Rêver en couleur à la planète rouge La série Mars, de National Geographic, imagine l’éventuelle colonisation de l’astre voisin de la Terre. page 12
Centre-ville
Hockey
Douze nouvelles toilettes publiques
place à la fièvre des séries dans la lnh
La Ville accorde aujourd’hui un contrat de 3,1 M$ à une firme qui a dû faire l’objet d’une enquête de l’inspecteur général. page 3
La longue conquête de la Coupe Stanley s’amorce demain. Analyse des forces en présence dans l’Association Est. page 18
Montréal
L’auteure jeunesse Isabelle Roy a conçu comme un film d’action le deuxième tome de la série Hackers. page 14
Le quotidien le plus lu du grand Montréal
Trudeau évoque une paix syrienne sans El-Assad Guerre. Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a soutenu hier que le président El-Assad ne faisait pas partie de la solution de paix et de stabilité en Syrie.
Coup de pouce au
scooter électrique
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Québec offre désormais un rabais de 500 $ à l’achat d’un scooter électrique. Le gouvernement souhaite ainsi atteindre plus rapidement l’objectif de 100 000 véhicules électriques en circulation dans la province d’ici 2020. / josie desmarais/métro
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«Quelqu’un qui est coupable de crimes de guerre contre [...] ses propres citoyens ne peut pas faire partie d’une solution à moyen et long terme», a-t-il dit, de passage en Normandie. Justin Trudeau estime par ailleurs que la Russie et l’Iran, en raison de leur soutien au président Bachar el-Assad, doivent assumer une part des responsabilités pour l’attaque chimique perpétrée contre des populations civiles en Syrie la semaine dernière. «Les pays qui ont soutenu le régime d’El-Assad ont une part de responsabilité dans
l’attaque chimique contre des innocents», a-t-il affirmé. Une attaque à l’arme chimique a fait près de 90 morts, mardi dernier, dans le nord-ouest de la Syrie. L’opération a rapidement provoqué la riposte des États-Unis, qui ont lancé jeudi 59 missiles sur une base aérienne syrienne, tuant 9 personnes. Le premier ministre a néanmoins admis que l’Iran et la Russie doivent faire partie de la solution. Après avoir discuté avec les leaders des États-Unis, de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni, M. Trudeau a estimé que tous s’entendent sur la nécessité de constituer un front «uni, solidaire et ferme» pour mettre un terme au conflit en Syrie et ne pas répéter les «terribles erreurs» du passé. En conférence de presse à Juno Beach, M. Trudeau ne s’est pas avancé sur la façon de déloger le président syrien du pouvoir, ni sur d’éventuelles représailles contre la Russie pour son soutien indéfectible
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Commémorations Le premier ministre participe depuis dimanche, en France, à deux commémorations pour souligner le sacrifice de soldats canadiens tombés au combat pendant les deux guerres mondiales du XXe siècle. • Après avoir souligné le centenaire de la bataille de Vimy, dimanche, M. Trudeau a visité Juno Beach hier, où des milliers de soldats canadiens ont pris part au débarquement de Normandie, lors de la Seconde Guerre mondiale.
au régime de Bachar el-Assad. Le Canada, de concert avec ses alliés, demeure cependant ouvert à l’idée d’imposer de nouvelles sanctions à Moscou, a indiqué M. Trudeau. la presse canadienne
La Russie prévenue de l’attaque chimique page 9
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Un roman où tout déboule à toute vitesse
Mardi 11 avril 2017 journalmetro.com