchon-vourles
Antonio Salvati (Chef) Cuisine de tradition italienne méditerranéenne
Restaurant italien
Boscolo - 11, quai Jules Courmont - Lyon 2e
T 04 87 25 72 10
Ouvert 7/7 : Petit déjeuner jusqu’à 11h - 12h-15h déjeuner 15h-19h aperetivo - 19h-22h diner angelorestaurant
1, place Jules Ferry - Lyon 6e T 04 78 41 68 10
Mar-sam : midi et soir. Ouvert 7/7 à partir du 15 avril www.decale.rest restaurantdecalelyon
Emmanuel Faucon
Tartare de boeuf dans la baVette d’aloyau 1, place Jules Ferry - Lyon 6e T 04 72 74 03 98
Restaurant
Lun-jeu 8h-22h. Ven 8h-22h30, midi et soir le week-end www.brasseriedesbrotteaux.com Brasserie des Brotteaux
L’
Edith Rosay Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir)
63, cours Vitton - Lyon 6e T 04 78 89 49 24
Du lundi au vendredi service continu - Samedi midi Samedi soir uniquement sur réservation jusqu’à 20h
Restaurant
Jean-Claude Di Carmine CUISINE gourmande DU TERROIR
58, rue Pierre Bouvier - Fontaines-sur-Saône T 04 78 22 09 26
Ouvert midi et soir 7J/7 www.ogonesdesaone.fr ogonesdesaone
Yann Roubert, président du LOU Rugby et le chef Mathieu Viannay (Mère Brazier)
Sophie Blachère (conseillère régionale AURA), Daniel Valero (vice-président conseil départemental) et Sophie Allainé (LOU Rugby)
Cocollomb
Texte : Morgan Couturier – Photos © Bertrand Perret et DR
L’Europe lui avait tracé la voie, redonnant au LOU Rugby, le loisir de ressentir à nouveau le parfum si particulier de la victoire. On pensait même le rebond enfin formel, lorsque les caprices du ballon invitèrent l’Italien Monty Ioane à profiter d’un rebord favorable, pour aplatir juste avant la mi-temps. S’offrir le champion en titre, à deux jours de Noël, était devenu possible. Envisageable même, alors que l’international Italien et sa bande menaient de dix points (17-7). Hélas, Toulouse, même remaniée, est une bête féroce, qu’il faut abattre sous peine de se faire croquer. Léo Berdeu et sa botte en eurent l’occasion. Mais la cible, elle, s’est dérobée, emportant avec elle, l’idée d’un sacre de prestige. Le LOU Rugby eut sa chance, Toulouse lui avait accordée. Peut-être est-ce cela, le mental de champion. Force est de croire, que les Lyonnais eux, ne sont pas encore complètement guéris. Au moins, ont-ils eu le mérite de ne pas sombrer, face au retour en grâce de leur adversaire. L’esprit est là. Les points du match nul (17-17), aussi. Deux unités bienvenues avant Noël. Le LOU sort de la zone rouge. Et cela, c’est déjà un beau cadeau !
> Prochain match à Gerland LOU Rugby – Cheetahs Samedi 18 janvier 2025
Marc Fraysse (En avant Villeurbanne), le chef Christophe Marguin, président des Toques Blanches lyonnaises et son fils Victor
Olivier Araujo, maire de Charly, Marc Antoine Ginon, président GL events sports et Tony Parker, président ASVEL
Virginie Lacroix (VL Advisory) et Frédéric Lacroix (SG Banque privée) avec Timothée Viera
Marco Polisson (Lyon People), Tony Parker, président ASVEL, Serge Bruhat, vice-président LOU Rugby et Jean-Marie Nauleau (Lyon People)
Olivier Araujo, maire de Charly, Yannick Abraham (Café du Rhône) et Arnaud Friso (Restaurant les charlyrots)
Pauline Krikorian (AnaHome Immobilier) et Corentine Licour (GL events)
Barbara Tournaire (photographe), Jean-Claude Pietrocola (Trophée Ovalgreen), Olivier Araujo, maire de Charly, Jacky Cadario, ancien président du LOU Rugby, et Pascal Papé (ancien capitaine du XV de France, directeur sportif du CSBJ)
Séraphine Okemba, (joueuse LOU rugby), Catherine Arbaud (LOU rugby), Yann de la Fouchardière (Matmut), Alexandra Fratti (LOU rugby), Chloé Jacquet (joueuse LOU rugby)
Amélie Gaschet (Mercedes groupe Chopard), Marylène Brun (traiteur Magner, groupe Tosevents) et Olivier Camps (Mercedes groupe Chopard)
Le journaliste Bertrand de la Villardière (M6), Olivier Ginon, président groupe GL events, Christophe d’Indy (Indy Racing) et Jean de la Villardière
La foule des grands soirs. 31 687 spectateurs ont enflammé Gerland
• janvier
• lyon
Un air de fête a soufflé sur la LDLC Arena lors de la treizième journée de championnat, ce dimanche 22 décembre.
L’ASVEL et le Paris Basket se retrouvaient une semaine après le succès des Villeurbannais en Euroligue. Avec à la clé, un résultat quasiment identique et un nouveau succès (98-92). Malgré les vacances scolaires, tous les ingrédients étaient réunis dans la LDLC Arena pour passer un très bon moment : 12 000 personnes, passionnés, amateurs et familles étaient présentes pour jouer leur rôle de sixième homme autour du parquet de
cette magnifique salle désormais gérée par la famille Aulas. Avant le début de la rencontre, tout ce beau monde put ainsi applaudir l’ancien international, Laurent Foirest, à la remise des maillots aux joueurs sélectionnés pour le prochain All Star Game : Roberson, coté étranger et Joffrey Lauvergne, Nando De Colo et Théo Maledon, côté français. Côté match, d’ailleurs, ce fut un véritable combat, gagné par la LDLC ASVEL (98-92), devant un public debout et en fête dans les dernières minutes.
Texte : Julien Sanglier – Photos © Saby Maviel
TUDOR dévoile un nouveau point de vente iconique à Lyon avec son partenaire privilégié Maier. Cet écrin de 69 m 2 est une véritable immersion dans les codes et les univers de TUDOR, ancrés dans l'esprit Born To Dare de la marque.
Les derniers modèles présentés au salon Watches & Wonders sont mis à l'honneur parmi lesquels la Black Bay et la Black Bay 58 GMT, certifiées Master Chronometer par METAS, sans oublier les lignes Pelagos ou TUDOR Royal, l'emblématique Black Bay 58 Bronze Boutique Edition et la nouvelle Black Bay Chrono « Blue » uniquement disponible dans les boutiques TUDOR.
On redécouvre également le savoir-faire unique de TUDOR aussi bien dans son héritage que dans ses collections où chaque montre TUDOR est entièrement assemblée et testée selon les standards haute-performance de la marque dans sa Manufacture, au Locle en Suisse.
Depuis 1998, la Maison Maier œuvre, entourée d'experts passionnés, pour combler sa clientèle en garantissant un service et un accompagnement de qualité.
BLACK BAY CHRONO
Boutique Edition
Boîtier en acier, 41 mm
Calibre Manufacture MT5813 (COSC)
Bracelet en acier
La nouvelle boutique TUDOR 97, rue du Pdt Édouard Herriot - Lyon 2e T. 04 87 38 71 13 tudor.lyon@maier.fr Ouverture du lundi au samedi 10h30-13h et 14h-18h45
À l’aube d’une nouvelle année, nombreuses sont les entreprises à vouloir entamer leur exercice par une réunion, une conférence ou une journée de cohésion. Pour ce faire, Lyon regorge de lieux propices à ces séminaires.
Les caractéristiques sont nombreuses et les capacités diffèrent. Pour répondre aux attentes, notre dossier spécial livre un florilège de pistes à explorer.
Rooftop52 / Rokoriko p.51
Mercure Château Perrache p.52
Sofitel p.53
èhotels-Collection p.54
GL events p.56
Les Bateaux Lyonnais p.57
Novotel Lyon Confluence p.57
Espaces Réceptifs p.58
LDLC Arena p.59
En bord de Saône, à la Confluence, au cœur du remarquable immeuble Pavillon 52 dessiné par Rudy Ricciotti, Rooftop52 et Rokoriko s’affirment comme des espaces d’exception, propices à l’organisation « d’événements exclusifs ». Le tout, en conjuguant design et écoresponsabilité.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Mateja Lux, Ludovie Servant et DR
Dans ce bâtiment futuriste, « véritable objet d’art », la beauté des lieux se mêle en effet à la démarche RSE.
En témoignent sa certification haute qualité environnementale et son éco-label BREEAM.
Des valeurs qui sont également chères à Patrick Duvarry et sa fille Elodie, créateurs des espaces Rooftop52 et Rokoriko.
« Ici, les événements seront plus responsables, plus créatifs, plus audacieux et plus forts en émotions ». Soucieux de toujours garder l'ADN de la marque : authenticité, simplicité, plaisir
Une offre au sommet
d’être ensemble et lâcher-prise, Patrick et Elodie Duvarry sélectionnent avec soin leurs partenaires et ont à cœur de proposer des prestations éco-responsables : circuit court, produits locaux, lutte contre le gaspillage, offre végétarienne, contenants durables et gestion des déchets...
Dès lors, les équipes R52 & RKO se tiennent prêtes à répondre à toutes les demandes et à satisfaire toutes les ambitions. « Du sur-mesure, pour lequel il n’y a pas de limite lorsqu’il s’agit de combler et de rendre heureux nos clients
Perché au 5e étage, Rooftop52, et ses 600 m2 de terrasse avec vue à 360°, allie émotions et prestations haut de gamme. Idéal pour tous les événements : séminaires, conférences, lancements produits, relations presse, soirées/nuits festives… le lieu se tient prêt à héberger jusqu’à 200 personnes. Le « R52 » est d’autant plus attrayant qu’il se compose de deux espaces modulables : le RoofBar de 120 m2 et sa nouvelle carte de vins, bières et cocktails, et le RoofShow de 260 m2. Deux salles aux possibilités infinies et 1000 m2 au total pour vivre une expérience unique. En guise de nouvelles résolutions, le site pourrait même s’ouvrir au grand public, à raison de « deux dates estivales ». Et ce, en plus des offres de privatisation VIP, orchestrées le week-end.
exigeants » précisent père et fille. « Un event, ce n’est pas la livraison d’une offre catalogue, c’est la compréhension des attentes non-explicites de nos interlocuteurs. Notre but est de créer une ambiance adaptée à leurs envies et leurs budgets. La finalité étant de transformer un moment mémorable en un souvenir inoubliable », poursuit le duo, bien au fait de l’exercice, avec plus de 300 événements et de 15 000 participants accueillis à l’année, « le temps d’une matinée, d’une journée ou même d’une soirée (jusqu’à 4 heures du matin, ndlr) »
Initier de nouveaux modèles de réunions
« Un lieu qui stimule, qui mixe la vie, l’envie et la sincérité ». Ainsi se décrit Rokoriko situé au 2e étage du Pavillon 52. Plus précisément, ce sont deux espaces, Rokoriko Jungle (160 m2 + 30 m2 de terrasse) et Rokoriko City (80 m2 + 30 m2 de terrasse), qui ont été pensés pour libérer l’intelligence collective. Capables d’accueillir jusqu’à 70 personnes, ils sont la référence pour des réunions, des événements créatifs et des afterworks en bord de Saône. Ils sont également dotés d’équipement high-tech et d’une fibre sécurisée très haut débit, pour garantir des réunions « efficientes et stimulantes ».
Rooftop52 & Rokoriko 52, quai Rambaud - Lyon 2e - Tél. 04 78 68 89 13 contact@rooftop52.com > Plus d’informations sur www.rokoriko.com/rooftop52
LES PROCHAINS RENDEZ-VOUS :
• Les Matinales : venez découvrir Rooftop52 le temps d'un petit déjeuner. Prochaines dates : lundi 13 janvier, lundi 27 janvier, vendredi 14 février.
• Salon SBE : retrouvez les équipes les 6 et 7 février prochains, au Matmut Stadium de Gerland. Stand B29-31.
Bâtisse emblématique, datée de 1906, l’Hôtel Mercure Lyon Centre Château Perrache ne cesse d’attirer les voyageurs et les entreprises. Par sa proximité avec la gare, l’établissement aux quatre étoiles, charme au-delà de ses frontières, en captant l’intérêt de nombreuses sociétés nationales, voire internationales.
Texte : Morgan Couturier – Photos © DR
Alors que Fourvière le surveille de tout là-haut, l’Hôtel Mercure Lyon Centre Château Perrache semble se nourrir du paysage. Voilà plus d’un siècle que sa façade Art Nouveau rayonne au bas de la colline, béni par cet emplacement qui l’eut installé au-devant de la gare Perrache. Une situation rêvée, alors qu’à la sortie de cette dernière, se dévoilent les immanquables murs de pierre de l’établissement.
Et même si les 120 chambres (dont 2 suites), récemment rénovées, font le prestige du site, les quelque 10 000 m2 de l’Hôtel Mercure Lyon Centre Château Perrache ne cessent d’attirer. Et donc de passionner les chefs d’entreprise, friands de cette bâtisse où se dressent dix salles de réunion (pour un total de 675 m2, ndlr), modulables à souhait, au point de faire naître, selon les envies et les besoins, un espace de réception allant jusqu’à 300 personnes en format théâtre.
Mieux, la formule « succombez au charme d'un joyau de l'Art Nouveau », émise par la directrice Julia Mazzia trouve aujourd’hui un écho dans le tout le pays. Et pour cause, bon nombre d’entreprises d’île de France, de Marseille ou de Bordeaux, se laissent séduire par l’attractivité des lieux, renforcée, il est
vrai, par le rachat du site en mai dernier, par la société de gestion, Sohoma. « Ce rachat ouvre de nouvelles opportunités de croissance et d’innovation », promet d’ailleurs l’Hôtel Mercure Lyon Centre Château Perrache.
Également doté de la certification Clef Verte, attestant de son intérêt pour le développement durable, l’établissement peut donc voir venir. Les deux derniers exercices ont renforcé sa place. L’hôtel peut même espérer de... Belles Saisons, comme le susurrent la dénomination de l’élégant bistrot de la maison et les préparations de son chef Anis Gharred. Une cuisine à la Française, à déguster assis ou en format cocktail. Le lieu s’y prête. Attention à la marche, en descendant du train !
Hôtel Mercure Lyon Centre
Château Perrache 12, cours de Verdun - Lyon 2e Tél. 04 72 77 15 00
TOUS LES DEUXIÈMES VENDREDIS DU MOIS, À PARTIR DU VENDREDI 14 FÉVRIER, RETROUVEZ DANS UNE AMBIANCE BOUCHON LE MÂCHON DU SOFITEL PRÉPARÉ PAR NOTRE CHEF, JÉRÉMY RAVIER.
TARIF 42€
20, quai Gailleton, 69 002 Lyon
Réservations au 04 72 41 20 97
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
Organiser un séminaire, c’est offrir à ses collaborateurs une expérience inspirante, un moment de cohésion et un cadre propice à la réflexion. À Lyon et ses environs, le groupe hôtelier èhôtels-Collection propose des lieux où histoire, originalité et confort se conjuguent à la perfection.
À Lyon et Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, èhôtelsCollection propose des lieux uniques pour organiser vos séminaires et événements.
De Fourvière Hôtel, installé dans un ancien couvent, à l’atmosphère studieuse et décalée du Collège Hôtel, en passant par le charme atypique de l’Académie Hôtel, chaque établissement lyonnais propose une hôtellerie qui marque les esprits.
À quelques minutes du centre-ville, l’Ermitage Hôtel, érigé sur les hauteurs du Mont Cindre et le domaine Les Lanternes, niché dans un écrin de verdure de 4 hectares, viennent compléter cette offre atypique : “originale sans jamais être excentrique”
Chaque hôtel dispose d’équipes commerciales entièrement dédiées à la gestion et à l’organisation de vos événements. De la première prise de contact à la réalisation finale, elles vous accompagnent à chaque étape.
L’ensemble des établissements du groupe èhôtels-Collection s’adapte à toutes les demandes grâce à une diversité d’espaces événementiels.
Que vous organisiez un comité de direction, un séminaire résidentiel, une journée d’étude ou encore un séminaire au vert, chaque espace est pensé pour répondre aux besoins spécifiques des clients.
Les configurations sont flexibles, permettant d’accueillir aussi bien des petits groupes que des événements de plus grande envergure.
La restauration, point central de l’expérience, met à l’honneur les produits majoritairement locaux et de saison déclinables selon les formats : cocktails dînatoires, déjeuners d’affaires ou encore pauses gourmandes et show cooking... L’art de recevoir “à la lyonnaise” chère aux fondateurs du groupe hôtelier : Marianne Borthayre et Jean-Luc Mathias, se reflète ainsi dans toutes les cuisines pour proposer des assiettes créatives et généreuses qui transforment chaque séminaire en une expérience culinaire inoubliable.
Engagés dans une démarche environnementale forte, les établissements èhôtels-Collection portent haut des valeurs communes autour du développement durable.
Labellisés Clef Verte et Écotable, ils privilégient une gestion écoresponsable dans leurs pratiques quotidiennes, tant au niveau de l’hôtellerie que de la restauration.
ÈHOTELS-COLLECTION commercial@ehotelscollection.com > Plus d'informations sur www.ehotels-collection.com
Fourvière Hôtel
23, rue Roger Radisson - Lyon 5e Collège Hôtel
5, Place Saint-Paul - Lyon 5e
L’Académie Hôtel
5, rue Lainerie - Lyon 5e
Bãragones
5, Place Saint-Paul - Lyon 5e L’Ermitage Hôtel
Chemin de l'Ermitage
69450 Saint-Cyr-au-Mont-D'or Les Lanternes
82, route du Mont Cindre
69450 Saint-Cyr-au-Mont-D'or Là-Haut sur la Colline
81, route du Mont Cindre
69450 Saint-Cyr-au-Mont-D'or
Découvrez le Forum Fourvière, un nouvel espace événementiel unique
Dans un édifice du XIXe adossé à l’Aqueduc romain du Gier, ce nouvel ensemble en cours de réhabilitation se trouve à 50 mètres de Fourvière Hôtel. Véritable écrin de verdure en plein cœur de ville, le Forum Fourvière, disposera d’une salle de 200 m2 d’un seul tenant ainsi que d’un jardin paysagé privatif de 615 m2
Ouverture printemps 2025Pré-commercialisation dès janvier.
Opposés à Vinci-Bouygues pour l’obtention de la concession du Stade de France, Olivier Ginon et GL events ont gagné la première manche. Choisi pour entamer des négociations exclusives avec l’État, le groupe évènementiel lyonnais doit finir de convaincre les pouvoirs publics, ainsi que les fédérations françaises de rugby et de football pour acter sa prise de pouvoir.
Texte : Morgan Couturier – Photos © DR
C’est un tour de force à faire pâlir les acteurs de « Gladiator », un ou deux. Alors que GL events a gagné le droit de combattre pour l’obtention de l’arène dionysienne, en opposition au gestionnaire historique, le consortium Vinci-Bouygues, le grand vainqueur de cet affrontement pourrait bien être Olivier Ginon et ses équipes. En effet, depuis ce lundi 9 décembre, le profil du Lyonnais s’est détaché de son opposant parisien, au point de propulser ce dernier, dans une négociation exclusive avec l’État. Un véritable putsch de la part du géant de l’événementiel, tant le consortium VinciBouygues paraissait solidement installé, depuis l’ouverture du Stade de France en 1995. « Ce n’est pas fini, on n’a pas encore gagné, mais on va travailler dessus », nuançait toutefois, Marc-Antoine Ginon, ce mercredi 11 décembre, dans les travées du Matmut Stadium. En effet, l’obtention de la concession est encore sujette à la validation des représentants de l’État, lequel demeure propriétaire des lieux. Et même si GL events avance en position de force, le dossier reste complexe et pointilleux. « On a une pile de
documents à étudier, grande comme cela », mimait encore le fils d’Olivier Ginon. D’autant qu’en parallèle, GL events devra également obtenir l’approbation de la FFR (Fédération Française de Rugby) et de la FFF (Fédération Française de Football), dont les rencontres sont majoritairement organisées à Saint-Denis. Mais après avoir été désigné sponsor phare de la Coupe du Monde de Rugby 2023, GL events ne devrait pas avoir de mal à convaincre ses confrères de l’Ovalie. Olivier Ginon devra alors en faire de même avec les acteurs du ballon rond, que l’on dit plus gourmands.
Pour ce faire, GL events a déjà promis d’injecter quelque 100 millions d’euros pour rénover le Stade de France, « tout en
dynamisant l’enceinte avec des commerces », avance l’AFP. La famille Ginon aimerait ainsi redynamiser le quartier et les alentours du stade, en créant un écosystème semblable à celui bâti du côté de Gerland.
Cet argument a sûrement pesé dans la balance, alors que l’offre proposée par Vinci, était largement supérieure (400 M€). Le groupe lyonnais doit également cette consécration à ses prestations remarquées, lors des derniers Jeux Olympiques de Paris 2024. GL events avait alors assuré la mise en place de « 70% des installations temporaires, dont 160 000 places de tribunes ». Soit l’équivalent de... deux Stade de France. Une performance qui n’avait pas manqué de taper dans l’œil d’Emmanuel Macron. Si l’entreprise familiale nie tout lien de cause à effet, ces mêmes olympiades avaient eu le mérite de gonfler la trésorerie du groupe, lequel aurait gagné 360 millions d’euros via ce seul événement. De quoi nourrir de grandes ambitions. À commencer par la gestion de la plus grande enceinte de France, pour les 30 prochaines années (à commencer de du mois d’août 2025).
Évènements professionnels
Séminaires, cocktails, incentives, teambuildings...
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Explorez Lyon sous un nouvel angle
AU NOVOTEL LYON CONFLUENCE
Nos espaces :
• 6 salles de réunion équipées, dont une plénière pouvant accueillir jusqu’à 150 personnes
• Des salles qui sont équipées avec du matériel adapté.
• Privatisation du restaurant pour accueillir jusqu’à 300 pers
• Privatisation d’une partie de notre terrasse panoramique, avec vue sur la Saône, idéale pour un afterwork.
• 150 chambres disponibles pour loger vos invités.
• Parking gratuit pour tous les invités et/ou collaborateurs
• Accessible en transport
• Venez faire votre séminaire au cœur de la presqu’ile de Lyon, dans un cadre verdoyant en bord de Saône.
Notre offre restauration :
• Faites un break pendant vos réunions avec une pause gourmande.
• Profitez d’un moment convivial autour de plats à partager.
• Réunissez-vous autour d’un cocktail déjeunatoire et dinatoire.
• Terminez votre journée en vous détendant autour d’un verre accompagné de tapas. Nous pouvons également créer une offre de restauration sur mesure avec notre chef, adaptée à vos envies et besoins.
Évènement :
Si besoin, notre pôle événementiel peut prendre en charge l’organisation de votre soirée avec DJ set, artistes, etc.
solenn.bigeard@accor.com
T. 04 37 23 64 09
Espaces Réceptifs incarne l’excellence en matière d’expériences évènementielles.
À la tête de cette aventure : Gabriel Giorda, un entrepreneur passionné, spécialisé dans la recherche et la gestion de lieux hors du commun. Selon lui, la qualité de l’espace réceptif est le point de départ de tout évènement. C’est lui qui guide l’expérience.
UNE VISION PORTÉE PAR L’EXPÉRIENCE
Après plusieurs années à la tête d’espaces emblématiques à Lyon : Studio33 / Fort de Vaise Fort de Feyzin, Gabriel Giorda a décidé d allier son sens de l’hospitalité à sa créativité pour donner naissance à Espaces Réceptifs. Cette nouvelle aventure entrepreneuriale propose une approche de l'événementiel résolument humaine, créative et innovante. Elle s’est construite autour d’une collection de 16 lieux iconiques. Des lieux de caractère, choisis avec soin pour permettre à ses équipes d’imaginer des expériences réceptives, des plus classiques aux plus surprenantes.
« Choisir des lieux qui marquent les esprits et créer des événements qui restent dans les mémoires, c’est ma plus grande fierté. »
Espaces Réceptifs propose une diversité inégalée de lieux adaptés à tous types d’événements. Des rooftops élégants, des lofts modernes, des maisons de maître
intimistes, ou encore des salles de réception contemporaines, chaque espace est choisi pour sublimer les moments importants.
AU SERVICE DES CLIENTS
Espaces Réceptifs ne se limite pas à la mise à disposition de lieux iconiques. Ses équipes s'engagent à offrir une organisation clé en main : concept, logistique, restauration, animations, décoration... La réussite de vos événements réside dans l’attention que nous apportons à une somme de petits détails, invisibles pour nos clients mais indispensables pour que l’expérience soit réussie.
« Ma priorité est de simplifier la vie de mes clients. Ils viennent avec une idée ou une envie, nous leur livrons une expérience sur-mesure, parfaitement exécutée. »
TOURNÉE VERS L'HUMAIN
Gabriel croit fermement au pouvoir des événements pour rassembler et inspirer. D’un point de vue opérationnel, « nous agissons comme un “partenaire facilitateur” au service de nos clients. Nous mettons en place une équipe dédiée toujours à l'écoute et force de proposition ».
Son ambition ? Faire d’Espaces Réceptifs la référence incontournable à Lyon et audelà, en combinant l’authenticité des lieux et l’excellence des prestations.
Vous souhaitez transformer vos idées en événements inoubliables ? Découvrez www.espacesreceptifs.fr ou contactez Gabriel Giorda et son équipe pour une expérience hors du commun.
Espace réceptifs contact@ espacesreceptifs.fr
Tél. 04 78 98 86 16 > Plus d'infos sur www.espacesreceptifs.fr
Habitués à récompenser les initiatives améliorant la vie des habitants de la région, les Prix du CESER ont consacré deux candidats pour sa 4e édition, ce lundi 16 décembre 2024. Trois minutes pour convaincre et toute une année pour agir. Le défi est rude, mais salutaire. Fidèles à l’esprit de leurs Prix du CESER (Conseil Économique, Social et Environnemental Régional), les conseillers de l’institution consultative rattachée à la Région Auvergne-Rhône-Alpes, n’ont donc pas manqué de saluer ses meilleurs représentants. À savoir des acteurs agissant dans l’intérêt collectif des habitants de la région. À la clé, cinq critères, portant sur la nature de l’activité, son impact positif sur la population, son caractère innovant ou inspirant, ainsi que sa pérennité. Sur ce principe, neuf candidats avaient retenu l’attention du président Antoine Quadrini et ses différents conseillers. Mais à l’issue des présentations et des délibérations, seuls deux concurrents se sont démarqués. À commencer par l’association Zicomatif, dont le café associatif, culturel et inclusif, « Le Cozi’Café », aura raflé deux des trois prix mis en jeu : le prix du public et le prix du jury. L’ultime récompense s’est, elle, envolée du côté du Crest, où officie la coopérative immobilière solidaire, Villages Vivants. L’entité drômoise se fait remarquer par sa capacité à revitaliser les zones rurales, en facilitant l’ouverture de commerces de proximité, grâce à « l’épargne citoyenne ».
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“UNE ÉDITION EXTRAORDINAIRE !”
Le soufflé était à peine retombé, la scène tout juste démontée, que Fabrice Bonnot avait résumé la 12e édition de Soupe en Scène en un seul mot : « extraordinaire ». Un opus « sans précédent », ajouta le chef au grand cœur, dont la vente de soupes nourrit les comptes de l’association du Foyer Notre-Dame des Sans-Abri ou de l’Hôpital Femme Mère Enfant et égaye le quotidien de nombreux enfants malades. « Jamais encore, nous n’avions connu un tel succès : plusieurs milliers de personnes se sont réunies place de la République pour partager cet élan de générosité, déguster nos soupes solidaires et vivre ensemble des moments forts de joie et d’émotion », s’est réjoui le chef propriétaire du restaurant Cuisine et Dépendances. Épaulé par une horde de 250 bénévoles, Fabrice Bonnot a récité sa recette à la perfection : mobiliser des artistes d’hier et aujourd’hui, pour animer trois jours durant, le cœur de la presqu’île lyonnaise. Le tout, sous l’œil de ses « marraines de cœur », Carine Teyssandier et Sandra Viricel, mais aussi de l’ancien Premier ministre, Elisabeth Borne. « Une pure folie », conclut le chef.
ANS D’ENGAGEMENT DANS L’ÉDUCATION
À l’occasion des 10 ans d’engagement des écoles de la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne, EKLYA School of Business et HYBRIA, Sandrine Chaix, vice-présidente de la Région Auvergne Rhône-Alpes déléguée au handicap, est venue rencontrer les équipes et dévoiler une plaque commémorative des actions des écoles en faveur de l’adaptation des programmes pour les étudiants éprouvant des difficultés d’apprentissage, en présence de Daniel Buguet, élu de la CCI et de Brigitte Ramond, adjointe de Sébastien Michel à la Mairie d’Ecully. L’occasion aussi pour Sébastien Arcos de présenter le nouveau programme à destination de public en situation de handicap mental qui sera déployée à la rentrée 2025 pour des jeunes porteurs de trisomie 21 ou de troubles du spectre autistique.
De g. à d. : Daniel Buguet, élu de la CCI et administrateur d’EKLYA, Sandrine Chaix, Sébastien Arcos et Brigitte Ramond, adjointe au maire d’Ecully, déléguée à l’Education et au Handicap
Julien avait bien fait les choses. Julien, c’est un des fils d’Alain Guilhot tenant à célébrer l’œuvre pérenne d’un père et créateur à Lyon du Plan Lumière. Un demi-siècle d’éclairages sur les monuments remarquables de la planète (3000 réalisations à son actif), cela méritait bien une fête en famille, entre amis, anciens élus, architectes, entrepreneurs ou partenaires de la première heure. Au « Yacht » de Saint Germain-auMont-d’Or, la soirée fut ponctuée de discours affectueux envers ce sacré lyonnais. Lyon devenue scène internationale sur ce credo complétait sa singularité via les « murs
peints ». Devant les 250 invités Gilbert Coudène confirmait la poursuite de sa quête de créativité en orchestrant des spectacles signés : « les Allumeurs de Rêves ». Julien Guilhot avec la complicité de ses frères et sœur, distilla tout au long de la soirée un halo d’émotions n’oubliant pas d’évoquer ceux qui nous ont quittés tels Henri Chabert ou Roger Monnami. Parenthèse humanitaire en guise de conclusion d’une fête joyeuse et nostalgique : 4000 euros récoltés auprès des invités à destination de « Electriciens sans frontières »
Texte : Françoise Petit –
L’agence immobilière mégevane a lancé la saison d’hiver à l’occasion de l’illumination du sapin en recevant ses amis et clients pour une soirée inoubliable. Sous le signe de l’art et de l’approche familiale sur-mesure, tout l’équipe d’Antonin était aux petits soins pour ses invités dont la plupart sont des familles lyonnaises. Un rendez-vous incontournable pour la célèbre agence immobilière qui organise chaque année un moment convivial dont seul Antonin a le secret.
Profitant du cadre inspirant du Musée des Beaux-Arts, Banque Richelieu France a proposé à ses clients et partenaires une soirée riche en enseignements. De nombreux thèmes d’investissement ont pu être abordés lors d’une table ronde constituée d’intervenants de renom autour de sujets centraux pour comprendre l’économie et le monde de demain. La crainte d’un retour de l’inflation, l’arrivée au pouvoir de Donald Trump et ses conséquences sur l’Europe, l’enjeu de la dette des Etats en général et de la France en particulier et bien sûr les impacts de l’intelligence artificielle dans les entreprises et sur l’emploi.
« Les gens qui arrivent au pouvoir sont porteurs d’un message : le protectionnisme. Cela ne correspond pas à la nécessité du moment, ni à la nécessité de demain », appuya l’économiste, Jean-Marc Daniel, bien plus inquiet sur le sujet de la dette, du vieillissement de la population ou de la détention des actifs
français par les étrangers, que sur cette hausse conjoncturelle. Alexandre Hezez (Stratégiste Groupe Banque Richelieu) insista sur le fait qu’une autre vague inflationniste serait très difficile à endiguer à l’image de la fin des années 70 et serait très dommageable pour les marchés et l’économie. Pour Jacques-Aymon Lapluye, directeur clientèle privée et activités de marché et Membre du directoire de Banque Richelieu France, l’innovation sera le catalyseur de la croissance future.
Une soirée qui démontre bien l’importance de la réflexion permanente et d’être accompagné de spécialistes pour analyser, comprendre et investir.
« Comprendre les crises économiques, fatalité ou nécessité », un des ouvrages phare de Jean-Marc
L’Alpine Store de Villefranche-sur-Saône a dévoilé la petite dernière de la marque :
l’Alpine A290. Une citadine 100% électrique découverte par les invités, dans les travées du H7. La nouvelle Alpine A290 a été présentée lors de la Blue Night, jeudi 28 novembre 2024, par Guillaume Pierre et ses équipes de l'Alpine Store de Villefranche-surSaône. Cette révélation s’est opérée sous les yeux de près de 500 invités dans la pénombre du H7, situé dans le quartier de la Confluence. Cette citadine sportive 100% électrique redéfinit l’iconique marque française avec une autonomie jusqu’à 380 kilomètres. De quoi titiller les fans d’automobile de la première heure. Mais « l’ADN reste le même », garantit Guillaume Pierre. Pouvant atteindre les 220 chevaux de puissance, elle comprend des fonctionnalités inspirées directement de la F1 telles que son volant. La première édition de cette 5 portes au design musclé est limitée à 1 955 unités, disponibles en quatre coloris exclusifs.
Attendue par les amateurs de la marque, la traditionnelle soirée de fin d’année du Comité Porsche Lyon a de nouveau gâté ses invités.
Outre les mets préparés par l’Abbaye Paul Bocuse, les 280 convives ont pu goûter à un aperçu des événements à venir. Et cela promet.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel
La passion n’est plus à démontrer. Porsche la leur a donnée. Mais à l’instar des sorties sur circuit, que les Centres Porsche Lyon s’habituent à leur organiser, les amateurs du Comité Porsche Lyon ne rechignent jamais devant un tour supplémentaire. Un tour de piste en l’occurrence, dans ce décor féerique, que propose l’Abbaye Paul Bocuse. Et si l’instant se veut délicieux, la raison est à trouver autant dans le menu de ce dîner, que dans la révélation des événements à venir. Car si l’année 2024 fut « magique », se refermant sur une multitude de sorties et l’offrande de cadeaux de la part des partenaires (Maier,
Roche Bobois, Roederer, Harley Davidson, The Village et SLG), le millésime 2025 tend à « passer à la vitesse supérieure ». Preuve en est, ce nouveau Macan Turbo, tirant dans son traîneau, une pile bien remplie d’étrennes. Parmi elles, une virée aux 24h du Mans, une escapade all inclusives en Alsace, en Corse ou en Italie, de même qu’une visite des usines Porsche ou du Paradis Porsche de SaintTropez. « 2025 sera mémorable », promit ainsi Jean-Rodolphe Guigonnet, ses propos appuyés par l’exposition de la nouvelle 911 Targa phase 2 GTS. Un modèle parfait, pour « entrer dans un univers d’exclusivités »
Pour un moment de partage autour d’un plat réconfortant, rendez-vous à La Tchatche, le nouveau bistro à la française des Brotteaux.
Photos © La Tchatche
Ouvert depuis le 21 octobre 2024 au 3 place du Général Brosset, l’établissement porte bien son nom. “C’est un lieu convivial, vivant, de partage et d’échange”, décrit Benjamin Labonne, associé avec les gérants des Kaffee Berlin. "Notre maître mot : manger et se sentir comme à la maison !" ajoute-t-il.
Le concept est simple, tout comme la cuisine : le midi, La Tchatche propose une formule brasserie avec des plats traditionnels comme le filet de bœuf, le cordon bleu maison ou le Gravlax Salmon Club.
Le soir, place aux assiettes à partager, avec en vedette une côte de bœuf charolaise servie au kilo. Les amateurs de bons vins et cocktails aux noms évocateurs trouveront aussi leur bonheur dans une ambiance chaleureuse.
Après une soirée d’inauguration festive fin novembre, où près de 150 invités ont profité des cocktails, vins et spécialités maison, Benjamin et son équipe vous attendent pour vous régaler.
La Tchatche : vivre, boire et manger.
3, place Général Brosset - Lyon 6e Tél. 09 83 84 67 36
Megève · Combloux · Saint-Gervais-les-Bains · La Chapelle d’Abondance · Les Carroz d’Arâches · Morzine Champagny-en-Vanoise · Peisey-Vallandry · La Toussuire · Notre Dame de Bellecombe · Les Saisies · Bisanne 1500 La Rosière · Plagne 1800 · Plagne Montalbert · Alpe d’Huez · Les Deux Alpes · Vaujany · Chamrousse · Serre Chevalier ...
Emplacements d’exception · Résidences skis aux pieds · Domaines skiables internationaux · Vue panoramique sur les reliefs · Prestations haut de gamme Piscines et espaces bien-être · Expérience unique
Lyon choisie pour héberger pendant trois jours, le 72e congrès annuel de l’UMIH, les professionnels de l’hôtellerie et de la restauration en ont profité pour soulever les problématiques actuelles.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Margaux Nourry et Saby Maviel
Quartier moderne par excellence, la Confluence avait dressé le décor, sans même que la thématique ne soit énoncée. Toujours est-il que le message se devait d’être entendu. À la Sucrière, théâtre du traditionnel dîner de gala. Mais aussi au palais des Congrès de Lyon. « Ici on innove », rappela alors l’UMIH, à l’occasion de son 72e congrès annuel. L’occasion de rappeler les maux du secteur de l’Hôtellerie Restauration, loin d’être « conjoncturels », déplore le chef Thierry Marx, président de l’UMIH. « Il faudrait travailler sur des changements. On n’est pas force de contestation permanente, on est force de proposition », pointa le chef parisien, au fait d’une profession mise à mal « depuis plus de 40 ans »
« Aujourd’hui, ceux qui périclitent, ce sont des bons restaurants, qui avaient une bonne gestion », regretta le sexagénaire, conforté localement par Thierry Fontaine, président de l’UMIH Rhône. S’appuyant sur sa citation favorite, Thierry Marx a exhorté élus et chefs d’entreprise à se mobiliser, en soulignant que « celui qui ne combat pas, a déjà perdu ». « Il faut protéger ceux qui font bien. Les restaurants ont un rôle essentiel dans le lien social », insista Thierry Fontaine, prêt à monter au front, comme son président, sur la question du coût du travail, de l’ubérisation de la société ou la problématique actuelle de l’utilisation du titre-restaurant, trop souvent dévoyé. « Avec ces titres restaurants, le manque a gagner pour les restaurants est de 575 millions d’euros », souligna Thierry Marx, pour qui le renouveau passe par l’innovation. À commencer par la création d’une plateforme nationale concurrente d’Uber ou Deliveroo. « Mais pour cela, il faut être écouté », soutint Thierry Fontaine, en dépit d’une motion de censure venue laisser « les chefs d’entreprise seuls face à leurs défis ». Face à leur envie de progrès. Dès demain !
Thierry Marx, président de l’UMIH
Renaud Damesin (UMIH Île-de-France) et Christophe Weber (UMIH 67)
Passage de témoin entre Lyon et Perpignan
Blanchon et Thierry Fontaine, président de l’UMIH du Rhône, Laurent Lutse, président des cafés, brasseries et établissements de nuits pour l’UMIH France, Brice Sannac, président de l’UMIH des Pyrénées-Orientales et sa directrice, Sylvie Pimenta
La table d'honneur présidée par Thierry Marx, président confédéral de l'UMIH
Lebel, secrétaire général CPME Rhône, Frédéric (Pernod Ricard), Héni Chaussedent, Aurélien Liveneau, Sébastien Brenner (RAD), Olivier
Maître
Philippe
Dans l’antre de l’Abbaye Paul Bocuse, les clients de BMW Altitude 69 ont eu le plaisir de découvrir les dernières BMW X3 et M5. Une soirée placée sous le signe de la sportivité, au cours de laquelle les invités ont pu se faire la main sur ces nouveaux modèles, de manière... virtuelle. En attendant de savoir si l’un des bolides, fut déposé au pied du sapin, BMW Altitude 69 avait conseillé de se laisser porter. D’embarquer ainsi, à bord d’une soirée, où l’Abbaye Paul Bocuse mènerait les invités,
à bien des surprises. « On souhaitait finir en beauté, avec un événement prestigieux », présenta d’ailleurs son directeur, Benjamin Lespinasse « La grande famille BMW » ne fut pas déçue, le carillon de l’Abbaye s’effaçant volontairement devant les révélations des nouveaux bébés de la marque, la 4e génération du SUV X3 (en version M50 de 400 chevaux) et sa cousine, la M5, une « berline dynamique et performante » de 727 chevaux. Mais qu’à cela ne tienne, l’élégance de ces modèles, ne demande qu’à se poursuivre sur la route.
© Saby Maviel
Pour clôturer l’année 2024 en beauté, Marc Jean, président du Club des Clubs a convié une centaine de membres dans l’abbaye de Monsieur Paul, privatisée pour l’occasion.
Les petits plats dans les grands, telle est la marque de fabrique du Club des Clubs
qui rassemble en son sein une centaine de dirigeants et cadres d’entreprise autour de la devise « Amitiés, mémoire, partage ». Tout au long de l’année, ses membres ont accès à des soirées conçues sur mesure par Marc Jean ou à des évènements et spectacles qu’ils peuvent applaudir aux premières loges. Le réseau qui
marie les relations professionnelles et les services d’une conciergerie de luxe s’étoffe depuis sa création et fait des émules pour le plus grand bonheur de son créateur. Prochain rendez-vous, la fête de la Chandeleur au Sofitel, le jeudi 30 janvier. Une soirée déjà sold out ! MP
Marc Jean
Président du Club des clubs
Président du CAFAL
Merci aux 400 chefs d’entreprise, membres de nos clubs pour leur confiance, leur fidélité et leur soutien. Ensemble, plus forts. Plus forts ensemble.
Dans un format plus compact, pensé pour intensifier le jeu, la quatrième édition de la Padel Legend Cup a brillamment confirmé son succès grandissant. Portée par l’énergie et la vision d’Oh My Team, l’événement a su rester fidèle à son ambition : offrir un terrain d’affrontement unique entre amateurs passionnés et légendes du sport dans une ambiance à la fois festive et compétitive.
Animés par la volonté de rassembler et de faire vibrer, les organisateurs Nicolas Steinlé & Stéphane Frizot impriment à chaque édition leur marque : celle d’un événement à la fois chaleureux et exigeant, à l’image des valeurs qu’ils défendent. En seulement 4 éditions, ils ont su a su conquérir un public fidèle et passionné et faire de ce tournoi un rendez-vous incontournable, alliant convivialité et intensité compétitive.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
1ER : David Miotto & Fabrice Ricci (Artes Patrimoine)
2ÈME : Julien Roig & Thibault Coquoz (Heineken)
3ÈME : Pierre Laigle & Jean-Marc Chanelet (ex-joueurs de l’OL)
MAISON HAUSSMANN HOTEL PARTICULIER
SEASONS
RIZAL MARQUES INVITÉES
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AUTUMN/WINTER COLLECTION
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BAR À JEAN’S
DIM 19 AU JEU 23 JANVIER
DE 10H À 18H (NON-STOP)
19, RUE LITTRÉ - LYON 9E
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18/12/2024 – Lino chez Arthur Donjon et Carlota Raynard Marques
Dans nos intentions de prière,
Maître Loïk Conan1,commissaire-priseur,
Maître Jacques Musnier, notaire honoraire ;
Madame Maryse Béjuit ; Madame Aliette Jarsaillon ;
Docteur Bruno Croizat ;
Monsieur Philippe Michel2, imprimeur et partenaire de Lyon People
Monsieur Emile Moreaud, papa du chef Dominic Moreaud. Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.
LAVOREL HOTELS
Le groupe Lavorel Hotels annonce deux nominations stratégiques pour accompagner sa croissance et renforcer sa dynamique commerciale et financière. Quentin Buisson rejoint le groupe en tant que Directeur Administratif et Financier, tandis que Nicholas Granger (photo) prend les rênes de la direction commerciale.
ROYAUME DE PATAGONIE
La grande famille consulaire lyonnaise s’enrichit avec l’arrivée de Bruno d’Epenoux, en qualité de vice-consul de Patagonie en Clunysois. « Ma nomination a été officialisée il y a quelques années par l’écrivain Jean Raspail, Consul Général, mais restait peu effective vivant alors à l’Ile Bourbon et ne résidant en Bourgogne que durant mes vacances. Y étant maintenant définitivement installé, j’entends assumer avec efficacité et dévouement la fonction qui m’a été confiée au service des sujets du Royaume de Patagonie et pour le rayonnement de celui-ci. »
CHRISTIAN BERTHE
Vendredi 15 novembre 2024, Christian Berthe, président du Marché de Gros Lyon-Corbas, s’est vu remettre les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur. Cette distinction honore également l’ensemble des professionnels du Marché de Gros Lyon-Corbas qui le félicitent et le remercient pour ses 39 années d’engagement et son dévouement.
ALEXANDRA PERRET
C’est dans les salons du quartier Général Frère qu’Hervé Brun, adjoint au maire de Lyon 6, a remis les insignes de chevalier dans l’ordre des Palmes académiques à Alexandra Perret. Créatrice de l’association humanitaire « Sur le chemin de l’amour », elle est accompagnatrice des élèves en situation de Handicap à l’Ecole Primaire Gerson.
Texte : Marco Polisson – Photo Lyon People
L'OL Féminin et l'Equipe des Lyonnes (réseau dynamique de plus de 3000 membres) unissent leurs forces pour mieux visibiliser les talents féminins. Ce partenariat, signé à l’occasion du match de la Women's Champions League au Groupama Stadium, a pour objectif de mettre en lumière la richesse des talents féminins lyonnais, tant dans le domaine du sport que dans la sphère publique. Il s’agit d’encourager les jeunes filles à prendre leur place sur les terrains comme dans la société. Forte d'un exceptionnel palmarès européen, animée par une culture de la gagne et de l'excellence hors-normes, et dynamisée par l'arrivée de la femme d'affaires américaine Michele Kang, l'OL Féminin renouvelle ses ambitions sportives et extra-sportives au plus haut niveau depuis 20 ans. De son côté, l'Equipe des Lyonnes déploie son réseau et ses actions en faveur de la place des femmes dans le débat public, et s'attache à mettre en valeur les talents féminins sur la scène lyonnaise, depuis plus de 3 ans. « Ensemble, nous visons à renforcer notre impact collectif et à inspirer un changement positif dans le monde du sport et plus largement dans le débat public », a indiqué Vincent Ponsot, CEO Olympique Lyonnais Féminin. « Ce partenariat fait tellement sens ! Il nous permettra de combiner nos forces pour organiser des événements, des actions de sensibilisation et des initiatives éducatives qui mettent en avant les parcours et les réalisations des femmes, à la fois dans le sport et au sein de la Cité », a conclu Alexandra Carraz-Ceselli, présidente et fondatrice de L’Equipe des Lyonnes.
AU VENDREDI 31 JANVIER 2025
DE 10H30 À 18H45