Châteauneuf du Pape LA SOMMELLERIE UN AMOUR D’HÔTEL POUR CAMILLE & SILVIO
Les 13
QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !
lubéron FRANÇOIS NIFOROS LE NOUVEAU VISAGE DU CHÂTEAU DE GRAND PRÉ
Châteauneuf du Pape LA SOMMELLERIE UN AMOUR D’HÔTEL POUR CAMILLE & SILVIO
Les 13
QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !
lubéron FRANÇOIS NIFOROS LE NOUVEAU VISAGE DU CHÂTEAU DE GRAND PRÉ
N°252 – Septembre 2024
L’équilibre entre puissance et élégance
Consommation électrique combinée : 17,0–19,4 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km.
Gamme Audi Q6 e-tron : consommation électrique en cycle mixte WLTP (kWh/100 km) : 17,0 - 19,4. Rejets de C02 en cycle mixte WLTP (g/km) : 0. Valeurs liées à la configuration du véhicule et susceptibles d’évolution. Valeurs au 04/01/2024, susceptibles d’évolution.Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Publicité diffusée par le concessionnaire CENTRAL AUTOS enregistré à l’Orias sous le n°7032704 en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non exclusif de VOLKSWAGEN BANK. CENTRAL AUTOS - Société par Actions Simplifiaée au capital de 1 024 200,00€ - 49 bis boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons.
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Les travaux de mise en place de la voie cyclable numéro 12 entrainent des embouteillages monstres sur les quais de Saône reliant Perrache à Vaise. La circulation s’effectue au pas dès le pont Bonaparte. Une seule voie automobile est conservée jusqu’au pont La Feuillée, à hauteur de Saint Paul. Le feu à l'angle du pont La Feuillée et du quai de Bondy a été déréglé pour ne permettre qu’à 4 voitures de passer en file indienne. Sous nos yeux, nous avons vu les ouvriers de l'entreprise MGB contraints de faire la circulation pour tenter de fluidifier le trafic. Peine perdue. Interrogé par Le Progrès, un automobiliste raconte avoir mis une heure pour aller de Saint Jean à Saint Paul. Avec ces nouvelles restrictions de circulation, c’est l’ensemble des quais de Saône qui sont paralysés jusqu’à Bellecour. À hauteur du quai de la Pêcherie, les bouquinistes ne s’en sont jamais relevés. La fermeture de la rue Grenette parachève ce dispositif mortifère pour la Presqu'île.
Toujours dans le 5ème arrondissement, le second point noir est désormais situé entre Saint Jean et Fourvière. La montée du chemin neuf interdite depuis février dans le sens de la montée est désormais fermée à la circulation dans les deux sens. Impossible de descendre de Fourvière par cet axe pour rejoindre Saint Jean. Une galère pour les touristes qui suivent leur GPS et se retrouvent dans un cul de sac, comme nous en avons été témoins. La « déviation » mise en place à partir de la rue des Farges fait trabouler les automobilistes par le restaurant de Christian Tetedoie puis la Villa Maia avant de déboucher rue de l'Antiquaille en travaux, elle aussi, pour cause de piste cyclable. Et à partir de là, bonne chance pour trouver la route la plus directe pour rejoindre le Vieux Lyon ou la Presqu’île !! Les plus avertis savent qu’il faut rejoindre la montée de Choulans (au sud) ou la montée de l’observance (au nord) jusqu’à Vaise, soit plusieurs kilomètres de détour et de pollution supplémentaire... Une absurdité absolue ! #SaccageLyon
Marco Polisson
Rédacteur en chef
Icône éternelle, la 911 est de retour. Avec une ligne épurée et la technologie T-Hybrid, issue du sport automobile.
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24 LA VIE JURIDIQUE
26 LA VIE ÉCONOMIQUE
28 LA VIE CULTURELLE
32 LA VIE COMMERCIALE
34 LA VIE GASTRONOMIQUE
36 PEOPLE STORY
Lyonpeople.com n°252 - Septembre 2024
Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler
Couverture : Fabienne et Jean-Paul Lacombe par Jean-Luc Mège
Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com
Directeur de la rédaction Marc de Jouvencel
Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com
Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com
Journalistes Fanny Suteau, Christian Mure, Jocelyne Vidal
Directeur artistique Ghislain Laîné - ghislain@lyonpeople.com
Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com
Directrice de clientèle Sophia Jeannot - sophia@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43
Directrice du TOP 500 des Lyonnais Clémence Bricon
Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com
Assistante commerciale Camille Medigo - camille@lyonpeople.com
Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com
Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Karine Bourgain, Bertrand Perret Ont collaboré à ce numéro Laurette, Jocelyne Vidal, Alexandra Carraz, Odile Mattei, Philippe Lecoq, Jacques Bruyas, Jean-Marie Nauleau, Christian Mure. Diffusion Agence Coyote Diffusion
Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique à partir du site lyonpeople.com
Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.
100 000 lecteurs tous les mois
Etude Médiamétrie 05/2005 Lyon People est certifié par 139, rue Bugeaud - Lyon 6e Tél. 04 72 82 97 78 SEPTEMBRE 12 LA VIE LYONNAISE 18 LA VIE PATRIMONIALE
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L’édition inaugurale, organisée l’an passé, ayant été un succès, Bron renoue avec son Mondial de Pétanque, du 13 au 15 septembre. Une rentrée sportive pour la ville, qui avait profité de l’événement pour attirer, sur la place de la Liberté, de grands noms de la discipline et de nombreuses personnalités lyonnaises. Les champions de ce monde le diront, la première mène donne le la, mais n’assure en rien, la suite des hostilités. Dès lors, si les boules jetées pour l’édition 2023, ont frisé la perfection, le Mondial de Pétanque se garde bien de faire des pronostics, pour son édition 2024. Mais alors que les joutes doivent reprendre sur la place de la Liberté, Bron et son club de Terraillon, avancent néanmoins, avec un sérieux bagage technique. Pour preuve, ce ballet de grands noms de la discipline, offert au public dès l’avènement de cet événement sportif. Pour rappel, de nombreux polos bleu-blanc-rouge, symboles de joueurs représentant l’Équipe de France, avaient en effet, décoré la place de la commune, accompagnés d’une ribambelle de talents.
Le tournoi « gentlemen », entre compétition et franche camaraderie. Parfois même des stars inattendues, alors que le Mondial de Pétanque avait vu des élus, son maire Jérémie Breaud, le président des Hippodromes de Lyon, Jean-Claude Ravier ou l’ancien gouverneur militaire, Gilles Darricau, se mêler au tournoi « gentlemen », programmé vendredi 13 septembre à 18h. Sans oublier une note de charme, puisque les Miss Rhône de ce temps, avaient fait l’étalage de leur adresse. En somme, un savant mélange de concurrents expérimentés et d’amateurs appliqués, dont la recette sera reproduite en cette nouvelle édition. Certains y verront alors une occasion de se reprendre. D’autres, celle de conforter leur domination. Le défi est lancé, réponse à la rentrée !
> Programme complet sur lyonpeople.com / Actualités sportives
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- La disparition de Camel Boutarfa, roi des nuits lyonnaises > Actualités people
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> Voyages et week-ends
- L’extrême gauche crie victoire et vandalise la Presqu’île > Actualités politiques
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> Actualités sportives
Dans le cadre de notre numéro de fin d’année, Lyon People publiera un dossier consacré aux plus beaux chalets de Megève, confiés à la plume de Pauline Morasz. > PARUTION : DÉCEMBRE 2024
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Chaque année, nos confrères du magazine Challenges dressent le classement des 500 plus grosses fortunes professionnelles françaises. Nous avons extrait de cet inventaire les entrepreneurs lyonnais et comparé l’évolution de leur patrimoine sur les deux dernières années.
28 Lyonnais dans le top 500 de Challenges en 2016
24 Lyonnais dans le top 500 de Challenges en 2024
Texte : Marco Polisson - Photos DR
Fortune du 500ème en 2016 = 100 millions €
Fortune du 500ème en 2024 = 245 millions €
> en millions d'€
Toujours numéro 1. Le patrimoine professionnel des patrons de BioMérieux (3,4 milliards d’euros de CA) a plus que doublé en 6 ans.
En un an, bonus de 300 millions d’euros pour l’ancien transporteur drômois qui prépare ses enfants Pierre-Henri et Marine à sa succession.
2023 s’est avéré une excellente année pour les propriétaires du groupe SEB qui possèdent 42,2% du fabricant mondial de petit-électro-ménager (8 milliards € de CA).
+ 200 M€ pour le créateur de Cochonou, Aoste (vendus en 1996) qui possède les hôtels La Réserve et s’est associé avec Tony Parker pour le vin.
En 50 ans, le fondateur de Fiducial a doublé sa fortune pro et fait de son groupe un acteur mondial. CA : 1,8 milliards € en 2023.
Les actionnaires familiaux du groupe Descours et Cabaud (5 milliards € de CA) confirment leur place obtenue il y a deux ans dans le club des milliardaires lyonnais.
Recul de 150 M€ pour les successeurs du co-fondateur d’Adecco qui détiennent 4,35% du numéro 1 mondial de l’intérim (CA 24 milliards d’euros).
La famille Burelle contrôle 50,77% de Plastic Omnium (CA 10,3 milliards d’euros) fondé par Pierre Burelle. Sa petite-fille Félicie a été nommée DG adjointe.
Le patrimoine de cette fratrie de commerçants qui possèdent 40% de l’enseigne Grand Frais (rayon épicerie) a fondu de 100 millions d’euros avec le dépôt de bilan de Toupargel.
Le patron des laboratoires Delpharm (1 milliard d’euros de CA) se maintient pour la seconde année consécutive dans le club des milliardaires lyonnais.
Le fondateur d’April a vendu son groupe d’assurance en 2019. Bruno Rousset a disparu de la scène lyonnaise mais pas sa fortune qui est stable à 1 milliard d’euros.
La famille des cimentiers isérois, de plus en plus présente sur le sol lyonnais, intègre pour la première fois le club des milliardaires lyonnais (3,9 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023).
Le patron de Prosol Gestion a vendu une partie de Grand Frais et s’est diversifié, depuis la Suisse, dans l’hôtellerie et la banque. Il était doté de 200 M€ en 2014.
200 189 David et Laurent Despinasse 650 700
217
et Maryline Merlin
C’est la troisième famille lyonnaise dont la fortune est liée à l’enseigne Grand Frais qui a fêté ses 30 ans en 2022. On la retrouve au rayon boucherie avec leur société Despi.
Frédéric Merlin et sa sœur Maryline doivent digérer l’achat du BHV après avoir acquis 7 Galeries Lafayette via la Société des Grands Magasins (700 millions d’euros de CA en 2023). 200
240
Le cofondateur d’Apax Partners est le patron d’Altamir, une société de private equity qui gère près de 70 participations (1 milliard d’euros d’encours).
Le fondateur de LVL Médical poursuit le développement de son groupe hôtelier (Chabichou, Château de Bagnols, Palace de Menthon) avec l’inauguration du Kopster Paris.
289 310 Jean-Michel Aulas
Après avoir vendu l’OL, s’être fâché puis réconcilié avec l’Américain John Textor, Jean-Michel a réussi à lui racheter l’Arena LDLC dont il a confié les rennes à son fils Alexandre.
286 318 Christian Boiron
352
360
352
EN 2024 :
La fortune de de la famille Boiron a fondu de moitié depuis 2016 après le choc du déremboursement de l’homéopathie. Thierry Boiron a repris la direction générale des laboratoires.
La famille bressane du président du MEDEF contrôle 100% de Martin Belaysoud Expansion dont le CA a grimpé de 600 M€ (2016) à 1,2 milliard d’euros (2023).
Bonus de 50 millions d’euros pour les patrons de Serfim (CA 520 M€) qui n’étaient pas présent dans notre classement en 2016. Le groupe de TP se développe sous la houlette d’Alexandra.
La bonne santé du groupe de BTP Maia Sonnier permet à Christophe Gruy de se consacrer à ses 400 hectares de vignobles et aux dîners du château de La Chaize.
Forts de 150 hectares de vignobles, la famille Guigal poursuit la rénovation du château Nalys (Châteauneuf du Pape) et réveille le château d’Aqueria à Tavel.
Firalp, basée à Lachassagne (69), est une entreprise aux multiples ramifications (électricité, réseaux) contrôlée à 80% par Pierre Alloin et sa famille.
- Sophie Defforey : créditée de 250 millions d’euros en 2023, la fille du fondateur des hypermarchés Carrefour gère, via Aquasourça, une vingtaine de participations dans des entreprises (GL events, Chapoutier...)
- Famille Aguettant : les patrons du laboratoire centenaire étaient classés 389ème l’an dernier. La fin de la crise du Covid explique cela.
EN 2023 :
- Jean-Claude Condamin, crédité d’une fortune de 220 millions d’euros en 2022 (il était classé 484ème).
EN 2022 :
- Maurice Ricci, classé 327ème en 2021
- Eric Jacquet, patron de l’entreprise Jacquet Metals, classé 464ème en 2021
- Le vigneron Michel Chapoutier, classé 491ème en 2021 avec 190 millions €.
> Classement complet à retrouver dans l’édition du 17 juillet 2024 du magazine Challenges
Après Tassin, la rédaction de Lyon People a entrepris de dresser l’inventaire des belles villas et propriétés de Bron — toujours debout ou disparues — qui feront l’objet d’une présentation architecturale et historique dans notre magazine spécial de juin 2025, aux côtés des entreprises de Bron.
Marc de Jouvencel, directeur de la rédaction, pilote ce numéro exceptionnel réalisé en partenariat avec la Ville de Bron et l’étude notariale Bremens. Voici la première liste des maisons, entreprises et institutions sélectionnées.
CENTRE
AVENUE FRANKLIN ROOSEVELT
> n° 214 - Cinéma Les Alizés
RUE DE VERDUN
> 19 – 31 – 38
RUE PIERRE CURIE
> n° 25
RUE MARECHAL LECLERC
> n° 11
AVENUE CAMILLE ROUSSET
> n° 69 Bar Les Platanes - 79 - 94
AVENUE DE LATTRE DE TASSIGNY
> n° 11 : Mas Pré-Vieux
AVENUE DU BOIS
> n° 3 - 9 - 15 - 19
RUE CLAUDE BADOR
> n° 16 - 18 - 20 + Voie privée
EGLISE
PLACE BAPTISTE CURIAL
> n° 11 : Eglise Saint-Denis
RUE FERNAND BUISSON
> n° 87 : Cimetière communal
RUE DE MONTFERRAT
> n° 6 - 9 - 10
RUE FRANCOIS MERLIN
> n° 1 La Rose des Vents
Photo © Saby Maviel
RUE DE LA PAGERE
> n° 80 – 97 – 99
RUE DE REIMS
> n° 26 - Garage Math
RUE DU CHÂTEAU
> n° 2 - Villa Gabrielle Paul
RUE JULES VERNE
> n° 3
RUE MAISON FORTE
> n° 6
AVENUE D’ANNONAY
> n° 7
RUE DES AUBEPINS
> n° 7
LES ESSARTS
RUE DES ESSARTS
> n° 5 - 7 - 9 - 13
> n° 63 - Eglise Notre Dame de Lourdes
RUE DE LA PAIX
> n° 4
RUE LABORDE
> n° 2 – 4 – 8 – 9 - 17
BOULEVARD PINEL
> n° 173 - 175 - 177
> n° 209 - Galeries Lafayette
RUE DE L’HUMANITE
> n° 25 - Maison des Arts
RUE SIGISMOND BRISSY
> n° 13 - 17
VINATIER
Hôpital du Vinatier
Les Joints Lyonnais
LES GENETS
RUE GEORGES CLEMENCEAU
> n° 17 - Villa Bel Accueil
RUE DES PAQUERETTES
> n° 18 - Immeuble ancien
ROUTE DE GENAS
> n° 282 : Lycée automobiles Emile Bejuit
PARILLY
Hippodrome de Parilly
Batterie de Parilly
Fortin enterré dans le parc de Parilly
Ligue de Tennis AURA
Parc de Parilly
Maison du Préfet
AVIATION
Fort de Bron
Aéroport de Lyon Bron
Ecole de Santé des Armées
PARCS D’ACTIVITES
Entreprises du parc tertiaire du Chêne et du parc Saint-Exupéry ainsi que les hôtels mitoyens.
INFOS PRATIQUES
Si votre maison est présente dans cette liste, ou si nous l’avons oubliée, merci de contacter la rédaction de Lyon People
Par mail : contact@lyonpeople.com
Par téléphone : 04 72 82 97 78 (Marie)
Vous avez été nombreux à nous envoyer des courriers et des messages de félicitations suite à la parution, début juin 2024, de notre magazine consacré aux richesses architecturales de Tassin. Nous vous en remercions et les partageons avec l’ensemble de nos contributeurs ainsi qu’avec nos partenaires, la Mairie de Tassin la Demi-Lune, le Groupe de Recherches Historiques et le Domaine de Montcelard, où s’est déroulée la soirée de lancement. En voici un petit florilège.
Je suis la sœur ainée de Jean-Pierre Gagneux. Je voulais vous remercier et vous féliciter pour le travail énorme que vous avez réalisé sur le recensement des maisons de Tassin. Enfants, nous n'avions jamais pensé que ces maisons de 1900 pouvaient avoir une histoire et ce n'est que maintenant grâce à vous que nous prenons conscience qu'elles avaient un vécu avant que nous nous les fussions appropriées. J'imagine le travail de recherche qu'il a fallu pour explorer et coucher ce patrimoine sur ce superbe catalogue. Il me reste beaucoup de découvertes à faire, le document étant si riche. Encore merci pour cet ouvrage remarquable.
Véronique Gagneux Dunoyer
Chère équipe,
Nous souhaitons vous féliciter pour la qualité de votre travail. La magnifique édition de Tassin la Demi-lune est le produit de vos implications, personnelles et de groupe, de votre bienveillance, votre engagement, et bien sûr votre professionnalisme en faveur de notre ville. Nous vous souhaitons beaucoup de réussites pour vos prochains numéros. Lyon et sa région ont énormément de chance de vous avoir afin de promouvoir le patrimoine, l’histoire, les personnes et les savoir-faire qui ont bâti la région. Nous avons été heureux de vous rencontrer, ainsi que Monsieur Jourdan et Monsieur Maviel.
Nathalie et Pascal Rousselin
Chers Marco et Nicolas, Je vous félicite tous les deux pour ce numéro extraordinaire et magnifiquement réalisé... Un ouvrage que je vais garder en tant que Tassilunois... !
Ali Afshar
Grand Merci pour la bien sympathique et réussie soirée de lancement. Avec brio, elle a couronné une année d'efforts, d'espoirs, de découvertes, pour une superbe somme inédite, heureusement, luxueusement concrétisée. Depuis plus de trente ans, je ne me lasse pas de constater les moindres retours d'une publication : tout paraît toujours "normal", "évident"..., dans le parfait déni des efforts à tous points de vue, consentis. Donc, félicitations à vous, à celles et à ceux qui dans cette joyeuse aventure, ont porté ou supporté l'accouchement de cette "terra incognita". Apporter, non pas reporter ce qui a déjà été écrit, telle doit être la noble mission de l'éditeur ! Vous l'illustrez parfaitement.
Bruno Permezel
Quelle chance avons-nous eue de fêter dans un lieu magique la sortie de votre Hors-série sur Tassin ! Une bien belle rencontre, un peu émouvante pour moi dans votre discours et celui du Maire. Mais j'essaie de ne pas trop penser à cette fâcheuse échéance concernant ma maison, avec un espoir ténu que le projet TEOL sera abandonné... Merci encore pour ce recueil minutieusement préparé et pour la belle réception ! Amicalement.
Chantal Schoepen
Un petit mot pour un grand M E R C I : Merci de m’avoir permis de découvrir ce magnifique Domaine de Montcelard, Merci à vous et à votre équipe pour ce numéro « hors normes », il est le reflet d'une équipe dont le cœur bat à l’unisson. Merci pour les pages consacrées à ma maison qui avec délicatesse la positionne sur le marché (cela m’a touchée).
Christine d’Arthuys de Charnisay
Tout d'abord merci pour cette belle et bonne soirée, bien à l'image de nos rencontres durant ces 12 derniers mois. Un bel ensemble de personnages éclectiques, de tous genres et bien en relations avec leur maison et cet amour commun de leur commune Tassin la Demi-Lune. Comme vous, j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver quelques-uns de ces propriétaires, quelques amis perdus de vue, et il m'aurait fallu une soirée bien plus longue pour tous les voir, tant notre quête et notre tâche pour ces 90 maisons fût ambitieuse, ardue mais représente aussi, une réelle et belle réussite collective, pour la presse et le Patrimoine.
Pierre Jourdan, architecte DPLG, historien
Merci pour l’invitation pour le lancement du magazine. Très belle soirée et bravo à l’équipe pour le travail rédactionnel réalisé. C’est juste incroyable.
Philippe Venditelli – Golf de Tassin
Cher Marco, Cette étude sur les demeures de Tassin la Demi-Lune est absolument phénoménale... Que de travail pour obtenir toutes ces informations...
Que de patience...
Un document unique !!!
Incroyable ! Magnifique ! Bravo, bravo, bravo À vous tous !!!!
Amitiés !
Jean Pierre Gagneux
> Ce magazine de 300 pages est en vente au prix de 10 euros chez les 5 diffuseurs de presse et à la librairie de Tassin la Demi-Lune
C’est une pépite de l’histoire gastronomique de Lyon que Clément Schintgen s’apprête à soumettre aux feux... des enchères. Installé à son compte depuis un an et demi, après une carrière à l’hôtel des ventes Lyon Presqu’île puis d’Ainay, le commissaire-priseur développe son activité autour de l’or (une vacation mensuelle) et de la mode. Mais pas que. Dans son catalogue du 20 novembre, trônent en bonne place, plusieurs objets iconiques provenant du restaurant Vettard, phare gastronomique de la place Bellecour pendant 70 ans, avec à sa tête Marius puis Jean Vettard. Nous avons eu le plaisir de feuilleter ce « pavé » de 75 pages constellé de précieuses dédicaces. Parmi les plus prestigieuses : Sacha Guitry, Curnonsky, Alain Delon, le comte de Paris, et les dessins de Bernard Buffet et Jean Cocteau... s’étalant de 1937 à 1993. Estimation annoncée : 2500 / 5000 euros. L’ouvrage est consultable à l’étude, sur rendez-vous.
> Inventaire complet des signatures et dessins sur lyonpeople.com
Medicis Enchères
61, rue Pierre Corneille – Lyon 6 Tel 04 28 29 55 01
Deux ans après avoir inauguré un imposant espace consacré à la peinture lyonnaise, Jérôme Tomaselli peaufine une nouvelle exposition. Vous connaissez le premier slogan de M6 ? Transposezle à la collection Tomaselli, créée par le chef d’entreprise éponyme. A la vitesse de l’éclair, il est grimpé sur le podium des collectionneurs lyonnais aux côtés de Paul Dini et Michel BossePlatière. Fort d’un catalogue de 2500 œuvres (peintures et dessins), « acquises en toute discrétion ces 30 dernières années », selon nos confrères de Lyon Décideurs, il organise deux expositions par an pour faire découvrir les trésors méconnus de la peinture lyonnaise. Conçu avec l’aide de Julia Bihel et Ambre Bonnefoux, le prochain opus est intitulé « Masculin Féminin. La beauté du XVIIe siècle à nos jours ». Voici le pitch de l’expo qui rassemblera pas moins de 300 œuvres : « Les modifications du corps avec l’avancée de l’âge ont fasciné les artistes qui se sont attachés à représenter la marque du passage du temps sur le corps de leurs modèles. L’exposition permet aux visiteurs d’observer le corps nu dans ses proportions idéales héritées de l'Antiquité mais aussi le corps dans ses variations symbolistes, ses conceptions modernes et ses représentations contemporaines »
Les amateurs pourront s’immerger dans les œuvres de Louis Appian, Antoine Chartres, JeanBaptiste Chatigny, Emilie Charmy, Marie-France Chevalier, Jean Couty, Marcellin Desboutin, Fleury Épinat, Hippolyte Flandrin, Jean-Baptiste Frénet, Jean-Michel Grobon, Louis Janmot, Gérard Gasquet, Patrice Giorda, Patrick Marques, Madeleine Plantey, Jacqueline Marval, Jean Scohy, Jacques Stella, Maurice Tête…
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La beauté du XVIIe siècle à nos jours” Exposition du 17 septembre 2024 au 8 mars 2025
Ouvert du mardi au samedi de 10h30 à 17h30
22, rue Diebold – Lyon Vaise
ENTRETIEN INCLUS(a) LLD 37 mois - 1er loyer 4 000 €
A 99 gCO2 / km
Consommations mixtes gamme Suzuki Swift (WLTP) : 4,4 à 4,9 l/100 km.
Plus sophistiquée et intelligente que jamais, la nouvelle Suzuki Swift Hybrid bénéficie du savoir-faire technologique et de l’innovation historique de Suzuki en matière d’hybridation. Avec sa personnalité et son design iconique toujours aussi expressifs, son expérience de conduite exaltera votre quotidien. Réservez dès à présent votre essai sur suzuki.fr /MOIS(1)
Plus sophistiquée et intelligente que jamais, la nouvelle Suzuki Swift Hybrid bénéficie du savoir-faire technologique et de l’innovation historique de Suzuki en matière d’hybridation. Avec sa personnalité et son design iconique toujours aussi expressifs, son expérience de conduite exaltera votre quotidien. Réservez dès à présent votre essai sur suzuki.fr /MOIS(1) ENTRETIEN INCLUS(a) LLD 37 mois - 1er loyer 4 000 € 159€
Offre réservée aux particuliers, valable du 01/09/2024 au 31/10/2024 inclus, dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation de votre dossier par Suzuki Finance, département de Cofica Bail, S.A. au capital de 14 485 544 €, 399 181 924 RCS Paris, siège social : 1 boulevard Haussmann 75 009 Paris, ORIAS n° 07 023 197. Modèle présenté : Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Pack hors option peinture métallisée So’Color, aux mêmes conditions puis 36 loyers de 199 €/mois
Garantie constructeur 3 ans ou 100 000 km au 1er terme échu.
(1) Location Longue Durée pour 37 mois et 30 000 kilomètres pour une Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Avantage, 1er loyer de 4 000 €, puis 36 loyers de 159 €. Offre réservée aux particuliers, valable du 01/09/2024 au 31/10/2024 inclus, dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation de votre dossier par Suzuki Finance, département de Cofica Bail, S.A. au capital de 14 485 544 €, 399 181 924 RCS Paris, siège social : 1 boulevard Haussmann 75 009 Paris, ORIAS n° 07 023 197. Modèle présenté : Nouvelle Suzuki Swift 1.2 Hybrid Pack hors option peinture métallisée So’Color, aux mêmes conditions puis 36 loyers de 199 €/mois
(a) Les loyers comprennent les services associés suivants (en option et dans les limites et conditions prévues aux contrats de LLD et d’Assurance) : Entretien inclus • Assistance + : 24h/24 7j/7 au véhicule et aux passagers • Garantie Perte Financière, souscrite auprès de Cardif Assurances Risques Divers, S.A. au capital de 21 602 240 €, Siège social : 1, boulevard Haussmann, 75 009 Paris – 308 896 547 RCS Paris - Entreprise régie par le Code des assurances et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest – CS 92459 – 75 436 Paris Cedex 09, pour les garanties Valeur d’Achat, Assurance complémentaire et Evènements imprévus, et d’Icare Assurance, S.A. au capital de 2 358 816,00 euros - B 327 061 339 R.C.S Nanterre - Siège social : 93,rue nationale 92100 Boulogne-Billancourt ; Entreprise régie par le Code des assurances et et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest - CS 92459 - 75436 Paris Cedex 09, pour la garantie d’Assistance Véhicule de remplacement et est distribuée par Cofica Bail en qualité de courtier en assurance. Conditions et limites de garanties disponibles sur
(a) Les loyers comprennent les services associés suivants (en option et dans les limites et conditions prévues aux contrats de LLD et d’Assurance) : Entretien inclus • Assistance + : 24h/24 7j/7 au véhicule et aux passagers • Garantie Perte Financière, souscrite auprès de Cardif Assurances Risques Divers, S.A. au capital de 21 602 240 €, Siège social : 1, boulevard Haussmann, 75 009 Paris – 308 896 547 RCS Paris - Entreprise régie par le Code des assurances et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest – CS 92459 – 75 436 Paris Cedex 09, pour les garanties Valeur d’Achat, Assurance complémentaire et Evènements imprévus, et d’Icare Assurance, S.A. au capital de 2 358 816,00 euros - B 327 061 339 R.C.S Nanterre - Siège social : 93,rue nationale 92100 Boulogne-Billancourt ; Entreprise régie par le Code des assurances et et soumise à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 Place de Budapest - CS 92459 - 75436 Paris Cedex 09, pour la garantie d’Assistance Véhicule de remplacement et est distribuée par Cofica Bail en qualité de courtier en assurance. Conditions et limites de garanties disponibles sur simple demande. Selon tarif en vigueur au 01/07/2024. Garantie constructeur 3 ans ou 100 000 km au 1er terme échu.
Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo. #SeDéplacerMoinsPolluer
Présente au sein du cabinet depuis sa création en 2019, Aurélie Carrara a vu son profil valorisé. Depuis le 1er juillet dernier, l’avocate a ainsi rejoint l’équipe des associés. Elle était des débuts, de cette aventure initiée il y a 5 ans, au travers de laquelle Akylis, présentait sa volonté de « faire du droit, un atout stratégique pour l’entreprise et ses dirigeants ». Alors dans ce collectif, Aurélie Carrara sut se démarquer, sa maîtrise de de la fiscalité, participant largement, au développement du cabinet. Dès lors, 2024 sonna comme l’heure de la récompense. De la promotion aussi, alors que le 1er juillet officialisa sa cooptation en tant qu’associée. « Cette nomination s’inscrit dans la volonté du
cabinet de valoriser ses talents en interne et de récompenser la contribution d’Aurélie Carrara dans le développement d’Akilys », écrit la société, dans un communiqué vantant les mérites de cette ancienne collaboratrice de CMS Francis Lefebvre Lyon Avocats. « La reconnaissance d’Aurélie en tant qu’associée est non seulement le reflet de notre engagement d’accompagner nos collaborateurs tout au long de leur parcours jusqu’à l’association, mais aussi d’assurer un relai générationnel et de mettre en responsabilité de jeunes associés », ajoute Valéry Brisson, associé d’Akylis Avocats. De quoi renforcer l’expertise du cabinet, désormais connu pour ses connaissances en matière de droit des affaires, droit des sociétés ou encore droit social.
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se renforce avec l’arrivée de Charles Neuvy
Depuis le mois de mai 2024, le cabinet Jakubowicz & Associés jouit du recrutement de Charles Neuvy, expert en droit des entreprises en difficulté. Pour l’un, l’investiture n’est qu’une progression logique, dans un riche parcours vieux de quinze années. Pour l’autre, le recrutement vient renforcer une escouade déjà riche de « 14 avocats, dont 7 associés ». Mais avec une telle nomination, c’est surtout une union prospère, qui attend Charles Neuvy et cabinet Jakubowicz & Associés. « Je suis très honoré de rejoindre cette belle maison et de reprendre le flambeau d'une activité historique du cabinet », se réjouit l’intéressé, passé par Fiducial puis son propre cabinet, Neuvy Avocat. Propulsé rue Tronchet, dans le 6e arrondissement, cet expert en droit des entreprises en difficulté permet désormais au cabinet « d’élargir ses domaines d’expertise et d’intervention au service des entreprises » « Ce dernier intervient auprès d’entreprises, d’actionnaires, de créanciers, et de candidatsrepreneurs, dans le cadre de procédures amiables (Mandat ad hoc et conciliation, CIRI - Médiation Nationale du Crédit) ou collectives (Sauvegarde, Redressement judiciaire, Liquidation judiciaire) », écrit Jakubowicz & Associés, décidément sous le charme de sa dernière recrue !
Contact : Sophie Bardol T. 06 29 66 41 04 sophie.bardol@lyonpeople.com
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Au quotidien, prenez les transports en commun. #SeDéplacerMoinsPolluer
À l’abri des regards, dissimulée aux abords du Parc de la Tête d’Or, la conciergerie automobile Carsup, abrite, depuis le 20 décembre dernier, une centaine de sportives et autres voitures de collection. Un abri rassurant pour les propriétaires lyonnais, lesquels voient en ce lieu tenu discret, le parfait repaire pour tenir en forme leurs bolides.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Par de pareils objets, les âmes sont blessées et cela fait venir de coupables pensées » La formule est connue, soufflée à l’oreille d’innombrables étudiants. Là voilà pourtant remastérisée, chuchotée à de grands enfants, soucieux de trouver un bel écrin à leurs automobiles. Telle est la volonté première de Carsup, cette conciergerie automobile orléanaise, que Lyon apprend à découvrir depuis décembre 2023. Et même si les mois ont passé, le site n’est familier que d’une poignée de détenteurs de somptueux carrosses. Tant bien même serait-il révélé, le lieu se réfugie derrière des portes opaques, s’ouvrant au seul moyen d’un badge privatif. Et si ces dernières ont vocation à s’effacer sur de véritables trésors à quatre roues, soigneusement habillés de couvertures, le site se met au diapason de ses occupants. Les caméras de sécurité se chargent de fait, de rassurer les heureux propriétaires de ces bijoux. Une question de confiance. De légitimité aussi, alors que Carsup embarque dans son coffre, le titre honorifique de référence européenne en la matière. « C’est très important cette discrétion. On veut le maximum de sécurité », confirme Anthony Chervin-Bouillet, manager de l’antenne lyonnaise et genevoise. Dans une illustration moderne et physique du sempiternel « vivons heureux, vivons caché », Carsup se garde ainsi près de 120 places de stationnement pour ses clients, avec pour seule volonté d’épargner
ces derniers, de tout problème. « Notre objectif, c’est que nos membres n’aient aucune contrainte avec leurs autos. On propose une expérience complète », valide son collaborateur Charles Martial.
> Plus d’informations sur www.carsup.io «
“VOITURES D’EXCEPTION NE DIT PAS FORCÉMENT VOITURES CHÈRES. ON A DES MODÈLES À 20 000€”
Avec un prix d’entrée fixé à 280€ par mois, les abonnés du « club » ont ainsi une place de stationnement sécurisée, un accès autonome 24h/24 avec leur badge et un contrôle complet de leur véhicule, ainsi « qu’un check visuel à chaque sortie ». Une expérience premium que les membres ont vocation à enrichir, les packs les plus complets se confondant avec une garderie, où les voitures sont régulièrement lavées, entretenues et démarrées. Le tout, quémandé à distance depuis une application personnalisée. « On entretient une vraie relation avec nos membres », relate Anthony Chervin-Bouillet, figure lyonnaise de cette enseigne créée en 2019, par Samuel Lelarge. Dès lors, si des sorties entre membres viendront embellir petit à petit, le quotidien de ses abonnés, Carsup entend surfer sur cette intimité pour séduire de nouveaux adeptes. Des passionnés, dont l’idéologie
lyonnaise, plutôt discrète, vient épouser idéalement la philosophie de la maison. « Ici, c’est vrai, certains clients ne veulent pas montrer qu’ils ont une belle voiture. Ils apprécient le fait de la savoir en sécurité ou d’avoir une grande place pour la stationner », poursuit le manager, passionné de ces modèles, dont les couvertures ouvrent la voie à un véritable jeu de devinette sur leur identité. Ferrari, Porsche, Maserati, Aston Martin, McLaren et autres belles marques du marché, soigneusement bichonnées. Tel est le but de la maison, proposant en parallèle, quelques beaux modèles à la vente. « Nos membres ont la primeur de l’information », glissent les deux hommes. Une manière d’agrandir le parc autos de ces passionnés lyonnais, pour qui Carsup pourrait retoucher la morale de Tartuffe. Sur place : « rien ne reprend mieux les hommes que la peinture de leurs voitures » !
Après un premier opus en 2021, associant spectacle vivant et arts visuels, Lyon Sacré propose cette année un deuxième épisode, avec un tout nouveau scénario, intitulé « Le médaillon de Saint-Jean » L’association a pour objectif de promouvoir les créations culturelles et artistiques. C’est donc tout naturellement qu’elle a fait appel à Damien Fontaine pour la mise en scène et à Juliane Stern pour l’écriture, afin de créer
ce nouveau spectacle. « Grâce au jeu des comédiens, des artistes et des images projetées, la cathédrale saura révéler au public ses trésors architecturaux et spirituels, en mettant en lumière des figures de l’histoire lyonnaise », souligne le président de l’association, Etienne Piquet-Gauthier. L’immersion visuelle se fera grâce à 24 vidéo-projeteurs laser, couvrant l’ensemble de la nef, du chœur et des voûtes. Les nefs latérales seront mises en lumière par
400 projecteurs. Une vingtaine de faisceaux formeront même un plafond virtuel au-dessus des spectateurs. 300 bénévoles venant de toute l’agglomération ont travaillé sur ce nouveau spectacle, dont 200 acteurs et figurants, mais aussi une équipe de 50 professionnels. « C’est un rendez-vous à ne pas manquer », conclut le président de l’association Lyon Sacré.
Lyon née de la Lumière
Du 18 octobre au 17 novembre 2024 à 18h30 et à 21h
Cathédrale Saint-Jean
Place Saint-Jean – Lyon 5
Durée : 1h20
61 représentations
Tarifs :
- Adulte plein tarif 35€/tarif réduit (étudiant, chômeur, Lyon City Card) 20€
- Junior (- de 18 ans) 12€
- Pack famille (5 pers. dont 1 ou 2 adultes) 90€
- Groupe (au-delà de 10 pers.) 20€
Spectacle conseillé à partir de 7 ans
> Informations et réservations sur www.lyonneedelalumiere.com
Tél. 04 28 29 22 31
de Marc Lemonier
Découvrir la France sous un nouvel angle en explorant les lieux de tournage emblématiques des films et séries culte. Ce guide de 80 promenades vous emmène à la rencontre des décors qui ont marqué l'histoire du cinéma et de la télévision, offrant une expérience immersive pour les mordus de l'audiovisuel. En associant le plaisir de la découverte touristique à la passion pour le septième art, ce guide propose une aventure enrichissante pour les cinéphiles de tous âges. Les points forts :
De Paris à la Côte d'Azur, en passant par les régions rurales pittoresques, chaque promenade est conçue pour offrir une immersion totale dans l'univers des films et des séries qui ont marqué les esprits. Un point faible... la sous-représentation de Lyon, capitale mondiale du cinéma et décor naturel indéniable. Éditions Christine Bonneton / 18,90 €
“LA FRACTURE et autres textes” de Charles Juliet
Voici cinq textes magnifiques de Charles Juliet, certains épuisés, et rassemblés pour la première fois dans ce petit volume, qui tous évoquent la lente maturation qui a conduit à un choix d’existence. Avec Le Déclic, Charles Juliet propose une nouvelle sur « l’enrichissement de la vie » ; dans La Fracture et Souvenirs d’une lointaine enfance, il reprend l’exercice intime de relecture de son passé, et approfondit ainsi depuis les déchirures de son enfance le cheminement qui lui fut nécessaire pour maîtriser un destin difficile et trouver sa vocation d’écrivain qui aboutira à la réussite de Lambeaux, en 1995 : « Avec mes mots, tirer ma morte de sa tombe. La faire vivre à nouveau. Lui murmurer qu’elle m’habite encore », écrit Juliet dans La Fracture à propos de sa mère. Textes suivis de deux hommages à deux livres qui ont marqué et influencé sa vie : L’Étranger d’Albert Camus et Le Dieu nu de Robert Margerit. Éditions POL / 144 pages / 15 €
“L'
Texte : Fanny Suteau – Photos © DR
Textes : Jacques Bruyas
de Christian Bouchardy Un livre qui parait juste en septembre pour vous, pour nous, touristes en Auvergne ou habitants de la région, qui visitons tous les grands sites emblématiques sans même soupçonner que, non loin, tout un éventail de merveilles cachées nous attend ! Grand connaisseur du patrimoine auvergnat qu'il a photographié et décrit, Christian Bouchardy a réalisé un magnifique travail de collecte pour nous présenter ici plus de 300 sites. Des sites rarement (ou jamais !) décrits, des pépites cachées, merveilles d'art ou modestes témoins de la vie quotidienne. Cadrans solaires, ponts, sources et fontaines, moulins, églises romanes, vierges médiévales, croix, pierres sacrées, arbres remarquables, sentinelles d'artisanat ou d'industrie... Parce que ce riche patrimoine avait besoin de l'œil d'un passionné pour se dévoiler, parce que ces sites méconnus seront vos prochaines destinations de promenade, parce que l'émotion de la découverte est à notre portée... Éditions de Borée / 92 pages / 32 €
“L'
ISAAC” de Diane Leclecrq
En janvier 2020, Isaac Carlier, 16 ans, un ado sans histoire disparaît soudainement laissant sa famille dans un deuil impossible. Sa mère Ingrid est inquiète car les recherches n’ont rien donné. Malgré les efforts des gendarmes, l’enquête stagne. Les chances de retrouver l’adolescent sont quasi nulles. En 2022, Ingrid fait appel à un cabinet de détectives privé pour poursuivre les recherches. Sarah et Daniel les deux enquêteurs privés, vont mener une ultime enquête dans l’Oise pour comprendre ce qu’il s’est passé et tenter de retrouver Isaac. Une recherche complexe et difficile qui mène chacun des investigateurs vers une route tourmentée. Les deux détectives vont devoir affronter leurs propres peurs et démons pour élucider l’affaire Isaac. Éditions Vérone / 220 pages / 18 €
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En février 1990, j'ai loué un gite rural, huit jours, à Azolette (69), du côté du col des Echarmeaux. Il avait neigé en abondance. Si bien que je tournais en rond, dans ce décor blanc à mourir. Heureusement, j'avais toujours un carnet de croquis avec moi. Je me plantais devant l'église que je maîtrisais en un deux coups de crayon. Le gris coloré était tendance. C'est à ce moment que j'ai eu l'idée, (la vision), d'une église décorée par Jean Fusaro, dans le département du Rhône. C'était l'évidence. Cela ne pouvait être que lui et qu'ici.
Texte et photo : Bernard Gouttenoire
En août 1990, le président Jean Palluy m'a nommé Chargé de mission Culture au Département du Rhône. Le conseiller général de Monsols, Joseph Ducarre m'a posé une question qui a tout déclenché : « Que fautil inventer pour faire venir du monde dans notre secteur du Haut-Beaujolais, qui se désertifie ? » La question était claire, la réponse fut nette : « N'y a-t-il pas une église disponible, que l'on puisse décorer et confier au talent de Fusaro ? » et pour étayer l'idée, l'élu et moi avons rencontré le peintre Arcabas (Jean-Marie Pirot), à St-Hugues-enChartreuse. L'église est devenue un monument phare -tout comme la chapelle du plateau d'Assyamenant en Isère, un grand nombre de visiteurs depuis 30 ans. Contacté, le peintre Jean Fusaro a tout de suite émis un avis favorable à ce chantier, persuadé que pour lui, c'était la façon d'installer définitivement son Œuvre, au-delà de sa propre notoriété. Il rajoutait : « il vaut mieux avoir un monument à soi, que d'avoir trois toiles que l'on ne verra jamais, d'un Musée ». Il a fallu choisir l'endroit, qui puisse accueillir un tel projet. Le canton de Monsols, comprenait 13 clochers. Un comité artistique conduit par Yves Bruyas, vice-président délégué à la culture, sous le regard de l'artiste. La délégation scientifique était accompagnée par l'architecte MH Jean-Gabriel
Mortamet. L'église -celle pressentie à Azolettefut un échec retentissant. On ne voulait pas de « ça » ici, dixit Pierre Delagarde, habitant le village, et qui faisait l'émission « Chef-d’œuvre en péril » (au temps de l'ORTF). Nous n'insistions pas.
Lorsque Fusaro est entré dans l'église de Saint-Jacques, il a avoué « l'endroit m'a de suite plu, surtout pour sa dimension humaine ».
Jean Fusaro ne voulait pas une Chapelle Sixtine. Né en 1925, à l'âge de 65 ans, il ne se voyait pas peindre le mural du fond de huit mètres de haut, comme Michel-Ange debout et pinceaux en mains. La municipalité, menée par Claude Roche, ne fut, au départ, pas trop intéressée par le projet, mais le conseil municipal vota « oui » à l'unanimité. « Si on n'accepte pas cette décoration, de toute façon « ils » vont le faire ailleurs. SaintJacques aura raté la marche »... L'argument était suffisant pour que le conseil municipal accepte, tout comme les élus du Département. La question du prix fut résolue, quand Michel Mercier, grand argentier, demandait à Fusaro : « Combien vous allez nous prendre ? » La réponse
fut intelligente, montrant la pleine détermination du peintre « Président, c'est vous qui faites le prix ». Dès lors au Conseil Général du Rhône, on votait à l'unanimité, « pour la décoration murale de l'église de St Jacques-des-Arrêts, par le peintre Fusaro, afin d'irriguer patrimonialement, culturellement et touristiquement, le hautBeaujolais, qui se désertifie ».
En 1995, le chantier était sur les rails et pouvait commencer. Fusaro avait, alors, 70 ans. Tout serait peint de façon classique, à l'huile, sur châssis entoilés qui ensuite, seront marouflés sur des boiseries conçues, à la forme, tel un mobilier sur mesure, épousant les murs. À St-Jacques, il ne s'agit donc pas de fresques murales, dont la conception serait sans doute plus noble, mais bien de peintures murales monumentales qui - isolées du mur, sur le support de bois - ne craindraient plus jamais, ni les affres du temps, ni les différentes attaques dues aux perturbations climatiques rudes en cette terre du HautBeaujolais, non loin du col de la Sibérie. Il aura fallu cinq années pour mettre en route, le chantier. Les quatre peintures du Choeur seront peintes ensemble à l'atelier, conférant à l'écriture sa teneur colorée dans un geste unifié aux tons pastels, gris colorés de l'école Lyonnaise, qui font toute la splendeur du geste Fusarien.
MD Lease Limonest SHOWROOM
350, chemin de Paisy - 69760 Limonest
Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h
Samedi : 9h - 12h / 14h - 17h
MD Lease Lyon 6e
120, rue Duguesclin - 69006 Lyon
Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h 6
Après les convertibles, l’élégante enseigne met à l’honneur une collection exclusive de canapés fixes. Des modèles au design soigné, fabriqués en Europe avec des matériaux et des matières de haute qualité, que le public peut découvrir en magasin, au cœur d’une nouvelle boutique installée dans le 2e arrondissement.
Il n’y a désormais qu’une rue à traverser pour passer des gammes convertibles aux modèles fixes. En installant ses deux boutiques dans le même quartier, Lauren Cot réaffirme de facto, sa passion pour le canapé. En effet, en ouvrant un second showroom, à quelques mètres seulement du premier, créé en 2021, les deux magasins en synergie profitent dorénavant, l’un comme l’autre, du décor élégant du 2e arrondissement, symbole par excellence, de l’art de vivre à la lyonnaise.
Bien que remarquée depuis son ouverture, cette deuxième boutique s’illustre par ses modèles honorant tous les goûts et toutes les attentes en termes d’esthétisme et de confort : petits ou grands modèles, canapés droits ou en L, assises profondes, dossiers hauts, avec ou sans pieds, avec ou sans accoudoir ou encore lignes droites et courbes. « La personnalisation est maximale », soutient la marque. Au 62 rue Auguste Comte, les clients bénéficient ainsi d’une pluralité de choix parmi une grande variété de tissus, de textures ou de couleurs, passant du velours rose au bouclette ivoire ou au daim bleu...
« Matières lisses ou à relief, teintes naturelles ou coloris affirmés, le choix est dense. La modularité offre une grande liberté. Composez, décomposez, recomposez, jouez avec les modules pour adapter les modèles à vos contraintes pratiques et à votre mode de vie. Toutes les configurations sont possibles ! », soutient la Maison Cot, réputée pour l’ergonomie, la qualité de ses produits et « ses matériaux de classe supérieure ».
Pour Lauren Cot, le choix du canapé est d’ailleurs loin d’être un détail. « Le canapé est l’élément le plus important d’un salon. Il donne le ton pour décorer sa pièce de vie. J’aime voir nos modèles embellir les espaces de nos clients, leur apporter de l’inspiration pour créer leur séjour idéal, leur être utiles et confortables durablement », dixit la fondatrice.
Dès lors, si les visiteurs bénéficient déjà de conseils avisés pour intégrer le canapé à leur décor et à leur configuration d’espace, ces derniers ont dorénavant tout le loisir de tirer parti du décor raffiné de ce nouveau showroom pour être « au contact de la matière et du design de ces canapés aussi jolis que fonctionnels ». En prime, la possibilité de bénéficier des conseils avisés des professionnels de la maison, pour
personnaliser en boutique, chaque modèle, selon ses besoins et son style de déco. C’est ça l’esprit Maison Cot !
Maison Cot
Du mardi au vendredi 10h30-13h / 14h-19h, samedi 10h30-19h
62, rue Auguste Comte - Lyon 2e Tél. 04 51 26 01 80 >Plus d’infos sur www.maisoncot.fr
La folie des food courts est-elle terminée ?
Après la fermeture de Food Society à la Part-Dieu, c'est au tour de Food Traboule de connaître de sérieuses difficultés.
Texte : Marco Polisson – Photos Lyon People
Par jugement du 6 aout 2024, le tribunal de commerce de Lyon a ouvert le redressement judiciaire de la société FFT (Food Food Traboule) gérée par Ludovic Mey et Tamas Polgar et immatriculée au RCS de Lyon. Le Comptoir des Apothicaires (CA 1 835 600 euros en 2022) et la société TLA sis à la même adresse ont également été placés en redressement judiciaire. Le food court comprend 12 corners, 2 bars, 1 coffee shop, 7 salles, 7 ambiances, 1 espace événementiel et 240 places assises réparties sur 660 m2. Au total, ce sont trois structures qui sont concernées. Les juges ont désigné comme administrateurs judiciaires Didier Lapierre et Ludivine Sapin (la compagne de Jean-Michel Aulas) et comme mandataires judiciaires Maîtres Bruno Walczak et Michael Elancry.
Ce food court a été installé en 2020 dans l'enceinte de La Tour Rose, l'hôtel restaurant iconique du chef Philippe Chavent (décédé en décembre 2022) repris en 2006 par l’iconoclaste Jacques Champion (son interview délirante, sur notre site web) puis par le festif Alain Dinc qui y a donné de folles soirées. Malgré leur passion et leur investissement, tous deux n’ont jamais réussi à remettre à flot ce vaisseau hanté. On s’achemine donc vers un 3ème dépôt de bilan... Le business plan du food court actuel reposait sur la location d’une douzaine de corners par des chefs qui vendaient leurs spécialités gastronomiques. Après les années COVID, le départ de tous les restaurateurs
participant au GIE a fragilisé l'édifice imaginé par Tabata Mey et son époux Ludovic. « Certains ont laissé des ardoises, n’ont pas respecté leurs préavis et le manque de chiffre d’affaires fût considérable. » déplore le duo dans un communiqué.
Mise en vente du concept pour échapper au dépôt de bilan. « C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons dû solliciter l’ouverture de redressements judiciaires pour Food Traboule. Un appel d’offre va être lancé pour continuer à faire vivre le lieu. Nous avons mis 3 ans à imaginer ce concept novateur et engagé. Tout était calibré. La viabilité de Food Traboule tenait sur le fait que nous étions 12 à le porter en complément de nos restaurants principaux. » Le couple à l'origine du projet se concentre désormais sur la reprise du Théodore racheté à prix d'or au Bocuse boy Marco Chopin le 5 avril 2024 (info détaillée à lire sur lyonpeople.com). Après les travaux de démolition qui ont rayé de la carte l'une des plus belles brasseries lyonnaises (photos en ligne), place aux aménagements intérieurs pour une ouverture prévue cet automne. Mais là encore, vu le montant de l’investissement (4 millions d’euros), il faudra que les finances suivent...
Le chef lyonnais règne sur Manhattan ! Dans le très chic quartier de l'Upper East Side, Daniel Boulud a ouvert « Café Boulud », l’automne dernier, et c’est un véritable carton, comme a pu le constater notre directeur Nicolas Winckler. Tout en élégance, ce restaurant chic est dirigé par une belle équipe de Lyonnais dont le chef exécutif Romain Paumier, originaire de Saint Bernard (01) et Laura Farissier, fille de Damien Farissier et nièce de notre Trompette internationale. Une très belle escale si vous êtes de passage à New York où vous serez reçu comme à la maison.
Café Boulud, 100 East 63rd St NYC – USA
Comment s’aventurer dans l’histoire et les coulisses du Bistrot de Lyon alors que les meilleures plumes de la ville l’ont déjà si bien raconté, si bien appréhendé ? Jusqu’à ce livre signé Jean-Paul Lacombe paru chez Glénat et toujours en vente, sobrement intitulé « Le Bistrot de Lyon, 40 ans rue Mercière ». François Mailhes, Camille Moirenc, Alain et Dominique Vavro, à l’œuvre sur toutes ces pages.
Un bonheur pour les yeux et pour l’esprit.
Texte : Philippe Lecoq – Photos © Jean-Luc Mège Camille Moirenc et archives famille Lacombe
Par bonheur il y a cette photo de 1974, en page 14 du livre — reproduite ici — qui sera sans doute le meilleur passeport pour nous aider à pénétrer au cœur de cette maison qui fête ses cinquante ans et en fait cent de plus.
Au centre du cliché noir et blanc, une femme, Gisèle, Gigi pour les intimes, si belle, si touchante avec ce sourire éperdu, en cet instant de bonheur profond qui se lit jusque dans ses yeux. Gisèle Lacombe, jeune veuve à l’époque de Paul Lacombe, chef emblématique et étoilé du célèbre Léon de Lyon, est entourée, pressée, presque bousculée par deux jeunes fougueux lascars qui lui déposent un baiser délicat sur les joues. A gauche, en habit immaculé de chef, son fils Jean-Paul lui étreint la main, attendri, les yeux fermés comme un enfant hume le parfum de sa maman, une signature, des souvenirs, une
vie... Sur la droite, plus amusé, une main dans la poche, mais pas moins consentant, JeanClaude Caro, ami de Jean-Paul adoubé par maman. Derrière le trio, dans la pénombre de ces photos d’époque, on devine un mur de carreaux de céramiques peints, nous savons déjà où nous sommes.
Pourquoi cette photo ? Parce qu’elle dit tout. Elle dit que ce Bistrot de Lyon est d’abord et avant tout une histoire de cœur, une histoire de famille submergée par un décès prématuré qui se réinvente malgré l’absence. Elle dit que si le jeune Jean-Paul est aussitôt venu rejoindre sa sœur Michèle au secours de Gisèle et de Léon de Lyon alors qu’il faisait ses gammes chez Lasserre, s’il a endossé en une journée, sans faillir, les habits de la rigueur, de la constance, du don de soi quotidien à sa clientèle, et su conserver l’étoile Michelin de son papa, elle dit qu’il avait aussi besoin de ne pas priver sa jeunesse de sorties, de fêtes, et
de tablées joyeuses. Elle dit que cette famille a ouvert sa porte, et donc ses bras, à JeanClaude Caro, Lyonnais d’adoption et bientôt plus Lyonnais que les Lyonnais comme s’il avait suivi ses humanités dans les collèges de la ville et connu chacun de ses clients en culotte courte.
LE PREMIER BISTROT DE LA RUE, MAIS AUSSI
LE PREMIER BISTROT D’UN CHEF ÉTOILÉ
Elle dit que Jean-Paul et Jean-Claude sont éternellement reconnaissants à Gisèle Lacombe de leur avoir confié un lingot d’or pour lancer leur projet et convaincre les banques de faire le reste. Elle dit que JeanPaul et Jean-Claude sont vraiment deux gamins lorsqu’ils investissent en 1974 les locaux poussiéreux — ou plutôt miteux — d’un hôtel borgne de la rue Mercière pour en faire le premier bistrot de la rue, mais aussi le premier bistrot d’un chef étoilé, idée mille fois copiée depuis. Elle dit que Gisèle Lacombe — qui habitait la rue — adorait passer au Bistrot après son service au Léon, boire une coupe et papoter avec ses amies, dont Eugénie Nandron. Elle dit enfin que l’amour est le ciment des grandes histoires et que les séparations sont parfois des actes d’amour. Elle dit la force de l’amour maternel pour se sentir en confiance, être soi-même, pour oser, se réaliser, faire en un mot. Fin de l’anaphore et merci au photographe d’avoir été si prolixe, comme le peintre inspire le commentaire sans jamais l’avoir suscité. Ainsi, à vingt-quatre ans, Jean-Paul Lacombe qui souhaitait « un endroit pour recevoir ses copains, faire la fête autour d’une bonne table et taper le carton jusque tard dans la nuit » invente un concept et créée une légende. Le concept, un bistrot du soir tenu par de vrais professionnels, dans un décor savamment orchestré entre la chine, la brocante, avec par exemple ces magnifiques plafonds de boulangers, ses vieux meubles en bois patiné, ses tables en marbre et chaises bistrots dépareillées, les banquettes, les affiches, les cuivres, les opalines, on en passe... À ses débuts, le Bistrot n’est ouvert que le soir et ferme tard, la cuisine typiquement
lyonnaise simple et généreuse — ce qui n’est pas le plus facile disait Paul Bocuse — est confiée à Dominique Fessetaud un protégé de son papa au Léon, la salle, l’accueil et plus si affinités à Jean-Claude Caro. Et Lyon adore. Et les Parisiens de passage à Lyon, au théâtre ou en concert, adorent. Jean-Paul qui avait choisi cette adresse pour sa proximité à pied avec la rue Pléney, fait les allées et venues, retrouve souvent ses amis chefs qui passent après le service. Les noctambules défilent. La fête n’a plus de cesse. Et les livres d’Or dont la première page du premier a été signée par Paul Bocuse cité plus haut — dérobé depuis, avis au dérobeur : aucun mal ne vous sera fait si vous le renvoyez sous pli anonyme — se succèdent et deviennent les plus enviés de la ville. Depuis le Bistrot de Lyon s’est agrandi, il a fait des petits, beaucoup de petits, ouverts et parfois revendus aux équipes. La rue Mercière ne s’est pas agrandie mais transformée. Alors que la société immobilière Saint-Antoine avait promis à Jean-Paul Lacombe qu’il n’y aurait qu’un restaurant dans la rue en réhabilitation, il n’y a plus que cela aujourd’hui... Mais tout cela n’est plus de l’histoire...
Pour durer il ne faut jamais être à la mode, c’est la meilleure façon de ne pas se démoder ». En reprenant — à son compte et à sa sauce — cette belle maxime de Jean Dion pour évoquer son Bistrot de Lyon, Jean-Paul Lacombe plaisante, peut-être...
Car s’il y a bien une adresse, qui a été à la mode, dans les années 70, 80, 90, on en passe,
qui l’est encore aujourd’hui, et le sera demain, c’est bien le Bistrot de Lyon.
Une queue devant la porte le jour de l’ouverture, le 20 septembre 1974 ? Le Bistrot ! Les convives qui patientent au bar en attendant qu’une table se libère ? Le Bistrot ! Des noms - par centaines - de célébrités de la musique, du théâtre, du cinéma, de la politique...
Au Bistrot de Lyon, le
Intemporel dans son décor, le Bistrot ne fait pas son âge, juste cent ans de plus
et de la mode justement, sur les livres d’or ou gravées sur les plaques de laiton comme à la Georges ? Le Bistrot ! Et cette terrasse noire de monde un soir de juillet 2024 alors que l’entre-deux tours des Législatives faisait languir le peuple français ? Le Bistrot ! Mais en fait non, Jean-Paul ne plaisante pas. En pensant le Bistrot de Lyon avec son
compère Jean-Claude Caro, en imposant une cuisine de chef — produits frais du marché et « fait maison » — en le décorant façon 1900 avec au départ du bric et du broc issu de la chine à Saint-Ouen, en inventant un service détendu mais rigoureux, il n’a pas suivi une mode. Il l’a créée. Et ainsi il s’en est libéré. Et son « bistrot de copains » est devenu une
Un mystérieux labyrinthe de salles et d’arrière-salles
institution. Lyonnaise et pas seulement. Car copiée, imitée, « pompée » même si on osait.
QUI FÊTE SES 50 ANS CETTE ANNÉE !
Avec ce paradoxe incroyable pour une maison de restauration : À l’extérieur comme à l’intérieur, le Bistrot ne fait pas son âge, juste cent ans de plus ; mais dans les assiettes si soignées, présentation et propositions proches de la bistronomie, dans l’ambiance du lieu, service et clientèle, cette fois, le Bistrot de Lyon en fait trente de moins.
On s’y perd ? Non non.
Des lettres d’or sur une livrée rouge, rouge vif pour les stores et rouge bordeaux pour les boiseries ; une enseigne à l’ancienne fer forgé et calligraphie d’antan ; de grandes portes vitrées qui dissimulent des arcades aux charmants rideaux blanc dentelle à mihauteur ; une entrée majuscule entre deux colonnes de pierre qui semblent avoir été conçues avec leur imposant bec de gaz... Nous y sommes. Ici, à l’angle des rues Mercière et de la Monnaie, se dresse LE Bistrot de Lyon, immuable, comme éternel. Précurseur et si contemporain.
On entre ? Les plafonds, aussitôt, attirent l’œil avec leur « ciel de boulangers », vieux de plus d’un siècle, introuvables aujourd’hui, en toiles peintes et recouvertes de carreaux de verre ; les boiseries, partout, qui apportent la chaleur, les miroirs, les encadrés de céramiques ou faïences peintes, des tableaux de maitres lyonnais ; les banquettes, rouges, bien sûr – est-ce du velours ? - et les chaises en bois dépareillées qui encadrent les tables aux plateaux de marbre... des bocaux, des fioles, des cuivres, des luminaires uniques.
Au Bistrot, l’œil se régale avant le palais. Une salle, deux salles, trois salles, un bar évidemment, ce n’est que découvertes, la visite s’impose. Les toilettes sont à l’étage, magnifiques, mais nous arrivons juste, ce sera pour plus tard.
Ce décor, cet écrin, patiné, vieilli, choyé par les équipes du Bistrot qui en ont reçu consigne, est une fierté pour Jean-Paul et son épouse Fabienne Lacombe qui l’a épaulé, suivi, encouragé dans sa quête du beau et son obsession à lui donner une âme. Fabienne, fille de Georges Duboeuf, sa complice depuis 35 ans qui préfère l’ombre à la lumière, maîtresse de la maison de la rue Pleney, hôtesse discrète à l’accueil et gestionnaire infatigable du Léon et des Bistrots de Cuisiniers. Fabienne et Jean-Paul, Jean-Paul et Fabienne. Pas besoin de long discours.
LYON
Vivant par ses équipes, en salle et en cuisine, souvent fidèles des années durant au chef mais aussi à l’adresse, sérieux dans leurs tenues « classieuses » comme aurait dit Serge Gainsbourg qui a ici sa plaque, sérieux mais souriants, disponibles sans être oppressants, à l’image de Kevin le Boulc’h, le directeur d’établissement. Vivants en cuisine aussi — ce serait un comble qu’ils ne le soient pas puisqu’ils sont formés et chaperonnés par le boss qui a su garder ses deux étoiles plus de trente ans au Léon de Lyon avant de les « rendre » — passionnés, comme le chef Éric Jouanin, toujours à la recherche de suggestions de saisons qui côtoient les plats signatures : le cake aux oreilles de cochon; le gâteau de foies de volaille à la crème d’ail doux; le pâté en croute maison au ris de veau et foie gras ; le saint-cochon du Bistrot : andouillette,
boudin noir, et travers; la quenelle de brochet « à la cuiller », sauce Nantua; la tête de veau roulée « tradition », sauce gribiche... Ah, il y a aussi la gigolette de volaille farcie sauce suprême liée au foie gras ! Et puis les desserts maison de Sébastien Bretignière, que l’on retrouve dans l’offre du Menu du Cinquantenaire en un trio magique : tarte à la praline rose, mousse au chocolat sans œuf, et Gnafron, génoise et fruits confis imbibés au rhum. Une tuerie.
toile peinte) ont été rassemblées dans le premier bistrot de Lyon. Un second ensemble est arrivé par la suite lors de l'agrandissement de l’établissement.
On évoquait l’atmosphère, au Bistrot on se sent tout de suite bien. Et c’est là la clef. Jean-Paul Lacombe parlait de mode. On va lui clore ce papier avec Coco Chanel, sur une phrase qu’il appréciera sans doute : « La mode se démode, le style jamais ».
Le Bistrot de Lyon n’est pas à la mode, il a du style, un style, son style. Ainsi soit-il.
En présence de nos experts et de nos commissaires-priseurs
JEUDI 12 SEPTEMBRE 2024
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n 19
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n 23 NOVEMBRE XX-XXI : Art Nouveau - Art Déco - Design
n 26
NOVEMBRE Tableaux Anciens, Modernes et Contemporains
n 28 NOVEMBRE Bijoux et Montres - Mode et Vintage
n 2 DÉCEMBRE Grands Vins et Spiritueux
n 14 DÉCEMBRE Mobilier et Objets d’Art
“QUAND ON EST CHEF D'ENTREPRISE, L’ENGAGEMENT, C'EST VRAIMENT D'ÊTRE SANS
Chaque mois, Alexandra CarrazCeselli, fondatrice de L’Equipe des Lyonnes, un réseau de 3000 membres qui encourage les femmes à prendre positivement leur place dans le débat public, nous propose de partir à la découverte d’une lyonnaise au parcours remarquable, au cours du « Café des Lyonnes ». Ce mois-ci, direction l’institution centenaire de la maroquinerie lyonnaise en presqu’île, la maroquinerie Barret et ses 105 ans d’existence. L’occasion d’aller interroger sa dirigeante Alexandra Le Creff, héritière d’une belle histoire familiale, ambassadrice du patrimoine local, et actrice du commerce indépendant lyonnais.
Propos recueillis par Alexandra Carraz-Ceselli Photos © Saby Maviel et Lyon People
ACC : Pensez-vous être une femme engagée ?
ALC : Je suis engagée personnellement et professionnellement, avec les clients, comme avec les fournisseurs, le personnel ou la fédération des détaillants en maroquinerie. Cela fait 105 ans que Barret existe. Je suis bercée par la maroquinerie depuis que je suis toute petite, et le principal, je pense, c'est le client. C'est important de fidéliser le client, de bien le conseiller pour qu'il revienne. C'est vraiment ce que nous essayons de faire au quotidien avec mes équipes.
Comment cet engagement se traduit-il ?
Alors déjà, toujours au niveau professionnel, il y a cet engagement constant avec des fournisseurs qui nous suivent depuis des décennies. Il y a aussi l'engagement avec les équipes. Nous avons une vraie stabilité dans nos équipes. Un personnel qui est là depuis très longtemps, qui est fidèle, que je chouchoute, parce que c'est rare de nos jours. Et j'ai aussi un engagement au niveau de la fédération des détaillants en maroquinerie et voyages, dont je suis la vice-présidente. C'est un engagement pour les maroquiniers, les aider au quotidien avec des actions marketing. Je suis impliquée dans les processus juridiques, la mutualisation. La maroquinerie, c'est une grande famille.
Particularité, vous défendez aussi le commerce indépendant, une véritable particularité et une force encore sur Lyon ? Oui, d’ailleurs nous nous sommes battus pour le commerce indépendant au moment des Gilets jaunes, du confinement ou plus récemment au sein du Collectif des
Défenseurs de Lyon (voir encadré). Il ne faut pas l'oublier, c'est vraiment ce qui fait la richesse du centre-ville de Lyon. C'est vrai que partout, nous retrouvons toutes ces chaînes internationales, mais le commerce indépendant est la chose la plus précieuse et qui fait la différence d'une ville à une autre, et en particulier à Lyon.
Vous le faites dans le cadre d’une véritable institution à Lyon...
La Maroquinerie Barret a été fondée en 1920. Nous avons fait une belle fête pour les 101 ans parce que le centenaire est tombé pendant le Covid. Je suis fière, parce que c'est une histoire familiale, celle de deux familles. Celle de monsieur et madame Barret qui ont créé et ont permis que cette boutique soit une institution sur Lyon depuis 1920. Et puis un jour, ils ont pris leur retraite dans les années 80. De mon côté, j'ai également été élevée au sein d’une famille de maroquiniers. Mon
grand-père est le fondateur de « Le Tanner », donc plutôt côté fabrication. C'est lui qui a développé la marque sur le XX e siècle. Mon père, lui, est parti sur la distribution, donc avec de nombreux magasins à l'époque, sur Paris et Lyon. Et puis, il a eu l'opportunité de racheter la maroquinerie Barret.
Quand vous étiez petite fille, que souhaitiezvous faire plus grande ?
Je suis bercée par la maroquinerie depuis mon enfance, à tel point que nous allions passer nos vacances dans des villes où mon père avait ses magasins. Donc, j'ai vécu toutes mes vacances à moitié dans les maroquineries. Ensuite, j'ai fait mes études. D’abord une année de droit qui ne m'a pas trop réussie. Puis je suis partie sur du commerce international, ce qui m'a beaucoup plu. J'ai fait l'école de commerce de Reims avec un premier stage en grande distribution, côté fournisseurs, dans la fonction commerciale et j'ai repostulé. J'ai passé une petite dizaine d'années en tant que commerciale dans les compte-clés. Ensuite, avec mon mari, nous avons eu deux filles. Nous habitions Paris, ce qui n'est pas le top quand on a des enfants. Nous avons donc décidé de revenir sur Lyon. J'ai commencé à travailler avec mon père en 2010 et il m'a laissé de plus en plus le champ libre. Et puis en 2015-2016, il a pris sa retraite tranquillement et m'a laissé les commandes.
C'est donc venu assez naturellement finalement ?
Oui, tout à fait. C'est un secteur d'activité où nous avons la chance d'avoir de nombreuses femmes, mais ce sont pour beaucoup des maroquiniers qui perdurent, des affaires souvent familiales. Même à la Fédération, nous sommes nombreuses au comité de
Depuis juin dernier, vous vous êtes engagée au sein du « Collectif des Défenseurs de Lyon », dont vous êtes l’une des porte-paroles. En quoi consiste ce mouvement ?
Devant le chaos que nous vivons tous actuellement à Lyon et aux alentours, compte-tenu des travaux et de la volonté de réduire drastiquement les accès au centre-ville, nous avons été un certain nombre -commerçants indépendants, habitants, associations et professionnels- à vouloir nous fédérer pour dire que non, tout le monde n’est pas d’accord avec le projet actuel de fermeture de la presqu’île, et surtout la façon dont les choses se passent, au mépris total des gens qui vivent, travaillent ou viennent consommer dans Lyon.
Pourquoi ce rôle de porte-parole et comment vous y êtes-vous préparée ?
Nous nous sommes regroupés début juin, et en quelques semaines, nous avons constitué un collectif qui représente déjà près de 7000 signataires, avec un vivier de 350 membres actifs sur une boucle interne what’s app. Nous avons fait des réunions de travail, défini un plan d’actions impactantes médiatiquement et nous avons souhaité nous doter d’une douzaine de porte-paroles, pour montrer toute la diversité de notre collectif et illustrer l’ampleur du phénomène.
Quels sont les prochaines échéances ?
Nous sommes très organisés et nous avons réuni de multiples compétences en interne, que nous mettons au service du collectif. Le mouvement s’amplifie et commence à avoir de la visibilité et de l’impact. Nous devons être encore plus nombreux pour faire bouger les lignes et protéger notre ville, c’est pourquoi d’autres actions sont en cours de programmation pour la rentrée, mais nous en gardons la surprise ! N’hésitez pas à venir nous soutenir et à nous rejoindre !
direction. Mais c’est quand même un secteur d'activité qui est un peu difficile car aujourd'hui, il y a beaucoup de concurrence étrangère avec des pertes de qualité de la production.
Comment avez-vous vécu cette prise de poste, avec le poids de l’héritage « Barret » ?
C'est lourd parce que Barret existe depuis 100 ans et qu’il ne faut pas se louper. Donc, il faut se remettre en question tout le temps. En plus, j'ai connu la période des Gilets jaunes, du confinement etc..., donc des périodes plutôt lourdes. Je pense que si l’on n'a pas le soutien de ses proches, cela reste très compliqué. J'ai eu la chance d'avoir mon mari qui m'a bien soutenue. Alors, si au début j'étais plutôt spécialisée sur la vente, les achats, le marketing, un peu les réseaux sociaux, le confinement m'a fait prendre conscience que la gestion et les finances, c’était inévitable et qu'il fallait plonger dans les chiffres, sinon, on se casse la figure.
Si vous aviez une feuille blanche, quelle mesure prendriez-vous pour que les femmes soient plus présentes dans le débat public ?
Je vais prendre mon cas personnel. Je ne suis pas très à l'aise pour m'exprimer en public et je ne l'ai jamais été. Dans mes bulletins, quand j'étais petite, c'était toujours noté « très timide ». Donc, je trouve qu'avoir des cours d'expression orale, à l'école, et inciter les jeunes à prendre la parole plus facilement, ce serait une excellente chose.
> Retrouvez cet entretien dans son intégralité sur la chaîne « L’équipe des Lyonnes »
Collectif des défenseurs de Lyon > La pétition à signer et à relayer : https://forms.gle/fHkiFmgkENKqGmXaA
Passer des quartiers Nord de Marseille au charme d’un château en Lubéron, cela peut surprendre... Au cœur de cette singularité : François Niforos. Lyonnais d’adoption, le propriétaire du « Grand pré » consolide chaque jour son art de vivre à la française. Rencontre avec celui qui sauva de l’oubli un trésor patrimonial.
Dans la bibliothèque, des tableaux agrémentent les murs de portraits d’hommes illustres à l’instar de Louis XIV. Sur des meubles parfumés de cire, quelques livres reliés se mêlent aux lettres encore lisibles dont ce courrier posté de Saint Pétersbourg le 1er octobre 1775. Au plafond, des luminaires ressuscitent l’intensité chaleureuse des bougies d’antan. Nous sommes au château du Grand Pré à Vitrolles-en-Lubéron que François Niforos a acquis en 2020. Pourtant rien ne prédisposait ce Marseillais à prendre ses aises dans cette propriété de 6 hectares.
Les années collège du jeune François se déroulent dans un climat de cohabitation tranquille entre nations et religions : « Nous n’étions pas malheureux dans ce quartier, bien loin de celui présenté dans le film « Bac Nord ». À l’époque, on s’amusait dans la rue et aux beaux jours on allait à la mer, pas « à la plage », parce que la mer c’était un élément vivant, le sable plutôt passif ! ». Après la baignade, la bande de copains se pressait autour des baraques à chichis, panisses ou beignets aux fleurs d’oranger. L’été, ce petit monde partait entre voisins vers la Camargue : « Nos parents
garaient leurs voitures en forme de U pour tendre une bâche en guise de grand parasol et ils alternaient entre pétanque et pastis » !
Le fils unique du couple Niforos, élève modèle, admire alors le professeur Barnard (chirurgien sud-africain ayant réalisé la première greffe du cœur au monde) tout en rêvant de valeurs sûres. Yvette, sa maman est catholique, femme au foyer, son père orthodoxe (origine grecque) artisan-taxi peu conventionnel. Constant — c’est son prénom — mieux que véhiculer ses clients, co-pilote les campagnes électorales jusqu’à être élu au conseil général et municipal du premier secteur de Marseille : « Pasqua et Seguin s’en souviennent, eux qui n’ont pas
LA FAÇADE SUD DU CHÂTEAU
DONNANT SUR LA SAINTE VICTOIRE. APRÈS UN TRÈS LONG SOMMEIL, LE CHÂTEAU DE GRAND-PRÉ A RETROUVÉ TOUTE SA SPLENDEUR. IL EST L’UN DES PLUS BEAUX FLEURONS DE L’ARCHITECTURE PROVENÇALE DES XVIIE ET XVIIIE SIÈCLES
hésité à monter les quatre étages de notre petit immeuble, chemin de la Madrague, pour parler politique certes, mais surtout pour apprécier la salade de pois chiches de ma mère ! » Ce paysage familial serait incomplet sans l’être cher que François adorait, Thérèse, la grand-mère, veuve de résistant qui tenait une épicerie à la Calade.
Il était une fois... 1753. Le château ouvre ses portes à Jean d’Ailhaud, inventeur d’une poudre purgative validée par Louis XV, les États de Provence et une partie de l’Europe. Vu l’engouement pour cette potion magique, les héritiers sont contraints d’agrandir la propriété. La fabrique dédiée au remède universel renforça le succès commercial du produit-miracle composé de racines, de pissenlit, pavot et cendres de cheminée ! En bonne santé financière, le docteur d’Ailhaud se récompense d’un hôtel particulier à Aix-en-
Provence. Décédé à 82 ans, ses descendants poursuivront l’œuvre prodigieuse du chevalier d’industrie qu’était ce natif de Lourmarin. Des années plus tard, les propriétaires sans motivation ou financements nécessaires assisteront à la dégradation du site. Seul un investisseur évaluant le ratio budget/émotion pouvait rendre au château son éclat initial. Au chevet de ce fleuron provençal, François Niforos, conscient du chantier pharaonique qui l’attendait, s’entoure des meilleurs artisans locaux au profil compagnons du devoir. Tous les corps de métiers mutualiseront leurs talents afin de renouer avec le génie des bâtisseurs de l’époque.
D’une pièce à l’autre, deux siècles se renvoient leur élégance et jouent entre couleurs bleu tendre ou vert amande. Le mobilier prend l’ADN des estampilles Jacob, Heurtaut, Nogaret et autres ébénistes de renom. Au détour des salons d’apparat, un poêle en céramique XVIIIe accorde sa teinte de craie au plafond blanc pur XVIIe. Dans la salle à manger, quelques faïences de Castellet à glaçure polychrome ocre, font face à une petite merveille, un rafraîchissoir en marbre du Tholonet sorti des entrailles de la montagne Sainte Victoire. Au fronton de chaque porte, des gypseries racontent des scènes galantes ou champêtres. À tous les étages s’invite le passé, se vit l’émotion, se lit l’admiration. Chaque pierre, mortier de chaux, essence de bois exhume l’intimité des familles ayant vécu ici.
Les 2500 mètres carrés habitableS du château, dépendances comprises, offrent de belles opportunités d’accueil. Expositions, événements privés, mini concerts, séjours
La première réception donnée à Grand-Pré le 21 juin 2019
détente sont prévus grâce notamment à des chambres d’hôtes accessibles par un ascenseur revisité en cabinet de curiosités ! Près du pavillon de l’Horloge, une piscine discrètement intégrée invite au farniente. Côté jardins, des arbres mémoriels ou plantés récemment dessinent allées et espaces ombragés : ormes, marronniers, buis, ifs, pins d’Alep, peupliers, chênes... La réintégration de buffets d’eau dans le parc comme à Versailles parachèvera la belle rénovation de cette propriété d’exception.
Avant qu’il ne soit ministre, Frédéric Mitterrand s’était amouraché du château, y séjourna même à plusieurs reprises commentant de sa voix inimitable : « Malgré son délabrement et les ravages faits par des cambrioleurs, ce fut pour moi la plus belle maison du monde ». Et d’en faire un court métrage sous le titre de « La belle endormie » Le cinéaste Jean Becker lui aussi tomba en pamoison devant ce petit coin de paradis et dirigea deux films culte : “La gloire de mon père” et “Le château de ma mère”. L’auteur de : « je suis né à Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres au temps des derniers chevriers » est pour François Niforos une référence depuis l’enfance. Comme un clin d’œil à Marcel Pagnol, le propriétaire du Grand Pré s’enthousiasme : « Je suis né dans les quartiers nord de Marseille couronnés de soleil du temps des derniers marseillais ». Comme quoi tout est possible.
“Malgré son délabrement et les ravages faits par des cambrioleurs, ce fut pour moi la plus belle maison du monde”
Frédéric Mitterrand
RACHETÉ EN 2019, LE CHÂTEAU DE GRAND-PRÉ EST AU BORD DE LA RUINE. CINQ ANS PLUS TARD, SA RENAISSANCE EST SPECTACULAIRE
Le salon-bibliothèque de style baroque est l’une des derniers vestiges de l’époque XVIIe
Les papiers peints sont signés de la Maison Antoinette Poisson
< Les gypseries (sculptures sur plâtre au-dessus des portes) du salon d’apparat sont d’époque. Elles ont été restaurées par les maîtresgipiers Jean-Louis Tumbarello et Joël Puisais
>
L’enfilade qui lie les salons et ses portes en noyer sculpté avaient été volées durant la période d’abandon du château. François Niforos a réussi à en récupérer quelques-unes...
LA SALLE À VIVRE DU CHÂTEAU EST DEVENUE SALLE MANGER AU XVIIIE SIÈCLE. C’EST L’UNE DES RARES PIÈCES DE STYLE NÉO-GREC EN PROVENCE.
Avec le soutien de la DRAC AURA et de la Région Auvergne Rhône-Alpes
Jusqu’en 2027
À Châteauneuf du Pape, Camille et Silvio conjuguent projet entreprenarial et aventure amoureuse
À la scène comme à la ville. Après avoir fait les beaux jours du Sofitel Bellecour, Camille Vautier et Silvio Iacovino ont mis le cap sur Châteauneuf du Pape où ils ont investi dans un hôtel de charme 3 étoiles. Un projet entrepreneurial qui se double d’une aventure amoureuse...
Le mois dernier, nous vous présentions depuis la Costa del Sol, les contours de la nouvelle aventure gastronomique du chef exécutif de Paul Bocuse, le MOF Christophe Muller, créateur du restaurant Casabon à Sotogrande. Pour ce magazine de rentrée, nul besoin de prendre l’avion : à deux heures et demi de Lyon, nous avons atterri à Châteauneuf du Pape pour découvrir comment Camille et Silvio étaient passés de l’autre côté du miroir en devenant, à leur tour, chefs d’entreprise. Portrait-express de deux pros de l’hôtellerie premium revenus aux sources de leur métier.
Lui : En juin 2010, Silvio Iacovino succédait au charismatique Eric Obeuf en tant que directeur général du Sofitel Bellecour, prestigieux établissement de 164 chambres, amarré le long du Rhône. Un challenge de taille pour ce dynamique italien bien
déterminé à se donner les moyens d’atteindre les ambitieux objectifs d’ouverture et d’internationalisation de l’hôtel. En quatre ans, Silvio aura marqué de son empreinte le palace lyonnais, avant de partir exercer ses talents au Sofitel Marseille, puis au San Clemente Hotel de Venise (photo ci-dessous) avant de rejoindre le groupe Indevho en tant que directeur des opérations, puis de rallier le Santa Giulia Palace de Porto-Vecchio.
Elle : Quand Silvio débarque au Sofitel, le palace compte parmi ses collaborateurs une
jeune femme prénommée Camille. Diplômée de l’IDRAC Lyon, Camille Vautier a gravi les échelons au sein du fleuron lyonnais du groupe Accor, d’assistante de direction (elle succède à Séverine Maisonneuve) à responsable communication, avant de rejoindre le Sofitel de la cité phocéenne en 2015 puis le groupe Indevho au poste de responsable marketing opérationnel France. De 2022 à 2024, elle a également gouté aux charmes (et inconvénients) de la vie insulaire au sein de l’hôtel Son De Mar, à PortoVecchio.
Mais depuis le Covid, les deux tourtereaux avaient des envies d’ailleurs : « On rêvait de rentrer sur le continent et d’avoir notre propre hôtel ». Avec, comme zone géographique, le quart sud-Est en général, et la vallée du Rhône, en particulier, « afin de rester à portée de voitures de nos familles respectives ». Après des mois de recherches, première tentative à Nyons, mais l’opération ne peut se concrétiser. La seconde sera la bonne : elle prend la forme d’une annonce de la BPI proposant à la vente un petit hôtel 3 étoiles sis à Châteauneuf du Pape. Le couple remplissant les trois critères exigés par l’agence (expérience, apport financier et disponibilité rapide), Camille profite d’un rare week-end chômé pour traverser la Méditerranée et visiter en solo l’établissement, le 4 juillet 2023. Le coup de
cœur est immédiat. Et ça ne va pas traîner : « le 11 août, nous avons signé la promesse de vente sans que Silvio n’ait visité l’hôtel » se remémore-t-elle. En février 2024, le couple d’aubergistes investit son nouveau terrain de jeux avec pour ambition d’en faire une chaleureuse maison de famille. Nul besoin de se forcer : ils ont le sens de l’accueil dans leur ADN. « Nous voulons que nos clients se sentent chez eux » souligne Silvio, blanchi sous le harnois mais l’œil toujours aussi pétillant. Depuis son arrivée, le couple s’attelle à augmenter la qualité du service en multipliant les petites attentions pour leurs hôtes. Un nouveau décor qui nécessite de leur part une présence 7 jours sur 7, et un investissement 24 heures sur 24 qui leur a permis de traverser sans ombrages — et sans choc thermique —
la frontière qui sépare l’hôtellerie de luxe à l’hôtellerie de charme. « Ici, tu reviens à la source du métier d’aubergiste » développe Silvio. Une source qui se perd, au sein des grands groupes hôteliers, dans les rivières de paper board et des océans de tableaux excell. À La Sommellerie, le couple est en mode couteau suisse, avec une équipe soudée qu’il faut épauler. Leurs fonctions sont innombrables et très diverses. Camille à la réception puis au service, Silvio en chef d’orchestre du bar-restaurant puis en maitrenageur, le duo passe son temps à jouer les transformistes. Et ça leur réussit : six mois après avoir plongé dans le grand bain de l’entreprenariat, le duo évolue aujourd’hui comme un poisson dans l’eau au milieu des vignes de Chateauneuf.
Ambiance maison d’hôtes. À l’écart du village de Châteauneuf du Pape, et au milieu des vignes, ce petit mas provençal de 16 chambres cosy, disposant d’un restaurant bistronomique, est lové autour d’une belle piscine. Ouvert depuis 35 ans en lieu et place d’une ancienne bergerie, l’établissement constitue un camp de base idéalement placé pour partir à la découverte des vignobles de la région, mais aussi trabouler jusqu’à Avignon
(17 kms), l’Isle sur la Sorgue (32 kms) ou Saint Rémy de Provence (1 heure de route). L’hôtel dispose d’une vaste salle de réunions pour les séminaires. Le rapport qualité-prix est sans égal.
2268, route de Roquemaure 84230 CHATEAUNEUF-DU-PAPE contact@la-sommellerie.com Tél. 04 90 83 50 00
Située dans le Vaucluse, Châteauneuf-du-Pape est une commune dont le nom résonne comme une ode à l’histoire, à la tradition et à l’excellence des grands vins. Cette petite ville, établie sur une colline surplombant le Rhône, tire ses origines du XIVe siècle, lorsque les papes en résidence à Avignon y firent construire un château d’été. Ce château, bien que partiellement en ruine, demeure un symbole fort de la commune. Châteauneuf-du-Pape est mondialement célèbre pour ses vins. Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) depuis 1936, ce vignoble bénéficie d’un terroir unique, marqué par des sols caillouteux appelés « galets roulés ». Ces galets emmagasinent la chaleur du soleil le jour et la restituent aux vignes la nuit, favorisant ainsi une maturation optimale des raisins. La diversité des cépages utilisés, principalement le Grenache, la Syrah et le Mourvèdre, confère à ces vins robustes une richesse et une complexité incomparables, aux arômes de fruits mûrs et d’épices. Outre ses vins prestigieux, Châteauneuf-du-Pape offre de nombreux attraits à découvrir. Les visiteurs peuvent flâner dans ses ruelles pittoresques, découvrir les vestiges du château, ou encore explorer les nombreuses caves et domaines uniques qui jalonnent la région. Le village organise également des événements autour du vin, tels que la fameuse Fête de la Véraison en août, qui célèbre le début de la maturation des raisins. Ce festival est une occasion parfaite pour déguster des vins, rencontrer des vignerons passionnés et découvrir les traditions locales. De plus, le Musée du Vin Brotte propose une plongée fascinante dans l’histoire et les techniques viticoles de la région. Châteauneuf-duPâpe est une destination qui ravira les amateurs de grands crus. Entre ses paysages à couper le souffle, ses vins d’exception et son patrimoine riche, la commune mérite amplement une visite. Un véritable trésor de la vallée du Rhône, où tradition et excellence se rencontrent. FS
Les techniques manuelles et les technologies de pointe se complètent parfaitement pour un renouvellement épidermique immédiat.
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P.68 / Les étoiles montantes de la galaxie évènementielle :
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P.72 / Avec Joie
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P.75 / Cirque imagine
P.76 / Plein Gas
DOSSIER RÉALISÉ PAR JOCELINE VIDAL
Oublié le régime « vaches maigres » des années covid... Place aux good vibes de 2024-2025 ! Sur fond d’innovations high tech et de scénographies immersives, les pros de l’événementiel cassent la routine.
Texte : Jocelyne Vidal – Photos DR
Organisateurs d’événements, pros des installations audiovisuelles, créateurs de parcs de loisirs, femmes de l’art de l’empowerment, traiteurs, créatrices de lieux de connexion entre les mondes artistiques et économiques... ils réinventent nuit et jour, au rythme des 1200 foires, salons, 3000 congrès organisés chaque année en France (1), leurs métiers de femmes et hommes –orchestres générant 65Mds d’euros de chiffre d’affaires, dont 1,4 milliard réalisé à lui seul par GL Events
Etoile montante de la galaxie événementielle, Eurosono (page 74) allie magie et haute technologie. Imaginez la transformation d’une bulle de tennis en hall d’aéroport avec décollage immédiat pour un tour du monde virtuel... Voilà le genre de défi dont raffole l’équipe Tech and Live du groupe Eurosono. Le passage de la flamme olympique au
Plateau des Glières, la Coupe du Monde de Biathlon du Grand Bornand, la scénographie des Worldskills, compétition mondiale des métiers organisée du 10 au 15 septembre à Eurexpo, valent aussi une forme olympique à la dream-team d’Alexandre Jeannerod, gérant d’Eurosono.
Présent sur les cinq continents, le global player du monde de l’événementiel a fait des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 une vitrine unique de ses savoir-faire en matière d’organisation d’événements sportifs internationaux. De Paris à Tahiti, en passant par l’ensemble des sites olympiques, GL events aura contribué à mettre en place 70% des installations temporaires, à commencer par 160 000 places de tribunes, soit l’équivalent de deux stades de France !
Les épreuves équestres des Jeux Olympiques ont été organisées à Versailles par les équipes de Sylvie Robert (GL events – Equita Lyon)
Oubliez tout ce que vous savez sur l’événementiel d’entreprise et l’art d’organiser vos réunions, séminaires, repas d’affaires.
Chez manifesta l’expérience de l’art contemporain donne la tonalité. C’est une histoire d’amitiés, de projets artistiques, de gourmandises, au service des entreprises. On travaille, on découvre, on achète aussi les œuvres dans un lieu hybride et confidentiel.
Chez manifesta, les espaces modulables accueillent de 6 à 60 personnes. (CoDir, dîners, conférences, séminaires...) pour une expérience unique. Un espace chaleureux qui se réinvente tous les 2 mois au contact des oeuvres.
En immersion, vos invités se réunissent dans un environnement stimulant, équipé de toute la technologie nécessaire et propice à la créativité et à l’innovation.
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Un survol de Marrakech en montgolfière piloté par l’agence Avec Joie lors d’un anniversaire d’entreprise
« Travailler dur pour rêver grand » telle est la devise de l’agence Avec Joie (page 72). L’agence bénéficie d’un large panel de clients fidèles : PME de tous secteurs, groupes immobiliers, acteurs du logement social, de nombreux accords cadre dans les domaines de l’énergie et de la certification de sécurité. Un éclectisme doublé d’une adaptabilité et d’un engagement total qui valent à l’agence une progression annuelle à deux chiffres et un agenda 2025 quasi complet.
Proposer une prestation à 360° (Consulting, Construction et Exploitation) c’est le cocktail gagnant d’Altiplano (1). De Villeurbanne à Dardilly, en passant par Bron et Décines, le groupe lyonnais gère plus de quinze activités de loisirs. Multiplexes Exalto et parcs accrobranche France Aventures cartonnent été comme hiver au rythme des anniversaires, des enterrements de vies de célibataires et des formules de team building... En France comme aux Etats-Unis où Altiplano exploite quatre parcs accrobranche : deux à Atlanta, un à Greenville et le troisième à Philadelphie.
“LES
Baptiste Pignol (6) conjugue sa passion de la gastronomie à la direction de la maison éponyme. Diplômé de l’Institut Paul Bocuse, formé à l’école de Nicolas Sale au Ritz à Paris, puis de Daniel Boulud à New York, l’émule du meilleur chef du monde, s’est vu conforté, dès son retour à Lyon, dans la reprise du flambeau de Vital, son aïeul, Françoise et Jean-Paul, ses parents, à la tête de l’entreprise familiale. Anticiper, personnaliser et penser à tout ce qui signe la réussite d’un événement à la Préfecture, à l’Hôtel de Ville, au château de Saint Trys ou à la Halle Tony Garnier où le jeune chef et ses 220 collaborateurs ont cuisiné et servi 5000 repas en 1H45... Voilà ce qui anime « avec beaucoup d’enthousiasme et d’amour », la jeune garde des Toques Blanches Lyonnaises.
Inviter les décideurs à sortir du pré carré de leur vocabulaire économique, ouvrir leur regard aux champs de curiosité offerts par des artistes visionnaires, telle est la démarche de Céline Melon-Sibille, cocréatrice de Manifesta (2). En ce lieu au parti prix décoratif assumé, signé Claude Cartier, chaque exposition donne lieu à une aventure humaine.
Airwarrior, l’une des nombreuses activités de loisirs gérées dans l’agglomération par Altiplano Artistes et chefs cuisiniers distillent
Pignol conjugue sa passion de la gastronomie à la direction de la maison éponyme (Photo
Artistes et chefs cuisiniers distillent leur art de vivre autour d’œuvres essentielles dans un monde où le paradigme du marché du travail est en pleine mutation. « L’art apaise, suscite la curiosité et libère la parole dans les entreprises dont les collaborateurs sont en quête de sens », plaide Céline Melon Sibille, à la veille d’accueillir la galerie parisienne Binome pour une exposition de photos contemporaines de Philippe Durand, Corinne Mercadier et Guenaëlle de Carbonnières.
«
Créatrices de La Boîte aux Idées, Patricia Tronel et Innes Bourit se sont associées avec Laetitia Pepino, fondatrice d’Avec Joie pour relever les défis perpétuels de leurs clients : « leurs émotions, c’est notre mission ! »
Être toujours plus percutantes, plus impactantes et plus innovantes avec une offre globale ou à tiroirs, face à un environnement en perpétuel mouvement », est le crédo des trois dirigeantes associées de l’agence conseil en communication évènementielle et digitale Avec Joie. Avec plus de 40 ans d’expertises cumulées, les nouvelles associées ont un seul leitmotiv : être créateur de valeurs au service de leurs clients.
Hormones du bonheur. Jubilatoire, le nom claque comme un manifeste. Avec une bonne dose d’hormones du bonheur –dopamine pour le plaisir, sérotonine pour la bonne humeur, adrénaline côté excitation et ocytocine pour le lien social – le trio clame son objectif premier : la satisfaction client. « Nous nous engageons à offrir une expérience unique, traduite par une double promesse : faire vivre et grandir » grâce à une vision en réalité augmentée de l’événement. La nouvelle agence Avec Joie 100% opérationnelle puise sa force dans le développement de ses hard skills et ses soft skills grâce notamment à une grande coordination transverse des compétences interne et externe responsables. L’agence est en veille permanente des nouvelles tendances et adepte des mises en valeur des actions RSE.
Une offre à 360°. L’agence Avec Joie affirme son engagement sociétal en étant membre du Crépi, co-organisatrice de la soirée Alzheimer et est en cours de labellisation environnementale. Elle est présente sur le plan local, régional, national et international. Ses licences de voyage et d’artistes assurent
une offre à 360°. Dénicheuses de pépites, gestionnaires du Carré Fourvière, les trois fantastiques sont perpétuellement à l’affût afin de surprendre et d’atteindre l’effet Whaouh tant attendu des clients.
En progression. « Travailler dur pour rêver grand » telle est la devise de l’agence Avec Joie L’agence bénéficie d’un large panel de clients fidèles : PME de tous secteurs, groupes immobiliers, acteurs du logement social, de nombreux accords cadre dans les domaines de l’énergie et de la certification de sécurité. Un éclectisme doublé d’une adaptabilité et d’un engagement total qui valent à l’agence une progression annuelle à deux chiffres et un agenda 2025 déjà bien rempli.
Le futur. Architecte d’évènements inventifs, vertueux et engagés, Avec Joie va continuer à aller chercher l’impossible pour ses clients et projette une croissance externe à l’étranger... ...
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Le spécialiste de l’événementiel tisse sa toile de faisceaux lumineux en forme de success story...
Et si on faisait de la sono ? » Dès 1998, la question en forme de défi a propulsé Alexandre Jeannerod en pole position des prestataires son, lumière, vidéo et scénographie en France. Des concerts improvisés entre amis, le Lyonnais pure soie est passé à la mise en scène de 570 événements orchestrés aujourd’hui chaque année par les vingt collaborateurs d’Eurosono, aux équipes étoffées de 1 500 à 2 000 professionnels et intermittents.
À la pointe de l’innovation. Si l’événementiel représente 70% de l’activité du groupe, la qualité et la créativité de ses prestations clé en main lui assurent une belle reconnaissance sur le marché de l’intégration audio-visuelle, autrement dit, de la vente et de la maintenance d’installations de matériels de son, lumière, vidéo à destination des hôtels, bars, lieux de conférence et espaces de loisirs. A la pointe de l’innovation, Eurosono allie une réactivité sans faille à l’excellence de l’accompagnement et du suivi de clients bichonnés par une équipe enthousiaste, éprise de challenges. Qu’il s’agisse de livrer une scène couverte pour les 450 participants
d’une convention d’entreprise ou de mettre en son, lumière et vidéo à midi, l’évènement commandé la veille au soir, rien d’impossible à Eurosono ! Dès le premier contact, le courant passe entre les jeunes pros et leurs clients professionnels et particuliers.
Qu’ils reçoivent 50 invités ou 6 000 visiteurs pour le lancement d’un nouveau produit, une inauguration, un séminaire international, un gala ou un spectacle en extérieur, les clients d’Eurosono sont assurés de réunir les compétences et la créativité qui signent la réussite d’un événement unique. Des World Skills, compétition internationale des métiers organisée du 10 au 15 septembre à Eurexpo, à la Coupe du Monde de biathlon programmée du 16 au 22 décembre au Grand Bornand, en passant par les 70 ans de la SaintéLyon le 30 novembre, Eurosono tisse sa toile de faisceaux lumineux en forme de success story.
3 000 m2 de locaux à Irigny. Entre sons, lumières et effets spéciaux, des trésors d’inventivité sortent des 3000 m2 de locaux implantés à Irigny. Histoire d’enchanter une soirée Hermès à la Chapelle de la Trinité ou d’embraser de 650 bougies Led la soirée du 60ème anniversaire de la Porsche 911 à Champagne-au-Mont-d’Or. Pour le plaisir de tisser des kilomètres de fibre optique dans la cour de l’Hôtel de Ville ou d’imprimer les vagues de lumières du 8 décembre sur les façades du Théâtre des Célestins, Eurosono innove à jet continu, investit dans des technologies de pointe. Ponctuées de mapping tables, d’écrans déstructurés et de tubes lumineux aux trajectoires poétiques, des scénographies originales valent une forme olympique à Eurosono à qui revint l’honneur d’éclairer le chemin de la flamme au Plateau des Glières.
Groupe Eurosono 2, rue d’Yvours
Parc d’activités d’Yvours - Bâtiment 9
69540 Irigny Tel. 04 72 44 34 34 www.eurosono.com
Le fondateur de l’agence de communication Plein Gas, a su marquer au fil des années la scène lyonnaise avec une série d’événements marquants, toujours plus innovants.
Texte : Fanny Suteau – Photos © Alain Rico, Karine Bourgain et DR
Pierre-Yves Gas a plusieurs cordes à son arc. S’il rêvait de devenir footballeur professionnel, c’est finalement un tout autre chemin que ce dernier va emprunter. D’abord pâtissier puis gérant d’un établissement de nuit, Pierre-Yves va ensuite travailler pour le monde du cinéma. Il fonde en juillet 1998 Proxi’Com, rebaptisée Plein Gas en 2019, une agence de communication qui se distingue par son approche 4-en-1 (média, studio, conseil et événement). Il est ainsi à l’origine de plusieurs événements lyonnais majeurs, dont le Mondial de la Praline et la Fête des écaillers.
La Fête des écaillers tient une place importante dans le calendrier gastronomique lyonnais et fédère chaque année les 5 écaillers des Halles Paul Bocuse. Cet événement célèbrera son 10e anniversaire, le 7 novembre 2024. L’agence de communication organise également, en collaboration avec Nathalie Berberian, la célèbre soirée de l’immobilier qui fêtera cette année ses 7 ans, mais aussi l’événement « Gigot j’y vais », en collaboration
avec Christine Marques (CM Évènement). Ce concept, inspiré du « Gigot bitume », vise à faire découvrir ou redécouvrir les traditions culinaires lyonnaises à un large public et reviendra pour une 2e édition en mai 2025. Enfin, Pierre-Yves Gas n’a jamais abandonné sa passion pour le cinéma et a notamment gagné ses galons avec ses soirées Ciné VIP. Le concept : proposer des avant-premières « corporate » à destination des entreprises qui peuvent inviter clients, commerciaux ou fournisseurs. Son prochain Ciné VIP aura lieu en octobre 2024, avec la diffusion du film « Monsieur Aznavour », organisé en collaboration avec Arnaud Thomas (Festival Les Mauvais Gones).
Créé en 2021, le Mondial de la Praline est rapidement devenu un rendez-vous incontournable. « Les Lyonnais et les habitants de la Région Rhône-Alpes en sont fous ! », souligne Pierre-Yves Gas. D’où cette idée de concours, « entre tradition et innovation »,
afin de promouvoir cette spécialité à l’échelle nationale, voire internationale. Le Mondial a reçu la médaille d'or de l'événement de l'année lors de la soirée des professionnels de l'événementiel. La finale de la troisième édition se tiendra en octobre 2025, en clin d’œil à Octobre Rose, et sera marquée par une nouveauté...
« J’organise ces événements en toute simplicité, convivialité, authenticité et business festif. C’est vraiment ma marque de fabrique et je remercie tous mes clients et les personnes qui travaillent avec moi depuis de nombreuses années. Seul, je ne serai rien, c’est un vrai travail d’équipe ! », conclut Pierre-Yves Gas. De nouveaux projets sont en cours de préparation mais ce dernier préfère pour l’heure rester discret, promettant néanmoins de continuer à surprendre et à rassembler avec des événements toujours plus ambitieux.
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Eric Giraud restaurant de Fruits de mer & écailler
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Restaurant
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CUISINE sicilienne
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Ouvert du lundi au dimanche : 12h-14h40 et 19h-22h30 www.bysicilians.com dolcebysicilians
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Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir)
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LA COULEUR DES SOUVENIRS
e plus en plus apprécié par la gent féminine, le Rallye des Driveuses a livré pour sa 3e édition, un condensé de ses qualités : vitesse, plaisir et complicité. Avec pour terminus de périple automobile : les côtes ensablées du bassin d’Arcachon. Puisqu’à l’arrivée, les corps n’en peuvent plus, vidés de toute essence dans le moteur, le Rallye des Driveuses semble avoir mis la main sur la bonne carburation. Avec à la clé, un plein de sensations et un finish « au bord de l’eau ». Une agréable coutume initiée depuis trois ans, par sa génitrice, Aurélie Baulu, dont la passion pour l’automobile ne cesse de rejaillir sur ce rendez-vous 100% féminin. 100% plaisir aussi, alors que les cinq jours de course et ses quelque 1200 kilomètres de parcours, sont indubitablement agrémentés de bons moments et d’amitiés naissantes.
« Plus il y a d’intimité, mieux c’est », valide d’ailleurs l’organisatrice, soucieuse malgré le succès, de limiter les participations à une vingtaine de véhicules. « Je voulais créer des temps d’échanges, entre passionnées et depuis, les participantes se prennent au jeu. Il y a une vraie complicité », embraye Aurélie Baulu, biberonnée depuis son enfance aux us et coutumes du rallye. Car si les soirées sont souvent animées et donc sujettes à l’épuisement, le Rallye des Driveuses demeure néanmoins une compétition, où les participantes sont jugées sur leur navigation sur route ouverte, leur respect du roadbook et divers challenges sur
circuit (le circuit de Haute Saintonge en l’occurrence, ndlr) ou de régularité. L’occasion donc, d’admirer des pilotes de tous âges, au volant de GT classiques ou modernes aux carrosseries flamboyantes. À commencer par ces Alpine A110, fruits d’un partenariat avec le groupe Thivolle. Autant d’arguments prompts à séduire de nouvelles adeptes et renforcer le charme de cette épreuve. Le rendez-vous est pris, vraisemblablement au 31 mai 2025. Pour quel bord de plage ? Les curieuses devront s’inscrire pour s’en informer. Et enclencher la première !
Près de 800
à l’inauguration
Coiro président FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Alain Grizaud président FNTP, Bruno Arcadipane président Action Logement Groupe, Olivier Salleron président FFB
René Coiro président FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Norbert Fontanel, président BTP Rhône et Samuel Minot, président FFB Aura
Des adhérents par centaines, et puis une véritable nuée d’élus – politiques et professionnels – sont venus célébrer l’incroyable transformation du siège de BTP Rhône (1), des fédérations régionales du Bâtiment et des Travaux Publics, et de leurs partenaires : BTP Banque, l’Auxiliaire, et infra2050.
Texte : Philippe Lecoq – Photos © Alexandre Moulard et DR
Incroyable à plus d’un titre. D’abord parce que les professionnels du BTP ont choisi de restaurer-réhabiliter leur bâtiment historique, avenue Condorcet, plutôt que de céder à la facilité en allant construire ailleurs. Samuel Minot et Norbert Fontanel, présidents de la FFB AURA et de BTP Rhône, ont d’ailleurs rappelé pourquoi –avec l’initiateur du projet Gilles Courteix et leur premier vice-président René Coiro, devenu président de la fédération régionale des TP - ils avaient décidé de « faire du futur avec le passé » en transformant leur siège des années 70 en une « vitrine des savoir-faire »
des entreprises. « Nous avons vécu ici tous les moments forts que la passion de nos métiers peut procurer », ont-ils souligné dans un duo souriant et bien ficelé. Incroyable aussi, parce qu’il s’agit d’une réalisation hors norme, modèle de rénovation énergétique : un bâtiment bas carbone à énergie positive, doté d’une belle et subtile façade bioclimatique, d’un chauffage-rafraichissement en géocooling, d’un système de récupération d’eaux de pluie pour l’arrosage et l’eau sanitaire, de l’infiltration des eaux pluviales en pleine terre, d’une toiture photovoltaïque conçue comme une 5e façade... Un exemple.
(1) La fédération départementale compte 900 adhérents, dont 50% d’artisans, représentant les deux tiers des salariés dans le département dans tous les métiers du BTP.
Gilles Courteix, président Medef Lyon-Rhône, Laurent Wauquiez, président région AURA, Bruno Arcadipane, vice-président MEDEF et Alain Grizaud, président FNTP
Gaëtan de Sainte Marie, vice-président CPME Rhône et Olivier Salleron, Président FFB
Gilles Courteix, président MEDEF Lyon Rhône, Cathy Werquin, directrice régionale Banque de France, Pascal Pancrazio, président FNAIM Rhône et Frank Lebel, secrétaire général CPME Rhône
René Coiro, président FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Norbert Fontanel, président BTP Rhône, Samuel Minot, Président FFB Aura et les architectes Marc Favaro (AFAA architecture) et Trevor Ablott (AFAA)
L’artiste Kairos
Olivier Salleron, Jacques Blanchet, vice-président région AURA, Bertrand Converso, président BTP Isère, Thibault Richard, président L’Auxiliaire et Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes
Confortablement installé dans son fief du Grand Réfectoire, l’Ordre des Experts-Comptables AuvergneRhône-Alpes a entamé l’été, soulagé d’un riche bilan. Un cocktail convivial bienvenu et mérité, alors que la rentrée s’annonce à nouveau très animée.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel
L’atmosphère détendue qui régnait lors de la traditionnelle soirée d’été de l’Ordre des Experts-Comptables Auvergne-RhôneAlpes pourrait tromper les plus sceptiques. En effet, à observer la relative décontraction des quelques 200 participants, experts-comptables, partenaires institutionnels et commerciaux, l’événement laisserait supposer qu’un tel banquet, n’est que motif à arroser les départs en vacances. Et pourtant, si le Président Damien Cartel, fut ravi d’introduire ces festivités, la journée n’en fut pas moins chargée, forte d’une Assemblée Générale des plus sérieuses. Cette Assemblée statutaire supervisée par le commissaire du Gouvernement, Pascal Rothe, en présence de la Présidente du Conseil National de l’Ordre des Experts-Comptables, Cécile de Saint Michel, a permis de faire un point détaillé sur les nombreuses actions menées au cours de l’année écoulée. Sans oublier cette conférence RSE, qui a précédé l’Assemblée, rassemblant 116 participants autour du thème de la légitimité des experts-comptables dans leurs missions relatives à la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Autant de réflexions, qui misent bout à bout, légitimaient largement l’organisation d’un ultime apéritif avant l’été. Car la rentrée s’annonce chargée notamment avec le prochain Congrès Régional, prévu les 27 et 28 novembre prochains, à Clermont-Ferrand.
Pascal Rothé, directeur régional des Finances publiques DRFIP Aura & 69) et le président de l’Ordre des Experts-Comptables AuvergneRhône-Alpes, Damien Cartel
Gilles Martin (DGA L’Auxiliaire BTP) et Virginie MaureauRegaldo, secrétaire général de l’Ordre des Experts-Comptables
Géraldine Peter, Présidente du CJEC RA, entourée de Vladimir Lechère et d’Augustin Bertucat de Chabannes (Laplace)
Mohamed Rachid (Ordre des Experts-Comptables), Charline Plommet, Nathalie Clemaron (IFAURA) et Christophe Besson (Ordre des Experts-Comptables)
Coralie Lemaître-Guille (Alpeo), Fabrice Rouveure (Fiducial Expertise), Céline Murat (Ordre des Experts-Comptables) et Marie-Joëlle Chevalier (Ordre des Experts-Comptables)
Laure Velay, conseillère municipale et son époux Patrick Velay,
des Notaires) et Valérie Combe (Crédit Agricole)
Du 14 au 28 septembre 2024
sur l’ensemble de la cave à partir de 12 bouteilles / panachage possible
3 000 références de vins et spriritueux - Epicerie fine
Catalogue disponible en ligne
11, cours Franklin Roosvelt - Lyon 6e (Métro Foch) - T. 04 37 48 85 40
Les salons du restaurant Le Président ont accueilli les amis de Christophe Marguin, à l’occasion de la remise de ses insignes de commandeur des palmes académiques.
: Marco Polisson - Photos © Saby Maviel
Une nouvelle distinction au tableau de chasse – déjà bien fourni – du président des Toques Blanches Lyonnaises. Ce mercredi 10 juillet, une cinquantaine d’amis et de confrères sont venus applaudir leur boss et ami Christophe Marguin qui monte en grade dans l’ordre des Palmes académiques en atteignant le statut de commandeur. Chargé
de lui passer le fameux cordon autour du cou, Olivier Dugrip, recteur de l’académie Lyon et chancelier des universités a souligné les « action éminentes » du chef Marguin dans la transmission des savoirs et des compétences en matière d'art culinaire à la française et sa participation au rayonnement de notre patrimoine gastronomique national.
Tradition reprise et respectée, CIC Lyonnaise de Banque a de nouveau convié ses clients à profiter des Nuits de Fourvière. Mis dans le bain au gré de l’ambiance du village, ces derniers ont pu goûter aux refrains historiques des Écossais de Simple Minds.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Il n’y a rien de mal à remonter le temps, à se jouer de la nostalgie et des vieux souvenirs pour profiter du présent. Fidèlement aux paroles interprétées par Jim Kerr et sa bande de Simple Minds, CIC Lyonnaise de Banque avait ainsi pris plaisir à réveiller des « jours brillants », le temps d’une soirée aux Nuits de Fourvière où chaque invité avait loisir à chanter « ces souvenirs de l’or » qui nous transforment, avec « quelqu’un, quelque part, en été ». Avec Patrice Cauvet en l’occurrence,
le Directeur Général ayant convié près de 200 personnes à ce rendez-vous redevenu une habitude, sinon un rituel. Cela valait bien une plongée dans les années 80, avec ces rockeurs, vieillissant avec nos mémoires. Une chose est sûre, les convives sont désormais nourris de nouveaux souvenirs. Les Britanniques l’ont même réclamé, en musique : « don’t you forget about me » !*
*Ne m’oublie pas
Une tradition solidement ancrée que cette soirée organisée chaque été par trois importantes entreprises partenaires des Régies Immobilières.
Texte : Marco Polisson – Photos © Saby Maviel
Cette année encore, le succès a été de nouveau au rendez-vous du 20 juin dernier, pour le trio de prestataires de services organisateurs de la soirée : ALÉO Ascenseurs – SERVIGAZ et ACTICONTRÔLE ainsi que pour leurs partenaires. Près de 1 000 personnes étaient présentes lors de cette soirée conviviale unique en son genre, principalement dédiée à tous les acteurs de la gestion immobilière de la région lyonnaise. La soirée a été particulièrement appréciée. Capitaines du Plouf, le temps d’un soir, Philippe Tissot (SERVIGAZ), Hubert Develay (ACTICONTRÔLE) et Serge Vendittelli (ALÉO Ascenseurs) ont été aux petits soins pour leurs invités, sans chichi, ni discours. Le simple bonheur de se retrouver, tous ensemble.
Citya Immobilier a levé le voile sur sa nouvelle agence Citya Bourguignon Palluat dans le 7e arrondissement de Lyon, le 8 juillet dernier, en compagnie de ses collaborateurs et de nombreux clients.
Texte : Fanny Suteau – Photos © Saby Maviel
Mais l’immobilier, c’est avant tout une histoire de personnes. Nous avons la chance de pouvoir compter sur une équipe de collaborateurs investis et professionnels à qui je souhaite exprimer ma profonde reconnaissance. Leur connaissance approfondie du marché local et leur engagement à offrir un service de qualité sont les pierres angulaires de notre succès. ». Tels furent les mots du directeur Damien Bour, à l’égard de cette agence, ouverte depuis le mois janvier 2024, dans laquelle sont accueillis sur deux étages, 30 collaborateurs.
Installée dans le 7e arrondissement depuis plus de 15 ans, Citya Immobilier a donc investi la rue de l’Université pour se retrouver
au cœur du quartier, en écho à cette élection Palmarès de la Relation Clients, obtenue en 2024 et pour la troisième année consécutive. L’entreprise a atteint la sixième place de ce classement, toutes entreprises et secteurs d’activités confondus.
« C’est dû au supplément d’âme que vous donnez, à la manière dont vous répondez au client, dont vous l’accueillez », a d’ailleurs insisté le fondateur de Citya Immobilier, Philippe Briand. Une belle soirée festive à laquelle 400 invités ont pris part, en présence notamment du président de l’Institut du Management des Services Immobiliers (IMSI), Henry Buzy-Cazaux
Après avoir présenté la veille sa nouvelle agence Bourguignon Palluat, Citya Immobilier a fêté l’ouverture de son agence Les Célestins, rue de la Charité. 18 collaborateurs sont amenés à travailler sur place.
Texte : Fanny Suteau – Photos © Saby Maviel
Au sein de la régie, les conseils vous seront toujours apportés, la sécurisation de vos biens et la défense de vos intérêts seront toujours au centre de nos préoccupations », a souligné la directrice de cette nouvelle agence, Leslie Vernay, adoubée par la cédante de la régie des Célestins, Nathalie Colombat. À juste titre, puisqu’à Lyon, « Citya Immobilier gère environ 45 000 logements », a ainsi présenté Philippe Briand, fondateur de l’institution. Comme pour l’agence Bourguignon Palluat, les quelques 300 invités purent ainsi visiter ces nouveaux bureaux, installés sur trois étages. Présent pour l’occasion, le maire du 2e arrondissement, Pierre Oliver, a tenu à souligner la capacité des salariés du groupe « à prendre le temps pour leurs clients » « On est très heureux d’ouvrir cette agence sur la rue de la Charité. Vous êtes au cœur de cette vie de quartier », a conclu ce dernier. De bon augure pour la suite...
Un jaune étincelant en mode écran et des bulles dorées, tel était le décor de cet opus 2024 parrainé par Laurent de la Clergerie à l'Abbaye Paul Bocuse. Texte : Marco Polisson- Photos © Saby Maviel, Alexandre Moulard et Doud
Après avoir participé à la standing ovation réservée à Gérard Collomb et François Turcas, deux membres du Top 500 disparus ces derniers mois, le président-fondateur du groupe LDLC a échangé sur scène avec Nico et Marco, cofondateurs de Lyon People. Porte-drapeau de la nouvelle économie, son entreprise compte désormais 15 enseignes dont 7 sites marchands, une centaine de boutiques physiques LDLC, plus de 1000 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 571 millions d’euros. Laurent de la Clergerie a également évoqué son engagement pour le bien-être en entreprise, et le plaisir au travail. 2021 illustre cet engagement, les salariés du Groupe LDLC sont passés aux 32 heures, et 4 jours travaillés. De quoi susciter le débat avec Jean-Louis Maier, partisan comme de très nombreux patrons lyonnais d’un retour aux 39 heures. La soirée s’est poursuivie par la remise des éditions cuir numérotées à plusieurs personnalités : l’humoriste Laurent Gerra, la Lyonne Alexandra Carraz-Ceselli, le pilote Julien Andlauer, le panache de Marc Fraysse, ou encore le street artiste Nicolas Heyndrickx. Entre deux délicieux plats envoyés par la brigade d’Olivier Couvin et Gilles Reinhardt, quatre membres du Top 500 tirés au sort ont participé au grand jeu « Questions pour un Champion
de Lyon ! » dont les épreuves ont réjoui les participants et la salle venue en renfort. Pas de souci pour répondre à celle-ci : « Quel est le nom
de l’édifice religieux situé sur une colline dans laquelle le maire de Lyon refuse de rentrer ? » mais plus difficile pour celle-là : « Quel célèbre auteur des Lumières, ayant écrit "Candide", a résidé à Lyon ? ».
Vainqueur de la finale, Lourdes Sagnard s’est vu remettre un billet d’avion Corsair pour les Antilles valable pour deux personnes, offert par Ailleurs Voyages. À l’heure du dessert, les 520 convives ont applaudi le one man show de l’humoriste Philippe Roche avant de souffler les bougies de Chantal Partouche et Christophe Guilloteau qui fêtaient leur anniversaire ce soir-là. Autant d’attentions préparées par Clémence Bricon et Adèle Rochas et l’équipe de Lyon People. Chaque invité est reparti avec de nombreux cadeaux dont un chargeur induction offert par LDLC, le mug Top 500 designé par Ndrix et l’ouvrage « d’Auberge et d’histoire » qui célèbre les 100 ans de la maison Bocuse : 492 pages d’histoire et de photos inédites à déguster tout au long de l’été.
L'Odre des experts-comptables Auvergne Rhône-Alpes avec son président Damien Cartel, et Virginie Maureau-Regaldo, secretaire générale
Morot-Sir (LDLC Asvel), Simon Hoayek
et
Group),
Célébration des anniversaires de Christophe Guilloteau, président du département du Rhône et Chantal Partouche (Pasino Grand) avec le fleuriste Franck Hernandez
Erick Murgier, président du Groupe Murgier, son épouse Isabelle et ses invités
Fabrice Wodey (Porsche Montélimar)
Gérard Cormorèche, président Crédit Mutuel Sud-Est et le pilote Julien Andlauer et sa sœur
N° spécial - Octobre 2024 en partenariat avec
OCTOBRE 2024
L’histoire des brasseries d’hier et d’aujourd’hui...
Brasserie Thomassin - Brasserie des Archers - Brasserie du Parc Café de la Paix - Le Savoy - Le Tonneau - Mère Vittet - Ours Blanc
33 Cité - Argenson - Barbet - Brotteaux - Chanteclerc
Confluences - Genève - Georges - L’Espace - L’Est - L’Insitution
L’Ouest - Le Nord - Le République - Le Splendid - Le Sud
Léon de Lyon - Les Monts d’Or - Les Négociants - LOU Rugby
Lundi 7 octobre 2024 à la Brasserie Georges
e beau temps de la partie, nombreux furent les Lyonnais à rejoindre les terrains de la patinoire de Megève, pour entretenir le succès de ce 20ème rendez-vous créé il y a 22 ans par l’industriel Roger Caille. Si bien que sur cette patinoire, que le soleil et l’été transforment en terrains remarquables, 44 triplettes se réunirent à nouveau cette année, briguant toutes, le trophée de vainqueur, dans la bonne humeur propre à l’événement organisé par Hugues Ducrot, Jean-Michel Abou et Jean-Philippe Caille. Et bien sûr, si les lots fournis par les maisons Maier, Allard, Cellerier, Aston Martin Lyon, Arpin ou l’hôtel le Soleil d’Or ont vocation à éveiller l’esprit de compétition de ses participants, le verdict final fut finalement heureux au maître de l’événementiel mégevan, Édouard Apertet et son équipe.
: Morgan
“MERCI POUR LA CONFIANCE QUE VOUS M’AVEZ ACCORDÉE. MERCI D’AVOIR FAIT CE QUE JE SUIS DEVENU À VOS CÔTÉS.”
Depuis 13 années, il était le visage régional du leader mondial des vins et spiritueux en Auvergne Rhône-Alpes.
Texte : Marco Polisson – Photos © Alexandre Moulard
C’est dans la sérénité – mais non sans émotion – qu’Alain Potiron, directeur régional de Pernod Ricard a transmis le flambeau à Christina Woonings Apicella devant un parterre de grands comptes, de chefs et de partenaires réunis au siège lyonnais du groupe. « Je suis pleinement rassuré car je sais que c’est la bonne personne, qui va consolider les fondations, et continuer à développer nos activités » « Au moment de partager cette tranche de vie, c’est important de vous avoir à mes côtés » a-t-il déclaré avant de rembobiner le film de sa carrière débutée à Nantes en 1985, en tant que promoteur des ventes à bord « d’une Acadiane avec toutes les options dont un mégaphone sur le toit ». Quarante ans plus tard, si son véhicule de fonction a changé de standing, sa passion reste intacte, même s’il est temps de raccrocher les gants... sans déménager pour autant. « Les Nantais que nous sommes ont pris la décision de rester Lyonnais dans cette nouvelle vie. La greffe a bien pris ». Dans les cartons, ses futurs projets qu’il nous dévoilera au cours de l’automne 2024.
Un an après une première édition couronnée de succès, le département Annonces Légales de Lyon People, en partenariat avec Audi Groupe Central Autos, a repris le chemin du Café du Pond. Un terrain de jeu idéal pour les professionnels du chiffre et droit, amateurs de pétanque.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Là n’est pas l’essentiel, ni le but ultime de ce rendez-vous, mais malgré tout, à reprendre les paroles de sages, « la volonté de gagner, l’envie de réussir sont souvent les clés qui ouvrent la porte de l’excellence personnelle ». Un point commun à la centaine de participants, avocats, notaires, mandataires judiciaires, commissaires-priseurs et experts-comptables, mobilisés sur les terrains de la place Maréchal Lyautey, pour la 2e édition du Trophée de pétanque Lyon People Annonces Légales. Car si la bonne humeur, fut de pair avec la météo, les acteurs ne purent s’empêcher de donner vie à leur esprit de compétition. Sous les yeux du partenaire de la soirée, Audi Groupe Central Autos, la chambre des notaires, le Barreau de Lyon et l’Ordre des Experts-Comptables AURA, durent néanmoins reconnaître la supériorité d’un cabinet : LBIIM et associés !
1er : Cabinet LBIIM et associés (Jérôme Dura, Olivier Munos et Olivier Penicaud) 2e : Maître Éric Pelet, Philippe Porreti (ACTUAL) et l'assureur Frédéric Frèrejean 3e : Bremens Notaires (Mathieu Sigaud, Amandine Cotte et Arnaud Tournaire)
42,
C’est un spectacle patrimonial rafraîchissant, et insolite par les temps qui courent... à l’aube de mesures drastiques les invitant à rester au garage. Mais qu’importe, même les bouchons sont de nature à les servir. La 18e édition de la Traversée de Lyon en fut la récente démonstration, avec pas moins de 600 véhicules prompts à profiter d’une belle journée d’avril pour laisser leur carrosserie briller à la vue de tous.
À travers les quais et les ponts de la capitale des Gaules, nombreux furent en effet, les spectateurs, à apprécier ce ballet de belles autos
« On a eu beaucoup de public », put ainsi se réjouir Jean-Pierre Benozillo, organisateur de ce rendez-vous automobile, dont le cumul des années ne vient en rien perturber l’attractivité de ces trésors à quatre roues. La recette de cet évènement organisé en partenariat avec Gilles Pillon, maire de La Tour de Salvagny ? Tout le monde y trouve son compte, les collectionneurs y voyant l’occasion d’exposer leur passion, quand le public vient lui, apprécier des modèles iconiques, voire oubliés.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Karine Bourgain
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12/07/2024 – Sibylle Rigollot et Romain Rostagnat
Dans nos intentions de prière,
Monsieur Jean-Louis Orsi, fils de Pierre et Geneviève Orsi ;
Monsieur Camel Boutarfa (1) , roi des nuits lyonnaises ;
Monsieur Louis Ongaro, fondateur du restaurant Au Bureau, à Gerland ;
Monsieur Henri Junique, ancien régisseur immobilier ; Monsieur Pierre Dumont, ancien maire de Saint-Romain-au-Mont-d’Or ;
Monsieur Henry Carrillon, fondateur de CGE Emballages ;
Madame Thérèse Janin, épouse de Bernard Janin (Régie Janin) ;
Monsieur Bernard Maysonnial (2), président des Anciens Combattants, papa de Muriel et Marc ;
Monsieur Jean-Bernard Nuiry, adjoint au Maire de Lyon 2 ; Monsieur Charles Juliet, écrivain ;
Madame Yvette Lassausaie, maman du chef Guy Lassausaie ;
Maître Gilles Ducrot, papa de Ségolène, d’Edouard et d'Hugues Ducrot ;
Docteur Paul Planès, chirurgien-dentiste ; Docteur Pierre Hormis, gynécologue obstétricien ;
Monsieur Yves Richard, figure du constructeur Mercedes ASLY à Lyon ;
Monsieur Michel Tournissoux, papa de Sébastien Tournissoux.
Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.
CORPS CONSULAIRE
Le Corps Consulaire de Lyon accueille en son sein :
Madame Jessica Engel, Consul Général d'Allemagne
Monsieur José Ricardo Gomez-Acebo y Rodriguez-Spiteri, Consul Général du Royaume d'Espagne
Monsieur Robert Drzazga, Consul Général de Pologne
Monsieur Hugues Deloche a été nommé Consul Honoraire d'Autriche, à la suite de Monsieur Philippe François.
Un consulat général de Bulgarie s'installe à Lyon et c'est Madame Nadia Torodova Zhivkova Vaneva qui a été nommée Consul Général de Bulgarie.
Jean-Charles Prioux vient d’être nommé Directeur Général de l’École supérieure de la banque par le Conseil d’Administration du 23 juillet 2024. Il succède début octobre prochain à Éric Depond qui dirige l’établissement, établi à Lyon 9ème, depuis 2020.
Le vigneron Jean-Marc Lafont a été élu président de l’Interprofession des vins du Beaujolais par les membres statutaires d’Inter Beaujolais réunis en Assemblée Générale jeudi 18 juillet. Pour les deux prochaines années, il aura la responsabilité avec le Conseil d’Administration de poursuivre la volonté de montée en gamme des vins du Beaujolais, visant notamment à affirmer leur valorisation sur les marchés et notamment à l’international, et à soutenir la responsabilité environnementale des acteurs du vignoble.
L’association APIA (Administrateurs Professionnels Indépendants et Associés) annonce la nomination d'Éric Besse pour une durée de trois ans, à la nouvelle présidence du bureau régional.
Texte : Marco Polisson – Photo DR
C’est en l’église Nativité de la Sainte Vierge à Albigny sur Saône, que se sont déroulées, fin août, les obsèques du régisseur immobilier. Né en 1957, d’une fratrie de triplés, Henri Junique a usé ses fonds de culottes sur les bancs des écoles St Thomas d’Aquin et de Claude Bernard avant d’effectuer sa carrière dans l’immobilier – notamment au sein de la régie familiale Chapot SA (boulevard des Belges) et du groupe Constructa. Père de deux enfants Pauline et Julien, il avait eu la douleur de perdre ses deux frères au cours de ces dernières années. Il en avait été très affecté.
Un homme chaleureux et un bon vivant. Proche du courant souverainiste, il était très intéressé par la vie politique lyonnaise et nationale. Autant dire que la secte écologiste n’avait pas ses faveurs. « Lamentable, les Français n’ont rien compris » poste-t-il sur sa page Facebook, le 7 juillet, au soir du second tour des élections législatives, l’avant-veille veille de sa disparition. Pleinement concerné par la défense de notre patrimoine gastronomique, il s’investissait avec toute sa fougue en tant que trésorier des Authentiques Bouchons Lyonnais, aux côtés de Patrick Deschamps et Philippe Vorburger. L’association lui rendra hommage lors de son repas de rentrée, samedi 14 septembre au Vétéran (Lyon 8).
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