En route vers la revanche Battues en finale en 2015 et en 2016, les Canadiennes de Montréal, guidées par Sarah Lefort notamment, entament les séries demain. page 24
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Des personnes mal intentionnées offrent en ligne des chats de race avant de réclamer finalement des centaines de dollars. page 3
Montréal
Jeudi 23 février 2017 journalmetro.com
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Le quotidien le plus lu du grand Montréal
Le SPVM encore dans la tourmente Politique. Accusé notamment de falsification de preuves, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) est dans la mire des différents partis politiques montréalais et provinciaux. romain schué
romain.schue@journalmetro.comtc
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terres
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La NASA a annoncé hier la découverte d’un groupe de sept exoplanètes d’une taille comparable à la Terre et tournant autour d’une même étoile, Trappist. Trois de ces planètes pourraient avoir de l’eau liquide à la surface. / nasa
copacabanasucre Jusqu’à 1 million $ à gagner avec Le Duel *
* Certaines conditions s’appliquent.
Après les révélations faites mardi soir à l’émission J.E., dans laquelle d’ex-policiers dénoncent, preuves en main, de faux rapports et la fabrication d’allégations au sein du service des enquêtes internes du SPVM, celui-ci traverse une nouvelle crise, quelques mois après le scandale concernant l’espionnage de plusieurs journalistes. Alors que le ministre provincial de la Sécurité publique, Martin Coiteux, et le patron du SPVM, Philippe Pichet, ont demandé à la Sûreté du Québec d’intervenir, la Fraternité des policiers évoque la nécessité d’«un profond redressement».
«Personne ne peut prétendre qu’il n’y a pas de problème, a fait savoir hier André Gendron, vice-président du syndicat. Nous demandons au ministre de prendre les moyens pour le régler.» Du côté de Québec solidaire, on évoque une «crise de confiance grave» et une situation «déplorable». «Voilà 10 ans qu’il règne au SPVM une culture malsaine qui permet aux scandales de se multiplier», estime le député Amir Khadir. Ce dernier dénonce un «climat général d’impunité» dans les hautes sphères du corps de police montréalais. Un sentiment partagé par Projet Montréal, visant notamment le maire de la métropole, qui a une part prépondérante dans la nomination du chef de la police. «Il y a une culture du secret qui est défendue par Denis Coderre et qui l’était par ses prédécesseurs, raille Alex Norris. Cette culture se répercute dans tous les rangs de l’organisation et donne lieu à des clans, à des rivalités et au non-respect des règles établies. On a vraiment besoin de plus de transparence.» Alors que l’opposition montréalaise réclame «d’urgence»
Réaction
«S’il faut faire le ménage, qu’on fasse le ménage.» Denis Coderre, maire de Montréal
une réunion de la Commission de la sécurité publique «pour y entendre Philippe Pichet et ses adjoints», Denis Coderre se veut plus mesuré. «Je n’en vois pas la pertinence actuellement. On va laisser les policiers faire leur travail. Ce qui est important, c’est de faire toute la lumière làdessus», a-t-il répondu. Ce dernier ne s’inquiète pas de l’image projetée par le SPVM dans l’opinion publique. «L’important, c’est d’être transparent. Ces faits troublants demandent une réaction et une action. C’est exactement ce qui a été fait», a précisé le maire de Montréal, indiquant néanmoins être prêt à prendre des actions selon les résultats de l’enquête de la SQ. Le BEI ne fera pas enquête page 5