LES FOO FIGHTERS SORTENT L’ARTILLERIE LOURDE POUR LEURS FANS {page 16}
QUAND LA TECHNOLOGIE SE MARIE AU DESIGN DE MODE
LA MOBILISATION POLICIÈRE CALME LES ÉMEUTIERS EN ANGLETERRE {page 10}
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MONTRÉAL Jeudi 11 août 2011 journalmetro.com
Rechute des marchés
Coupe Rogers. Défaite
Le répit a été de courte durée sur les marchés boursiers Tous les indices ont fortement chuté, sauf à Toronto
PAUL CHIASSON/LA PRESSE CANADIENNE
Nadal déjà éliminé
La deuxième raquette mondiale a subi un revers de fortune inattendu hier au Stade Uniprix. Après un long match, le Marjorquin Rafael Nadal a dû céder la victoire au Croate Ivan Dodig (41e) par la marque de 1-6, 7-6 (5), 7-6 (5). {page 33}
Seul le TSX résiste TSX (Toronto) : + 0,73 % Dow Jones (New York) : - 4,62 % NASDAQ (New York) : - 4,07 % FTSE (Londres) : - 3,05 % DAX (Francfort) : - 5,13 % CAC 40 (Paris) : - 5,45 % chés, effrayés depuis des semaines par le spectre d’une nouvelle récession aux États-Unis. Ces craintes se conjuguent à celles d’une extension de la crise de la dette en Europe. Par ailleurs, le président américain Barack Obama a rencontré hier à la MaisonBlanche le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, pour discuter des difficultés de l'économie américaine. ASSOCIATED PRESS Le ministre Flaherty reste optimiste {page 08} «Plus tard, la fin du monde», assure le chroniqueur René Vézina {page 14}
L’agrile du frêne étend son territoire
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Le numéro deux mondial, Rafael Nadal, a été défait hier par le Croate Ivan Dodig.
ÉCONOMIE. Les annonces de la Réserve fédérale américaine (Fed) n’auront pas calmé longtemps les marchés financiers. Les Bourses européennes, qui avaient ouvert en hausse, ont terminé sur de nouvelles pertes hier, tandis que Wall Street repartait à la baisse malgré le net rebond de la veille. À New York, le Dow Jones a plongé de 520 points, à 10 720. Le NASDAQ a cédé plus de 100 points, à 2 381. À Londres, le FTSE a clôturé en baisse de 158 points à 5 007, et à Francfort, le DAX a chuté de 304 points à 5 613. Après une journée très agitée à la Bourse de Paris, le CAC 40 a perdu 173 points, à 3 003. Les valeurs bancaires françaises ont été particulièrement malmenées, entraînées par la Société Générale qui a dévissé, terminant à - 14,7 %. Une dégringolade alimentée par les craintes que la France puisse perdre son AAA, la meilleure note pour une dette souveraine, et par les inquiétudes sur la santé financière des banques. Les inquiétudes sur la croissance américaine ont fini par l’emporter hier sur les mar-