WEEK-END. Abu, Au bout du périple
Mega venTe finale du ManufacTurier
image : gray matter productions ! Montage : Emmanuelle Houle /métro
Le documentaire présenté au Festival Fantasia aborde les thèmes de l’immigration et de l’homosexualité. page 10 Montréal
Week-end 14-16 juillet 2017 journalmetro.com
Le quotidien le plus lu du grand Montréal
romain schué
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Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques enchaîne les blagues et les réflexions, en commence une avant de finir la prédécente. Portrait d’un comédien brillant et féru d’art avant son passage au Zoofest, à partir de ce soir. / josie desmarais/métro
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«L’expérience n’a pas été concluante. Nous avons mis fin à son contrat», a indiqué hier par courriel Jacques-Alain Lavallée, attaché de presse au sein de la Ville. Présenté à la presse le 26 avril dernier, Pierre Lacasse devait «donner l’heure juste», selon Denis Coderre. «Il va
être notre GPS humain», avait clamé le maire de Montréal. Après avoir passé 28 ans à titre de chroniqueur à la circulation à la radio, M. Lacasse, 65 ans, était sorti de sa retraite afin, comme l’expliquait la Ville, de conseiller les élus, de collaborer avec les responsables des travaux publics et d’agir comme porte-parole de la Ville en matière de circulation. Son salaire avait été fixé à environ 100 000 $. Le montant des indemnités de départ accordées à M. Lacasse, qui n’a pas donné suite aux appels de Métro hier, n’a pas été communiqué. La Ville «n’a pas pour pratique de commenter publiquement les dossiers d’employés», a précisé l’administration. Mais alors que la Ville s’apprête à battre d’ici la fin de l’année un record de travaux dans la métropole, avec 550 km de rues, d’égouts et de pistes cyclables qui seront retapés en 2017 (29 % de plus qu’en 2016), Pierre Lacasse avait avoué son scepticisme. «Y a de l’ouvrage à
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«Monsieur fluidité» viré par la Ville Montréal. Surnommé «Monsieur fluidité» par Denis Coderre, l’ex-chroniqueur de radio Pierre Lacasse a été contraint de quitter son poste de chargé de mission circulation moins de trois mois après son arrivée.
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«Encore une fois, les Montréalais vont payer cher les improvisations du maire Coderre. Plutôt qu’un GPS humain, qu’on a tous sur notre téléphone intelligent, Montréal a besoin d’une politique forte et de solutions réelles dans les transports en commun.» Sylvain Ouellet, conseiller de Projet Montréal
faire», avait-il avoué le 26 avril, tout en évoquant un «défi». Plus tard, dans le Journal de Montréal, il était allé plus loin en déclarant, avant le début de l’été, qu’«il n’y a plus rien à faire pour Montréal» afin d’améliorer la fluidité de la circulation. Le cabinet du maire Coderre n’a pas souhaité faire de commentaires.