UN PROBLÈME FORCE LA STM À REVOIR LES DÉLAIS DE REMISE EN SERVICE DES TRAINS AZUR DANS LE MÉTRO page 3
Entrevue
Étincelles de mobilisation La tournée Faut qu’on se parle a révélé un besoin d’engagement politique chez les citoyens, selon la militante Aurélie Lanctôt. pages 4-5
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MONTRÉAL
SPÉCIAL ST-VALENTIN DU 11 AU 17 FÉVRIER COMBO (ASSIETTE + BREUVAGE)
Mardi 14 février 2017 journalmetro.com
MARIO BEAUREGARD/MÉTRO
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LE QUOTIDIEN LE PLUS LU DU GRAND MONTRÉAL
Trudeau et Trump souhaitent être de bons voisins Politique. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et le président américain, Donald Trump, souhaitent miser sur le «lien spécial» qui unit les deux pays pour bâtir une relation économique et politique solide.
VALENTINS post-humains
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À l’ère de la réalité virtuelle, des applications et de la robotique, le rapport des gens à l’amour et à la sexualité est appelé à changer radicalement. En ce jour de la Saint-Valentin, regard sur les relations qui s’affranchissent du contact humain. / METRO WORLD NEWS
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«Nous ne nous entendrons pas toujours sur tout, mais nous serons toujours des voisins modèles», a rappelé M. Trudeau, qualifiant la rencontre de très productive. Les deux chefs d’État ont profité de cette journée de travail pour créer le Conseil canado-américain sur l’avancement des femmes
d’affaires et entrepreneures et développer un programme de lutte contre le trafic d’opioïdes. Interrogé sur l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), le président Trump a indiqué que la situation des échanges commerciaux avec le Canada était bien «moins sévère» que celle avec le Mexique. «Nous avons une excellente relation commerciale avec le Canada, a-t-il assuré. Nous l’ajusterons. Nous avons des idées pour rendre les échanges plus efficaces et plus rapides.» De son côté, M. Trudeau n’a pas voulu dire s’il avait obtenu des garanties sur le maintien de l’ALENA, un traité que M. Trump a dit à plusieurs reprises souhaiter revoir, voire annuler. Sur la question de l’immigration, le premier ministre canadien n’a pas évoqué les politiques de son homologue américain, disant que les Canadiens ne voulaient pas le voir «faire la leçon» à un autre pays sur sa manière de gouverner. «Il y a des moments où nous
DITES BONJOUR AUX TRAITEMENTS EFFICACES
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Continuité
«Pour l’instant, le message des deux leaders est de dire que cette relation va continuer comme dans les dernières décennies.» Frédérick Gagnon, titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand, directeur de l’Observatoire sur les États-Unis et professeur au département de science politique de l’Université du Québec à Montréal
avons eu des approches différentes, s’est-il contenté de dire, citant l’accueil des réfugiés syriens. Nous avons toujours assumé nos responsabilités en matière de sécurité. Nous souhaitons être un exemple.» M. Trump n’a pas non plus critiqué les politiques migratoires canadiennes. «Nous voulons laisser entrer les personnes qui aiment notre pays, mais pas les mauvaises personnes», a-t-il simplement déclaré. «On a voulu minimiser les conflits possibles» page 12