Mai 2012

S A I N T- B A R T H

Mai 2012 • 26e année

N°301

EDITO

E

En Métropole, entre le virage extrême, à droite et le changement dans le présumé immobilisme de l’autre bord, les Français ont décidé, et élu François Hollande nouveau Président de la République.

St Barthélemy qui a voté massivement à droite (parfois même plus à droite ; M. Le Pen arrivant localement deuxième au 1er tour) renforce à tort l’image réductrice « d’île aux milliardaires … des nantis voulant échapper à l’impôt …» que véhiculent parfois certains médias, comme certaines figures politiques. Dans ce contexte on peut légitimement s’interroger sur les prochaines relations entre la Collectivité et l’Etat. Que pouvons-nous espérer des négociations futures sur la DGC ou la convention fiscale ? Des dossiers cruciaux pour l’île, sur lesquels Victorin Lurel –nouveau ministre de l’Outre-Mer – a voulu se montrer confiant en nous assurant de son soutien.

Quid de l’opinion de Bercy ? Nous en saurons plus dans les semaines et mois à venir.

Sur une note plus légère, nous fêterons le 3 juin la Fête des mères. Sous l’apparence voilée, telle une lettre de Sand adressée à Musset ; je leur écris, sans la grivoiserie, ce semblant de poésie.

Sommaire mai 2012 / saint-barth magazine # 301

Politique • Entrevue avec Yves Gréaux

4..6

• Petit parallèle entre la Collectivité et l’Etat français 8

Education

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RAM - Relais Assistantes Maternelles

Théâtre

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• 11e Festival de Théâtre

Evènements 12..13 1

Aucun mot emprunté ne saurait décrire les pensées

Esquissant un monde en danger dans nos actes et billevesées 3

Des enfants de la terre, pour la fête des Mères

• AG2R La Mondiale.. Magique!

• West Indies Regatta • Election “Miss St-Barth “ 2012/2013

De Noël ou celle des Pères, à ces symboles peu sincères 5

Offrez quelques fleurs, un message du coeur

Histoire

Parlez sans ambages mais avec pudeur.

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A celle en tout temps, qui se nomme Maman

14..15

• Chroniques d’antan : Aller à l’école dans les années 50

Gaïa, Nature, ou Maison, cessons enfin les tourments.

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Où qu’elles soient, quoi qu’elles fassent, d’un simple baiser fugace Elles consolent sans fin les tristesses et chagrins

Et pourtant disparaissent comme la rosée du matin.

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Pour ce jour particulier, bien que les autres leur soient dédiés

Nous ne lui accordons encore que peu de pitié.

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Ça s’est passé près 16 de chez vous • Ti Ouana Salsa • Echec et Mat !

Dans les bras ou l’esprit, qu’on le dise à l’envi

De jour comme de nuit 17

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• Etang de St-Jean en danger

Il n’en reste aucune trace 11

Réserve Nat.

Tant qu’il est encore temps, bonne fêtes à toutes les Mamans!

Le message désiré, entre les lignes s’est caché. Reprenant les vers annotés, il vous sera révélé.

Bonne lecture

Miguel Berry

Insolite

17

• Un mois dans le monde

Horoscope Jeux

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Gustavia - B.P. 73 - 97095 Saint-Barthélemy - F.W.I. Tél : 0590 29 71 16 - Fax : 0590 29 75 45 e.mail : st.barth.magazine@wanadoo.fr Directeur de Publication : Sinclair Questel - cell : 0690 61 17 48 Rédaction :Miguel Berry - cell : 0690 67 11 88 - berrymiguel@hotmail.com Mise en page et graphisme : Marie-Pier Pautrot - cell : 0690 74 05 60 - mapisbh@wanadoo.fr Impression • Printed by PRIMSERVICES St-Martin - Z.A. Hope Estate - Tél : 0590 87 50 24 ISSN : 1151-3373 • Dépôt légal à parution © st-barth magazine 2004 • RC 89 B 141 Basse-Terre

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POLITIQUE : Entrevue avec Yves Gréaux A travers une entrevue avec Yves Gréaux, nous faisons un retour sur les tumultes qui ont marqué les préludes de la campagne territoriale 2012.

L’ancien 1er Vice Président de la Collectivité, engagé politiquement à St Barthélemy depuis 1972, parallèlement enseignant dès 1968, revient sur sa « sortie » de la scène politique locale.

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SBM : En janvier dernier, vous sembliez prêt à assumer vos responsabilités et à « combler un vide », en suggérant votre candidature aux élections territoriales de St Barthélemy. Les choses ont pourtant évolué différemment. Que s’est-il passé ?

Yves Gréaux. : Après le tumulte des élections présidentielles nationales, nos élections territoriales locales semblent déjà bien lointaines. Pourtant nombreux sont encore ceux qui me font part de leur incompréhension sur ma « disparition » de la scène politique. Certains me demandent même pourquoi je me suis retiré ! Toute controverse sur ce sujet est désormais stérile. Maintenant que chacun a trouvé ou retrouvé « sa place », je me dois d’apporter quelques précisions pour clarifier les idées…si tant est qu’il soit possible de donner du sens à l’irrationnel de la « pièce de théâtre » que nous avons vécue. Il y aurait beaucoup à dire mais j’irai à l’essentiel.

Tout d’abord, je ne me suis pas retiré, j’ai été écarté, débarqué purement et simplement. Très tôt j’avais pris au sérieux les nombreuses déclarations du président Bruno Magras et du sénateur Michel Magras quant à leur volonté de ne pas être candidat aux élections territoriales. Ma position m’avait alors amené à m’interroger sur mes responsabilités : me retirer aussi ou prendre la relève. L’idée que le groupe « StBarth d’abord » ne soit pas capable de poursuivre un travail que je considère inachevé m’était insupportable. Par ailleurs, je partageais l’immense inquiétude de la population face au départ de nos deux principaux responsables. Des dérives dangereuses menaçaient déjà notre île…

Après une mûre réflexion et une préparation personnelle approfondie, j’ai annoncé au groupe qu’en cas de vide j’étais prêt à relever le défi. C’était une décision difficile et, je crois, courageuse. Cette position m’a paru rassurer tous ceux à qui j’avais commencé à en parler. Malgré l’urgence j’ai évité de déclarer publiquement ma candidature tant qu’a été entretenu un espoir de maintien du président Magras. Je consisaint-barth magazine ◆ 301

dérais aussi que le sénateur Magras était le plus expérimenté et le plus compétent pour assurer la relève.

Après qu’ils aient une fois de plus réaffirmé leur décision, à l’heure où je préparais la réunion au cours de laquelle j’allais exposer mon projet, celui-ci a été littéralement sabordé par un certain nombre de personnes et de lobbies qui ont exercé sur Bruno et Michel Magras des pressions irrespectueuses de leurs personnes et de leurs décisions. Aucun des membres de ces groupes de pressions n’envisageait de prendre la responsabilité laissée vacante mais n’acceptait non plus ma démarche.

J’ai compris par la suite que le poste que j’occupais était convoité depuis longtemps et que ma rigueur et ma fermeté faisait ombrage à certains intérêts…Des péripéties et revirements multiples et inattendus, sur lesquels je ne reviendrai pas, m’ont amené à abandonner mon projet de liste.

Face à cette situation plus que jamais bloquée, c’est encore moi qui, par personne interposée, ait provoqué une réunion des principaux responsables politiques de la majorité sortante, réunion au cours de laquelle Bruno Magras a admis l’idée de revenir sur sa décision. Mes détracteurs ont alors poursuivi leur entreprise en faisant craindre au président l’échec d’une liste sur laquelle je figurerais ! Qui peut y croire aujourd’hui au vu du score réalisé ?

L’action politique est une noble cause, je persiste à le croire. C’est vrai, la politique est noble lorsqu’elle sert l’intérêt général.

Pourtant l’on entend souvent dire qu’elle salit et que les politiques sont pourris. C’est ce qu’il advient lorsque l’intérêt collectif entre en conflit avec les ambitions et les intérêts individuels ! C’est un mal dont notre île n’avait pas trop souffert depuis bien longtemps mais qui pourrait, si nous n’y prenons garde gangréner l’avenir…

SBM : Au regard de la suite des événements, quels peuvent-être vos regrets ?

Y. G. : Des regrets, j’en ai de moins en moins, même si, il faut le reconnaître, le choc a été rude tant pour ma famille que pour moi-même. Certes il reste tant à faire pour donner à notre collectivité la solidité qui lui manque encore pour affronter son avenir. Les abus et autres spéculations que nous constatons sont là pour nous le rappeler.

Mais qui étais-je pour prétendre assumer une responsabilité que personne .../...

POLITIQUE (suite)

n’osait endosser ? Je suis de cette génération qui, depuis 1975, a sorti notre île du marasme et de l’oubli dont elle a si longtemps souffert. J’ai été membre fondateur du MAPA, en 1972, aux côtés de tous ceux qui ont déterminé des choix qui n’ont pas varié depuis et qui ont permis de rebâtir cette île dont nous sommes si fiers aujourd’hui et que l’on nous envie. J’ai consacré les 42 ans de ma vie professionnelle, comme professeur de mathématiques, au service de la formation de nos jeunes sur des principes de rigueur et d’exigence dont mes élèves reconnaissent l’efficacité et me remercient. De 1995 à 2012, j’ai été élu à des postes de responsabilité dans les équipes de Bruno Magras, d’abord adjoint au maire, puis 1er adjoint et enfin 1er vice-président depuis 2007.

Dans l’ombre, j’ai participé plus qu’activement à la construction de cette collectivité que nous avons tant souhaitée et que nous avons obtenue de haute lutte. J’ai toujours été présent pour assumer toutes les tâches, souvent les plus ingrates et les moins gratifiantes.

J’ai travaillé pour l’équipe, au détriment de mon aura personnelle. Mon action a été constante et importante.

En 2012, je ne me présentais pas devant mes concitoyens les mains vides. Mon projet était pétri de l’expérience acquise en 17 ans de travail, souvent « dans la cale » pour faire avancer le navire, loin du spectacle et des projecteurs. Ce n’était pas qu’une simple continuité mais une proposition ouverte qui tenait compte des insuffisances du

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passé et des exigences de la période à venir. Je n’ai vraiment qu’un seul regret c’est d’avoir eu à constater comment l’hypocrisie peut infléchir le cours des choses, comment l’égo peut détruire l’esprit d’équipe et l’oeuvre commune. Peut-être étais-je encore trop candide ? J’ai cependant une formidable consolation, celle d’avoir enfin pu voir s’exprimer l’intérêt des jeunes pour l’avenir de notre île. Leur engagement est un choix courageux qui demande endurance et abnégation. J’aurais aimé les accompagner… !

SBM : Il reste encore beaucoup à faire pour consolider la Collectivité.

Compte tenu notamment de votre expérience pédagogique, votre participation à la formation des « jeunes » en politique aurait pu être utile.

Pourquoi ne pas avoir poursuivi votre engagement politique ?

Y. G. : Je me suis souvent interrogé sur le sens de ce vieil adage de chez nous : « Tout ce qui arrive dans la vie est nécessaire ». Ainsi donc il était nécessaire et peut-être salutaire pour moi de changer de vie. Ma vie politique est peut-être terminée et je suis privé de l’opportunité de transmettre mon expérience. Je veux me consacrer à autre chose, à tout ce dont ma vie publique a privé ma famille. Et puis j’ai encore assez de projets personnels pour remplir une vie entière !

SBM : Etes-vous surpris des scores réalisés par les candidats Magras, Desouches et Chauvin ?

Y. G. : Ces scores étaient difficilement prévisibles mais ils ne sont pas surprenants. Avec le recul ils s’expliquent.

Pendant 17 ans, malgré cyclones et tempêtes de toutes sortes, Bruno Magras a porté le parapluie sous lequel chacun se sent à l’abri et veut le rester.

Souhaitons qu’il le porte encore longtemps. Le pourra-t-il cependant après plus de 30 ans d’investissement personnel passionné et sans retenue au service de l’île ? Benoît Chauvin a su faire reconnaître sa volonté d’agir posi-

tivement. Il pêche encore par une connaissance insuffisante de l’île dans ses dimensions historiques et humaines mais il peut devenir un partenaire efficace. C’est logique qu’il progresse.

Quant à Maxime Desouches qui était présenté comme un challenger dangereux, son score dérisoire reflète la clairvoyance d’une population qui se méfie des aventures et des aventuriers.

Sa campagne, centrée sur sa personne, a occulté quelques éléments de valeur qui ont cédé à ses sirènes.

Ces élections auront eu le mérite de montrer comment notre île est exposée aux convoitises de donneurs de leçons, venus d’ailleurs, qui ne demandent qu’à occuper le vide quand nous ne prenons pas les responsabilités !

Pour conclure, je souhaite bonne chance à Saint-Barthélemy. Son avenir sera celui que nous ferons tous ensemble et pas chacun pour soi.

SBM : Votre intérêt pour le devenir de Saint-Barthélemy semble intact ?

Allez-vous le concrétiser à travers d’autres responsabilités ?

Y. G. : Je ne pourrai jamais être indifférent à l’héritage de nos ancêtres et à cette terre qui, je le souhaite, restera celle de mes enfants. Des responsabilités politiques autres que territoriales ne peuvent être que nationales.

L’échéance proche des élections législatives ne me paraît pas présenter grand intérêt pour notre territoire qui a été privé d’un représentant propre à l’Assemblée Nationale. La disproportion et les différences sont trop grandes avec Saint-Martin. D’où que soit l’élu, et il a plus de chances d’être de Saint-Martin, il ne sera pas à même de servir efficacement les deux îles tant les contextes sont différents. C’est une évidence ! Alors quel intérêt y aura-t-il, pour nous, à élire ce député ? Mais je pense que je peux encore servir mon île autrement que par la politique. Il reste tant à faire concrètement pour sauvegarder notre patrimoine naturel, culturel et historique. C’est un domaine qui me passionne et auquel nous sommes de plus en plus nombreux à nous intéresser. Il est temps de montrer l’authentique visage de SaintBarthélemy.

•

POLITIQUE Petit parallèle entre la Collectivité et l’Etat français (suite)

Les élections territoriales, nationales et bientôt législatives auront indubitablement marqué le premier semestre 2012. Nous vous donnons un aperçu des commissions de la Collectivité annoncées le 10 mai en Conseil Territorial et du Gouvernement nommé le 16 mai dernier.

COLLECTIVITÉ DE ST BARTHÉLEMY

ETAT FRANÇAIS

Moyenne d’âge : 43.2 (moyenne sur les 19 élus) Parité : (9 femmes /10 hommes) Président : Bruno MAGRAS 1ère Vice-Présidente : Nicole GRÉAUX 2ème Vice-Président : Michel MAGRAS 3è Vice-Présidente : Karine MIOT-RICHARD 4ème Vice-Président : Nils DUFAU

Moyenne d’âge : 52.4 (moyenne sur les 34 ministres) Parité : 17 femmes / 17 hommes Président : François HOLLANDE 1er ministre : Jean-Marc AYRAULT Ministres Affaires étrangères : Laurent FABIUS Education : Vincent PEILLON Justice : Christiane TAUBIRA Economie, Finances, Commerce extérieur : Pierre MOSCOVICI Affaires Sociales, Santé : Marisol TOURAINE Egalité des territoires, Logement : Cécile DUFLOT Intérieur : Manuel VALLS Ecologie, Energie, Développement Durable : Nicole BRICQ Redressement Productif : Arnaud MONTEBOURG Travail, Emploi, Dialogue Social : Michel SAPIN Défense : Jean-Yves LE DRIAN Culture, Communication : Aurélie FILIPETTI Enseignement Supérieur, Recherche : Geneviève FIORASO Droit des Femmes, Porte-Parole du Gouvernement : Najat VALLAUD-BELKACEM Agriculture, agroalimentaire : Stéphane LE FOLL Décentralisation, Fonction Publique : Marylise LEBRANCHU Outre-Mer : Victorin LUREL Sport, Jeunesse, Education Populaire, Vie Associative : Valérie FOURNEYRON

PRÉSIDENT(E)S DES COMMISSIONS URBANISME Aménagement du territoire : Karine MIOT-RICHARD Environnement – Qualité de vie Développement durable : Benoit CHAUVIN Tourisme – Communication : Nils DUFAU Transports – Circulation Routière : Alfred BRIN Affaires Scolaires – Formations : Nicole GRÉAUX Affaires Sanitaires, Sociales et de Solidarité : Nicole GRÉAUX Culture – Fêtes et Cérémonies : Micheline JACQUES Affaires Sportives : Cécile TIBERGHIEN Affaires Juridiques et Fiscales : Bruno MAGRAS Appel d’offres : Andy LAPLACE

EDUCATION

Relais Assistantes Maternelles (RAM) : une initiative utile et nécessaire !

Ouvert depuis janvier 2012, sous l’impulsion du service social de la Collectivité, le RAM (Relais Assistantes Maternelles) est un service public, gratuit. Idéalement situé au Dispensaire à Gustavia, animé par Claudie Brin-Fouineau (éducatrice de jeunes enfants de formation), le RAM a pour objectif de venir en aide aux assistantes maternelles, aux familles et bien sûr aux enfants.

Les missions du relais assistantes maternelles sont multiples tant au niveau des parents qu’au niveau des assistantes maternelles. Le RAM est un lieu d’écoute, d’information, d’orientation et d’accès aux droits pour les parents, les assistantes maternelles agrées ou les candidates à l’agrément.

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Comme nous l’indique Claudie BrinFouineau, « notre rôle passe par la mise en relation de l’offre et de la demande, mais principalement par l’accompagnement des parents et des assistantes maternelles (agrées ou en formation) dans leurs démarches administratives qui peuvent parfois s’avérer compliquées.»

Aujourd’hui, on dénombre une quarantaine d’assistantes maternelles dont 35 en activité et trois en cours d’agrément.

Par ailleurs des animations sont régulièrement proposées au sein du relais, à domicile ou à travers les associations de l’île. Les ateliers se déclinent sous des thèmes variés tels que : apprendre à se connaître, éveil musical, jeux libres, de manipulation, peinture…

Les réunions d’information sont l’occasion de mieux appréhender les diffi-

cultés qui peuvent se présenter. Autant d’activités qui permettent aux assistantes maternelles comme aux parents, de ne plus être seuls et de partager leur expérience. « Un travail important a déjà été réalisé, nous rappelle C. Brin-Fouineau, le RAM est une structure jeune, au potentiel fort dont certaines activités restent encore à développer. » Le RAM, dans la pluralité des actions menées, espère répondre aux interrogations et attentes des parents et des assistantes maternelles.

Pour toute information vous pouvez contacter le Relais Assistantes Maternelles au 0590 27 60 27 ou à l’adresse suivante : ram.comsbh@gmail.com

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En marge du Festival, d’autres dates sont à inscrire à l’agenda. SB Artists se produira le 27 mai à 17h, et saura, à n’en pas douter, vous attendrir avec un texte plein de justesse autour de la vieillesse. D’autres représentations sont prévues du 30 mai au 1er juin où des thèmes éclectiques, conjuguant gravité, légèreté devraient être abordés dans une bonne humeur communicative.

Il vous reste peu de temps pour participer aux dernières représentations du Festival, alors n’attendez plus, et réservez au 0690 641 541.

FESTIVAL DE THEATRE 2012 Le Festival de Théâtre 2012 se déroule actuellement jusqu’au 26 mai, à la salle de spectacle de Gustavia. Le succès que connait d’ores et déjà cette 11ème édition repose sur des prestations remarquables, une programmation de qualité, le tout distillé dans une ambiance conviviale.

L

Julie Ferrier

Le Festival qui aura vu défiler de nomCédric Chapuis breux artistes à l’instar d’Arthur Jugnot, Clémence Massart, Grand Corps malade, Sophia Aram, Eric Judor ou encore le Comte de Bouderbala, n’aura cessé de se développer au cours des années.

Cette évolution est le produit de la passion qui anime les bénévoles de l’association organisatrice « SB Artists », ainsi que de la générosité des artistes qui se sont succédés.

Nadège Emmanuelian, en responsable de Au programme : la programmation, s’attache à réunir des • « Aristo » : Elastic (18 et 19 mai) artistes variés (reconnus comme promet- • « Pas bouger le chien » : teurs), proposant des spectacles de qual- Gérard Potier/ Gérard Baraton ité, avec comme critères principaux la (21 et 22 mai à 20h) générosité et le partage. Un savant • « Master Class » : mélange qui a su faire du Festival de Julie Ferrier (23 mai à 20h) Théâtre de St Barthélemy un événement • « Une vie sur mesure » : culturel incontournable, même au-delà de Cédric Chapuis (24 et 25 mai à 20h) nos frontières.

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EVENEMENTS

AG2R - LA MONDIALE : Magique !!!

22j 08h 55mn 45s, cc’est le temps qu’il aura fallu au duo Gildas Morvan/Charlie Dalin sur Cercle vert pour remporter l’édition 2012 de la Transat AG2R. Pour sa 8ème participation, G. Morvan décroche avec un plaisir indicible la première place devant le figaro Nacarat du tandem Erwan Tabarly/Eric Peron. Une victoire qui s’explique par la stratégie adoptée, comme l’indique C. Dalin : « On a plutôt fait les bons choix et c’est pour ça qu’on arrive en tête. » Symbole des valeurs de solidarité et d’entraide que véhicule cette transat à armes égales, la flotte des figaros est allée accueillir les derniers concurrents pour une ultime arrivée de toute beauté. Une parade de clôture exceptionnelle !

En marge de la transat, le village de course animé par de nombreuses associations, sous la houlette de la CEM (qui aura réalisé un travail remarquable), a permis à la population d’attendre les premiers bateaux dans une ambiance festive et conviviale.

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CLASSEMENT 1 CERCLE VERT (Gildas Morvan / Charlie Dalin)

9 LES RECYCLEURS BRETONS (Michel Bothuon / Simon Troel )

10 CORNOUAILLE PORT DE PECHE

2 NACARAT (Erwan Tabarly / Eric Peron)

3 BANQUE POPULAIRE (Jeanne Grégoire / Gérald Véniard)

4 SKIPPER MACIF (Paul Meilhat / Fabien Delahaye)

5 BRETAGNE CRÉDIT MUTUEL PERFORMANCE

(Jean-Charles Monnet / Alexandre Toulorge)

11 GAES (Anna Corbella / Gérard Marin)

12 ARTEMIS (Sam Goodchild / Nick Cherry)

13 LA SOLIDARITÉ MUTUALISTE (Damien Guillou / Ronan Treussart)

(Anthony Marchand /Romain Attanasio)

14 ONE NETWORK ENERGIES 6 GEDIMAT

(Yannig Livory / Guillaume Farsy)

(Thierry Chabagny / Christopher Pratt)

15 ARMOR - LUX / PERE LOUSTIC / CLOWN A L'HOPITAL

7 SEPALUMIC (Frédéric Duthil / François Lebourdais)

8 EDM / PAYS BASQUE ENTREPRISES (Amaiur Alfaro / Christophe Lebas)

(Germain Kerleveo /Jean-Sébastien Henry)

16 HOTEL EMERAUDE PLAGE ST-BARTHELEMY (L-M Tannyères / Joanna Tannyères)

WEST INDIES REGATTA Du 4 au 7 mai dernier la 4ème édition de la West Indies Regatta rendait à nouveau hommage à l'âge d'or des voiliers Caraïbéens.

Chaloupes, goélettes, sloops traditionnels s’étaient donné rendez-vous pour des courses amicales autour de l’île. En dépit du manque de vent, les spectateurs ont pu profiter en toute convivialité des multiples activités proposées, telles que les parades des voiliers, des concerts de musique, ou encore des produits de l’artisanat local et des projections de films.

En attendant l’édition 2013, bon vent et à l’année prochaine !

ELECTION “MISS ST-BARTH” 2012/2013 La 2ème élection de Miss St Barth se tiendra le samedi 11 aout prochain sur les quais du Général de Gaulle.

Le premier événement, organisé au pied levé par Stéphane Lanson Président de l’association « Miss St Barth », avait couronné en 2010 Tiffany Lédée. Elle entrait dès lors, dans l’histoire de l’île et devenait l’année sui-vante 6ème dauphine à l’élection Miss Prestige National.

Pour cette 2ème édition, la manifestation très attendue, est la promesse d’une soirée d’exception, nous indique S. Lanson. Le spectacle sera présenté par Bernard Montiel, et ponctué de multiples animations ; visuelles avec des chorégraphies concoctées par Malory, sonores avec la voix envoutante d’Ellia ainsi que d’autres surprises, dans le seul objectif de ravir un large public. Le transfert de la couronne devrait être effectué par Christelle Rocca, Miss Prestige National 2011, sous le regard attentif de Christiane Lillio, Miss France 68 et actuelle Présidente du comité Miss Prestige National. On compte actuellement six prétendantes au titre. La liste encore incomplète, devrait s’élargir prochainement en raison du retour sur l’île des étudiantes.

Les candidates à la présélection qui ont jusqu’au 10 juillet pour se manifester devront répondre aux critères suivants : être née entre le 01/11/89 et le 01/11/95, ne pas être mariée ou divorcée et sans enfants, posséder une bonne culture générale, ne pas avoir de piercing, ni de tatouage (seuls les tatouages discrets et pouvant être cachés seront tolérés), justifier d’un domicile à St Barthélemy, et avoir une taille minimum = 1,70 m (toisé).

Pour de plus amples informations, vous pouvez contacter le Comité du Tourisme de St-Barthélemy au 05 90 27 87 27, le Président de l’association « MISS ST BARTH » au 05 90 27 65 69 ou au 06 90 35 10 46. saint-barth magazine ◆ 301

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HISTOIRE

CHRONIQUES D’ANTAN Nous poursuivons ce mois-ci nos Chroniques d’Antan, en cheminant sur le sentier des écoliers au cours des années 50. Irène Gréaux, qui aura vu passer plus d’un élève depuis sa prise de fonctions en 1977 dans le cadre administratif au sein du collège Mireille Choisy, a bien voulu nous faire partager ses souvenirs.

‘

‘ ‘ Aller a l’ecole dans les annees 50

A

Aujourd’hui, on entend souvent parler des cartables trop lourds ……. De tel élève absent car la voiture n’a pas démarré… ou tel autre qui était en scooter et il pleuvait.

La voiture était plutôt rare pour ne pas dire inexistante du temps de ma jeunesse. Et … à l’école, on y allait … qu’il tonne… qu’il pleuve …. qu’il vente ….ou sous un soleil de plomb.

Ecole qu’on découvrait pour la première fois à l’âge de 6 ans, c'est-àdire au Cours Préparatoire.

Toujours en bandes joyeuses, chacun son petit sac de toile en guise de cartable (fabriqué par les mamans) suspendu à l’épaule, nous quittions notre nid douillet pour affronter les sentiers rocailleux toujours grimpants qui nous menaient à notre petite école nichée sur les hauteurs de Colombier.

Les petits frères et soeurs, deux, trois ou même quatre étaient toujours confiés aux aînés qui en avaient la responsabilité et devaient les aider à grimper et si nécessaire se charger du « cartable ». Les jours pluvieux, il n’était pas rare d’arriver à l’école trempés ou encore tout couvert de boue, après avoir serpenté entre les ravines ou après s’être étalé dans une belle flaque.

Je me souviens des salles de classes où étaient disposées de longues tables en bois de 5 ou 6 places avec des bancs (sans appui dos) sur lesquels nous nous asseyions côte à côte. Chaque table était munie de plusieurs encriers placés chacun dans une entaille creusée dans le bois.

Pour écrire chaque écolier avait sa plume fixée à un porte plume qu’il devait tremper dans l’encrier, lequel avait été rempli d’encre. Malheur à qui accrochait par mégarde l’encrier en y retirant sa plume et voyait une belle tache s’étaler devant lui en s’incrustant dans le bois … sur son ca-

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hier, et parfois ses vêtements. C’était la réprimande et la punition assurées… La retenue après la classe et le grattage de la table avec un bout de verre afin d’en faire disparaître la vilaine tâche.

Nous n’avions pas tous ces beaux livres que les élèves ont la chance d’avoir maintenant. Sans compter les ordinateurs, Internet, les films, etc….

Nous copiions des pages et des pages de leçons que nous apprenions par coeur. Les départements et grandes villes de France et du monde nous les découvrions leur situation géographique sur de vieilles cartes cartonnées toutes déteintes et écornées tant elles avaient déjà été utilisées.

Nous disposions de quelques cahiers : un cahier du jour, un cahier de brouillon, cahier de leçons, un cahier de poésies et chants. Il fallait faire attention pour ne pas gaspiller.

Chaque matin, pour démarrer la journée, le premier quart d’heure était consacré à la leçon de morale.

La cantine n’était pas d’actualité…

Certains matins, les mamans qui le pouvaient, prép araient une gamelle et la remettaient à l’aîné de ses enfants qui était chargé de faire le partage, à l’heure du déjeuner, avec ses frères et soeurs. A 11 h, après la sonnerie de la cloche qui annonçait la fin des cours du matin et l’heure du déjeuner, chacun récupérait sa gamelle et se dirigeait sous le préau de l’école afin de chercher une petite place où s’asseoir pour se restaurer.

Commençait alors le partage entre les frères et soeurs. L’institutrice avait pris soin de désigner un grand qui était chargé de s’occuper d’un plus jeune qui était seul et avait besoin d’aide, et ce pendant une période donnée.

Les enfants qui n’avaient pas emporté leur gamelle le matin, repre-

Ecole Sainte-Marie Image L.G.

naient le sentier en sens inverse pour rejoindre en chemin la maman, une tante, une grande soeur ou autre membre de la famille qui lui aussi avait parcouru une partie du chemin pour apporter à manger aux enfants.

On s’asseyait un peu partout sur les rochers à l’ombre d’un quénettier ou autre pour se restaurer avant de regagner l’école. Quand personne n’était disponible pour venir à la rencontre des enfants, leur gamelle était confiée à une des autres mamans qui voulait bien s’en charger. Il y avait toujours de l’entraide.

Le soir après la classe, Il n’était pas question de traîner en chemin. Mais parfois la tentation était la plus forte… aller grimper dans un arbre pour explorer un nid contenant des oeufs ou des oisillons ou escalader les rochers…. Malheur au retardataire, surtout s’il arrivait à la maison avec un bel accroc dans son vêtement.

Après avoir pris un petit goûter (une bonne citronnade avec des biscuits secs), il n’y avait pas de temps à perdre car il fallait

aider aux tâches ménagères, donner à manger aux animaux, préparer la lampe à pétrole pour le soir…. Puis … il fallait surtout se dépêcher de faire les devoirs et apprendre les leçons avant la tombée de la nuit … car pas d’électricité en ce temps là.

A la fin de l’année scolaire les plus grands élèves devaient s’occuper de rechercher des morceaux de verre et tout le

RESERVE NATURELLE ETANG DE pourquoi nous avons également retrouvé des pélicans morts à Gros ST-JEAN ilets et à Bonhomme. Quand en L’étang de St Jean est aujourd’hui clairement impacté par un manque d’oxygène dissous, ce qui cause la mort des poissons. Les poissons morts développent alors la toxine botulique qui se transmet aux oiseaux par ingestion. Nous avons compté beaucoup de pélicans morts autour de l’étang et sauvé une demi-douzaine. Ils transportent malheureusement ces poissons vers leurs nids et reposoirs, c’est

2007 on comptait des centaines d’oiseaux sur l’étang, aujourd’hui il ne reste que quelques poules d’eau ! Les analyses biologiques de l’eau de fin avril montrent que la qualité de l’eau de l’étang n’est pas à ce jour particulièrement préoccupante et que le point d’analyse le moins bon est situé dans le canal face au stade. Le Dr Gabriele Gentile a effectué de nombreux prélèvements sur les iguanes autour de l’étang ainsi que dans l’eau, ce qui va nous permettre de voir s’il y a un impact sur les iguanes et s’il y a des bactéries problématiques et de compléter par des analyses chimiques .

monde se mettait à l’oeuvre afin de faire disparaître la moindre petite tâche d’encre tant sur les tables que sur les planchers avant le départ en vacances.

Les temps ont changé… Les choses se sont modernisées au fil des années !

Nous nous contentions de ce que nous avions, mais nous étions heureux.

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AUTRE PROBLÈME, LA PRÉSENCE ET LA MULTIPLICATION

DES

TORTUES

DE

FLORIDE ! Achetées petites pour faire plaisir aux enfants, figurezvous qu’elles grandissent ! Alors certains les relâchent dans l’étang pensant bien faire : grave erreur !

C’est une espèce invasive qui se nourrit beaucoup et notamment de petits poissons, elle se reproduit en moyenne deux fois par an.

C’est exponentiel, bientôt vous ne verrez que des tortues dans l’étang, les gardes de la Réserve Naturelle essaient de les capturer dès que possible.

Des projets sont à l’étude pour recréer une circulation d’eau et ainsi ré-oxygéner l’étang pour lui redonner vie. A suivre donc. saint-barth magazine ◆ 301

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Ça s’est passé pres de chez vous TI OUANA SALSA Créée en juillet 2010, à l’initiative d’un groupe d’amis désireux de promouvoir les danses latines sur l’île, l’association « Ti Ouana Salsa » a présenté du 4 au 6 mai le Festival St Barth Salsa. Cette deuxième édition a encore tenu toutes ses promesses en proposant à un public enthousiaste, un spectacle éclectique de qualité.

Après l’ouverture au Ti Zouk Café, le gala faisant intervenir pour l’occasion des professeurs venus des îles voisines, s’est poursuivi sur des rythmes endiablés à l’hôtel Guanahani & Spa. Au programme, cours de danse, dîner spectacle, après midi dansant. Comme nous l’indique la présidente, Carole Mothes, le dîner spectacle, qui affichait complet, fut un franc succès. Le gala aura permis à certains de découvrir le LA Style, la danse contemporaine et à d’autres de s’essayer au tango ou encore à la salsa cubaine et portoricaine.

Le public, spectateurs ou « salseros », attend déjà avec une certaine impatience la prochaine édition.

Dans cette perspective, l’opportunité vous est donnée de vous perfectionner à travers les cours proposés à l’AJOE, sous la houlette d’Eddie Popotte.

Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter Carole au 0690 30 25 12 ou consulter le site à l’adresse suivante : http://www.tiouanasalsa.sitew.com

Photos © Gérald Tessier

ECHEC ET MAT !

Le 9ème championnat d’échecs de StBarth, trophée CFN-American Express, se déroule actuellement à l’hôtel Guanahani & Spa jusqu’au 20 mai. Les joueurs de tous horizons, de 8 à 88 ans, s’affrontent au jeu de réflexion le plus populaire au monde dans une ambiance à la fois décontractée et studieuse. Ce championnat se dispute en 7 parties de 2°—30 minutes. L’ultime face à face pour départager les éventuels exæquo sera suivi du repas traditionnel de clôture, au restaurant l’Indigo.

Pour de plus amples renseignements, vous pouvez contacter St Barth Echecs au 0690 55 12 14 ou à l’adresse suivante : jeffollner@yahoo.fr

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saint-barth magazine ◆ 301

INSOLITE : UN MOIS DANS LE MONDE JAPON : Une tasse de thé utilisée par Lady Gaga adjugée pour 60.000 euros.

Une tasse de thé employée une seule fois par la chanteuse américaine Lady Gaga a été adjugée dimanche 6 mai aux enchères au Japon pour quelques 6 millions de yens (près de 60.000 euros), lors d'une vente en ligne.

FRANCE : Il veut voter, la mairie lui apprend qu'il est mort.

Un habitant de Calonne-Ricouart (Pas-deCalais) a eu la surprise de découvrir dimanche 6 mai, en se rendant à sa mairie pour voter, qu'il avait été déclaré mort, a-t-il expliqué à l'AFP, confirmant des informations de La Voix du Nord.

AUTRICHE : Un premier "café à chats" ouvre ses portes à Vienne.

Un premier "café à chats", où les clients peuvent jouer avec les félins tout en sirotant leur boisson, a ouvert ses portes à Vienne, rapportaient les médias locaux.

FRANCE : Avancée technologique à Lourdes : les voiturettes des malades ont des freins.

Les voiturettes bleues qui transportent par centaines les pèlerins malades à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et font partie du paysage de la cité mariale vont connaître un progrès considérable: elles seront désormais équipées de freins.

AUSTRALIE : Un home de 97 ans décroche son quatrième diplôme universitaire.

Un dentiste australien de 97 ans a reçu un master de sciences médicales, le quatrième diplôme universitaire de sa longue vie, devenant sans doute, selon sa faculté, le plus vieil étudiant diplômé du monde.

AFRIQUE DU SUD : Pour multiplier les billets de banque, bien faire bouillir.

Une Sud-Africaine a cru devenir riche après que deux hommes lui ont promis qu'ils multiplieraient ses économies par trois en faisant bouillir ses billets de banque dans une solution chimique.

NOUVELLE-ZELANDE : "Faire le possum": le jeu bête qui inquiète la police néo-zélandaise.

Les autorités de Nouvelle-Zélande ont fait part de leurs inquiétudes sur la popularité d'un nouveau jeu, prisé des étudiants, qui consiste à s'asseoir dans un arbre et à se saoûler jusqu'à en tomber.

Pour réduire ses gaz, la Nouvelle-Zélande veut purifier le pet de mouton.

Afin de réduire les émissions de CO2 imputées à l'élevage, les scientifiques néo-zélandais étudient le moyen de purifier les flatulences des moutons en supprimant le méthane que les ovins rejettent en abondance dans l'atmosphère.

USA : Oublié dans une cellule, il boit son urine pour survivre.

Un jeune Américain a survécu pendant quatre jours dans une cellule où il avait été oublié par la police en buvant sa propre urine, a révélé l'agence anti-drogue américaine (DEA).

FRANCE : Un spray pour avoir la "sensation d'ivresse" sans les effets néfastes de l'alcool.

Le designer français Philippe Starck et un scientifique franco-américain, David Edwards, ont mis au point un petit aérosol qui permet de ressentir en un coup de spray "une sensation d'ivresse" sans les effets néfastes de l'alcool, présenté lors d'une exposition à Paris.

JAPON : Un perroquet égaré explique son adresse à la police japonaise.

Un perroquet égaré a pu être rendu à sa maîtresse en expliquant à la police japonaise l'adresse exacte de sa propriétaire.

AUSTRALIE : Deux Gallois ivres kidnappent un pingouin dans un zoo australien.

Deux Gallois ont été condamnés à une amende de 1.000 dollars australiens chacun (780 euros) mercredi en Australie pour avoir kidnappé un pingouin au cours d'une nuit d'ivresse dans un parc aquatique.

POURQUOI PAS ! : La religion plus exposé que le porno aux virus informatiques.

Visiter les sites internet liés à la religion fait courir plus de risque d'attraper un virus informatique que le vagabondage sur des sites érotiques ou pornographiques, selon une étude publiée par la société de sécurité informatique Symantec. saint-barth magazine ◆ 301

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HOROSCOPE

Les Gémeaux

22 MAI AU 21 JUIN Habitués à être toujours en mouvement les Gémeaux ont sans cesse besoin d’activités mentales. Les natifs de ce signe sont dotés de nombreux talents.

Ils ont un goût prononcé pour les voyages à condition qu’ils ne s’éternisent pas trop. La routine est leur pire ennemi, de nouveaux projets, de nouveaux horizons, voilà le meilleur moyen d'épanouissement pour eux.

GEMEAUX CÉLÈBRES : Johnny Halliday - Eric Cantona - Marilyn Monroe

BELIER

LION

SAGITTAIRE

21 MARS - 20 AVRIL

23 JUILLET - 23 AOÛT

23 NOV.- 21 DÉC.

Vous vous sentirez particulièrement enthousiaste à une proposition agréable. Ne laissez pas retomber ce merveilleux sentiment à la vue d'une personne que vous aimeriez mieux ne pas rencontrer dans ces circonstances. Dites-vous que c'est votre tour de prendre ce bonheur.

TAUREAU 21 AVRIL - 21 MAI Votre vie personnelle aurait une très nette tendance à s'améliorer. Prenez soin de vous. Une note d'égoïsme serait souhaitable surtout au début de la journée. Occupez-vous davantage de vous-même. Cela devient une priorité absolue si vous voulez vraiment jouir du bonheur.

GEMEAUX

Profitez de votre forme pour prendre votre envol vers de nouveaux horizons. Vous avez déjà trop attendu. Vous semblez maintenant tout à fait disponible pour entreprendre une mission à laquelle vous pensez depuis longtemps. Mettez toutes les chances de votre côté.

VIERGE 24 AOÛT - 23 SEPT. Votre forme atteint des sommets vertigineux. Veillez néanmoins à rester lucide à l'approche d'un événement qui pourrait provoquer une profonde contrariété. Un excès d'enthousiasme serait contraire au bon déroulement prévu.

BALANCE 24 SEPT.- 23 OCT.

22 MAI - 21 JUIN Des préoccupations personnelles bien particulières vous importunent quelque peu. Vous trouvez la parade incontournable à une attaque personnelle de quelqu'un que vous n'aviez pas vu venir.

Vous avez la chance pour vous et c'est vous qui gagnez.

CANCER

Vous pouvez avoir cette certitude que c'est maintenant que va venir votre tour de chance ! A n'en pas douter vous allez pouvoir profiter pleinement de retombées positives d'une action personnelle. Vous auriez tort de refuser d'y croire. Surtout en de telles circonstances.

CAPRICORNE 22 DÉC. - 20 JANV. On s'intéresse beaucoup trop à vous en ce moment et vous ne voulez pas en profiter.

Vous ne voulez pas vous laissez projeter en avant. Cependant, il serait bon de vous laissez guider vers le succès. Vous apprécierez sans doute cette nouvelle ambiance de vie avec satisfaction.

VERSEAU 21 JANV. - 18 FÉV.

Vous allez devoir penser sérieusement à embrasser une autre carrière que celle à laquelle vous vous destiniez. C'est un signe de moral excellent. Envisager une telle mutation comporte certains risques importants. Il convient donc d'apporter un sérieux complément de réflexion.

SCORPION

24 OCT. - 22 NOV.

Des réactions imprévisibles à votre égard vont vous contrarier quelque peu. Ne vous formalisez pas trop. Préparez-vous à des jours meilleurs car, malgré cela, la situation s'améliore de jour en jour. Le plus difficile est passé.

POISSONS 19 FÉVRIER - 20 MARS

22 JUIN - 22 JUILLET Vous vous sortez d'une situation inhabituelle que vous connaissez pour l'avoir déjà vécue. Vous retrouvez peu à peu vos points de repère. Vos grandes capacités vous permettent de bien cerner le problème à résoudre. Vous agirez avec beaucoup de facilité et de détermination.

JEUX SUDOKU

Il est urgent d'assumer vos responsabilités dans la vie de tous les jours. Vous avez un potentiel « chances » exceptionnel qui reste inexploité. Prenez le mord par les dents car la chance va vous sourire. Ne laissez pas encore passer la belle occasion qui va se présenter.

Une réelle occasion de chance imprévue va se présenter à vous dans des circonstances imprévisibles. Ne faites pas la fine bouche si vous voulez vraiment profiter d'un moment inoubliable. Votre cercle d'amis s'agrandit.

Vous vous sentez en bonne compagnie.

ENIGMES : A - T’as quel âge… ?

Avant-hier, Mavoizine Jean-Luc avait 17 ans ; l'année prochaine, il aura 20 ans. Comment est-ce possible ?

B - Tic Tac… Une fourmi nommée Gérard est seule sur la plage. Comme elle s'ennuie, elle décide de marcher et avec ses petits pas, de tracer un carré parfait !

Le 1er côté lui prend 70s Le 2eme côté lui prend 70s Le 3eme côté lui prend 70s Le 4eme côté lui prend 1mn 10s Pourquoi ?

C - L'oeuf franco-belge Un coq est sur la frontière ; à sa droite la Belgique, à sa gauche la France. Soudain il pond un oeuf. De quelle nationalité sera-t-il ?

saint-barth magazine ◆ 301

Solutions :

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Quelle est la spécificité des phrases suivantes : Voyons… amis à l’affût, flairons, scrutons, raisonnons, puis soudain nous dirons, d’un ton triomphant, à nos voisins surpris : ‘J’ai vu, j’ai compris, j’ai vaincu… D’aucuns diront : anormal ou original. Pourquoi pas. Mais, François, Nicolas auront aussi compris vous disant ainsi tout autant, à plus ! Quant à vous ? Saisi ou pas? Si oui, alors Bravo.

A- Hier, on était le 31 décembre, il a eu 18 ans. Cette année, il va avoir 19 ans et l'année prochaine, 20 ans.

B- Parce que 1mn 10s est égale à 70s !

C- Un coq ne pond pas d'oeuf D- Il n’y a pas de « e ».

SOLUTION SUDOKU

D - Langue Française