LYON PEOPLE Juillet 2024

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“CHEZ

LES LYONNAIS DE MARBELLA

LA GRANDE ÉVASION

Christophe Muller

N°251 – Juillet / Août 2024

Le salon du Cheval de Lyon En fête pour sa 30e

140 000 m2 de stands et espaces d’animations

3 500 chevaux sur le site

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carrières animées en continu par des compétitions, des animations, des démonstrations et des shows d’élevage

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5 jours de célébration du cheval

Pôle Western. Rendezvous avec les meilleurs cavaliers européens d’équitation américaine

Pôle Santé piloté par des professionnels de la santé équine et humaine. Objectif : Bien-Être Équin

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soirées sport et spectacle : jumping de haut niveau et spectacle équestre inédit.

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Du mercredi 30 octobre au vendredi 1er novembre de 8h30* à 20h30

Nocturne • samedi 2 novembre de 8h30 * à 22h30

Dimanche 3 novembre de 8h30 * à 19h00

Horaires susceptibles d’être modifiés *Accès à la tribune de la Carrière Internationale à partir de 8H00

L’APPLI EQUITA !

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INFOS FAUSSES QUI RENDENT SCEPTIQUE

Dans les années 60, seuls France-dimanche, ici-Paris et le parti communiste avaient un rapport compliqué avec la Vérité. Il arrivait bien que quelques-uns s’arrangeassent avec Elle mais ça n’avait rien à voir avec ces temps que nous vivons aujourd’hui où le mensonge est dans toutes les têtes et sur toutes les lèvres.

C’est vrai en politique : Mitterrand avait mis la barre très haut, Chirac qui avait des dispositions s’est révélé être un super menteur, Sarkozy n’a pas fait mieux mais a su se montrer à la hauteur de ses prédécesseurs, Hollande formé rue Solférino a montré qu’il pouvait mentir même dans sa vie privée. Quant à Macron, il bat tous les records. Persuadé d’être plus intelligent et plus malin que nous, il démontre jour après jour qu’on peut mentir comme on respire. Mais ne nous y trompons pas, l’exemple venant de haut, les seconds couteaux montrent aussi qu’ils sont très doués pour cette discipline.

C’est vrai dans le monde culturel et artistique où depuis 50 ans, on nous fait prendre des lanternes pour des messies, où les disciples des dadaïstes, pseudos artistes auto-déclarés à la médiocrité arrogante, s’auto-congratulent dans des biennales d’Art contemporain toutes plus affligeantes les unes que les autres. Et que dire de ces films qu’on nous présente comme des chefs-d’œuvre alors que sans cette promotion mensongère, il n’y aurait pas eu un seul spectateur. Après une semaine ou deux de programmation, les voilà qui quittent déjà les écrans après un flop retentissant.

C’est vrai dans l’information. La palme d’or du mensonge revenant sans la moindre hésitation au service public idéologisé jusqu’au bout des ongles.

Ici, nous avons affaire à plusieurs types de mensonges, le mensonge en pensées, en paroles, par action et par omission. Je me rappelle d’une vieille publicité pour notre quotidien lyonnais qui disait : « si c’est vrai, c’est dans le Progrès ». On pourrait dire aujourd’hui en renversant cette proposition d’hier : « si c’est faux, c’est sur France Info ». N’oublions pas d’accorder également des mentions spéciales du jury à l’AFP et à la plupart des O.N.G, et globalement à l’ensemble de la presse qui, jour après jour, nous intoxique sans vergogne en nous abreuvant d’infos que seules les mouches devraient gober et dont, malheureusement, beaucoup d’entre nous font leur miel. Par charité chrétienne, je ne dirai rien sur les réseaux sociaux. À proprement parler, il ne s’agit pas ici de mensonge mais plutôt de bêtise crasse et d’ignorance triomphante qui entraînent un ramassis de contrevérités suffocantes colportées ensuite par des abrutis tellement fiers de leur incommensurable balourdise. Si l’Église catholique avait encore quelque peu d’influence, les confessionnaux ne désempliraient pas les samedis après-midi.

Jean-Marc Requien

en bord de

C“De bons produits pour de bons plats... sur l’une des plus belle terrasse du nord de Lyon...”

Ouvert du mercredi au dimanche midi

Du mercredi au samedi : 12h-14h00, 19h30-21h15

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Restaurant
Saône

08 LA VIE LYONNAISE

10 LA VIE POLITIQUE

12 LA VIE JURIDIQUE

14 LA VIE CULTURELLE

16 LA VIE GASTRONOMIQUE

20 LE CAFÉ DES LYONNES

SARA KÉBIR

23 PEOPLE STORY

LES LYONNAIS

DE MARBELLA

CHRISTOPHE ET PÉPITA MULLER

CHRISTIAN MARTIAL

ELIE CUNAT ET ELISABETH CHOW

42 UN ÉTÉ À MEGÈVE

46 STYLE ÉVASION

48 STYLE GASTRONOMIE

52 STYLE AUTO ASTON MARTIN

54 PEOPLE SPORT JEUX OLYMPIQUES

CRITÉRIUM DAUPHINÉ LIBÉRÉ LOU — TOULOUSE

63 PEOPLE EVENTS LES 21 ÉVÈNEMENTS

QU’IL NE FALLAIT PAS MANQUER 98 CARNET MONDAIN

Lyonpeople.com n°251 - Juillet / Août 2024

Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler

Couverture : Christophe Muller par Alexandre Moulard

Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com

Directeur de la rédaction Marc Engelhard

Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com

Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com

Journalistes Fanny Suteau, Christian Mure, Jocelyne Vidal, Lou-Ann Girardet

Directeur artistique Ghislain Laîné - ghislain@lyonpeople.com

Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com

Directrice de clientèle Sophia Jeannot - sophia@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43

Directrice du TOP 500 des Lyonnais Clémence Bricon

Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com

Assistante commerciale Adèle Rochas - adele@lyonpeople.com

Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com

Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Karine Bourgain, Bertrand Perret Ont collaboré à ce numéro Laurette, Jocelyne Vidal, Alexandra Carraz, Odile Mattei, Philippe Lecoq, Jacques Bruyas, Jean-Marie Nauleau, Christian Mure, Charlotte Winckler, Jean-Irénée Riva, Sol Richer. Diffusion Agence Coyote Diffusion

Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique à partir du site lyonpeople.com

Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.

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DÉFENSEURS DE LYON

LA RÉSISTANCE

CONTRE LA FERMETURE DE LA PRESQU’ÎLE S’ORGANISE

Texte : Jean-Irénée Riva – Photo © Lyon People

Ce jeudi 27 juin 2024, le Collectif des Défenseurs de Lyon, mouvement apolitique d'habitants, de commerçants et de professionnels, a manifesté devant l'Hôtel de Ville de Lyon, protestant contre la fermeture de la rue Grenette et la piétonisation de la presqu’île. Cette mobilisation coïncidait avec le dernier conseil municipal avant les vacances et faisait suite au mâchon de la résistance organisé une semaine plus tôt. Habitants, commerçants et professionnels se sont rassemblés pour protester contre les mesures de piétonisation imposées par la mairie écologiste et exprimé leur désaccord et leurs revendications, en clamant haut et fort leur mécontentement.

« Non, non, non, à la fermeture » « C’est un ras-le-bol général des habitants et commerçants de la ville », a déclaré Christophe Cédat, restaurateur et porte-parole du collectif, traduisant l'exaspération croissante face aux nouvelles mesures de piétonisation. Cette frustration s'est manifestée par une action symbolique : la fermeture de l'accès à l'Hôtel de Ville, en plein conseil municipal. Les habitants et commerçants dénoncent des « décisions autoritaires et dogmatiques, sans prise en compte de l'avis des commerçants, habitants et personnes directement concernées ». Ces mesures, jugées incompréhensibles et précipitées, suscitent une large opposition, notamment parce qu'elles sont mises en œuvre sans concertation préalable avec les principaux concernés. Une fois les prises de paroles terminées, les 200 personnes présentes pour l’événement se sont tournées face à l’Hôtel de Ville, où se trouvaient au balcon quelques élus, pour scander, tous ensemble, « non, non, non, à la fermeture ».

Un appel à l'action et à la concertation. « Nous voulons des élus qui aiment vraiment Lyon », a souligné Mathieu Bruel, membre du collectif, exigeant un dialogue plus ouvert et une prise en compte des besoins réels des Lyonnais. Le collectif a émis des demandes claires : « la suspension immédiate de tous les travaux en cours » et « la mise en place de rencontres entre élus et représentants du collectif ». Ces revendications visent à instaurer une concertation efficace et à trouver des solutions adaptées pour tous. Alors qu’il assistait au Conseil municipal, le maire du 2e arrondissement, Pierre Oliver, a tenu à venir saluer les membres du collectif et personnes présentes au rassemblement, pour soutenir le mouvement. Le collectif reste vigilant et prépare des actions à la rentrée pour maintenir la pression sur Grégory Doucet et les élus écologistes.

> Reportage complet et lien vers la pétition sur lyonpeople.com – Rubrique : Actualités politiques

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> Le jardin d'enfant de la rive droite du Rhône est la risée des Lyonnais

AGENDA

Trophée de pétanque GENTLEMAN DES LYONNAIS DE MEGèVE

> Samedi 20 juillet 2024 A partir de 9h Terrains de la patinoire de Megève

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JOURS SOMBRES SUR L’AVENUE DES FRÈRES LUMIÈRE

Programmée pour 2026, la requalification de l’avenue des Frères Lumière, coupée en deux par un filtre modal, devrait entraîner la suppression de 200 places de parking. Pour Gwenaël Belbeoch, président de l’UCAM, l’objectif est clair : « supprimer la voiture du quartier. »

Après avoir travaillé deux ans en ateliers, supposés recenser leurs priorités, les commerçants et artisans de Monplaisir, réalisent qu’ils n’ont pas été écoutés par les écologistes. « Si la première partie du projet consacré à la végétalisation de l’avenue et à la protection des cyclistes nous paraît cohérente, la deuxième partie s’avère inquiétante, avec la suppression de 200 places de parking et un plan de circulation doté d’un filtre modal au carrefour de l’avenue des Frères Lumière et des rues Saint-Maurice et Armand Gélibert, un détournement de la circulation que nous avons découvert aux lendemains d’une conférence de presse à laquelle nous n’avions pas été conviés », déplore Gwenaël Belbeoch, président de l’UCAM (Union des Commerçants et Artisans de Monplaisir).

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Une clientèle de 31% d’automobilistes, 8% de cyclistes... Cette coupure en deux de l’artère principale de Monplaisir prive de visibilité la moitié des commerces de ce quartier-village, à la clientèle composée de 31% d’automobilistes extérieurs à Monplaisir, contre seulement 8% de cyclistes. Chiffres de fréquentation étayés par un panel de 20 000 personnes, établi à partir des outils de caisse et des programmes de fidélité de la centaine d’adhérents de l’UCAM. Obliger les clients d’enseignes nationales et internationales Benetton, Sibilia, Pralus, Bouillet entre autres — mais aussi les patients des nombreux cabinets médicaux et laboratoires du quartier Lumière, à marcher une demi-heure depuis un parking de la rue Maryse Bastié, avant de pouvoir effectuer leurs achats ou honorer leurs rendez-vous de santé, c’est les pousser fatalement à déserter le quartier.

20 à 30% de perte de chiffre d’affaires. Programmée pour 2026, la requalification de l’avenue des Frères Lumière a laissé déraper son budget de 5 à 7,6 millions d’euros (1,1 M€ pour la ville, 6,5M€ pour la Métropole) sans prévoir de stationnements minute, ni de places pour personnes à mobilité réduite en nombre suffisant. Pour Gwenaël Belbeoch, l’objectif est clair : « supprimer la voiture du quartier. » Une option qui a déjà valu 20 à 30% de perte de chiffre d’affaires aux commerces lourdement impactés par les travaux d’assainissement en cours dans une artère sinistrée, embouteillée du matin au soir. Inaccessibles aux fauteuils des personnes à mobilité réduite, des trottoirs défoncés obligent les piétons à zigzaguer en file indienne, entre barricades, tranchées et engins de chantier. À pied, à vélo ou en voiture, c’est la galère.

Nadine Gelas “Ce laisser-aller amplifie tous les problèmes du quartier de la Guillotière”

« L’état pitoyable de la fresque du cinéma renvoie aux difficultés d’un quartier qui en a déjà suffisamment », déclare Nadine Gelas, ancienne vice-présidente du Grand Lyon et fondatrice de l’Université de la Mode. Ce laisser-aller nuit autant à la représentation du patrimoine cinématographique de Lyon, berceau du 7ème art, qu’à l’esthétique de la place Gabriel Péri : « il est absurde de ne pas avoir inclus dans son réaménagement la restauration de la fresque du cinéma », déplore Nadine Gelas. Habiter le quartier depuis 40 ans amène l’universitaire à porter un regard tout aussi critique sur le projet d’implantation en 2025, d’un immense supermarché Lidl au rez-de-chaussée de l’iconique immeuble Citroën-New Deal de la rue de Marseille, inscrit aux Monuments Historiques depuis 1992. « Le lieu, comme le quartier, souligne Nadine Gelas, aurait pu inspirer une installation plus intellectuelle, celle d’une galerie de peinture ou d’une bibliothèque. » L’option commerciale, destinée selon la Ville de Lyon, à dynamiser le quartier, l’a emporté. Le permis de construire déposé par l’enseigne de hard discount a été accepté. Occasion pour Philippe Allart, architecte associé de l’Agence ALEP qui a opéré la reconversion de l’ex-garage Citroën, de se positionner en « accompagnateur des preneurs et garant en chef, de la préservation de ce bâtiment historique. »

Textes : Jocelyne Vidal – Photos © Lyon People
La réfection
la place Gabriel Péri fait ressortir l'état pitoyable de la Fresque du Cinéma

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LE CABINET ALCÉ AVOCATS DEVIENT FOSTER AVOCATS LYON

Depuis le 20 mai 2024, le cabinet Alcé Avocats, dédié au droit des affaires et composé de trois associés, a fait sa mue pour devenir Foster Avocats Lyon. Quelques mois après leur association, Maîtres Thomas Boudier, Manon Azaïs et Nicolas Lebrun ont annoncé la création du réseau Foster Avocats et le passage de leur cabinet sous l’enseigne Foster Avocats Lyon. Foster Avocats, réseau d’avocats initialement créé à Nantes, comprend désormais une deuxième installation à Lyon. Son objectif : poursuivre son développement, tant par les synergies entre ses équipes que sur le territoire, en fonction des besoins de ses clients.

UN RÉSEAU SPÉCIALISÉ DANS LE DROIT DES AFFAIRES

Foster Avocats Lyon exerce principalement en contrats et contentieux d’affaires, droit du numérique et droit de la propriété intellectuelle, droit du travail et droit des sociétés. Il intervient tant en conseil qu’en contentieux, avec une présence forte devant les juridictions de la région Auvergne-

Rhône-Alpes. Foster Avocats Nantes a une expertise reconnue en droit des affaires, financement, économie sociale et solidaire, droit patrimonial, droit de la famille et droit du travail. Les deux cabinets partagent ainsi une vision pragmatique du droit des affaires et une recherche constante de la satisfaction de leur clientèle.

Foster Avocats Lyon

264, rue Garibaldi – Lyon 3 Tél. 04 83 43 70 40 > Plus d’informations sur www.foster-avocats.com

MLM Avocat L'approche innovante de Marion le Marchand

Depuis sa création en 2009, MLM Avocat assiste et conseille les entrepreneurs et les sociétés, en retenant une approche entrepreneuriale et pragmatique, dans les domaines de l’innovation, des nouvelles technologies et de l’industrie. Titulaire d’un double cursus juridico-économique effectué à l’EMLyon Business School et forte de quinze années d’expérience, Maître Marion le Marchand, avocate au Barreau de Lyon, accompagne ses clients partout en France et dans le monde. Son expertise passe notamment par une très bonne maitrise de l’anglais juridique et des outils numériques, de communication et de gestion dématérialisés.

Les sujets piliers d’accompagnement dans les domaines de l’innovation Parmi ses sujets piliers d’accompagnement, Maître Marion Le Marchand gère la création de projets, les finances des entreprises, les

techniques contractuelles pour la négociation des contrats, les cessions et restructurations, le droit des affaires, de la distribution et de la concurrence, l’informatique, le numérique et l’intelligence artificielle, la propriété intellectuelle, le droit de la santé et la médiation. Spécialement formée à la médiation au Centre de Médiation et d’Arbitrage de Paris, et certifiée RNCP en qualité de Coach professionnelle, Maître Marion le Marchand intervient dans le cadre de la construction, du développement et de l’évolution des projets d’entreprise, en favorisant un esprit « deal-maker ».

MLM AVOCAT 1, rue Tupin – Lyon 2 Tél. 09 86 29 95 55 > Plus d’infos sur www.mlm-avocats.fr

Texte : Fanny Suteau – Photos © Studio le Carré et DR
Nicolas Lebrun, Manon Azaïs, Thomas Boudier et Suzanne Gignoux (juriste)

LFESTIVAL RÉGION DES LUMIÈRES LAURENT WAUQUIEZ DÉVOILE SON PROGRAMME ESTIVAL

ancé en 2019 par le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, le Festival Région des Lumières valorise le patrimoine à travers des projections monumentales et des scénographies immersives. Cette année, l’événement se déroulera du 6 juillet au 21 septembre 2024. Avec un budget de 1,2 million d’euros, cette 6e édition s’étendra sur six villes de la région Auvergne-Rhône-Alpes : Moûtiers (Savoie), Aurec-sur-Loire (Haute-Loire), ChampdorCorcelles (Ain), Salers (Cantal), Theizé-enBeaujolais (Rhône) et Clermont-Ferrand.

Chaque représentation est une création originale. Organisé par l’entreprise de Gilbert Coudène, spécialisée dans la création de spectacles lumineux, Les Allumeurs de Rêve, le festival propose des spectacles gratuits, à la tombée de la nuit. « Ces traditions, ces monuments historiques, sont l’héritage que nous avons reçu et dont nous avons maintenant la responsabilité de sa préservation », explique Laurent Wauquiez. Ce dernier a également annoncé le retour du Festival Région des Lumières sur le site de Fourvière. En 2023, la Basilique avait été privée d’illumination pour

la Fête des Lumières, la Région et la Ville de Lyon n’ayant pas réussi à se mettre d’accord. En 2024, le monument sera donc au cœur des célébrations du 8 décembre jusqu’aux fêtes de Noël. Depuis 6 ans, le Festival Région des Lumières a organisé 51 spectacles dans 37 villes différentes, avec plus de 2 millions de spectateurs. Un rendez-vous incontournable, où l’histoire et le patrimoine prennent vie sous des lumières étincelantes.

> Retrouvez toutes les dates sur lyonpeople.com / Actualités culturelles

À LIVRES OUVERTS

“LES CHASSEURS D'ÉCUME”

de Debois et Fino

Juin 1960, dans un train entre Quimper et Paris. Jos Gloaguen, la soixantaine chenue, va représenter les intérêts des pêcheurs de Bretagne Sud au comité interministériel de la sardine. Un voisin de wagon intrigué l'interroge : il s'est toujours demandé comment un si petit poisson peut susciter autant d'émois... Comment en 1924 les grèves des Pen Sardines, ces travailleuses des conserveries, ont pu avoir un tel retentissement national ! Jos Gloaguen sait bien lui, que la sardine est le blé de l’océan, et autant une affaire de passion que de survie... Alors il remonte dans ses souvenirs, pour raconter comment il a embarqué pour la première fois en 1901, âgé de 12 ans. Comme leur existence était difficile, entre l'âpreté des sorties en mer, les caprices de la sardine et l'exploitation par les patrons des conserveries... Une superbe adaptation en BD. Editions Glénat / 48 pages / 14,50 €

“LE

BOMIAN” de Page Comann

En ce cinquantième anniversaire de la mort de Marcel Pagnol, marchons en ses traces... Eté 1955, Alpes-de-HauteProvence. Le village du Mazet-sur-Rourle se prépare à fêter le 14 juillet. Un feu d'artifice sera tiré en apothéose au-dessus de la garrigue. Au cœur de cet été de canicule, l'arrivée d'un étranger, d'un « bomian » comme on dit au pays, fera exploser bien autre chose que des fusées. Les secrets, les nondits, les mensonges. Tout ce que les habitants cachent depuis trop longtemps derrière leurs jalousies. Pour beaucoup, c'est l'heure des comptes. Dans le théâtre d'une nature sublime et éternelle, indifférente aux malheurs mesquins des hommes et des femmes, un drame provençal où personne ne s'attend à la violence du bouquet final. Un livre des plus évocateurs. Éditions M+ / 21,90 €

Texte : Fanny Suteau – Photos © DR

Textes : Jacques Bruyas

“LE SECRET DES TERRES BLANCHES”

de Christian Laborie

Otto Larguier découvrira-t-il ce qui le lie à ces terres envoûtantes ? Otto, fils d’un général prussien, s’enrôle dans l’armée allemande pour combattre durant la Grande Guerre. Au milieu des luttes sanglantes, il tue un soldat français nommé Ruben Larguier. Tiraillé par la culpabilité et intrigué par l'identité de sa victime, Otto se lance à la recherche du passé de cet homme. Il s’installe alors sur le domaine des Terres Blanches, malgré les suspicions des habitants à son égard. Surnommé « l’estranger » par les femmes du village, il vit seul dans cette ferme jusqu’à sa rencontre avec Marie, la fille du défunt, dont il tombe sous le charme... Un beau roman du terroir comme seules les éditions De Borée en ont le secret. Une écriture limpide, agréable et fichtrement efficace. Éditions De Borée / Collection Terre de Poche / 448 pages / 9,40 €

“L'ADIEU

AUX MASCAREIGNES”

de Philippe Boin

Que sait-on de la bourguignonne Jeanne Barret ? Qu'elle est née en 1740 à la Comelle dans une famille paysanne miséreuse et inculte. Ce livre nous révèle son incroyable destin d'aventurière qui l’emmène, déguisée en homme, dans l'expédition menée par Bougainville. Elle n'a jamais véritablement laissé de journal et ne s'est guère exprimée sur ce vécu exceptionnel, mais c'était compter sans la talentueuse plume de Philippe Bouin qui lui donne la parole et lui fait conter à la première personne une vie aventureuse sans égale pour nous offrir une plongée dans les grandes explorations maritimes du XVIIIe siècle. Ce livre est un pur régal et un modèle du genre. Philippe Bouin a sacrément du talent et de la verve comme du verbe. Une impérative lecture de vacances comme de rentrée. Éditions Héraclite / 390 pages /19,90€

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sont accessibles sans permis pour les conducteurs nés avant le 01-01-88 ou à partir de 14 ans pour les personnes nées après cette date titulaires du permis BSR option quadricycle léger délivré avant le 19 janvier 2013 ou du permis AM délivré à partir du 19-01-13. Crédit Photo : SIMPOL. Photos non contractuelles. Conception-réalisation : Ligier Group 05.2024.

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MALVA

GASTRONOMIE FRANCO-UKRAINIENNE

Ouvert en septembre 2023 dans le 6e arrondissement, Malva propose une adaptation des recettes ukrainiennes, au goût français, pour mélanger les deux cultures et offrir une cuisine gastronomique.

Des plats tels que le bortsch, les varenikys et les croquettes à la Kiev sont à venir découvrir sans attendre.

Texte : Fanny Suteau – Photos © Samuel Jacques, agence La Buvette et DR

Àseulement 19 ans, Illia Vasvutinski est un jeune prodige de la cuisine, au talent très prometteur. Lui et sa mère, Iuliia Makarenko, ont quitté Odessa en mars 2022, juste après l’invasion russe, pour venir s’installer en France. Arrivés d’abord à Paris, mère et fils sont venus s’installer à Lyon pour les études d’Illia à l’institut Paul Bocuse. Un an plus tard, le jeune chef a saisi une opportunité pour ouvrir son restaurant. Il s’est associé avec sa mère et Vladislav Duport Butique, ami de la famille. Tous deux assurent la gestion et le service en salle. Malva, en référence à la mauve, plante emblème de l’Ukraine, peut accueillir 60 couverts à l’intérieur et 16 en terrasse.

Un jeune chef prometteur. « Je cuisinais déjà à la maison quand j’avais 7 ans », explique Illia qui a notamment participé aux émissions Masterchef junior en Ukraine à l’âge de 11 ans et a été finaliste. C’est lors des sélections du Bocuse d’Or en Ukraine qu’Illia a rencontré le chef Davy Tissot, qui lui conseilla de venir se former en France, à l’institut Paul Bocuse. Il est aujourd’hui en 2e année et gère aussi son propre restaurant, assisté par une équipe de trois personnes : Olga Kruchak, un sous-chef azerbaïdjanais et une commis ukrainienne. Le jeune chef avait déjà travaillé dans plusieurs restaurants en Ukraine mais aussi en France, à l’occasion de stages estivaux, notamment aux Château de Garrevaques, dans le Tarn, et au restaurant Bulle, à Lyon, chez Guy Lassausaie

“JE VOULAIS FAIRE UNE CUISINE FRANCOUKRAINIENNE

GASTRONOMIQUE”

La carte de l’établissement change à chaque saison. Ici, les plus fins gourmets pourront goûter des plats uniques, comme les incontournables saucisses faites maison, au porc, poulet et canneberge ou bien au canard, poire fumée et sauce au poivre. Ils pourront aussi apprécier le célèbre bortsch, potage symbole de l’Ukraine, servi en version allégée et froide pour le printemps, ou encore les

varenikys, ces pâtes farcies, à la viande ou au fromage frais. « La cuisine ukrainienne utilise beaucoup de racines. J’essaie de travailler avec les betteraves, j’en utilise dans les entrées, les plats, les desserts », souligne le chef, qui peut compter sur Olga, pour gérer les autres personnes en cuisine en son absence. « Je ne voulais pas faire de la cuisine traditionnelle ukrainienne, je voulais faire une cuisine franco-ukrainienne gastronomique », ajoute ce dernier. « Les recettes ukrainiennes sont des cuisines de maison, très simples. Je veux montrer aux Français que les Ukrainiens aussi peuvent avoir un bon niveau en cuisine », conclut Illia. Malva devient ainsi un pont culinaire entre deux cultures. Une visite s’impose pour découvrir cette fusion unique et soutenir un jeune chef qui redéfinit les frontières de la gastronomie ukrainienne en France.

Malva 4, rue Bossuet – Lyon 6 Tel. 04 78 24 28 09

Ouvert midi et soir, du mardi au samedi > Plus d’infos sur www.malva-restaurant.com

MD Lease Limonest SHOWROOM

350, chemin de Paisy - 69760 Limonest

Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h

Samedi : 9h - 12h / 14h - 17h

MD Lease Lyon 6e

120, rue Duguesclin - 69006 Lyon

Lundi au vendredi : 9h - 12h / 14h - 19h 6

CHÂTEAU DE LACROIX-LAVAL

LE CFA DE LA GASTRONOMIE SOUS PAVILLON VATEL

Deux ans à peine après son ouverture, le CFA de la Gastronomie, installé au château de Lacroix-Laval, est entré dans une nouvelle ère. L’entité créée par Christian Têtedoie a été cédée au groupe Vatel. Il avait été dit, à la pose de la première pierre de cet édifice que « l’apprentissage est la voie d’excellence pour rentrer dans l’emploi » Hélas, les promesses d’hier n’ont pas toujours eu les résultats escomptés, en dépit de ces deux restaurants et de ce salon de thé qui animent les lieux autrefois occupés par l’Orangerie de Sébastien (Gérard Angel). Car si Christian Têtedoie, président du CFA de la

gastronomie avait rêvé en grand du château de Lacroix-Laval de manière à offrir un réel confort de travail à ses jeunes apprenants, le gastronome dut finalement se résoudre à affronter bien des combats.

LA FIN D’UNE ÉPOQUE CHARGÉE EN MÉSAVENTURES

À commencer par une procédure de redressement, à laquelle l’école échappa, au gré d’un soutien notable de la Métropole de Lyon et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Une participation néanmoins insuffisante pour le CFA de la Gastronomie, confronté à la conjoncture actuelle. Face à ce constat, la marque s’apprête donc à passer sous un autre pavillon. En l’occurrence Vatel, le groupe, désormais dirigé par Karine SebbanBenzazon, ayant décidé de mettre la main à la poche pour acquérir le site et y installer un nouveau campus « Vatel Academy » L’officialisation a eu lieu jeudi 13 juin 2024, la présidente et son père, Alain Sebban ayant

pris rendez-vous avec Laurent Wauquiez, Bruno Bernard et Christian Têtedoie, pour entériner la cession de l’école et de ses 4800 m2. L’occasion d’en dire plus, sur ce noble projet, décidément bien compliqué.

LA RÉGION AURA aux fourneaux

Dans un communiqué, la Région Auvergne Rhône-Alpes se dit « fière de la transformation du Centre de Formation des Apprentis (CFA) de la Gastronomie, présidé par le chef étoilé Christian Têtedoie, en Vatel Academy. En tant que partenaire majeur du projet depuis sa création, la Région a toujours soutenu ce centre de formation, vitrine de la gastronomie et du savoir-faire de notre territoire. Depuis 2020, le soutien régional pour ce projet s’élève à 5 millions d’euros, contribuant au développement et à l’attractivité de cette institution de la formation culinaire. Face à une menace de fermeture, la Région a également attribué une subvention exceptionnelle de 850 000 euros au CFA, en septembre 2023, pour maintenir son ouverture. »

Texte : Morgan Couturier – Photo © DR

SARA KEBIR

VICE-BÂTONNIÈRE

DU BARREAU DE LYON

Chaque mois, Alexandra CarrazCeselli, Fondatrice de L’Equipe des Lyonnes, un réseau qui compte 3000 membres et encourage les femmes à prendre leur place dans le débat public, vous propose de partir à la découverte d’une lyonnaise au parcours remarquable, au cours du « Café des Lyonnes ». Ce mois-ci, découvrez le parcours de la pétillante nouvelle Vicebâtonnière du Barreau de Lyon, Me Sara Kebir. Création de son activité très jeune, à travers le lancement de son propre cabinet d’avocat avec son associée, engagement auprès du jeune barreau, puis du bâtonnat, elle évoque son retour d’expérience, et nous livre sa vision de la place des femmes dans le débat public. Propos recueillis par Alexandra Carraz - Photos © DR

LP : Pensez-vous être une femme engagée ?

SK : Alors pour moi l'engagement c'est vouloir prendre part à un projet, prendre part à sa vie, tout simplement être aux commandes de sa vie, vouloir faire avancer les choses, porter une voix. Cela peut donc être un engagement très divers. Certaines femmes vont vouloir s'engager en politique, s'engager dans leur municipalité, s'engager dans des loisirs, des activités sportives, de la pâtisserie, de la cuisine. C'est toute la diversité des femmes que vous recevez justement. Donc en ce qui me concerne, je pense être engagée sur un certain nombre de sujets et notamment dans la vie de mon barreau, sur un aspect plus professionnel.

Comment se traduit cet engagement ?

Cela remonte à la création de mon cabinet.

Parce que c'est vrai que j'ai créé un cabinet assez tôt. J'avais trois ans de barre. Je me suis associée avec une consœur. Nous avons créé notre cabinet, notre marque, notre podcast, des outils de communication, une vraie marque de com. C'est déjà une forme d’engagement. Celui de dire que les femmes peuvent, non pas seulement avancer, évoluer et s'associer, mais elles peuvent aussi créer quelque chose. Et puis, en parallèle, c'est effectivement l'engagement par les élections, le jeune barreau, le conseil de l'ordre, le bâtonnat.

Selon vous, pourquoi les femmes sont-elles moins présentes dans le débat public ?

C'est vrai qu'à certains postes, on déplore parfois toujours un plafond de verre. Et on ne sait pas toujours l'identifier. Est-ce que les

femmes ne veulent pas aller plus loin ? Estce qu’elles sont empêchées d'aller plus loin ? Moi, je pense qu'il faut tout tenter. Il ne faut pas se poser de questions. Il faut peut-être arrêter de se positionner aussi comme étant une femme, pour se dire qu'il n'y a plus de barrière, tout simplement. Pas d'autocensure, pas de censure des autres.

Avez-vous ressenti un frein dans votre carrière professionnelle par le fait d'être une femme ou au contraire, cela a-t-il joué positivement ?

À titre personnel, non, parce que j'ai pu évoluer. J'ai été formée en cabinet, j'étais collaboratrice, je n'ai pas eu de difficultés. J'ai créé mon cabinet, j'ai pu participer à des élections. Effectivement, arriver au vicebâtonnat de Lyon, ce n'est pas rien non plus. Avec peut-être une problématique qui était plus portée sur mon âge et ma jeunesse que sur le fait d’être une femme, parce qu'au barreau de Lyon, on a quand même de la chance. On a des bâtonnières et des vice-bâtonnières de manière régulière. En revanche, il y a peutêtre plus une difficulté qui se reporte sur la maternité et même la paternité aussi, sur les congés, sur comment revenir, qu'il n'y ait pas de problématique de rétrocession, de rémunération après une période d'arrêt pour accueillir un enfant, que sur en soi, être une femme.

Petite, que vouliez-vous faire plus grande ?

J’ai voulu être enseignante pendant un moment, mais j'ai très vite été vers l'avocature pour la défense. Alors c'est vrai que ce n'est pas du tout finalement ce que je fais aujourd'hui, parce qu'à part nos parents, il y a assez peu de monde qui pense que nous sommes des super héros. Mais c'était effectivement la défense, et puis cette vision que l’on peut avoir de l'avocat quand on est jeune. Au fur et à mesure que cela a évolué, je l'ai affinée et c'est la vision du métier que je pouvais avoir qui a changé, le domaine dans lequel je voulais évoluer qui a changé.

Quel a été votre parcours pour y parvenir ? Une fac de droit, puis l’examen d'entrée à l'école des avocats. Et puis, je sors en ayant fait deux stages, dont un stage dans un cabinet dans lequel je vais rester ensuite en collaboration. C'est un cabinet dans lequel le bâtonnier était associé, qui était à la tête du cabinet. Je travaillais dans l'équipe droit social, en droit du travail et j'exerçais principalement aux côtés des salariés, en contentieux, mais aussi en conseils. C'est très important d'intervenir aussi en conseil, en négociation de contrat, en conseil rupture, à titre préventif. C'est aussi un engagement. L'avocat, ce n'est pas que du judiciaire. C'est la vision que l’on peut avoir quand nous sommes enfant. Ce sont les tribunaux, mais nous avons tout un pan d'activité qui est hors des tribunaux. Nous avons la vision du droit pénal avec les grands ténors du barreau que l’on voit plaider, mais finalement, c'est seulement une partie de la profession.

“L’ENGAGEMENT, C’EST ÊTRE AUX

COMMANDES

DE

SA VIE”

Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui nous écoutent et qui auraient envie d'embrasser cette carrière d'avocat ?

C'est toujours utile de consulter en amont, parce que comme on le disait juste avant, il y a tellement de modes d'exercice différents, même dans une spécialité. Il faut également définir à quel moment on « réussit », selon quels critères personnels et il faut se lancer. Il faut y aller. Il y a de la place. On travaille là-dessus avec le bâtonnier. Il y a pas mal de cabinets qui n'arrivent pas à recruter aujourd'hui. Si quelqu'un n'est pas à l'aise à l'oral, à mon sens, ce n'est pas un frein. On n'est pas toute la journée en audience pour un certain nombre d’entre nous. Donc, nous pouvons tout à fait se dire, moi, je veux être avocat, mais soit je ne suis pas à l'aise, soit je n'aime pas. J'ai des confrères qui n'aiment pas aller plaider, qui vont aller plutôt vers le conseil ou qui vont préparer les dossiers en

amont, et demander à un collaborateur ou un associé de le plaider. Donc, quelqu'un qui ne voudrait pas sortir de son cabinet peut tout à fait être un très bon avocat.

Si vous aviez une feuille blanche, quelle mesure prendriez-vous pour que les femmes soient plus présentes dans le débat public ?

Il faut faciliter leur exercice pour qu'elles puissent avoir le temps et la disponibilité. Donc, on va aller rechercher plein de petites choses qui grappillent du temps : priorité de passage en audience pour les consœurs qui sont enceintes afin de poursuivre leur activité de manière satisfaisante, regarder les modes de garde, avoir des femmes et des conseillères qui vont avoir le temps de s'impliquer dans ce qu'elles souhaitent et dans le débat public. Il faut rechercher les freins qui semblent être des détails, mais qui vont vraiment rendre l'accès au débat public extrêmement compliqué. Nous avons aussi des efforts à faire sur l'éducation dès le jeune âge. Sans exclure les hommes. Il ne faut plus exclure les hommes de ces discussions-là, parce que les hommes vont permettre, en ayant conscience de tout cela, que les femmes puissent prendre leur place dans le débat public.

> Retrouvez cet entretien dans son intégralité sur la chaîne « L’équipe des Lyonnes »

N° spécial - Octobre 2024 en partenariat avec

DOSSIER SPÉCIAL

BRASSERIES MYTHIQUES

OCTOBRE 2024

L’histoire des brasseries d’hier et d’aujourd’hui...

Brasserie Thomassin - Brasserie des Archers - Brasserie de Bondy Café de la Paix - Le Savoy - Le Tonneau - Mère Vittet - Ours Blanc

33 Cité - Argenson - Barbet - Brotteaux - Chanteclerc

Confluences - Genève - Georges - L’Espace - L’Est - L’Insitution

L’Ouest - Le Nord - Le République - Le Splendid - Le Sud

Léon de Lyon - Les Monts d’Or - Les Négociants - LOU Rugby

Lundi 7 octobre 2024 à la Brasserie Georges

DOSSIER SPÉCIAL

les lyonnais de

Reportages réalisés par nos envoyés spéciaux : Marco Polisson, Morgan Couturier et Alexandre Moulard

LES AMOUREUX DE SOTOGRANDE

Christophe & Pépita Muller

“ICI, C’EST TRANQUILLE, C’EST UNE AUTRE PHILOSOPHIE”

Puisque la gastronomie est affaire de précision et d’accords, le chef Christophe Muller entretient depuis l’Espagne, ces qualités qui font de lui l’un des MOF les plus appréciés des fins gourmets. Un personnage « hors norme », dont les mets font, aujourd’hui, le bonheur des résidents et des touristes de la marina de Sotogrande, non loin de Marbella. « Faire du bien, ça n’a jamais fait de mal », savoure l’ancien bras droit de Paul Bocuse, le verbe toujours fleuri. En exclusivité pour Lyon People, ce dernier fait le point sur sa nouvelle aventure, débutée il y a trois ans, après son départ de Collonges. L’occasion aussi, de revenir en toute transparence, sur ses 29 belles années aux côtés de Monsieur Paul. « J’essaye d’être entier », aime-t-il à dire, installé sur la terrasse de son restaurant, son corps tatoué désormais bercé par le soleil de la Costa del Sol. Nom de code : Casabon !

LP : Première question existentielle : comment allez-vous ?

CM : Je suis en pleine forme ! Je crois que je n’ai jamais été aussi bien. En revanche, je crois que je n’ai jamais autant bossé de ma vie. C’est une réflexion que j’ai faite à mon épouse. Moi qui ai beaucoup travaillé en tant que cuisinier, aujourd’hui, je pense écrire la vraie définition de ce qu’est un chef : il arrive le matin, il checke son garde-manger, il prépare ses desserts, il fait sa purée, ses sauces, et établit la liste de ses achats le soir.

Vous aviez oublié tout cela ?

C’est vrai, j’avais oublié.

Pour reprendre une de vos expressions, « chez Bocuse, le couvert était servi »... C’est exactement cela. Je me souviens d’un journaliste ayant apostrophé Monsieur Paul, ainsi : « Aujourd’hui, vous ne faites plus la popote ! Qui fait la cuisine ? ». Il lui avait répondu : « Mes chefs ! Mais quand vous allez acheter une Ferrari, ce n’est pas Enzo Ferrari qui visse les boulons ». En fin de compte, c’est la vérité. Même si aujourd’hui, je visse les boulons (sourire)

En 2021, votre départ de Collonges a été soudain et inattendu. Qu’est-ce qui a motivé votre décision ?

Ma décision vient peut-être d’une remise en question, qui était nécessaire. La philosophie du restaurant, selon moi, n’était plus respectée. Je sentais qu’il fallait partir.

Le décès de Monsieur Paul, le 20 janvier 2018, a été un choc thermique pour vous. Comment vivre sans lui ?

Avant qu’il ne décède, presque dans mes bras, j’ai eu beaucoup d’échanges qui resteront privés à vie. Ses paroles m’ont fait réfléchir. Il a dit beaucoup de choses sur des gens, sur des évènements qui allaient arriver. De là, je me suis demandé s’il fallait rester ou partir, s’il avait raison ou s’il avait tort.

Lui-même vous avait-il suggéré de partir ?

Il m’avait dit : « Christophe, qu’est-ce que tu penses faire ? ». Je lui avais répondu que je venais d’acheter une maison en Espagne. Il le savait déjà. Il m’a recommandé de rester jusqu’au décès de la patronne et de faire ce que je voulais, après cela. Il a toujours suivi son instinct. Et moi, j’ai suivi le mien.

C’est à ce moment-là que vous songez à tourner la page de l’auberge ?

Oui !

La crise du COVID a-t-elle également contribué à votre envie d’ailleurs ?

Non ! Ça a été écrit, mais je le dis, ce n’est pas vrai ! Certes, avec le Covid, l’équipage de l’auberge a eu la chance d’avoir du temps et de profiter de leur famille. J’ai pu passer quelques mois avec ma femme et ma fille à Sotogrande (son fils était resté bloqué en France, ndlr). J’ai découvert Netflix (rires), les passions de ma femme, de ma fille, et leur quotidien alors que je ne faisais plus rien à la maison depuis des années. C’est là que je me suis rendu compte que je me consacrais trop à mon travail. Je me suis posé plein de questions.

Vous avez donc décidé de faire le grand saut et de vous installer à Marbella... (Il précise) À Sotogrande !

Comment vivez-vous cet exil ? Avez-vous parfois le blues de Lyon ?

On ne peut pas dire que j’ai le blues de Lyon. Mais on ne peut pas oublier d’où l’on vient. Nos deux enfants sont nés là-bas. J’ai travaillé 29 ans dans cette belle maison qu’est Bocuse. Alors je ne peux pas oublier. Mais ce n’est pas du blues ! Je vais être sincère : parfois, j’aimerais être dans la salle à l’Auberge, en train de déjeuner. C’est un rêve ! Néanmoins, comme il s’agit d’un rêve, il ne faut pas le réaliser, et ce n’est pas d’actualité.

Inauguration de la Brasserie du Louvre à Paris, le 12 septembre 2019. Vincent Le Roux, Christophe Muller, Paul-Maurice Morel et Jérôme Bocuse

Propos recueillis par Marco Polisson et Morgan Couturier – Photos Alexandre Moulard
Au service de Raymonde, Paul Bocuse et de leur fille Françoise dans la petite salle à manger familiale

L’équipage de Casabon : Luz, Lola et Louisa (à partir de l’après-midi) et en cuisine : Emmanuel John Pude Agsaway

Avez-vous encore des contacts au sein de l’équipage du restaurant gastronomique ? Quelques-uns. Mais plutôt côté salle. Ce qui est assez rigolo !

Avez-vous suivi, à distance, les festivités du centième anniversaire ?

J’ai suivi les festivités, oui ! Des clients qui sont venus manger chez moi sont aussi des fidèles de Bocuse. Ils m’ont dit le plus grand bien de la maison, que la cuisine et la salle étaient exceptionnelles. J’entends souvent parler de la sommellerie qui serait au top niveau. Il faut le dire, je n’entends que de bons échos.

Il faut un sacré courage ou une bonne dose d’inconscience pour repartir de zéro, à 50 ans...

C’est vrai !

Comment vous avez pris votre décision ?

Elle est assez incroyable. En 2018, la maison Bocuse a été invitée à faire un dîner de gala à Sotogrande, au golf-club La Reserva. Vincent Le Roux, Paul-Maurice Morel, Philippe Bernachon, Francesco Santin étaient du voyage. Le soir venu, le directeur, Marc Topiol, m’interpelle : « Sotogrande serait vraiment fier que le chef Muller habite ici, on va vous montrer une maison ». J’en ai parlé à Pépita, ma femme. Je savais qu’une maison ici, ça coutait beaucoup d’argent. On en rigole tous les deux, mais je demande quand même à la visiter. Le directeur m’a alors dit : «  demain matin ! » Le lendemain on visite. On a acheté la maison en 5 minutes !

Cette maison, vous l’avez toujours ?

Toujours ! Au début, on partait, on revenait 2-3 jours, puis une semaine, puis toutes les vacances. Après le Covid, alors que nous démarrons un nouveau séjour à Sotogrande, je tombe sur un article de Roger Federer (légende du tennis, ndlr), qui explique qu’il faut arrêter au sommet et ne pas avoir honte d’arrêter. Pendant ce temps-là, ma femme et ma fille sont en train de défaire les valises.

Moi, je suis dans ma voiture, à manger un croissant et mettre des miettes partout, ce qui ne m’arrive jamais d’habitude (rigueur alsacienne oblige, ndlr). Je me suis dit, c’est bizarre, il se passe quelque chose. Je me sens différent. À partir de là, je suis rentré à la maison et j’annonce qu’on rentre à Lyon. Le lendemain, j’attrape Vincent (Le Roux) et je lui annonce mon départ. J’arrête !

“AU DÉPART, JE VOULAIS ACHETER UN PETIT RESTAURANT ET FAIRE 3-4

TABLES”

À ce moment-là, vous êtes sûr de votre choix ?

Non, je suis quand même un peu inquiet. Je me questionnais. J’ai dit à ma femme : « Je vais prendre un café avec Vincent. S’il s’assoit à la place du patron, je n’hésite pas, mon départ est sûr et certain ». Je suis quelqu’un de très intuitif.

Que se passe-t-il ?

On rentre, il fait couler deux cafés. On va dans la salle à manger, il fait le tour de la table et à un moment donné, il dit : « Aujourd’hui, je m’installe à la place du boss ». Je me mets en face de lui, on discute. Et là, je lui annonce que je donne ma démission. Je m’attends à ce qu’il me retienne. Et là, il me dit : « Ce que j’aime chez toi, c’est que tu as du courage. Ce que tu dis, tu le fais ». En deux minutes, le plus dur était fait. Dans sa tête, je pense qu’on partageait le même rêve de pouvoir arrêter, et c’est moi qui le transgressais.

Votre épouse Pépita est originaire de la région. D’où l’idée de cette nouvelle aventure du Casabon dans la marina de Sotogrande. Qu’est-ce qu’il y avait avant votre arrivée ?

C’était un restaurant de viande, baptisé Bokana. Il n’y avait pas grand-chose, pas de terrasse comme maintenant.

Vous avez racheté le fonds de commerce ?

L’histoire est un peu incroyable. Je voulais acheter un établissement tout petit, en faisant 3-4 tables. Je n’ai jamais trouvé ce restaurant. Les recherches ont duré un an. Puis arrive Noël, on a rendez-vous à Puente Romano pour boire un verre avec un monsieur, Denis Dumont. Il me dit qu’il a entendu beaucoup de choses sur moi et que je serais l’un des meilleurs chefs qu’il connaisse. Puis il me fait une proposition : si je suis d’accord, je m’associe avec lui et il m’installe ici. On tape dans la main et on se met à chercher l’établissement idéal.

Et celui-ci fut le bon...

C’est Pépita, qui, chez le coiffeur, entend que l’emplacement est à vendre. Bingo, on achète ! Premiers couverts le 8 juillet 2022. On n’avait pas fait de travaux, les négociations avaient été difficiles, ce qui nous avait contraint d’ouvrir un peu tard. On a travaillé trois mois, avant de fermer 4 mois pour d’importants travaux. Denis est venu avec ses idées, son architecte (Imaad Rahmouni, ndlr). Je n’avais jamais conduit des travaux de cette ampleur. On est en Espagne, il faut apprendre la langue, faire attention aux pirates et jouer des coudes.

Et pourquoi ce nom, Casabon ?

J’avais choisi 30 noms. Dans la famille, on avait fait notre top 10. Puis Denis arrive et propose « Casabon ». Fin du bal, tout le monde était d’accord. Je ne sais pas comment il l’a trouvé, il n’a jamais voulu me le dire (rires).

“PERSONNE

N’A LEVÉ LE PETIT DOIGT POUR MOI”

Revenons à votre départ. Vous étiez actionnaire de l’Auberge de Collonges. Comment les négociations se sont-elles déroulées ?

Ce fut compliqué ! La façon dont j’ai vu les choses, c’est que j’ai commencé chez Bocuse à 17 ans, et souvent, lorsque les gens partaient, c’est parce qu’ils finissaient au cimetière. Quand on part de chez Bocuse, c’est rarement en retraite.

Et il y a votre cas...

Ce qu’il faut savoir, c’est que moi, je viens d’une famille pauvre. J’ai vu Christian Bouvarel partir avec un gros chèque. Tant mieux pour lui. Mais j’ai entendu les sommes, ça m’a interpellé. À l’inverse, j’ai vu partir Roger Jaloux, qui n’était pas actionnaire (seulement des brasseries), et qui méritait 30 fois plus. Puis il y a Jean Fleury. Ma question, dès lors, c’était de savoir à quel chef je voulais ressembler.

LES LYONNAIS DE MARBELLA

Parmi les 49 golfs qui jalonnent la côte, la Reserva jouit d’un statut particulier, en haut de la pyramide. Le tènement verdoyant s’étale sur 400 hectares, entouré de villas et de résidences chiquissimes.

Puerto Banus

Le Saint-Tropez de la Costa del Sol est the place to be des « flambeurs » de toutes nationalités. À bord de rutilants supercars, ils paradent dans les petites rues de la marina qui accueille des yachts hors norme. Une parade qui a un prix : il faut savoir que les pilotes qui rentrent dans le port avec leur bolide ont réglé un abonnement de 1500 euros pour pouvoir côtoyer les yachts sur 2 kilomètres.

NOS CONSEILS DE SURVIE

> Pour nos amazones lectrices : avant de succomber, assurez-vous du pedigree du pilote et qu’il ne s’agit pas d’un véhicule de location... rempli d’herbe ou financé dans la poudreuse de La Linéa (Netflix).

> Pour nos lecteurs BG : calez vos tablettes de chocolat (Voisin) et votre sourire ultra bright en terrasse d’un restaurant de Calle Ribera. Avec un peu de chance, vous serez repéré par une sirène de yacht qui vous invitera à monter à bord pour ambiancer sa soirée...

Auquel des trois ?

Donc j’ai parlé à Vincent Le Roux (Directeur général de l’Auberge et de l’Abbaye, ndlr) et à ses avocats, de la façon dont on allait estimer mes parts et entamer les négociations. Puis je leur ai présenté mes avocats et j’ai dit : « ce sont eux qui vont gérer ». Toute ma vie, je me suis dit que les trois qualités d’un cuisinier sont l’intelligence, la dextérité et le physique. J’ai donc fait jouer l’intelligence.

Vous avez fini par trouver un terrain d’entente...

(Il coupe) Grâce à Jérôme Bocuse ! Il n’y a que lui qui a fait l’arbitre avec l’aide de Paul-Maurice Morel. Personne n’a levé le petit doigt pour moi.

La somme que vous avez récupérée était-elle suffisante pour vous lancer en solo ?

La somme était largement suffisante.

Vous n’aviez pas besoin du coup de pouce de Denis Dumont ?

Non ! Mais Paul Bocuse me disait toujours : « Christophe, je suis Lyonnais, je crois au destin. Il y a deux hommes pour qui j’éprouve de l’admiration : Jean-Michel Aulas et Denis Dumont ». Alors quand il est venu me voir à Marbella, ça a fait tilt. Il faut quand même savoir que chez Bocuse, on ne nous dit pas souvent que l’on est des gens bien. C’est une vie à la dure dont j’ai fait partie et dont j’ai pu être l’acteur.

Je ne dis pas le contraire !

j’ai signé mon contrat, je commence à quelle heure et jusqu’à quelle heure ? ». Pour moi, c’est normal désormais. Mais chez Bocuse, on n’osait pas demander l’heure. Si on avait dû me payer tous les jours que j’ai faits en trop, on n’aurait pas pu les comptabiliser. Etions-nous dans la raison ou avions-nous tort ? Je pense qu’on le faisait par plaisir. Sincèrement, moi, à l’époque, si on me proposait d’être en repos ou de cuisiner pour une table importante, je préférais aller au restaurant. J’éprouvais un vrai plaisir à le faire. On devient un peu maboule, mais c’est une vraie passion.

on claque des doigts et tout se passe. Le couvert est servi. Mais ici, ce n’est pas le cas. Je suis en cuisine, Pépita est au passe et s’occupe de l’administratif : les papiers, les contrats.

Vous étiez quasiment tous les jours dans les médias. Ça ne vous manque pas ?

Pas du tout. Excepté Lyon People ! (Rires)

Prenez-vous plus de plaisir ici ou dans les cuisines de Monsieur Paul ?

Ici, parce que je travaille toute la journée avec ma femme. Là-bas, c’était la guerre et on était là pour ça. Mais c’est la guerre de la réussite. C’est pour cela que l’on devient des bons. On m’appelait Rambo ! Pour preuve, j’ai eu de grosses engueulades avec Roger Jaloux et Paul Bocuse.

“CHEZ

C'ÉTAITBOCUSE, LA GUERRE

!”

Vous-même, en effet, n’avez pas le compliment facile...

Il ne faut pas oublier cette phrase de Paul Bocuse : « J’élève mon personnel à l’image de mes chiens, au doigt et à l’œil ». C’est fort, mais c’est la vérité. Et j’étais un peu à son image. C’est pour cela que j’aimerais un jour pouvoir faire une télévision et expliquer le métier, tout ce que l’on aurait dû faire ou pu mieux faire.

À quoi pensez-vous ?

Aujourd’hui, lorsque j’embauche quelqu’un ici, au restaurant, la personne me dit : « Voilà,

Vous avez dirigé les cuisines d’un établissement trois étoiles doté d’un équipage de 50 personnes et connu une notoriété internationale au côté de Monsieur Paul. Ici, à Sotogrande, vous êtes retombé dans l’anonymat... Comment le vivez-vous ?

Le matin, on se lève et on ne pense plus aux médias. On pense à faire un chiffre d’affaires, à notre personnel, à la petite qui doit aller chercher les enfants à l’école, au livreur qui doit bien nous apporter la viande et le poisson. Ici, tout est différent. Chez Bocuse,

Vous avez un exemple en tête ?

Oui. Je repense à un matin, où Monsieur Paul m’avait dit : « Des mecs comme toi, j’en chie dix tous les matins ». Ça m’a vexé. Je suis allé le voir pour lui signifier que je n’étais pas d’accord. J’étais son chef exécutif, il a dit cela pour x raisons que je ne connais pas, un jour d’énervement, mais moi, tous les jours, j’étais au boulot. Alors je lui ai balancé : « Si vous voulez, vous vous mettez au piano en face de moi, et je vous mets 6-0 ». Ça m’est sorti comme cela. On s’est assis, on a bu un café et il m’a lancé : « Tu ne me redis plus jamais ça, mais j’aime les mecs comme toi qui ont des co*** ». Je parlais quand même au grand patron...

Ici, on l’a dit, vous êtes au four et au moulin. Comment vivez-vous cette situation ?

C’est rigolo, mais aujourd’hui, nos clients ne viennent pas pour le chef. Ils demandent : « Où est la patronne ? », en parlant de Pépita. Mais ça me fait plaisir. Les gens ne viennent pas pour moi et ce n’est pas grave. Aujourd’hui, je ne mets plus tous les jours ma veste de MOF (Meilleur Ouvrier de France, ndlr).

Le regard des clients a-t-il changé ? Oui, j’ai même une anecdote là-dessus. L’année

Dressage d’un filet de bar et homard avec les oranges locales de Cordero.
La décoration du restaurant est signée Imaad Rahmouni. Il a imaginé ce spot très ouvert et sa magnifique terrasse coiffée comme une tente andalouse.
Gang de Lyonnais en visite au Casabon
De g à d : Sandrine Pouquine, Gilles Demange, Aline Germain, Philippe Bernachon, Myriam Raach, Pascal Cot, Patricia Demange et Arnaud Bernollin

dernière, j’étais devant mon restaurant avec ma veste de MOF. Une personne passe et me demande : « Ce sont les nouvelles vestes Adidas ? ». Je lui ai répondu : « Oui monsieur, j’ai le slip et les chaussettes assortis » (rires)

Après trois ans de présence, vous êtes-vous totalement acclimaté à votre nouveau pays, ses coutumes et ses habitants ? Quel accueil vous ont-ils réservé ?

C’est un peu mitigé ! Il y a eu un peu de jalousie. Le mot caviar leur faisait peur. Je débarquais avec mon bagage de MOF, alors ils se demandaient si je n’allais pas manger tout le gâteau. Quand on est arrivé, sur Tripadvisor, le resto était 38e sur 45. J’en ai rigolé, nous n’étions pas derniers. Puis on est monté dans le classement. Je disais, on commence à être bon. On est passé 10e et deux mois après, troisième. Et aujourd’hui, on est premier.

“JE N’OUBLIERAI JAMAIS TOUS LES BONS MOMENTS QUE

J’AI PASSÉS CHEZ BOCUSE”

Combien de personnes travaillent-elles avec vous ?

On est entre 8 et 10 personnes. Quand mes voisins vont employer 30 personnes pour l’été et en virer 25 au 15 septembre, moi, ce n’est pas ma mentalité, ni celle de Denis Dumont. On veut une petite équipe, faire peu de couverts (une trentaine), mais que l’on reste toute l’année ensemble. Je ne veux pas profiter des gens une saison et ensuite les virer.

Parlez-nous de votre rythme de vie. Êtesvous passé de la semaine de 7 jours à la semaine de 5 jours comme à Collonges ? Je voulais avoir une petite équipe et être fermé le lundi et le mardi.

Donc comme à Collonges finalement... Je ne sais pas, je ne l’ai jamais connu. Mais du coup, ils ne pourront pas venir manger ici (rires)

Sotogrande Une marina en or massif

« Sotogrande, ce n’est pas Marbella. Marbella, c’est bling-bling. Ici, c’est tranquille » souligne Christophe Muller. C’est dans ce paradis climatique que résident les plus grosses fortunes du monde, en totale discrétion. C’est cela, Sotogrande. Dans la marina, Lionel Messi a acquis un hôtel qu’il rénove à grand frais. S’y croisent des joueurs de foot, que ce soit Gareth Bale ou Ronaldo, ou encore la femme de Vladimir Poutine, le PDG de Coca-Cola...

Quels sont vos rituels et vos adresses préférées dans la région ?

Avec Pépita, on s’est mis au golf. On est membre de la Réserva, le club de tous les superlatifs.

Donc tous les jours, vous êtes sur les greens ?

Non, depuis qu’on a ouvert, il n’y a plus de golf. Je n’ai plus le temps. Même quand on est fermé, il faut passer les commandes, faire les achats en mains propres. J’aime réserver mon lundi et mon mardi pour aller à la plage, chercher du bois flotté, admirer les thons ou voir les côtes marocaines. Petit, j’étais fan de Marco Polo, et je rêvais du rocher de Gibraltar à proximité duquel un corsaire aurait perdu une cargaison d’or. Et aujourd’hui, ce point (il montre une carte dessinée sur son bras), c’est notre nouvelle vie.

Dernière question : regrettez-vous d’avoir tout quitté pour vivre cette nouvelle vie ?

Non ! Je ne regrette pas ! Mais je tiens à dire une chose : je n’oublierai jamais tous les bons moments que j’ai passés chez Bocuse. Je ne veux pas que l’on pense que j’ai tiré un trait.

Le prochain Hôtel Mim de Sotogrande est en cours de restauration sous le regard attentif de son propriétaire, le footballeur Lionel Messi
Le diplôme de MOF de Christophe Muller en bonne place

SES SPOTS À MARBELLA

S’ambiancer chez Mamzel (2)

Un dîner spectacle où tu en prends plein les yeux. C’est la fiesta durant toute la saison ! Le jeudi soir, pour la ladies night, impressionnant défilé de bimbos sur scène mais surtout dans l’assemblée.

Flâner à Puente Romano

Christophe Muller apprécie l’ambiance chic de ce magnifique complexe de 20 restaurants et de plages, de style andalou, lovés dans la verdure autour de l’hôtel Nobu. Surplombant la Méditerranée se trouve le célèbre Sea Grill et, sur la plage, pour que vous puissiez manger les pieds dans le sable, se trouve le décor du Chiringuito. Regroupé autour de La Plaza, l'épicentre diurne et nocturne de Puente Romano est une poignée de joyaux gastronomiques, du steakhouse de Dani Garcia à la cuisine libanaise authentique. Pour l’apéro, la plaza Fendi est the place to be.

Brasserie KE (4)

Autre adresse incontournable de la marina de Sotogrande, une longiline brasserie baptisée KE dont la salle principale est bercée par le train électrique qui serpente au plafond (comme à l’Est, aux Brotteaux). On vous conseille notamment la dégustation de leur spécialité « fisherman’s rice » servie par l’attentionné Juan Antonio.

La Réserva Golf Club (1 & 3)

The place to play

Le tènement verdoyant s’étale sur 400 hectares, entouré de villas et de résidences chiquissimes. Ce condominium à l’américaine, gardé 24h sur 24, et où il faut montrer patte blanche abrite un parcours de golf, un club de plage (avec une piscine bordée de sable dubaïote) et ses installations de loisirs, et se trouve à proximité de l'école internationale très appréciée.

Christian Martial SEA, SUPERCARS

Figure de l’automobile de luxe à Lyon, Christian Martial écoule des jours heureux à Marbella depuis maintenant 7 ans. Un nouveau cadre de vie pour ce sexagénaire, désormais apaisé par son quotidien andalou, en dépit d’un sens des affaires tout aussi aiguisé que par le passé.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard

Il se dit à la retraite, « officiellement », ses dires appuyés par un teint halé et une décontraction tranchant avec son passé. Mais puisque l’air marin est vivifiant, le naturel revient souvent au galop. Il n’est pas rare, dès lors, de voir Christian Martial se laisser porter par les vagues. Non pas par cette houle légère, rythmant la plage voisine, mais bien par les vagues d’appel, qui continuent d’alimenter son quotidien. Car le décor a beau avoir changé, l’homme entretient quelques marottes. De manière plus apaisée. « Je fais ça en dilettante », assure-t-il, preuve que cet « anxieux de nature » s’est détendu. Une réalité, que le corps semble confirmer, son visage reprenant les traits explicites d’une personne comblée.

IMPOSSIBLE DE MAINTENIR CHRISTIAN MARTIAL DANS UNE BULLE DE FARNIENTE

La folie de Marbella ne saurait le cautionner. Alors à 69 ans, l’homme continue de s’activer, pimentant ses journées par un peu d’immobilier çà et là, et par la vente de supercars, ses complices de toujours. Des voitures « off market ». En d’autres termes, des modèles d’exception, dont les singularités leur permettent de s’extirper de la masse, alors que le décorum local, offre déjà un balai de bolides ensorcelants. Le défi n’en est que plus beau. Peut-être est-ce là, d’ailleurs, le résumé de ce Lyonnais aux mille et unes vies, qu’une page ne suffirait à énumérer. « Le but est de proposer ce que les autres n’ont pas », expose-til. Une formule séduisante, symptomatique de ce Croix-Roussien, capable de séduire clients et patrons, comme il charmerait les beautés féminines de ce monde. Le voilà d’ailleurs amouraché d’une belle Biélorusse de 50 ans, tous deux installés avec son fils cadet Victor, (son ainé Charles travaille à Lyon pour la conciergerie automobile CarSup) à deux pas de la mer, dans le quartier résidentiel d’Elviria. Un cadre de vie délicieux, propice à l’introspection. Dès lors, dans ces marches rapides de 7 km qu’il accomplit chaque matin le long du littoral, Christian Martial aurait aisément le temps de repenser au passé.

À ses débuts comme commercial chez Nestlé avant que le rouge vif de Ferrari ne l’attire en concession, rue de l’Université, au début des années 80.

“LA VIE QUE J’AI ICI, JE NE POURRAIS PAS L’ AVOIR À LYON”

« J’y suis resté 23 ans », se remémore l’ancien bras droit de Charles Pozzi. Le point de départ d’une passion prenante pour ces belles autos, que l’an 2004 lui somma de vendre à son compte. L’expert lança alors Legend Motors, avenue Foch, épaulé de sportives de luxe, de gros Hummer et de Lamborghini. Déjà. Quatre ans plus tard, l’attachant Lyonnais était ainsi de l’aventure débutée à Dardilly, avec l’ouverture d’une concession à la gloire de la marque italienne. Hélas, avec autant de chevaux, les sorties de piste font souvent partie de l’équation. Les arnaques également. Christian Martial en fut le témoin, lorsque ladite concession fut reprise par deux jeunes Autrichiens de 35 ans. « Mais ils n’avaient pas de cash. C’était une escroquerie. À Lyon, tout le monde a cru que c’était moi qui avais fait faillite, alors que je n’étais que le directeur. Je n’avais même pas de parts. Je n’en voulais pas. Et là, du jour au lendemain, il n’y avait plus

de trésorerie, plus rien. La boutique a fermé en 2011 et à 54 ans, je me suis retrouvé sans boulot », retrace-t-il, le visage soudainement las.

Heureusement, l’homme est doté de multiples qualités, à l’instar de cette créativité, qui lui fit ensuite dessiner des « montres à quartz, made in Suisse » pendant 3 à 4 ans. « Je me suis découvert des talents de designer sur le tard. Elles avaient un design de malade », assure-t-il, fier d’avoir lancé la marque Offshore Limited, dont quelques modèles alimentent encore la toile. Un pari vite déréglé, la faute à un nouveau partenaire véreux. « J’avais pris mes économies pour faire le salon de l’horlogerie de Bâle. On est reparti avec une commande de 20 000 montres », se souvient-il. Hélas, ce dernier fut tristement rattrapé par la réalité et l’absence de fonds de son prétendu associé. Impossible de tenir ses engagements. Ni de poursuivre cette voie dorée. Alors à l’inverse de son frère Hervé, employé de Jean-Louis Maier, Christian Martial figea le chrono.

Son temps à Lyon était révolu. Place à l’étranger. « Je voulais partir au Portugal, mais un ami canadien m’a proposé de venir ici », expose le sexagénaire. Vendu ! Après une prise de contact en 2014, 2017 fut le point de départ de cette nouvelle vie, qu’il écoule désormais à Marbella, son climat chatoyant et « ses meilleures gonzesses d’Espagne », comme le décrit Bernard, son associé d’aujourd’hui. Alors tant pis si l’atterrissage fut compliqué, la faute à une nouvelle arnaque (fréquentes à Marbella, ndlr), Christian Martial s’est refait une santé, bercée par le golf et les restaurants locaux. « Le contraste est hallucinant. La vie que j’ai aujourd’hui, je ne pourrais pas l’avoir à Lyon. Ici, j’ai une vie saine et simple », soutient-il. Pour preuve, cette voiture chinoise, une Omoda, qu’il pilote aujourd’hui, comme il eut bichonné ses supercars autrefois. Le temps a passé. Aujourd’hui n’est que plaisir, à l’image de son groupe Facebook, French Connection Marbella, sur lequel le Rhodanien distille quelques bonnes adresses. Des restaurants, des hôtels, des boîtes de nuit. C’est désormais certain, à Marbella et comme Gainsbourg en son temps, le soleil au zénith, Christian Martial ressuscite. La suite, on la connait...

Montre Offshore Limited Z Drive LADY011 PRQ Rose

Christian Martial à Puerto Banus, paradis des supercars

Inauguration Legend Motors

Défilé de mécaniques rutilantes

Les jolies voitures riment souvent avec créatures de rêve, ce qui n’était pas pour déplaire à Hervé Martial, Gérard Collomb et Pierre Doucet.

Jeudi 3 juin 2004. Voitures prestigieuses, beautiful people, et jolies femmes, l’avenue Foch avait des allures de Saint-Trop ! Raison de cette métamorphose, l’inauguration du show-room Legend Motors qui est resté dans les annales… Aston Martin, Porsche, Ferrari, Hummer, Maserati, les places de stationnement de l’avenue Foch avaient rarement accueilli autant d’occupantes aussi prestigieuses ! Christian Martial avait convié ses clients et de nombreuses personnalités à célébrer l’ouverture de son prestigieux show-room ! MP - Photos Jean-Luc Mège

:

Son fils Charles Martial, champion de karting
Christian et son Omoda. La première à arpenter les rues de Marbella
La concession Ferrari de la rue de l’Université (Lyon 7). Christian a travaillé pendant 23 ans pour le cheval cabré
Mairie du 6ème arrondissement
Bruno Tronel, Nicole Chevassus, maire de Lyon 6, Erick Roux de Bézieux et Christian Martial, patron de Legend Motors

SES SPOTS PRÉFÉRÉS

1. Plaza Fendi - C’est l’une des nouveautés de cet été 2024. Après le succès du Fendi Beach Club l’an passé, le Puente Romano Beach Resort et la marque Fendi ont de nouveau réuni leurs forces pour créer « La Plaza », un repaire esthétique où ces demoiselles sirotent cocktails et champagne.

2. Leña - Propriété du Bocuse local, le chef triplement étoilé, Dani Garcia, le restaurant Leña est auréolé du titre de « plus beau restaurant du monde », obtenu en 2021. Ce dernier fait le bonheur des amateurs de viandes et de bons vins.

3. Sea Grill - Également installé au cœur des 55 000 m2 de Puente Romano, le restaurant méditerranéen fait honneur à son environnement. Grande terrasse avec vue mer, quand l’assiette met en valeur les trésors de cette dernière, des paëllas et du jambon ibérique.

4. Luuma - « C’est une adresse de connaisseurs », aime à décrire Christian Martial, une fois attablé à la table de ce paisible restaurant de plage. Les pieds dans le sable, l’établissement séduit par son cadre, ses mets frais, classiques, mais diablement efficaces.

CRÈTE

DElisabeth & Elie profitent des belles journées dans un décor de rêve

Elie Cunat

L’ESPAGNE COULE DANS SES VEINES

ans le milieu lyonnais de l’automobile qu’il a fréquenté durant quarantehuit années, le tempérament caliente d’Elie Cunat ne pouvait passer inaperçu. Il prend ses racines à Valencia, où le soleil tape dur, mais pas au point de lui avoir fait prendre la grosse tête. L’ancien mécano devenu, à force de travail, directeur général du groupe Gauduel Automobiles cultive ses racines hispaniques dans lesquelles il aime se replonger deux fois par an avec sa compagne Elisabeth. Voici leur circuit à Marbella.

« Pourquoi Marbella alors que je suis né à Valencia ? J’ai passé mon enfance en bord de mer non loin de cette belle région que je n’ai jamais oubliée même pendant ma vie professionnelle à Lyon. Bien évidemment, j’y suis retourné plusieurs fois, mais mon coup de cœur pour Marbella est consécutif à mon voyage de noces en 1972. Pourtant ce ne fut pas un séjour de VIP : nous avons effectué le voyage (2 jours aller et 2 jours retour) dans ma vielle Ford Taunus P3 de 1966 et sans problèmes. Notre habitat : une tente canadienne 2 places, et nous prenions nos repas dans les “chiringuitos”. Je pense que ce voyage a forgé mon attachement à Marbella.

On comprend mieux le savoir-faire inégalé d’Elie Cunat en matière de paella...

Maintenant à la retraite, je m’y rends avec Elisabeth plus régulièrement. On séjourne sur la Costa del Sol un mois et demi au printemps et autant à l’automne.

Je n’ai pas beaucoup changé ma façon de vivre sur place, nous louons un appartement près du village de San Pedro de Alcantara, à côté de Puerto Banus. Ce village est resté authentique, nous faisons les courses chez les petits commerçants, c’est là que se trouvent mon barbier et notre spot « petit-déjeuner » où nous dégustons des churros et un excellent chocolat chaud (prix 5€ pour deux), dans une ambiance espagnole authentique, que l’on ne retrouve plus à Marbella, devenue très européenne. Tous les pays y sont représentés, pas seulement en mode touristes, beaucoup sont installés et sont devenus des résidents permanents, engendrant une hausse du prix de l’immobilier. Même pendant la crise, le m2 a augmenté de +30% en 4 ans dans de nombreux quartiers et davantage en bord de mer. Durant nos séjours, nous profitons aussi de cet incroyable choix de golfs plus beaux les uns que les autres, ainsi que du climat idéal toute l’année. Il est possible de choisir son havre de paix à deux heures et demi de vol de Lyon. » Elie Cunat

Texte : Marco Polisson – Photos DR

LES LYONNAIS DE MARBELLA

1. Une partie au Golf Rio Real, avec trois amis lyonnais, Elisabeth faisant du télétravail

2. Un petit tour aux Halles de Malaga et dégustation de tapas

3. Rendez-vous important à chaque séjour, la visite à nos amis Pepita et Christophe Muller pour déguster les excellents mets dans leur restaurant Casabon sur la marina de Sotogrande

4. Matinée shopping dans le vieux Marbella

5. Le rituel du petit-déjeuner de churros et chocolat chaud, prix : 5€ pour deux

6. Pause de fin de journée en mode cocktail sur la promenade bord de mer à Marbella

7. Le maître autel et le retable de l’église Nuestra Senora de la Encarnacion rayonnent au cœur du vieux Marbella

CARNET DE VOYAGES

ROCHER DE GIBRALTAR Attention au piège

À Gibraltar, il est tentant de pénétrer dans l'enclave britannique avec sa voiture. C'est en règle générale assez fluide au niveau du poste frontière, dans le sens aller. En revanche, pour ressortir, comptez une grosse heure pour franchir le portail qui mène

au contrôle frontalier. Il n'y a qu'une voie pour des centaines de voitures... qui ont la désagréable sensation de ressembler à des moules accrochées à un rocher. Si vous avez un bateau ou un avion qui vous attend, gros coup de stress garanti.

> Notre conseil. Pour goûter pleinement le charme de ce petit bout du Royaume Uni, sortez du troupeau... agglutiné sur Main Street qui un duty free à ciel ouvert. Enfoncez-vous dans les ruelles pour apprécier ce petit coin d’Angleterre au charme colonial intemporel. Wokistes s’abstenir.

L’île de la tentation

À Marbella, le nombre de bimbos siliconées au mètre carré est impressionnant. Difficile de distinguer celles qui sont simplement en goguette de celles qui recherchent un sponsor. On croise leurs jolies frimousses principalement sur la marina de Puerto Banus, dans les restos chics de Porto Romana, et bien entendu chez Mamzel Attention à votre CB, elles ont une technique éprouvée pour la faire chauffer... Certains Lyonnais dont on taira les noms y-ont laissé leurs économies.

>>> Y ALLER

En avion avec Air France. Vol direct et quotidien au départ de Lyon Saint-Exupéry pour Malaga à partir de 89 €. Nous vous déconseillons la compagnie Volotea, dont les pratiques commerciales sont border line, en ce qui concerne les bagages cabines. Une frontière entre valises et sacs sujette à caution qui peut vous faire doubler le prix du billet.

À l’aéroport de Malaga, toutes les compagnies internationales de location de voitures sont présentes. Mauvais point pour Hertz : 1 seul comptoir ouvert (sur 5) et 45 minutes d’attente malgré la pré-réservation du véhicule.

Textes : Marco Polisson – Photos © Alexandre Moulard
Sortir de Gibraltar mettra vos nefrs à rude épreuve

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Pour être conseillé de vive voix, téléphonez au : 06 99 48 48 84

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La majorité l’emporte.

Megève VOILÀ L’ÉTÉ !

La page de l’hiver rapidement tournée, Megève entend se relever rapidement, au bénéfice de l’été. Outre ses équipements, l’attrait de ses restaurants et le confort de ses hôtels, la station mise surtout sur une nouvelle programmation exhaustive pour contenter ses visiteurs.

On connaît la chanson, presque aussi vieille que le tube des Négresses vertes. À l’amorce du mois de juillet, Megève se laisse aller à ces paroles, qui nous font entonner « voilà l’été » ! La station aperçoit alors le soleil, les nuages filent et le ciel s’éclaircit. Elle aurait préféré qu’il brille un peu moins cet hiver, pour permettre aux flocons de se joindre aux touristes, Megève aspire à tout autre chose. À tirer parti des chaleurs de l’été pour libérer ses charmes et vanter ses atouts. L’adresse n’a pas changé.

Et parce que cette dernière aime bercer ses beaux jours de douces mélodies, la station pourrait alors jouer un autre refrain. Ou plutôt ce tube de David et Jonathan, qui lui fait nous demander « est-ce tu viens pour les vacances ? ».

Beaucoup le seront, peut-être même avec un peu d’avance, au rendez-vous de ses promesses. Et pour cause, comme à chaque période estivale, Megève se tient prête, ses terrasses grandes ouvertes et ses pavés, juste rafraîchis, pour diriger les touristes vers les bassins du Palais ou les sentiers de randonnée. Chacun ses goûts. « Megève cultive partage et convivialité, vous offrant parmi vos plus beaux souvenirs d’été à la montagne », vante d’ailleurs la commune, à quelques jours de ce qui devient sa « haute saison »

Ainsi se dessine le Megève de demain, le « regard tourné vers l’avenir », mais avec la même « détermination à mettre en valeur son territoire ». Pour cela, la musique

Texte : Morgan Couturier – Photos © DR / Simon Garnier et Gabriel Zacharski

est souvent un bon parti, la chaleur des concerts se mêlant idéalement à la saison. La commune de Catherine Jullien-Brèches a donc bien l’intention de s’adonner à un tempo des plus soutenus, ses rues, comme sa place, s’apprêtant à accueillir des festivals aux contours disparates, le tout accordé aux concerts du jeudi et aux berçantes siestes musicales.

DES CONCERTS EN VEUX-TU, EN VOILÀ !

Justement ! Reposé après un bon bain sonore thérapeutique au Four Seasons Hôtel ou par cinquante minutes de massage au chocolat noir au Grand Hôtel du Soleil d’Or, le public bénéficie cet été, d’un large éventail de propositions. À commencer par l’indémodable Megève Jazz Contest et ses trois jours de playlist de jazz traditionnel. Après avoir rassemblé près de 300 orchestres et 1800 musiciens en 28 éditions, le rendezvous dessiné par Poumy Arnaud, revient du 12 au 14 juillet, avec de nouvelles cordes à son arc et six nouveaux orchestres (Burgundy Swing, Five in the Mood, Geneva Boogies & Blues Quartet, New Chocolate Dandies, Nolacoustik et Southland New Orleans Jazz Band), cumulés à des démonstrations et autres cours de danse be-bop.

Reste que sur le sujet, Goldman est formel, quand la musique est bonne, quand elle guide nos pas, difficile de se passer de ses sonorités. Même différentes. En ce sens, l’organisation du 26e festival baroque du Pays du MontBlanc (du 12 au 21 juillet) saura trouver son public, à l’heure d’introduire les célébrations du 14 juillet, son défilé aux lampions et « son spectacle éblouissant », propice à « se déhancher sur les sonorités enjouées de la génération Y ».

Le must serait alors un peu de soleil, compagnon idéal de ces escapades sur le Mont d’Arbois ou sur le domaine de Rochebrune, tout en laissant les enfants de 11 à 15 ans, s’éclater lors d’une pool party

nocturne, organisée autour du Palais. Un planning alléchant et revigorant, avant de reprendre un peu de rab de mélodies, illustré par un nouvel opus du Megève Blues Festival (du 19 au 21 juillet). Le rendez-vous est pris, presque incontournable. Hélas, si celui-ci pleure encore la disparition de son créateur, Stéphane Huget (le 30 mai 2021), ses héritiers, Charline et René, ont repris le flambeau, animé de cette même passion, qui en fit un festival vénéré des Blues men.

HOMMAGE

ÉMOUVANT

POUR LES 10 ANS DU MEGÈVE BLUES FESTIVAL

Dixième anniversaire oblige, la station aspire à enfiler le costume de « Palace of the King », fort d’un nouveau format libérant les corps trois soirs durant, la programmation de la « soirée spéciale anniversaire » du dimanche 21 juillet, ouvrant même la voie aux interprétations de trois artistes : Manu Lanvin, Johnny Gallagher et Henrik Freischlader. Le tout bordé de divers concerts gratuits, joués place de l’Église.

Pas rassasiés ? Alors Megève se plaît à poursuivre sur sa lancée, rythmée par un ultime concert, joué par l’Orchestre d’Harmonie et ses 1400 titres, le samedi 27 juillet prochain. Puis viendra le temps d’éteindre les basses, de retrouver une once de calme, pour s’adonner à d’autres animations. Plus champêtres, avec ces spectacles de rapaces organisés au sommet de Rochebrune par les Aigles du Léman. Ou plus sportifs, avec l’instauration du « défi des familles », mix de diverses épreuves ludiques et aquatiques. Et puisqu’il faut bien se dépenser un peu, pour éliminer les repas pris à la table des restaurants ou les diverses boissons

ingurgitées lors des concerts, Megève soumet l’idée d’un finish en beauté. Au menu : le départ, le samedi 24 août, de la 13e édition de la Haute Route Alpes, cette course à étapes donnant à des cyclistes amateurs, l’occasion de gravir pendant sept jours et quelque 755 kilomètres, quelques-uns des cols les plus mythiques de la Grande Boucle (Alpe d’Huez ou Col du Granon). Un test pour certains. Une parade pour d’autres. Megève se plie aux envies. L’envie d’avoir envie. Cet été, qu’on lui donne le jour pour l’on aime ses nuits !

megève - Le calendrier estival

28e Megève Jazz Contest

Du vendredi 12 juillet au dimanche 14 juillet Gratuit. Cours de be-bop : 10€/1 cours, 18€/2 cours, 28€/3 cours

26e Festival Baroque du Pays du Mont-Blanc du vendredi 12 juillet au dimanche 21 juillet

Les Eglises du Pays du Mont Blanc 74700 Cordon

Fête Nationale

Dimanche 14 juillet à 20h30 sur la place du Village Gratuit.

Pool Party

Jeudi 18 juillet à 20h à 22h, au Palais, 247 route du Palais des Sports. Réservé aux enfants de 11 à 15 ans.

Tarif : 5€

Megève Blues Festival

Du vendredi 19 juillet au dimanche 21 juillet, de 19h30 à 23h30, sur l’esplanade du Palais, 247 route du Palais des Sports. PASS 1 soirée : 25€, 12€ pour les enfants de 12 à 18 ans. PASS 2 soirées (Vendredi et samedi ou samedi et dimanche) : 40€, 20€ pour les enfants de 12 à 18 ans. PASS FULL FESTIVAL : 50€, 25€ en tarif réduit.

Concert acoustique d’Alice Flore Darlix

Vendredi 19 juillet à l’Alpage de Beauregard, chemin de Beauregard – 74120 Demi-Quartier. Gratuit.

Gentleman Pétanque des Lyonnais

Samedi 20 juillet 2024 à partir de 9h 20e édition du tournoi de pétanque sur les terrains de la patinoire, organisé par Jean-Philippe Caille, Jean-Michel Abou et Hugues Ducrot

Les Aigles du Léman – Spectacle de rapaces

Mercredi 24 juillet au sommet de Rochebrune Spectacles (20min) à 12h, 14h et 15h30. Séances photos avec le public à 11h et 16h30. Gratuit.

Concert de l’Orchestre d’Harmonie de Megève

Samedi 27 juillet, à 21h, à l’Amphithéâtre de Megève Tourisme, 70 rue Monseigneur Conseil. Gratuit.

Le défi des familles à la piscine

Jeudi 8 août de 17h30 à 19h, au Palais. Relais et parcours à réaliser en famille, dans les bassins du Palais. Tarif d’entrée classique à la Piscine (16,50€ à partir de 15 ans)

13e édition de la Haute Route Alpes

Départ le samedi 24 août sur l’esplanade du Palais, 247 route du Palais des Sports, avec arrivée à l’Altiport. Départ le lendemain, depuis Megève pour une arrivée au col de la Loze.

L’AGENDA DE L’ÉTÉ

13 et 14 juillet

28e MEGÈVE JAZZ CONTEST

MEGÈVE BLUES FESTIVAL

LA FÊTE DU VILLAGE

LA BRADERIE DE MEGÈVE

LA

HAUTE

ROUTE

et retrouvez tout le programme d’animations sur :

megeve-tourisme.fr

ÉVASION AU LAC D’ANNECY UN SÉJOUR DE RÊVE AVEC LE GROUPE DESTEL

À seulement 1h30 de Lyon, le Lac d’Annecy vous attend pour une escapade inoubliable, orchestrée par le Groupe Destel. Depuis 2021, ce groupe hôtelier a enrichi son portefeuille avec deux joyaux au bord de ce magnifique lac alpin.

Reportage photos : Nicolas Winckler – Alpes people

Le Black Bass : Luxe & Modernité

Pour ceux en quête de luxe ultime, le Black Bass, un hôtel 5 étoiles, se dresse fièrement face au lac. Avec sa piscine et son Spa Sothys, ce refuge moderne et élégant se pare des couleurs d’Annecy pour émerveiller petits et grands. Chaque détail est pensé pour offrir une expérience unique, à l’image du poisson d’eau douce qui lui donne son nom, au caractère bien trempé.

Marie Picque, la directrice de ces établissements d’exception, a accueilli chaleureusement l’équipe de Lyon People. Elle nous a dévoilé les secrets de cette destination prisée des Lyonnais, en compagnie d’Alexandre Jeannerod, président d’Euro Sono, leader de la location de son, lumière et vidéo, et dans l’intégration d’installations fiables et durables. Il équipe d’ailleurs bon nombre d’établissements savoyards.

< Alexandre Jeannerod (Euro Sono), Marie Picque, directrice de deux etablissements, Caroline Grotowski (Pernod-Ricard Lyon) et Nicolas Winckler (Alpes People)

Le Clos Marcel : Élégance & Sérénité

Le Clos Marcel, un hôtel 4 étoiles à l'architecture charmante, pieds dans l'eau, offre une expérience de raffinement pur. Imaginez-vous sur une pelouse verdoyante, à deux pas d’un ponton privé, d'une plage intime, d'un sauna apaisant et d'un bain nordique revigorant. Ce havre de paix est une invitation à la détente totale.

Un Partenariat Durable

Caroline Growtoski, de Pernod Ricard Lyon, accompagne depuis des années le Groupe Destel dans ses projets. Grâce à ce partenariat solide, chaque séjour au Lac d’Annecy devient une aventure mémorable, dont elle a le secret nautique...

Remerciements à Franck Anderloni, le directeur général du Groupe Destel et Pernod Ricard Lyon

Black Bass – 921, route d’Albertville – 74320 Sévrier Hotel Clos Marcel – 410, allée de la plage – 74110 Duingt www.destelhotels.com

Les Cuisines Bernollin

invitent Jean-François Têtedoie

Des recettes locales et authentiques se préparent dans les Cuisines Bernollin. Avec Jean-François Têtedoie aux fourneaux, le repas ne peut être qu’une réussite. Ce jeune chef lyonnais déjà reconnu pour son restaurant Le Café Terroir situé place des Célestins, étend désormais son expertise gastronomique jusqu’au Beaujolais.

Texte : Fanny Suteau – Photos © Jean-Luc Mège

Le 7 mai dernier, il a inauguré Le Café Terroir chez Saint-Cyr, à Anse, sur le domaine du vigneron Raphaël SaintCyr, ajoutant ainsi une nouvelle adresse prestigieuse à son palmarès. Autour de la table, les invités d’Arnaud Bernollin profitent des créations culinaires de JeanFrançois Têtedoie, secondé par le chef du nouveau restaurant, Maxime Tranier. Une cuisine héritée des traditions, réinterprétée avec une touche de modernité. En septembre,

un responsable de salle viendra renforcer les effectifs de ce nouvel établissement. En attendant, Léa Têtedoie, responsable de La Cave Café Terroir à Lyon, assure son ouverture.

La carte du Café Terroir chez Saint-Cyr propose notamment la savoureuse quenelle de jambon « Colette ». « C’est excellent », peut-on entendre dans l’assemblée, arrosée par les vins du domaine Saint-Cyr. Puis vint le moment du plat de résistance : la volaille

Jean-François Têtedoie (Le Café Terroir)

Raphaël Saint-Cyr (Domaine de Saint-Cyr), Arnaud Bernollin (Cuisines Bernollin), Léa Têtedoie (La Cave Café Terroir), Jean-François Têtedoie (Le Café Terroir) et Maxime Tranier (Le Café Terroir)'.

de Bresse, sublimée par une sauce vin jaune et morilles. Véritable spécialité du Café Terroir, celle-ci s’accompagne de légumes et de pommes de terre nouvelles. Un délice ! Enfin, le repas s’est achevé avec une tarte aux pommes et une glace à la vanille. Une note gourmande rappelant les souvenirs d’enfance, à la manière d’une madeleine de Proust. Celui qui a été nommé en mars dernier viceprésident des Toques Blanches Lyonnaises,

en charge des jeunes, espère promouvoir la gastronomie lyonnaise en créant d’ici 2025 un festival, comprenant notamment un concours de cuisine et un bar, géré par des chefs de renom. « On ne connaît pas encore le lieu exact, mais je pense que ce sera place Maréchal Lyautey », conclut Jean-François Têtedoie. Le Café Terroir chez Saint-Cyr promet de ravir les amateurs de bonne chère, avec des plats alliant tradition et innovation.

CAFÉ TERROIR CHEZ SAINT-CYR

Domaine Saint-Cyr

31, chemin de Trechen - 69480 Anse Tél. 04 51 26 18 53

CAFÉ TERROIR

8, place des Célestins - Lyon 2e Tél. 04 81 18 70 24

CUISINES BERNOLLIN - 198, ALLÉE VIADORÉE - ANSE - TÉL. 04 74 67 04 08

CUISINES BERNOLLIN - 5, PLACE PUVIS DE CHAVANNES - LYON 6 - TÉL. 04 78 93 00 61

Tarte fine aux pommes et glace vanille
Quenelle de jambon « Colette », brocolis et sauce madère
Volaille de Bresse, vin jaune et morilles – Domaine de la Pérouse

ANGELO

Antonio Salvati (Chef)

Cuisine de tradition italienne méditerranéenne

Restaurant italien

Boscolo - 11, quai Jules Courmont - Lyon 2e

T 04 87 25 72 10

Ouvert 7/7 : Petit déjeuner jusqu’à 11h - 12h-15h déjeuner 15h-19h aperetivo - 19h-22h diner angelorestaurant

LES OLIVIERS

Alexandre Tamburini

Restaurant Bistronomique aux nobles produits

Restaurant BAR lounge

LE CÈPE

Claude Barbet

Bouchon Lyonnais et Cuisine Familiale

bouchon

LES GARÇONS BOUCHERS

Catherine Dhinaun et David Mollard

Steakhouse - MaîtreS restaurateurS

Restaurant

4, avenue du Général Brosset - 69390 Vourles

T 04 72 41 01 06

Lun-ven midi et jeu-ven soir - Week-end sur privatisation lecepebouchon-vourles

Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e

T 04 72 40 08 59

Ouvert 7/7 midi, le soir sur réservation à partir de 40 pers. www.garconsboucherslyon.com

restaurant Gastronomique

ASPERR MOLUT FUGITATQUIS UPTATE

Golden Tulip - 145, chemin de Paisy - Limonest

T 04 87 74 10 10

Du lundi au vendredi : 12h-21h30 https://lyon-ouest.goldentulip.com/fr-fr/hotel-restaurants/

L’ AFFAIRE DU 6

Edith Rosay

Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir)

63, cours Vitton - Lyon 6e

T 04 78 89 49 24

Tous les jours de 07h à minuit (sauf le dimanche)

Brasserie

NON PORENES

CELEST

EQUAT

Aude Andrillat & carte signée par Anthony Bonnet vue exceptionnelle, Suspendu à 150 m au-dessus du sol

Radisson Blu (32e étage) - 129, rue Servient - Lyon 3e

T 04 78 63 55 46

Mar-Sam : à partir de 19h, dernière commande 20h45 celest-bar-restaurant.com

Odipsum est plam ipiet re, serati ommolorupta sum comnienimus apero beatatur molo mos eat maiorunti inctas escillorum ius, sitatur, et facitat. Dunt. Igent moditation plaborem repeditisit quia dolenis alistori ut rendicto dollatum reribus at velliquam, sunt quiaeptaqui to tet am.

SAMKÉ

Joseph Saab (Chef)

Spécialité libanaise

25, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e T 09 83 71 57 01 / 06 32 75 27 57

Restaurant

BRASSERIE DES BROTTEAUX

Emmanuel Faucon

Tartare de boeuf dans la baVette d’aloyau

1, place Jules Ferry - Lyon 6e T 04 72 74 03 98

LE PRÉSIDENT

Christophe Marguin

cuisine du marché / SALON PRIVATIF

Restaurant

11, avenue de Grande Bretagne - Lyon 6e

T 04 78 94 51 17

Lun-ven : 12h-14h et 19h-22h www.restaurantlepresident.com restaurantlepresident

Du mardi au samedi : 12h-14h30 et 19h-22h30 www.samke.fr samkelyon

Jean-Claude Di Carmine CUISINE gourmande DU TERROIR

Restaurant

Restaurant

58, rue Pierre Bouvier - Fontaines-sur-Saône T 04 78 22 09 26

Ouvert midi et soir 7J/7 www.ogonesdesaone.fr ogonesdesaone

Lun-jeu 8h-22h. Ven 8h-22h30, midi et soir le week-end www.brasseriedesbrotteaux.com Brasserie des Brotteaux

Julie Spitters (Chef)

cuisine traditionnelle DE SAISON

70, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e T 04 78 17 53 53

Ouvert tous les jours - Midi & Soir www.casino-lyon.com/acacia casinolyonpharaon

En partenariat avec Au Comptoir de la Caisse, leader de la location de matériel caisse T. 04 37 64 64 84 • www.aucomptoirdelacaisse.fr

Frédéric Berthod

33 CITÉ

Restaurant

cuisine de saison / produits du marché / terrasse estivale

33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e

T 04 37 45 45 45

Du mardi au samedi, déjeuner et dîner www.33cite.com 33 cité 33cite

Restaurant

DOLCE BY SICILIANS

Vito et Paola Morreale

CUISINE sicilienne

44, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e

T 04 78 52 22 29

Ouvert du lundi au dimanche : 12h-14h40 et 19h-22h30 www.bysicilians.com dolcebysicilians

DÉCALÉ

Emmanuel Faucon de bons plats accompagnés De bons vins 1, place Jules Ferry - Lyon 6e

T 04 78 41 68 10

LE BRUNCH

Partouche Hôtel

LES BRUNCHS DU PAVILLON HôTEL***** & SPA

HOTEL

LE THÉODORE BISTROT DES HALLES

Marco Chopin

bistrot

Restaurant

3, rue Georges Bassinet - Charbonnières-les-Bains

T 04 78 87 79 79

Ouvert le dimanche midi www.pavillon-rotonde.com pavillonhotelspa

LES 3 DÔMES

Jérémy Ravier

Restaurant

Cuisine gastronomique avec vue panoramique (dès 32€ le midi)

Sofitel Lyon Bellecour - 20, quai Gailleton - Lyon 2e T 04 72 41 20 97

Ouvert du lundi au samedi, midi et soir www.les-3-domes.com @sofitellyon

ZAPPO

Mar-sam : midi et soir. Ouvert 7/7 à partir du 15 avril www.decale.rest restaurantdecalelyon

THE MAZE

resto-bistro-club

Amine Kortbi (Chef) the maze, l’instant partage ! 462, chemin de Champivost - Limonest

T 04 89 41 07 40

Lun-ven midi : 12h-14h15 - jeudi 18h-2h - ven-sam soir : 19h-4h www.themaze.fr themazelyon

Cuisine lyonnaise à l’hôtel dieu 21-23, quai Jules Courmont - Lyon 2e

T 04 78 82 38 49

Lun-sam : midi et soir 12h-22h et dim midi

Le Théodore bistrot des Halles

Restaurant brasserie

LE RIVE GAUCHE

Cyril Cornudet / Chef Guillaume Lepeltier

Cuisine créative, de saison et de tous horizons

31, cours Franklin Roosevelt - Lyon 6e

T 04 78 89 51 21

Ouvert 7/7 de 8h à 23h (lun : 8h-15h et dim : 8h-15h30) www.le-rivegauche.fr

Trattoria

Georgy Sfez pizza & biere (Pizza sicilienne, in pala et gluten free) 6, rue Challemel Lacour - Lyon 7e T 04 72 71 79 88

Ouvert 7/7, midi et soir sur place, clickandcollect et livraison www.zappo.fr zappo-lyon

Restaurant – ecailler

CHEZ ANTONIN

Eric Giraud restaurant de Fruits de mer & écailler

Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e T 04 87 37 10 99

Mardi-samedi : 10h-15h - Dimanche : 10h-14h30 www.chez-antonin.fr

Jeremy Viale Champion du Monde de Pizza 2019 belle brasserie italienne 78, rue Vendôme - Lyon 6e T 04 37 42 16 97

Ouvert 7/7 midi et soir www.trattorianano.com Nano Trattoria Lyon

LE PLATO

Restaurant

Frédéric Therriaud cuisine créative, faite maison avec des produits de marché

1, rue Villeneuve - Lyon 4e

T 04 72 00 01 30

Lun-ven : 12h-14h et 19h30-22h30 - Sam : 12h-14h et 19h30-23h restaurant-leplato.fr leplato.lyon

Trattoria NANO

Aston Martin ESSAI

GAËTAN MULLER, UN GROS SHOOT DE PLAISIR À BORD DE LA DB12 VOLANTE

Adepte du beau jeu et garant de la compétitivité de son équipe, le président délégué de LDLC ASVEL incarne à ravir, les lignes sportives de la nouvelle Aston Martin DB12 Volante. Un cabriolet de 680 chevaux, domptés le temps d’une ascension jusqu’à la Villa Maïa. Un décor 5 étoiles pour ce joyau de la couronne, sorti depuis à peine trois mois.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Jean-Luc Mège

Le sport de haut niveau est ainsi fait, il se construit autour de chiffres et de numéros, parfois fétiches. Alors lorsque Frédéric Blanc et la concession Aston Martin Lyon lui envoient leur tout nouveau cabriolet, sous les paniers de la Tony Parker Adequat Academy, Gaëtan Muller se plaît à quémander le nom de code de ce bijou : DB12 Volante. Lui avait en tête, un autre modèle. Un SUV DBX707, dont les 7 ont vocation à raviver les souvenirs d’une carrière passée sur les parquets, ce même 7 parfois inscrit dans le dos. Un autre temps. Du maillot à la veste de costume, le président délégué de l'A SVEL a appris à gravir les marches, comme tous ces jeunes de l’Académie, détournés de leur opposition, le temps d’apprécier la carrosserie de nos voisins anglais. « Ça fait rêver », valide

tout autant, l’imposant sportif, dont la carrure se confond idéalement avec les lignes musclées du véhicule. Une bête de 680 chevaux, capable d’avaler trois terrains de basket, en 3,7 secondes. À son bord, un V8 de 4 litres, lui-même susceptible de pousser le compteur jusqu’à 325 km/h. « Sur circuit, bien sûr », s’amuse à préciser Frédéric Blanc, à l’aube d’une escapade entre Rhône et Saône, sur laquelle la DB12 Volante (soit la dénomination cabriolet chez Aston Martin), s’apprête à profiter des 27 degrés extérieurs, pour laisser scintiller sa carrosserie verte « racine green » « Une configuration très british », précise d’ailleurs le directeur lyonnais de la concession Aston Martin de Lyon, ravi d’exposer ce travail d’orfèvre, entièrement fait à la main, après 260 heures de travail du côté de Birmingham.

“LA

PREMIÈRE SUPER-TOURER AU MONDE”

« Elle est vraiment belle », succombe alors l’ancien poste 4, dont le mètre 98 se coule au cœur d’un habitable tout de cuir « Oxford Tan » revêtu, aux frontières du chocolat et de l’orange. Une teinte pas anodine pour ce Rouennais de naissance. Alors à l’heure de prendre en main le volant, comme l’ancien basketteur prendrait un ballon, le geste se veut naturel, presque enfantin. « C’est génial, c’est la classe », expose-t-il conquis. Bercé par les 15 haut-parleurs du système audio, Bowers & Wilkins et une toute nouvelle intelligence numérique, Gaëtan Muller se surprend même à se relâcher et à prendre confiance. À décapoter en pleine action, aussi, en 14 secondes chrono. Accoudé à la portière, le numéro 2 de la Green Team souhaite s’amuser. « J’aurais aimé la pousser plus », avoue le pilote essayeur, visiblement piqué par le pouvoir d’accélération. « On est vite très à l’aise », approuve son copilote. Presque autant qu’à la Villa Maïa, choisi pour laisser à la DB12 Volante, le temps d’une pause. La belle doit patienter, son chauffeur se sustenter. En prime, la découverte du spa de ce sublime décorum 5 étoiles. Hélas, le temps presse, pour ce dirigeant acharné. Celui-ci promet de revenir et de foncer vers la piscine. En Aston, cela aurait du sens. Mais là encore, tout est affaire de chiffres. De fait, un seul sera à retenir : le 12. DB12 !

JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES 2024

TOUS DERRIÈRE NOS ATHLÈTES

LYONNAIS !

Alors que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 arrivent à grands pas, plusieurs athlètes lyonnais représenteront fièrement notre région à travers leurs disciplines. Gros plan sur ces sportifs.

Texte : Lou-Ann Girardet et Fanny Suteau – Photos © DR

Aurélien Giraud

Skate

Aurélien Giraud est un skateur, né le 3 février 1998 à Lyon. Il pratique la discipline dès 5 ans et s’entraîne particulièrement au skatepark de Gerland. Il remporte sa première compétition à l’âge de 7 ans, le V7 Teenage Tour. Il est le premier skateur à représenter la France aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2021. Même s’il n’arrive qu’à la 6e place, Aurélien se rattrapera l’année suivante lors du Festival des Sports Extrêmes à Montpellier en remportant sa première médaille d’or. En 2022, ce dernier a obtenu la médaille de champion du monde de skate et a ensuite remporté, le 24 février 2024, la Street League Skateboarding (principal circuit de compétitions internationales de skateboard professionnel, ndlr) à Paris.

Quentin Fernandez Anssoux Escrime handisport

Quentin Fernandez Anssoux, né le 2 mars 2004 à Lyon, pratique l’escrime handisport au club Masque de Fer dans le 6e arrondissement. Ce dernier est atteint de spina bifida (défaut de fermeture de la colonne vertébrale, ndlr). En 2022, il a décroché la médaille de bronze fleuret et la médaille de bronze épée lors du championnat du Monde U23 à Sao Polo (Brésil). En 2023, après avoir participé au

championnat de France senior à Sarrebourg, il a obtenu la médaille d’argent épée et la médaille de bronze fleuret. Enfin, toujours en 2023, Quentin a remporté la médaille d’argent fleuret et la médaille de bronze épée lors du championnat du Monde U23 à Busan (Corée du Sud).

Alexandre Lloveras Cyclisme handisport

Alexandre Lloveras, né le 20 juin 2000 à Lyon, est un coureur cycliste handisport, atteint de l’amaurose congénitale de Leber, le privant d’un champ visuel périphérique. Malvoyant depuis sa naissance, Alexandre est membre du Centre fédéral handisport de Talence qu’il intègre en 2015 pour pratiquer l’athlétisme. Après plusieurs blessures au pied, il se tourne finalement en 2018 vers le paracyclisme.

En 2021, il est sacré vice-champion du monde UCI du contre-la-montre en tandem, en duo avec Corentin Ermenault, lors des Jeux paralympiques de Tokyo et décroche la médaille de bronze de la course sur route. Il se fait également remarquer à plusieurs reprises lors des championnats du Monde en remportant la médaille d’argent à Cascais en 2021, la médaille de bronze au Canada en 2022 et la médaille d’argent à Glasgow en 2023.

Thomas Laronce

Volley handisport

Thomas Laronce est né le 7 juillet 1988 à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Il évolue toute l’année en tant que joueur de l’ASUL Volley Lyon et est attaquant réceptionneur de l’équipe de France de volley-assis. Caporalchef 1ère classe au 3e RPIMA, ce dernier est amputé fémoral des suites d’un accident de moto, survenu en 2013, en dehors de son service. Il travaille désormais dans les ressources humaines. Ancien joueur de basket, Thomas a notamment été inspiré par le parcours de Tony Parker. Sa devise : « être et durer ».

Annouck Curzillat

Triathlon handisport

Multiple championne de France para triathlon, Annouck Curzillat est née le 12 mai 1992 à Annecy. Cette dernière est atteinte d’une cécité congénitale à la suite d’une rétinite pigmentaire. De 2015 à 2019, l’athlète a remporté 5 fois les championnats de France de para triathlon PTVI (déficients visuels). Si elle est suivie par la Fédération depuis 2015, elle n’intègre l’équipe de France que lors des mondiaux de Lausanne en août 2019. Soutenue par sa guide Julie Marano, Annouck a remporté la médaille de bronze dans la catégorie PTVI aux Jeux Paralympiques de Tokyo en 2021.

Hugo Boucheron et Matthieu Androdias

Aviron

Hugo Boucheron, né le 30 mai 1993 à Lyon, est militaire. Matthieu Androdias, né le 11 juin 1990 à la Rochelle, est ingénieur. Tous deux sont rameurs, licenciés au Cercle de l’Aviron de Lyon (CAL). Ensemble, ils ont remporté plusieurs titres nationaux et internationaux. Le 5 août 2018, ils sont sacrés champions d’Europe en deux de couple, lors des championnats d’Europe à Glasgow, puis champions du monde en deux de couple lors des Mondiaux de Plovdiv, le 12 septembre 2018. Ils remportent ensuite leur première Coupe du Monde à Zagreb, le 1er mai 2021. Enfin, Hugo et Matthieu participent aux JO d’été à Tokyo en 2021 et sont sacrés champions olympiques, puis remportent un second titre de champion du monde à Racice (République Tchèque), le 25 septembre 2022. Un palmarès remarquable pour le duo qui avait été éliminé en demi-finale des championnats d’Europe 2023 en raison des problèmes de santé de Matthieu. Cette année, ils espèrent bien prendre leur revanche.

Floria Gueï

400

mètres

Née le 2 mai 1990 à Nantes, Floria Gueï est une athlète spécialiste du 400 mètres, licenciée au club d’athlétisme de l’Entente Sud Lyonnais. Floria est sélectionnée pour la première fois en équipe de France à l’occasion des championnats d’Europe de Bergen en 2010, où elle se classe quatrième du relais 4x400m. Championne d’Europe en salle du 400m à Belgrade en 2017, elle remporte également plusieurs médailles au 4x400m lors de divers championnats : le titre continental en plein air en 2014 à Zurich, le titre continental en salle en 2015 à Prague, trois autres médailles d’argent aux championnats d’Europe de 2012, 2016 et 2018, ainsi que la médaille de bronze aux Mondiaux de Moscou en 2013.

Manon Apithy-Brunet

Escrime

Manon Brunet est une escrimeuse, née le 7 février 1996 à Lyon. Elle découvre la discipline à l’âge de 8 ans et s’inscrit au club « Sabre au clair » de Rillieux-la-Pape. Grâce à ses performances, elle intègre en 2010 le pôle espoir à Orléans. Dès l’âge de 17 ans, elle se classe dans le top 10 mondial et intègre l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance).

Manon décroche à six reprises la médaille d’or en Coupe du Monde et remporte la première place lors des championnats d’Europe en 2023. En 2018, elle devient championne du monde de sabre par équipes avec l’équipe de France et a ensuite obtenu la médaille de bronze en individuel aux Jeux olympiques de Tokyo en 2021.

Cyril Tommasone Gymnastique

Cyril Tommasone est un gymnaste, né le 4 juillet 1987 à Villeurbanne. Il découvre la gymnastique à l’âge de 7 ans et s’inscrit à la Convention Gymnique de Lyon. Il est membre de l’équipe de France depuis 2000 et a déjà remporté de nombreux titres de champion de France, principalement au cheval d’arçons. Il a déjà participé aux Jeux olympiques à deux reprises, ceux de Londres en 2012 et ceux de Rio en 2016, pour lesquels il a respectivement décroché la 5e et la 4e place. Cyril a également obtenu deux médailles aux championnats du Monde et quatre aux championnats d’Europe.

Matthieu Rosset Natation

Mathieu Rosset est un plongeur, né le 26 mai 1990 à Lyon. Il débute la discipline à 7 ans, avant de s’inscrire au Lyon Plongeon Club. Il évolue depuis 2005 au club de l’USOL Vaugneray et s’entraine au Pôle France de l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance) dans le cadre d’une formation sport-étude. Plusieurs fois récompensé aux championnats de France, il inaugure son palmarès international en 2011 à Turin, en décrochant deux médailles de bronze lors des championnats d’Europe de plongeon. Il a ensuite obtenu une médaille de bronze et deux médailles d’or à 3m en individuel aux championnats d’Europe de natation, en 2012. En 2015, il obtient une nouvelle fois la médaille d’or lors des championnats d’Europe de Rostock (Allemagne). En 2017, il a décroché son 5e titre de champion d’Europe, en équipe avec Laura Marino, et seront sacrés dans la foulée champions du monde, première médaille d’or mondiale de l’histoire du plongeon français.

Florent Manaudou Natation

Florent Manaudou est un nageur spécialiste des épreuves de nage libre, né le 12 novembre 1990 à Villeurbanne. Il est actuellement licencié au Cercle des nageurs de Marseille. Entre 2012 et 2021, Florent a remporté quatre médailles aux Jeux olympiques, une en or et deux en argent sur l’épreuve de 50m nage libre, et une autre en argent au 4x100m. Avec sa médaille d’or aux JO de Londres en 2012, il devient à 21 ans le sixième champion olympique de natation français en épreuve individuelle. En 2014, Florent remporte quatre médailles d’or lors des championnats d’Europe de Berlin, avant de devenir le nageur français le plus médaillé dans des championnats du Monde de natation à Doha, lors des Mondiaux en petit bassin, où il a remporté six médailles. Il obtient en 2015 le relais 4x100m avec l’équipe de France, ainsi que ses deux premiers titres mondiaux individuels en grand bassin, lors des championnats du Monde de Kazan (Russie). Il a également obtenu deux médailles d’argent lors des Jeux olympiques de Rio en 2016, et une médaille d’argent en finale du 50m nage libre lors des Jeux olympiques de Tokyo.

Jeux Olympiques : du 26 juillet au 11 août 2024

Jeux Paralympiques : du 28 août au 8 septembre 2024

BIENVENUE DANS LE MONDE DE L’ÉVÉNEMENT

Groupe intégré des métiers de l’événement, GL events poursuit son développement sur les trois grands marchés de l’événementiel : congrès et conventions, événements et manifestations sportives, salons  / expositions à destination des professionnels ou du grand public.

CRITÉRIUM DU DAUPHINÉ LIBÉRÉ

SAINT-PRIEST, LA GRANDE FÊTE DU VÉLO !

L’édition 2024 du Critérium du Dauphiné Libéré a fait une halte remarquée à Saint-Priest, et tenu toutes ses promesses. Pour le plus grand plaisir des habitants et du maire, Gilles Gascon.

: Morgan

Il fallait bien cela, pour faire honneur à l’Histoire que la Ville entretient avec le cyclisme (elle a déjà accueilli 3 fois le Tour de France et une fois le Critérium) et en écrire de nouvelles pages. Avec pour décor, le Plateau des Glières, temple de la résistance en 39-45, le Critérium du Dauphiné se devait de clore son édition 2024, sur une ultime

bataille. Et un maillot jaune, acquis par le Slovène Primoz Roglic pour huit maigres secondes.

Une conclusion hollywoodienne pour l’épreuve régionale, dont le scénario fut marqué par une impressionnante chute collective, sur la route embarquant les coureurs en direction de Saint-Priest. Venus

en masse, les San-Priots eurent tout le temps d’admirer le peloton et ses stars, arrivés à petite allure, le long de l’avenue Jean Jaurès. Un spot idéal pour les amateurs de vélos, et un joli coup de projecteur sur Saint-Priest, sur le podium du classement des villes les plus dynamiques en termes d’entreprenariat, avec une entreprise tous les 156 habitants.

Texte
Couturier – Photos © Karine Bourgain
Gilles Gascon, maire de Saint-Priest et Christophe Quiniou, maire de Meyzieu entourés de l’équipe municipale
Sur le podium, Primoz Roglic, coureur cycliste Slovène
Laurent Scheiwe, adjoint aux sports, Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, Alexandre Bassette, directeur de cabinet, Djamel Lebbal, directeur général adjoint
L’équipe municipale de Saint-Priest avec Bernard Thevenet, directeur A.S.O.
Laurent Jalabert et les journalistes de France Télévision devant le château de Saint-Priest
Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, Bernard Allemand, président des commerçants de Saint Priest
Le comité d’accueil
Autour du maillot du meilleur grimpeur : Christophe Quiniou, maire de Meyzieu, Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, Gwenaelle Gascon
Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, Maxime Bellut, TAC Cyclo Meyzieu, Philippe Armand, Vélo Griffon Meyzieu, Christophe Gendre, Christophe Quiniou, maire de Meyzieu
Alain Berlioz Curlet, adjoint au maire de Saint-Priest, économie finances, Julien Guiguet, chef de cabinet, mairie de Saint Priest, Fabrice Lodi-Chemain adjoint au maire de Saint-Priest, délégation commerce
Bernard Thevenet, légende du Tour de France et Gilles Gascon, maire de Saint-Priest
Djamel Lebbal, Directeur général adjoint Mairie de St Priest, Laurent Scheiwe, adjoint aux sports, mairie de Saint Priest, Domminique Briand, Président Sporting Cyclo Manissieux
Sur la ligne d’arrivée de Saint Priest, Laurent Scheiwe, adjoint aux sports, mairie de Saint Priest, Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, Mickaël Paccaud, conseiller régional, Doriane Corsale, 1ère adjointe au maire de Saint-Priest

Capucine Iliou, ostéopathe et Mathieu de Salins (Profil)

Jean-Marie Nauleau (Lyon People), Remy Jomard (LOU Rugby, Mingat), Laure-Marine Godet (APAVE) et Marco Polisson (Lyon People)

Olivier Camps et Alexandre Navarete (Mercedes Benz Groupe Chopard)

Barrero (Eiffage Construction), Pascale et Guy Mathiolon, président SERFIM

LOU RUGBY — STADE TOULOUSAIN LES TRIBUNES VIP

Texte : Jean-Marie Nauleau – Photos © Saby Maviel

La soirée qui s’annonçait orageuse – dans tous les sens du terme – a débuté par un émouvant hommage à notre international Jean-Marc Doussaint qui tire sa révérence en mettant un terme à sa carrière. Une haie d’honneur formée par les 2 formations a salué notre international qui n’a connu que deux clubs le Stade Toulousain durant 12 ans puis le LOU. L’autre fait marquant de la soirée est le titre de meilleur marqueur d’essais en Top 14 avec 17 réalisations de Baptiste Couilloud pour le plus grand plaisir des 32 300 spectateurs présents dans les 4 tribunes, ce qui constitue un record d’affluence à Gerland, en version rugby. Sur le plan sportif, tout a basculé en seconde période pour une victoire du LOU 40 à 28 dans ce match sans réel enjeu, le stade Toulousain étant déjà qualifié pour les phases finales et les Lyonnais ayant assuré leur maintien en terminant à la 11ème place. Rendez-vous après les vacances (premier match le 7 ou 8 septembre) pour la saison 2024 / 2025 avec Lyon People

Didier Pariset, président SG Auvergne-Rhône-Alpes et son épouse Magaly

Gérard
Patrick Iliou (GL events) et Anthony Lopes (Olympique Lyonnais)
Serge Bruhat, vice-président du LOU Rugby et Brigitte Giraudeau (2GM Propreté)

Serge Rouvière (LOU Arbitrage), Meryl Lantier (MLD) et Yves Barbier (Foncière Vauban)

Anthony Marquet (CLDI), Xavier Maitre (Banque Hottinguer) et Nicolas Goiran (Abenex)

Caroline Ginon (Fazenda Architecture), le chirurgien Sébastien Le Page, Michel Vieira, président de MDA Compagny, le chirurgien Bruno Macheda et Diane Roubert (Twyd)

Marine Vernay (Siparex) et Alexandre Carrot (AMDG)

Haie d’honneur pour notre international Jean-Marc Doussaint qui tire sa révérence...

Franck Honegger (Netri) et Edith Michoulier

Marc Fraysse (Capzen Services), Sophie Cruz, conseillère régionale, Christophe Guilloteau, président du conseil général du Rhône, et Jean-Claude Pietrocola (Trophée OvalGreen)

et Matthieu Gufflet, président EPSA Groupe (nouveau partenaire du LOU

Michoulier,

Marc-Antoine Ginon, président de GL events sport et Sébastien Michel, maire d’Ecully

...Sous les applaudissements des deux équipes et de leurs présidents

Marc
Maître Richard Brumm, conseiller de la Métropole de Lyon, Sophie de Charry (BD), Didier Courbon, Dominique de Charry et l’architecte Albert Constantin
Le chef Mathieu Viannay (Mère Brazier), Christophe San Miguel
Rugby)
Benoit Licour (Groupe Maïa) et son neveu Malo Guérin (école Cornell)

JUIN 2025

NUMÉRO SPÉCIAL PATRIMOINE

LES SECRETS DE BRON

Les 21 Évènements

QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !

CONCERTS DE COLDPLAY

AMBIANCE DE FOLIE AU GROUPAMA STADIUM

C’est peu dire, Lyon a été submergé par le son envoûtant de Coldplay, attirant environ chaque soir, près de 55 000 fans venus de toute la France pour assister à ses concerts, soit autour de 150 000 fans pour les trois dates. Dès les premières notes, le groupe a captivé le public grâce à une performance époustouflante et une setlist variée comprenant des anciens succès et de nouveaux titres comme « higher Power », « Viva la Vida », « Adventure of a Lifetime » ou encore « Yellow ». Effets spéciaux spectaculaires, interactions chaleureuses avec les fans et une énergie palpable ont marqué ces soirées humides. Les concerts de Coldplay à Lyon resteront inoubliables comme une célébration musicale magistrale, malgré les défis météorologiques rencontrés lors du premier soir. JIR

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INAUGURATION TESLA

SAINT-PRIEST

Ouverte en fin d’année 2023, la concession Tesla de Saint-Priest a célébré en beauté son inauguration. Sept ans après Dardilly, la firme d’Elon Musk s’en va conquérir de nouveaux territoires. Direction Saint-Priest donc, où la clientèle saura désormais profiter de ce showroom spacieux pour (re)découvrir ces carrosses électriques que sont les Model S, Model X ou Model Y. « C’est la preuve de l’attractivité de notre territoire », se réjouit son maire Gilles Gascon. À l’heure d’inaugurer ce nouveau point de vente et son atelier de maintenance, le maire de la commune et les nombreux invités, eurent même la primeur nationale de pouvoir profiter de la tournée de présentation européenne du surprenant Cybertruck. Un monstre de 6 mètres de long et de plus de 3 tonnes, en acier blindé, que seuls les Américains peuvent commander. MC

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COURIR POUR ELLES CARTON PLEIN POUR LA 15E ÉDITION

Courir pour elles organisait sa 15e édition anniversaire dimanche 26 mai 2024. Une date symbolique, celle de la fête des mères, pour mettre les femmes à l’honneur. Près de 15 000 dossards ont été attribués pour ce millésime. Entre les formules connectées, audio-guidées et en présentiel, plus de 12 000 coureuses et marcheuses s’étaient donné rendez-vous au parc de Miribel-Jonage pour partager des parcours de 10, 5 ou 2,5 kilomètres au bord du lac. Créé en 2009 par Sophie Moreau, présidente de l’association Courir pour elles, cet événement solidaire rassemble chaque année des milliers de femmes, venues apporter leur soutien à d’autres femmes touchées par la maladie. Le rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine : la 16e édition aura lieu le week-end des 17 et 18 mai 2025. FS

Textes : Fanny Suteau, Jean-Irénée Riva et Morgan Couturier
Photos © Christophe Pouget

KMH FOR LIFE UNE NUIT AU MUSÉE POUR

SOUTENIR LA BIODIVERSITÉ

Habitué à aiguiller ses clients sur le sujet de la gestion de patrimoine, le cabinet KMH avait réservé l’auditorium du Musée des Confluences, le temps d’une soirée. Une évasion propice à l’évocation des différents engagements pris par la société lyonnaise.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard

Àcadre exceptionnel, placement exceptionnel. Mais même en sortant de sa zone de confort, le temps de s’emparer de la scène de l’auditorium du Musée des Confluences, Guillaume Hublot parvient irrémédiablement à trouver les mots. Et les bons placements. « D’habitude, on vous présente des produits financiers. Ce soir, on a envie de vous montrer nos engagements », dixit ainsi le gérant associé de KMH, bien décidé à « enrichir de sens, la finance » Comment ? En sortant des carcans de l’économie, pour placer ses pions sur d’autres engagements « historiques », que sont le soutien à l’art, à la culture ou à la médecine. « On a développé une vraie ingénierie du mécénat », poursuivit l’expert en gestion de patrimoine, convaincu du bien-fondé de la création de fonds de dotation. Pour preuve, l’établissement en 2022, du fonds Beluga, voué à « encourager et assurer la protection des animaux ». De quoi faire écho à la conférence de Bruno David, sur la biodiversité et les conséquences du dérèglement climatique, avant de s’imprégner de la fraîcheur de l’exposition de Vincent Munier. Une escapade « en forêt », pour boucler une soirée riche... en investissements.

Guillaume Hublot, Sébastien Boucher, gérant de portefeuille chez Silex, Antoine Boissay, directeur associé chez Silex, N. Kert, co-fondateur / président Remake
Guillaume Hublot, associé-gérant de KMH
Guillaume Hublot, asssocié-gérant de KMH et Sébastien Boucher, gérant chez Silex
Dany Morsilli, PDG la Sphère des Possibles, Aurélie Berthilliot, associée-gérante de KMH, Marc Giroux, président Somaco Industries, et Christelle Poirier (La Sphère Des Possibles)
Anne-Lise Bernollin, Arthur Garde (Archibald Avocats) et François Devaux-Mailland (Arches Notaires)
Nicolas Médan, Aurélie Berthilliot et Guillaume Hublot, associés-gérants de KMH
Antoine Boissay, directeur-associé chez Silex
Bruno David, conférencier, ancien conservateur du Muséum de Paris

BUNCH ET BORÉAL AVOCATS INAUGURATION DES NOUVEAUX LOCAUX

Les cabinets Bunch et Boréal ont officiellement inauguré leurs nouveaux locaux ! Au sommet de la chaîne patrimoniale lyonnaise (lire encadré), l’immeuble néogothique du 8, quai Sarrail, accueille désormais les deux cabinets d’avocats répartis sur deux niveaux. Orienté business, le cabinet Bunch est composé de 5 associés et 7 collaborateurs. Il intervient dans les domaines du Droit commercial, du Restructuring, du Droit des sociétés, ainsi qu’en Droit de la concurrence. Le Cabinet Boréal accompagne quant à lui les entreprises en Droit social et Droit pénal des affaires.

Les associés Bunch

Hubert de BOISSE

Mohamed BOUZENADA

Julien CHAUPLANNAZ

Marie FRISCH

Estelle RIGAL-ALEXANDRE

Les associées Boréal

Victoire BERN

Karen MOURARET

Photos © Bertrand Perret
Les associés du Cabinet Bunch
Caroline Joyard, avocat, Karen Mouraret, cabinet Boréal avocats, Floriane Di Salvo, avocat, Jérôme Orsi, avocat
Quentin Bonnac (Warning), Julien Chauplannaz (Cabinet Bunch) et Gautier Scalia (Le temps des oliviers)
Arthur Boucaud (AJ Meynet associés), Alexandre Garel-Galais (Groupe Aurys), Nabil Aïssat (Banque Delubac)
Mélanie Goutelle, Louise Mougin (Cabinet Bunch) et Justine Ferren, étudiante
Cabinet Bunch
Alban Pousset-Bougere, bâtonnier, Sara Kebir, vice bâtonniere, avec l’équipe Bunch

UN IMMEUBLE PATRIMONIAL

Construction : 1887

Commanditaire : Ferrand-Holstein

Architecte : Prosper-Édouard Bissuel

Cet immeuble compte pour l’un des rares exemples de gothique civil à Lyon avec celui construit par Tony Desjardins place d’Albon (1850). De belle facture, il s’impose dans la perspective du quai par son ordonnance rigoureuse qui distingue trois principaux niveaux, rythmés de baies néo-médiévales à balustrades ajourées. Conformément à la pensée rationaliste de Viollet-le-Duc, matériaux et fonctions demeurent parfaitement lisibles en façade ; les tirants métalliques placés entre les baies en témoignent. L’immeuble possède l’une des entrées les plus impressionnantes de Lyon, voûtée à croisées d’ogives, d’une hauteur étonnante, ainsi que des aménagements intérieurs de qualité.

[Source : Plan historique et patrimonial du 6ème]

Frédéric et Katia Nakhal (MSI services)
Amaury Dumas-Marze (Delsol avocats) et Jean Leroux (Abelia expert-comptable)
Virginie et Pierre Leblond (Rendez-vous Déco) Victoire Bern (Cabinet Boréal) et Victor Bouzard (Newatwork)
Richard Drevet (Richard Drevet automobiles) et Marco Polisson (Lyon People)
François Chauplannaz (Harmonie mutuelle) et Margaux Bonnac (Warning group)
Sébastien Fallecker (360 maker) et Emilie Legoff, ceo Troops et co-présidente de la French Tech One Lyon St-Étienne
Cabinet Bunch et Cabinet Boréal
Hubert De Boisse (Cabinet Bunch) et Marion Hennequin (Onelaw)
Chloé Pichat (Thivel Notaires) et Thomas Fabrizi (Coloc’action)
Bernard Sorlin (Joint Dual), Muriel Chauplannaz (Pierrefeu immobilier)
Victoire Bern et Karen Mouraret (Boréal avocats)

FNAIM RHÔNE

UNE SOIRÉE ANNUELLE CONSTRUITE

AUTOUR DE L’OPTIMISME

Logée au cœur du fraîchement renommé Pasino Grand Partouche, la soirée annuelle de la FNAIM Rhône fut l’occasion de ragaillardir un secteur frappé par la crise. Mais à l’image de son président, la communauté des professionnels de l’immobilier se dit prête à parier sur des perspectives plus encourageantes.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel

Sept décennies déjà, que les mots de Philippe Vacher accompagnent la FNAIM et ses rassemblements. Le temps d’une assemblée, ce dernier avait émis l’idée « d’unir, servir et d’agir ».

Un constat encore d’actualité, alors que les maires, tels que Gérald Eymard, sur la commune de Charbonnières-les-Bains, ont nécessairement « besoin de loger les gens ». De quoi soulever l’idée d’un marché en regain de forme, illustré par la baisse récente des taux

d’intérêts. « 2024 est une année de transition, mais il faut être positif », encouragea d’ailleurs le président de la FNAIM Rhône, Pascal Pancrazio, prêt à profiter du cadre du Pasino Grand Partouche pour parier sur des « jours meilleurs », aux antipodes de la crise sans précédent affrontée par la profession.

« On est des entrepreneurs, on se bat et on reste optimiste », exhorta-t-il, de manière à rallumer la flamme de ses adhérents. Et ainsi trinquer, à un avenir, que tout le monde espère prospère. Champagne !

Farenc, président de la Chambre interdépartementale des notaires de la Cour d’appel de Lyon, Véronique Madelrieux, présidente de la délégation de Roanne de la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne, Pascal Pancrazio, président de la FNAIM Rhône et Gérald Eymard, maire de Charbonnières-les-Bains

lyon people
Pierre-Yves Gaucher, Loïc Bodoy, Deanna Nociar, Pascal Pancrazio, président de la FNAIM Rhône, Adrien Pupier et Emmanuel Capuano (FNAIM Rhône)
Cyrille
Hélène Fauvet (FNAIM Rhône) et Antoine Bonardot (l’Immobilier d’Antoine)
Yolène Rostaing (La Boite Immo) et Deanna Nociar (FNAIM Rhône)
Benoit de Fougeroux (BNP Paribas Real Estate) et Adrien Pupier (GP Immobilier)
Jean-Philippe Guinet (Rochat Immobilier) et Christophe Laporte (Régie Laporte Rey)
Gaétan Chappert (FNAIM), Jaime Cruz et Alec Beleghrabli (Alliance des Énergies)
Marc Bruere et Julien Daret (Seventee)
Myriam Sébillet (Galian) et Bernard Sbrava (Agence Immobilière Lyonnaise)
Pascal Pancrazio, président de la FNAIM Rhône, Hélène Chahabian (H2C) et Patryck Piot (FNAIM Rhône)
Allan Mlanao, Olivier Pannetier, Alice Chaverot, Marion Ploquin, Emmanuel Capuano et Timothée Marsande (Re Max Aquila)
Romain Valette et Laszlo Defauconpret (provisite.com)
Christèle Boscaro (Bussat Immobilier) et Jorge Da Rocha (Bien’ici)
Stéphane Cognet, Céline Million et Thomas Garcia (ICS)
Marianne Rossi, Ange-Marie Legros, Julien Laurent et Sandra Mora (Lyon Ouest Immo)
Éléonore Branchy (Minuta), Nicolas et Gersende Derrien (NGI Conseils)
La gagnante de la loterie Guyot, Sandra Jacquinot (Kahûte), entourée de Pascal Pancrazio, président de la FNAIM Rhône, d’Anthony Robin et Vincent Didier (Guyot)
Sylvain Genthial et Alexandre Schleininger (Genius)
Romain Lagarrigue et Patrice Dumont (La Compagnie des Déboucheurs)
Emmanuel Mazille (Malsh) et Julie Coulon, assistante de direction de la FNAIM Rhône

MERCEDES-BENZ GROUPE CHOPARD LYON UNE SOIRÉE PLEINE D’ÉTOILES CHEZ PAUL’O

Réunis à Solaize, clients et partenaires ont pu s’essayer à différents « tests drive ». Une vraie découverte, au cœur de la verdure du restaurant Chez Paul’O.

C’est avec plaisir non feint que toutes les équipes de Mercedes-Benz groupe Chopard Lyon avaient planifié l’événement. Une soirée « business », unissant clients B2B de Mercedes-Benz à des partenaires d’Alex Panefieu, attaché commercial « partenariat et sponsoring » au sein du LOU Rugby. Au cœur du restaurant de Benoit Toussaint, cette rencontre fut ainsi l’occasion de rencontrer les joueurs, tout en découvrant, quelques-uns des plus beaux modèles de la marque, lors d’essais sur route ouverte. À la clé, des véhicules 100% électriques de la gamme Mercedes EQ mais aussi des modèles ultra exclusifs de la gamme AMG : le nouvel AMG GT 63, l’AMG GT 4 portes 63s E Performance, ou le SL 43 AMG. Au volant de ces belles voitures, les étoiles ont donc nécessairement brillé dans les yeux des invités. Un moment parfait « de partage et de convivialité ».

lyon people • juillet 2024 • 70
Christophe Bragard, directeur général de Mercedes-Benz Groupe Chopard Lyon, entouré de son équipe (Mercedes-Benz Groupe Chopard)
Le chef Benoît Toussaint et son équipe : Marie-Pierre, Jordan, Aimé, Alain, Francis et Daniel (Chez Paul’o)
Bastien Grand, Geoffrey Bigot (Clemessy), Ophélie Massia (Biomérieux), Ludovic Chiampo (Noxalu) et Gérald Lemaire (GL Energie)
Le chef Benoît Toussaint aux cotés de sa maman Josette et de sa compagne Kenia Millet (Chez Paul’o)
Christophe Bragard, directeur général de Mercedes-Benz Groupe Chopard Lyon et Alex Panefieu (LOU Rugby)
Rachid Makhloufi (D&DP) et Max Maurice (MPLM)
La chanteuse Marie Clauzel et le pianiste Matt Duval
Gaël Jacquet, responsable des ventes sociétés au sein du groupe Chopard, Bertrand Viseux (Evens) et Thomas Vannier (Arval)
Photos © Saby Maviel

TOURNOI DE PÉTANQUE DE L’UNIS A LA FIN, C’EST TOUJOURS LE PRÉSIDENT QUI GAGNE !

Si le rendez-vous bouliste attire de plus en plus de collaborateurs, Patrick Lozano ne laisse que des miettes. À l’occasion du traditionnel tournoi de pétanque de l’UNIS Lyon-Rhône, le président s’est adjugé un deuxième titre consécutif. Le secteur de l’immobilier a beau retrouver des forces, il n’est pas certain que les valises de l’UNIS LyonRhône soient encore suffisamment remplies pour financer le succès de son président deux années de suite. De fait, si le succès de Patrick Lozano lors de l’édition 2023, avait soulevé quelques soupçons, le nouveau sacre de ce dernier ne peut plus être le fruit du hasard.

« Une victoire sans discussion », attestèrent

bon nombre de spectateurs, bien que l’as du carreau se soit amusé à entretenir le mystère.

« Merci de m’avoir encore laissé gagner cette année », plaisanta ce dernier, bien épaulé par ses partenaires de la Team Ardi, Éric Guillin et Julien Coffinet. Un triomphe rendu encore plus puissant, grâce à une participation en hausse à cette étape lyonnaise du Pétanque Tour de l’UNIS.

Mais qu’à cela ne tienne, parmi les 120 concurrents présents O Capot, c’est bien Patrick Lozano et son équipe qui s’envoleront pour Rennes et la grande finale. Avec de tout autres concurrents... à soudoyer.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Stéphane Colin (Laforêt cabinet Mermet), Jeremy André (Ascaudit Groupe) et Alexis Di Manno (Laforêt)
Nilgul Gokce (Carron), Romain Rajon et Pascal Matera (Carron)
Frédérique Conti, Anne-Christine Chagnon et Laurence (Régie de l’Opéra)
Nicolas Vanderhaeghe et Philippe Julienne (Verspieren Immo) et Marielle Esclatine (déléguée régionale Unis Lyon-Rhône)
Les meilleurs de la Team Vanex
Les troisièmes : la Team de Videoconsult
La Team Zeplug avec Jacques Pedrini
Lionel Louis (Opéra Énergie), Céline Paradol (Régie Molière) et Raphaël Aguera (Tesserim)
Patrick Lozano entouré des vainqueurs de la Team Ardi : Julien Coffinet (Ardi) et Éric Guillin (Ardi)
Les seconds : la Team AFEO
Éric Lachaume (CSA), Hugues Medard (cabinet Citya London Lumière), Thomas Bouchut (Ocea) et Laetitia Botteron (CSA)

KARTELL MET LA MAIN SUR UNE NOUVELLE BOUTIQUE

L’enseigne d’ameublement gagne en volume, avec l’inauguration d’une nouvelle boutique, ouverte en octobre 2023. Une célébration idéale pour dévoiler en exclusivité française, les derniers trésors de la marque, présentés au récent Salon du Meuble de Milan. À ce jeu, Kartell Lyon sut donner le change à ses clients, en quittant son adresse du 15 cours de la Liberté pour un nouveau Flagship Store de plus de 300 m2, désormais installé 2 rue Rabelais. Par ce court délogement, l’enseigne italienne, présente dans la capitale des Gaules depuis 22 ans, s’offre un écrin plus lumineux dont les hautes baies vitrées attirent l’attention sur les canapés de Piero Lissoni, les suspensions de Philippe Starck et ses chaises au style fleuri, élaborées en collaboration avec Liberty London. « La force de Kartell, c’est de se renouveler et d’innover chaque année pour faire vivre le design », glissa ainsi Camille BruyèreWormser, responsable de la communication, épaulée par Lorenza Luti, la petite-fille du fondateur. Une ambassadrice de choix pour présenter les nouvelles lampes Teresa et ces diverses décorations, imaginées autour de l’imagination. Preuve que Kartell est dans l’air du temps. Et de mieux en mieux exposée !

Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard

Kartell

2, rue Rabelais – Lyon 3e

Sophie Tran (Calissi), l’architecte Françoise Michallon et Camille Bourbon (Château Forme)
Hassen Lamti et Hayat Rouibah (Lamti)
Lila Ouchnak (Création Contemporaine), Sandra Viricel (Viricel Immobilier) et Sophie Tran (Calissi)
Céline Bizet (architecte d’intérieur), Shirley Dratler (Shirley Home Decor) et Christina B (agence Re Made)
Gilles Bruyère (Roche Bobois), Thierry Marin (Allmilmö by Marutti) et Jean-Bernard Luc (cabinet dentaire)
Clément Souplet (Souplet & Lagnaux) et son associée Laurence Lagnaux
Roger Batista (Architecte d’intérieur), Jesus Manrique (Architecte d’intérieur), Loïc Delobel (Icom Data Solutions) et Damien Pauly (architecte d’intérieur / studio Anata)

FCE LYON RHÔNE

UNE SOIRÉE EN PARTENARIAT AVEC DS AUTOMOBILES

Anne-Sophie Panseri (Maviflex), Anthony Ferreira (DS automobiles Lyon)

Maud Billard-Coester (Kardol), Anne-Sophie Panseri (Maviflex), Juliette Kopps (Leaders d’Avenir)

Emmanuelle Jalliffier-Verne (Présidente FCE Lyon/EJV Avocats), Anouk Déqué (Présidente FCE France), Christophe Raynaud (DS automobile Lyon), Karine Chapochnik FCE (Chapcom Media)

Renaud Mouly (Stellantis&You Lyon), Sophie Ropars (DS France), Damien Sangines (DS France)

La délégation FCE Lyon Rhône (Femmes Chefs D’entreprise), représentée par Emmanuelle Jalliffier-Verne, a organisé une soirée exceptionnelle à l’hôtel Boscolo, avec le partenariat exclusif de la société DS Automobiles, et le soutien de Christophe Raynaud (DS Automobiles Lyon) et Karine Chapochnik, Ambassadrice DS Automobiles Lyon. Caroline Weber, directrice Générale de Middlenext, l’association des entreprises cotées au second marché, est intervenue en qualité d’experte APM sur la RSE et a sensibilisé l’auditoire sur les problématiques et les enjeux climatiques qui devront amener les entreprises à adapter leurs comportements, leurs modes de consommation. Sophie Ropars, Directrice Marketing France de DS Automobiles, partenaire de la soirée, était exceptionnellement présente lors de cet évènement. La délégation avait le privilège d’accueillir sa présidente nationale Anouk Déqué et son bureau, ainsi que les adhérentes de 62 autres délégations venues de toute la France pour une réunion nationale. Une soirée placée sous le signe de l’excellence mais aussi de la convivialité avec la présentation, en avant-première, de la nouvelle Collection Antoine de Saint Exupéry (DS 3, DS 4 et DS 7) et la mise à disposition auprès des FCE de 12 véhicules... Une belle invitation au voyage !

Roche (Capital-Energie)

Photos © Logotel et Nathalie Chaize
Christophe Raynaud (DS Automobiles Lyon), Sophie Ropars (DS Automobiles France), Emmanuelle Jalliffier-Verne (FCE Lyon), Aurélie D’assignies (veryfood), Nathalie Chaize (créatrice), Florence Bonhomme (InExtenso), Laurence Oppermann (créatrice bijoux), Karine Chapochnik Ambassadrice DS (Chapcom Media)
Karine Chapochnik FCE (Chapcom Media), Christophe Raynaud (DS automobiles Lyon),
Odile
Michèle Wolff (photographe), Aurélie d’Assignies (Veryfood), la créatrice Nathalie Chaize
Nouvelle collection DS4 Antoine de Saint Exupéry
Renaud Mouly (Stellantis&You Lyon), Christophe Raynaud (DS Automobiles Lyon)
Christine Meunier (Vitrophanies) et Patricia Tronel (Avec Joie)

GOLDEN TULIP ET KYRIAD LYON OUEST L’ART DES BELLES SOIRÉES

À l’amorce de l’été, les équipes du Golden Tulip et Kyriad Lyon Ouest se signalent par l’organisation de sa « Belle Soirée ». Un rendez-vous festif, organisé sur la terrasse de l’hôtel, dont les qualités ne manquent plus d’être soulignées.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Doud

Qui en juin se porte bien, au temps chaud ne craindra rien ». À mesure des éditions, Alexandre Scappaticci s’appropriera peutêtre ce dicton, trois ans après s’être emparé de ces terres limonoises, où s’érige désormais le complexe hôtelier du Golden Tulip et Kyriad Lyon Ouest. Une chose est sûre, le président de Vaillance Immobilier tient pour lui, cette capacité à enflammer les premiers jours de juin, le temps d’une « Belle Soirée », organisée sur la terrasse de ses établissements quatre et trois étoiles. « C’est la grosse nuit de l’année », osent même certains, alors que toute la ville

aime à se retrouver, derrière les façades illuminées du complexe. Il faut dire que le propriétaire et son directeur, Emmanuel Bosle, aiment à trouver tous les ingrédients d’une soirée réussie, dont la simple évocation suscite bien des attentes. La « Belle Soirée » est une nuit qui compte. Une nuit qui s’éternise, jusqu’au rituel du feu d’artifice, laissant aux invités des étoiles plein les yeux, le rictus du « quelle soirée », sur toutes les lèvres. Le tout habillé des bolides des Centres Porsche Lyon, le public ne peut que foncer, direction Limonest. Vivement l’année prochaine.

Thibault Gaudin (Brasserie de Saint Cyr), Sylvie Scappaticci, Alexandre Scappaticci et Sandrine Gaudin (Brasserie de Saint Cyr)
Mathieu Hebert (Harley Davidson), Thibault Gaudin (Brasserie de Saint Cyr), Jean-Rodolphe Guigonnet (Centres Porsche Lyon), Francis Touboul et l’horloger Jean-Louis Maier
Sylvie Scappaticci, Gilbert et Carole Giorgi, Marco Chopin, Dominique Merlin et Brigitte Salvat
L’équipe de Louvre Hotels Group et son CEO
Federico J. Gonzàlez
Jérôme Rosier, Sonny Anderson, Pierre et Valérie Laigle, Valérie Rosier
Les chefs Gilles Reinhardt (Paul Bocuse) et Fabrice Bonnot (Cuisine et Dépendances), Nicholas (Valley Rave Nation) et Loïc Moreira
Ahmad Sadek (Golden Tulip), Nicolas Winckler (Lyon people), Stéphane Siranossian (Delta Nautic) et Emmanuel Bosle (Golden Tulip)
Max Vincent, maire de Limonest et Sébastien Michel, maire d'Ecully
Alexandre et Fanny Scappaticci

LA PÉPITE HOTELIÈRE DE L’OUEST LYONNAIS

En août 2021, le Golden Tulip & le Kyriad Lyon Ouest Techlid dévoilent leur nouveau complexe hôtelier au cœur du parc technologique de la Techlid et des Monts d'Or. Animé par un esprit contemporain et futuriste, il comprend 179 chambres et suites réparties sur les deux hôtels. « Dans un esprit chaleureux et convivial, ce nouveau complexe invite à vivre de précieux moments en famille ou entre collègues. Que vous ayez envie d'entretenir votre forme ou vous détendre, nous avons tout prévu ! Offrez-vous une réelle parenthèse dans notre immense spa, décompressez au centre de fitness, sirotez un

Chef Alexandre Tamburini

Une vie dédiée à la gastronomie

cocktail ou une bière au bar ou nagez dans notre piscine couverte. » nous invite son directeur général Emmanuel Bosle « Prenez place autour de l’une de nos tables au sein de notre restaurant bistronomique. Le midi comme le soir, le restaurant Les Oliviers se charge de vous faire passer un agréable repas. Retrouvez un large choix de mets aux buffets et à la carte, réalisés à partir de produits locaux et de saison. Notre chef et sa brigade vous proposent une cuisine raffinée aux multiples saveurs. » Le Golden Tulip offre 450 m2 d'espaces séminaires afin d'accueillir tous les évènements haut de gamme et intimistes.

Alexandre Tamburini a grandi dans le village pittoresque de Saint-Martin-de-Belleville, au cœur de la Savoie. Gourmand et passionné dès son plus jeune âge, ce dernier voulait déjà être cuisinier. Aujourd’hui, il est le chef du restaurant du Golden Tulip Hôtel, à Limonest. Son déclic pour la gastronomie est survenu à l'Auberge Lamartine, située au bord du lac du Bourget. Alexandre Tamburini est ensuite arrivé chez Alain Chapel à Mionnay il y a 15 ans, une maison renommée pour son histoire et ses traditions. Ce dernier a notamment croisé le chemin de Boris Campanella, actuellement chef exécutif du Crillon à Paris, qui l’a formé pendant deux ans. Boris l’a ensuite introduit au prestigieux Shangri-La Paris, où Alexandre a travaillé aux côtés de Philippe Labbé pendant deux ans.

“LA CUISINE EST UN MÉTIER DE GESTE, UNE FORME D’ARTISANAT, DE TRANSMISSION”

De retour en Savoie, Alexandre a perfectionné son art au K2 à Courchevel, au Bateau Ivre au Bourget-duLac et à la Réserve de Ramatuelle, trois établissements doublement étoilés. À 28 ans, il a rejoint l’hôtel Fairmont à Genève comme sous-chef, et un an plus tard, il occupait pour la première fois un poste de chef de cuisine. Toujours à la recherche de nouveaux défis, il s’est ensuite tourné vers Chamonix et le site du Montenvers. La dernière rencontre décisive de sa carrière fut celle avec la famille Scappaticci au Golden Tulip. « Cet hôtel m’a séduit, l’atmosphère qui règne ici est celle de l’hospitalité », confie-t-il. Alexandre travaille donc désormais au restaurant Les Oliviers. « Dans ces murs et cette atmosphère, je vois le long terme. Cet hôtel n’est pas une destination, mais un voyage », conclut ce dernier.

Texte : Fanny Suteau – Photos © DR

OHMYBIRTHDAY L’AGENCE OH MY COM FAIT LE SHOW

SES 15 ANS

Installée en bord de Saône, à bord du Docks Circus, l’agence Oh My Com a profité de ses 15 ans pour faire la démonstration de toute son expertise en matière d’événementiel. Les clients séduits, son fondateur, Nicolas Steinlé prend déjà rendez-vous dans 5 ans, avec la ferme intention de poursuivre son développement.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Karine Bourgain

Rien de saurait l’arrêter, tant que le plaisir est là. Et si les années ont beau passer, comme les nombreux projets réalisés d’ailleurs, la passion de Nicolas Steinlé semble résister à tout. Même à la fatigue et au décalage horaire, lié à ses nombreux événements clients et à son dernier périple en Inde. De retour entre Rhône et Saône, le créateur d’Oh My Com aura ainsi trouvé toutes les ressources pour célébrer son 15e « Oh My Birthday ». Le sourire toujours vissé sur son visage, comme celui de ses collaborateurs, l’as de l’événementiel aura même trouvé la force de revenir aux années folles, le temps d’une soirée organisée aux Docks Circus. Sous

les yeux de près de 200 convives, Nicolas Steinlé aura rivalisé de shows en tout genre (magie avec Nicolas Ribs, shows dansants, caricatures et initiations au black jack), pour emporter les invités dans sa... folle aventure. « Chaque événement est joué avec intensité et avec passion », aura-t-il insisté, fort de cette philosophie lui faisant dire que « les meilleurs moments de la vie, méritent d’être partagés » Arrosés aussi, avec le lancement de la marque Oh My Wine et de ses expériences événementielles autour du vin. Car en 15 ans, Oh My Com a bel et bien pris de la bouteille. Son patron lui, a toujours soif de progrès. Et de fêtes !

Nicolas Steinlé (Oh My Com) entouré de son équipe et des artistes
Nicolas Steinlé (Oh My Com) entouré de Justine et Raphaël (Kaffee Berlin)
Romain Ayello, Julien Defour (La Cartonnerie) et Lilian Poulard (Oh My Wine)
Le Magicien / Mentaliste, finaliste d’America’s Got Talent, Nicolas Ribs
Clémence Bricon (Lyon People), Nicolas Steinlé (Oh My Com), Sophia Jeannot (Lyon People)
Fabrice Juarez, la naturopathe Christelle Juarez, Damien Monnier, Maire de Sathonay-Camp
Clémentine Hans (Aquarium de Lyon), le chef Francis Da Silva, Murielle Meynard (Aquarium de Lyon)
Charline Boehm (Profil), Magali Steinlé (Capeb), Chrys (Yack Stories), Marine Inglebert
Nicolas Steinlé (Oh My Com) entouré de son équipe
Laurie Belier (Com’Unique), Lionel Herry (Giraudy), Mylène Chaniol (Rammo d'Or), Greg Chaniol (Espace Group)
Mégane Rollin (Biim Com) et Laurha Krakovinsky (Sila Graphic studio)
lyon people • juillet 2024 • 78

NUMÉRO SPÉCIAL PATRIMOINE

TASSIN LA

DEMI-LUNE

Ce magazine collector est en vente au prix de 10€ chez les di useurs de presse de Tassin la Demi-Lune, ci-dessous :

Librairie Pleine Lune

28, promenade des Tuileries

Tél. 04 72 59 05 13

Tabac Presse Le Havane

39, avenue de la République

Tél. 09 75 69 60 86

• Tabac L’Horloge

60, avenue Victor Hugo

Tél. 09 67 08 16 94

Tabac des Trois Renards

17, place des Trois Renards

Tél. 04 78 36 87 30

• Tabac Tassin Le Bourg

6, rue Lieutenant Audras

Tél. 04 78 34 42 33

• La Belle Epoq

204, avenue Charles De Gaulle

Tél. 04 72 22 07 45

Votre boutique de chaussures stylées

CPG ASSURANCES

CORINNE

PARIS ET MARINE FRANIATTE FÊTENT LEUR 10

ANS !

IProfitant des vignobles de Stéphane Ogier, le cabinet CPG Assurances a célébré de façon épicurienne sa 10e année d’existence.

Une belle preuve de longévité pour Corinne Paris et son équipe.

Texte : Morgan Couturier – Photo © Thierry Eyraud

l lui fallait un terrain de jeu à la hauteur de ses engagements et de sa ténacité. Alors pour arroser comme il se doit, dix années de réussite à la tête du cabinet de courtage en assurance, CPG Assurances, et l’arrivée de sa fille Marine Franiatte, associée dans l’entreprise familiale, Corinne Paris ne fut pas contre un petit exil. « C’était une journée à notre image, signe de proximité, de partage et de gourmandises », souligne la courtière, qui prit soin d’emporter les quelques 300 clients et partenaires présents, sur les terres de Stéphane Ogier. La concession Aston Martin représentée par Frédéric Blanc, s’est

invitée pour des essais voiture dans les vignes. La fraîcheur des caves aidant, Corinne Paris put ainsi prendre le temps de pointer bon nombre de réalisations, fruits de « rencontres enrichissantes » et d’une certaine proximité humaine. Source d’inspiration pour certains, Corinne Paris sut en effet, créer au fil du temps, une entreprise solide, illustrée récemment par l’agrandissement de ses locaux lyonnais, place Bellecour. Mais qu’à cela ne tienne, à l’image de ces 10 ans remplis de découvertes, CPG Assurances entend poursuivre son développement et expertise. Et ce, encore bien des années.

Marine Franiatte et sa mère Corinne Paris (CPG Assurances)
Franck Isaac Sibille (LOU Rugby), Joël Chalvet et Sophie Rosier, Marine Franiatte (CPG Assurances), Éric Verbrugge (Eurocave), Philippe Florentin (Bon Goût), Sylvain Voto (Edenwork), Marc Jean (Club des Clubs), Jean-Philippe Dupuy (Hôtel Bayard), Laëtitia et Sébastien Dufossé (Dufossé immobilier), Claude Barbet (Maison Barbet), Sandrine Pouquine (KARE), Jean-Philippe Frommer (Aviva Lozanne), Stéphane Siranossian (Delta Nautic), Laurent Daublain (Syloc), Evelyne et Bruno Burel (Declerck)
Nicolas Lechevalier (Maier Horlogerie), Marine Franiatte et Corinne Paris (CPG Assurances) et Arthur Maier
Marine Franiatte, Isabelle Carrie (Generali), Eric Duterne, Isabelle Duivon, Corinne Paris et Stéphanie Cintas
Marine Franiatte et Corinne Paris (CPG Assurances), entourée d’Evelyne et Bruno Burel Declerck
Marie-Odile Gauchet (April), Marine Franiatte (CPG Assurances), Philippe Dhainaut et Tom Starnini (CFDP), Corinne Paris (CPG Assurances) et Éric Biessy (Entoria)
Marine Franiatte (CPG Assurances), Stéphane Personeni et Vincent Maillard (Lily of the Valley Hotel), Stéphane Ogier, Jean-Pierre Dumay (Classic Legend Motors)
Christophe Gazave (Eyguebelle) et Corinne Paris (CPG Assurances)
Pierre Franiatte (Helium Conseils) et Marine Franiatte (CPG Assurances)
Horloge UTINAM (Maier)
Alexandra Carraz-Ceselli (Les Lyonnes), Nathalie Chaize (FCE du Rhône), Anne Delaigle (Izzy Town), Laurence Jenk (artiste), Lucie Bufarull (Pole domicile), Laetitia Pepino (Avec Joie), Corinne Paris (CPG Assurances) et Stéphane Ogier.
Corinne Bœuf (pharmacie du Viaduc), Lydia Delbosco (CodeSuccès), Corinne Paris (CPG Assurances), Catherine Arbaud (LOU Rugby), Stéphanie Gagnaire (Immobiliaire), Christelle Voto (Edenwork), Florence Combes, Renée Canali (Canali Immob), Marine Franiatte (CPG Assurances) et Marie-Astrid Rolland (Tiba)
L’équipe CPG Assurances : Laeticia, Marine, Gaëlle, Jomana, Oksana, Mélanie et Corinne
Anastasia et David Massot (Cirque Imagine), Laurence Jenk et ses créations, Corinne Paris (CPG Assurances)
Marine Franiatte (CPG Assurances), Maître Alain Curtet (Compliance), Sandra Guetat (Compliform) et Victor Alves (Lazard Frères Gestion)
Marine Franiatte et Corinne Paris (CPG Assurances) et Thierry Adam (UNIM UNICED ALLIANZ) Essais Aston Martin
81 • juillet
• lyon people

Remise des prix par Légal2Digital et de sa directrice commercial Messa

API TOGETHER

LA

SOIRÉE

INTERPROFESSIONNELLE DES AVOCATS, DES EXPERTS-COMPTABLES ET DES NOTAIRES

Forts d’une première édition réussie, avocats, notaires et expertscomptables avaient pris rendez-vous avec le Sucre, pour une nouvelle soirée ludique.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel

Baptisée « API Together », celle-ci avait notamment pour but d’intégrer les jeunes des différentes professions réglementées et offrait un événement leur permettant de se réunir dans un cadre plus décontracté qu'à l'accoutumée. Tel fut le sens de cette deuxième édition, où l’Ordre des Experts-Comptables Auvergne-RhôneAlpes, le Barreau de Lyon et la Chambre Interdépartementale des Notaires de la Cour d'Appel de Lyon, se réunirent conjointement, pour leur donner envie de travailler main dans la main. Avec la Confluence pour trait d’union entre les générations, cette seconde édition de « API Together » fut ainsi l’opportunité de nouer des liens durables et de renforcer leur réseau interprofessionnel, construits dans l’excitation d’une compétition de culture générale. Une « Burger Party » riche en succès, avec pour meilleure récompense : un moment de convivialité où la solidarité en ressort, sans appel, consolidée.

Fabrice Payen, directeur général adjoint du Crédit Agricole Centre-Est, Maître Alban Pousset-Bougère, bâtonnier du Barreau de Lyon, Cyrille Farenc, président de la Chambre Interdépartementale des notaires de la Cour d’Appel de Lyon, Nicolas Débiolles, vice-président de l’Ordre des Experts-Comptables AURA et Patrick Velay, Trésorier de l’Ordre des Experts-Comptables AURA
Maître Lara Buet Cado, Maître Jessica Ghazaouir, Maître Séverine Genc, Maître Chloé Rousseau (CMS Francis-Lefebvre) et Maître Carole Marotta (Etude Bazaille et Associés)
Le gagnant de l’animation Burger Party, Maître Clément Scordo (Asenso Avocat) et la seconde place pour Maître Rémi Navel (B2L)
Gallet
Nicolas Débiolles, vice-président de l’Ordre des Experts-Comptables AURA, Virginie Maureau Regaldo, secrétaire général et Jacques Maureau (Ordre des Experts-Comptables AURA)
Damien Cartel, président de l’Ordre des Experts Comptables AURA, Cyrille Farenc, président de la Chambre Interdépartementale des notaires de la Cour d’Appel de Lyon et Maître Alban Pousset-Bougère, bâtonnier du Barreau de Lyon

RALLYE DU CŒUR

RECORD BATTU AVEC PLUS DE 628 000 € DE DONS

Bugatti, Aston Martin, Ferrari, Rolls Royce, Porsche, Maserati, Bentley, 300 fleurons de l’industrie automobile européenne et américaine étaient au rendezvous de ce 4ème Rallye du Cœur au profit des enfants atteints d’un cancer. L’organisation d’un tel évènement n’a rien d’une sinécure, en témoignent les cernes de Franck Denoyel et des autres organisateurs. Les nuits ont été courtes et agitées. Mais quelle récompense, au petit matin, d’accueillir les 300 pilotes venus prendre en charge les enfants le temps d’une journée dans leurs flamboyants carrosses.

LEURS SOURIRES

Aussi bien par l’équipe organisatrice et Stéphane Jorcin, propriétaire du Château de Beauchamp (71), que par les pilotes, fers de lance de la collecte des fonds au profit de l’association APPEL qui œuvre au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie des familles touchées par le cancer des enfants, et qui finance la recherche sur le cancer pédiatrique. Parmi les plus persévérants, saluons les performances du Centre Alpine Villefranche avec 44 645 euros récoltés, Régis Fouque (Porsche 3.2 cabriolet) avec 36 790 euros récoltés, Frédéric Blanc (Aston Martin Lyon), avec 30 952 euros qui constituent le podium des équipages de l’édition 2024. La marque Porsche a largement dominé les débats avec 59 véhicules, devant Ferrari (28 exemplaires), BMW (20 ex) et Aston Martin (15 ex). Grâce à leurs pilotes et aux partenaires de l’évènement, la somme de 628 000 euros a été récoltée, dépassant très largement le record de l’an dernier établi l’an dernier à 568 000€. Respect !

Texte : Marco Polisson – Photos © Alexandre Moulard

Jules et Raul Marchisio devant sa Lamborghini
Guillaume Robert-Delore (Byblos Group) et Isak
Florian Sermet (Rallye du Cœur 69) et Geoffrey Peyrot (Agence Adjectif) Le restaurateur Stéphane Jorcin, propriétaire du château de Beauchamp
Rallye
Lionel Lokomo et son chauffeur Christophe Belleville (commissaire-priseur)
Adam Lawson et Pierre-Antoine Bouilloux (Jean l’Ain Héritage)
Bernard Lhuillier (Rolls Royce Bentley Club de Lyon) et Delia, sur Rolls Royce Phantom V
La Bentley du magicien Dany Larri avec sa co-pilote Lana
Jean-Pierre Rivière (Rolls Royce Bentley Club de Lyon) et Nicolas Tardy (Bentley Lamborghini)
L’équipe du rallye du cœur 69 autour de Franck pour son anniversaire
Le concours d’élégance animé par Alain Guillaume (Club 3A)
Hugo à bord de la Katerham 485 CSR d’Olivier Angleys
Jimmy et l’équipe de Collector Cars Auction
Nicolas Chomette accompagné de Léopold et Dorian (Netexclusiv)
Franck Soccol (Ferrari Gauduel) et Cyrus Ayari (BMW Helice 69 Moto)
Rose Fromont, présidente de l’Appel entourée de l’équipe de l’Appel
Emma et le pilote Pierre-Louis (Dumas Jean Lain Héritage)

TROPHÉE DE GOLF EKLYA

SCHOOL OF BUSINESS

AUTANT EN EMPORTE LE VENT

Qu’importe le vent et les précipitations, le trophée de golf EKLYA School of Business suscite encore et toujours le même engouement. Pour cette 7e édition, le Golf Club de Lyon accueillait ainsi 70 participants, sur son exigeant parcours des Sangliers.

: Morgan Couturier - Photos © Alexandre

Peut-être est-ce la force de l’habitude ou simplement une passion débordante, que les gouttes ne sauraient écorner. Toujours est-il que rien ne semble pouvoir arrêter l’école EKLYA School of Business et son traditionnel trophée de golf, organisé cette année, en faveur du gala France Alzheimer de Christelle Bardet

De fait, si la météo a beau être chaotique, tous semblent prêts à se mesurer au délicat parcours du Golf Club de Lyon. Et si la perspective de financer les réjouissances de fin de parcours ou d’affronter la joueuse professionnelle, Sophie Giquel, sont souvent des sources de motivation, quelques détails viennent également à « égayer la journée ». Comme ses polos orange, offerts pour l’occasion, en hommage au partenaire Anahome Immobilier et son habile président, Pierre Nallet. De quoi plaisanter sur le temps et cette « belle journée de novembre », qui n’entrave en rien, la bonne humeur du rendez-vous, piloté cette année, par le directeur Sébastien Arcos et son protégé, Yohan Avrillier, étudiant en 3e année. Une première éclaircie, avant de premières chaleurs, Raison de plus pour s’offrir un supplément de plaisir aux abords du restaurant. À table, ou sur le green !

Les podiums

CLASSEMENT BRUT :

1er : Tomy Svitex et Kevin André

2e : Philippe Florentin et Adrien Besançon

3e : Stéphane Gibelin et Sébastien Germain

CLASSEMENT NET :

1er : Hugo Rossi et Terence Robin-Marieton

2e : Pascal Auclair et Pierre Nallet

3e : Alain Flourent et Quentin Vieira

Prix Maison Boggi : Julien Scapaticci, entouré de Sébastien Arcos et de Yohan Avrillier (EKLYA School of Business)
Michel Vieira (MDA), Sébastien Germain (Henri Germain SAS) et Stéphane Gibelin
Yohan Avrillier, étudiant en 3e année et organisateur du Trophée de golf EKLYA 2024
Manon Raine (Toukui)
Romain Brunel, responsable coordination chez Cave Fac & Spera
Sébastien Arcos, directeur EKLYA School of Business et Christelle Bardet (Fondation Recherche Alzheimer)
Jean-Frédéric Geolier (1001 Repas), Charles Clerc (Archi Tec), Charlie Wagemans (VPW Solution et signalisation) et Nicolas Duval, directeur du développement KPMG France
Terence Robin Marieton (Robin Marieton), Hugo Rossi (European Homes), Yanis Baucher et Victor Hirchwald
Frédérique et Jean-Pierre Hercule, Valérie et Gilles Basset
Philippe Florentin (Bon Gout), Adrien Besançon, Sébastien Germain (Henri Germain SAS) et Stéphane Gibelin
Loïc Cosnefroy, gérant de société chez I-NOVATIV, Gaspard de Preneuf, co-fondateur de Choisir Ma Crèche, Alexandre Nallet, directeur d'opérations d’AnaHome Immobilier et Damien Croux (Quartus)
Yann Visintainer (CLIMATECH), Clément Maguet, Julien Scapaticci (Tims) et Alexandre Manet (TAM)
Alain Flourent, Quentin Vieira (MDA), Bruno Horesnyi (Pernod Ricard) et Guillaume Savin
Pascal Di Felice (Apave), Fabien Munoz, Tomy Svitex et Kevin André (Atheka)
Les deuxièmes en net : Pascal Auclair et Pierre Nallet
Premiers en net : Hugo Rossi et Terence Robin-Marieton
Pierrick Gallois, Bertrand Madamour, Directeur général de PB Constructions, Christian Mermet et Sinicha Knezevic, Directeur General de SIE
Sophie Giquel, Sébastien Arcos, directeur EKLYA School of Business, François Blanchet et Vincent Rouffineau
Pascal Auclair (Ma Santé), Pierre Nallet, président d’Anahome Immobilier, Claudia et Hervé Bal (Éditions HB)
Prix Arthus Bertrand : Alexandre Nallet
Pascal Jeantils, Frédéric Baudon, Pascal Chopin et Jean Canetos

Le 12 juin, le Radiant-Bellevue de Caluire a accueilli les Trophées des Services à la Personne, marquant la 10ème édition de cet événement organisé par le SAPRA.

Avec près de 600 invités, cette soirée a été un hommage chaleureux et convivial pour tous ceux qui travaillent quotidiennement afin d’améliorer notre qualité de vie. Depuis 2013, ces trophées mettent en avant les métiers indispensables dans nos quotidiens comme les auxiliaires de vie, les gardes d’enfants et les assistant(e)s ménager(e)s. « Le plus important pour nous, c’est de mettre en lumière les professionnels qui interviennent sur le terrain », Cédric Nouchi, co-président du SAPRA. « Cette année, nous avons eu l’honneur de récompenser 10 lauréats parmi plus de 500 candidats aux épreuves pratiques et écrites. Tous volontaires pour montrer leurs compétences et leur passion du métier. » Organisée par Anne-Cécile

Winckler (Une Affaire de Com) depuis 10 ans, la soirée fut un véritable succès, remplie de moments émouvants rappelant à quel point cet évènement est essentiel et a tout son sens. Nordine Yahiaoui, qui a remporté le 2ème prix en Auxiliaire de Vie, a partagé : « C’est enrichissant et valorisant. C’est l’occasion de mettre en lumière la profession. » Merci à tous les participants, partenaires et invités pour leur présence et leur soutien. Nous vous donnons rendez-vous en 2025 pour une nouvelle édition encore plus mémorable !

10 ANS DES TROPHÉES DES SERVICES À LA PERSONNE RHÔNE – LYON – MÉTROPOLE

DES VISAGES RADIEUX POUR DES MÉTIERS DE L’OMBRE

L’Équipe du SAPRA

Et les Lauréats sont :

Catégorie Petite Enfance

Gagnant du Trophée Petite Enfance : Océane Baumgartner – ADOMIZEN Services

Catégorie Assistante Ménagère - Confort

Gagnant du Trophée Intendante de maison : Coralie Rascle – Famlly Plus 2ème Prix Intendante de maison : Virginie David – TOUT A DOM Services

3ème Prix Intendante de maison : Hélène Tsague – O2 Lyon Rive Gauche

Catégorie Auxiliaire de vie - Dépendance

Gagnant du Trophée Auxiliaire de vie : Zhenia Ovsepian – Aide & A

2ème Prix Auxiliaire de vie : Nordine Yahiaoui - AT HOME COMPLICEO

3ème Prix Auxiliaire de vie ex-aequo :

Julie Vallier – Age et Perspectives et Fakher Cherni – Vivre et Domicile (Lyon 6) Prix spécial coup de cœur du jury :

Cécilia Pipon – Madeleine Services (catégorie Assistante Ménagère) Trophées des encadrants : Marine Alves – Doum Services

Anne-Sophie Carrier et son équipe (La Compagnie de Louis)
Virginie David (TOUT A DOM Services), 2ème prix Assistante Ménagère accompagnée de Sigmund Dosseh et Nicolas Reverte (Ordago)
Nordine Yahiaoui (At Home Compliceo), 2ème Prix Auxiliaire de vie, Aline Barralle (Décima Formation)et Gaëtan Cacciatore (Pôle Formation Santé)
Stéphane Lezniewicz (Doum Services) et son équipe
David Clerc (Azae) et son équipe
Delphine Clair-Durhone et l’équipe d’Orgaly Formation
Cédric Nouchi (Aide&A) et son équipe
Olivier Bouteille (Adomi+) et son équipe
L’équipe de Family Plus
Gaëtan Cacciatore et l’équipe de Pôle Formation Santé
Hélène Tsague (02 Lyon Rive Gauche), 3ème prix Assistante Ménagère, et Jonathan Nussbaum (Responsable Grands Comptes – Bastide Médical)
Coralie Rascle (Family Plus), 1er prix Assistante Ménagère) représentée par Émilie Coulon, Delphine Clair-Durhone (Directrice Orgaly Lyon) et Séval Cannata (Responsable Ingéniors Formation)
Zhenia Ovsepian (Aide & A), 1er prix Auxiliaire de vie avec Sofia Tabet et Vincent Beley (Directeur de la Maison Métropolitaine d’Insertion pour l’Emploi)
Océane Baumgartner (ADOMIZEN Services), 1er prix Petite Enfance et Aline Mougenot (Secrétaire Fédérale Syndicat CFTC)
Cécilia Pipon (Madeleine Services), prix coup de cœur du jury, Séverine Hémain (Vice-Présidente de la Métropole et Présidente de la MMIE)
Marine Alves (Doum Services), Prix des encadrants et Muriel Hassenfratz (Directrice du CFA IFIR)
Julie Vallier (Age et Perspectives) et Fakher Cherni (Vivre et Domicile Lyon 6), 3ème prix Ex-aequo Auxiliaire de Vie, accompagnés de Régis Granet (Fedesap), Elodie Rambert (Synerpa) et Stéphane Lezniewicz (FESP)

CAPSTONE À LA RENCONTRE DE L’ART !

Le groupe Capstone installé à Limonest, spécialisé dans la production et la gestion immobilière, a transformé ses bureaux en galerie d’art le temps d’une soirée riche en couleurs.

L’idée est singulière, presque lumineuse et mérite d’être saluée. À plus forte raison, lorsqu’il s’agit de mettre en évidence, une expertise certaine dans le développement, la construction ou l’acquisition d’ensembles immobiliers. Depuis son installation à Limonest, le groupe Capstone avait à cœur de se dévoiler. Et de manière surprenante, à en croire la thématique retenue par son président, Stéphane Lipp. Passionné d’art, ce dernier a ainsi profité de cette soirée pour embarquer « clients et partenaires » autour de cet engouement. Épaulé des trois artistes, Justine Angot, Jérémy Ferreira et Bleg, c’est ainsi plus de 350 m2 qui furent transformés en galerie d’art. Une manœuvre créative à l’heure d’inviter les convives à partager une même passion et à rejoindre « la famille capstonienne ». Une chose est sûre, avec la satisfaction client pour « obsession », Capstone ne pouvait rêver mieux pour se démarquer. Avec l’art, et la manière !

Texte : Morgan Couturier –

© Doud

Photos
Marie-Hélène Mathieu, maire de SaintDidier-aux-Monts-d’Or et Stéphane Lipp
Frédéric Clairet (Mazars), Cédric Forest (Arthaud & associés), Stéphane Lipp, président de Capstone, Thierry Philippe (Jacquet Metals) et Mathilde Philippe (Apple)
Stéphane Lemoine (Enerlis), Stéphane Lipp, président de Capstone et Philomène Lipp (Capstone)
Martin Artru (Capstone) et Rémi Rolland (6ème Sens) L’artiste
Sophie Meyraud (Century 21 Agence des Monts d’Or), Anne-Laure Billet (Capstone) et Stéphane Lipp, président de Capstone
Pauline Fouard, Amandine Joureau et Annabel Chrétien (Équipe Capstone)
Grégoire Lefranc (Savills), Benoit Lamour de Caslou (Jll), Benoit de Fougeroux (Bnppre), Karine Mazaud (Cushman & Wakefield)
Sophie Mézin (Omnium), Stéphanie Bagnis (BNP Paribas), Ophélie Ormedo (Omnium)
lyon people • juillet 2024 • 90
Stéphane Lipp, président de Capstone

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CENTRES PORSCHE LYON au ALL IN COUNTRY CLUB LA NOUVELLE PANAMERA MONTE AU FILET

Sportive par excellence, la nouvelle Porsche Panamera a profité de l’arène du All In Country Club pour se dévoiler. Un cadre de choix pour découvrir les modèles hybrides de cette toute nouvelle berline allemande.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel

La marque elle-même s’est posé la question : « une berline sportive doit-elle forcément ressembler à une berline » ? La réponse serait « indéniablement non », et plus encore, lorsque ce même questionnement accompagne la présentation de la toute nouvelle Porsche Panamera. Nécessairement athlétique, la troisième génération de ce modèle emblématique sut ainsi profiter du décor du All In Country Club, pour mettre en avant ses 5,5m de long et des lignes prononcées, promptes à donner le change avec l’ancienne

gloire du tennis et maître des lieux, Jo-Wilfried Tsonga. Mais puisque le complexe sportif est propice aux évolutions et aux progrès, la nouvelle Porsche Panamera se présenta sous des lignes plus vertes. À la clé, la présentation, sous les fleurs et le décorum préparés par la Maison Célestin, des versions 4 E-Hybrid de 470 chevaux et 4S E-Hybrid de 544 chevaux, à l’autonomie électrique renforcée (autour de 96km) et la recharge accélérée. Autant de qualités pour marquer des points et remporter la partie. Jeux, sets et match !

Benjamin Chassy, Pierre Cansse, Audric Pellegrini et Camille Balestra (Maier Lyon Tag Heuer)
Arnaud Carteron, Pierre-Olivier Arsac (PO Transactions) et Jérome Viguet (Diffusalp)
Harmony Valiente (Rovitex) entourée de Christine Falcoz et Philippe Morel (SCI l’Escalet)
Margaux Nivollet, Jacques Revello, Jean-Rodolphe Guigonnet, directeur des Centres Porsche Lyon, Jo-Wilfried Tsonga (All In Group), Frédérique Dutel et Florian Perche, responsable commercial du All In Country Club
Carole (7 Homecare) et Sébastien Morel (Visio Control)
Margaux Nivollet (Centres Porsche Lyon) et Sophia Jeannot (Lyon People)
Serge Lai (Carré Blanc), Jean-Rodolphe Guigonnet, directeur des Centres Porsche Lyon, Philippe Forest (Les Menus Forest) et l’antiquaire Rolland Marchand
Jo-Wilfried Tsonga (All In Group) et Jean-Rodolphe Guigonnet, directeur des Centres Porsche Lyon
Serge Devillard et Fabienne Cartier (SD Industries)
La team marketing Centres Porche Lyon
93 • juillet 2024 • lyon people

GRAND MÂCHON DU LOU 1500 GOURMETS FESTOIENT À GERLAND

Réunis à la Brasserie du LOU, 1 550 chanceux furent conviés à savourer le menu étoilé de cette 5e édition du Grand Mâchon du LOU. À la clé, une grande fête populaire dont les adeptes ont pu nourrir un peu plus, l’idée d’une inscription au patrimoine immatériel de l’UNESCO. Un menu gastronomique signé Olivier Couvin et Gilles Reinhardt de la maison Bocuse, Christian Têtedoie et de la maison Pignol,

une bonne dose d’animations et une passion commune pour le « bien manger ». « Vive le Terroir », scanda l’un des organisateurs Maxime Caminale, bien décidé à « mettre le feu au Matmut Stadium. « Faites-vous entendre jusqu’à Nice, jusqu’à Bruxelles et jusqu’à la place des Terreaux », enflamma l’un des instigateurs de ce « casse-croûte du matin », redevenu populaire depuis 5 ans.

Texte : Morgan Couturier – Photos © Karine Branger

lyon people • juillet
Bernard, Cathy, Alain, Annie et Agnès (Blé de l’Espérance)
Maxime Caminale (Grand Mâchon du LOU), la journaliste Valérie Trierweiler et Stéphane Pelletier (Broc Bar)
Axel Bon-Chabert (F&K) et Edouard Coquillat (Groupe Central Autos)
Claude Barbet (Maison Barbet) et une danseuse du cabaret le Lyon Rouge
Jean Burdy (5Points1), David Cano (Les Culottes Longues), Maxime (Stemm Avocats)
Le chef Gilles Reinhardt (Restaurant Paul Bocuse)
Les bénévoles Philippe Chouquet et Phil (Association Docteur Clown)
Les danseuses du cabaret le Lyon Rouge, à Brignais
David Cano (Les Culottes Longues), Olivier Payet (L’Ame sœur) et Jérémie Crauser (Boucherie Bello) représentent les Toques Blanches Lyonnaises
Le Mâchon des filles... encore très sages
L’artiste peintre Nicolas Perrot
Pierre-Yves Gas (Plein Gas), Jean-Charles, Kevin (Bacardi-Martini) et Damien (Didier la Brocante)

LYON PEOPLE LANCEMENT DU MAGAZINE SPÉCIAL PATRIMOINE

À TASSIN LA DEMI-LUNE

Fruit de deux années de recherches, le numéro spécial patrimoine dédié à Tassin la Demi-Lune, a officiellement vu le jour, le 5 juin 2024. Avec pour écrin le sublime château de Montcelard, 200 invités ont pu découvrir en avant-première cet opus collector où sont immortalisés les secrets de 90 demeures et châteaux. Du haut de sa butte, le château de Montcelard et sa magnifique bibliothèque en auront impressionné plus d’un, elle qui n’ouvre que très rarement ses portes aux visiteurs. Bien que retenu à Paris, Alain Mérieux avait néanmoins accepté de faire exception. Parce que le jeu en valait la chandelle vu les efforts accomplis, récompenses. Quant à Lyon People, son prochain défi se trouve à l’Est, avec une nouvelle enquête dévouée... à Bron. Sortie prévue en juin 2025 !

Texte : Morgan Couturier

Photos © Alexandre Moulard

> Le magazine est en vente dans les 6 maisons de la presse de Tassin la Demi-Lune

lyon people
Damien Gouy-Perret, directeur de la communication de la Ville de Bron, Jessy Kosman, directrice de cabinet du Maire de Tassin
L’équipe de la maison Pignol
Virginie Coingt (Agence Le Home), Christophe Maucour (Visiativ) et Sophie Demay (Angele Immobilier)
Maud Botteau (Banque Populaire Auvergne-Rhône-Alpes) et Éric Bernard (Banque Populaire, agence de Tassin)
Pascal Charmot, maire de Tassin la Demi-Lune et son épouse Hélène
Cécile Balaÿ et Pauline Doucet-bon (Boudoir 47)
Martine Chareyre, première adjointe au maire de Bron, et Léo Di Pasquale, chef de cabinet du Maire de Bron
Les notaires Marc Van Gorp (Bremens) et Claire Bochard (Bremens)
Kiné Gagneux et l’horloger Jean-Louis Maier
L’équipe de Lyon People
Philippe Gabriel, Marco Polisson, rédacteur en chef de Lyon People et Yves Mejat, Président du groupe de Recherches Historiques Tassin-la-Demi-Lune
Frédérique Bergeret, historienne du cabinet d’architecture Didier Repellin et Pierre Jourdan, architecte DPLG
Véronique Sarselli, maire de Sainte-Foy-Lès-Lyon et Pascal Charmot, maire de Tassin la Demi-Lune
Le photographe Jean-Luc Mège (à qui on doit la couverture), Marco Polisson et l’historien Jean Etevenaux
Valérie Macera (Art Moval déménagement) et Margaux Verilhac
Patricia et François Rivier
Vincent Bernard, Alain Bernard et Catia Pechard, première adjointe au maire de Tassin la Demi-Lune
Les adjoints au Maire de Tassin la Demi-Lune
Alexandre Jeannerod (Eurosono) et Sophia Jeannot (Lyon People)

MARIAGE

22/06/2024 – Pascale Charpenet et Louis Jeannerod

DISPARITIONS

Dans nos intentions de prière, Monsieur Patrick de Grossouvre, consul émérite de Monaco ; Madame la comtesse Philippe de Varax, née Marie-José de Provenchères ; Madame Marie-Noëlle Billon (1), maman de Philippe Billon (SLG) ; Monsieur Louis Thannberger, banquier d’affaires ; Monsieur Roger Monnami (2), ancien dirigeant de Sonepar ; Madame Laigle, maman de Pierre Laigle, ancien attaquant de l’OL. Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.

NOMINATIONS

SELECTOUR

Laurent Abitbol a été réélu au poste de Président du Directoire de Selectour, le 18 juin à Paris. Les 8 membres sortants du Directoire ont été reconduits pour un nouveau mandat de 3 ans. Le lendemain, les membres se sont réunis afin d’élire le Président du Directoire de Selectour Entreprise. C’est à l’unanimité qu'ils ont décidé de donner à Laurent Abitbol l'opportunité de poursuivre son rôle de Président.

CLUB 3A

Réunis au musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux, les adhérents des 3A (Amateurs d’Automobiles Anciennes) ont élu le conseil d’administration et son nouveau président : Pierre Desmerger. Le vice-président et commissaire d’Epoqu’Auto est Jean-Paul Bessy. Le premier salon français consacré aux voitures de collection se tiendra du 8 au 10 novembre 2024 à Eurexpo.

MEDEF RHÔNE-ALPES

Jean-Luc Raunicher réélu à la présidence du MEDEF AuvergneRhône-Alpes. A l’occasion de l’Assemblée Générale organisée à Lyon, en présence de Patrick Martin, Président du Mouvement des Entreprises de France et de Gilbert F. Houngbo, Directeur Général International Labour Organization, Jean-Luc Raunicher a été réélu à l’unanimité à la présidence du MEDEF Auvergne-Rhône-Alpes pour un nouveau mandat de 3 ans.

DISTINCTION

PENNONS DE LYON

Mercredi 29 mai, Pierre-Edouard Dieu a prêté serment en tant que dignitaire scutifere Pennon. « C’est un réel plaisir d’intégrer la compagnie des Pennons de Lyon et le cercle économique de confiance » a déclaré le PDG du groupe Altitude, entouré de ses parrains, le connétable Christian Gelpi et Jean-Luc Raunicher, président du MEDEF Aura. Une soirée marquée par le serment sur la charte Sapaudine et celui de Oleg Ungureanu, consul général de Roumanie en tant que dignitaire honorable.

GARE DE VAISE

GÉRARD

COLLOMB

LES COULISSES DU BAPTÊME

Après deux reports successifs, la Ville et la Métropole de Lyon ont rendu un premier hommage officiel au maire honoraire de Lyon, le jour de son 77ème anniversaire, ce jeudi 20 juin 2024.

Texte : Marco Polisson – Photo © Pascal Pierart

Autre lieu, autre ambiance. Deux jours après la standing-ovation très émouvante que lui ont réservé les 520 convives du dîner de gala du Top 500, réunis par Lyon People à l’Abbaye de Collonges, Gérard Collomb a retrouvé les siens — et les autres — à Vaise pour un hommage à la fois familial et politique. Il y a ceux qui entrent au Panthéon, et ceux qui entrent en gare. Gégé est de ceux-là. On imagine son fou-rire en assistant, depuis le balcon du Ciel, à la cérémonie présidée par ses ennemis Grégory Doucet et Bruno Bernard, contraints de lui tresser une couronne de lauriers. L’occasion pour lui de se friser les moustaches. Mais pas que. Car on l’a pris en flag, versant une petite larme — que les écolos ont pris pour de la pluie — , quand entre deux orages, ses filles chéries ont pris la parole pour lui redire leur fierté et leur amour. Dans ce quartier ouvrier dont il a gagné les cœurs et les âmes, son patronyme s’affiche désormais fièrement sur le fronton de la Gare de Vaise. Au cœur du 9ème arrondissement, là même où son aventure politique a commencé « au gré des marchés et des tournées de perroquets et de petits blancs », dixit sa fille Anne-Laure, une centaine de personnes ont participé à cet hommage à minima en présence d’un carré de grognards collombistes emmené par Roland Bernard, Evelyne Haguenauer accompagnés de Carole Dufour, Thierry Braillard, Albert Constantin, Pierre Chambon, Grégory Dayme et Richard Brumm. Comme nous l’annoncions sur cette antenne, d’autres hommages sont en préparation, même si les écologistes, gênés aux entournures veulent temporiser. « Cet homme a tellement transformé Lyon et sa métropole qu’on ne peut pas se contenter de ce symbole, il y en aura un autre plus fort ultérieurement » a déclaré, très ému son meilleur ami Roland Bernard au micro de Julien Sauvadon (France 3). La météo incertaine et pluvieuse, ce jour-là, nous a privé du plaisir de revoir la maire écologiste du 9ème Anne Braibant et ses adjointes venir en maillot de bains à la cérémonie ! Mais avec les chaleurs annoncées, ça ne devrait pas tarder. Encore un nouveau fou-rire en perspective pour Gégé !

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