EXPÉRIMENTER LE PLEIN AIR TOUT CONFORT AVEC LE «PRÊT-À-CAMPER» {pages 20-21} LA BONNE BOUFFE DE RUE S’INVITE À JUSTE POUR RIRE
GUY A. SE TRANSFORME
EN MAGOUILLEUR DANS BO$$É INC.
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MONTRÉAL
Mercredi 27 juillet 2011 journalmetro.com
Remboursement controversé à Vision Montréal
Montréal. Centre Bell
Le parti de Louise Harel s’est fait rembourser 52 000 $ en 2010 pour payer les intérêts sur un prêt de 1 M$ POLITIQUE. Vision Montréal, le parti dirigé par Louise Harel, a réclamé et obtenu, en 2010, un remboursement de 52 000 $ qui a servi à éponger les intérêts sur un prêt de 1 M$ contracté lors des élections municipales de 2009. Cette somme a été puisée à même l’enveloppe destinée aux frais de recherche et de secrétariat des partis politiques de la Ville de Montréal. Projet Montréal, qui a fait cette découverte après avoir fait une demande d’accès à l’information, a exigé que Vision Montréal rembourse les 51 966,77 $ payés par l’argent des contribuables. «Je ne vois pas pourquoi les Montréalais devraient payer des taxes pour maintenir en vie un vieux parti politique qui est en faillite, a lancé hier le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. Les 52 000 $ que Vision Montréal a obtenus, c’est l’équivalent d’un respirateur artificiel. Si on lui demande de les rembourser, le parti en sera incapable. Il devra alors se mettre en faillite et disparaître.» Richard Bergeron a invité l’administration du maire Gérald Tremblay à réclamer, à son tour, le remboursement des sommes allouées pour rembourser les frais d’intérêt sur la dette.
Paul McCartney a proposé hier un concert quasi identique à celui de l’été dernier. STEEVE DUGUAY/MÉTRO
L’indémodable Sir Paul Paul McCartney a charmé ses 16 993 fans montréalais hier lors du premier de ses deux concerts dans la métropole. Le légendaire musicien britannique a poussé la note avec une énergie communicative. L’icône de 69 ans a alterné entre les compositions des Beatles, celles des Wings et les siennes. {page 15}
Les abeilles emménagent au centre-ville Des ruches vouées à la recherche ont été installées au Complexe des sciences de l’UQAM {page 03}
«Il y a deux scandales dans cette affaire. Le premier, c’est que Vision Montréal a osé présenter des demandes de remboursement pour les intérêts sur sa dette. Le deuxième, c’est que les fonctionnaires de la Ville ont accepté de les rembourser.» RICHARD BERGERON, CHEF DE PROJET MONTRÉAL
Louise Harel a répliqué au chef de Projet Montréal par voie de communiqué et a affirmé que les remboursements obtenus étaient légitimes. «Les intérêts sur les emprunts font partie des dépenses admissibles et ils ont été intégrés à même nos frais d’opération de manière transparente et légale», a soutenu Mme Harel. L’article de la Loi sur les cités et villes qui traite des remboursements de dépenses accordés aux partis politiques prévoit pourtant qu’aucune dépense faite dans le cadre d’activités électorales ne peut être remboursée avec l’argent devant servir à des fins de recherche ou de secrétariat. JENNIFER GUTHRIE
Le béton fait la vie dure à la flore urbaine
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