LE FOURNISSEUR POUR TOUS VOS OUTILS
• Chargeurs de batterie et démarreurs
• Outils pour véhicules hybrides et électriques

• Équipements de protection individuelle


• Outils manuels et sur batterie
• Aménagement de l'atelier
• et plus encore...
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Les plaquettes tout confort ATE Ceramic allient à la perfection sécurité et longévité. Leur faible usure se traduit non seulement par une diminution de la poussière au freinage mais garantit également des jantes esthétiques. Le résultat vaut le coup d’oeil !
www.ate-freinage.fr
BrakethroughTechnology
NOUVELLES DU SECTEUR 4 - 5
Plus de choix dans la gamme de pneus toutes saisons ultra-haute performance Vredestein Quatrac Pro.
AFTERMARKET 6 - 7
Même si l’entreprise japonaise Aisin n’est pas encore un nom très connu en Europe, elle compte parmi les principaux fabricants mondiaux de pièces automobiles.
REPORTAGE
L’avenir est à la sécurité
En attendant, nous sommes à deux mois de l’année. Une année qui s’avère apparemment cruciale pour beaucoup. Lors des nombreuses réceptions, conférences et ateliers auxquels nous avons assisté depuis, il apparaît que beaucoup voient cette année comme celle de la croissance exponentielle et du gain de parts de marché.
Franchement, cela ne me semble même pas étrange. Avec tous les méfaits politiques qui sont commis, on peut dire sans risque de se tromper que le garagiste pourra facturer suffisamment d’heures de travail. Le soap autour des normes d’émission de la Belgique, lire les compteurs de particules, provoque à lui seul de nombreuses heures supplémentaires dans les ateliers. Les clients qui voient leur voiture rejeté 2 ou 3 fois ne font pas exception. Et encore, nous avons la chance de ne pas appliquer les normes suisses ou allemandes.
Et que dire des amendes SAC pour des câbles de VE qui traînent sur le trottoir. De la folie pure. Une municipalité sur trois a même trop peu de bornes de recharges et maintenant, ils punissent les quelques personnes qui veulent rouler à l’électricité... C’est ce qu’on appelle la vrai motivation des VE.
8 - 10
CONGRES 11
LKQ et Qualitygarage présentent leur Turbo
NOUVELLES DU SECTEUR
13 - 15
INEOS Automotive, le nouveau constructeur qui n’était d’ailleurs pas présent sur le salon, est notamment 100% européen.
DOSSIER OUTILLAGE & EQUIPEMENT D’ATELIER
16 - 27
L’entreprise belge Hubitools occupe une place très particulière sur le marché de l’outillage.
CONCOURS 11
Un
duo
à gagner.
Porsche investit dans la production d’eFuels.
REAL GARANT 30 - 31
‘First Stop’ est un réseau européen de spécialistes du pneu, avec plus de 2000 points de vente.
NOUVELLES DU SECTEUR 32 - 35
Brezan Autoparts devient PartsPoint
5 ans de garantie sur tous les organes d’entraînement. Les professionnels de l’automobile n’ont pas besoin de promesses vides – mais d’une qualité digne de confiance. C’est la raison pour laquelle nous offrons aux garages agréés 5 ans de garantie sur tous les organes d’entraînement destinés au marché de la rechange automobile.
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Apollo Tyres élargit sa gamme primée de pneus toutes saisons ultra-haute performance (UHP) Vredestein Quatrac Pro, en ajoutant 17 nouvelles tailles de 18 à 21 pouces. La gamme Quatrac Pro propose désormais 103 possibilités de dimensions différentes, pour des jantes allant de 17 à 22 pouces. Les tailles supplémentaires incluent des options adaptées aux essieux avant ou arrière, permettant un transfert de puissance optimal pour les configurations de groupe motopropulseur à traction avant, arrière ou intégrale. Grâce à ces tailles supplémentaires, le Quatrac Pro continuera à convenir à un large éventail de voitures et de SUV, notamment les versions axées sur la performance de la Mercedes Classe G, de la BMW Série 4, du Range Rover Velar et de l’Audi Q3. Le pneu toutes saisons Quatrac Pro a été développé pour les voitures haute performance. Il est doté d’un mélange unique de matériaux pour sa bande de roulement afin d’optimiser la traction lors des accélérations et d’offrir des niveaux élevés d’adhérence tout au long de l’année lors du freinage et des virages à grande vitesse. La conduite sur route humide est facilitée par la teneur élevée en silice et en résine et par une sculpture de bande de roulement spécifique.
Toyota passe en effet de la 10e à la 6e place en termes de véhicules immatriculés, confirmant et renforçant ainsi sa position dans le top du secteur automobile belge. Les chiffres de la FEBIAC témoignent de cette croissance rapide, avec près de 5 500 véhicules immatriculés sur 2021, soit une augmentation de quelque 35 % (15 796 en 2021 contre 21 262 en 2022). En outre, Toyota détient une part de marché de 5,8 % sur le marché automobile belge, soit la part de marché la plus élevée depuis plus de 20 ans pour la marque.
Sur le marché des voitures des particuliers, Toyota se place en deuxième position, avec une part de marché de près de 9% (11.438 immatriculations, +20% par rapport à ‘21), sur le marché des voitures de société en forte 8ème position avec une part de marché de plus de 4% (9.824 immatriculations, +56% par rapport à ‘21). Ces chiffres sont également les plus élevés depuis plus de 20 ans pour Toyota en Belgique.
Avec pas moins de douze nouveaux produits, Kärcher a remanié l’éventail des nettoyeurs haute pression à eau froide de sa gamme Super. Avec les modèles HD 9/20-4 S, HD 10/21-4 S, HD 10/25-4 S et HD 13/18-4 S, on y trouve quatre catégories de produit distinctes, disponibles chacune en trois variantes d’équipement différentes. Ces nouveaux appareils puissants destinés aux utilisateurs professionnels sont particulièrement ergonomiques. Grâce à des buses rotatives à fonction Vibrasoft, les vibrations sont réduites de jusqu’à 30 % sur les variantes de modèle « Plus », ce qui augmente le confort, notamment lors des utilisations prolongées. Selon la variante, les nouveaux modèles affichent un débit de 900 à 1 300 litres par heure ainsi qu’une pression de service de 250 bar et conviennent ainsi à l’élimination des salissures importantes. Des pompes robustes équipées de pistons à revêtement céramique et de culasses en laiton ainsi que de moteurs refroidis à l’air/à l’eau garantissent une longue durée de vie des appareils, même en cas de forte sollicitation. Le pistolet haute pression Easy!Force, qui utilise la force de recul du jet haute pression pour réduire à zéro l’effort de maintien pour l’utilisateur, permet un travail prolongé et sans fatigue. Grâce à la fonction Servo Control intégrée, les utilisateurs bénéficient d’un réglage pratique de la quantité d’eau et de la pression directement sur le pistolet. De plus, des buses rotatives à fonction Vibrasoft garantissent une réduction des vibrations et une bonne circulation dans les mains, ce qui facilite le travail aux utilisateurs, notamment lors des utilisations prolongées.
de secteurs. Cette porte permet d’accélérer la circulation des personnes et des marchandises et son étanchéité parfaite permet de conserver une température intérieure confortable. Pour maximiser la sécurité, la porte est dotée :
• d’un profil de sol doux,
• d’un rideau lumineux de sécurité sur toute la largeur de la porte,
• d’un système d’auto-correction, de telle sorte que le temps d’arrêt après une panne est réduit à sa plus simple expression.
De plus, la porte rapide HS9120G dispose d’une série d’options, telles qu’un système d’ouverture SPOT ON entièrement sans contact pour un accès plus facile et plus d’hygiène. Vous pouvez également opter pour un rideau en mousse acoustique, qui offre un niveau élevé d’isolation acoustique et de protection thermique.
ACCESSOIRES
Le géant nippon mise sur le marché européen de la rechange
Même si l’entreprise japonaise Aisin n’est pas encore un nom très connu en Europe, elle compte parmi les principaux fabricants mondiaux de pièces automobiles. Derrière des marques mieux implantées chez nous - dont Bosch et ZF Friedrichshafen - Aisin est même classé cinquième fournisseur OEM au monde grâce à son chiffre d’affaires. Particulièrement fort en Asie, le groupe Aisin envisage aujourd’hui une percée commerciale sur le marché européen de l’aftermarket. Advics joue un rôle important dans ce contexte.
Aisin est avant tout un fournisseur OEM. La gamme des pièces est à répartir en sept catégories: composants d’embrayage, produits de freinage, groupes motopropulseurs, systèmes moteur, systèmes de refroidissement, pièces de suspension et de direction et liquides de refroidissement, hydraulique (embrayage et freins) et lubrification des boîtes automatiques et CVT.
Si Toyota est son plus gros client (63 % des livraisons), Aisin est également le fournisseur de tous les autres constructeurs nippons. Du côté des constructeurs automobiles européens, les principaux clients d’Aisin sont Stellantis et Renault. Rien d’étonnant d’ailleurs à ce que Toyota occupe une place aussi proéminente, quand on sait qu’Aisin fait partie de Toyota Group.
Il y a de cela 21 ans, Aisin signait un accord de coopération avec deux autres entreprises nipponnes, à savoir Denso et Sumitomo Electric, ce qui a mené à la création d’Advics. Ce département se concentre sur le développement et la production des
pièces de freins, allant des disques et des plaquettes jusqu’aux composants hydrauliques et électroniques pour ABS, ESP et autres systèmes d’aide à la conduite.
D’après Tanguy Brohée (marketing coordinator Aisin Europe), des pièces de
freins Advics sont montées d’usine sur 50% des voitures japonaises. Quelque 10% des voitures produites de par le monde sont équipées de pièces Advics. Advics et Aisin se hissent ce faisant au premier rang des fournisseurs OEM.
A l’automne 2022, Aisin annonçait des ambitions bien plus grandes, particulièrement en ce qui concerne le département freins d’Advics. Aisin tient également à renforcer sa présence sur le marché du remplacement.
Au Japon, Advics jouit d’une solide réputation, qu’elle doit surtout au fait d’avoir fourni – ce qu’elle fait toujours aujourd’hui - des composants de freins pour les supercars nippons (les JDM cars), dont la fameuse Nissan Skyline ou encore les modèles WRX de Subaru.
Tanguy Brohée: “Les pièces Advics destinées à l’aftermarket sortent des mêmes chaînes de production que les pièces d’origine. Autrement dit, il n’y a aucune différence de qualité entre une pièce OEM et une pièce Aftermarket.”
La gamme de pièces de freins Advics comprend des disques, des plaquettes, des étriers, des servo-freins et tous les composants hydrauliques, de même que le liquide de frein associé.
Les nouveautés attendues en 2023 sont les cylindres de freins et les étriers de freins EPB. EPB, soit l’acronyme pour ‘Electric Parking Brake’, est surtout appliqué sur les modèles Toyota et Lexus équipés d’un frein de stationnement activé électriquement.
En ce qui concerne les plaquettes de frein, Advics met surtout en avant le fait que
les garnitures s’usent uniformément et que par conséquent, on n’observe pas après un certain temps des vibrations gênantes en cours de freinage.
Advics compte deux situes industriels en Europe - un en Allemgane et un autre en Tchéquie. La distribution est confiée à Aisin. Tanguy Brohée annonce qu’Aisin est en quête pour la Belgique et pour l’Europe d’un partenaire disposant d’un réseau de distribution étendu pour livrer ses produits.
Il fût un temps où les systèmes de sécurité innovants étaient l’apanage de quelques modèles automobiles haut de gamme, mais ces dernières années, ils ont été intégrés – de plus en plus rapidement – aux équipements (de série ou en option) des véhicules de moyenne gamme. Sous la pression de la législation européenne, ils devraient même devenir bientôt la norme pour toutes les nouvelles ventes de voitures. Les garages se doivent donc de suivre le mouvement et d’adapter leur équipement en conséquence.
L’ABS et l’ESP, respectivement lancés en 1978 et en 1995 par Robert Bosch GmbH, n’étonnent vraiment plus personne. “Depuis le mois de juillet 2022, plusieurs équipements de sécurité sont imposés par l’Europe pour les nouveaux modèles de voitures” déclare Bert Van Hauwermeiren, product manager automotive aftermarket Benelux chez Bosch. “En juillet 2024, les modèles existants devront eux aussi être équipés de ces systèmes de sécurité supplémentaires. Il s’agit notamment de l’AEB (Autonomous Emergency Braking ou système de freinage automatique d’urgence), d’une caméra de recul et du système LDW (lane departure warning ou aide au maintien dans la voie). Cet équipement de sécurité, qui fait partie de l’ADAS - Advanced Driver Assistance Systems – est présent depuis un certain temps déjà sur les modèles haut de gamme ainsi que sur certains modèles milieu de gamme, mais deviendra donc bientôt le lot commun”.
Depuis une dizaine d’années, ADAS connaît une évolution sans fin et équipe de ce fait de plus en plus de voitures. Un dispositif de calibrage ADAS n’est donc pas un luxe pour une entreprise de garage, on pourrait plutôt parler d’une mise à niveau nécessaire. “Cela fait longtemps que les carrossiers et les réparateurs de vitres de voitures ont conscience de la
nécessité d’acquérir un système de calibration ADAS” explique Bert Van Hauwermeiren. “Compte tenu de la percée et de l’omniprésence des systèmes ADAS, aucun garagiste ne peut plus rester à la traîne”.
Un dispositif de calibrage ADAS est indispensable à chaque réparation et remplacement de pare-brise, mais
pas que. Il est tout aussi nécessaire après le remplacement des amortisseurs, après l’alignement, après n’importe quelle intervention sur le châssis ou la direction… Les systèmes ADAS équipent toujours plus de voitures et les clients/utilisateurs nous font donc parvenir de plus en plus de messages d’erreur.
Dirk Vercruyssen, propriétaire
et gérant de Garage-Carrosserie Vercruyssen nv/sa et de Bosch Car Service, s’est lui aussi équipé d’un dispositif de calibration ADAS, compte tenu des besoins de son département carrosserie: “Nous devons absolument investir dans un équipement de ce type si nous ne voulons pas rater le coche. La facilité d’utilisation, l’interaction avec d’autres outils et la sécurité
future, ce sont autant de facteurs essentiels à prendre en compte dans le choix de l’appareil. Le dispositif de calibration Bosch DAS 3000 commandé par ordinateur sort vainqueur du comparatif et il est aussi le plus rapide, ce qui permet au client de limiter les frais”.
Issu de l’industrie automobile
Ce n’est un secret pour personne: Bosch est ‘preferred OE supplier’ pour un grand nombre de marques automobiles. Dans une telle position, Bosch a pu prendre en compte dès le tout premier stade de développement d’ADAS les demandes de la production automobile - et par la suite les besoins du secteur de l’après-vente. Cela se traduit par un avantage durable, puisque Bosch est toujours au courant du développement des nouveaux protocoles des futurs ADAS.
Le dispositif Bosch DAS 3000 commandé par ordinateur est donc le résultat de développements poussés et continus en matière de systèmes de calibrage, avec plus de convivialité et un fonctionnement plus rapide.
Ce système universel assure aussi bien la base – le calibrage du radar et de la caméra à l’avant du véhicule – que des équipements supplémentaires tels que la caméra de recul, visibilité panoramique à 360°. Il suit en outre toutes les évolutions ADAS et est fin prêt pour la technologie LiDAR (LIght Detection ou encore Laser Imaging And Ranging).
Il existe deux types de calibrage ADAS - dynamique et statique. Le dispositif Bosch DAS 3000 supporte les deux méthodes/procédures, qui varient selon le modèle et la marque de la voiture. Certaines marques (par exemple VAG, Nissan, Toyota, Alfa
pour la caméra que pour le radar), tandis que d’autres (par ex. Ford, JLR, Volvo) optent uniquement pour la méthode dynamique. Sans oublier les marques qui allient les deux (notamment BMW, Mercedes). “Pour le calibrage dynamique, il suffit d’utiliser un outil de diagnostic (tel que le Bosch KTS) pour effectuer le cycle de calibrage” explique Bert Van Hauwermeiren. “Lorsque l’on utilise un outil de diagnostic Bosch KTS avec le dispositif DAS 3000, on voit apparaître à chaque fois sur l’écran l’état de la calibration et l’étape suivante du processus. Pour un calibrage statique, il faut un outil de diagnostic (KTS) et un dispositif (DAS 3000). Un gros avantage: le fait que le dispositif Bosch DAS 3000 intègre le système de calibration ADAS dans la même plate-forme que nos outils de diagnostic – ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il ne peut pas opérer avec d’autres outils de diagnostic. Le choix du tandem Bosch permet d’allier le diagnostic du véhicule et le ca-
prescriptions de la marque automobile pour le véhicule concerné”.
Le calibrage statique s’opère en atelier, à l’aide d’un tableau de calibrage. Ce grand tableau de référence pour caméra en fibre de verre peut également être utilisé comme panneau réflecteur pour le calibrage des radars. Voici donc une solution globale et 2-en-1 pour l’étalonnage caméra et radar.
Même si l’achat d’un dispositif de calibrage ADAS Bosch DAS 3000 à commande numérique se fait toujours par l’intermédiaire d’un grossiste Bosch, des spécialistes de la marque se rendent sur place pour la mise en service. Ils garantissent ainsi le bon fonctionnement du système, ainsi qu’une formation pratique. Une ‘hotline’ est joignable pour toute l’assistance nécessaire lors de l’utilisation du système.
Bosch organise par ailleurs des formations ADAS spécifiques.
Implantée à Sint-Pauwels (Flandre orientale), Garage-Carrosserie Vercruyssen nv/sa a évolué en un peu plus de trente ans jusqu’à devenir une entreprise de garage polyvalente. Le propriétaire et gérant Dirk Vercruyssen a démarré les activités en mars 1990. Aujourd’hui, outre lui-même et son fils, 11 personnes s’y activent, que ce soit dans le garage indépendant, la carrosserie, la vente de véhicules d’occasion et –depuis l’année dernière – une concession Suzuki suite à une reprise.
C’est en 2000 que le logo Bosch Car Service est apparu sur la façade. “C’est là un nom qu’on aime à porter, un synonyme de qualité visà-vis des clients” tel est l’ar-
gument de Dirk Vercruyssen pour justifier son choix. “Sachez que le droit d’arborer ce logo est sujet aux conditions les plus strictes! Le support technique et marketing, l’offre de formations, ce sont là des facteurs qui comptent dans un univers automobile en constante évolution. Sans aide, il n’est plus possible de maîtriser tout cela. Avec ce logo, nous faisons savoir que nous avons pris le train en marche”.
Les collaborateurs de Garage-Carrosserie Vercruyssen nv/sa doivent eux aussi se montrer polyvalents, ce qui rend leur travail très varié, mais qui exige en même temps une grande flexibilité face à la variété des véhicules présentés.
“Pour la majorité des clients, un prix intéressant représente encore toujours le principal facteur du choix d’un garage indépendant” affirme Dirk Vercruyssen. “Mais il n’y a pas que cela : une approche personnalisée, un personnel à l’écoute, cela compte aussi. Et les sociétés de leasing nous font de plus en plus confiance, ce qui se traduit par un plus grand apport de voitures plus récentes et plus coûteuses”.
Un soutien crucial
Un garage indépendant a aujourd’hui absolument besoin d’une assistance technique – particulièrement en matière de ‘logiciels de diagnostic’ – pour les différents modèles automobiles. Si un concessionnaire de marque ne doit effectivement traiter qu’avec les véhicules de ‘sa’ marque, le garagiste indépendant doit être capable de travailler sur toutes les marques et sur tous les modèles.
“Les outils de diagnostic universels Bosch KTS couvrent actuellement plus de 90% du parc automobile, avec des logiciels de diagnostic et des informations techniques en matière d’entretien et de réparation” affirme Bert Van Hauwermeiren. “Quant aux (moins de ) 10% restants, nous pouvons les aider. A dater de mars 2023, le diagnostic et les programmations à distance seront possibles grâce au service d’assistance Bosch”.
Garage Dirk Vercruyssen
Potterstraat 169
9170 Sint-Pauwels
https://garagevercruyssen.be
Au cours de la récente présentation annuelle de Qualitygarage, d’ambitieux projets ont été projetés sur grand écran sous l’œil approbateur de David Colantonio, le nouveau directeur de la division Belgique. Les quelque 300 personnes présentes ont eu l’occasion de découvrir une approche minutieuse, élaborée sur base des moments moins réussis de l’année dernière, ce qui était une façon surprenante de tirer les leçons de ses erreurs.
La base repose donc cette année sur 4 piliers: la technique, le marketing, les solutions de mobilité et les partenaires. L’accent sera principalement mis sur un éventail très complet de formations, axé sur les xEV ?? et sur une campagne marketing innovante – lisez numérique. Une campagne qui vise à accroître encore plus la position des garages membres sur le marché.
Tout au long de leurs présentations, le quatuor à l’origine de cette approche innovante
- Nicolas Soreille, Head of Workshop Concepts BeLux, Stefan Bornauw, Regional Head of Workshop Solutions , Edwin Luchies, responsable marketing
Qualitygarage et David Colantonio – a braqué le projecteur sur la nouvelle dynamique au sein de LKQ. A remarquer, l’engagement fort avec les membres locaux, dont les points de vue et les besoins ont apparemment donné lieu à une réflexion poussée.
Le volet ‘formations’ a donc fait l’objet d’une attention particulière, ce qui n’a rien d’étonnant au vu des nombreux défis auxquels le secteur est confronté. Dorénavant, les membres pourront notamment passer par LKQ Academy pour remplir une enquête en ligne sur les compétences, ce qui permettra de déterminer avec plus de précision les besoins et les souhaits des entreprises de garage. Chaque année, celles-ci auront le choix entre 2 ateliers numériques et 3 ateliers physiques, le tout inclus dans l’adhésion. Le diagnostic, l’électrification, les systèmes ADAS, l’hydrogène, les règlementations SERMI et nombre d’autres défis posés aux garages seront ainsi traités et expliqués dans le cadre des diverses formations.
On passe surtout à l’autoroute numérique pour renforcer la position sur le marché qui est celle des membres au sein de leur région. Les réseaux sociaux, Goo-
gle, SEO, ce sont les mots clé dans ce contexte. Le tout soutenu par une campagne télévisée d’envergure et par Narrowcasting et Q-connect, le nouvel extranet pour les garages affiliés.
Cette soirée a aussi été celle de la grande première d’une nouvelle mascotte, baptisée “TURBO”. Suite au succès rencontré aux Pays-Bas avec Vakgarage, le public a fait connaissance avec ce nouveau porte-drapeau Qualitygarage.
INEOS Automotive, le nouveau constructeur qui n’était d’ailleurs pas présent sur le salon, est notamment 100% européen. D’ici quelques semaines, on pourra admirer pour la toute première fois l’INEOS Grenadier dans le showroom belge de Hedin Automotive à Lokeren.
Hedin – en fait Hedin Mobility Group – est une société suédoise, fondée en 1985 par un certain Ingenar Hedin et par son fils Anders. Même si cette société concentre principalement ses activités en Scandinavie, elle mène depuis six ans environ une politique d’expansion à travers l’Europe. Au total, Hedin Mobility Group compte actuellement un peu plus de 260 concessionnaires dans son portefeuille et représente 46 marques.
Hedin s’est fait remarquer pour la première fois en 2018 sur le marché belge, avec la reprise de 12 concessions Mercedes-Benz. Entre temps, le groupe gère 20 garages Mercedes-Benz dans notre pays et l’expansion ne se limite certainement pas à la marque à l’étoile. Dorénavant, 5 concessions Toyota – en combinaison ou non avec Lexus – arborent le sceau Hedin Automotive. Et ce n’est pas tout, puisque Hedin est dorénavant l’importateur Belux de la nouvelle marque. Notons d’ailleurs que Hedin ne représente pas seulement INEOS Automotive en Belgique et au G-D de Luxembourg, mais également dans 11 pays européens. Le premier showroom belge d’INEOS Automotive ouvrira ses portes d’ici quelques semaines dans les locaux de Hedin Automotive à Lokeren. Pour le reste de la Belgique et pour le G-D de Luxembourg, des points de vente et de service sont également prévus.
C’est également à Lokeren que seront menées les activités commerciales d’INEOS Automotive dans notre pays et au grand-Duché. Nous avons demandé à Arthur Lauwers, strategic marketing, ce qui pousse Hedin à s’engager avec INEOS Automotive, une toute nouvelle marque qui ne propose de plus dans sa gamme qu’un seul modèle, le Grenadier. Qui plus est, le Grenadier est un produit de niche.
Arthur Lauwers: “A l’origine, Hedin n’avait pas vraiment songé au multi-marques en Belgique. A partir de 2017-2018, Hedin s’est surtout concentré sur Mercedes-Benz dans notre pays. Le groupe avait d’ailleurs une certaine expérience de la marque de Stuttgart. Mais le marché ne cessant d’évoluer, le groupe a fini par opter pour un ancrage solide sur le marché belge, faisant dans ce but bon usage de toutes les opportunités possibles.
C’est ce qui explique les 5 concessions Toyota gérées par Hedin Automotive dans notre pays, ainsi que son engagement avec la branche auto d’INEOS. N’oublions pas non plus que Hedin possède en Europe – et plus particulièrement en Scandinavie – une longue expérience multi-marques. Du fait des grandes étendues en Suède, ainsi que de la faible densité de population, les concessionnaires y sont bien moins nombreux. Une étendue ter-
ritoriale qui pousse souvent les concessionnaires suédois à représenter plusieurs marques. C’est la raison pour laquelle Hedin distribue 46 marques dans plus de 260 concessions. INEOS est tout simplement une nouvelle opportunité pour le groupe. Le Grenadier est par ailleurs un produit que ne se pose pas comme un concurrent direct, pas plus pour les modèles Mercedes que pour les modèles Toyota. Le Grenadier est un 4X4 pur et dur, conçu pour les clients avides d’aventure ou pour ceux qui ont besoin d’une véritable bête de somme, susceptible d’affronter même les terrains les plus ardus ou de tracter de grosses remorques, par exemple pour transporter un bateau ou pour le transport de chevaux…”
Logistique géréeparnossoins
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Même si INEOS, et plus précisément INEOS Automotive, est tout nouveau sur le marché automobile, il fait partie du groupe INEOS, le géant britannique de la chimie, né au milieu des années ’90 de la cession par BP d’un certain nombre de ses activités. D’ailleurs, les premières activités ont eu lieu à Anvers. Après plusieurs fusions, INEOS est devenue une énorme entreprise, employant plus de 26.000 personnes dans le monde. INEOS a encore récemment fait la une des actualités avec ses projets d’investissement dans une nouvelle usine – le fameux Project One – en région anversoise.
Si vous n’êtes pas des spécialistes de l’univers de la chimie, vous connaissez peut-être INEOS comme sponsor de l’équipe cycliste INEOS Grenadiers (ex-Team Sky). Cet engagement dans le sport cycliste s’explique par la personnalité de Sir Jim Ratcliffe,
le CEO d’INEOS. Jim Ratcliffe est effectivement un adepte passionné de la petite roue. Mais Jim Ratcliffe est aussi un amateur de voitures, qui a prévu qu’un marché de niche allait s’ouvrir à un véritable 4X4 dès le moment où Land Rover aurait arrêté la production du Defender de première génération. C’est ainsi qu’est née l’idée du Grenadier, dont l’extérieur présente d’ailleurs de nettes ressemblances avec celui du Defender d’origine. “Un pur hasard...”, affirme-t-on chez INEOS.
Le développement du Grenadier a démarré en 2017. Une équipe de collaborateurs expérimentés a été réunie pour le projet, après quoi la décision est rapidement prise de s’entourer de partenaires industriels et de fournisseurs aussi fiables que renommés. Tout comme le Defender, le
Grenadier est doté d’un châssis échelle caissonné. La société autrichienne Magna assure le développement de ce châssis et de la suspension. Ce qu’il faut noter, c’est que la solution choisie est tout à la fois robuste et facile à entretenir, avec un essieu rigide monté à l’avant et un autre à l’arrière. Pour faciliter l’entretien, les amortisseurs ne sont pas intégrés aux ressorts hélicoïdaux. Pour le moment, deux moteurs sont disponi-
bles. Fournis par BMW, ils présentent une capacité de 3,0 litres. La version diesel développe 249 ch, contre 286 pour le moteur essence. Tous deux sont couplés à une boîte automatique ZF à huit rapports. Avec le système de transmission intégrale permanente, le conducteur a le choix entre des rapports courts ou longs, à réglage manuel. Pour le système de freins, INEOS s’est tourné vers Brembo.
A l’origine, la fabrication du Grenadier devait se faire dans une usine toute neuve au Pays de Galles. Mais finalement, le choix a porté sur Hambach (en Moselle), où INEOS a racheté le site Smart de Mercedes. En effet, la production de la Smart y sera stoppée dans un avenir proche pour être délocalisée en Chine. Le site de Hambach présente de nombreux avantages. Il se trouve notamment assez près des principaux sous-traitants. Avec cette usine, dotée
d’une infrastructure moderne, INEOS dispose aussi d’un personnel expérimenté. Enfin, cette solution permet de contourner les difficultés liées au Brexit.
Les débuts
Dans une première phase, deux exécutions du Grenadier sont prévues pour le marché belge. Ce sont deux breaks, une version à cinq places et l’autre, à deux places seulement, pouvant être immatriculée ‘utilitaire léger’.
Une version pick-up devrait suivre après quelque temps. Jusqu’ici, INEOS a construit deux séries de prototypes: 130 exemplaires de la première série, le PTO1, tandis que la deuxième série (PTO2) évoluera après un certain temps vers la production de série. Le Sales Manager, Erik Vanslembrouck, affirme que 72 exemplaires du Grenadier ont déjà été vendus en Belgique: “Nous espérons pouvoir livrer prochainement. D’ici quelques semaines, le showroom
devrait être prêt à fonctionner dans une partie des bâtiments existants à Lokeren.” Le Grenadier est uniquement disponible avec un moteur thermique. On se demande comment INEOS réagira à l’électrification poussée du parc automobile ? D’après Arthur Lauwers, INEOS songe à terme à une propulsion électrique avec pile à combustible: “Il ne faut pas oublier qu’INEOS est d’ores et déjà un important producteur industriel d’hydrogène.”
Les couleurs et les effets trouvés sur les voitures modernes sont souvent inspirés par la nature. Et les faire correspondre, en particulier sur les niveaux de brillance ultra-faibles, requiert une véritable compétence pour un carrossier. Cela nécessite également les meilleurs produits de leur catégorie, comme notre nouveau système de vernis mat basé sur la dernière technologie innovante d‘Axalta. Doté de la plus large gamme de niveaux de brillance de l‘industrie, il vous permet d‘obtenir une très bonne reproductibilité et d’excellents résultats du premier coup. Avec notre logiciel avancé de gestion numérique des couleurs Standowin iQ, le niveau de brillant applicable est déjà recommandé avec la formule de couleur. Avec des temps de séchage plus rapides, les réparations de haute qualité des véhicules mats sont désormais plus faciles à réaliser du début à la fin. Vous vous sentez inspiré?
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L’entreprise belge Hubitools occupe une place très particulière sur le marché de l’outillage. Dans sa gamme, on ne trouve quasiment que des outils uniques, qui allègent les tâches les plus difficiles et contribuent à réduire le stress et l’énervement dans l’atelier. La plupart de ces produits sont des concepts propres et brevetés, pratiquement toujours commercialisés sous label privé.
Résoudre les problèmes dans l’atelier, cela commence par un diagnostic correct, avant de poursuivre avec les outils adaptés et les pièces adéquates. Implantée à Wavre, l’entreprise belge Hubitools tient compte de ces deux aspects: le diagnostic et les outils. Ne vous y trompez pas: Hubitools n’est pas le énième vendeur d’outillage à main et d’appareils de diagnostic. C’est ce qu’affirme l’administrateur délégué, Alain Mottet: “Nous examinons les problèmes rencontrés par les mécaniciens en atelier et nous créons ensuite un outil qui n’existe pas encore et qui est susceptible de leur venir en aide. Lorsqu’un tel outil existe déjà, nous tentons de concevoir une solution plus simple et plus conviviale. Parallèlement, nous distribuons également des outils spéciaux, uniques et originaux venant des E-U, d’ Australie et de Taiwan par exemple. D’ailleurs, tout a commencé pour Hubitools avec une pompe manuelle métallique pression/dépression, améri-
caine d’origine. Cette pompe est toujours proposée dans notre gamme, même si elle a été affinée entre temps et qu’elle est à présent fournie avec des adaptateurs destinés aux différentes applications, le tout dans un coffret bien pratique.”
Cette pompe Mityvac sert à différentes applications, notamment à purger le système hydraulique, aussi bien du système de freinage que de l’embrayage, à tester le système EGR et la wastegate du turbocompresseur, au transfert de liquide, etc, etc.
Un service très complet
Alain Mottet insiste sur le fait que Hubitools n’est pas seulement à la recherche d’outils existants et uniques tels que la pompe Mityvac : “nous créons également nos propres solutions, dotées d’un label spécifique «Hubitools Design” souligné d’un discret tricolore belge. Nous devons absolument nous distinguer du lot, avec des produits originaux. C’est notre marque de fabrique.
Hubitools a un effectif de 15 personnes réparties dans les différents services - R&D, Commercial, Marketing ,logistique et administration. Ce n’est pas un hasard si Hubitools n’est pas un nom très connu en Belgique. En effet, plus de 95% des réalisations
et des produits Hubitools sont destinés à l’export. Par ailleurs, fort peu de produits sont commercialisés sous la marque propre. La plupart des réalisations Hubitools
sont vendues à des marques renommées, allant de Berner et de Facom à Wurth, mais aussi à des constructeurs automobiles qui ont besoin d’outils spécialement conçus pour leur marque.
Dans ce domaine, Hubitools propose un service complet. Lorsque le client le souhaite, les produits ont droit à une
«personnalisation», ce qui ne se limite pas à apposer le nom de la marque sur le produit. Un manuel ‘private label’ est également prévu. Mieux encore, Hubitools dispose même de son propre studio vidéo pour la réalisation de vidéos d’instructions pour le compte de la marque concernée. Sans compter
l’après-vente et si besoin est, les produits sont stockés et conditionnés en Belgique. Hubitools possède enfin son propre département de montage, en collaboration avec son voisin direct l’ETA Axedis qui comporte 130 travailleurs porteurs de handicap.
Hubitools est particulièrement fier de l’un de ses développements les plus récents, à savoir un compresseur universel de jambes de force, (‘Strut Lifter’). Cet outil est aussi bien indiqué pour les véhicules thermiques, Hybrides ou électriques que pour des jambes de force en combinaison avec des doubles bras parallèles. L’appareil est universel parce que la pince est coulissante en fonction du véhicule et peut aussi pivoter dans l’angle souhaité. Le levage lui-même s’effectue en montant l’outil sur un vérin de fosse hydraulique.
Dans les centrales de pneus, on connaît le problème des boulons de roue à sécurité interne endommagés. Hubitools a développé un outil spécial (Lugdriller), soit un kit d’enlèvement d’écrous de roue antivol, l’écrou endommagé pouvant être retiré sans endommager la jante.
Un extracteur spécialement conçu est enfoncé dans l’écrou endommagé, avec à son extrémité une arête empreinte hexagonale sur laquelle une clé à douille peut être insérée pour finir par retirer l’écrou.
Un autre appareil - surtout bien pratique dans les centrales de pneus - est utilisé pour dégonfler un pneu via la valve, et ce de manière silencieuse et amortie.
Comme son nom l’indique, le vidangeur de carburant ‘fuel extractor’ permet de vidanger le réservoir de carburant.
La pompe n’est pas électrique, pour éviter tout risque d’étincelle et elle est livrée avec deux câbles de masse antistatiques.
Le dernier développement en date n’est autre que le Brake Pro à commande électronique, conçu pour la purge de la commande hydraulique du système de freins ou d’embrayage. Ce qui est bien pratique, c’est que cet appareil remplit aussi automatiquement le réservoir hydraulique pour éviter tout risque d’aspiration d’air. Cela permet par ailleurs de gagner du temps, puisque le contrôle et le rem-
plissage du réservoir ne sont plus nécessaires, mais aussi parce qu’une seule personne peut s’en charger.
Hubitools a également prévu un bouchon de remplissage universel pour la purge.
Nous ne pouvons pas énumérer dans ces pages tous les produits de la gamme, mais citons-en malgré tout quelques-uns.
Le testeur universel de pression digital est par exemple bien utile, puisqu’il permet de tester huit types de pression différents : sous pression, compression diesel et essence, pression d’huile, pression du système de refroidissement, basse et haute pression de carburant, pression du liquide AdBlue, pression du filtre à particules et pression du turbo. L’appareil à écran couleur, équipé de
sa propre batterie, peut être connecté à un ordinateur par port USB. Tous les adaptateurs nécessaires sont fournis avec l’appareil.
Des bougies et des injecteurs bloqués, voilà qui est source de nombreux problèmes.
Ici aussi, Hubitools propose des outils adaptés dans sa gamme. Même chose pour les écrous et les boulons coincés: Hubitools propose à cet effet le fameux ‘Vibroshock’, utilisé avec un marteau pneumatique.
Nous pourrions continuer ainsi longtemps encore… Mais contentons-nous de citer les différents endoscopes vidéo ainsi que les testeurs, notamment pour le contrôle des capteurs, et toutes sortes d’adaptateurs pour les connexions.
VW Love Bugs - The Buzz Edition
Du 4 février au 26 mars 2023, Autoworld accueillera l’exposition “VW Love Bugs - The Buzz Edition”. Le thème central de cette exposition, c’est l’épopée des 7 générations de Bus VW et de l’ID-Buzz électrique tout récemment lancé. Parallèlement, l’attention portera sur D’Ieteren, qui signait il y a de cela 75 ans le contrat d’importation de Volkswagen. Les lecteurs d’Info Garage peuvent remporter un ticket duo en répondant correctement aux questions à choix multiple ci-dessous.
La Coccinelle d’origine, telle qu’elle prend forme dans les années ’30, est l’oeuvre de Ferdinand Porsche pour qui cette création est ’Ein Auto für Jedermann’ - la voiture du peuple en quelque sorte. La voiture à moteur refroidi par air de Ferdinand Porsche devient une réalité grâce au régime Nazi, qui la rebaptise ‘KdF-wagen’. En effet, la voiture fait partie intégrante du programme ‘Kraft durch Freude’ (la force par la joie), chacun ayant l’occasion d’acquérir une auto en épargnant sur un livret spécial où des coupons sont collés.
Le début de la seconde guerre mondiale signe l’arrêt de mort du projet KdF. Au cours des années ’30, seules quelque 120 Coccinelles quittent la chaîne de montage. La production de série proprement dite ne démarre qu’en 1945.
La Coccinelle conquiert bientôt le monde entier. Elle n’est pas seulement fabriquée en Allemagne, puisque D’Ieteren la construit à Forest et que Volkswagen ouvre des sites de production, notamment au Brésil et au Mexique, où le tout dernier exemplaire sort de l’usine en 2003. Au fil de toutes ces années, pas moins de 21.529.464 d’exemplaires sont produits dans le monde.
Le Transporter
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, on manque cruellement de moyens de transport. Ben Pon, le Hollandais qui allait devenir par la suite l’importateur VW aux Pays-Bas, se rend à Wolfsburg et propose de fabriquer une fourgonnette sur base de la Coccinelle. Sur son bloc-notes, il esquisse un croquis de ce qui allait devenir par la suite le Transporter Volkswagen.
Le premier Transporter quitte la chaîne de montage en 1950.
Le moteur du Transporter passe à l’avant en 1990 et aujourd’hui, c’est au tour de l’ID.Buzz électrique.
Comment participer?
Pour participer au concours, il vous suffit de répondre aux questions ci-dessous par le biais d’un email envoyé à la secrétaire de rédaction d’Info Garage: delphine@media-surplus.be. La ‘main innocente’ de Delphine désignera ensuite les six heureux gagnants parmi les participants ayant répondu correctement aux trois questions. L’email devra mentionner clairement le nom du participant, son adresse postale ainsi que son adresse mail. Pour répondre aux questions, vous devez mentionner clairement trois combinaisons chiffre/lettre. Le chiffre (de 1 à 3) renvoie à la question et la lettre (A,B ou C) renvoie à la réponse de votre choix. Vous avez jusqu’au 10 mars compris pour répondre.
1 Quelle version du Transporter a été la première à être équipée d’un moteur diesel?
A le T2
B le T3
C le T4
2 Quelle a été la première Volkswagen quatre portes?
A Passat
B 1600 TL
C 411
3 Quelle a été la première Volkswagen à traction avant?
A Polo
B K70
C Golf
Une fosse sécurisée, même pour le matériel roulant lourd
L’entreprise franco-belge Dalis Pit Covers, dont le Belge Guy Crucifix est l’un des actionnaires actifs, propose plusieurs solutions pour recouvrir une fosse de maintenance, rapidement et en toute sécurité. Le développement le plus récent n’est autre que le ‘Heavy Duty Cover’, un système spécialement conçu pour le matériel roulant lourd.
La fosse traditionnelle est de moins en moins prisée, pour des motifs d’ordre pratique et par souci de sécurité, et ce au profit des ponts élévateurs, qu’ils soient fixes ou mobiles. Pourtant, dans les ateliers plus anciens, une fosse est toujours utile. C’est également le cas dans les ateliers plus récents, où l’on travaille sur du matériel roulant lourd et sur des véhicules longs. Dalis Pit Covers propose plusieurs modes de couverture pour les fosses de maintenance. Il s’agit généralement d’une fermeture articulée, à commande soit manuelle, soit électrique/ pneumatique. Le principal objectif d’un tel système, c’est d’écarter tout risque de chute d’une personne dans la fosse. L’ouverture et la fermeture n’exigent en outre qu’un minimum d’efforts physiques - et relativement peu de temps.
Un de ces systèmes – celui qui affiche les meilleures ventesest baptisé Dalis Alu.
La couverture s’opère à l’aide de panneaux en aluminium extrudés qui se replient tels les soufflets d’un accordéon avant d’être empilés dans un module qui se trouve à l’intérieur et à l’extrémité de la fosse. Ce module à empilement est équipé d’un escalier de secours antidérapant, permettant de pénétrer dans la fosse et d’en sortir en toute sécurité. Les dalles, qui font 2 cm d’épaisseur, sont stockées sous la première marche. En fonction de l’application, un panneau de couverture
présente une largeur de 70 à 150 centimètres sur 30 centimètres de longueur. Tous les panneaux, à charnières et reliés entre eux, sont équipés de deux axes avec des roulements aux extrémités, qui se déplacent dans les profils métalliques latéraux de la fosse.
Le développement le plus récent est baptisé Heavy Duty Cover. Ce système est spécialement conçu pour recouvrir des fosses de graissage fort longues pour l’entretien et la maintenance de matériel roulant lourd et/ou long.
Cette solution permet de couvrir jusqu’à 16 mètres de longueur. Si la fosse est encore plus longue, il est également possible de placer deux systèmes en tandem.
La principale différence avec les réalisations précédentes, c’est que les éléments articulés, qui ne font pas moins de 5 centimètres d’épaisseur, sont constitués aussi bien vers le haut que vers le bas d’une plaque d’acier de 4 mm d’épaisseur. Entre les deux panneaux, des axes sont installés, avec aux extrémités des roulements à aiguilles. Les roulements se déplacent dans les profils métalliques latéraux de la fosse. De ce fait, la force requise pour ouvrir et fermer la fosse est minimale, et ce malgré le poids des éléments articulés.
L’activation des éléments articulés s’opère sur le mode électrique/pneumatique et la commande peut se faire à distance, avec des signaux (auditif et visuel). Le système s’arrête automatiquement lorsqu’il entre
en contact avec un objet ou une personne – qui se trouve par exemple dans la fosse.
Sécurité assurée dans l’atelier grâce à la couverture de la fosse de maintenance.
La solution Heavy Duty Cover est spécialement conçue pour le matériel roulant lourd ou long. A l’ouverture de la fosse, les panneaux se replient en accordéon dans un module à empilement d’une longueur de 1,4 mètre (à l’avant sur la photo).
Le système de fermeture de Dalis Pit Covers peut être aisément combiné avec les équipements de test intégrés.
A l’ouverture de la fosse, les panneaux se replient en accordéon dans un module à empilement d’une longueur de 1,4 mètre. Cette construction solide permet au système de résister à un poids allant jusqu’à 6,5 tonnes. Dalis Pit Covers démontre volontiers comment un chariot élévateur lourd peut rouler sur la couverture. Dans la pratique, cela revient à dire que la sécurité est certes assurée, mais que la flexibilité du lieu de travail est également optimisée. Un technicien peut par exemple se déplacer sur la couverture pour travailler sur un véhicule. Cette couverture est en outre assez solide pour supporter le poids des outils, de la servante d’atelier ou d’un élément du véhicule.
A l’ouverture de la fosse, les panneaux se replient en accordéon dans un module à empilement d’une longueur de 1,4 mètre.
Un technicien peut par exemple se déplacer sur la couverture du système Heavy Duty Cover pour travailler sur un véhicule.
Duogear: un cliquet bien pratique
Dans un atelier, la clé plate et la clé à anneaux comptent indubitablement parmi les outils de base indispensables. Le fabricant allemand Berner a quasiment ‘réinventé’ ces deux outils. Il s’agit en fait d’un jeu de clés à cliquets mixte, baptisé Duogear par Berner.
Duogear est proposé en jeu de cinq pièces dans les tailles les plus courantes (8-10-13-17-19).
au total plus de 6.800 personnes.
Berner, un portrait
Le siège belge de Berner est implanté à Lanaken (dans le Limbourg belge), tandis que le ‘hub’ central pour le Benelux se trouve à Kerkrade, aux Pays-Bas. C’est de là que sont gérées toutes les filiales belges et luxembourgeoises et que les clients de ces régions sont approvisionnés. Le centre logistique de Kerkrade fait par ailleurs office d’entrepôt de distribution centralisé pour le Groupe Berner. Berner propose une gamme de produits extrêmement étendue. Les utilisateurs finaux se situent soit dans le secteur automobile, soit dans celui du bâtiment. Outre l’outillage, Berner propose aussi toute une gamme d’équipements d’atelier, des vêtements de travail sécurisés et des consommables, allant des colles jusqu’aux produits de nettoyage. Sans oublier que Berner présente un vaste assortiment de vis, de boulons, d’écrous, de mèches et autres systèmes de fixation. Ce qui n’a rien d’étonnant quand on sait que c’est précisément avec des systèmes de fixation que l’entreprise a démarré en 1957, à l’ini-
tiative d’un certain Albert Berner. Entreprise individuelle au début, elle est aujourd’hui devenue une multinationale, avec des représentations dans presque tous les pays européens et même avec un site de production à Taiwan. La première filiale hors de l’Allemagne est d’ailleurs créée en Belgique en 1969.
L’outillage à main constitue toujours une importante gamme de produits pour Berner. Lors des récents salons Automechanika et Equipauto, notre attention a été attirée par le ‘Duogear’. Il s’agit pour l’essentiel d’un jeu de clés à cliquet mixtes, avec d’un côté une fourche pour la fonction clé plate et de l’autre côté un œillet pour la fonction clé à anneaux. La clé a un manche droit. Rien de bien spectaculaire jusqu’ici, sauf que les deux côtés de la clé sont équipés d’un cliquet. Ce cliquet présente un angle de reprise d’à peine 5 degrés, ce qui rend l’outil bien pratique pour serrer et desserrer dans des endroits difficiles
d’accès. La forme droite facilite aussi la besogne. Il ne faut plus régler le serrage ni le desserrage, il suffit de tourner la clé. Le sens de rotation est indiqué des deux côtés (fourche et oeillet), ce qui facilite d’autant la manipulation. Ce Duogear permet de gagner énormément de temps, puisqu’il ne faut plus repositionner la clé
à chaque coup sur l’écrou ou le boulon. Duogear est proposé en jeu de cinq pièces dans les tailles les plus courantes (8-10-13-1719). Les clés sont fabriquées en chrome-molybdène, la garantie d’un bon durcissement et d’une protection efficace contre la corrosion.
Il y a trois ans, CSY (Car Service Yves) Zoutleeuw investissait dans un système Mahle BrainBee pour le calibrage des systèmes d’aide à la conduite. Ce qu’il y a de particulier avec cet appareil, c’est qu’il n’opère pas avec des panneaux de référence remplaçables, mais avec un écran numérique sur lequel apparaissent les symboles appropriés. Le directeur, Yves Boyen, nous fait part de ses expériences en la matière.
CSY est une entreprise gérée par Yves Boyen et son épouse Karien Steegmans. “Karien n’a pas travaillé avec nous dès les débuts. Elle a intégré la société à partir du moment où nous avons été dépassés par la masse de tâches administratives. Personnellement, je suis plus efficace dans l’atelier que derrière un écran d’ordinateur ou à l’accueil, ” sourit-il.
CSY est une entreprise de garage indépendante dont le profil est quelque peu particulier. CSY n’est pas un garage où la mécanique seule donne le ton. “Quelque 50% de nos activités sont liées à la carrosserie et nous réalisons aussi bien des petites que des grosses réparations,” précise Yves Boyen.
CSY est en outre spécialisée dans la réparation, le remplacement et même le teintage des vitres de voiture. “Avant de démarrer ma propre entreprise, j’ai travaillé pendant six ans pour le compte d’une entreprise réputée de réparation de vitres, ce qui explique beaucoup de choses..”, plaisante-t-il.
Le virus de l’automobile, Yves l’a attrapé dès son plus jeune âge. Son père gérait un petit garage et Yves a suivi une formation en mécanique automobile, avec le diesel et le GPL comme spécialisations. “Il faut dire que les temps ont bien changé. A l’époque, le diesel connaissait ses heures de gloire et le GPL était considéré comme une alternative valable pour économiser du carburant. A l’heure actuelle, il vaut mieux se spécialiser dans les véhicules électriques et hybrides. Que nous le voulions ou non, ils seront de plus en plus nombreux. Mais il est clair que c’est là un nouveau défi. Chez nous, tout le monde est certifié pour le travail sur des véhicules électrifiés.”
CSY a commencé comme une entreprise individuelle et Yves Boyen a d’abord travaillé à temps partiel sur des voitures (à titre complémentaire). Ce n’est que
plus tard qu’il s’est vraiment engagé – à plein temps – dans son entreprise. Actuellement, 6 personnes travaillent pour CSY, ce qui est un effectif assez important, surtout quand on sait que Zoutleeuw n’a vraiment rien de la grande ville… Mais il faut dire que les clients peuvent s’adresser à CSY pour toutes sortes de travaux – donc pas seulement pour la mécanique, la carrosserie et les vitres, mais aussi pour les pneus et l’alignement.
Rester dans l’air du temps
Yves Boyen en est persuadé: il faut aborder l’évolution technique comme un défi, avec
nombre de nouvelles opportunités. “A l’époque où je travaillais pour l’entreprise de réparation de pare-brise, remplacer une vitre était une opération assez simple alors qu’à présent, nous sommes entrés dans une nouvelle phase. Quasiment toutes les voitures sont équipées d’une caméra sur le pare-brise et sur les modèles plus coûteux, il faut y ajouter un radar dans la calandre. Lors du remplacement d’un pare-brise, cette caméra doit être recalibrée. Je suis certain que cela ne se fait pas toujours. Avec CSY, je tiens à me profiler comme un spécialiste des vitres de voitures, et le calibrage en fait partie, un point c’est tout. Le travail n’est pas
Les signaux de référence diffèrent d’une marque automobile à une autre.
terminé si le calibrage n’a pas été réalisé. Il faut par ailleurs tenir compte du facteur sécurité. Un écart d’un millimètre à peine dans la position de la caméra risque d’entraîner des effets dramatiques pour le fonctionnement des systèmes d’aide à
Yves Boyen s’est longuement informé et a étudié les possibilités des différents appareils. Finalement, il a opté pour l’appareil Mahle-Brainbee, fourni par VB Tools.
la conduite. Mais je peux comprendre que tous les garages ou tous les carrossiers n’investissent pas dans ce contexte. Ce qui explique aussi pourquoi nombre d’entreprises de la région s’adressent à nous pour le calibrage.”
Un choix judicieux
Yves Boyen a rapidement compris qu’investir dans le calibrage ADAS serait une bonne chose: “Je me suis longuement informé et j’ai étudié les possibilités des différents appareils. Ce qui me rebutait partout, c’était l’utilisation des panneaux de calibrage fixes, différents d’un modèle à l’autre. J’ai aussi été frappé de voir à quel point le positionnement de ces panneaux et de la voiture prenait du temps. Pour le calibrage de la détection ‘angle mort’, le fait de travailler avec des bandes de calibrage au sol me semblait assez compliqué. Mais c’est alors que j’ai découvert l’appareil Mahle-Brainbee.”
Cet appareil se distingue de la concurrence de différentes manières. Le facteur principal, c’est que l’écran de calibrage placé devant le véhicule est numérique et s’adapte graphiquement en fonction de la voiture à calibrer. Il ne
faut donc plus monter à chaque fois des panneaux différents pour chaque marque et chaque modèle. L’adaptation s’opère sur l’écran lui-même. L’écran tient par ailleurs compte - dans certaines limites de tolérance – de la position du véhicule. La voiture ne doit donc plus être positionnée parfaitement au centre face à l’écran de calibrage. Cela se traduit par un gain de temps énorme.
“Cet appareil permet aussi le calibrage éventuel d’un radar à l’avant de la voiture. Et la détection de l’angle mort peut aussi être calibrée, avec une colonne placée en diagonale derrière le véhicule. Au début, il a fallu chercher quelque peu comment travailler avec l’appareil. Il faut dire que – pour ce que j’en sais - j’ai été le premier en Belgique à avoir opté pour cet appareil. Nous avons donc étudié le fonctionnement de l’appareil en collaboration avec notre fournisseur, VB Tools. Aujourd’hui – soit trois ans plus tard – je suis extrêmement satisfait de ce choix. Il faut s’habituer au fonctionnement de l’appareil mais une fois qu’on a le coup de main, tout se passe à merveille. L’appareil nous guide en quelque sorte via l’écran, tant
en ce qui concerne le positionnement que pour le calibrage proprement dit.”
Pour finir, nous demandons à Yves Boyen s’il utilise fréquemment l’appareil et s’il est rentable?
“Il arrive qu’on ne l’utilise pas une semaine durant, et à d’autres moments, on y fait appel jusqu’à trois fois par jour. Tout dépend de ce qui nous arrive dans l’atelier. Si l’appareil est rentable? Je le formulerais autrement. Sans appareil, il est impossible de monter un pare-brise sur une voiture actuelle. Le calibrage fait tout simplement partie du travail. Vu de cette manière, l’appareil est rentable indirectement.”
Les rayons laser facilitent le positionnement.
Des ponts, mais pas que…
Cette année, MAHA fête son 55ème anniversaire. En plus d’un demi-siècle, le fabricant allemand est devenu un spécialiste des ponts élévateurs et des bancs d’essai. La dernière nouveauté : le banc d’essai de freinage Connect, qui est proposé en trois exécutions différentes. Mais MAHA va plus loin et propose également dans sa gamme un compteur de particules, ce qui est un appareil tout à fait actuel aujourd’hui, compte tenu des nouvelles procédures de mesures d’émission dans les stations de contrôle.
Justyna Wojtasek, responsable Marketing chez MAHA, est particulièrement fière d’annoncer que plus de 90% de la gamme MAHA provient des sites de production de la marque à Haldenwang (en Bavière). Elle tient aussi à attirer notre attention sur quelques développements innovants dans la gamme de produits.
MAHA a en effet développé un nouveau banc d’essai de freinage. La version baptisée ‘Connect Car’ est proposée en deux exécutions. La première est une exécution 3,5 tonnes/3 kW, adaptée aux garages appelés à tester épisodiquement des véhicules de poids ‘normal’. L’exécution 4 tonnes/4 kW est quant à elle conçue pour un usage plus intensif. Cette version
‘plus lourde’ se distingue sur tout par une solidité accrue, par un montage spécifique au sol et par des propulsions plus puissantes. Le dernier développement en date est le ‘Connect Truck’, dont le concept est assez comparable mais qui est indiqué pour tester le matériel roulant lourd. Toutes les applications de la série Connect présentent un montage so-
lide au sol et une structure modulaire, adaptable au fil du temps. Les connexions sont faciles à réaliser et le calibrage des appareils est tout aussi aisé. La lecture des résultats de tests se fait très facilement, que ce soit sur le module – sur le mode analogique ou numérique
- de l’installation ou encore sur d’autres appareils, tels qu’un ordinateur portable par exemple. La transmission des données se fait soit sans fil, soit par une connexion fixe.
Les compteurs de particules, qui permettent la mesure des émissions, sont des outils plus actuels que jamais. MAHA propose son appareil MPC, pour lequel l’entreprise fait usage de la technologie la plus récente, de type DC (Diffusion on Charging). La technologie DC est basée sur l’ionisation des particules de suie. Pour faire simple: les particules sont électriquement chargées, après quoi les particules ‘chargées’ traversent le dispositif et on mesure la charge électrique totale. Il est important de savoir que ce ne sont pas toutes les particules qui sont mesurées séparément, mais bien la charge électrique totale. C’est sur base de cette charge électrique totale que l’appareil mesure ensuite combien de particules sont ainsi passées. On tient compte ce faisant de la charge moyenne par particule. Pour la taille d’une particule, on part d’une moyenne d’environ 80nm (nanomètre). Un écart peut être observé, la charge étant moindre
avec une plus petite particule et plus importante avec une grosse particule. Deux plus petites particules seront alors comptées pour une et à l’opposé, une plus grosse particule sera comptabilisée comme deux. Un écart de 25% est généralement admis.
MAHA a donc opté pour la méthode de mesure DC et non pour la méthode CPC (Condensation Particle Counter). Avec la méthode DC, il ne faut pas utiliser de liquide toxique dans l’appareil, ce qui simplifie le fonctionnement et entraîne moins de risques. L’analyseur de gaz DC offre par ailleurs l’avantage d’être toujours prêt à l’emploi.
MAHA s’est taillé une solide réputation en matière de ponts élévateurs. Le pont élévateur à doubles ciseaux
TWIN F IV 3.5 A est particulièrement intéressant, parce qu’il ne nécessite pas de travaux de terrassement. Ce pont, destiné à lever des véhicules pesant jusqu’à 3,5 tonnes, peut dès lors être installé dans un atelier temporaire par exemple, ou être déplacé si nécessaire. Pour être en mesure d’utiliser l’élévateur pour des véhicules à garde au sol limitée, MAHA a prévu des rampes d’accès spéciales, ce qui facilite l’accès pour le véhicule
MAHA propose également toute une série de ponts éléva-
à doubles ciseaux, au niveau du sol.
teurs à deux colonnes placés au niveau du sol. Le client peut choisir entre différents systèmes : à bras articulés, à bras de support parallèles ou à chemin de roulement avec ou sans élévateur intégré. Certains de ces ponts élévateurs sont particulièrement indiqués pour les véhicules électriques, car la façon dont le véhicule est soutenu permet le démontage de la batterie HV. Les ponts élévateurs à bras articulés soulèvent (en fonction du type) 3,5, 4,5 ou 5,5 tonnes.
MAHA propose par ailleurs une gamme complète de ponts à colonnes mobiles, le plus récent étant de type C-RGA, équipé d’une batterie
lithium-ion. L’entraînement est électro-mécanique. Les colonnes de levage mobiles sont utiles, notamment pour lever du matériel roulant
lourd. Leur caractère mobile permet de les installer n’importe où dans l’atelier - et même à l’extérieur.
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Les débuts de MAHA (Maschinenbau Haldenwang) sont à situer en 1968. L’entreprise a été fondée par Winfried Rauch et Josef Shilling. D’un atelier à deux personnes, dont le premier produit a été un testeur de freins, MAHA a évolué jusqu’à être aujourd’hui une entreprise qui emploie un peu plus d’un millier de personnes. Si MAHA a connu une telle croissance, ce n’est pas seulement grâce à l’extension de sa gamme de produits et à l’exportation, c’est aussi le résultat de toute une série de reprises. Les autres marques au sein du groupe MAHA sont Slift, ATT, Gudat et Hetra. MAHA possède deux sites de production, l’un à Haldenwang en Bavière et l’autre à Pinckard aux Etats-Unis.
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Début février 2023, les quelque 200 invités du traditionnel dîner du nouvel An organisé par Eurorepar Car Service Belux ont suivi attentivement le discours de Jan Vanrijkelen. “Nous voulons devenir les plus grands”: les mots du responsable réseau étaient tout à fait clairs. Info Garage a eu l’occasion de s’entretenir avec lui en fin de soirée.
Nous venons d’entendre un discours de nouvel an très ambitieux.
“Une ambition qui est fondée. La demande est de plus en plus forte en matière d’entretien et de réparation et les concessionnaires de marques n’arrivent plus à suivre. Autrement dit, ce sont là autant d’opportunités pour notre réseau, à nous de les exploiter. Nous avons travaillé plusieurs années à installer l’image d’Eurorepar Car Service et notre point fort, c’est que nous facilitons les garages. Un message qui commence à porter ses fruits.”
“Bien sûr, nous avons encore des défis à relever: convaincre de nouveaux garages de ce que nous avons à offrir, faire connaître la marque encore davantage, etc, etc, mais je suis convaincu que nous avons les bons arguments pour y arriver.”
“Nous ne cessons d’innover: nous disposons d’une hotline à consulter pour les questions techniques, nous avons démarré un service d’assistance routière et nous préparons actuellement un « digital back end » pour nos garages, susceptible d’améliorer les relations client, en expédiant notamment les mails en mode automatique.
Tout cela dans l’objectif d’un service encore amélioré et d’une croissance durable.”
Vos liens avec Stellantis: un atout ou un écueil?
“Je dirais plutôt un atout. Stellantis est un grand groupe, qui couvre environ 25% du marché. Nous connaissons ces voitures par cœur et sommes en mesure de fournir toutes les pièces d’origine. Mais nous sommes également prêts pour les autres marques. D’ailleurs, le développement de pièces détachées pour le marché secondaire compte énormément dans la stratégie qui est celle de Stellantis. Nous parvenons à couvrir une très grande part du marché avec notre Service Box Multi-Brand et nos propres Eurorepar Parts – soit 20.000 pièces.”
Que prévoyez-vous pour 2023?
“Nous allons évidemment renforcer la notoriété d’Eurorepar Car Service et poursuivre nos investissements dans la numérisation et la formation technique de nos garages. Mais nous explorons également la possibilité/nécessité d’autres collaborations. Notamment avec Wesp, qui examine par le biais de l’analyse des données
comment nos garages indépendants peuvent accroître leur rendement. J’insiste particulièrement sur l’aspect coopératif: nous évaluons le programme en collaboration avec le réseau, car je ne suis pas partisan d’une approche top-down.”
“Nous misons d’autre part sur la durabilité. Le monde devient de plus en plus circulaire, et ceci pour des raisons tant écologiques qu’économiques. En effet, les pièces déjà fabriquées sont les moins chères et émettent le moins de CO2.”
Découvrez la gamme SUS-
L’électrification joue-t-elle un rôle important dans votre stratégie?
“Oui, mais nous suivons le rythme du parc automobile. L’électrification de la flotte est en marche, c’est un fait. Mais je pense que les conducteurs de VE ne vont pas venir chez nous - ou chez nos concurrents- pendant la période de garantie de leur véhicule. Nous nous préparons bien entendu à cette étape et nous serons prêts quand cela sera nécessaire.
C’est en collaboration avec Siemens Energy et ExxonMobil que Porsche investit dans le développement et la production des carburants synthétiques appelés eFuels. Une nouvelle usine a même été installée en Patagonie (Chili), un investissement qui intervient après qu’Audi ait stoppé le développement des eFuels pour concentrer tous ses efforts sur l’électrification.
A dater de 2035, la vente de voitures à carburant fossile sera interdite en Europe. Seules les nouvelles voitures à zéro émission de CO2 pourront encore être vendues à partir de cette date. Compte tenu des technologies actuelles, cela veut dire que l’électrification de notre parc automobile est inéluctable. Il y a deux possibilités pour les VE: soit l’électricité est stockée dans une batterie performante dans le véhicule, soit l’on utilise une pile à combustible dans laquelle l’électricité est produite avec de l’hydrogène. Cet hydrogène est stocké sous forme de gaz hautement comprimé. Faire le plein avec l’hydrogène, c’est comme faire le plein avec du GNC.
Pas encore prêts…
Mais avant d’en arriver là, de nombreuses étapes doivent encore être franchies. Commençons par les VE à batterie. Pour la production de batteries, le monde entier dépend fortement de matières premières qui sont principalement extraites en Chine. Par ailleurs, la disponibilité des bornes de recharge est insuffisante, et ce non seulement dans notre pays mais surtout dans des pays tels que la France, l’Espagne, l’Italie… Le nombre de VE d’un prix abordable est aussi restreint. Si l’on parle dès à présent d’une croissance de l’électrification, elle est surtout due aux voitures mises en circulation par les entreprises, donc les voitures de société.
L’alternative de l’hydrogène com-
biné à une pile à combustible est une autre possibilité. Mais là aussi, le prix joue les trouble-fête. De plus, il faut de l’énergie - lisez de l’électricité - pour produire de l’hydrogène. Cette électricité doit être produite de préférence sur un mode durable – énergie solaire ou éolienne par exemple. Est-ce que cela ouvre la porte à l’utilisation des eFuels, ces carburants synthétiques qui ne nécessitent aucune ressource fossile? Les eFuels peuvent parfaitement être utilisés dans des moteurs thermiques.
Audi était impliqué dans la fabrication des premiers carburants synthétiques - ou eFuels – sur base de biomasse en combinaison avec l’hydrogène. Dans le processus de production dans
lequel Porsche a investi, le CO2 est capté dans l’environnement, ce qui, en combinaison avec l’hydrogène, donne un carburant utilisable dans un moteur thermique. L’hydrogène est produit d’une manière durable. C’est dans ce but que Porsche investit en collaboration avec Siemens Energy et ExxonMobil dans une unité de production implantée au milieu de nulle part en Patagonie. Il s’agit paraît-il du lieu idéal pour maintenir un parc éolien en activité en continu.
La combustion d’un eFuel libère encore du CO2 , mais l’argument avancé par Porsche, c’est que cela est compensé en utilisant comme base du CO2 de l’atmosphère. Autrement dit, les émissions de CO2 sont compensées par ce qui est capté. En vertu de ce raisonnement, un eFuel serait quasiment neutre en CO2. De ce fait, l’utilisation des eFuels en Europe est matière à controverse. A dater de 2035, les nouvelles voitures ne pourront plus émettre de CO2. On est toutefois en droit de se demander si l’UE tiendra compte de cette compensation grâce à la captation de CO2. Par ailleurs, la combustion libère
d’autres substances, qui sont limitées en vertu des normes Euro. Nous pensons particulièrement aux oxydes d’azote.
La réduction de l’utilisation des moteurs thermiques est surtout une donnée européenne. Dans nombre d’autres pays et régions, les moteurs thermiques seront encore utilisés pendant un bon bout de temps. Mais même chez nous, il faudra encore pas mal de temps après 2035 avant que le parc automobile tout entier soit électrifié. Dans ce sens, les eFuels ont encore un avenir. Les autres domaines d’application sont le sport automobile, la conduite d’un oldtimer, l’aviation, le transport maritime…
L’initiative e-Fuel Alliance a été mise sur pied en vue du développement et de la production de carburants neutres pour le climat. Plus de 50 entreprises s’y sont ralliées, dont Mazda, Iveco et Alpina. Mais également des sous-traitants importants tels que Bosch, ZF, Mahle,… et bien entendu des compagnies pétrolières, ExxonMobil en tête.
Une garantie pneus qui rassure
‘First Stop’ est un réseau européen de spécialistes du pneu, avec plus de 2000 points de vente. Ils sont même plus de 6000 au niveau mondial, même s’ils n’arborent pas tous la même enseigne du fait de diverses reprises.
Au sein du Benelux, on dénombre 77 points de vente ‘First Stop’, tous gérés par des entrepreneurs indépendants sous la forme d’une formule ‘soft-franchise’. En Belgique, ‘First Stop’ est surtout connu comme spécialiste du pneu, tandis qu’aux Pays-Bas et en France, différentes activités de garage sont regroupées sous un seul toit afin de proposer aux clients un service ‘one-stopshopping’.
En tant que réseau de distribution de la marque de pneumatiques Bridgestone, First Stop cherchait un moyen de faire la différence. “Une garantie sur les pneus, c’est une valeur ajoutée rassurante pour l’utilisateur final et un argument de vente solide, susceptible d’accroître les parts de marché” conclut Dimitri Goethals, Retail Business Development Manager Benelux, qui s’est donc mis en quête d’un partenaire compétent en la matière. “RealGarant sortait du lot, vraiment. Leur
approche a été déterminante pour notre décision, car nous tenons à éviter à nos spécialistes du pneu d’avoir à se soucier de toutes sortes de procédures compliquées et des obligations d’enregistrement. Pour le réseau, la garantie sur les produits Bridgestone est un sérieux atout, sans charge de travail supplémentaire”.
Real Garant fait partie de Real Garant Versicherung AG, une compagnie d’assurance qui accumule plus de 35 ans d’expérience dans le secteur au-
tomobile. Avec une présence dans 17 pays européens – en Belgique depuis 2003 - Real Garant propose dans 33 pays des solutions de garantie aux constructeurs automobiles de renoms, ainsi qu’aux importateurs et aux concessionnaires automobiles toutes marques. Cela en fait un partenaire expérimenté, capable de développer des solutions d’assurance adéquate, en fonction des objectifs du demandeur.
Couverture européenne et traitement automatisé des sinistres
L’assurance garantie pneus a été introduite en octobre 2022 pour tous les pneus Bridgestone – pour voitures particulières, SUV et fourgonnettes – vendus et montés au sein du réseau Benelux ‘First Stop’. La période de garantie est de 24 mois.
Dimitri Goethals: “Cette garantie offre une couverture européenne et une indemni-
té procentuelle sur base de la durée d’utilisation. De la sorte, les gros rouleurs ne sont pas désavantagés. L’indemnité est dégressive: de 100% en cas de dommage au cours des six premiers mois, à 75% après un an, et à 25% au cours des derniers mois de la période de garantie. La réparation ou le remplacement seront arbitrés, en fonction du dommage. Lorsque la réparation est envisageable, elle est remboursée à 100% tout au long des 24 mois”. Un pneu ne peut évidemment bénéficier de la garantie que si la profondeur minimale de la bande de roulement (1,6 mm) est encore présente et
si le client se présente dans un point de vente ‘First Stop’.
“Le client qui achète des pneus Bridgestone assortis de la garantie de 24 mois reçoit une carte avec un QR-code” explique Dimitri Goethals. “En cas de dommage, il scanne le QR-code pour démarrer la procédure. On lui demande alors de remplir le formulaire de déclaration et de faire parvenir la facture d’achat ainsi que celle de la réparation/du remplacement auprès d’un point de vente ‘First Stop’, en Belgique ou à l’étranger. La procédure est ensuite entièrement automatisée, et en liaison directe avec RealGarant”.
Les sociétés de location de voitures et les auto-écoles n’ont pas droit à cette offre très intéressante. Par contre, la garantie pneus est bien accordée aux flottes gérées par des entreprises (pas de leasing). “C’est là un autre atout commercial pour nos membres ‘First Stop’, puisque cela leur permet d’attirer d’im-
portants clients potentiels” poursuit Dimitri Goethals. “Pour tous nos clients, il est clair que notre garantie pneus Bridgestone est un élément qui rassure, en plus des qualités du produit lui-même et du niveau élevé de services des points de vente First Stop”.
La période des fêtes de fin d’année fait diversion et dans une telle ambiance, le changement de nom de Brezan Autoparts, devenu PartsPoint, est sans doute passé quelque peu inaperçu. En même temps que le nom, ce sont le look et le feeling qui ont changé, un processus qui a démarré aux Pays-Bas il y a plus d’un an et qui s’est achevé en Belgique fin octobre 2022. Filip Cavens (Marketing Manager) et Hans Hermans (Directeur Commercial) nous ont confié que l’ambition va bien au-delà d’un nouveau look.
Le problème, avec des reprises et des fusions successives, c’est qu’on finit par se retrouver avec une multitude de noms de marques, chacune avec sa propre histoire et sa personnalité. C’est déroutant pour le client, qui ne sait plus très bien à qui il a affaire. Mais cela perturbe aussi les collaborateurs marketing, qui ne savent plus quel nom mettre en lumière. Dans le cas d’Alliance Automotive Group Benelux, qui fait partie du géant américain Genuine Parts Company, l’affaire a été réglée il y a plus
d’un an. Le réseau de grossistes, qui compte plus de 100 points de vente aux Pays-Bas et 25 autres en Belgique, est dorénavant connu sous un seul nom: PartsPoint.
Filip Cavens: “Le changement de nom – accompagné d’un changement de look – a d’abord commencé aux PaysBas. Au début, nous avons hésité à abandonner le nom ‘Brezan’ en Belgique. Il faut dire que Brezan était un nom connu dans notre pays, mais au final, nous avons eu raison d’opter pour PartsPoint. Nous nous sentons de ce
fait intégrés à un grand groupe, ce qui inspire confiance, également à nos nombreux clients. N’oublions pas que dans le monde entier, Genuine Parts Company est le principal acteur dans le domaine de la distribution de pièces automobiles. En Europe, PartsPoint est en deuxième position. Nous sommes aussi « Certifiés Durables ».
Il s’agit là du label de durabilité le plus important dans le secteur de la mobilité. La certification est assurée par des spécialistes indépendants. Cette certification, objective à
100%, applique la norme ISO 26000 internationale pour la durabilité. Nos clients savent donc que leur grossiste allie connaissances et expérience, que les produits commercialisés sont de grande qualité, que les livraisons sont rapides et que nous les soutenons. Même si nous faisons partie d’un grand groupe international, nous tenons absolument à notre caractère familial et à l’interaction conviviale avec nos clients. Avec un réseau de 25 points de vente, nous sommes proches de nos clients. Nous sommes
fortement impliqués dans le réseau social local et nous organisons à intervalles réguliers des activités locales. Cela nous permet de tisser des liens avec nos clients, qui se sentent concernés par leur grossiste. En découle une forme d’esprit d’équipe, voire de famille. Ces contacts informels nous permettent aussi de mieux percevoir ce qui se passe dans l’atelier, quels sont les besoins et les problèmes éventuels, pour ensuite y remédier si besoin est.”
Hans Hermans ajoute: “Nous ne nous contentons pas de
vendre des pièces et de l’outillage aux garages. Nous avons également un rôle de support, que nous assumons de manière très concrète. Filip vous a parlé de l’importance du contact personnel avec les garagistes qui sont clients chez nous. Mais nous leur proposons également des solutions de soutien structurelles. Nous proposons notamment deux formules de garage, la plus poussée étant la formule CarProf, tandis que la formule Full Car Service est plutôt indiquée pour les garages de plus petite taille. Nous prévoyons au minimum une assistance marketing et la possibilité d’être retrouvés
facilement, sur la toile notamment. Mais nous pouvons également proposer des actions locales et de communication. L’engagement mutuel est bien plus poussé pour les garages CarProf. On compte actuellement 18 garages CarProf, qui profitent notamment d’un service de rentabilité contrôlé par WESP. Grâce au service de rentabilité, un garage peut comparer son rendement à celui des autres garages. Des points d’action peuvent ensuite en être tirés par exemple. Autre point au moins aussi important : TECH360 est un système complet d’assistance et de formation techniques. Les
formations sont organisées soit en groupe, soit individuellement. Les sujets abordés sont fonction des besoins du moment. Actuellement, l’attention porte surtout sur les véhicules électriques, les hybrides et l’ADAS. TECH360 prévoit par ailleurs un support technique concret en cas de problème en atelier. Un simple coup de fil suffit et au besoin, un intervenant se rend sur place dans le garage. Sachez qu’un garage qui fait appel à TECH360 ne doit pas nécessairement être affilié à l’une de nos deux formules de garage.”
Partspoint Technics va encore plus loin que TECH360. En Belgique, Partspoint Technics est implanté à Vilvorde. Il s’agit pour l’essentiel d’un centre technique et de diagnostic, qui assiste concrètement les garages pour tout ce qui a trait au diagnostic et aux adaptations et interventions techniques. Partspoint Technics est utile pour aplanir une culasse, sabler le système d’induction, démonter des injecteurs défaillants, mais aussi et notamment pour réparer des ECU et contrôler des injecteurs. En proposant des appareils dont ne disposent pas toujours les garages, Partspoint Technics est en mesure de prendre en
charge temporairement la tâche d’un garage pour une opération précise.
Hans Hermans donne un exemple: “Pour remplacer un roulement de roue à l’avant des Mercedes Sprinter (906), Vito, Viano (W639) et du Volkswagen Crafter (2E), il convient d’utiliser un outil spécial. Pourtant, de telles réparations ne sont pas fréquentes et l’appareil en question est coûteux. PartsPoint Technics dispose de l’outil, mais aussi des connaissances et du savoir-faire pour l’utiliser efficacement. Nous arrivons ainsi à aider concrètement, et à faire en sorte que la réparation soit exécutée avec efficacité et à un juste prix.”
NAPA
Actuellement, PartsPoint possède 25 points de vente en Belgique, dont 4 seulement en Wallonie. “Cela veut dire que nous sommes prêts à étendre notre réseau, particulièrement en Wallonie, ” ajoute Hans Hermans. Tous les centres sont décorés de manière similaire et sont reconnaissables d’emblée. A noter: le logo NAPA qui fait partie de l’aménagement extérieur.
Filip Cavens précise à ce sujet: “Nous faisons partie d’un grand groupe américain - Genuine Parts Company. Notre propre marque, NAPA, détient une part de marché de 85% aux Etats-Unis, ce qui n’est
pas rien ! Aujourd’hui, 75% des marchandises commercialisées par GPC aux EtatsUnis portent le logo NAPA. Outre-Atlantique, NAPA est également une marque réputée comme sponsor de la Nascar. Aujourd’hui, il est prévu de commercialiser NAPA en Europe également. Pour ce faire, il convient évidemment d’adapter l’offre des pièces au marché et au parc automobile européens. Pour le moment, nous proposons 14 gammes de produits NAPA et une nouvelle gamme - les filtres - devrait être disponible bientôt. Si NAPA est une marque propre, cela ne veut pas dire pour autant qu’il s’agit d’un label de moindre qualité. La qualité est ici bien pré-
sente, c’est la raison pour laquelle nous assortissons les pièces NAPA d’une garantie de 3 ans plutôt que 2 ans, de quoi rassurer les garagistes. Autre avantage, le fait que nos pièces NAPA sont en moyenne 20% moins coûteuses. Nous avons même un ambassadeur NAPA, qui n’est autre que Tom Boonen.”
D’après Hans Hermans, on observe un bel enthousiasme chez PartsPoint: “Une chose est sûre : l’ambition ne manque pas au sein du groupe. En ce qui concerne la Belgique, nous envisageons d’étendre notre réseau,
particulièrement en Wallonie. Nous tenons également à renforcer encore et toujours notre rôle de soutien, avec TECH360 et Partspoint Technics. Et nous accueillons avec plaisir de nouvelles initiatives, dont TyresOn. Nous allons en effet fournir des pneus aux garages par le biais de notre réseau. Mais ici aussi, il s’agit de bien plus que de la simple vente de pneus. Nous allons organiser des formations sur le thème des pneus et de leur montage. Pour une taille de pneu donnée, il existe de nombreux types différents en fonction de leur vitesse, de leur poids, selon qu’ils sont ‘all season’, hiver/ été et/ou selon qu’un pneu
est ou non indiqué pour un véhicule électrique ou une voiture à moteur thermique. Il faut absolument que le garagiste propose le bon service. Nous nous attendons à remplacer beaucoup plus de pneus à l’avenir, précisément compte tenu de l’électrification. En effet, les voitures électriques sont plus lourdes et développent plus de couple - deux facteurs qui accélèrent l’usure des pneus.”
Lorsque nous l’interrogeons sur les éventuelles initiatives futures de PartsPoint, Filip Cavens répond: “Je ne peux pas en dire plus pour le moment, mais vous allez certainement entendre parler de nous.”
Le magazine du garagiste et du carrossier
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