STIMULER LA CONCENTRATION
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SOULAGER L’ANXIÉTÉ DES ADOLESCENTS
EASING ANXIETY IN TEENS
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SE BAT AVEC COURAGE ET CŒUR FIGHTS WITH COURAGE AND HEART
LES IST : CE N’EST
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STIs AREN’T SEXY
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LES MEILLEURES ÉCOLES DE MONTRÉAL MONTREAL’S BEST SCHOOLS
LA LARME À L’ŒIL SEEING RED COMPÉTITION SAINE HEALTHY COMPETITION
SALADE D’ÉTÉ PRÉFÉRÉE
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Le billet de la directrice, Création et contenu | Letter from the Creative & Content Director
EnBref
Méli-Mélo | Bits & Bites
Dre Lucie Opatrny : dévouée à l’excellence et à l’innovation | Dr. Lucie Opatrny: Dedicated to Excellence and Innovation
Kim Clavel : L’ADN d’une championne | Kim Clavel: The DNA of a Champion
Adolescents et préadolescents : l’heure est au rattrapage de la vaccination! | Teens and Tweens: Time to Catch Up on Vaccines!
Rapport sur la santé naturelle | The Natural Health Report
La santé financière | Financial Health
Comment obtenir des cheveux longs et en santé | How to Grow Long, Healthy Hair
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Conseils pour lutter contre les poux | Help with Head Lice
Boutons embêtants | Pimple Problems
Les IST : ce n’est pas sexy | STIs Aren’t Sexy
La larme à l’œil | Seeing Red
Si vous avez eu la varicelle, le virus qui cause le zona se trouve déjà à l’intérieur de votre corps.
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« Un bain chaud était douloureux comme des décharges électriques… »
Il s’est moqué d’elle, et il se moquera de vous.
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Montréal en classe | Montreal Class Acts
Le futur en tête | Lift Off, One at a Time
Les allergies alimentaires à l’école | Navigating Food Allergies at School
L’estime de soi chez les adolescents | Self-esteem in Teens
94 FONDATIONS DU CUSM • MUHC FOUNDATIONS
Le nouveau programme AJA Jackie Aziz des Cèdres répond aux besoins particuliers des jeunes patients atteints de cancer | The New Jackie Aziz AYA Program at Cedars Addresses the Unique Needs of Young Cancer Patients
TSA : une première clinique d’évaluation pour les 13 ans et plus | ASD: A First Assessment Clinic for Ages 13 and Up
Des chirurgiens traumatologues de Montréal offrent des soins vitaux aux communautés du Nord-du-Québec | Montreal Trauma Surgeons Bring Vital Care to Northern Quebec
Cibler les maladies rares | Targeting Rare Disease
Peter Pomponio contribue à améliorer la santé de la population de l’Ouest-de-l’Île | Peter Pomponio is Helping Create a Healthier West Island
Trouver un remède à la MPOC | Toward a Cure for COPD
Redonner aux enfants malades du Children | Giving Back to Young Patients at The Children’s
Parce qu’un enfant tannant est un enfant en santé! | Because a Bratty Kid is a Healthy Kid!
112 ALIMENTS • NUTRITION
Salade d’été préférée | Favourite Summer Salad
Réapprendre à goûter | Re-Learning to Taste
Les troubles alimentaires chez les adolescents | Eating Disorders in Adolescents
Menu de camping | Camping Menu
122 EN FORME • FITNESS
Soulager l’anxiété des adolescents | Easing Anxiety in Teens
Lanceur local en fuego | Local Pitcher on Fuego
Compétition saine | Healthy Competition
Le tonus avec Tina | Toning with Tina
Aidez-la dès maintenant à se protéger contre la menace de la méningite B
• Cette maladie peut causer la mort en 24 heures après l’apparition des premiers symptômes.
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TRUMENBA est un vaccin qui contribue à prévenir la MenB (méningococcie invasive causée par la bactérie N. meningitidis du sérogroupe B) chez les personnes âgées de 10 à 25 ans. Comme tous les vaccins, TRUMENBA ne protège pas toutes les personnes qui le reçoivent. TRUMENBA n’est pas indiqué pour traiter la méningite B ni prévenir les conséquences qui y sont associées. Comme tous les vaccins, TRUMENBA peut causer des e ets secondaires, mais les patients n’en ont pas tous. E ets secondaires les plus fréquents (signalés chez plus de 1 personne sur 10) après l’injection de TRUMENBA : maux de tête, nausées, diarrhée, douleur musculaire, douleur articulaire, rougeur, enflure et douleur au point d’injection, frissons et fatigue. Autres e ets secondaires fréquents (signalés chez plus de 1 personne sur 100) après l’injection de TRUMENBA : vomissements et fièvre ≥ 38 °C. Les e ets indésirables qui ont été signalés dans le cadre de l’utilisation commerciale de TRUMENBA comprennent des réactions allergiques et l’évanouissement. Si vous ou votre enfant présentez un symptôme ou un e et secondaire incommodant qui n’est pas mentionné ici, ou que celui-ci s’aggrave au point de perturber vos activités quotidiennes, consultez votre professionnel de la santé. Cette liste d’e ets secondaires n’est pas complète. Pour obtenir plus d’information sur TRUMENBA, veuillez consulter sa monographie au www.pfizer.ca/pm/fr/Trumenba.pdf, ou composer le 1-800-463-6001
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Publié par CMS world media avec le soutien des fondations du Centre universitaire de santé McGill
Published by CMS world media with support from the foundations of the McGill University Health Centre
MONTRÉAL enSANTÉ
Éditeurs | Publishers: DAVID ABOUD, TOM JONAS
Directrice création et contenu |
Creative & Content Director: ERIN LAFRENIÈRE
Traduction | Translation: CATHERINE DEFOY, RACHEL DOW
Correctrice (français) | French Proofreader: BRIGITTE BLANCHARD
Correcteur (anglais) | English Proofreader: GEORGE M. WITHERS
Auteurs | Contributors: ARIELLE BEN-ZAKEN, SHAWNA BIRMAN, JESSICA BROWN, PHILIPPE GRIMAULT, TOD HOFFMAN, ADAM IRWIN, AUDREY LARONE JUNEAU, GESTHIKA KALTSIDIS, TINA KISSAVOS, EMMA LECKY, TANIA LEMOINE, ANNE LEWIS, BJILLIAN MacKINNON, SHAUN McMAHON, LEWIS ROSEN, JULIA SCALA, DAVID SZANTO, MARGO VIZBARA, ROWENA WOODS
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Abonnement : 4 éditions = 10 $ pour affranchissement
Subscription: 4 issues = $10 for postage subscriptions@montrealensante.com
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© 2023. MONTRÉAL enSanté est publié trimestriellement par CMS world media. Tous droits réservés. Les points de vue formulés sont ceux des auteurs et ne représentent pas nécessairement ceux du CUSM ou de ses fondations.
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Imprimé au Canada | Printed in Canada ISSN: 1920-3144
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Le billet de la directrice, Création et contenu
Letter from the Creative & Content Director
Erin Lafrenière
Bienvenue dans l’édition Été 2023 La jeunesse à l’honneur du magazine Montréal enSanté. Que vous soyez jeune ou jeune de cœur, ce numéro saura vous plaire.
Et bien que cette « milléniale » soit plus proche de l’âge mûr que de la jeunesse, c’est une époque dont je me souviens avec bonheur, surtout les mois d’été.
J’ai passé les étés de ma jeunesse à travailler comme sauveteuse dans des camps de vacances. Je plaisante encore aujourd’hui en disant que c’est le meilleur emploi que j’aie jamais eu. Pendant six ans, au début des années 2000, entre la fin du secondaire et le milieu de l’université, j’ai travaillé dans deux camps au Québec et deux aux États-Unis.
J’étais une adolescente indépendante et j’appréciais la liberté de vivre « seule » au camp. C’était la combinaison parfaite entre le sentiment d’avoir la responsabilité d’un travail d’adulte et la possibilité d’agir comme un enfant et de jouer dehors toute la journée.
J’étais payée pour passer mes journées dans la nature à faire des activités amusantes, alors que beaucoup de mes amis se disputaient avec leurs parents et travaillaient à l’intérieur dans un resto ou une épicerie.
Je n’avais pas l’impression de travailler. Les journées étaient bien remplies : surveillance de la baignade, enseignement de la natation et du canot, sorties de pêche et de plongée avec masque et tuba, et autres activités typiques de camp de vacances. Les soirées se passaient autour du feu de camp, à jouer à des jeux de société et à faire d’innombrables farces.
Il n’y avait pas d’Internet ni de réception de téléphone cellulaire. Pas de selfies ni de réseaux sociaux. Juste des journées au bord du lac et des nuits sous un ciel étoilé.
Malheureusement, je ne peux pas revivre mes jours de gloire. Le salaire du camp ne paiera pas mon hypothèque, et le prochain numéro du magazine ne s’assemblera pas tout seul. Mais je peux insuffler un peu de la joie de ces étés dans celui-ci.
Je m’engage à passer plus de temps à l’extérieur et moins de temps devant un écran. À prendre le temps de pagayer, de nager et de faire de la randonnée. À savourer des s’mores autour d’un feu de camp en riant avec des amis.
Jeunes ou moins jeunes, profitez au maximum de votre été. Après tout, l’automne approche à grands pas. M
Welcome to the Summer 2023 Spotlight on Youth issue of Montréal enSanté Magazine. Whether you’re young or just young at heart, this issue has something for everyone.
And while this millennial is closer to middle age than she is her youth, it was a time that I remember fondly, especially the summertime.
I spent the summers of my youth working as a lifeguard at sleepaway camps. To this day, I joke that it was the best job I ever had. For six years in the early 2000s, between the end of high school and the middle of university, I worked at two camps in Quebec and two in the U.S.
I was an independent teenager and enjoyed the freedom of living “on my own” at camp. It was the perfect combination of feeling like I had the adult responsibility of holding down a job paired with getting to act like a kid and play outside all day.
I got paid to spend my days in nature doing fun activities, while many of my friends back home were clashing with their folks and working indoors bussing tables or stocking shelves.
Work didn’t feel like work. Days were filled with lifeguarding, teaching swimming and canoeing, leading fishing and snorkelling outings, and running other typical camp activities. Evenings were spent hanging out around the campfire, playing cards and games, and pulling countless pranks.
There was no internet or cell reception. No selfies or social media. Just days by the lake and nights under starry skies.
Unfortunately, I can’t relive my glory days. Camp salary won’t pay my mortgage, and the next issue of the magazine won’t assemble itself. But I can infuse some of the joy from those youthful summers into this one.
I pledge to spend more time outdoors and less time looking at a screen; to go for a paddle, a swim, and a hike; to enjoy s’mores around the campfire laughing with friends.
So young or old, be sure to make the most of your summer. After all, fall is just around the corner. M
Moments
Situés
campsquebec.com
HOPE IS SERVED:
TOOLS FOR COPING WITH EATING DISORDERS
editionshomme.groupelivre.com
Anorexie, boulimie, trouble d’hyperphagie boulimique, orthorexie… Lorsqu’une personne en souffre, c’est tout son monde qui est contrôlé par la maladie. Les conséquences peuvent être graves sur sa santé physique et mentale. Heureusement, il est possible de guérir en effectuant un travail sur les plans psychologique, nutritionnel et médical. Grâce à cet ouvrage bienveillant et éclairant, vous comprendrez mieux le trouble alimentaire et vous développerez des outils pour le déjouer. Que vous souffriez d’une relation difficile avec la nourriture ou que vous accompagniez un être cher dans ce combat, vous aurez tout en main pour trouver le chemin du rétablissement. M Anorexia, bulimia, binge eating disorder, orthorexia… When someone is afflicted with one of these disorders, it takes over their entire life and the consequences on their physical and mental health can be serious. Fortunately, through psychological, nutritional, and medical work, recovery is possible. This enlightening and helpful book will help you better understand your eating disorder and give you the tools you need to overcome it. Whether you are the one struggling with an unhealthy relationship with food or you are supporting a loved one, you will be fully equipped to find the path to recovery.
emmanuelcs.com/jayson-colin-scholarship.php
Le 10 août 2022, une fusillade a éclaté dans la cour d’une école secondaire de Montréal-Nord. Jayson Colin, un jeune homme âgé de 26 ans, a été atteint de plusieurs projectiles et a malheureusement rendu l’âme. Pour honorer sa mémoire, son ancienne école secondaire, l’École Chrétienne Emmanuel, a décidé de créer une bourse d’études. Cette bourse permettra à plusieurs enfants qui n’ont pas les moyens de fréquenter un établissement privé afin d’avoir accès à une éducation de niveau supérieur. D’ailleurs, un élève a déjà pu en profiter, pour l’année scolaire à venir. À l’automne 2022, deux événements ont eu lieu afin d’amasser des dons pour cette bourse. L'école a organisé une marche contre la violence ainsi qu’une journée de hockey chapeautée par Alex Teck Goaltending. Joyeux, souriant, aimable et gentil ne sont que quelques-unes des merveilleuses qualités pour décrire la personne que Jayson Colin était. Maintenant, son héritage aidera à faire une différence pour les générations futures. Si
vous désirez faire un don à la bourse d’études Jayson Colin, visitez le site Web de l’école. M On August 10th, 2022, a shooting broke out in the yard of a high school in Montreal North. Jayson Colin, a 26-yearold man, was hit by several projectiles and unfortunately passed away. To honour his memory, his former high school, Emmanuel Christian School, decided to create a scholarship in his name. The scholarship will allow several children who do not have the means to attend a private establishment to have access to a higher level of education. In fact, one student was already able to take advantage of the scholarship for the upcoming school year. In the fall of 2022, two events were held to raise funds for the scholarship. The school organized a walkathon against violence and a hockey day led by Alex Teck Goaltending. Joyful, smiley, kind, and loving are just some of the wonderful qualities among many to describe the person that Jayson Colin was. Now his legacy will help make a difference for future generations. If you would like to donate to the Jayson Colin Scholarship, please visit the school website.
BDO CEDARS CANSUPPORT
DRAGON BOAT RACE
cedars.ca
À vos pagaies! Ralliez vos coéquipiers!
La Course de bateaux-dragons CanSupport des Cèdres BDO est de retour! Venez nous rejoindre à la promenade panoramique PèreMarquette, à Lachine, le samedi 9 septembre prochain. Des amis, des familles, des collègues et des coéquipiers se rassembleront alors une fois de plus pour une journée de course enthousiasmante. La course de bateaux-dragons est un événement phare inscrit au calendrier des Cèdres, de même que la principale activité de financement de CanSupport des Cèdres. Depuis plus de 30 ans, ce programme essentiel, accessible au Centre du cancer des Cèdres, offre gratuitement aux patients atteints de cancer et à leur famille du soutien psychologique et émotionnel ainsi que des ressources pratiques et une aide financière. Fondée en 2006, la course attire jusqu’à 500 participants par édition et a recueilli plus de 6 millions de dollars pour CanSupport des Cèdres au fil des ans. M Grab your paddles and rally your team: the BDO Cedars CanSupport Dragon Boat Race is back! Join us on Saturday September 9th, 2023 at scenic Promenade Père-Marquette in Lachine, when friends, family, colleagues, and teammates will gather once again for an exciting day of racing. This signature event is a highlight of the Cedars calendar and the primary fundraiser for Cedars CanSupport, a vital program at the Cedars Cancer Centre, providing free psychological, emotional, practical and financial support to cancer patients and their families over the past 30 years. Founded in 2006, the race attracts up to 500 participants annually, and it has raised over $6 million for Cedars CanSupport.
Êtes-vous atteint(e) d’une maladie du foie, d'hépatite ou de cirrhose?
Nous recherchons des personnes souffrant de la cirrhose, d’une maladie du foie ou d’hépatite B ou C. Présentez-vous dès aujourd’hui pour un examen médical et recevez 300 $ le jour même Selon votre admissibilité, vous pourriez recevoir jusqu’à 4 000 $ en participant à une prochaine étude clinique.
Pour vous inscrire, visitez goalta.ca ou appelez-nous au 514 381-2546.
Do you suffer from liver disease, hepatitis or cirrhosis?
We are looking for people who suffer from cirrhosis, liver disease or hepatitis B or C. Come in today for a medical exam and receive $300 the same day Depending on your eligibility, you could receive up to $4,000 by participating in an upcoming clinical study.
To register, visit goalta.ca or call 514 381-2546.
Les jeunes de Montréal ont pris la parole. Et la Ville les a écoutés! Au printemps dernier, le Service de la diversité et de l’inclusion sociale de la Ville a annoncé que son initiative, Par et pour les jeunes, allait bénéficier d’une injection de fonds indispensables.
Par et pour les jeunes est, naturellement, dirigé par de jeunes Montréalais. Ensemble, ils visent à lutter contre l’injustice, la discrimination et la violence. Ce combat pourra en effet se poursuivre grâce à un investissement total de 7 millions de dollars, le premier du genre pour la Ville. Les fonds seront distribués au cours des prochaines années pour aider à financer des activités sociales, sportives et culturelles proposées par les jeunes.
Lors d’une conférence de presse, la mairesse, Valérie Plante, a déclaré que la Ville devait s’adapter et que « c’est exactement ce que nous voulons faire maintenant. Au-delà de la réponse immédiate aux événements violents, nous devons
nous pencher sur les conditions qui améliorent la qualité de vie des jeunes. »
Une autre partie de l’investissement de la Ville est destinée aux installations sportives, aux pistes cyclables, aux projets d’espaces verts, à l’agriculture urbaine et à la mise en place d’un service d’assistance téléphonique pour les familles.
Montreal’s young people spoke up. And the city listened! Just this past spring, the city’s Service de la diversité et de l’inclusion sociale announced that their initiative, By and For Youth, is getting an injection of much-needed cash.
By and For Youth is, naturally, led by young Montrealers. Together, they aim to battle injustice, discrimination, and violence. The battle will indeed be able to go on with a total investment of $7 million, the first of its kind in the city. The funds will be dispensed over the course of the next few years to help fund social, athletic, and cultural activities proposed by young people.
In a press conference, Mayor Valérie Plante said the city needs to adapt and “this is exactly what we want to do now. Beyond the immediate response to violent events, we need to look at the conditions that improve the quality of life of young people.”
Another chunk of the investment from the city is earmarked for sports facilities, pump tracks for bikes, green-alley projects, urban agriculture, and developing a telephone support-line service for families.
En ce qui concerne les lignes de soutien, la pandémie de la COVID-19 a laissé un profond fossé entre les adolescents et l’éducation, la socialisation et la santé mentale en général. Le mouvement « Agir pour la santé mentale » appelle les Canadiens à exiger des soins de santé mentale pour les jeunes, financés par des fonds publics.
Même après la pandémie, il n’y a pas eu beaucoup de « rebond » après ces mois d’incertitude. En effet, de nombreux psychologues pour enfants et travailleurs sociaux soulignent que beaucoup de nos jeunes luttent encore contre les effets d’un isolement prolongé, d’une routine perturbée et d’une augmentation des facteurs de stress.
« Le Canada laisse tomber ses jeunes », déclare Margaret Eaton, directrice générale de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM). « Nos enfants sont en crise et les parents ne savent pas vers qui se tourner. Il est temps de nous adresser au premier ministre et de lui demander d’agir pour la santé mentale afin de garantir des
Selon la Commission de la santé mentale du Canada, les maladies mentales touchent environ 1,2 million d’enfants et d’adolescents dans le pays. Ce chiffre passe à 7,5 millions (environ un Canadien sur cinq) à l’âge de 25 ans.
Près de 70 % des personnes atteintes d’une maladie mentale voient leurs symptômes apparaître avant l’âge de 18 ans. Jeunesse, J’écoute, le service national gratuit de santé mentale en ligne, accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, est venu en aide aux jeunes plus de 14 millions de fois depuis le début de la pandémie de la COVID-19.
Tout le monde peut aider et s’impliquer en se rendant sur le site agirpourlasantementale.ca
Speaking of support lines, the COVID-19 pandemic left a deep chasm between adolescents and education, socialization, and overall mental health. The Act for Mental Health movement is calling on Canadians to demand publicly funded, mental healthcare for youth.
Even post-pandemic, there has not been much “bounce back” from those uncertain months. Indeed, many child psychologists and social workers point out that many of our young people are still struggling with the effects of prolonged isolation, disrupted routines, and increased stressors.
“Canada is failing our youth,” says Margaret Eaton, Canadian Mental Health Association (CMHA) CEO. “Our kids are in crisis and parents have nowhere to turn. It’s
Parles-en à ton médecin, pharmacien ou infirmière praticienne spécialisée
time we turn to the Prime Minister and demand that he Act for Mental Health to ensure communitybased services.”
The Mental Health Commission of Canada reports that mental illness affects approximately 1.2 million of the country’s children and youth. That number rises to 7.5 million (about one in five Canadians) by age 25.
Nearly 70 per cent of persons living with a mental illness see their symptoms begin before age 18. Kids Help Phone, Canada’s 24/7 national, free e-mental health service, has supported youth more than 14 million times since the COVID-19 pandemic began.
Anyone can help out and get involved by visiting actformentalhealth.ca
Les jeunes Québécois sont encore rivés sur leurs écrans, et ce, pendant plus d’heures qu’avant la pandémie.
Selon un sondage réalisé par l’Académie de la transformation numérique (ATN), affiliée à
l’Université Laval, la hausse est réelle. Avant la pandémie, en 2019, la proportion de jeunes Québécois qui passaient en moyenne plus de 10 heures par semaine sur Internet était de 25 %.
Deux ans plus tard, 42 % des Québécois âgés de 6 à 17 ans passaient en moyenne de 10 à 11 heures par semaine à surfer sur Internet. C’est beaucoup de temps, considérant qu’il importe de sortir ou de rencontrer des amis pour rattraper les deux années « perdues » de distanciation sociale.
L’enquête indique que l’année dernière, le visionnement de vidéos sur des plateformes comme YouTube ou TikTok a été l’activité la plus populaire chez les jeunes, avec un taux de 67 %. Jouer à des jeux en ligne, seul ou avec des amis, arrivait en deuxième position (64 %), suivi des sites de streaming et de divertissement (47 %).
De plus, l’enquête rapporte que 75 % des jeunes utilisent trois appareils électroniques ou plus, soit une hausse de 35 % par rapport à 2019. Parmi les appareils utilisés, ce sont les haut-parleurs intelligents qui
ont connu la plus forte croissance, avec une hausse de 21 %, passant d’un taux d’utilisation de 15 % en 2019 à 36 % l’année dernière.
L’utilisation du téléphone intelligent a augmenté de 14 % au cours de la même période, passant de 60 % à 74 %, tandis que l’utilisation des consoles de jeux vidéo et des lecteurs de musique a augmenté respectivement de 5 % et de 4 %.
Santé Canada recommande bien sûr de réduire le temps passé devant les écrans, citant plusieurs facteurs de risque liés à l’utilisation prolongée d’appareils numériques et autres. Il y a des impacts physiques sur la vision et le poids, mais la santé psychologique subit le plus gros des retombées négatives : mauvaise image corporelle, anxiété, dépression, troubles émotionnels, mauvaises habitudes de sommeil et baisse des capacités d’apprentissage.
Pour vous aider, vous et votre adolescent, à trouver un équilibre, visitez Pause (pausetonecran. com/quand-sinquieter-delutilisation-des-ecrans-de-sonado), un programme financé par le gouvernement du Québec, qui examine la cyberdépendance et les moyens de la combattre.
Quebec’s youth are not only still glued to screens, but they’re also glued for more hours than before the pandemic.
According to one survey conducted by the Université Laval-affiliated Académie de la transformation numérique (ATN), the spike is real. Before the pandemic, in 2019, the proportion of young Quebecers who spent an average of more than 10 hours a week online was 25 per cent.
Two years later, 42 per cent of Quebecers, aged six to 17, spent an average of 10 to 11 hours a week surfing the internet. So much for getting outside or hanging out with friends to make up for two “lost” years of social distancing.
The survey states that last year, watching videos on platforms such as YouTube or TikTok was the most popular activity among youth at 67 per cent. Playing online games, alone or with friends, came second at 64 per cent, followed by streaming and entertainment sites, both at 47 per cent.
In addition, the survey reports that 75 per cent of youth use three or more electronic devices, up 35 per cent from 2019. Among the devices used, smart speakers saw the largest growth, up 21 per cent from a 15 per cent usage rate in 2019 to 36 per cent last year.
The smartphone saw a 14 per cent increase over the same period, from 60 per cent to 74 per cent, while increases were five and four per cent respectively for video game console and music player usage.
Health Canada recommends less screen time, of course, citing several risk factors to prolonged usage of digital devices and the like. There are physical impacts on vision and weight, while psychological health takes the brunt of the negative fallout: poor body image, anxiety, depression, emotional disorders, plus poor sleep habits, and a decline in learning ability.
To help you and your teen find balance, visit Pause (pauseyourscreen.com/whento-worry-about-your-teensscreen-use), a program funded by the Quebec government, which examines cyberaddiction and ways to combat it. M
TRÈS HON. JUSTIN TRUDEAU
Député / MP
Papineau
Justin.Trudeau.c1c@parl.gc.ca
(514) 277-6020
YOUR FEDERAL LIBERAL MP S ARE PROUD TO SUPPORT
HON. MÉLANIE JOLY
Députée / MP
Ahuntsic-Cartierville
Melanie.Joly@parl.gc.ca
(514) 383-3709
ANJU DHILLON
Députée / MP
Dorval – Lachine – LaSalle
Anju.Dhillon@parl.gc.ca
(514) 639-4497
HON. STEVEN GUILBEAULT
Député / MP
Laurier – Sainte-Marie
Steven.Guilbeault@parl.gc.ca
(514) 522-1339
ANTHONY HOUSEFATHER
Député / MP
Mont-Royal / Mount Royal
Anthony.Housefather@parl.gc.ca
(514) 283-0171
ANNIE KOUTRAKIS
Députée / MP
Vimy
Annie.Koutrakis@parl.gc.ca
(450) 973-5660
PATRICIA LATTANZIO
Députée / MP
Saint-Léonard – Saint-Michel
Patricia.Lattanzio@parl.gc.ca
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SAMEER ZUBERI
Député / MP
Pierrefonds – Dollard
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Comment puis-je améliorer les choses? » C’est une question étonnamment complexe que se pose la Dre Lucie Opatrny, récemment nommée présidente et directrice générale du Centre universitaire de santé McGill. Complexe parce qu’elle exige de prendre des décisions difficiles aux implications importantes et de fixer des priorités en fonction des besoins les plus pressants. Complexe aussi parce qu’elle doit se concentrer sur la façon dont elle peut contribuer à la santé des patients et au bien-être du personnel.
« Bien que chaque décision implique la prise en compte de multiples facettes, nous sommes motivés par les principes primordiaux de fournir d’excellents soins avec empathie et d’encourager l’innovation », dit la Dre Opatrny. g
How can I make things better?” It’s a deceptively complex question that Dr. Lucie Opatrny, the recently installed President and Executive Director of the McGill University Health Centre, asks of herself. Complex because it demands making difficult decisions with important implications and setting priorities based upon the most pressing of needs. Complex, as well, for focusing on how she can contribute to the health of patients and well-being of staff.
“While every decision entails the consideration of multiple facets, we are motivated by the overriding principles of providing excellent care with empathy and fostering innovation,” says Dr. Opatrny. gg
g En tant que médecin, elle n’a jamais perdu de vue le patient individuel. En tant que cadre supérieur, et plus récemment, pendant cinq ans en tant que sous-ministre adjointe au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, elle apprécie la synergie du système dans son ensemble.
Forte de son expérience aux niveaux micro et macro des soins de santé, elle est convaincue qu’il faut donner aux cadres intermédiaires les moyens de prendre des décisions afin que l’organisation puisse réagir avec souplesse aux problèmes qui se posent. Elle insiste sur l’importance de maintenir une communication ouverte avec toutes les parties prenantes afin d’obtenir des informations de première ligne et de transmettre les messages de la direction.
« Plutôt que d’avancer lentement sur plusieurs fronts, nous devons nous concentrer sur les domaines où nous devons avancer le plus rapidement », explique-t-elle. Les questions quotidiennes qui doivent être abordées comprennent la modernisation et l’automatisation du système de rendez-vous, la réduction des temps d’attente dans les services d’urgence et la réduction des listes d’attente pour les opérations chirurgicales. Il y a ensuite les domaines que la recherche promet d’améliorer, comme les thérapies géniques et cellulaires et les traitements avancés contre le cancer.
« Nous devons veiller à ce que la communauté ait accès aux soins sans négliger les innovations qui se tournent vers l’avenir », ajoute-t-elle.
Elle est inspirée par le dévouement et la loyauté du personnel du CUSM. Il n’est pas rare, précise-t-elle, de rencontrer des employés de toutes les disciplines et de tous les niveaux qui y passent toute leur carrière. Elle-même a été médecin au CUSM de 2004 à 2012 et décrit sa prise de fonction actuelle comme un retour aux sources.
Après avoir obtenu son diplôme de médecine à McGill, la Dre Opatrny a obtenu une maîtrise en épidémiologie et en biostatistique. Elle est également titulaire d’une maîtrise en gestion des soins de santé et d’un diplôme en négociation avancée de l’Université Harvard. Elle a occupé le poste de directrice des services professionnels au Centre hospitalier de St. Mary et au Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval.
Lors de son entrée en fonction, elle a envoyé un message à l’ensemble de la communauté du CUSM en déclarant : « Il y a autant d’opportunités que de défis dans le réseau de la santé et des services sociaux. Je crois fermement qu’il faut garder l’esprit ouvert aux possibilités, s’écouter les uns les autres, établir des priorités, collaborer à l’interne et à l’externe, et célébrer les réussites. »
Plusieurs mois après le début de son mandat, la Dre Opatrny a déclaré : « Je tiens à dire à quel point je suis honorée d’avoir la chance d’occuper ce poste et de diriger un groupe de personnes incroyablement talentueuses et dévouées ». M
gg As a physician, she never lost sight of the individual patient. As a senior manager, including most recently, a five-year stint as Assistant Deputy Minister at the Québec Ministry of Health and Social Services, she values the synergy of the broader system.
Based upon her experiences at the micro and macro levels of healthcare, she believes in empowering middle managers to make decisions so the organization can respond to issues with agility. She puts great emphasis on the importance of maintaining open communication with all stakeholders to gain information from the front line and to impart messages from leadership.
“Rather than moving slowly on multiple fronts, we need to concentrate on those areas where we need to move the fastest,” she says. Day-to-day issues that need to be addressed include modernizing and automating the appointments system, lessening wait times in the emergency department, and reducing surgical wait lists. Then there are the areas that research promises to improve, such as gene and cell therapies and advanced cancer treatments.
“We need to ensure the community has access to care without neglecting those novel innovations that look to the future,” she says.
She is inspired by the dedication and loyalty of the MUHC staff. It is not rare, she points out, to encounter employees in all disciplines and at all levels who spend their entire careers there. Indeed, she herself was a physician at the MUHC from 2004 to 2012 and describes taking up her current position as a homecoming.
Following her medical degree at McGill, Dr. Opatrny earned a Master’s degree in epidemiology and biostatistics. She also holds a Master's in Healthcare Management and a Diploma in Advanced Negotiation from Harvard University. She has served as Director of Professional Services at St. Mary's Hospital Centre and at the Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval.
Upon taking up her post, she sent a message to the entire MUHC community: “There are as many opportunities as there are challenges in the health and social services network. I am a firm believer in keeping an open mind to the possibilities, listening to each other, setting priorities, collaborating internally and externally, and celebrating successes.”
Several months into her term, Dr. Opatrny says, “I want to convey how honoured I am to have the chance to take on this position and to lead an incredibly talented and dedicated group of individuals.” M
En mai dernier, Kim Clavel était au chevet de sa grand-mère Irène à l’hôpital. Elle se sentait impuissante à l’idée de devoir lui dire adieu si une opération à cœur ouvert urgente ne se déroulait pas comme prévu.
C’est une émotion à laquelle la boxeuse accomplie de 32 ans n’est pas habituée. Elle a fait carrière en se préparant à tout ce que la vie et ses adversaires lui réservent, mais elle n’était tout simplement pas prête à affronter le coup de grâce que représente la perte de sa meilleure amie.
« Nous l’avons serrée dans nos bras, sans savoir si elle reviendrait », se rappelle Kim en évoquant les moments qui ont précédé l’intervention chirurgicale. « Ses artères étaient bloquées à 99 % et le médecin a dit qu’elle était comme une bombe à retardement, capable de mourir à tout moment. » g
Kim Clavel stood at her grandmother Irène’s hospital bedside this past May, feeling helpless at the thought of having to say goodbye if urgent, open-heart surgery didn’t go as planned.
It was an emotion the accomplished 32-year-old boxer wasn’t accustomed to. She’d made a career of being prepared for everything life and opponents would throw at her, but she simply wasn’t ready for the potential knockout blow of losing her best friend.
“We hugged her, not knowing if she’d come back,” recalls Clavel of the moments before surgery. “Her arteries were 99 per cent blocked and the doctor said she was like a ticking time bomb, able to die at any moment.” gg
g Mais la résilience est profondément ancrée dans les lignées familiales. Après une opération réussie et une période de convalescence de dix jours à l’hôpital, cette femme de 85 ans était de nouveau sur pied et aux côtés de sa petite-fille bien-aimée, prête à l’encourager à nouveau.
« L’autre jour, je l’ai emmenée prendre le petit déjeuner, puis on est allées chez Tigre Géant, Rona et Canadian Tire », raconte Kim en riant; elle adore même les activités les plus banales avec sa mamie. Elle a aussi une liste de chansons spéciales pour leurs promenades en voiture, avec de la musique des années 1940 pour évoquer des souvenirs heureux.
Elles partagent aussi souvent des anecdotes sur Georges, le grandpère de Kim, mari dévoué d’Irène pendant 68 ans avant qu’il ne s’éteigne malheureusement en 2021.
« Elle est si forte », confie Kim, les larmes aux yeux. « Nous passons de si bons moments ensemble et elle est sincèrement la personne la plus importante de ma vie. »
À vrai dire, Irène n’aime pas le choix de carrière pugilistique de sa petite-fille. Mais cela ne l’empêche pas d’envoyer des émojis de gants de boxe plus d’une semaine avant chaque combat. Elle commence par dix, puis fait le décompte jusqu’à la nuit du combat. Elle commande tous les contenus télé à la carte, et découpe tous les articles de journaux et de magazines. Irène n’est pas seulement son roc, elle est aussi sa plus grande admiratrice.
Heureusement, Kim a toujours eu de bonnes personnes à ses côtés, qui lui ont donné la force de surmonter les obstacles les plus difficiles sur son passage. Et il y en a eu plus d’un sur sa route pour devenir l’une des boxeuses les plus douées de sa catégorie.
« J’ai connu des moments difficiles, dit-elle. J’ai perdu mon titre. J’ai été malade. J’ai eu beaucoup de combats reportés. J’ai eu un gros accident à la main quand j’étais dans l’équipe nationale, et le médecin m’a dit que je ne pouvais plus combattre. Mais ma vie est basée sur la persévérance. »
Lorsque Kim a perdu le premier combat de sa carrière en janvier dernier, par décision unanime en 10 rounds contre Yesica Nery Plata lors de leur combat d’unification, elle a sombré dans l’obscurité.
« J’ai eu beaucoup de mal après cette défaite, admet-elle. Je me sentais si vide à l’intérieur et je n’étais pas sûre d’avoir encore la même passion qu’avant. »
Mais après avoir puisé au plus profond d’elle-même, elle a vu les braises de la résilience briller encore. Assommée, mais jamais éliminée, Kim a repris l’entraînement et s’est efforcée de remporter le titre international WBC des poids légers à la Place Bell, à Laval, en mai dernier. La victoire par décision unanime sur une adversaire mexicaine très coriace, Naomi Arellana Reyes, était exactement ce qu’il lui fallait.
Maintenant, elle espère passer à un combat de championnat à l’automne, possiblement en septembre ou en octobre. Son camp, qui comprend l’entraîneuse Danielle Bouchard et le gérant Stéphan Larouche, veut tirer profit de son récent triomphe et espère rencontrer bientôt le promoteur Yvon Michel du Groupe Yvon Michel (GYM). g
gg But resilience runs deep in the family bloodlines. After a successful operation and 10-day recovery in hospital, the 85-year-old was back on her feet and by her beloved granddaughter’s side, ready to cheer her on again.
“I just took her for breakfast the other day, then to Giant Tiger, Rona, and Canadian Tire,” laughs Clavel, who loves even the most mundane of activities with her Mamie. She even has a special playlist for their car rides together, featuring music from the 1940s to conjure up memories of happy times.
They’ll also often share stories of Clavel’s grandfather Georges, a devoted husband to Irène for 68 years, before sadly passing away in 2021.
“She’s so strong,” Clavel says, tears welling up in her eyes. “We have such a beautiful time together, and she’s sincerely the most important person in my life.”
Truth be told, Irène doesn’t love her granddaughter’s pugilistic career choice. But that doesn’t stop her tradition of texting boxing glove emojis more than a week before every fight. First with ten, counting all the way down to fight night. She buys every pay-per-view and clips every newspaper and magazine article. Irène is not only her rock, she’s also her biggest fan.
Luckily, Clavel has always had some great people in her corner, giving her the strength to overcome even the most challenging obstacles in her path. And there have been more than a few on her road to becoming one of the most gifted boxers in her class.
“I’ve had hard times,” says Clavel. “I lost my title. I’ve been sick. I had a lot of fights postponed. I had a big accident with my hand while I was with the national team when the doctor said I couldn’t fight anymore. But my life is about perseverance.”
When Clavel lost her first career fight this past January, a 10-round unanimous decision to Yesica Nery Plata in their unification bout, she went to a dark place.
“I had a really hard time after that loss,” she admits. “I felt so empty inside and wasn’t sure if I still had the same passion as before.”
But after looking deep within, she saw the embers of resilience still glowing. Knocked down but never out, Clavel got back to training and willed herself to win the WBC International light flyweight title at Laval’s Place Bell in May. Defeating a very tough Mexican opponent in Naomi Arellana Reyes by unanimous decision was just what she needed.
Now, the hope is to ramp up to a championship bout sometime in the fall, possibly September or October. Her camp, which includes coach Danielle Bouchard and manager Stéphan Larouche, wants to capitalize on her recent triumph and expects to meet soon with promoter Yvon Michel of Groupe Yvon Michel (GYM). gg
g « À 32 ans, on ne veut pas prendre son temps. On le veut tout de suite, admet-elle. J’ai toujours cette flamme qui brûle en moi. Je peux redevenir championne du monde. »
C’est vraiment plaisant à entendre pour tous ceux qui ont joué un rôle dans l’ascension de Kim vers les sommets.
« Mon premier entraîneur, Michel Morin, a été le premier à croire en moi », confie Kim à propos de son ancien mentor de Joliette, où elle a passé une dizaine d’années de sa jeunesse avant de s’installer à Montréal. « Il m’a enseigné tout ce qu’il savait et je ne l’oublierai jamais. C’était très important, mais j’avais besoin d’un peu plus pour aller plus loin. »
Une fois à Montréal, ses yeux se sont ouverts en découvrant ce qu’étaient réellement l’entraînement, la forme physique et la nutrition à l’échelle d’une grande ville. C’est alors que Bouchard et Larouche entrent en scène. Kim a également commencé à s’entraîner dans le même gymnase que le légendaire combattant Lucian Bute, ce qui a complètement changé son état d’esprit.
« Je n’avais jamais vu quelqu’un s’entraîner aussi dur au gym, dit-elle. Il parlait à tout le monde et nous aidait. Je voulais suivre ses traces. Il a été mon premier modèle. »
Kim était loin de se douter que, comme M. Bute, elle deviendrait un modèle pour de nombreuses personnes. C’est un statut auquel elle a d’abord résisté, admettant qu’elle s’est d’abord sentie comme un imposteur, mal à l’aise avec l’idée d’être considérée de la sorte.
Les fans lui écrivaient souvent sur les réseaux sociaux pour lui dire à quel point elle était une source d’inspiration ou à quel point leurs filles l’aimaient. Avec le temps, elle a non seulement appris à accepter le rôle, mais elle l’a aussi adopté pleinement.
« Le moment qui m’a ouvert les yeux est celui où un père m’a envoyé une photo de sa fille endormie. La photo sur son mur… c’était moi. J’ai fondu en larmes, dit-elle. J’ai su que je devais être une bonne personne, non seulement à l’intérieur du ring, mais aussi à l’extérieur, car de jeunes yeux me regardaient. »
Maintenant, c’est personnel, parce qu’elle comprend l’importance d’avoir quelqu’un à qui s’adresser quand on est une jeune fille, surtout dans les moments les plus difficiles.
« Ma mère [Linda] était seule », raconte Kim, qui voyait son père tous les deux week-ends. « Elle s’est beaucoup battue. C’était difficile. Elle n’avait pas beaucoup d’argent et devait travailler très dur, alors on déménageait souvent. »
Linda était, et est encore aujourd’hui, une travailleuse de la santé dévouée, chargée de s’occuper de patients âgés atteints de la maladie d’Alzheimer. Au cours des premières années, la famille se déplaçait de ville en ville, de SaintCalixte à Saint-Charles-Borromée et partout entre les deux, sans jamais abandonner et en suivant les opportunités qui se présentaient.
Tout au long de son parcours, la jeune Kim a observé avec admiration sa mère donner tout ce qu’elle avait pour aider les autres dans le besoin. Il ne lui a pas fallu longtemps pour réaliser qu’aider les autres faisait partie de son propre ADN. Kim demandait souvent à accompagner sa mère au travail afin qu’elle puisse aider à nourrir et à laver les visages des personnes âgées. g
gg “At 32, you don’t want to take your time. You want it right away,” she admits. “I still have that fire burning inside. I can be a world champion again.”
That’s music to the ears of everyone who has played a part in Clavel’s journey to the top.
“My first coach, Michel Morin, was the first one that believed in me,” says Clavel of her former mentor from Joliette, where she spent a decade of her youth before moving to Montreal. “He taught me everything he knew, and I’ll never forget it. That was so important, but I needed more to become more.”
Once in Montreal, her eyes opened wide at the sight of what training, fitness and nutrition, were really like at the big-city level. That’s when the aforementioned Bouchard and Larouche entered the picture. Clavel also began to train at the same gym as legendary fighter Lucian Bute, which completely changed her mindset.
“I’d never seen anyone train so hard in the gym,” she says. “He talked to everyone and helped us. I wanted to follow in his footsteps. He was my first role model.”
Little did Clavel know that, like Bute, she would also become a role model to many. It was a status she initially resisted, admitting she felt like an imposter at first, uncomfortable with the notion of being held in that regard.
Fans would often write to her on social media, telling her how inspirational she was or how their daughters loved her. With time, she not only learned to accept the role, but embrace it as well.
“The one moment that opened my eyes was a father who sent me a photo of his daughter sleeping. The picture on her wall… was me. I had tears,” says Clavel. “I knew I had to be a good person, not only inside the ring, but outside of the ring too, because young eyes were looking at me.”
Now it was personal, because she understood the importance of having someone to look up to as a young girl, especially during the tougher times.
“My mother [Linda] was alone,” says Clavel, who would see her father every second weekend. “She struggled a lot. That was hard. She didn’t have a lot of money and had to work so much, so we moved a lot.”
Linda was, and still is, a devoted healthcare worker tasked with caring for elderly Alzheimer’s patients. During those early years, they would hop from town to town, from Saint-Calixte to Saint-Charles-Borromée and everywhere in between, never giving up and following the opportunities as they came.
Throughout the journey, young Kim watched in awe as her mother gave everything of herself to help others in need. And it didn’t take long for her to realize that helping others was part of her own DNA. Clavel would often ask to go to work with her mother, so that she could help feed and wash the faces of those elderly residents. gg
g Au fil des ans, cet esprit nourricier ne s’est jamais estompé. Il n’a fait que se renforcer.
En fait, au début de l’année 2020, alors que Kim était dans la meilleure forme de sa vie et s’apprêtait à faire une attaque massive, la pandémie de COVID-19 est arrivée à nos portes et a mis un terme brutal à tous les efforts qu’elle avait déployés pour atteindre ses objectifs.
Mais Kim a refusé de rester inactive et de s’apitoyer sur son sort. Infirmière de formation, elle s’est retroussé les manches et a envoyé son curriculum vitæ à plusieurs établissements de soins de longue durée de la région de Montréal. En peu de temps, elle s’est rendue d’une zone chaude à l’autre, répondant à l’appel pour aider les personnes les plus vulnérables de la communauté.
Isolées de leurs proches, nombre d’entre elles étaient sur le point de rendre leur dernier souffle, seules et effrayées par l’incertitude du monde qui les entourait. Kim leur parlait, leur tenait la main, leur posait des questions sur leur famille et leurs souvenirs, les traitant avec la dignité et le respect qu’elles méritaient.
La boucle est bouclée pour cette petite fille qui avait l’habitude de suivre sa mère avec amour.
« Ces trois mois ont changé ma vie », dit-elle à propos des efforts qui lui ont valu le prix Pat Tillman, pour ses services rendus, lors des ESPY Awards de 2020. « J’ai tellement grandi. Nous parlons de résilience, mais ces personnes m’ont vraiment montré ce qu’était la résilience. »
En fin de compte, cette expérience éprouvante a été ponctuée par les paroles d’un homme en particulier qu’elle avait eu l’occasion de connaître au cours de plusieurs visites avant qu’il n’entame ses derniers instants.
Il m’a dit : « Si tu es fâchée avec quelqu’un, parle-lui et règle le problème avant qu’il ne soit trop tard », raconte Kim, expliquant comment l’homme était en désaccord avec son fils. « Il n’a pas eu le temps de lui dire qu’il l’aimait. Cela m’a fait comprendre que la chose la plus importante dans la vie est d’être avec les personnes que l’on aime le plus. »
Avec un esprit de compétition féroce et une touche humaine attentionnée, Kim Clavel incarne ce que signifie être une grande athlète, et une personne encore plus remarquable.
C’est un véritable coup de maître. M
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gg Over the years, that nurturing spirit never faded. It only got brighter.
In fact, in early 2020, while Clavel was in the best shape of her life and poised for a massive bout, the COVID-19 pandemic arrived at our doorsteps. It put an abrupt halt to everything she’d been working toward.
But Clavel refused to sit idle and feel sorry for herself. As a trained nurse, she rolled up her sleeves and sent out her résumé to several Montreal-area long-term care facilities. Before long, she was going from hot zone to hot zone, answering the call to help the community’s most vulnerable individuals.
Isolated from their loved ones, many of them were on their last breath, alone and afraid in the uncertainty of the world around them. Clavel would talk to them, hold their hands, ask them about their families and their memories, treating them with the dignity and respect they deserved.
It was all coming full circle for that little girl who used to lovingly tag along with her mum.
“Those three months changed my life,” says Clavel of the efforts that earned her the Pat Tillman Award for Service at the 2020 ESPYS. “I grew so much. We talk about resilience, but those people showed me what resilience truly is.”
In the end, the harrowing experience was punctuated by the words of one man in particular, who she’d had the opportunity to get to know over several visits before he entered his final moments.
“He said, ‘If you have someone that you’re upset with, talk to them and fix the problem before it's too late’,” recounts Clavel, explaining how the man had been at odds with his son. “He didn’t have time to tell him that he loved him. It made me realize that the most important thing in life is to be with the people you love the most.”
With a fiercely competitive spirit and thoughtful human touch, Kim Clavel embodies what it means to be a great athlete, but an even better person.
That’s one heck of a one-two punch. M
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Avec 20 ans d’expérience combinée en tant qu’animateur radio, producteur, artiste voix hors champ, journaliste, contributeur télé, agent en communications et rédacteur, les intérêts de Shaun McMahon sont vastes, mais se concentrent sur le sport, la musique, la technologie et la santé. Enfin, sa véritable passion se résume à son amour pour les gens et à sa quête de raconter leurs histoires incroyables. With 20 years of combined experience as a radio host, producer, voiceover artist, journalist, TV contributor, communications specialist, and feature writer, Shaun McMahon’s interests are vast, but often focus on sports, music, technology and healthcare. Ultimately, his true passion boils down to his love for people and the quest to tell their amazing stories.
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Bruny Surin a vécu de nombreux moments marquants au cours de sa carrière spectaculaire, notamment lorsqu’il a découvert Synvisc® et l’impact que ce traitement a eu sur sa douleur articulaire.
Après sa retraite, des douleurs au genou ont commencé à limiter sa capacité à faire de l’exercice avec le dynamisme, la passion et le dévouement qui caractérisent Bruny. C’est avec un sentiment de découragement et de déni qu’il a appris qu’il souffrait d’arthrose. Mais Bruny ne se laisse jamais abattre très longtemps, et il a été ravi lorsque son médecin lui a proposé un traitement avec Synvisc®. Ce fluide gélatineux est dérivé de l’acide hyaluronique, et simule l’élasticité et la consistance du liquide articulaire, traitant efficacement la douleur qui résulte de l’arthrose dans les articulations. Au début du traitement, en 2012, Bruny recevait une injection tous les 6 mois, mais a finalement constaté que les effets sur le soulagement de la douleur se poursuivait pendant 8 à 12 mois après une injection. Synvisc remplace temporairement le liquide articulaire pour réduire la douleur et la gêne, permettant d’accroître ainsi l’ampleur du mouvement de l’articulation, ce qui lui a permis de reprendre un régime d’exercice, avec l’optimisme qui le caractérise. Il ne connaît pas la définition d’impossible, ce qui se reflète dans toutes les facettes de sa vie. Il encourage vivement tous ceux qui éprouvent les mêmes douleurs causées par l’arthrose du genou à parler à leur médecin des bienfaits de Synvisc. Bruny insiste toujours sur l’importance, selon lui, de prendre en charge sa propre santé, en maintenant un mode de vie actif et une attitude optimiste.
Aujourd’hui, cet athlète accompli se concentre sur de nouveaux défis. Outre son travail d’entraîneur, de conférencier et de fondateur de la fondation Bruny Surin (qui encourage un mode de vie sain et actif chez les
Bruny Surin has experienced many life-changing moments over the course of a spectacular career – and one that stands out is his introduction to Synvisc® and the difference it made to his joint pain.
After retirement, knee pain started to limit his ability to exercise with the drive, passion, and dedication that was typical Bruny style. He was disheartened to learn that he had osteoarthritis, and his initial feelings were ones of discouragement and denial. But it’s hard to keep Bruny down for long, and he was delighted to have his physician initiate therapy with Synvisc®. This gel-like fluid is derived from hyaluronic acid, and simulates the elasticity and consistency of joint fluid, effectively treating the pain that results from osteoarthritis in joints. At the beginning of treatment, in 2012, Bruny had an injection every six months – but eventually found that pain relief was sustained for 8-12 months following an injection. Synvisc temporarily replaces joint fluid to decrease pain and discomfort, allowing more extensive movement of the joint which has allowed him to resume an exercise regime in his always upbeat and positive fashion. He says he doesn’t know what the definition of impossible is – which shows in every facet of his life. He strongly encourages anyone experiencing the same pain caused by knee osteoarthritis to talk to their physicians about what Synvisc can do for them. Bruny always emphasizes how important he believes it is to take charge of one’s own health, by maintaining an active lifestyle and an optimistic outlook.
jeunes), il est fier et honoré d’avoir été nommé Chef de mission pour les Jeux olympiques de 2024 par le Comité olympique canadien. Ayant participé à quatre Jeux olympiques, où il a vécu de bonnes et de mauvaises expériences, il est particulièrement bien placé pour encadrer et soutenir les jeunes athlètes qui participeront aux compétitions. Son intention est de s’assurer que tous les athlètes disposent de ce dont ils ont besoin pour donner le meilleur d’eux-mêmes, avec la certitude que Bruny sera là pour les écouter, les conseiller et les soutenir.
La vie est belle, affirme cette étoile de l’athlétisme surdouée. Aujourd’hui encore, il se sent chanceux d’avoir fait partie de ce sport et affirme qu’avec un esprit de camaraderie et de confiance, on peut faire des miracles.
Synvisc® est un remplacement ou un complément temporaire du liquide synovial qui peut convenir aux patients souffrant d’arthrose, que la maladie soit légère ou grave.
SYNVISC® (hylane G-F 20) est administré en injection intra-articulaire pour réduire la douleur associée à l’arthrose du genou, de la hanche, de la cheville et de l’épaule. SYNVISC® contient de petites quantités de protéines aviaires et ne devrait pas être administré aux patients présentant des réactions d’hypersensibilité à ces produits. Les injections intra-articulaires de SYNVISC® peuvent causer des effets indésirables dans le genou traité, dont des symptômes passagers de douleur, d’enflure ou d’épanchement.
Depuis la mise en marché du produit, les effets systémiques suivants se sont produits dans de rares cas après l’administration de SYNVISC® : éruptions cutanées, urticaire, démangeaisons, fièvre, nausées, céphalées, étourdissements, frissons, crampes musculaires, paresthésie, oedème périphérique, malaise, difficultés respiratoires, bouffées congestives et oedème facial. En présence d’une stase veineuse ou lymphatique, SYNVISC® ne devrait pas être injecté dans un genou. SYNVISC® ne doit pas être injecté dans un genou infecté ou enflammé ni à des patients atteints d’une affection cutanée ou ayant une infection au site d’injection; il ne doit pas être injecté par voie intravasculaire, en dehors de la cavité articulaire, dans le tissu synovial ou la capsule.
*Les résultats peuvent varier d’une personne à une autre.
** Synvisc® pourrait ne pas vous convenir Consultez votre professionnel de la santé.
*** Étude d’un cas réel.
SYNVISC® est une marque déposée de Genzyme Corporation. © 2022 sanofi-aventis Canada inc. Tous droits réservés.
These days, this accomplished athlete is focused on new challenges. Aside from his work as a coach and motivational speaker, and founder of the Bruny Surin Foundation (which promotes a healthy and active lifestyle among young people), he is proud and honoured to have been named Chef de Mission for the 2024 Olympics by the Canadian Olympic Committee. Having competed in four Olympic games, where he had both good and bad experiences, he is uniquely positioned to mentor and support the young athletes who will be competing. His intent is to ensure that every one of them has what they need to perform to their maximum level, with the confidence that Bruny is there to listen, to counsel, and to support them.
Life is beautiful, says this gifted track star. To this day, he feels fortunate to have been a part of this sport, and says that with camaraderie and trust, you can make miracles.
Synvisc® is a temporary synovial fluid replacement or supplement for patients that may be suitable for patients with osteoarthritis, whether the disease is mild or severe.
SYNVISC® (hylan G-F 20) is for intra-articular injection to treat pain associated with osteoarthritis of the knee, hip, ankle and shoulder. SYNVISC® contains small amounts of avian protein and should not be used in patients with related hypersensitivities. Adverse events involving the injected knee after intra-articular injections of SYNVISC® may include: transient pain and/or swelling and/or effusion.
The post-marketing experience has identified the following systemic events to occur rarely with SYNVISC® administration: rash, hives, itching, fever, nausea, headache, dizziness, chills, muscle cramps, paresthesia, peripheral edema, malaise, respiratory difficulties, flushing and facial swelling. If venous or lymphatic stasis is present, SYNVISC® should not be injected into the knee. SYNVISC® should not be used in infected or inflamed knees or in patients having skin diseases or infections in the area of the injection site; it should not be injected intravascularly, extra-articularly or into the synovial tissues and capsule.
*Results may vary for each individual.
**Synvisc® may not be right for you. Consult your health professional.
***Actual case study.
SYNVISC® is a registered trademark of Genzyme Corporation. © 2022 sanofi-aventis Canada Inc. All rights reserved. MAT-CA-2200789-1.0-08/2022
Durant la pandémie de la COVID-19, les confinements qu’on nous a imposés pour prévenir la propagation du virus ont grandement perturbé nos habitudes. Chez les enfants, la fréquentation scolaire et les visites régulières chez le médecin ont été au nombre des activités sacrifiées.
En conséquence, de nombreux adolescents et préadolescents n’ont donc pas reçu les vaccins usuels visant à les protéger des maladies évitables par la vaccination1. Bien que la distanciation physique ait aidé à prévenir la propagation du virus, l’isolement a aussi réduit le nombre de possibilités d’exposition à des micro-organismes permettant à chacun de bâtir son immunité, ce qui est venu exacerber la vulnérabilité aux infections courantes2 g
Lockdowns to prevent the spread of COVID-19 during the pandemic interfered with many of our regular activities. For children, that included attendance at school and wellness visits to the doctor.
As a result, many teens and tweens missed out on routine immunizations to protect them from vaccine-preventable diseases.1 And while social distancing measures helped prevent the spread of the virus, that isolation also meant fewer opportunities to develop natural immunity through exposure, creating another layer of vulnerability to common infections.2 gg
BECAUSE SOME TYPES OF HPV CAUSE AT LEAST 70% OF CERTAIN HEAD AND NECK CANCERS.
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GARDASIL®9 has been issued market authorization with conditions in individuals 9 through 45 years of age for the prevention of certain head and neck cancers, such as throat and back of mouth cancers caused by HPV types 16, 18, 31, 33, 45, 52 and 58, pending the results of trials to verify its clinical benefit. GARDASIL®9 helps protect individuals 9 through 45 years of age against cervical, vulvar, vaginal and anal cancers caused by HPV types 16, 18, 31, 33, 45, 52 and 58 and genital warts caused by HPV types 6 and 11. GARDASIL®9 does not treat HPV infection, cancers and diseases and may not protect everyone who gets vaccinated. GARDASIL®9 is not recommended for use in pregnant women. Women should still get routine cervical cancer screening. Side effects and allergic reactions can occur.
Dans l’affirmative, sachez qu’ils ne sont pas les seuls. Environ 25 % des jeunes Canadiens ne sont pas à jour dans leurs vaccins, selon l’Ontario Medical Association1
L’automne dernier, à la levée des dernières restrictions liées à la pandémie, la Dre Sloane Freeman, pédiatre au St. Michael’s Hospital, a affirmé à un journaliste de la CBC que, en Ontario, la couverture des vaccins généralement administrés en milieu scolaire était « très très faible »3. Cette situation fait écho à la baisse des taux de vaccination en 2020 dans plusieurs provinces du Canada, dont le Québec3,4
« Au fil des années à venir, nous devrons vraiment faire les efforts voulus pour que les enfants reçoivent tous leurs vaccins et qu’ils maintiennent leur immunité, chose que, en quelque sorte, nous tenions pour acquise avant la pandémie », poursuit la Dre Freeman3
L’interruption des campagnes scolaires de vaccination pourrait avoir facilité la transmission de nombreuses maladies chez les jeunes adultes, dont les infections à méningocoque, l’hépatite B, et les infections par le virus du papillome humain (VPH). Les statistiques révèlent que le nombre de jeunes Ontariens de 12 ans qui, en temps normal, seraient vaccinés contre ces trois maladies avait chuté considérablement durant l’année scolaire 2020-2021, comparativement à 2019- 20204
Si certains vaccins s’administrent en une dose unique, d’autres — comme le vaccin contre l’hépatite B et le vaccin nonavalent contre le VPH (Gardasil® 9) — s’administrent en trois doses, ou encore, dans le cas du vaccin anti-VPH, en deux doses si la première dose a été administrée entre neuf et 14 ans. Si la série a été interrompue, il n’est pas nécessaire de repartir de zéro, mais les doses manquantes doivent être administrées afin que le vaccin offre une protection maximale5
Au pic de la pandémie, les enfants nés en 2006, 2007 et 2008 qui auraient normalement été vaccinés contre l’hépatite B en milieu scolaire ont été laissés pour compte et se sont donc retrouvés sans protection5
Même chose pour le vaccin contre le VPH généralement administré aux jeunes du secondaire : les enfants nés en 2002, 2003 et 2004 pourraient n’avoir reçu aucune dose de ce vaccin important ou encore, ne pas avoir reçu toutes les doses5. En fait, 70 % des jeunes qui avaient à peu près 12 ans au début de la pandémie ont reçu la première dose de la série du vaccin anti-VPH en 2019-2020, et seulement 20 % ont reçu les doses restantes du vaccin anti-VPH durant l’année scolaire suivante1
Dernier point, et non le moindre, il est important que tous les membres de la famille restent à jour dans leurs vaccins contre la COVID-19 — lequel peut se donner en même temps que d’autres vaccins usuels1 M
Présenté par Vaccins411.ca — Pour savoir où aller pour vos vaccins! Cette information ne doit pas remplacer les soins et les conseils prodigués par votre médecin. Votre médecin peut recommander des traitements différents en fonction de vos antécédents et de votre situation.
If the answer is yes, you aren’t alone. About 25 per cent of young Canadians are not up to date with their routine immunizations, according to the Ontario Medical Association.1
Last fall, as we were emerging from pandemic restrictions, Dr. Sloane Freeman, a pediatrician at St. Michael’s Hospital, told CBC news that Ontario is seeing “Really, really low coverage,” for the school-based immunization programs.3 And this reflects a decline from 2020 vaccination rates in several provinces across Canada, including Quebec.3,4
“As we move forward through the pandemic, we really have to focus on children maintaining and getting these routine immunizations that otherwise, before, we sort of took for granted,” said Dr. Freeman.3
Interrupted school vaccination programs might have left teens unvaccinated against several illnesses more likely to spread among young adults, such as meningococcal disease, hepatitis B, and human papillomavirus (HPV). Statistics show that the number of 12-year-olds in Ontario who normally would have been immunized against these three diseases dropped significantly in 2020-2021 compared with the 20192020 school year.4
While some vaccines are provided as a one-time dose, others such as hepatitis B and HPV-9 (Gardasil® 9) require a three-dose series, or two doses of HPV-9 for those who start the series between age nine and 14. An interrupted series does not need to be restarted, but must be completed to provide maximum protection.5
During the height of the pandemic, kids in grades 7 and 8 who would normally have received their hepatitis B vaccinations at school missed out, leaving those born in 2006, 2007, or 2008 unprotected.5
Ditto for HPV vaccinations usually given in high school — kids born in 2002, 2003, or 2004 may have missed, or not completed, that important vaccine series.5 In fact, 70 per cent of those who were around age 12 at the start of the pandemic received the first in the series of HPV vaccinations in 20192020, and only 20 per cent received the remaining HPV vaccines during the following school year.1
And last but not least, it’s important for the whole family to keep up on your COVID-19 protection — the vaccine can be given at the same time as other routine vaccinations.1 M
Sources: 1. https://www.oma.org/newsroom/news/2022/august/ontarios-doctors-urge-public-to-stay-up-to-date-on-vaccinations-for-covid-19-and-flu. 2. https://crisis24.garda.com/insightsintelligence/insights/articles/vaccine-preventable-diseases-in-a-post-covid-world. 3. https://www.cbc.ca/news/health/kids-missing-routine-vaccinations-1.6555077. 4. https://www.theglobeandmail. com/canada/article-routine-vaccination-rates-children-teens. 5. https://www.health.gov.on.ca/en/pro/programs/immunization/docs/Guidance_for_Routine_CatchUp_Immunization_Services.pdf.
to you by Vaccines411.ca – Know where to go for your vaccinations! This information should not be used as a substitute for the medical care and advice of your doctor. There may be variations in treatment that your physician may recommend based on individual facts and circumstances.
Help protect her now from the threat of meningitis B
• It can be fatal within 24 hours of first symptoms
• It is not yet part of regular childhood vaccinations, so your teen may not be protected
Trumenba.ca
TRUMENBA is a vaccine to help prevent MenB (invasive meningococcal disease caused by N. meningitidis serogroup B bacteria), for use in individuals aged 10 through 25 years.
As with any vaccine, TRUMENBA will not protect 100% of those who receive it. It is not indicated to treat MenB or prevent its consequences.
Like all vaccines, TRUMENBA can cause side e ects, although not everybody gets them. The most common side e ects (reported in more than 1 in 10 people) a er receiving TRUMENBA include headache, nausea, diarrhea, muscle pain, joint pain, redness, swelling and pain at the injection site, chills and fatigue (tiredness). Other common side e ects (in more than 1 in 100 people) a er receiving TRUMENBA are vomiting and fever ≥380C. Side e ects that have been reported during marketed use include allergic reactions and fainting. Tell your healthcare professional if you, or your child has, a troublesome symptom or side e ect not listed here, or one that becomes bad enough to interfere with daily activities. This is not a complete list of side e ects.
For more information, please consult the Product Monograph at www.pfizer.ca/pm/en/Trumenba.pdf or call 1-800-463-6001
Les vaccins stimulent les cellules de défense et aident à produire des anticorps. Les anticorps nous protègent contre la maladie.
La vaccination est la meilleure protection contre plusieurs maladies. Demandez à votre professionnel de la santé les meilleurs vaccins pour vous et tous les membres de votre famille.
Vaccines stimulate defense cells and help produce antibodies. Antibodies shield us against disease. Vaccination provides the best protection against several illnesses. Ask your healthcare professional about the best vaccines for you and all the members of your family.
merck.ca
pfizer.ca
Pour trouver la clinique de vaccination la plus proche de chez vous ainsi que des renseignements fiables sur l’immunisation, visitez Vaccins411.ca
To find the vaccinating clinic closest to you along with reliable immunization information, visit Vaccines411.ca
La concentration est la capacité de se focaliser sur une tâche ou une activité. Elle implique la capacité à diriger son attention de manière sélective, à maintenir cette attention pendant une période de temps donnée et à résister aux distractions ou aux interruptions. Les jeunes sont rapidement amenés à développer cette compétence importante afin de mener à bien des tâches, d’intégrer de nouvelles informations, de pratiquer un sport, etc. La concentration peut être influencée par la fatigue, le stress, l’environnement ou l’alimentation d’un individu et donc, il existe plusieurs façons de soutenir naturellement la concentration, par la modulation de ces facteurs.
Les jeunes peuvent se sentir dépassés lorsqu’ils sont face à de grandes tâches. Le fait d’établir une routine ou de diviser les activités permet de réduire le stress et l’anxiété associés à l’exécution de celles-ci et donc d’augmenter leur capacité de concentration.
Un environnement calme et exempt de distractions collabore à rester centré sur une tâche. La stimulation constante offerte par les appareils électroniques à écran peut affecter la capacité d’attention. De façon prolongée, l’exposition à ceux-ci entraîne une fatigue visuelle ou encore une perturbation du sommeil. Ces conséquences peuvent nuire à la capacité des jeunes à se concentrer sur les tâches scolaires. Ceci dit, il est crucial de limiter le temps d’écran, en particulier avant le coucher et de privilégier des activités comme la lecture, le dessin ou les jeux extérieurs. g
Concentration is the ability to focus on a task or activity. It involves being able to selectively direct that attention, sustain it for a given period of time, and resist distractions or interruptions. Children are quickly taught to develop this important skill at a young age in order to carry out tasks, assimilate new information, play a sport, etc. Concentration levels can be affected by fatigue, stress, environment, or diet. There are several ways to naturally support concentration by modulating these factors.
Young people can feel overwhelmed when faced with big tasks. Establishing a routine or dividing up activities reduces the stress and anxiety associated with performing them and therefore increases their ability to concentrate.
A calm, distraction-free environment promotes focus. The constant stimulation provided by screen-based electronic devices can affect attention spans. Prolonged exposure to them can lead to visual fatigue and disturbed sleep. These consequences can affect a young person’s ability to concentrate on academic tasks. That said, it is crucial to limit screen time, especially before bedtime, and to engage in other activities like reading, drawing or time outside. gg
Préparez vos enfants pour l’ANNÉE SCOLAIRE
Prepare your kids for the SCHOOL YEAR
Soutient les fonctions du cerveau : concentration, mémoire, rétention de l’information apprise
Améliore la concentration chez les enfants et les adultes souffrant du TDA et TDAH
Soutient le système nerveux pour aider à gérer l’agitation et la nervosité
Supports brain functions: concentration, memory, retention of learned information
Improves concentration in children and adults suffering from ADD and ADHD
Supports the nervous system to help manage agitation and nervousness
MEILLEUR PRODUIT POUR LA CONCENTRATION
BEST CONCENTRATION PRODUCT
FORMULE ADULTES ADULT FORMULA
L’exercice régulier aide le corps à produire des endorphines, des neurotransmetteurs qui peuvent aider à améliorer l'humeur, à réduire le stress, à améliorer la fonction cognitive et à favoriser une concentration accrue. Les jeunes de 12 à 17 ans sont conseillés de faire au moins une heure d’activité physique d’intensité modérée à élevée tous les jours et des activités d’intensité élevée au moins trois fois par semaine.
Des études ont montré que le manque de sommeil peut entraîner des problèmes de concentration, de la fatigue, de l'irritabilité et une diminution des performances cognitives. Les experts recommandent de 8 à 10 heures de sommeil pour les adolescents (de 14 à 17 ans).
Une assiette qui comprend des fruits, des légumes, des aliments riches en fer, en vitamine B et en acides gras oméga-3 (poisson, noix, graines), peut aider à fournir les nutriments nécessaires pour soutenir les fonctions cognitives. Par contre, la consommation excessive de sucre peut causer des fluctuations de la glycémie, et entraîner une baisse de la concentration ou de l’attention. De plus, les aliments transformés contenant des additifs (colorants artificiels, conservateurs, etc.) peuvent avoir un impact négatif sur la concentration, le comportement ou même l’humeur des jeunes. Il est donc recommandé de limiter ces aliments, en particulier pour les jeunes qui auraient besoin d’un coup de pouce supplémentaire lors de tâches qui exigent une attention soutenue.
Certaines plantes et herbes peuvent soutenir naturellement l’attention. Le ginkgo biloba est une plante qui peut aider à améliorer la circulation sanguine et par le fait même à stimuler la fonction cognitive. Le romarin et la menthe poivrée, en tisane ou en huile essentielle, peuvent contribuer à améliorer l’acuité mentale et la concentration. Le gotu kola et le bacopa auraient des vertus pour aider à améliorer la mémoire. Il est important de noter que ces plantes peuvent avoir des effets différents sur chaque individu et qu’il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils sur les dosages et sur les effets secondaires éventuels.
Chez les jeunes, la concentration contribue à la réussite scolaire, au développement des compétences sociales, à l’autodiscipline, à la régulation émotionnelle et à l’amélioration de la mémoire. Il est primordial de les encourager à aiguser leur capacité de concentration, et il est possible de leur fournir, naturellement, certaines conditions pour y arriver. M
Regular exercise helps the body produce endorphins. These neurotransmitters can help improve mood, reduce stress, increase cognitive function, and promote concentration. Young people aged 12 to 17 are advised to do at least one hour of moderate-to-vigorous intensity physical activity daily and to choose vigorous activities at least three times a week.
Studies have shown that a lack of sleep can lead to problems concentrating, fatigue, irritability, and decreased cognitive performance. Experts recommend eight to 10 hours of sleep per night for teenagers (14 to 17).
A plate that includes fruits, vegetables, and foods rich in iron, vitamin B, and omega-3 fatty acids (fish, nuts, seeds), can help provide the nutrients needed to support cognitive function. On the other hand, excessive consumption of sugar can cause fluctuations in blood sugar and lead to a decrease in concentration or attention. In addition, processed foods containing additives (artificial colours, preservatives, etc.) can have a negative impact on concentration, behaviour or even mood. It is therefore recommended to limit these foods, especially for young people who require an extra boost to accomplish tasks that require sustained attention.
Certain plants and herbs can naturally sustain attention. Ginkgo biloba is an herb that can help improve blood circulation and thereby boost cognitive function. Rosemary and peppermint, in an herbal tea or as an essential oil, can help improve mental acuity and concentration. Gotu kola and bacopa are also said to help improve memory. It is important to note that these herbs may have different effects on each individual. It’s recommended that you consult a healthcare professional for advice on dosage and possible side effects.
Concentration contributes to academic success, the development of social skills, self-discipline, emotional regulation, and improved memory in youth. It is essential to encourage young people to hone their concentration skills with the natural boosters at their disposal. M
Emma Lecky est naturopathe-stagiaire à l’E.E.S.N.Q (2023) à Montréal. Elle est membre étudiant de l’Association des naturopathes agréés du Québec (anaq.ca) depuis 2020. Visitez naturotheque.ca pour plus d’informations.
Emma Lecky is a graduating naturopath from E.E.S.N.Q (class of 2023) in Montreal. She has been a student member of the Association des Naturopathes Agréés du Québec (anaq.ca) since 2020. Visit naturotheque.ca for more information.
Pour les étudiants qui terminent leurs études de médecine, font leur résidence et ouvrent leur propre cabinet, il est important de se rappeler qu’ils ne deviennent pas seulement des médecins, mais aussi les propriétaires de leur propre entreprise. Ce changement d’état d’esprit est la première étape qui vous permettra de conserver une plus grande partie de ce que vous gagnez et d’accroître votre valeur nette plus rapidement.
Vous risquez de vous poser des questions :
• Quand est-il judicieux de se constituer en société?
• Comment jongler avec le remboursement de vos dettes d’études tout en continuant à épargner pour votre première maison?
• Comment se rémunérer personnellement afin de conserver une plus grande partie de ses revenus annuels?
• Est-il judicieux d’investir personnellement et de cotiser à votre REER et à votre CELI, ou est-il plus avantageux d’investir à l’intérieur de votre entreprise?
• Quelle est la meilleure façon de développer votre entreprise afin d’investir en tenant compte du taux d’imposition passif des sociétés de 50,2 %? Les mesures appropriées sont-elles prises pour maintenir vos revenus passifs en dessous du seuil de 50 000 dollars afin de maximiser la déduction accordée aux petites entreprises (DPE) que votre société peut appliquer à ses revenus?
• Quels sont les risques liés à votre activité et comment se protéger contre ces risques?
• Comment transmettre votre entreprise à la génération suivante, de sorte que 60 % de la richesse que vous avez accumulée ne soit pas versée sous forme d’impôts?
Un plan bien conçu qui tient compte de ces questions importantes fera en sorte que, pendant que vous vous souciez de la santé des autres, votre santé financière reçoive l’attention qu’elle mérite. M
For every student who finishes medical school, completes their residency, and opens their own practice, it's important to remember that you’re not just becoming a physician, you’re becoming the owner of your own business as well. That shift in mindset is the first step in allowing you to keep more of what you make and build your net worth faster.
You may ask yourself:
• When does it make sense to incorporate?
• How do I juggle paying down my student debt while continuing to save for my first home?
• How do I pay myself personally, so I keep more of what I make each year?
• Does it make sense to invest personally and contribute to my RRSP and TFSA, or is it more advantageous to invest in my corporation?
• What’s the best way to grow my business, so I’m investing in a manner that takes into account the 50.2% corporate passive tax rate? Are the appropriate measures being taken to keep my passive income below the $50,000 threshold to ensure the small business deduction (SBD) my corporation can apply to its earnings is being maximized?
• What are the risks associated with my business and how do I protect myself against those risks?
• How do I eventually pass on my business to the next generation, so 60% of the wealth I’ve amassed doesn’t get paid out in taxes?
A properly constructed plan, which takes these important questions into account, will ensure that while you’re focused on everyone else’s health, your financial health gets the attention it deserves. M
Vous rêvez d’avoir des cheveux longs et vaporeux? Des boucles qui ondulent jusqu’au milieu de votre dos? Une crinière élégante qui met en valeur votre visage et vos épaules?
Voici les moyens les plus efficaces de nourrir vos cheveux et de les préserver des agressions, pour qu’ils poussent plus rapidement :
Les cheveux mouillés sont fragiles; manipuler avec soin
Laissez les cheveux lisses sécher à l’air libre, puis peignez-les délicatement à l’aide d’un peigne à dents larges. Pour les cheveux texturés ou bouclés, démêlezles délicatement avec un peigne à dents larges lorsqu’ils sont humides. Évitez de les démêler brusquement ou de les abîmer. Vous pourriez casser des mèches ou endommager la cuticule, la couche protectrice en forme de dent qui recouvre chaque cheveu.
Si vos cheveux se cassent facilement, ils ont besoin d’être dorlotés. Ne pas trop laver (une fois par semaine si possible). Utilisez un shampooing contenant des ingrédients naturels et un après-shampooing à chaque lavage. Utilisez un traitement à l’huile chaude ou un masque capillaire toutes les deux semaines.
L’utilisation d’outils thermiques sur des cheveux mouillés peut créer des bulles dans la tige du cheveu, ce qui le rend plus cassant. Utilisez le réglage le plus froid du sèche-cheveux et travaillez rapidement. « On ne fait pas cuire une patate à 450 degrés. On ne fait pas cuire ses cheveux à 450 degrés », explique Tina D’Ettorre, styliste au salon Au Premier Coiffure Spa à Montréal. « Il faut donc baisser la température. »
Les pointes fourchues peuvent remonter le long des tiges de vos cheveux et les faire casser plus haut. Vos cheveux poussent d’environ un demi-pouce par mois, vous pouvez donc viser une coupe d’un quart de pouce tous les trois mois. g
Do you want long flowing tresses? Curls rippling down your back? A dramatic curtain emphasizing your face and shoulders?
Here are the most effective ways to keep your hair nourished and free of damage, while ensuring your locks grow longer in less time:
Let straight hair air-dry, then comb gently with a widetooth comb. For textured or curly hair, gently detangle with a wide-tooth comb while damp. Avoid ripping or tearing. You could break strands or damage the cuticle, which is the tooth-shaped protective layer on each hair.
If your hair breaks easily, it needs extra pampering. Don’t over-wash (weekly if you can). Use a shampoo with natural ingredients. Don’t forget the conditioner. Do a hotoil treatment or hair mask every couple of weeks.
Using heat tools on wet hair can create bubbles in the hair shaft, making it brittle. Use the coolest setting on your dryer and work quickly. “You don’t bake a potato at 450 degrees. You don’t bake your hair at 450 degrees,” says Tina D’Ettorre, hair stylist at Au Premier Hair Salon in Montreal. “So turn the heat down.”
Split ends can travel up your hair shafts and make them break off higher up. Your hair grows about half an inch a month, so you might aim for a quarter-inch trim every three months. gg
Stimule la croissance et la beauté des cheveux depuis l’intérieur
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Les taies d’oreiller en satin peuvent réduire les frottements, les frisottis et les cassures. C’est une sensation agréable. Mais évitez d’aller au lit avec des cheveux mouillés ou humides, car ils risquent de frisotter pendant la nuit. Attachez vos cheveux en queue de cheval pour éviter qu’ils ne fassent des nœuds pendant la nuit.
Les décolorations et autres traitements capillaires chimiques, comme les permanentes, affaiblissent vos cheveux. Optez pour une teinte proche de votre couleur naturelle. Si vous défrisez vos cheveux, faites appel à un professionnel. Faites des retouches tous les deux ou trois mois seulement.
Les extensions et les tresses sont de courte durée
Ne portez jamais des extensions ou des tresses pendant plus de deux ou trois mois d’affilée. Ne les retirez jamais vous-même — cela pourrait endommager vos cheveux et votre cuir chevelu. Si vous avez mal lorsque vos cheveux sont coiffés avec des extensions, des tresses ou des fils, c’est que la coiffure est trop serrée et qu’elle endommage vos cheveux. Demandez de refaire le travail.
Un stress important peut empêcher les cheveux de pousser.
Ne pas perdre de poids trop rapidement
Lorsque vous souhaitez perdre du poids, veillez à ce que vos cheveux ne disparaissent pas en même temps. Le stress peut déclencher la chute des cheveux, tout comme une perte de poids soudaine. Si votre alimentation ne contient pas les bonnes quantités de protéines, votre corps utilisera ce qu’il peut — et la croissance des cheveux n’est pas une priorité. Un régime plus modéré est bien meilleur pour vous et pour vos cheveux.
• Suppléments de vitamines. Une carence en fer provoque une anémie qui peut entraîner la chute des cheveux. Ajoutez des vitamines B et D, du zinc et des acides gras oméga-3 pour favoriser la santé des cheveux.
• Demandez à un proche de vous gâter avec un massage du cuir chevelu.
• Micro-aiguillage. Un traitement qui consiste à faire passer un rouleau contenant des centaines d’aiguilles fines sur le cuir chevelu.
Si vos cheveux ne poussent toujours pas, vous pouvez consulter un médecin ou un nutritionniste afin de déterminer si d’autres facteurs de santé entrent en jeu. M
Satin pillowcases can help reduce friction, frizz, and breakage. And it’s a great feel. But avoid going to bed with wet or damp hair that might make it go frizzy overnight. Secure your hair in a ponytail to keep it from developing knots while you sleep.
Bleach and other chemical hair treatments, like permanents, weaken your hair. Opt for a shade close to your natural colour so you’ll need less peroxide. If you relax your hair, go to a pro. Get touch-ups only at two to three month intervals.
Don’t wear extensions or braids for more than two to three months at a time. Never pull them out yourself — that can harm your hair and scalp. If it hurts when your hair is styled into extensions, braids, weaves, or cornrows, they’re too tight and will damage your hair. Ask for a redo.
Serious stress can make your hair stop growing.
When you want to lose weight, make sure your hair doesn’t disappear along with it. In the same way that stress can trigger hair loss, sudden weight loss can do the same. If your body doesn’t get the right amount of protein, it will use whatever it can get — and hair growth is low priority. A slower-paced diet plan is much better for you and for your hair.
• Vitamin supplementation. Low iron causes anemia, which can trigger hair loss. Vitamins B and D, zinc, and omega-3 fatty acids promote healthy hair.
• Ask a friend to spoil you with a scalp massage.
• Micro-needling. Experiment with passing a roller with hundreds of fine needles through your scalp.
If your hair still won’t grow, you might want to see a doctor or a dietician to find out if there are other health considerations. M
Anne Lewis compte plus de quatre décennies d'expérience en journalisme avec une expertise dans les reportages médicaux et de santé. Elle travaille actuellement comme coach professionnelle pour aider ses clients à rééquilibrer leur rapport entre le travail et les attentes de vie. Apprenez-en plus sur mecoaching.me/ola/services/dodon-tdo-cafe-private-online
Anne Lewis has over four decades of journalism experience with expertise in health and medical reporting. She currently works as a mental fitness coach helping people under pressure go from exhausted to relaxed and focused. Learn more at mecoaching.me/ola/services/dodon-tdo-cafe-private-online
Talk to your doctor, pharmacist or nurse practitioner
Comme chantait Frank Sinatra, « Quand vous souriez, le monde entier sourit avec vous ». Que vous le croyiez ou non, les gens réagissent véritablement à un sourire. Mais que contient un sourire? Qu’estce qui constitue un beau sourire? Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. Un vrai sourire n’a besoin que d’un peu d’enthousiasme, mais ce qui se cache derrière ce sourire est encore plus important. C’est pour cette raison qu’une bonne santé buccodentaire devrait être une priorité dans la vie de chacun, dès la petite enfance.
Je me souviens qu’on me disait de me brosser les dents lorsque j’étais enfant, et j’allais chez le dentiste deux fois par année, mais ce n’est que récemment que j’ai vraiment réalisé l’importance de cette routine. J’ai vu des membres de ma famille souffrir d’affections dentaires qui ont été à la fois coûteuses, interminables, et préjudiciables à leur santé physique et émotionnelle. Bien que certaines affections buccodentaires soient héréditaires, il est très important de faire tout ce qui est possible dès le plus jeune âge pour éviter tout problème futur.
Il est extrêmement important d’enseigner à vos enfants à prendre en charge leurs propres soins dentaires. Bien qu’il soit difficile de l’imaginer, une mauvaise hygiène dentaire peut entraîner plusieurs problèmes de santé graves, et ce, dès l’enfance. Les enfants et les adultes qui ont une mauvaise hygiène buccodentaire sont susceptibles de souffrir de maladies des gencives qui, si elles ne sont pas traitées, peuvent notamment entraîner des maladies cardiaques et respiratoires. g
As Frank Sinatra crooned, “When you smile, the whole world smiles with you.” Whether you believe that to be true or not, the reality is, people respond to a smile. So, let’s break it down. What’s in a smile? What makes a great smile? It really comes down to several factors. A true smile doesn’t need much more than enthusiasm, but what lies behind that smile is even more important. It’s for just that reason that proper oral health should be made a priority in everyone’s life, starting in early childhood.
I remember being told to brush my teeth as a child, and I remember going to the dentist twice a year, but I didn’t truly realize the importance of that routine until recently. I have watched family members suffer with dental conditions that have been costly, time consuming, and detrimental to both their physical and emotional health. Although some oral health conditions are hereditary, it’s crucial to do everything possible, starting from a young age, to avoid future problems.
It is incredibly important to teach your children to embrace their own dental care. Although hard to imagine, there are several serious health issues caused by poor dental care, and they can start in childhood. Children and adults with poor oral hygiene are susceptible to gum disease, which if left untreated, can lead to heart disease and respiratory illness. gg
Aide à soulager la bouche sèche Relieves dryness of the mouth
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g En réalité, la plupart de ces problèmes peuvent être évités grâce à une bonne hygiène buccodentaire. L’Association dentaire canadienne explique que l’hygiène buccodentaire est tout aussi essentielle à notre bien-être général que l’exercice physique et un régime alimentaire approprié. Alors, que pouvez-vous faire?
• Enseigner à vos enfants, dès l’âge de quelques mois, comment se nettoyer la bouche.
• Garder vos dents et vos gencives en bonne santé grâce à un brossage régulier et à la soie dentaire.
• Aller chez le dentiste deux fois par année.
• Adopter un bon régime alimentaire, riche en fruits et légumes et en aliments non acides bons pour la santé buccodentaire.
• Limiter l’alcool et éviter complètement le tabac et les produits de vapotage.
• Faire de l’eau son premier choix de boisson.
Bien entendu, l’eau joue également un rôle dans la lubrification de la bouche et travaille en conjonction avec les dents, la langue, les gencives et les lèvres. Que faire si vous avez la bouche sèche? Il s’agit d’un autre facteur important pour une bonne santé buccodentaire.
La sécheresse buccale peut avoir des conséquences sur votre vie quotidienne comme des difficultés à parler, la gingivite, la mauvaise haleine et d’autres problèmes.
Pour en revenir à nos amis de l’ADC, le conseil est de commencer par s’assurer qu’il n’y a pas de problème médical sous-jacent associé. Croyezle ou non, votre bouche est censée produire environ trois canettes de soda pleines de salive par jour! Nul besoin de prendre des mesures, mais si vous avez l’impression que ce n’est pas le cas, vérifiez auprès de votre spécialiste de la santé. Il vous suggérera peut-être d’essayer des bains de bouche ou des gommes à mâcher spécialement conçus pour soulager la bouche sèche en encourageant la production de salive.
Vous n’aurez jamais rien de mieux que vos dents naturelles. Vous devez faire votre part en les nettoyant avec la brosse et la soie dentaire et en consultant régulièrement votre dentiste pour garder toute votre bouche saine et heureuse. Lorsque tout est réuni, on obtient un grand nombre de personnes heureuses et souriantes, et c’est vraiment ce dont le monde a besoin! M
gg The reality is that most of these problems are preventable with good oral care. The Canadian Dental Association says that oral hygiene is just as critical to our overall well-being as exercising and a proper diet. So, what can you do?
• Start teaching your children from as early as a few months old how to clean their mouth.
• Keep your teeth and gums healthy with regular brushing and flossing.
• Go to the dentist twice a year.
• Eat a healthy diet, rich with fruits, vegetables, and nonacidic foods that are mouth-healthy.
• Limit alcohol and avoid all tobacco and vape products.
• Make water your beverage of choice.
Of course, water is also a factor in keeping your mouth lubricated and working in conjuction with the teeth, tongue, gums, and lips. So what do you do if you have a dry mouth? This is another big factor in good oral health. Dry mouth can affect your day to day and lead to difficulty speaking, gingivitis, bad breath and other problems.
Back to our friends at the CDA with their advice: start with making sure there isn’t an underlying medical condition associated with your dry mouth. Believe it or not, your mouth is supposed to make about three soda cans’ worth of saliva a day! Not that you should be measuring, but if you feel like that is not the case, double check with your healthcare specialist. They may suggest trying special mouthwashes or chewing gums designed to relieve dry mouth by encouraging saliva production.
Remember, your natural teeth are the best teeth you’ll ever own. You have to do your part by brushing, flossing, and seeing your dentist regularly to keep your whole mouth healthy and happy. When it all comes together, what you get is a whole lot of smiley, happy people — exactly what the world needs more of! M
Jessica Brown est une courtière immobilière à Knowlton, QC. Elle est également journaliste indépendante, ayant passé plus de 20 ans en tant que présentatrice et journaliste à couvrir les dernières nouvelles et les reportages d'intérêt humain pour Global TV, CTV, CBC, 940News, CJAD et The Gazette. Elle partage son travail et sa vie sur Instagram @jessicabrownrealestate.
Jessica Brown is a residential real-estate broker in Knowlton, QC. She is also a freelance journalist, having spent over 20 years as an anchor and reporter covering breaking news and human interest stories for Global TV, CTV, CBC, 940News, CJAD, and The Gazette. She shares her work and life on Instagram @jessicabrownrealestate
Tous les parents redoutent le jour où leur enfant attrape des poux. Heureusement, les poux n’empêchent pas de vivre. Contrairement à l’époque de votre jeunesse, les enfants aujourd’hui peuvent aller à l’école ou à la garderie pendant le traitement de l’infestation.
Les poux sont des insectes de la taille d’une graine de sésame qui se nourrissent du sang du cuir chevelu humain. La femelle dépose ses œufs (appelés lentes) dans les mèches de cheveux à l’aide d’une substance collante, ce qui les rend difficiles à enlever.
Les symptômes les plus courants des poux sont les suivants :
• Une démangeaison du cuir chevelu, des oreilles et de la nuque.
• Des lentes visibles autour de la racine des cheveux, à l’arrière de la nuque et autour des oreilles.
• Des bosses rouges qui démangent à force de se gratter.
Notez que les poux peuvent prendre des semaines avant de provoquer des démangeaisons, il est donc important de les surveiller quotidiennement pendant les 15 jours qui suivent une éventuelle exposition. Repérez les poux en peignant les cheveux secs avec un peigne à poux sous un bon éclairage. Vous pouvez utiliser une loupe au besoin.
Les poux se propagent le plus souvent par contact direct entre les cheveux des enfants. Les poux sont moins susceptibles de se propager par contact avec des objets personnels, mais c’est possible.
La mise en œuvre des protocoles suivants dans les garderies, les écoles et les maisons contribuera à limiter la propagation des poux :
• Suspendre et ranger les vêtements et les objets personnels de chaque enfant séparément des autres (p. ex. : chapeaux, écharpes, peignes, barrettes, rubans, brosses, oreillers, serviettes et casques).
• Éviter de partager les objets personnels (en particulier les articles de coiffure et les accessoires pour les cheveux).
• Éviter de s’allonger sur les mêmes surfaces qu’une personne ayant des poux.
• Éviter les contacts tête à tête pendant les jeux. g
Every parent dreads the day their child catches head lice. Luckily, lice won’t stop life in its tracks. Unlike when you were little, today’s kids can continue going to school or daycare while their infestation is being treated.
Head lice are sesame seed-sized insects that feed on blood from the human scalp. The female louse deposits eggs (called nits) into hair strands using a sticky substance making them difficult to remove.
The most common symptoms of head lice include:
• Itchy scalp, ears, and neck.
• Visible nits spotted around the hairline at the back of the neck and around the ears.
• Red, itchy bumps from scratching.
Note that lice can take weeks to cause itchiness, so it’s important to look for them daily for 15 days following a possible exposure. Look for lice by combing dry hair with a lice comb in proper light. Use a magnifying glass if needed.
Head lice are most commonly spread through direct contact of one child’s hair to another’s during play. Lice are less likely to spread through contact of personal items, but it is possible. Implementing the following protocols in daycares, schools, and homes of school-aged children will help limit the spread of head lice:
• Hang and store each child’s clothing and personal items separately from those of other children (ex: hats, scarves, combs, barrettes, ribbons, brushes, pillows, towels, and headphones).
• Don’t share personal items (especially headwear and hair accessories).
• Don’t lie on the same surfaces as someone with lice.
• Try to avoid head-to-head contact during play. gg
Une fois que la présence de poux est confirmée, restez calme et suivez les conseils suivants tout en évitant les choses à ne pas faire :
À faire
• Utiliser des médicaments en vente libre pour éradiquer une infestation. Au Canada, deux insecticides sont approuvés pour traiter les poux de tête : la pyréthrine et la perméthrine. Les options de traitement non insecticides comprennent l’huile de silicone à la diméticone, le myristate d’isopropyle-cyclométhicone et la lotion d’alcool benzylique.
• Suivre attentivement les instructions du fabricant selon le produit choisi. Répéter le traitement comme indiqué (deux ou trois applications) même si l’on ne voit plus de poux ou de lentes dans la chevelure.
• Peigner les cheveux infestés avec un peigne à poux après le traitement pour éliminer les lentes et les poux. Examiner les cheveux par sections, d’un côté à l’autre et depuis le front jusqu’à la nuque. L’utilisation du peigne augmentera les chances de réussite du traitement.
• Laver les effets personnels à l’eau chaude, puis les faire sécher à la machine à haute température (y compris les animaux en peluche, les vêtements et la literie). Faire tremper toutes les brosses à cheveux, les peignes et les accessoires dans l’eau chaude pendant dix minutes. Mettre les articles ménagers non lavables dans un sac de plastique fermé hermétiquement pendant 10 jours.
• Dans le doute, consulter un professionnel de la santé (pharmacien, infirmier/infirmière ou médecin) pour obtenir des conseils.
À ne pas faire
• Ne pas paniquer. Les poux ne sont pas porteurs de maladies et ne sont pas non plus le signe d’une mauvaise hygiène ou d’une malpropreté.
• Éviter de gratter. Plus facile à dire qu’à faire. Se gratter peut entraîner une infection.
• Éviter les remèdes maison pour traiter les poux. Enduire les cheveux de mayonnaise, d’huiles essentielles, d’huile d’olive, de vaseline ou de beurre n’élimine pas les poux de façon permanente.
• Éviter les produits dangereux. Les produits inflammables et les fumigènes sont dangereux, toxiques et inefficaces.
• Ne pas raser les têtes. Raser les cheveux est une action radicale qui peut provoquer une détresse inutile sans garantir le succès de l’opération.
La présence de poux est une expérience désagréable, mais courante. La meilleure façon d’en venir à bout est de commencer le traitement sans tarder et de suivre attentivement les instructions. M
Once head lice is confirmed, stay calm and stick to the following dos while avoiding the following don’ts:
Do
• Use over-the-counter medications to eradicate an infestation. In Canada, two insecticides are approved to treat head lice: pyrethrin and permethrin. Non-insecticide treatment options include silicone oil dimeticone, isopropyl myristate/cyclomethicone, and benzyl alcohol lotion.
• Diligently follow manufacturer’s instructions for the product selected. Repeat treatment as directed (two or three applications) even if you find no lice or nits in the hair.
• Comb infested hair with a lice comb after treatment to remove nits and lice. Examine the hair section by section, from one side to the other and from the forehead to the nape of the neck. Using the comb increases your chances of successful treatment.
• Machine-wash personal belongings in hot water, then machine dry on high heat (including stuffed animals, clothing, and bedding). Soak all hair brushes, combs, and accessories in hot water for 10 minutes. Seal any unwashable household items in an airtight plastic bag for 10 days.
• When in doubt, consult a healthcare professional (pharmacist, nurse, or doctor) for advice.
Don’t
• Don’t panic. Lice do not carry disease, nor do they signal poor hygiene or uncleanliness.
• Don’t scratch. Easier said than done, but scratching can lead to infection.
• Don’t use home remedies to treat head lice. Smothering hair with mayonnaise, essential oils, olive oil, petroleum jelly, or butter doesn’t permanently eliminate lice.
• Don’t use hazardous products. Flammable products and fumigant sprays are dangerous, toxic, and ineffective.
• Don’t shave heads. Shaving hair is a drastic action that can cause unnecessary distress without guaranteeing success.
Dealing with head lice is an unpleasant but common experience. The best way to manage lice is to start treatment without delay and carefully follow instructions. M
Sources: 1. https://caringforkids.cps.ca/handouts/health-conditions-and-treatments/head_lice. 2. https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2022/22-276-01A.pdf.
Bjillian MacKinnon est une défenseure des patients passionnée avec un diplôme en écriture. Elle travaille en collaboration avec des patients, des organisations à but non lucratif et des services de soins de santé pour aider à faire connaître divers problèmes de santé chroniques.
Bjillian MacKinnon is a passionate patient advocate with a degree in writing. She has worked closely with patients, nonprofits, and healthcare organizations to help spread awareness about various chronic health conditions.
Vous vous regardez dans le miroir et vous êtes horrifié : votre visage est couvert d’éruptions cutanées. L’acné peut varier de légère à sévère, sans distinction d’âge. Toutefois, c’est à l’adolescence qu’elle est la plus fréquente, lorsque les niveaux d’hormones fluctuent fortement. Les personnes qui en souffrent cherchent alors désespérément des solutions sur ordonnance ou en vente libre. Si ces produits peuvent apporter un soulagement temporaire, ils peuvent aussi être agressifs pour l’organisme et parfois exacerber le problème. Comprendre la cause de l’acné est la première étape pour créer un régime plus doux qui peut aider à maîtriser l’acné, et même à la prévenir.
Les éruptions cutanées sont le signe d’un déséquilibre dans votre corps, qui peut être influencé par divers facteurs, notamment l’âge, la génétique et les habitudes quotidiennes. Bien qu’il soit impossible de contrôler son âge et sa généalogie, on peut contrôler son alimentation, son activité physique, son sommeil, sa gestion du stress et son hygiène — autant de pratiques essentielles à la santé générale qui, à leur tour, influent sur le délicat équilibre du PH de la peau. L’équilibre du PH dépend de l’équilibre de l’ensemble du système.
Le maintient de l’équilibre systémique commence avec l’alimentation. Évitez les aliments transformés riches en sucre, en graisses hydrogénées et en additifs, qui peuvent faire grimper le taux d’insuline et entraîner des perturbations hormonales et un dysfonctionnement immunitaire. Manger des aliments complets, tels que des fruits, des légumes, des protéines maigres, des céréales, des graines et des noix, permet de réguler la glycémie et de réduire l’inflammation systémique. De plus, boire beaucoup d’eau permet d’évacuer les toxines de l’organisme et de conserver une peau hydratée. g
You look in the mirror and you’re horrified: your face has broken out. Acne can range from mild to severe, and is indiscriminate of age. However, it is most common during adolescence when hormone levels fluctuate wildly. This can have sufferers desperately reaching for prescription and over-the-counter solutions. While these may provide temporary relief, they can also be harsh on your system, sometimes exacerbating the problem. Understanding the cause of acne is the first step to creating a gentler regime that can help get your acne under control and even prevent it.
Skin eruptions are an indication of an imbalance in your body, which can be influenced by various factors including age, genetics, and daily practices. Though you can’t control your age and genealogy, you can control how you eat, exercise, sleep, manage stress, and handle hygiene — all practices essential to your overall health, which in turn affects your skin’s delicate PH balance. Keeping your PH levels balanced is dependent on keeping your entire system balanced.
Maintaining systemic balance begins with your diet. Avoid processed foods high in sugar, hydrogenated fats, and additives, which can spike insulin levels and lead to hormonal disruptions and immune dysfunction. Eating whole foods such as fruits, vegetables, lean protein, grains, seeds, and nuts regulates blood sugar levels and can reduce systemic inflammation. Additionally, drinking plenty of water flushes toxins from your body, keeping your skin moisturized. gg
g Il est également important de faire de l’exercice modéré quotidiennement pendant 30 minutes ou plus pour maintenir l’équilibre de l’organisme. Alors qu’un exercice intensif peut entraîner une transpiration excessive, une déshydratation et une irritation de la peau, un programme d’exercices doux comprenant une bonne hydratation et un repos intermittent nourrit les cellules de la peau en augmentant le flux sanguin et l’oxygène vers la peau. Cela réduit l’inflammation dans tout le corps, stimule la production de collagène et aide à éliminer les toxines.
Dormir suffisamment (de sept à neuf heures par nuit) est essentiel à l’équilibre du système, car cela régule les hormones et stabilise le système immunitaire. Le sommeil donne à la peau le temps de se réparer et de se régénérer, ce qui favorise un teint éclatant de santé. Il permet également de lutter contre le stress, qui contribue fortement à l’acné.
Lorsque vous êtes stressé, votre corps libère des hormones qui font augmenter votre rythme cardiaque, votre tension artérielle et votre respiration ainsi que votre taux de sucre. Lorsque le stress devient chronique, il affaiblit le système immunitaire et provoque une inflammation systémique. L’inflammation peut notamment entraîner la dégradation du collagène et de l’élastine, deux protéines qui maintiennent un teint éclatant. Le stress permanent peut également conduire à un sommeil insuffisant, à une alimentation malsaine et à la négligence d’un régime d’hygiène approprié. S’attaquer à la racine de votre stress et trouver les bons outils pour y faire face peut vous aider à maîtriser vos hormones. Parmi ces moyens, citons les techniques de respiration, la réduction du temps passé devant un écran, les activités calmantes comme le yoga et la méditation, et les discussions avec des amis ou des professionnels de la santé.
Enfin, il est important de garder la peau propre et hydratée au quotidien pour gérer l’acné. Priorisez des produits hypoallergéniques et non comédogènes exempts de parfums synthétiques, de parabènes et de sulfates. Recherchez les produits dont l’étiquette porte le logo « Reconnu Santé de la peau » de l’Association canadienne de dermatologie.
Avant de vous lancer dans une démarche de guérison, consultez d’abord un professionnel de la santé, qui pourra vous aider à trouver la cause de votre déséquilibre. Quoi qu’il en soit, vous ne pouvez pas vous tromper si vous mangez sainement, dormez bien, faites de l’exercice, réduisez votre stress et adoptez une bonne hygiène. Prenez bien soin de vous, et votre teint vous en remerciera. M
gg A gentle, daily exercise regime for 30 minutes or more is also important for keeping your body balanced. While highintensity exercise can lead to excessive sweating, dehydration, and skin irritation, a gentle exercise regime that includes proper hydration and intermittent rest, nourishes skin cells by increasing blood flow and oxygen to the skin. This reduces inflammation throughout the body, stimulates the production of collagen, and helps eliminate toxins.
Getting enough sleep (seven to nine hours per night) is crucial to systemic balance as it regulates hormones and stabilizes your immune system. Sleep allows your skin time to repair and generate, helping to promote a healthy complexion. It also helps to address stress — a huge contributor to acne.
When you experience stress, your body releases hormones, which increase your heart rate, blood pressure, and respiration, while also increasing your sugar levels. When stress becomes chronic, it weakens your immune system and causes systemic inflammation. Among other things, inflammation can lead to the breakdown of collagen and elastin, two proteins that maintain a healthy complexion. Constant stress can also lead to poor sleep, eating unhealthy foods, and neglecting a proper hygiene regime. Getting to the root of your stress, and then finding the right tools to deal with it, can help get your hormones under control. These tools include: breathing techniques, reducing screen time, pursuing calming activities such as yoga and meditation, and talking with friends or healthcare professionals.
Finally, keeping the skin clean and hydrated on a daily basis is important for managing acne. Use hypoallergenic and non-comedogenic products that are free from synthetic fragrances, parabens, and sulfates. Seek out products that have the “Recognized Skin Health” logo from the Canadian Dermatology Association on the label.
Before embarking on any healing journey, talk with a healthcare professional who can help you get to the root of your imbalance. Regardless, you can’t go wrong with eating healthy, getting enough sleep, exercising, reducing stress, and practicing good hygiene. Manage these daily practices well and your complexion will thank you. M
Aujourd’hui, pour les jeunes, il est devenu plus acceptable de sortir et d’avoir des relations intimes avec plusieurs partenaires — la « culture des histoires d’un soir » s’est imposée. L’ouverture d’esprit en matière de sexualité et de relations peut être une source de pouvoir et de liberté pour les jeunes qui explorent leur identité, leur sexualité et leurs limites, mais l’augmentation de l’activité sexuelle s’accompagne d’un risque accru de contracter une infection sexuellement transmissible (IST).
Le problème n’est pas le sexe, mais le manque de sensibilisation à la prévention et à la protection contre les IST, un problème de santé mondial de plus en plus préoccupant. Selon l’Organisation mondiale de la santé, plus d’un million de nouveaux cas d’IST sont diagnostiqués chaque jour chez les personnes âgées de 15 à 24 ans. Les jeunes sont particulièrement vulnérables à la contraction et à la propagation des IST en raison d’une compréhension insuffisante de l’infection et des risques, de la stigmatisation sociale et des obstacles à l’accès au dépistage et au traitement.
Une IST est causée par un organisme (bactérie, virus ou parasite) transmis par l’échange de fluides corporels, tels que le sperme, les sécrétions vaginales ou le sang. Vous pouvez contracter une IST par toute forme d’activité sexuelle impliquant des fluides corporels ou par l’exposition à des aiguilles contaminées ou à du sang infecté.
L’abstinence est le moyen le plus évident et le plus efficace d’éviter de contracter une IST, mais en réalité, les êtres humains ont toujours été des créatures sexuellement actives. En revanche, il existe plusieurs moyens de se protéger, notamment en adoptant des pratiques sexuelles sans risque et en maintenant une bonne hygiène. Utiliser des préservatifs pour limiter le transfert de fluides corporels, limiter le nombre de partenaires sexuels pour réduire la probabilité de contact avec une personne infectée par une IST, communiquer ouvertement avec ses partenaires au sujet de la santé sexuelle et effectuer régulièrement des tests de dépistage des IST.
Selon la Dre Giuseppina Di Meglio, spécialiste en médecine de l’adolescence au Centre universitaire de santé McGill, si certaines IST provoquent des symptômes visibles, beaucoup sont asymptomatiques, ce qui peut s’avérer dangereux. Si elles ne sont pas traitées immédiatement, les IST non détectées peuvent avoir des conséquences négatives sur la santé et se propager involontairement à d’autres personnes. Le seul moyen de détecter une IST asymptomatique est de faire des tests régulièrement. g
Today, it has become more acceptable to date and be intimate with multiple partners from a young age — “hookup culture” is mainstream. Open-mindedness around sex and relationships can be empowering and liberating for young people exploring their identity, sexuality, and boundaries, but with the increase of sexual activity comes the increased risk of contracting a sexually transmitted infection (STI).
The problem isn’t sex, it’s the lack of awareness around prevention and protection against STIs, a growing global health concern. According to the World Health Organization, there are more than one million new cases of STIs diagnosed every day among people aged 15 to 24. Young people are particularly vulnerable to acquiring and spreading STIs due to insufficient understanding of the infection and risk, social stigma, and barriers to accessing testing and treatment.
An STI is caused by an organism (bacteria, virus, or parasite) transmitted through the exchange of bodily fluids like semen, vaginal secretions, or blood. You can contract an STI through any form of sexual activity that involves bodily fluids or exposure to contaminated needles or infected blood.
Abstinence is the most obvious and effective way to avoid contracting an STI, but realistically speaking, humans have always been sexually active creatures. Instead, there are several ways to protect yourself like practicing safe sex and maintaining good hygiene. Use condoms to limit the transfer of bodily fluids, limit sexual partners to reduce the likelihood of contact with someone infected with an STI, communicate openly with partners about sexual health, and regularly test for STIs.
According to Dr. Giuseppina Di Meglio, Adolescent Medicine Specialist at the McGill University Health Centre, while certain STIs cause noticeable symptoms, many are asymptomatic, which can be dangerous. If not treated immediately, undetected STIs can lead to negative health outcomes and unintentional spread to others. The only way to find an asymptomatic STI is to test regularly. gg
g Les IST les plus courantes chez les jeunes
• Herpès (infection virale) : Peut provoquer des plaies ou des cloques douloureuses autour de la bouche ou des organes génitaux, qui peuvent être confondues avec d’autres affections cutanées. Une fois infecté, le virus reste à vie dans l’organisme, provoquant des poussées récurrentes. L’herpès est souvent asymptomatique, de sorte que vous ou votre partenaire ne soupçonnez pas forcément l’existence d’un risque de transmission.
• Chlamydia (infection bactérienne) : Peut être asymptomatique ou provoquer des symptômes comme des écoulements, des brûlures pendant la miction et des douleurs pendant les rapports sexuels.
• Gonorrhée (infection bactérienne) : Peut être asymptomatique ou produire des symptômes comme des écoulements, des mictions douloureuses et des testicules douloureux ou gonflés chez les hommes.
• Syphilis (infection bactérienne) : Des plaies apparaissent dans les premiers stades, suivies de symptômes plus graves qui peuvent avoir des effets à long terme s’ils ne sont pas traités.
Certaines IST comme la chlamydia, la gonorrhée et la syphilis peuvent être guéries par des antibiotiques. D’autres, comme l’herpès, sont des infections virales incurables, mais les traitements peuvent aider à gérer les symptômes et à ralentir la progression. Plus important encore, même si une IST est traitée avec des médicaments, il est toujours possible de la transmettre à d’autres personnes si des précautions ne sont pas prises.
Les IST ne font pas de discrimination. Elles peuvent toucher n’importe qui, indépendamment de l’âge, du sexe ou de l’orientation sexuelle. Cependant, personne ne devrait s’abstenir de toute exploration sexuelle en raison du risque de contracter une IST. Au contraire, il incombe à chacun de s’informer et d’adopter des pratiques sexuelles sans risque. M
Ressources pour le dépistage des IST à Montréal : Clinique sans rendez-vous de l’Hôpital général juif 3755, chemin de la Côte-Sainte-Catherine, pavillon G, local G-200 Du lundi au vendredi, de 8 h à 10 h 30, 514-340-8230
Clinique jeunesse CLSC (pour les personnes âgées de 25 ans et moins) Sur rendez-vous seulement (pas de visite sans rendez-vous) Réservez sur l’application ClicSanté ou sur le site Web
Info-Santé
Composez le 811 pour parler à un professionnel de la santé
• Herpes (viral infection): Can cause painful sores or blisters around the mouth or genitals, which can be mistaken for other skin conditions. Once infected, the virus stays in the body for life, causing recurrent outbreaks. Herpes is often asymptomatic, so you or your partner may not even know they could be spreading it.
• Chlamydia (bacterial infection): Can be asymptomatic or cause symptoms like discharge, burning during urination, and pain during sex.
• Gonorrhea (bacterial infection): Can be asymptomatic or produce symptoms like discharge, painful urination, and painful or swollen testicles in men.
• Syphilis (bacterial infection): Sores appear in the early stages followed by more serious symptoms that can have long-term effects if left untreated.
Certain STIs like chlamydia, gonorrhea, and syphilis can be cured with antibiotics. Others, like herpes, are viral infections with no cure, but treatments can help to manage symptoms and slow progression. More importantly, even if an STI is being managed with medication, it’s still possible to transmit it to others if precautions are not taken.
STIs do not discriminate. They can affect anyone regardless of age, gender, or sexual orientation. However, no one should refrain from sexual exploration due to the risk of STIs. Instead, it’s the responsibility of each individual to educate themselves and engage in safe sex practices. M
STI testing resources in Montreal:
Jewish General Hospital Walk-in Clinic
3755 Côte-Sainte-Catherine Road, Pavilion G, Room G-200 Monday to Friday, 8:00 - 10:30 a.m., 514-340-8230
CLSC Youth Clinics (for people 25 years old and under)
By appointment only (no walk-ins)
Book on ClicSanté app or website
Info-Santé
Dial 811 to speak with a health professional
Julia Scala est premier répondant à la Croix-Rouge et étudie les sciences de la santé. Elle travaille également comme assistante médicale dans une clinique et comme secouriste lors d’événements sportifs. Elle aime collaborer avec Montréal enSanté, car cela lui permet de combiner son amour de l’écriture avec son intérêt pour les sujets liés aux soins de santé.
Julia Scala is a first responder with the Red Cross studying Health Sciences. She also works as a physician’s assistant in a medical clinic and as a medic at sporting events. She enjoys collaborating with Montréal enSanté because it allows her to combine her love of writing with her interest in healthcare topics.
LA CONJONCTIVITE EST UNE AFFECTION OCULAIRE COURANTE ET GÉNÉRALEMENT INOFFENSIVE
Les premiers symptômes peuvent être assez anodins : la sensation d’avoir quelque chose dans l’œil, probablement un cil, bien que vous ne puissiez pas le voir. L’irritation se transforme en rougeur, brûlure, larmoiement ou même en croûte, ce qui indique qu’il s’agit probablement d’une conjonctivite, une affection oculaire courante qui touche surtout les enfants, mais qui peut survenir à n’importe quel âge. g
OR “PINK EYE”, IS A COMMON, USUALLY HARMLESS EYE AILMENT
It may start innocently enough: A sensation of something in the eye, probably an eyelash, though you cannot see it. The irritation escalates to a red, burning, watery, or even crusty eye, revealing it is likely pink eye, a common eye condition that mostly affects children but can strike at any age. gg
La conjonctivite est une inflammation de la conjonctive, la fine couche transparente qui recouvre l’intérieur de la paupière et la partie blanche à l’avant de l’œil (la sclérotique), selon l’Association canadienne des optométristes. « Une irritation provoque la dilatation des vaisseaux sanguins contenus dans la conjonctive, ce qui est à l’origine des yeux rouges ou injectés de sang. »
Les symptômes sont nombreux : irritation, rougeur, écoulement, larmoiement, sensation de sable dans l’œil, gonflement et sensibilité à la lumière. En général, l’infection commence dans un œil et se propage à l’autre.
La conjonctivite est le plus souvent provoquée par les virus du rhume et de la grippe et se propage par contact avec des gouttelettes, ce qui la rend prolifique dans les lieux très fréquentés comme les écoles et les garderies. Les bactéries sont une autre cause de contagion. « La conjonctivite bactérienne se traduit par des yeux rouges et douloureux, avec beaucoup de pus collant dans l’œil. Cependant, certaines infections bactériennes ne provoquent que peu ou pas d’écoulement », précise l’American Academy of Opthalmology. Les symptômes de la conjonctivite peuvent également être causés par une allergie ou par une réaction à des irritants, tels que le pollen, les herbes à poux, les squames, la pollution, la fumée ou le chlore.
Des gouttes ou une pommade antibiotiques délivrées sur ordonnance permettent de traiter la conjonctivite bactérienne, mais elles ne guérissent pas une infection causée par un virus. Des compresses chaudes, des analgésiques oraux et le temps peuvent soulager les symptômes. Il est parfois conseillé de rester à la maison tant que la maladie est contagieuse.
Freinez la transmission de la conjonctivite en pratiquant une bonne hygiène, notamment en vous lavant les mains après avoir appliqué des médicaments ou des compresses pour les yeux. Évitez de toucher vos yeux, de partager le maquillage et les accessoires pour les yeux, de porter des lentilles de contact, puis jetez les objets contaminés et lavez fréquemment les surfaces et la literie.
Du coin de l’œil
La conjonctivite n’est pas toujours facile à diagnostiquer et peut être confondue avec un orgelet, une sécheresse oculaire, des infections d’autres parties de l’œil, le résultat d’une blessure directe ou le symptôme d’une autre affection, telle que le glaucome, la rougeole ou une infection sexuellement transmissible. Un médecin peut confirmer le diagnostic. M
Pink eye, or conjunctivitis, is “an inflammation of the conjunctiva, the thin, transparent layer that covers the inner eyelid and the white portion at the front of the eye (the sclera),” explains the Canadian Association of Optometrists. “An irritation will cause the blood vessels contained in the conjunctiva to dilate, which is what causes red or bloodshot eyes.”
Myriad symptoms include irritation, redness, discharge, watering, a gritty feeling in the eye, swelling and sensitivity to light. Usually the infection will start in one eye and spread to the other.
Pink eye is most commonly brought on by cold and flu viruses and spreads via contact with droplets, making it prolific in crowded places like schools and daycares. Bacteria is another contagious cause. “With bacterial conjunctivitis, you have sore, red eyes with a lot of sticky pus in the eye. Some bacterial infections, however, may cause little or no discharge,” notes the American Academy of Opthalmology. People can also experience pink eye symptoms due to an allergy or reaction to irritants like pollen, ragweed, dander, pollution, smoke or chlorine.
Prescription antibiotic drops or ointment will treat bacterial pink eye, but they will not cure an infection caused by a virus. Warm compresses, oral pain medication, and time can relieve symptoms. It may also be advised to stay home while contagious.
Curb the transmission of pink eye by practicing good hand hygiene — including washing your hands after applying eye medications or compresses. Avoid touching your eyes, sharing eye makeup and tools, and wearing contact lenses, plus discard contaminated items and wash surfaces and bedding frequently.
Pink eye is not always easy to determine and can be mistaken for styes, dry eye, infections of other parts of the eye, the result of a direct injury, or a symptom of another condition such as glaucoma, measles or a sexually transmitted infection. A doctor can confirm a diagnosis. M
TRADITION, TRUST AND TRIBUTE
Cimetière et Complexe Funéraire des Trembles
Des Trembles Cemetery and Funeral Complex
514-498-7682 cfdt.ca
Cimetière et Complexe Funéraire Mont-Royal
Mount Royal Cemetery and Funeral Complex
514-279-7358 mt-royal.ca
Cimetière et Complexe funéraire Belvédère
Belvedere Cemetery and Funeral Complex
514-457-4440 bvfc.ca
Trois complexes funéraires et cimetières bien entretenus, ouverts à toutes les dénominations, d’un bout à l’autre de l’île
Three well-maintained cemeteries and funeral complexes, open to all faiths, throughout the island
Soucieux de vous servir depuis 1852 Committed to serving you since 1852
Options pour l’inhumation de cercueils et de cendres. Nouveau columbarium intérieur. Options for burial of caskets and cremated remains. New indoor columbarium.
Tranquilité imprégnée de tradition. Un lieu de repos paisible entouré par la nature. Tranquility steeped in tradition. A peaceful resting place surrounded by nature.
Le plus récent cimetière sur l’île de Montréal. La stabilité d’une institution, les tendances modernes de nouvelles installations. Section boisée, unique sur l’île. The newest cemetery on the island of Montreal. The stability of an institution paired with modern facilities. Wooded area, unique on the island.
CIMETIÈRE ET COMPLEXE FUNÉRAIRE DES TREMBLES • DES TREMBLES CEMETERY AND FUNERAL COMPLEX CIMETIÈRE ET COMPLEXE FUNÉRAIRE BELVÉDÈRE • BELVEDERE CEMETERY AND FUNERAL COMPLEX CIMETIÈRE ET COMPLEXE FUNÉRAIRE MONT-ROYAL • MOUNT ROYAL CEMETERY AND FUNERAL COMPLEXMONTRÉAL EN CLASSE
MONTREAL CLASS ACTS
LE FUTUR EN TÊTE
LIFT OFF, ONE AT A TIME
LES ALLERGIES ALIMENTAIRES À L’ÉCOLE
NAVIGATING FOOD ALLERGIES AT SCHOOL
L’ESTIME DE SOI CHEZ LES ADOLESCENTS
SELF-ESTEEM IN TEENS
Feature
Les meilleures écoles stimulent les jeunes esprits, instaurent la confiance et offrent un excellent mélange d’activités parascolaires, des arts à l’athlétisme. Des enseignants qui inspirent et font ressortir le meilleur de votre enfant? Cela n’a pas de prix. Pas étonnant que de trouver la bonne école peut devenir une tâche ardue.
Chez Montréal enSanté, nous sommes fiers de pouvoir faciliter un peu la tâche des parents. Nous sommes là pour vous aider à prendre des décisions éclairées. Nous savons que le volet scolaire du magazine vous aidera, vous et votre enfant, à choisir une école qui répondra à tous vos critères. Nous souhaitons également aborder des sujets importants auxquels les élèves et les parents peuvent faire face à l’aube d’un nouveau calendrier scolaire.
De nombreux jeunes Montréalais atteints de maladie mentale risquent d’être délaissés lorsqu’ils passeront de l’école au travail et viceversa. Dans l’ère post-COVID, le nombre de jeunes qui ne sont PAS inscrits à une forme quelconque d’éducation, d’emploi ou de formation a augmenté de 30 %. Informez-vous sur la façon dont les programmes de placement et de soutien individuels aident les jeunes à trouver l’éducation et la formation qui leur conviennent, au bon moment et à leur rythme.
Commencer une nouvelle année scolaire ou fréquenter une nouvelle école est un grand défi. Ajoutez-y le stress d’une allergie alimentaire, et le degré d’anxiété peut doubler. La nutritionniste Shawna Birman donne plusieurs conseils précieux sur les mesures que les parents et les élèves peuvent prendre avant, pendant et après l’année scolaire pour éviter toute exposition aux allergènes alimentaires.
Arielle Ben-Zaken, travailleuse sociale clinicienne, explique comment les adolescents peuvent renforcer leur estime de soi, même lorsqu’ils font face à l’adversité. Comme si la pression des camarades de classe et les réseaux sociaux n’étaient pas assez intimidants, le stress lié à l’obtention de bonnes notes et à la nécessité de plaire aux parents peut nuire à l’estime de soi d’un adolescent. Aidez votre enfant à faire face à la situation en lui proposant une liste de moyens pour renforcer sa confiance en soi.
Nous espérons que vous apprécierez, et nous souhaitons savoir ce que vous aimeriez retrouver dans les prochaines éditions. Merci de votre lecture, et bon apprentissage! M
The best schools challenge young minds, instill confidence, and offer that special blend of extra-curricular activities, from the arts to athletics. Teachers who inspire and draw out the best in your child? Priceless. No wonder finding the right school is such a daunting task.
At Montréal enSanté, every summer, we strive to make a parent’s job a little easier. We’re here to help inform your decisionmaking. We know that the articles in this scholastic section of the magazine will help you and your child choose the right school that checks all the boxes. We also want to delve into important topics both students and parents alike want covered before the next academic calendar.
Many of Montreal’s youth living with mental illness are vulnerable to becoming left behind as they transition from school to work and back again. Post-COVID, the number of young people NOT enrolled in some form of education, employment or training increased by 30 per cent. Read more about how Individual Placement and Support programs are helping young people find the right education and training at the right time and at the right pace.
Starting another school year or attending a new school is tough enough. Add the stress of a food allergy to the mix and anxiety levels can double. Dietitian Shawna Birman shares several invaluable tips on what both parents and students can do before, during, and after the school year to ensure zero exposure to food allergens.
Clinical social worker Arielle Ben-Zaken shares several ways teens can boost their self-esteem, even when faced with adversity. As if school peer pressure and social media weren’t scary enough, the stress of getting good grades and pleasing parents can be tough on a teen’s self-esteem. Help your child cope with a list of ways to build self-confidence.
We hope you enjoy, and we hope you let us know what you want to see more of in future editions. Thanks for reading, and happy learning! M
Depuis sa fondation par Margaret Gascoigne en 1915, The Study est animée par une réelle volonté d’innover et une conviction profonde en l’importance de l’éducation des filles, et ce, en favorisant leur curiosité et en alimentant leur détermination. De la maternelle à la 5e secondaire, notre école bilingue et diversifiée offre des classes de petite taille, lesquelles favorisent le développement du caractère des élèves ainsi que leur confiance en soi et leur esprit visionnaire. Dès l’école primaire, les élèves apprennent que leadership et compassion vont de pair en concevant des projets susceptibles de résoudre des problèmes issus du monde réel. Elles développent ainsi leur pensée critique et une bonne capacité d’analyse en apprenant à réfléchir et à traiter et régler des problèmes complexes de manière créative.
Le mandat de l’école est d’établir la fluidité et la précision linguistique en anglais comme en français dès la maternelle dans un environnement d'apprentissage axé sur l’excellence académique. À l’école primaire, les journées se déroulent en alternance en français et en anglais. Les deux programmes sont enseignés à un niveau de langue maternelle. Le niveau de français est le même que celui qui est offert dans les écoles francophones du Québec et le niveau d’anglais est le même que celui offert dans les écoles anglophones au Québec. Au secondaire, le niveau de langue d’enseignement/langue maternelle continue à être offert jusqu’à la 5e secondaire en anglais et français. Nos finissantes ont donc le choix de continuer leurs études postsecondaires en anglais ou en français.
Le certificat d’admissibilité à l’enseignement en anglais n’est pas requis à The Study. Pour en savoir plus sur l’école, visitez le site des admissions à thestudy.qc.ca ou envoyez un courriel à admissions@thestudy.qc.ca.
Since the founding of The Study in 1915 by Margaret Gascoigne, the school has been led by an innovative mindset and passionate belief in the education of young women by instilling in them a strong sense of curiosity and determination. Our diverse K-11 bilingual school offers small class sizes which foster the development of character, confidence, and visionary thinking. Starting in elementary school, students are taught to lead with compassion by designing projects that have the potential to solve real-world issues. This allows them to develop a capacity for critical thinking and analysis by learning how to reflect, process and resolve open-ended problems.
The Study’s goal is to establish fluency and accuracy in both English and French beginning in Kindergarten in a learning environment driven by academic excellence. At the elementary school level, students spend one day immersed in English and the next in French. Both language programs are taught at the mother tongue level. The French programme is the same as that of French schools in Quebec and the English program is the same as that of English schools in Quebec. In senior school, the mother tongue programs (langue d’enseignement/ langue maternelle) continue through Grade 11. This provides our graduates with the choice to continue their post-secondary studies at either an English or French institution.
A certificate of eligibility for English instruction is not required at The Study. To learn more about The Study, visit Admissions at thestudy.qc.ca or email admissions@thestudy.qc.ca.
École privée pour filles Programme bilingue : double langue d'enseignement Certificat d’admissibilité à l’enseignement en anglais non requis (maternelle 5e sec.) Les élèves reçoivent un diplôme d'études secondaires du MEES à la fin de leurs études.
Le Sommet est une école montréalaise privée et subventionnée par le ministère de l’Éducation. Fondée en 1963, elle accueille plus de 650 jeunes et jeunes adultes en créant un environnement d’apprentissage individualisé et enrichissant pour tous. Les élèves, dont l’âge varie de 4 à 21 ans, présentent divers troubles du neuro-développement.
Le Sommet adopte une philosophie éducative innovante axée sur la création d’un environnement d’apprentissage enrichi pour tous les élèves. Le personnel de soutien, les enseignants, les parents et les professionnels de la communauté collaborent en permanence pour développer et améliorer les programmes de compétences sociales, éducatives et comportementales de nos élèves, qui répondent à leurs styles d’apprentissage uniques et à leurs besoins individuels, tout en favorisant leur indépendance. De plus, l’école le Sommet s’est engagée dans le développement professionnel, comme en témoignent les formations régulières du personnel sur les derniers développements en matière de théories, de pratiques et de recherches pédagogiques. De son programme d’arts créatifs renommé à ses initiatives révolutionnaires de formation professionnelle, l’innovation est encouragée dans la culture d’enseignement du Sommet, offrant aux étudiants toutes les expériences possibles pour renforcer leur confiance et leur sentiment d’identité.
L’école abrite également le Centre du Sommet pour l’éducation, la recherche et la formation (SCERT) propulsé par la fondation Azrieli et affilié à McGill. Fondé en septembre 2016, le SCERT a servi de plateforme pour simplifier les projets de recherche entrepris à l’école le Sommet, et de centre d’enseignement et d’apprentissage des meilleures pratiques dans les domaines pertinents pour l’éducation des jeunes aux prises avec des troubles du neuro-développement. En effet, à chaque étape, le Sommet se concentre sur « l’éveil du potentiel » de chaque élève qui franchit ses portes.
Montreal’s Summit School is a private school subsidized in the public interest by the Ministry of Education. Founded in 1963, it services more than 650 neurodiverse youth and young adults by creating an individualized and enriching learning environment for all. The students, ranging in age from 4 to 21 years, present with various neurodevelopmental conditions (NDCs).
Summit adopts an innovative educational philosophy focused on creating an enriched learning environment for all students. Support staff, teachers, parents, and community professionals are continually collaborating to develop and improve social, educational, and behavioural skills programs for our students that meet their unique learning styles and individual needs, as well as foster their independence. Moreover, Summit School is committed to professional development, as demonstrated through their regular in-services for staff on the latest developments in educational theories, practices, and research. From its renowned creative arts program to its groundbreaking job training initiatives, innovation is encouraged in Summit’s teaching culture, giving neurodiverse students as many experiences as possible to foster their confidence and sense of identity.
Summit is also home to the McGill-affiliated Summit Centre for Education, Research and Training (SCERT) powered by the Azrieli Foundation. Founded in September 2016, SCERT has served as a platform that has streamlined research projects undertaken at Summit School, and as a hub for teaching and learning best-practices in the fields relevant to the education of neurodiverse youth. Indeed, every step of the way, Summit School keeps its focus on “Awakening the Potential” of each student who passes through its doors.
Programmes éducatifs
Programme pré-scolaire
Primaire modifié - CAPS
Secondaire modifié 1er cycle
Educational Programs
Pre-School Program
Modified Primary - CASP
Modified Secondary Cycle 1
Challenges – WOTP
Herman Erdogmus, Directeur général / Director General
Bena Finkelberg, Directrice principale / Senior Principal
Cindy Larson, Directrice – Campus satellites / Principal – Satellite Campuses
Défis – WOTP 1750, RUE DEGUIRE, SAINT-LAURENT, QC H4L 1M7
NEET. Peut-être avez-vous déjà entendu parler de cet acronyme? Il signifie
« Not in Education, Employment, or Training » (ni en emploi, ni aux études, ni en formation) et décrit les personnes qui sont désengagées de l’école, du travail ou d’une autre activité productive. Les jeunes (âgés de 15 à 29 ans) sont particulièrement exposés au risque de devenir des personnes NEET, car ils vivent généralement de multiples transitions sur le chemin qui mène de l’école au travail. Chaque nouvelle transition éducative ou professionnelle peut remettre en question le sentiment d’autonomie, de compétence et d’identité des jeunes. En fait, les difficultés de santé mentale se manifestent souvent pour la première fois à la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte, ce qui peut perturber le développement scolaire et social d’un jeune. Nous ajoutons à cela une pandémie mondiale de santé publique, et il n’est pas surprenant que, en 2020, la proportion de jeunes NEET ait augmenté de 30 %1. Alors, comment pouvons-nous aider nos jeunes à s’engager sur la voie de l’épanouissement en tant qu’adultes?
L’importance de l’éducation et de l’emploi est primordiale. Fondamentalement, chacun — y compris les jeunes et les personnes souffrant de problèmes de santé mentale — a le droit de participer pleinement à la société, que ce soit à l’école ou dans le cadre d’un emploi régulier. L’éducation et l’emploi sont des déterminants sociaux connus de la santé et du bien-être. De plus, l’éducation et l’emploi peuvent être un antidote à l’exclusion sociale qui frappe les jeunes aux prises avec des problèmes de santé mentale. Dans l’économie d’aujourd’hui, le niveau d’éducation continue de déterminer les possibilités d’accéder à de nombreuses carrières intéressantes. L’intervention précoce est donc essentielle pour guider les jeunes lors de leur entrée dans l’âge adulte et les aider à devenir des membres engagés et productifs de la société.
Il existe au Canada des programmes d’aide à l’éducation et à l’emploi destinés aux jeunes. Cependant, la plupart des programmes s’adressent à une population générale et ne peuvent pas adapter leurs approches aux besoins, aux points forts et aux préférences des jeunes clients. De plus, les services locaux d’éducation et d’emploi ont tendance à travailler séparément des autres organismes d’aide à la jeunesse qui offrent un soutien en matière de santé mentale, de toxicomanie, de justice, de logement, etc. Naviguer dans cet ensemble de services distincts est une tâche décourageante pour des jeunes qui affrontent déjà toute une série de problèmes. Nos communautés ont grand besoin d’un accès équitable à l’éducation et à l’aide à l’emploi pour les jeunes g
NEET. Maybe you’ve heard of this acronym before? It stands for “Not in Education, Employment, or Training” — describing people who are disengaged from school, work, or other productive activity. Young people (age 15-29) are particularly vulnerable to becoming NEET as they typically experience multiple transitions along the path from school to work. Each new educational or vocational transition can challenge youth’s sense of autonomy, competency, and identity. In fact, mental health difficulties often first present themselves in late adolescence to early adulthood, which can disrupt a young person’s academic and social development. We add a global public health pandemic, and it’s no surprise that in 2020, the proportion of NEET youth increased by 30 per cent.1 So, how can we best support our young people navigate the pathway to fulfilling adult roles?
The importance of education and employment is paramount. On a fundamental level, everyone – including youth and those with mental health challenges – has the right to participate fully in society, whether it be in school or regular employment. Education and employment are known social determinants to health and well-being. Moreover, education and employment can be an antidote to the social exclusion that plagues young people struggling with mental health. In today’s economy, education level continues to determine opportunities towards many meaningful career paths. Early intervention is then critical in guiding youth throughout emerging adulthood to help them become engaged, productive members of society.
Education and employment support programs serving youth do exist across Canada. Yet, most programs cater to a general population that is limited to tailoring approaches to the individualized needs, strengths, and preferences of youth clients. Additionally, local education/employment services tend to work in silos from other youth-serving agencies that offer supports in mental health, addictions, justice, housing, etc. Navigating this pool of separate services is a daunting task for youth who are already dealing with a variety of concerns. Equitable access to education and employment support for youth is much-needed in our communities. gg
g Une perspective prometteuse pour une approche plus intégrée du bien-être des jeunes est un modèle d’emploi assisté et d’éducation basé sur des preuves, appelé IPS — Individual Placement and Support (placement et soutien individuels), disponible grâce aux services intégrés pour les jeunes (SIJ). Presque toutes les provinces canadiennes déploient maintenant les SIJ (au Québec, l’initiative s’appelle Aire ouverte). Les SIJ sont des centres où les jeunes peuvent accéder à la gamme de services dont ils ont besoin, quand ils en ont besoin, y compris la santé mentale, la toxicomanie, la guérison autochtone, les soins primaires, le soutien par les pairs et les soutiens au travail et aux études tels que l’IPS. L’IPS est une intervention inclusive et individualisée visant à aider les personnes atteintes de troubles mentaux à trouver l’emploi régulier de leur choix. Des programmes d’éducation et de formation sont également prévus pour leur permettre de progresser dans leur carrière. Plusieurs principes de l’IPS conviennent parfaitement au soutien des jeunes :
• Ouvert à toute personne manifestant un intérêt pour le travail ou l’école : aucun jeune n’est exclu en raison de son état de santé mentale ou d’autres difficultés liées à ses conditions de vie (par exemple, l’itinérance).
• Les préférences du client guident la prise de décision : les jeunes peuvent explorer et expérimenter des emplois et des programmes en fonction de leurs champs d’intérêt et de leurs points forts. Leur sens croissant de l’autonomie et de la compétence est pris en compte dans le processus de soutien.
• Intégration avec le traitement de la santé mentale : le soutien à la santé mentale est coordonné avec le soutien à l’emploi et à l’éducation pour de meilleurs résultats dans le fonctionnement et le développement des jeunes.
• Suivi à long terme : les besoins, les préférences et les motivations des jeunes changent souvent, de sorte qu’un suivi IPS de 12 mois ou plus peut être mieux adapté que les sessions limitées proposées par la plupart des programmes d’emploi assisté. M
L’IPS est actuellement mis en œuvre et étudié dans 12 centres de services intégrés pour la jeunesse au Canada (y compris dans la grande région de Montréal) dans le cadre du projet Lift/Futur en tête, une initiative de collaboration inédite en partenariat avec ACCESS Open Minds, l’Université McGill, le Centre de recherche Douglas, Projet Aire Ouverte le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal, RIPAJ (Réseau d’Intervention de Proximité Auprès des Jeunes), le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), Foundry, University of British Columbia, les Carrefours bienêtre pour les jeunes de l’Ontario, et le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH). Ne manquez pas les résultats des recherches et l’évolution des services intégrés pour les jeunes.
Si vous connaissez un jeune qui a des difficultés, contactez un professionnel de la santé pour obtenir du soutien.
gg A promising outlook to a more integrated approach to youth wellness is an evidence-based supported employment and education model called IPS – Individual Placement and Support, made available through integrated youth services (IYS). Nearly all Canadian provinces are now rolling out IYS (in Quebec, the IYS initiative is called Aire ouverte). IYS are one-stop hubs where youth can access the range of services they need, when they need them, including mental health, substance use, Indigenous healing, primary care, peer support, and work and study supports such as IPS. IPS is an inclusive, individualized intervention to help people living with mental health conditions to find regular jobs of their choice. To progress on their career paths, mainstream education and training programs are also included. Several principles of IPS are ideally suited for supporting youth:
• Open to anyone who shows interest in work or school: No youth is excluded because of their mental health condition or other challenges, like living circumstances (e.g. homelessness).
• Client preferences guide decision-making: Youth can explore and experience jobs/programs based on their interests and strengths. Their growing sense of autonomy and competency is embraced by the support process.
• Integration with mental health treatment: Mental health support is coordinated alongside employment/education support for better outcomes in youth’s functioning and development.
• Long-term follow-up support: Youth commonly experience changing needs, preferences, and motivations, so IPS follow-up that lasts 12 months or more may be a better fit than the limited sessions offered by most supported employment programs. M
IPS is currently being implemented and investigated across 12 integrated youth-service hubs across Canada (including the greater Montreal area) through the Lift/Futur en tête project — a first-of-its-kind collaborative initiative in partnership with ACCESS Open Minds, McGill University, Douglas Research Centre, Projet Aire Ouverte, CIUSSS de l’Ouest-de-l’Îlede-Montréal, RIPAJ (Montreal Homeless Youth Network), Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), Foundry, University of British Columbia, Youth Wellness Hubs Ontario, and the Centre for Addiction and Mental Health (CAMH). Stay tuned for research findings and developments of integrated youth services.
If you know a young person who is struggling, contact a healthcare professional for support.
Gesthika Kaltsidis est diplômée de McGill et travaille dans le domaine de l’assistance. Elle travaille actuellement comme assistante de recherche dans l’équipe de la professeure Srividya Iyer au Centre de recherche Douglas en appui de l’étude Lift/Futur en tête
Gesthika Kaltsidis is a McGill graduate working in the helping professions. She is currently working as a research assistant on Professor Srividya Iyer’s team at the Douglas Research Centre supporting the Lift/Futur en tête study.
Le Collège international Marie de France (CiMF), installé à Montréal depuis 1939, se distingue par sa large ouverture internationale, son approche laïque de l’éducation et son ouverture à la culture locale. Ces caractéristiques sont uniques au Québec. Les familles viennent chercher chez nous, non seulement cette ouverture internationale, mais aussi et surtout un programme scolaire spécifiquement français, menant à l’obtention de diplômes français reconnus par le Canada. De plus, dans le cadre de l’entente internationale franco-québécoise, nos élèves suivent de nombreux cours québécois complémentaires. Ils obtiennent ainsi les équivalences avec les diplômes québécois et peuvent intégrer facilement les plus prestigieuses universités nord-américaines. Le CiMF forme des citoyens du monde avec un esprit critique développé, aptes à être pleinement eux-mêmes, à reconnaître les autres et à relever des défis.
Le CiMF est un établissement du réseau mondial de l’AEFE (Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger), dont la mission est la diffusion de la culture et de la langue française, par le biais d’un enseignement d’excellence, permettant à chacun d’accéder à la réussite scolaire et personnelle. Implanté au Québec, le CiMF respecte et partage les valeurs de la France et celles du pays d’accueil. Ainsi, la devise de la France « Liberté, Égalité, Fraternité » comme celle du Québec « Je me souviens » se retrouvent dans les objectifs fixés par l’école :
• La réussite pour tous, au plus haut niveau, à travers la culture générale développée dans les programmes français, enrichie des compléments québécois qui permettent l’accès aux plus prestigieuses universités.
• La richesse et la réussite du multiculturalisme au quotidien, illustré par plus de 60 nationalités qui se côtoient dans la connaissance et le respect de l’autre.
• La dimension humaine et chaleureuse d’un établissement qui, malgré plus de 1800 étudiants, conserve dans ses relations comme dans ses structures une ambiance harmonieuse et valorisante pour tous et pour chacun.
Collège International Marie de France (CiMF), established in Montreal in 1939, is known for its global-mindedness, secular education, and its understanding of local culture –– all of which are unique features of Quebec culture. Families look to our school to provide their children with a high quality education, allowing them to obtain French diplomas that are recognized by the Canadian government. As part of the Franco-Quebec International Agreement, our students also take several complimentary courses to earn the equivalent Quebec credentials. This gives them the opportunity to seamlessly integrate into North America’s most prestigious universities. CiMF shapes global-minded citizens with excellent critical thinking skills. Students are equipped to face new challenges and reach their fullest potential.
CiMF is a member of the Agency for French Education Abroad, whose missions it is to spread French language and culture abroad through a commitment to academic excellence, and to help all students achieve both personal and academic success. Established in Quebec, CiMF respects and shares our province’s values, as well as those of France. France’s motto “Liberté, Égalité, Fraternité” like Quebec’s “Je me souviens” are thus both a part of our school’s mission and vision:
• Success for all, at the highest level, through the general culture developed in the French programs, and further explored in the complimentary Quebec programs, which allow access to the most prestigious universities.
• The benefits of daily multiculturalism, as exemplified by over 60 nationalities that respectfully interact.
• The warm and human dimension of an establishment that, despite having over 1,800 students, maintains a harmonious and rewarding environment for each and every one.
Depuis 1861, L’École Sacré-Cœur de Montréal encourage ses élèves à se distinguer sur le plan académique et social, et à viser l’excellence. L’école s ’engage à faire évoluer les jeunes femmes vers l’intelligence, la conviction, la compassion et le sens de la justice pour tous.
Comme les filles apprennent différemment des garçons, les écoles de filles sont en mesure de se concentrer sur les styles d’apprentissage qui leur sont propres. Imaginez être enseigné par des éducateurs qui comprennent et apprécient la façon dont les filles apprennent. Imaginez que vous vous sentiez soutenues au quotidien par vos éducateurs et vos camarades, qui vous encouragent à rayonner, à défendre vos convictions et à trouver véritablement votre propre voix. Les jeunes femmes de l’École Sacré-Cœur en profitent chaque jour et sont encouragées à devenir des citoyennes du monde informées et engagées, qui dirigent avec confiance et grâce.
Les écoles de filles ont une longue histoire d’encourager les filles dans les matières STEM (sciences, technologie, ingénierie, mathématiques) et l’École Sacré-Cœur ne fait pas exception à cette tradition. Dès leur premier jour d’école, les élèves sont engagées dans un ensemble d’activités et de sujets qui leur permettent d’élargir leurs intérêts. De la robotique au club de programmation, en passant par les mathématiques avancées, les élèves quittent l’École Sacré-Cœur avec une multitude d’opportunités à leur portée.
Les diplômées de l’École Sacré-Cœur sont des exemples parfaites puisqu’elles ont été acceptées dans certaines des universités les plus prestigieuses et les plus renommées au monde, dans des programmes scientifiques tels que la physique, la biochimie et l’ingénierie industrielle, le commerce et les arts Les possibilités sont infinies.
L’École Sacré-Cœur propose également un programme de 12e année qui permet aux élèves d’obtenir un diplôme d’études secondaires de l’Ontario (OSSD). Pour plus d’information, veuillez visiter sacredheart.qc.ca/grade-12
Since 1861, Sacred Heart has encouraged its students to thrive academically as well as socially, and to strive for greatness. The school is committed to developing young women of intellect, conviction, compassion and with a sense of justice for all. Since girls learn differently than boys, all-girls’ schools are able to focus on girls’ unique learning styles. Imagine being taught by educators who understand and appreciate the way girls’ learn. Imagine feeling supported on a daily basis by your educators and peers, encouraging you to take center stage, speaking up for what you believe in and truly finding your voice. The young women of Sacred Heart experience this every day, and are then inspired to become informed, engaged global citizens who lead with confidence and grace.
Girls’ schools have a long history of engaging girls in STEM (Science, Technology, Engineering, Math) subjects and Sacred Heart is no exception. The students are encouraged from their first day of school to engage in an array of activities and subjects that allow their interests to expand. From Robotics and coding club, to advanced math, graduates leave Sacred Heart with a plethora of opportunities at their doorstep.
Sacred Heart graduates are perfect examples as they have been accepted to some of the most prestigious and worldrenowned universities, into Science programs such as Physics, Biochemistry and Industrial Engineering, to Business and Arts… The possibilities are endless.
Sacred Heart also offers a Grade 12 program where students obtain an Ontario Secondary School Diploma (OSSD). For more information, please visit sacredheart.qc.ca/grade-12
L’entrée au secondaire est excitante. C’est un nouveau chapitre qui apporte indépendance et opportunités, mais aussi de nouveaux dangers pour ceux qui vivent avec une allergie alimentaire. Voici quelques conseils pour rester confiant et en sécurité lors de la transition vers le secondaire.
Avant le début de l’année scolaire, prenez le temps de réfléchir à tous les risques que ce nouvel environnement peut présenter. Dès les premiers jours d’école, n’oubliez pas d’explorer les couloirs, les salles de classe et la cafétéria afin de repérer toutes les sources de danger possibles. Pensez à votre emploi du temps quotidien et aux cours que vous allez suivre. Par exemple, vérifiez comment les instruments sont nettoyés si vous êtes inscrit à un cours de musique, passez en revue les recettes que vous allez préparer au cours d’économie familiale ou vérifiez quelles substances sont utilisées pour les expériences en classe de sciences. Élaborez un plan pour faire face à chacun des dangers que vous avez découverts afin de ne pas être pris au dépourvu.
Examinez la politique de votre école en matière d’allergies alimentaires et assurez-vous qu’elle contient toutes les mesures nécessaires pour que vous vous sentiez en sécurité. N’hésitez pas à signaler les lacunes, à demander aux responsables d’apporter les modifications nécessaires et à les communiquer à l’ensemble du personnel. Rédigez votre propre plan d’urgence, en veillant à ce qu’il soit à jour et qu’il contienne les informations médicales correctes, les mesures à prendre et les numéros de téléphone à composer en cas d’incident. Assurez-vous que l’école est au courant et qu’elle l’a examiné avant le début de l’année scolaire.
Vous n’avez pas besoin de vous promener dans l’école avec un mégaphone, mais vous devez vous assurer que votre entourage est au courant de votre allergie alimentaire. Informez vos enseignants, les administrateurs, g
Starting high school is exciting. It’s a new chapter that brings independence and opportunities as well as new hazards for those living with a food allergy. Here are some tips to stay confident and safe as you transition into high school.
Take some time to brainstorm all of the potential risks this new environment may pose before the school year begins. Within the first few days of school, be sure to explore the halls, classrooms, and cafeteria to find all possible sources of danger. Think about your daily schedule and what kinds of classes you will be taking. For example, check how instruments are cleaned if you are enrolled in a music class, review the recipes you’ll be making in home economics class, or check what substances are used for experiments in a science class. Create a plan to navigate each of your discovered hazards in advance so that you are not caught off guard.
Review the existing food allergy policy at your school and make sure that it has all the measures in place that you need to feel safe with your specific allergy. Don’t hesitate to point out anything that is missing, have them make the necessary edits and share them with the entire staff. Write out your own emergency plan, ensuring that it’s up to date with the correct medical information, steps of action, and phone numbers should something happen. Make sure the school is aware and has looked over it before the start of the semester.
You don’t need to walk around school with a megaphone, but you do need to make sure those around you are aware of your food allergy. Inform your teachers, administrators, gg
Consultez votre professionnel de la santé au sujet d’EpiPenMD : l’auto-injecteur d’épinéphrine
possédant plus de 35 années d’expérience dans le traitement des réactions allergiques graves.
Les auto-injecteurs EpiPenMD et EpiPen JrMD (épinéphrine) sont indiqués pour le traitement d’urgence des réactions anaphylactiques chez les patients qui présentent des risques accrus d’anaphylaxie, incluant les personnes ayant des antécédents en matière de réactions anaphylactiques. Le choix de la concentration appropriée est déterminé en fonction du poids du patient.
Les auto-injecteurs EpiPenMD et EpiPen JrMD sont conçus comme un traitement de soutien d’urgence uniquement et non comme un remplacement de soins médicaux ou hospitaliers ultérieurs. Après l’administration, les patients doivent avoir immédiatement recours aux soins d’un médecin ou se rendre à la salle d’urgence la plus proche. Durant les 48 heures suivantes, ils doivent s’assurer de demeurer à proximité d’un établissement de santé ou d’un endroit d’où ils peuvent composer le 911. Afin de vous assurer que ce produit vous convient, veuillez toujours lire et suivre les instructions sur l’étiquette. Pour de l’information détaillée sur les mises en garde et précautions, les effets secondaires ainsi que la posologie et l’administration, consultez le feuillet de renseignements pour le consommateur.
© 2021 Pfizer Canada SRI, Kirkland (Québec) H9J 2M5 Numéro sans frais : 1-877-EPIPEN1 (1-877-374-7361)g le personnel de soutien et vos nouveaux amis. De cette façon, tout le monde peut contribuer à créer un environnement dans lequel vous vous sentez en sécurité et vous aider dans les situations où vous ne vous sentez pas en sécurité. Apprenez-leur à reconnaître les dangers possibles, ainsi que les signes et symptômes en cas de réaction allergique. Assurezvous que tout le monde sait ce qu’il faut faire en cas d’incident afin d’être prêt à agir rapidement et à vous aider si nécessaire.
Votre auto-injecteur d’épinéphrine doit être sur vous en permanence. Vous n’aurez pas le temps d’ouvrir votre casier pour le prendre si vous avez une réaction allergique. Achetez un brassard, un sac à la ceinture ou une pochette de taille qui est confortable à porter tout au long de la journée. Vérifiez régulièrement que votre auto-injecteur n’est pas périmé. Montrez à votre entourage où il se trouve et comment l’utiliser afin qu’ils puissent vous aider en cas d’urgence.
Lavez-vous les mains et essuyez les surfaces de repas avant de dîner ou de prendre une collation. Apportez votre propre repas et ne l’échangez pas avec vos amis. Même si quelqu’un vous propose un aliment sans danger, vous ne pouvez pas être certain qu’il n’y a pas eu de contamination avec d’autres aliments de la boîte à lunch ou lors de la préparation à la maison. Avant de manger à la cafétéria, menez votre propre enquête pour vous assurer que l’aliment que vous choisissez est sans risque et qu’il peut être préparé et servi de manière à éviter tout contact avec un allergène.
Les moyens que vous avez mis en place pour assurer votre sécurité à l’école ne sont peut-être pas adaptés aux événements et aux activités parascolaires. L’exposition à des aliments, des lieux et des rituels différents peut présenter de nouvelles menaces. Soyez particulièrement vigilant lors des sorties scolaires, des voyages, des fêtes et des anniversaires. Si possible, discutez avec le coordinateur à l’avance pour savoir quels aliments seront servis, et explorez les dangers potentiels. Suggérez des substitutions et proposez des idées pour que vous puissiez assister à l’événement en toute sécurité. Nous espérons que l’école travaillera avec vous et s’adaptera à votre allergie afin que vous puissiez participer et profiter de ces événements sans stress.
Cela peut demander un peu plus d’attention et de planification, mais il est tout à fait possible de vivre une expérience merveilleuse au secondaire en dépit d’une allergie alimentaire. M
gg support staff, and new friends about your allergy. This way, everyone can help create an environment where you feel safe and help you in situations where you don’t. Teach them to recognize the possible dangers as well as your signs and symptoms in the event of an allergic reaction. Make sure everyone knows what to do should something happen, so they’re prepared to act quickly and assist you if necessary.
Your epinephrine autoinjector needs to be on you at all times. You won’t have time to open your locker to get it if you’re having an allergic reaction. Shop for an arm band, belt bag, or waist pack that is comfortable to wear for a full day at school. Check regularly to make sure that your autoinjector hasn’t expired. Teach those around you where it is and how to use it so that they can assist you should an emergency arise.
Wash your hands and wipe down eating surfaces before having lunch or a snack. Bring your own lunch and don’t trade or share with friends. Even if a friend offers you a food that is safe, you can’t be certain about potential cross contamination with other foods in their lunch box or when it was prepared at home. Before eating off the cafeteria menu, do a full audit to make sure the food you are choosing is safe and that it can be prepared and served in a way that doesn’t come into contact with your allergen(s).
Whatever means you’ve put in place to stay safe on regular school days may not fit with events and extracurricular activities. Exposure to different foods, places, and routines can present new threats. Keep an extra eye out during field trips, overnight excursions, holiday celebrations, and birthdays. If possible, speak with the coordinator in advance to know what food will be served and explore the potential dangers. Suggest substitutions and come up with ideas of how you can safely attend the event. The school will hopefully work with you and accommodate your allergy so that you can still participate and enjoy these events without any stress.
It may take a little extra care and planning, but it’s definitely still possible to have a wonderful high school experience despite living with a food allergy. M
Shawna Birman est une diététiste possédant de l’expérience avec le diabète, la santé cardiaque, la médecine gériatrique et d’autres spécialités. Elle travaille actuellement en médecine familiale au GMF MDCM au sein du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal.
Shawna Birman is a registered dietitian with experience in diabetes, heart health, geriatrics and other specialties. She currently works in family medicine at GMF MDCM, part of the CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal.
Ask your healthcare professional for EpiPen® : the epinephrine auto-injector with over 35 years of experience in treating severe allergic reactions.
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EpiPen® and EpiPen Jr® (epinephrine) Auto-Injectors are indicated for the emergency treatment of anaphylactic reactions in patients who are determined to be at increased risk for anaphylaxis, including individuals with a history of anaphylactic reactions. Selection of the appropriate dosage strength is determined according to patient body weight.
EpiPen® and EpiPen Jr® Auto-Injectors are designed as emergency supportive therapy only. They are not a replacement for subsequent medical or hospital care. After administration, patients should seek medical attention immediately or go to the emergency room. For the next 48 hours, patients must stay within close proximity to a healthcare facility or where they can call 911. To ensure this product is right for you, always read and follow the label. Please consult the Consumer Information leaflet in your product package for warnings and precautions, side effects, and complete dosing and administration instructions.
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EpiPen®, EpiPen Jr® are registered trademarks of Mylan, Inc. licensed exclusively to its wholly-owned affiliate, Mylan Specialty, L.P.; sub-licensee, Pfizer Canada ULC, Kirkland, Quebec H9J 2M5Engagée à offrir à nos étudiants une éducation bilingue de haut niveau et basée sur de solides valeurs
L’École bilingue Notre-Dame de Sion (ÉBNDS) se démarque par son approche unique mariant la rigueur académique, un programme bilingue incomparable, et un environnement bienveillant et humain qui valorise beaucoup plus que les seuls standards d’enseignement élevés. En plus de recevoir chez nous une formation de qualité exceptionnelle qui leur donne ensuite accès aux écoles francophones et anglophones les plus réputées de la région montréalaise, nos élèves s’imprègnent pour la vie de valeurs telles que le respect, la coopération et l’inclusion.
Fondée par la Congrégation des sœurs de Notre-Dame de Sion en 1963, l’ÉBNDS de Montréal fait partie d’un solide réseau qui compte des écoles sur cinq continents.
Nous sommes l’un des seuls établissements d’enseignement primaire au Québec qui privilégie l’apprentissage du français et de l’anglais comme langues maternelles.
Chaque jour, dans nos classes et ailleurs dans l’école, nous accomplissons notre mission en mettant de l’avant l’excellence scolaire et les principes d’humanisme et de compassion à partir desquels les écoles de Sion ont été créées.
Nous connaissons tous nos élèves par leur prénom; nous les soutenons et les accompagnons de la maternelle jusqu’à la sixième année. Leur succès fait notre succès.
Pour plus d’information : ebnds.com
Committed to offering students an outstanding bilingual, values-based education
École bilingue Notre-Dame de Sion (ÉBNDS) stands out for its unique approach combining academic excellence, an incomparable bilingual program, and a caring and human environment that values much more than just high academic standards. In addition to receiving an exceptional quality education that gives them access to the most reputable French and English schools in the Montreal area, our students are imbued with lifelong values such as respect, cooperation and inclusion.
Founded by the Congregation of the Sisters of Notre-Dame de Sion in 1963, ÉBNDS of Montreal is part of a solid network that includes schools on five continents.
EBNDS is one of the only elementary schools in Quebec that emphasizes the learning of French and English as mother tongues.
Every day in our classrooms and hallways we live out our combined mission of academic excellence together with the principles of openness and compassion on which Sion was founded.
We know all our students by name; we support them and guide them through kindergarten to the sixth grade. Their success is our success.
For more details, visit ebnds.com
• accroître mon développement physique et moteur
• développer l’estime de soi
• vivre des relations harmonieuses avec les autres
• communiquer en explorant le langage oral et écrit
• découvrir le monde qui m’entoure
• atteindre l’excellence académique
• increase my physical and motor development
• build my self-esteem
• maintain harmonious relationships with others
• communicate by exploring spoken and written language
• explore the world around me
• achieve academic excellence
Ouverture,
Située au cœur du centre-ville de Montréal, l’école Trafalgar pour filles repousse les limites de ce que les femmes peuvent accomplir depuis 135 ans. Trafalgar met les filles au défi et les inspire à aimer apprendre, à être confiantes et à créer un monde meilleur.
Notre philosophie d’enseignement est basée depuis toujours sur la démarche d’investigation. Nous sommes guidés par les principes de justice sociale, de durabilité, d’équité, de diversité et d’inclusion. En tant que petite école diversifiée, nous favorisons un environnement qui nourrit une expérience authentique fondée sur le développement de l’excellence, du leadership, de la gentillesse et de l’esprit global.
Afin de demeurer un chef de file en éducation au Canada, l’école Trafalgar et la faculté d’éducation de l’Université McGill introduisent un partenariat audacieux entre deux institutions légendaires: Le CoLab. Ensemble nous propulserons l’éducation vers de nouveaux sommets, en créant de nouvelles approches éducatives et des opportunités sans précédent pour les étudiantes tournées vers l’avenir. Joignez-vous à nous pour découvrir ce qui est possible en éducation pour les filles!
Located in the heart of downtown Montreal, Trafalgar School for Girls has been pushing the limits of what women can achieve for over 135 years. Trafalgar challenges and inspires girls to embrace learning, to be confident and shape a better world.
Our teaching philosophy is rooted in the spirit of inquiry. We are guided by the principles of social justice, sustainability, equity, diversity and inclusion. As a small, diverse, school, we foster an environment that nourishes an authentic experience founded on developing individualized excellence, leadership, kindness and global mindedness.
In order to continue to be a leader in education in Canada, Trafalgar School and the Faculty of Education of McGill University, are introducing a bold partnership between two storied institutions: The CoLab. Together, we will move education to new heights, creating novel education approaches and unparalleled opportunities for future-ready students. Join us to see what girls’ education can be!
Be open, be curious, be collaborative, be compassionate… be yourself!
curiosité, collaboration, compassion…. soit toi-même!
L’adolescence peut être à la fois excitante et difficile. Au cours de cette période, chacun d’entre nous est souvent amené à se découvrir, à poursuivre son développement et à naviguer dans les méandres de la vie. L’un des aspects essentiels de ce voyage est le développement d’une bonne estime de soi et d’une confiance en soi.
Malheureusement, de nombreux adolescents souffrent d’une faible estime de soi, ce qui peut avoir un impact important sur leur bien-être général. Ils peuvent être plus sensibles à une série de conséquences négatives, notamment la dépression, l’anxiété et l’isolement social1
Le manque d’estime de soi chez les adolescents peut avoir plusieurs causes. Pour certains, elle peut être liée à une image corporelle négative2 Les réseaux sociaux et la pression exercée par les camarades jouent également un rôle important dans la perception et l’estime de soi des adolescents3. D’autres peuvent faire face à la pression scolaire et avoir l’impression de ne pas être à la hauteur des attentes2. Les relations familiales, en particulier celles avec les parents, peuvent également avoir un impact considérable sur l’estime de soi, surtout s’il y a des antécédents de critiques ou de négligence3.
Les adolescents qui souffrent d’un manque d’estime de soi présentent souvent des signes. Ces signes peuvent se manifester de différentes façons. Parmi eux, on peut citer des pensées et des discours négatifs, une mauvaise opinion de soi, des émotions tristes, la fuite des situations sociales et des difficultés à se concentrer à l’école. Les adolescents qui souffrent d’un manque d’estime de soi sont parfois moins enclins à essayer de nouvelles choses, car ils ont peur de l’échec et du jugement des autres. Ils peuvent également chercher à être reconnus et rassurés par les autres ou avoir du mal à exprimer leurs opinions et à se défendre2
Si vous avez l’impression que certains des éléments ci-dessus correspondent à votre situation et à ce que vous vivez, il serait utile de trouver des moyens d’améliorer votre estime et votre confiance en vous. Voici quelques conseils pour vous aider à y parvenir : g
Being a teenager can be both exciting and challenging. During this period of our lives, we are often undergoing self-discovery, continuing to grow, and navigating the intricacies of life. One vital part of this journey is developing healthy self-esteem and building confidence.
Unfortunately, many teens struggle with low self-esteem, which can have a significant impact on their general wellbeing. They might be more susceptible to a range of negative outcomes, including depression, anxiety, and social isolation.1
There are many potential causes of low self-esteem in teens. For some, it might be related to negative body image.2 Social media and peer pressure also play a significant role in shaping teenagers’ self-perception and self-worth.3 Others struggle with academic pressure, feeling that they are not living up to expectations.2 Family relationships, especially those with parents, can also have a significant impact on self-esteem, particularly if there is a history of criticism or neglect.3
When teens suffer from low self-esteem, they often exhibit signs. These signs can manifest in different ways. They include negative self-talk and thoughts, low opinion of self, sad emotions, avoidance of social situations, and difficulty concentrating at school. Teens who struggle with low selfesteem may also be less likely to try new things, as they might be fearful of failure and judgement from others. They might also seek validation and reassurance from others or have difficulty expressing opinions and standing up for themselves.2
If you feel like some of the above resonates with you and what you are going through, then finding ways to improve your self-esteem and build confidence could be helpful. Here are some tips to help you do just that: gg
• Accepter ses particularités : N’oubliez pas que vous êtes unique. Célébrez votre individualité et concentrez-vous sur vos points forts. Plutôt que de vous comparer aux autres, reconnaissez les talents, les intérêts et les qualités qui font de vous une personne à part entière.
• Parler de soi de manière positive : Combattez les pensées négatives en essayant de les remplacer par des affirmations positives. Rappelez-vous ce qui vous rend fier. Veillez à être bienveillant envers vousmême et à pratiquer l’autocompassion.
• S’entourer de positivité : Veillez à vous entourer de personnes qui vous aiment et vous soutiennent. Trouvez des amis qui vous aident à vous sentir bien dans votre peau et qui vous encouragent à donner le meilleur de vous-même. Participez à des activités qui vous apportent de la joie et vous donnent confiance en vous.
• Prendre soin de soi : L’un des éléments les plus importants pour améliorer l’estime de soi est de prendre soin de soi. Accordez la priorité à vos soins personnels en veillant à dormir suffisamment, à manger sainement et à pratiquer une activité physique régulière.
• Pratiquer l’affirmation de soi : Même si ce n’est pas facile au début, apprendre à exprimer clairement et respectueusement ses pensées, ses sentiments et ses besoins peut aider à prendre confiance en soi. L’affirmation de soi permet également de créer et de maintenir des limites saines, d’augmenter son estime de soi et d’entretenir des relations saines.
• Demander de l’aide : N’hésitez pas à vous adresser à un adulte de confiance, à un conseiller scolaire ou à un thérapeute si vous êtes aux prises avec un manque d’estime de soi. Ces personnes peuvent vous guider, vous donner un autre point de vue et vous soutenir pour vous aider à surmonter les difficultés liées au manque d’estime de soi et de confiance en soi. M
• Embrace your uniqueness: Remember, you are one of a kind. Celebrate your individuality and focus on your strengths. Rather than comparing yourself to others, acknowledge the talents, interests, and qualities that make you, you.
• Positive self-talk: Challenge negative thoughts by trying to replace them with positive affirmations. Remind yourself of what you have to be proud of. Make sure to be kind to yourself and practice self-compassion.
• Surround yourself with positivity: Ensure that you surround yourself with people who love and support you. Find friends that make you feel good about yourself and encourage you to be the best version of yourself. Participate in activities that bring you joy and build your confidence.
• Take care of yourself: One of the most important parts of improving self-esteem and building confidence is engaging in self-care. Prioritize self-care by ensuring that you get enough sleep, eat well, and engage in regular physical activity.
• Practice assertiveness: Although it might not be easy at first, learning to express your thoughts, feelings, and needs clearly and respectfully can help with building confidence. Being assertive also helps you create and maintain healthy boundaries, increases your self-worth, and nurtures healthy relationships.
• Seek support: Don’t hesitate to reach out to a trusted adult, school counselor, or therapist if you’re struggling with low self-esteem. They can provide guidance, perspective, and support to help you navigate the challenges of low selfesteem and confidence. M
Sources: 1. World Health Organization. Mental health of adolescents. World Health Organization. https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/adolescent-mental-health. 2. Sigler, K. 5 causes of low self-esteem in teenagers & why we must pay attention. https://www.salteffect.com/low-self-esteem-in-teenagers. 3. Beresin, E. Low self-esteem in adolescents: What are the root causes? Psychology Today. https://www.psychologytoday.com/ca/blog/inside-out-outside-in/202206/low-self-esteem-in-adolescents-what-are-the-root-causes.
du CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal, ainsi qu’à temps partiel au Centre de thérapie de l’Ouest de l’Île, offrant du counseling aux adolescents et aux jeunes adultes.
Arielle Ben-Zaken is a clinical social worker and a member of the Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec. Arielle currently works at GMF MDCM, part of the CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Îlede-Montréal, as well as part-time at West Island Therapy Centre, providing counselling to teens and young adults.
Le Collège de l’Ouest de l’Île valorise l’excellence personnelle, la passion du savoir et les valeurs fondamentales qui donnent aux élèves les moyens de réussir. L’école préconise les valeurs de persévérance, du respect, de l’innovation et de l’esprit communautaire et de citoyenneté et s’efforce d’inculquer ces valeurs aux élèves. Le Collège est convaincu que ces valeurs sont essentielles pour réussir dans l’environnement toujours plus exigeant d’aujourd’hui et de demain.
La visite récente de deux personnes exceptionnelles, l’astronaute Dave Williams et le fondateur du Collège Terry Davies, a témoigné de ces valeurs. Ils ont partagé leurs expériences personnelles et leurs points de vue sur l’importance du travail assidu, des relations humaines authentiques et de l'acceptation de la diversité. Leur visite a été un véritable plaisir pour les élèves du Collège, qui étaient impatients d’apprendre de leurs expériences.
Le Dr Williams, un astronaute ayant battu tous les records, a fasciné le jeune public avec sa présentation sur l’exploration spatiale. Il a parlé de son parcours personnel, soulignant qu’il ne doit pas son succès à une intelligence exceptionnelle, mais à un travail acharné et à la curiosité. Dr Williams a effectué deux missions spatiales, a passé plus de 687 heures dans l’espace et a établi le record du plus grand nombre de sorties dans l’espace par un astronaute canadien. Cependant, il a révélé que son plus grand voyage fut son voyage intérieur à la recherche de ce qui donne un sens à sa vie.
Le Dr Williams a sauvé de nombreuses vies au cours de sa carrière de médecin, et il a fait remarquer que son plus grand impact fut par l’entremise des liens humains authentiques qu’il a noués avec ses patients. Il a souligné l’importance d’entretenir des relations et d’exprimer sa reconnaissance envers les personnes qui se soucient de vous. Son intelligence émotionnelle et sa vision de l’avenir, où des humains vivront sur Mars, ont inspiré les élèves à rêver grand et à travailler fort pour atteindre leurs objectifs.
Terry Davies, le fondateur du Collège, a également partagé son expérience et raconté les défis qu’il a dû relever pour créer le Collège, une école qui valorise la diversité et l’excellence en éducation. Il a encouragé les élèves à accueillir la diversité et à viser l’excellence dans tous les aspects de leur vie.
Le Dr Williams et M. Davies se sont tous deux engagés dans un échange avec les élèves qui fait réfléchir, soulignant l’importance de la passion, du travail acharné et des relations humaines authentiques.
Leur visite sur le campus fut une véritable source d’inspiration. En tant que parents, nous voulons inspirer et guider nos enfants pour qu’ils deviennent les meilleures versions d'eux-mêmes. Dr Williams et M. Davies incarnent les valeurs et l’esprit de véritables leaders, et leurs expériences et points de vue offrent des leçons précieuses autant pour les élèves que pour les parents.
West Island College (WIC) values personal excellence, a passion for knowledge, and fundamental values that empower students to succeed. Perseverance, respect, innovation, community, and citizenship are part of the values promoted, and the school strives to instill these values in their students. WIC believes that these values are essential for success in the ever-challenging environment of today and tomorrow.
A recent visit from two exceptional individuals, astronaut Dr. Dave Williams and WIC Founder Terry Davies, was a testament to these values, as they shared their personal experiences and insights on the importance of hard work, meaningful human connections, and embracing diversity. Their visit was a special treat for WIC students, who were eager to learn from their experiences.
Dr. Williams, a record-breaking astronaut, mesmerized the young audience with his presentation on space exploration. He shared his personal journey, emphasizing that his success was not due to exceptional intelligence but to hard work and curiosity. Dr. Williams completed two space missions, logged over 687 hours in space, and established the record for the most spacewalks by a Canadian astronaut. However, he revealed that his biggest journey has been his inward journey, exploring what gives his life meaning.
Dr. Williams has saved many lives during his time as a physician, and he remarked that his greatest impact has been through the meaningful human connections with his patients. He emphasized the importance of nurturing relationships and appreciating the people who care about you. His emotional intelligence and vision for the future, where humans will be living on Mars, inspired the students to dream big and work hard to achieve their goals.
Terry Davies, the founder of WIC, also shared his experiences and recounted the challenges he faced in establishing WIC, a school that values diversity and excellence in education. He encouraged the students to embrace diversity and to strive for excellence in all aspects of their lives.
Both Dr. Williams and Mr. Davies engaged in a thought-provoking exchange with students, emphasizing the importance of passion, hard work, and meaningful human connections. Dr. Williams encouraged the students to find their passion and focus on the work necessary to achieve their dreams, while Terry Davies emphasized the importance of a supportive community in achieving success.
Their visit on campus was truly inspiring, and their messages are relevant not only to students but also to parents. As parents, we want to inspire and guide our children to become the best versions of themselves. Dr. Williams and Terry Davies embody the values and spirit of true leaders, and their experiences and insights offer valuable lessons for students and parents alike.
Découvrez aujourd’hui ce qui distingue le Collège de l’Ouest de l’Île des autres écoles!
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Rejoindre une école dans un pays étranger peut être une expérience intimidante, mais College Prep International vise à faciliter la transition vers une nouvelle routine éducative, sans stress pour ses élèves.
L’école est située à Montréal, et l’on y parle plus de 25 langues différentes. Les étudiants parlent deux ou trois langues, puisque l’apprentissage d’une langue supplémentaire est considéré comme un atout.
College Prep International est une école privée mixte fière d’offrir de petites classes où des professeurs hautement qualifiés enseignent. Notre famille scolaire compte 135 élèves, à raison de 10 à 15 élèves par classe. Ce ratio élève/professeur idéal, et l’attention personnelle accordée à chacun, sont des facteurs clés pour répondre aux besoins des élèves étrangers. Tous les efforts sont faits pour rendre l’environnement d’apprentissage confortable et faire en sorte que la transition soit aussi douce que possible. Chaque classe est dirigée par un professeur titulaire, et les bureaux maintiennent une politique de porte ouverte où les élèves sont encouragés à demander des conseils en cas de besoin ou simplement à passer pour une conversation amicale.
Grâce à un programme scolaire solide, de nombreux élèves excellent en anglais, en français, en sciences, en mathématiques et en études sociales. Des installations supplémentaires sont également prévues pour améliorer l’expérience d’apprentissage, comme un espace informatique avec des connexions à haute vitesse, un laboratoire scientifique et une salle de musique. Toutes les salles de classe sont équipées de tableaux intelligents. Les élèves passent un après-midi par semaine dans un gymnase externe pour pratiquer diverses activités sportives afin de compléter leur programme scolaire.
Notre objectif est de mener notre mission avec passion afin de créer des possibilités illimitées et des perspectives d’avenir pour nos jeunes. Aider nos jeunes à comprendre le sens et le but de la vie tout en leur donnant une éducation formelle équilibrée est notre passion.
Joining a school in a country other than your homeland can be a daunting experience, but College Prep International aims to make settling into a new educational routine welcoming and stress-free for its students.
Based in Montreal, more than 25 different languages are spoken at the school. Students speak two or three languages since learning an additional one is seen as an asset.
College Prep International is a private co-educational school that prides itself on offering small classes taught by highly qualified teachers. There are 135 students within our school family with 10 to 15 students per class. The low student-to-teacher ratio, combined with the personal attention given, is ideal for the needs of international students. Every effort is made to make the learning environment comfortable and ensure the transition is as smooth as possible. Each grade is governed by a homeroom teacher. Offices maintain an open-door policy where students are encouraged to seek advice when needed or simply pop in for a friendly chat.
By providing a strong academic program, many students excel in English, French, science, math and social studies. Additional facilities are provided to enhance the learning experience, such as a computer area with high-speed connections, a science lab, and a music room. All classrooms are equipped with smart boards. Students spend one afternoon per week at an external gym engaging in various sports to complement their academic program.
Our goal is to carry out our mission with passion by creating unlimited opportunities and future possibilities for our students. Our passion is to help our youth understand the meaning and purpose of life while giving them a balanced, formal education.
Emmanuel is more than a school, it’s a family! Emmanuel est plus qu’une école, c’est une famille!
OUR TEACHING IS FOUNDED ON TRADITIONAL CHRISTIAN VALUES.
OUR PROGRAM IS DESIGNED TO HELP STUDENTS ACHIEVE THEIR BEST ACADEMIC PERFORMANCE WITH A FOCUS ON BILINGUAL EDUCATION.
NOTRE ENSEIGNEMENT EST FONDÉ SUR LES VALEURS CHRÉTIENNES TRADITIONNELLES.
NOTRE PROGRAMME EST CONÇU POUR AIDER LES ÉLÈVES À ATTEINDRE LEUR MEILLEUR RENDEMENT SCOLAIRE EN METTANT EN VALEUR L’ÉDUCATION BILINGUE.
Le cancer frappe des personnes de tout âge. Malheureusement, chez les adolescents, les vingtenaires ou les trentenaires, cette maladie a une série de conséquences uniques sur les plans médical et psychosocial.
Chez les adolescents, un diagnostic de cancer peut engendrer un sentiment d’exclusion : obligation de s’absenter de l’école et des fêtes, changement d’apparence et traitement différent de la part des amis — ce que les adolescents redoutent le plus. Chez les jeunes adultes, un diagnostic de cancer peut donner l’impression d’être laissés à l’écart, ce qui a une incidence sur leurs études, leur parcours de carrière et leurs relations. Les traitements oncologiques peuvent aussi causer des problèmes de fertilité et mettre fin au rêve d’avoir des enfants.
Les jeunes atteints de cancer forment ce que l’on appelle « le groupe des AJA (adolescents et jeunes adultes) », et le système de santé n’est pas tout à fait adapté aux besoins de ce segment de la population. Les problèmes des AJA sont différents de ceux des patients plus jeunes ou plus âgés. Malheureusement, leur taux de survie n’augmente pas non plus aussi vite que celui des patients des autres groupes d’âge atteints de cancer.
Jackie Aziz faisait partie du groupe des AJA. Elle est décédée à l’âge de 23 ans, après avoir combattu un sarcome pendant cinq ans. « Jackie était bienveillante, authentique et très sociable. Elle adorait créer des liens entre les gens, dit sa mère, Lynn Aziz. Bien qu’elle ait été courageuse et positive pendant l’ensemble de sa longue lutte contre le cancer, il lui arrivait aussi d’éprouver de la tristesse et de la solitude. »
La jeune femme a un jour écrit : « Effectuer des changements positifs a toujours été ce que je voulais faire. » Exauçant ce souhait, les parents de Jackie ont fait équipe avec la Fondation du cancer des Cèdres, afin de créer le Programme AJA Jackie Aziz de la Fondation du cancer des Cèdres (le programme AJA), qui améliorera le sort des patients atteints de cancer et de leurs proches au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). g
Cancer strikes people at every age. Unfortunately, when it strikes someone in their teens, 20s or 30s, it comes with a unique set of medical and psychosocial consequences.
For teens, a cancer diagnosis can lead to feeling “left out:” missing school, missing parties, looking different, and being treated differently by friends — the things that teens dread most. For young adults, a cancer diagnosis can lead to feeling “left behind.” It can derail their studies, their career path, and their relationships. What’s more, cancer treatments can cause fertility problems and put an end to their dreams of having children.
These young people fall into what’s called the “AYA (Adolescent and Young Adult) gap,” because they don’t fit neatly into either the pediatric or adult healthcare system. Their issues are not the same as those of younger or older patients. And, what’s more, their survival rates are not rising as quickly as those of younger or older cancer patients.
Jackie Aziz was in the AYA gap. She passed away at the age of 23, after a five-year battle with sarcoma. “Jackie was caring, genuine, and very social. She loved bringing people together,” says her mom, Lynn Aziz. “Although she was brave and positive during her long battle with cancer, she also felt sad and lonely at times.”
Jackie once wrote: “Effecting positive change is all I ever wanted to do.” To honour that wish, Jackie’s parents teamedup with the Cedars Cancer Foundation to create the Jackie Aziz Adolescent and Young Adult Program at Cedars (AYA Program), which will affect positive change for AYA cancer patients and their loved ones at the McGill University Health Centre (MUHC). gg
Sam Finn connaît bien les défis que doivent relever les jeunes patients atteints de cancer. Son frère Cédric n’avait que 27 ans lorsqu’il a été emporté par un sarcome. « Il avait une belle carrière, et sa fiancée et lui venaient de faire construire la maison de leurs rêves, ajoute Sam. Cédric avait beaucoup de projets, mais il a dû tout laisser tomber. » Sam a depuis remué ciel et terre pour donner un sens à la mort de son frère. En 2019, il a recueilli plus de 70 000 $ pour le Fonds Cédric Finn pour lutter contre le sarcome, en battant le record du plus grand nombre de burpees en 24 heures, soit 5 324. Il va recommencer cet automne, essayant cette fois de pulvériser le record du nombre le plus élevé de burpees en une heure. « Cédric m’a appris à faire en sorte que chaque jour compte, ajoute Sam. Je veux m’assurer que sa vie compte aussi. »
g « Avec ce programme, nous visons à faire tomber les obstacles à la recherche, à améliorer les taux de survie et à augmenter la qualité de vie des patients AJA, explique le président-directeur général des Cèdres, Jeff Shamie. Notre objectif est aussi d’offrir un meilleur soutien à ces personnes, à toutes les étapes de leur parcours, qu’il s’agisse du diagnostic, des traitements, de leur survie et de leur fin de vie. »
Les fonds recueillis au titre du programme AJA ont déjà permis à la Mission des soins de cancer du CUSM de créer deux postes clés, qui vont permettre aux patients d’avoir accès aux meilleures ressources médicales et de recevoir de l’aide pour composer avec cette expérience sur les plans médical et émotionnel :
• Un intervenant pivot, qui apporte son soutien aux patients, qui les aide quant à leurs besoins médicaux et psychosociaux, et qui assure la coordination de leurs soins cliniques;
• Un associé de recherche clinique, qui facilite la participation des patients à des essais cliniques, auxquels il leur est souvent difficile d’avoir accès.
Les Cèdres et la famille Aziz continuent à recueillir des fonds pour soutenir ce projet important et pour lui faire prendre de l’expansion au cours des années à venir. « Jackie aurait été très fière de ce programme, ajoute Mme Aziz. Son legs sera d’apporter du soutien aux autres jeunes patients et à leur famille, alors qu’ils vivront la difficile expérience du cancer, et de contribuer à l’amélioration des taux de survie des patients AJA. » M
Pour en apprendre plus sur le programme AJA Jackie Aziz des Cèdres ou pour faire un don, veuillez consulter le site cedars.ca
Sam Finn also knows firsthand the challenges that young adults experience when they have cancer. His brother, Cédric, was only 27 when he died of sarcoma. “He had a great career, and he had just built his dream house with his fiancée,” says Sam. “He had so many plans, but he had to drop everything.” Sam has since gone to extreme lengths to ensure that Cédric’s death was not in vain. In 2019, he raised over $70,000 for the Cédric Finn Fund for Sarcoma by breaking the world record for the most burpees performed in twelve hours (5,324). This fall, he’ll be at it again, this time trying to break the record for most burpees completed in one hour. “Cédric taught me the importance of making every day count,” adds Sam. “I want to ensure that his life counts, too.”
gg “Through this program, we aim to reduce barriers to research, improve survival rates, and enhance the quality of life of AYA patients,” says Cedars President and CEO, Jeff Shamie. “Our goal is also to provide them with better support at every stage of their journey: diagnosis, treatment, survivorship, and end-of-life.”
Funds raised through the AYA Program fund have already enabled the MUHC Cancer Care Mission to create two key positions, which will ensure patients have access to the best medical resources and help navigating their way through their medical and emotional journey:
• A Patient Care Navigator who supports patients, helps them with their medical and psychosocial needs, and coordinates their clinical care
• A Clinical Research Associate who facilitates the participation of AYA patients in clinical trials, which are often difficult to access
Cedars and the Aziz Family will continue to fundraise to support and expand this important initiative for years to come. “Jackie would have been very proud of this program,” says Ms. Aziz. “Her legacy will be to support other young patients and their families as they navigate this difficult experience, and to help improve AYA survival rates.” M
To learn more about the Jackie Aziz AYA Program at Cedars or to donate, please visit cedars.ca
UNE CLINIQUE D’ÉVALUATION DU TROUBLE DU SPECTRE DE L’AUTISME (TSA) CHEZ LES ADOLESCENTS DE 13 À 17 ANS A OUVERT SES PORTES
CET AUTOMNE À L’HÔPITAL DE MONTRÉAL POUR ENFANTS (HME).
IL S’AGIT DE LA PREMIÈRE AU QUÉBEC.
Les parents qui soupçonnent que leur enfant souffre d’un TSA doivent souvent se buter à de longues listes d’attente pour qu’il soit évalué et obtienne finalement des réponses sur le plan du diagnostic.
Pour faciliter le processus d’évaluation, le ministère de la Santé et des Services sociaux a mandaté les quatre centres hospitaliers universitaires pédiatriques du Québec d’ouvrir des cliniques spécialisées dans le dépistage du TSA chez les 13 ans et plus. Celle de l’HME est la première à avoir vu le jour et a accueilli son premier patient en novembre 2022.
L’évaluation est faite par une équipe multidisciplinaire de la clinique Cerveau-développement-comportement, une approche qui fait toute sa richesse, selon ses membres.
« C’est assez rare de travailler avec une ergothérapeute ou une orthophoniste dans le dépistage des TSA. Ça permet de s’assurer d’avoir un portrait complet et bien orienter le diagnostic », explique Émilie St-François, psychoéducatrice.
« Nous évitons de travailler en silo », renchérit Vincent Chiasson, neuropsychologue. g
De
neuropsychologue;
coordonnatrice clinique; Melissa Romano, neuropsychologue; Charlotte Gagner, neuropsychologue; Émilie St-François, psychoéducatrice; Anna-Karina Prieur, infirmière; Cameron Dinh, ergothérapeute. Absente sur la photo : Andréanne Langis, orthophoniste. Left to right: Camille Léonard, neuropsychologist; Vincent Chiasson, neuropsychologist; Stephania Sauco, clinical coordinator; Melissa Romano, neuropsychologist; Charlotte Gagner, neuropsychologist; Émilie St-François, psychoeducator; Anna-Karina Prieur, nurse; Cameron Dinh, occupational therapist. Absent: Andréanne Langis, speech-language pathologist.
neuropsychologue;
A CLINIC FOR THE EVALUATION OF AUTISM SPECTRUM DISORDER (ASD) IN ADOLESCENTS AGED 13 TO 17 OPENED THIS FALL AT THE MONTREAL CHILDREN’S HOSPITAL (MCH).
IT IS THE FIRST OF ITS KIND IN QUEBEC.
Parents who suspect their child has an ASD often face long waiting lists to be evaluated and finally get answers in terms of diagnosis.
To facilitate the assessment process, the Ministère de la Santé et des Services sociaux has mandated Quebec’s four pediatric university hospital centres to open specialized ASD evaluation clinics for ages 13 and older. The MCH clinic was the first to open and received its first patient in November 2022.
The assessment is done by a multidisciplinary team from the Brain, Development and Behaviour Clinic, and this approach is what makes this team so unique, according to its members.
“It’s quite rare to work with an occupational therapist or a speech-language pathologist in ASD evaluation. It allows us to have the full picture and orient the diagnosis correctly,” explains Émilie St-François, psychoeducator.
“We avoid working in silos,” adds Vincent Chiasson, neuropsychologist.
The ASD 13+ clinic is mainly dedicated to the evaluation process. It makes recommendations and can also carry out short-term interventions while waiting for the family to be taken care of by long-term services in the community (CIUSSS, CLSC, etc.).
“If the family has specific needs, we can offer support, give them the appropriate information, for example, on ASD and sleep,” says Émilie. gg
La clinique TSA 13+ se consacre surtout à l’évaluation des adolescents. Elle formule des recommandations et peut aussi effectuer des interventions ponctuelles de courte durée auprès de la famille en attendant que celleci soit prise en charge à long terme par les services dans la communauté (CIUSSS, CLSC, etc.).
« Si la famille a des besoins spécifiques, nous pouvons offrir du soutien, lui donner les informations appropriées, par exemple sur le TSA et le sommeil », indique Émilie.
Les adolescents sont dirigés vers la clinique TSA 13+ par les partenaires faisant partie du RUISSS McGill, notamment les CIUSSS. D’autres jeunes vus à la clinique sont déjà des patients de l’HME. Le Directeur de la protection de la jeunesse peut également demander le service pour ses bénéficiaires.
Les jeunes sont alors contactés et se voient attribuer un gestionnaire de cas, qui peut être une infirmière, une ergothérapeute ou une psychoéducatrice.
« Nous nous adaptons au patient. Nous discutons d’abord du cas tous ensemble et décidons de la meilleure façon de procéder à l’évaluation », explique Stephania Sauco, coordonnatrice clinique.
L’évaluation consiste en plusieurs rendez-vous, dont la teneur dépend des besoins du jeune (orthophonie, ergothérapie, etc.). Une évaluation intellectuelle et une évaluation clinique sont toujours réalisées par un neuropsychologue. Jeux et matériel à l’appui, ces tests standardisés visent à placer l’adolescent dans différents contextes et à analyser comment il interagit, joue et communique, par exemple. Une entrevue est également réalisée avec les parents et parfois avec le patient seul lorsque la situation le requiert.
Le gestionnaire de cas et le neuropsychologue s’assurent aussi d’amasser toute l’information nécessaire auprès de différents partenaires, comme l’école ou le médecin de l’adolescent.
Une fois ces éléments rassemblés, l’équipe se réunit pour décider de l’orientation diagnostique, puis présente le bilan et les recommandations à la famille. Le suivi est également assuré à la fin du processus pour partager des ressources à la famille et voir à l’application des recommandations.
Les jeunes reçus à la clinique TSA 13+ proviennent d’horizons très diversifiés. L’équipe voit autant des adolescents qui fréquentent l’école régulière que des patients d’écoles spécialisées ou présentant des comorbidités sur le plan neurodéveloppemental, ainsi que des jeunes du Nord-du-Québec ou de communautés culturelles.
« Il s’agit parfois d’une clientèle plus vulnérable, ce qui peut expliquer que le TSA soit évalué plus tard, ou encore des adolescents fonctionnels qui compensaient, mais pour qui ça ne fonctionne plus du tout à l’adolescence avec l’augmentation des exigences sociales et académiques. À cet âge, les cas les plus évidents ont généralement déjà reçu un diagnostic », indique Vincent.
Il n’est jamais trop tard pour prendre en charge ces patients.
« Généralement, le diagnostic est bien accueilli par l’adolescent et sa famille. Il réalise qu’il n’est pas anormal et que sa différence porte un nom, il comprend enfin ce qu’il vit. Ça peut être un soulagement », dit-il. M
gg Adolescents are referred to the ASD 13+ clinic by partners of the McGill RUISSS, including the CIUSSS. Other young people seen at the clinic are already patients at the MCH. The Director of Youth Protection may also request the service for teenagers under its care.
Patients are then contacted and assigned a case manager, who may be a nurse, an occupational therapist or a psychoeducator.
“We adapt to the patient. We first discuss the case as a team and decide the best course of action for the evaluation,” explains Stephania Sauco, clinical coordinator.
The assessment consists of several appointments, the content of which will depend on the needs of the teenager (speech therapy, occupational therapy, etc.). An intellectual evaluation and a clinical evaluation are always performed by a neuropsychologist. Using games and material, these standardized tests aim to place the adolescent in different contexts and analyze how he or she interacts, plays and communicates, for example. An interview is also conducted with the parents and sometimes with just the patient when the situation requires it. The case manager and the neuropsychologist also make sure to gather all the necessary information from various partners, such as the school or the adolescent’s doctor.
Once these elements are gathered, the team meets to decide on the diagnostic orientation and then presents the assessment and recommendations to the family. Follow-up is also provided at the end of the process to share resources with the family and ensure that the recommendations are implemented.
The youth welcomed at the ASD 13+ clinic come from a wide variety of backgrounds. The team sees teenagers who attend regular school and patients from specialized schools or with developmental comorbidities, as well as young people from Northern Quebec or from cultural communities.
“These are sometimes more vulnerable patients, which may explain why the ASD is assessed later,” says Vincent. “Other cases include functional teenagers who were compensating but for whom it no longer works with increasing social and academic demands of adolescence. By this age, the most obvious cases have usually already been diagnosed,” he says.
It’s never too late to treat these patients.
“Generally, the diagnosis is well received by the adolescent and their family. They realize that they are not abnormal and that their difference has a name. They finally understand what they are going through. It can be a relief,” he says. M
Le Nunavik s’étend sur une superficie impressionnante de 500 000 hectares et est habité par les Inuits, répartis dans 14 villages, et dans les territoires cris de la Baie James.
C’est aussi une région où les chirurgiens traumatologues, Dr Evan Wong et Dr Jeremy Grushka, se rendent régulièrement pour fournir des services médicaux indispensables par le Centre de traumatologie Dr David S. Mulder de l’Hôpital général de Montréal
Pour la plupart d’entre nous, il est difficile de concevoir qu’il soit nécessaire de quitter sa communauté pour obtenir des soins médicaux, surtout lorsque le temps constitue un facteur critique. C’est pourtant exactement ce qui se passe au Nunavik, lorsque les personnes gravement blessées ou malades doivent être transportées à Montréal par avion médical. Comme le souligne le Dr Wong, « vous avez peur, vous êtes seul, vous êtes séparé de ce que vous connaissez, et vous vous retrouvez dans une ambulance, un avion et un hôpital à des centaines de kilomètres de chez vous. »
Cela met aussi en lumière le taux de mortalité caché associé aux traumatismes dans cette région. Lorsque l'on travaille contre cette « heure d’or », la fenêtre de 60 minutes durant laquelle les personnes gravement blessées ont besoin de soins rapides pour survivre, le Dr Grushka affirme que « des personnes au Nunavik succomberont à leurs blessures parce qu’elles ne peuvent pas être déplacées à temps ». g
Nunavik spans a staggering 500,000 square kilometres and is home to the Inuit, living in 14 villages, and the Cree territories of James Bay.
It is also where trauma surgeons, doctors Evan Wong and Jeremy Grushka, regularly travel to provide much needed medical services on behalf of the Dr. David S. Mulder Montreal General Hospital’s Trauma Centre
For most of us, it is hard to conceive having to leave your community to get medical attention, especially when time is of the essence. But that is what happens in the remote area of Nunavik as critically injured patients need to be transported to Montreal by medevac plane. As Dr. Wong points out, “You’re scared, alone, separated from what you know, and you find yourself put into an ambulance, a plane, and a hospital hundreds of kilometres from your home.”
This also exposes the hidden mortality rate associated with trauma in this region. When working against the “golden hour,” that 60-minute window when severely wounded patients need swift care to survive, Dr. Grushka says that “Individuals will succumb to their injuries because they can’t get moved.” gg
g Les traumatismes qui affectent le Nunavik sont à peu près les mêmes que partout ailleurs. Malheureusement, les traumatismes restent la première cause de décès chez les personnes canadiennes de moins de 34 ans, se traduisant par 1400 jeunes adultes au pays qui perdent la vie chaque année à la suite d’une blessure, la différence est que le taux de mortalité dans les régions éloignées est quatre fois plus élevé que dans les grandes villes. Alors, comment apporter un changement fiable?
Une présence permanente au Nunavik, tenant compte de la culture et reconnaissant les traumatismes et les disparités historiques, est le fondement de la création de liens authentiques avec les chefs de file et les aînés influents de la communauté, il en va de même pour le personnel médical. Le renforcement de ces relations permet de concrétiser la vision du nouveau plan chirurgical du Centre de traumatologie
Dr David S. Mulder. Elles ouvrent également la voie à des initiatives positives en matière d’éducation, de formation, de recherche et de prévention des blessures.
Dans le cadre du nouveau plan proposé, la prestation de soins dans la communauté est privilégiée. Certaines étapes, avant et après l’opération à Montréal, pourraient être facilitées en se produisant directement au Nunavik afin de limiter l’angoisse des allers-retours constants. De plus, des médecins en rotation sur place pourraient même pratiquer des interventions chirurgicales générales de base.
Développer une approche centrée sur la personne pour prodiguer des services et des soins à proximité du domicile va alléger considérablement la charge qui pèse sur les ressources de soins de santé dans les deux endroits. Pour les docteurs Wong et Grushka, les personnes sont au centre des priorités, et il est essentiel de faire connaître les besoins des populations autochtones en matière de soins de santé. M
gg Though landscapes may differ, traumas that plague Nunavik are much the same as everywhere else. Sadly, traumatic injuries are the leading cause of death for Canadians under the age of 34, translating to 1,400 young adult lives lost every year. The other difference is that the mortality rate in remote areas is four times higher than in major cities. So how do we bring about reliable change?
Establishing an ongoing presence in Nunavik, one that is culturally sensitive and acknowledges historical trauma and disparity, is the foundation to creating genuine connections with influential community leaders and elders as well as outpost and hospital medical staff. “We are invested” is doctors’ Wong and Grushka’s mantra. Strengthening these relationships advances the vision of the Dr. David S. Mulder Trauma Centre’s new surgical plan into concrete actions. They also pave the way for education, training, research, and injury prevention initiatives. The goal is more positive patient outcomes.
In the new plan, trauma surgery would still take place in Montreal. However, in-community alternatives become possible for planned elective surgery. Much preparation is required before and after an operation and this could be streamlined in Nunavik to limit the anguish of constantly going back and forth to Montreal. A proposed year-round rotation of on-site doctors who could manage clinics, diagnose, create treatment plans, and eventually even perform some basic general surgery would ensure continuity of care.
Establishing patient-centric services closer to home would go a long way to relieving the burden on healthcare resources in both locations. Raising awareness about Indigenous people’s needs is what drives the invaluable efforts of both Dr. Wong and Dr. Grushka at the Trauma Centre. M
Écoutez l’entrevue exclusive avec Dr Wong et Dr Grushka à codevie. ca/entrevues-trauma-nord-du-quebec ou sur votre application de baladodiffusion préférée.
Listen to an exclusive interview with doctors Wong and Grushka at codelife.ca/interviews-trauma-northern-quebec or on your favourite podcast app.
« Changer l’orientation pour fournir des soins dans la communauté ira loin. »
“Being able to shift the focus to provide in-community care, will go a long way.”
UNE NOUVELLE ÉTUDE AU NEURO ESPÈRE OFFRIR
LE PREMIER TRAITEMENT CIBLÉ POUR UNE FORME COURANTE DE DYSTROPHIE MUSCULAIRE
Keith Martin était au secondaire quand il a commencé à remarquer qu’il ne performait plus au sport comme avant. Il aimait les sports de raquette et le hockey, mais éprouvait une diminution au niveau de sa mobilité et de sa force et il ne savait pas pourquoi. Au cours des cinq années suivantes, il a été vu par de nombreux médecins, mais n’a reçu aucun diagnostic clair. C’est lorsqu’il a déménagé à Vancouver pour étudier à l’université qu’il a finalement été référé à un neurologue qui lui a diagnostiqué une dystrophie facio-scapulo-humérale (FSH), une maladie neuromusculaire évolutive et rare.
« Il n’y avait aucun antécédent familial; ça semblait arriver de nulle part », explique Keith, titulaire d’une maîtrise en ingénierie et professionnel certifié en gestion de projet. « Au début, ironiquement, j’ai ressenti beaucoup de soulagement — au moins j’avais une réponse. Mais peu de temps après, je me suis retrouvé avec beaucoup d’incertitude quant à ce que cela signifiait pour ma vie, pour mon avenir. C’était une période difficile. » g
HOPES FOR A NEW STUDY AT THE NEURO TO DELIVER FIRST TARGETED TREATMENT FOR COMMON FORM OF MUSCULAR DYSTROPHY
Keith Martin was in high school when he started noticing that he wasn’t performing in sports like he used to. He loved racket sports and hockey but was experiencing a decrease in mobility and strength, and he had no explanation for it. Over the next five years, he was seen by many physicians but received no clear diagnosis. It was when he moved to Vancouver for university that he was finally referred to a neurologist who diagnosed him with fascioscapulohumeral dystrophy (FSHD), a rare and progressive neuromuscular condition.
“There was no family history; it was really out of the blue,” explains Keith, who has a Master’s degree in engineering and is a certified project management professional. “At first, ironically, I felt a lot of relief — at least for having an answer. But shortly after, I was left with a lot of uncertainty for what it meant for my life, for my future. It was a difficult period.” gg
g Pas si rare
Keith est l’une des 500 000 personnes au Canada — et trois millions dans le monde — atteintes d’une maladie rare. La FSH peut se présenter à tout moment, y compris pendant l’enfance, bien qu’elle soit souvent diagnostiquée au début de l’âge adulte. C’est l’une des formes les plus courantes de dystrophie musculaire dans laquelle les cellules musculaires meurent avec le temps, affectant dans ce cas principalement le visage, le haut du corps et les jambes.
Bien qu’il n’existe aucun traitement pour la plupart des maladies rares — y compris la FSH — les essais cliniques offrent souvent la seule chance d’essayer un traitement qui pourrait ralentir ou stabiliser la progression de la maladie. Une nouvelle étude à l’Unité de recherche clinique (URC) du Neuro (Institut-hôpital neurologique de Montréal) étudie une nouvelle thérapie qui pourrait mener à un traitement potentiel pour la FSH.
« Il s’agit d’un trouble progressif qui peut être très débilitant », explique la Dre Erin O’Ferrall, neurologue et chercheuse principale du site pour une nouvelle étude à l’URC. « Au fur et à mesure que les cellules musculaires meurent, ces individus perdront de la force dans les muscles faciaux, ce qui peut avoir un impact réel sur l’interaction sociale et la communication, car ils ne pourront pas sourire. En plus d’affaiblir leurs bras et leurs jambes, la FSH a également un impact sur les muscles de la respiration, de sorte qu’il y a aussi un taux élevé de patients qui devront être soumis à une ventilation assistée. »
Aller droit au but
« La FSH est une maladie génétiquement complexe, ce qui la rend plus difficile à diagnostiquer. Les tests génétiques ne sont pas aussi simples à effectuer ou à interpréter que pour d’autres formes de dystrophie musculaire », explique la Dre O’Ferrall. « Les dystrophies musculaires sont généralement causées par un produit génétique manquant, entraînant la mort des cellules musculaires. À l’inverse, la FSH résulte d’un gène qui est surexprimé et qui, par conséquent, tue les cellules musculaires. »
Heureusement, la recherche a fait de grands progrès au cours de la dernière décennie. Nous savons maintenant que le gène DUX4 est responsable d’activer un mécanisme spécifique, provoquant la mort des cellules musculaires. « Il y a eu une véritable explosion dans mon domaine. Je n’aurais pas imaginé il y a 10 ans que nous envisagerions des thérapies ciblées », explique la Dre O’Ferrall. « Le médicament expérimental testé dans cet essai est précisément formulé pour rabattre ou désactiver complètement le gène DUX4 afin que le muscle puisse vivre. Si ce médicament s’avérait efficace, la FSH serait la première forme traitable de dystrophie musculaire adulte. »
Plus de 15 ans après son diagnostic, Keith présente des symptômes de faiblesse généralisée, en particulier au niveau du dos et du tronc. Il peut marcher seul, mais ses jambes se sont affaiblies avec le temps.
« Le sport prenait une grande place dans ma vie. Quand on aime jouer et compétitionner, c’est dur de perdre ça. J’adorerais pouvoir enfiler une paire de patins », explique-t-il. « Les gens veulent savoir qu’il y aura des options de traitements potentiels sur le long terme. La recherche nous donne de l’espoir. Beaucoup de gens suivront de près pour voir s’il y aura un résultat positif pour les personnes vivant avec la FSH. » M
Keith is one of 500,000 people in Canada — and three million worldwide — with a rare disease. FSHD can present at any time, including in childhood, though it is often diagnosed around early adulthood. It is one of the most common forms of muscular dystrophy in which muscle cells will die over time; in this case, mainly affecting the face, upper body, and legs.
While there are no treatments for most rare conditions — including FSHD — clinical trials often offer the only chance to try a treatment that could slow or stabilize the progression of the illness. A new study at the Clinical Research Unit (CRU) at The Neuro (Montreal Neurological Institute-Hospital) is studying a novel therapy. The hope is that it will lead to a potential treatment for FSHD.
“This is a progressive disorder that can be very debilitating,” explains Dr. Erin O’Ferrall, a neurologist and the site principal investigator for a new study at the CRU. “As muscle cells die over time, an individual will lose strength in facial muscles, which can really impact social interaction and communication because they can’t smile. In addition to weakening their arms and legs, it also impacts the muscles of respiration.”
“FSHD is genetically complex, making it harder to diagnose. The genetic testing is not as simple to perform or interpret as it is for other forms of Muscular Dystrophy,” says Dr. O’Ferrall. “It is also unusual in that Muscular Dystrophy is usually due to a gene product that is missing, resulting in the death of muscle cells. Conversely, FSHD results from a gene which is overexpressed and, as a result, kills muscle cells.”
Thankfully, research has made strides in the past decade. We now know that the DUX4 gene turns on a specific pathway making it overactive, causing muscle cell death. “There has been a real explosion in my field. I would not have imagined 10 years ago that we would be looking at targeted therapies,” explains Dr. O’Ferrall. “The investigational drug being tested in this trial is specifically targeted to turn down the volume or to shut off the DUX4 gene entirely so that the muscle can live. If this medication is shown to be effective, FSHD would be the first treatable adult-onset form of muscular dystrophy.”
Now more than 15 years after his diagnosis, Keith has symptoms of generalized weakness, particularly in his back and core. He can walk independently but his legs have weakened over time.
“Sports were a big part of my life. When you love to play and to compete, losing that is hard. I would love to lace up a pair of skates again,” he explains. “People want to know there will be options for potential treatments down the road. Research gives us hope. Many are watching closely to hopefully see a successful result for people living with FSHD.” M
Pour Peter Pomponio, redonner au suivant a toujours été important.
« Mes parents m’ont inculqué d’excellentes valeurs. Ils m’ont notamment enseigné l’importance d’aider les autres. Aujourd’hui, ma famille et moi avons le privilège de pouvoir appuyer des causes qui nous tiennent vraiment à cœur », déclare M. Pomponio.
Peter Pomponio a grandi à Montréal et est un diplômé des universités McGill et Concordia. La diversité qui contribue au dynamisme de Montréal lui a permis d’apprendre à connaître et à apprécier d’autres cultures.
« Montréal est une ville extraordinaire, où cohabitent différentes cultures et différentes langues. Le fait de grandir ici a contribué à façonner la personne que je suis aujourd’hui », ajoute-t-il. g
For Peter Pomponio, giving back has always been important. “My parents instilled great values in me with regards to helping others. Today, my family and I are privileged to be able to support causes we care deeply about,” says Pomponio.
Pomponio grew up in Montreal and is a graduate of both McGill and Concordia University. He credits the city with giving him knowledge and appreciation of other cultures, citing the diversity that contributes to Montreal’s vibrancy.
“Montreal is a wonderful city that is home to different cultures and languages. Growing up here helped shape who I am today,” says Pomponio. gg
g M. Pomponio est planificateur financier agréé, président et propriétaire d’Assante Dorval et directeur général d’Assante Québec. Il est fier que son entreprise serve la population de l’Ouest-de-l’Île, dont il souligne le solide esprit de communauté.
« Les résidents de l’Ouest-de-l’Île prennent soin les uns des autres. Ils sont très sociables et ils appuient les entreprises locales », affirme M. Pomponio.
Dans le but de redonner à la communauté de l’Ouest-de-l’Île, il a accepté la coprésidence de la campagne Osez rêver pour l’Hôpital de Lachine. Cette campagne conjointe entre la Fondation de l’Hôpital de Lachine et la Fondation du CUSM vise à recueillir cinq millions de dollars pour acheter de l’équipement à la fine pointe pour achever la modernisation et l’expansion de l’Hôpital de Lachine.
« Être coprésident de cette campagne est gratifiant, parce qu’on réalise quelque chose d’incroyable pour notre communauté et pour la société en général. Nous faisons en sorte que l’Hôpital de Lachine rénové dispose de l’équipement et du personnel spécialisé dont il a besoin pour sauver des vies. C’est très important pour tout le monde », affirme M. Pomponio.
Il dirige les efforts de collecte de fonds pour la campagne en compagnie de la mairesse de l’arrondissement de Lachine, Maja Vodanovic, d’Hélène V. Gagnon de CAE et de François Vaqué de Citoyen. Son rôle de coprésident lui tient tellement à cœur que lui et sa famille ont récemment fait un don de 100 000 $ à la Fondation de l’Hôpital de Lachine.
« J’ai accepté le rôle de coprésident et j’ai fait un don parce que l’Hôpital de Lachine sert ma communauté. Il a servi ma famille et de nombreuses personnes qui travaillent pour moi, et je suis très fier de redonner au suivant. »
La famille Pomponio concentre ses efforts de philanthropie dans deux secteurs clés : l’éducation et les soins de santé. En plus de son don généreux à l’Hôpital de Lachine, la famille est fière de financer une bourse d’études à l’École de gestion John-Molson de l’Université Concordia.
« La santé et l’éducation sont deux secteurs qui donnent de l’espoir aux gens. Un excellent système de soins de santé améliore l’espérance et la qualité de vie. L’éducation permet aux jeunes de réaliser leurs rêves en milieu de travail. Nous voulions alimenter le positivisme dans ces deux domaines », explique M. Pomponio.
La famille Pomponio est fière de contribuer à la santé et au bien-être des autres, et son don à l’Hôpital de Lachine fera en sorte que la population de l’Ouest-de-l’Île ait accès à d’excellents soins.
« La qualité des soins de santé est la responsabilité de tous, et nous devrions tous croire en sa valeur et contribuer à son amélioration. Que vous donniez 20 $ ou 2 000 $, chaque don est un vote pour une meilleure santé de notre communauté, et chaque don est important. » M
Le projet de 210 millions de dollars visant la modernisation et l’expansion de l’Hôpital de Lachine, qui a été lancé l’automne dernier, comprend entre autres une nouvelle salle d’urgence, des salles d’opération à la fine pointe et une unité de soins palliatifs tranquille. La campagne Osez rêver pour l’Hôpital de Lachine permettra d’achever la rénovation en fournissant de l’équipement qui améliorera la santé et le confort des patients. Pour en savoir plus et pour faire un don, visitez le site fondationhopitallachine.ca
gg A certified financial planner, Pomponio is President and Owner of Assante Dorval and Managing Director of Assante Quebec. He is proud to serve the West Island through his businesses, citing its strong sense of community.
“In the West Island, the residents look out for each other. They are very social and support their local businesses,” says Pomponio.
To give back to the West Island community, Pomponio is co-chairing the Dream Big: Lachine Hospital campaign. This $5 million campaign, a joint effort of the Lachine Hospital Foundation and the MUHC Foundation, is raising millions to purchase state-of-the-art equipment to complement the modernization and expansion of the Lachine Hospital.
“Being co-chair of the campaign is fulfilling because we're accomplishing something incredible for our community and for society in general. We are making sure the renovated Lachine Hospital has the equipment and expert personnel needed to save lives. It’s very meaningful for everyone involved,” says Pomponio.
Pomponio is leading fundraising efforts for the campaign alongside Lachine Borough Mayor Maja Vodanovic, CAE’s Hélène V. Gagnon, and François Vaqué of Citoyen. He is so dedicated to his role as co-chair that he and his family recently donated $100,000 to the Lachine Hospital Foundation.
“I accepted the role of co-chair and donated because the Lachine Hospital serves my community. It serves my family and the many people I employ, and I am so proud to give back,” says Pomponio.
When it comes to philanthropy, Pomponio’s family focuses on two key areas: education and healthcare. In addition to their generous gift to the Lachine Hospital, the family is proud to support a finance scholarship at Concordia University’s John Molson School of Business.
“Health and education are two areas that give people hope. A great healthcare system helps in longevity and quality of life. Education gives youth great aspirations to achieve their dreams in the workplace. We wanted to fuel this positivity in these two areas,” says Pomponio.
The Pomponio family is proud to contribute to the health and well-being of others, and their gift to the Lachine Hospital will ensure West Islanders have access to excellent care.
“Good health care is a community responsibility, and we should all believe in its value and contribute to its improvement. Whether you’re giving $20 or $2,000, every gift is a vote for better health in our community, and that matters,” says Pomponio. M
The $210 million modernization and expansion of the Lachine Hospital, which broke ground last fall, will feature a new emergency room, state-of-the-art surgical suites, a restful palliative care unit, and more. The Dream Big: Lachine Hospital campaign will complement the renovation by providing equipment that will enhance the health and comfort of its patients. To learn more and to donate, visit lachinehospitalfoundation.com
LE Dr BEN SMITH ET SON ÉQUIPE REMPORTENT
LE CONCOURS TROTTIER-WEBSTER D’INNOVATION
EN RECHERCHE DE L’IR-CUSM POUR LEURS RECHERCHES DE POINTE SUR LA MPOC
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), une maladie qui restreint la capacité des poumons à fonctionner correctement, est la troisième plus importante cause de décès dans le monde. Le Dr Ben Smith, un scientifique de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM), détient peut-être une solution thérapeutique : la régénération des poumons endommagés.
Le Dr Ben Smith et son équipe se sont récemment vu décerner le prestigieux prix du Concours Trottier-Webster d’innovation en recherche de l’IRCUSM afin de mener une étude novatrice qui donnera aux patients atteints de la MPOC l’espoir de pouvoir un jour respirer à nouveau normalement. Grâce à une nouvelle catégorie de traitements appelés thérapies à base d’ARN, g
THE RI-MUHC TROTTIER WEBSTER INNOVATION AWARD FOR LANDMARK COPD RESEARCH
Chronic obstructive pulmonary disease (COPD), a condition that damages the ability of the lungs to function properly, is the third leading cause of death worldwide, according to the World Health Organization. But Dr. Ben Smith, a scientist at the Research Institute of the McGill University Heath Centre (RI-MUHC), could have the means for a cure: regenerating damaged lungs. The prestigious RI-MUHC Trottier Webster Innovation Award has been awarded to Dr. Ben Smith and his team to conduct a ground-breaking study that will give hope to patients living with COPD to breathe normally again. gg
g la technologie qui permet au vaccin contre la COVID-19 de fonctionner, il espère parvenir à réparer les tissus pulmonaires endommagés et se rapprocher d’un remède pour cette maladie mortelle.
« Au cours des dernières années, nous avons assisté à des avancées majeures dans la technologie de l’ARN, particulièrement en tant que composant clé des vaccins contre la COVID », souligne le Dr Smith, scientifique au Programme de recherche translationnelle sur les maladies respiratoires de l’IRCUSM et pneumologue à l’Institut thoracique de Montréal du CUSM. « Et si nous pouvions appliquer cette nouvelle approche à la MPOC? Si nous parvenons à utiliser cette technologie pour cibler les cellules souches pulmonaires épuisées, cela pourrait conduire à la découverte de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies. »
Chez la plupart des individus, les cellules qui composent les poumons se régénèrent constamment pour maintenir les organes en bonne santé. Chez les personnes atteintes de la MPOC, ces cellules deviennent « épuisées », ce qui a pour effet de produire de moins en moins de cellules pulmonaires en bonne santé. Dans cette nouvelle étude, le Dr Smith cherche un moyen de restaurer les cellules souches épuisées et de régénérer les poumons endommagés. Son équipe travaille à créer un aérosol contenant de l’ARN qui serait capable de reprogrammer les cellules épuisées et de les ramener à un état sain. S’ils y parviennent en laboratoire, puis dans des études ultérieures sur l’humain, de nombreuses vies pourraient être changées, car on estime qu’environ 10 % des personnes âgées de plus de 30 ans vivent avec cette maladie dégénérative et mortelle.
« La maladie pulmonaire obstructive chronique est une des principales causes de décès et d’invalidité au Canada et partout dans le monde. La MPOC épuise la capacité des cellules souches pulmonaires de se régénérer et de maintenir une fonction pulmonaire saine. Il s’agit d’une maladie chronique qui peut menacer la santé d’une personne tout au long de sa vie; c’est la raison pour laquelle un traitement est absolument nécessaire », explique le Dr Smith.
Par l’entremise de la Fondation du CUSM, la Fondation de la famille Trottier et la Fondation R. Howard Webster ont offert trois millions de dollars pour la création du Concours Trottier-Webster d’innovation en recherche de l’IR-CUSM, qui octroie chaque année un prix de 100 000 $. Ce concours ne finance que les travaux de recherche les plus innovants et à la fine pointe de la technologie, ceux qui ont le plus grand potentiel de faire progresser les soins aux patients.
Les recherches d’avant-garde du Dr Smith pourraient être la clé du développement de nouveaux traitements pour aider les patients de MPOC à mieux respirer et à vivre en meilleure santé. Ses travaux novateurs pourraient un jour permettre de traiter et éventuellement de guérir plusieurs autres maladies respiratoires qui menacent la vie, de l’asthme à la fibrose kystique. M
Pensez à faire un don à la campagne Osez rêver : mieux respirer de la Fondation du CUSM pour nous aider à investir dans des recherches et des soins à couper le souffle à l’Institut thoracique de Montréal et à l’IRCUSM. Votre soutien aidera nos talentueux cliniciens-chercheurs et nos équipes de recherche à faire les premiers pas en matière de recherche et de traitements pour les maladies respiratoires. Faites un don aujourd’hui : fondationcusm.com/travaux/mieux-respirer
gg Using a new class of treatments called RNA therapeutics, the same technology that makes the COVID-19 vaccine work, he hopes to repair damaged lung tissue and move one step closer to a cure for this deadly disease.
“In the past few years, we have seen major advances in RNA technology, especially as a key part of the COVID vaccines,” says Dr. Smith, a scientist in the Translational Research in Respiratory Diseases Program at the RI-MUHC and a respirologist at the Montreal Chest Institute of the MUHC. “What if we could apply this new approach to COPD? If we are able to use this to target exhausted lung stem cells, this could lead to new lifesaving treatments.”
In most individuals, the cells that make up the lungs are constantly regenerated to keep them healthy. In people with COPD, these cells become “exhausted,” producing fewer and less healthy lung cells. In this new study, Dr. Smith is searching for a way to restore the exhausted stem cells and regenerate damaged lungs. His team aims to deliver an RNA-containing aerosol that is capable of reprogramming the exhausted cells and returning them to a healthy state. If successful in the lab and in subsequent human studies, many lives could be changed, as roughly 10 per cent of people over 30 live with this debilitating and deadly disease.
“Chronic obstructive pulmonary disease is a major cause of death and disability globally and in Canada. COPD exhausts the ability of lung stem cells to regenerate and maintain healthy lung function. This is a chronic condition that can threaten a person’s health over the course of their life, and that is why a treatment is direly needed,” says Dr. Smith.
Through the MUHC Foundation, the Trottier Family Foundation and the R. Howard Webster Foundation contributed $3 million to create the annual RI-MUHC Trottier Webster Innovation Competition, which offers an annual $100,000 prize. This competition only funds the most novel and state-of-the-art research with the greatest potential in advancing patient care.
Dr. Smith’s landmark research could hold the key to developing new treatments to help patients breathe easier and live healthy lives. His innovative work could one day treat and potentially cure other life-threatening respiratory diseases, from cystic fibrosis to asthma. M
Please consider a gift to the MUHC Foundation’s Dream Big: Breathe Easier campaign to help us invest in breathtaking research and breath-giving care at the Montreal Chest Institute and the RI-MUHC. Your support will help our talented clinician-scientists and research teams pioneer the latest in respiratory research and treatments. Donate today: muhcfoundation.com/works/breathe-easier
Qu’est-ce qui motive des jeunes ou leur famille à organiser des collectes de fonds ou des activités spéciales au profit du Children? Au premier anniversaire de leur enfant, de nombreux parents créent une page de collecte de fonds pour exprimer leur reconnaissance; c’est le cas d’Inga et de William, les parents d’Eva. De nombreux jeunes veulent aussi redonner, car ils savent qu’être en santé est un privilège; c’est le cas d’Alexis.
Depuis 2016, plus de 500 jeunes ont participé au programme du Club des petits ambassadeurs de La Fondation du Children. Ils ont déjà amassé plus d’un million et demi de dollars pour les besoins les plus urgents de l’Hôpital ou pour des fonds destinés à des départements spécifiques ou à la recherche.
« Je suis toujours émerveillée de voir que des jeunes veulent donner aux enfants malades la possibilité de s’amuser ou de penser à autre chose pendant qu’ils sont à l’Hôpital », affirme Jennifer Dacius, conseillère en dons à l’honneur et responsable du Club des petits ambassadeurs. « Il faut voir les étincelles dans les yeux des enfants qui sont alités, intubés ou en traitement pour saisir l’impact de nos jeunes ambassadeurs. »
Eva était dans le ventre de sa maman quand le diagnostic est tombé : atrésie de l’œsophage à longue fente, une maladie rare où l’œsophage n’est pas connecté à l’estomac. Dès qu’Eva est venue au monde, les médecins du Children l’attendaient et étaient là pour elle : elle était opérée le lendemain.
Pendant des années, Le Children est devenu sa deuxième maison, car elle y a subi plusieurs opérations. Eva devait alors être alimentée par sonde gastrique ou manger des aliments en purée ou de très petits morceaux de nourriture qu’elle devait mastiquer très lentement.
Reconnaissants envers les médecins, les spécialistes et le personnel du Children qui avaient sauvé la vie de leur fille, ses parents ont créé Team Eva, une page de collecte de fonds pour son premier anniversaire. Les fonds amassés viennent en aide aux familles dont l’enfant souffre d’atrésie de l’œsophage. Inga et William savent ce que cela représente d’avoir un enfant qui aura besoin de soins une grande partie de sa vie. g
What motivates young people or their families to organize fundraisers or special activities for The Children’s? Many parents set up a fundraising page on their child’s first birthday to express their gratitude, as did Eva’s parents, Inga and William. Many young people also want to give back because they know being healthy is a blessing, and that’s the case with Alexis.
Since 2016, more than 500 young people have participated in The Children’s Foundation’s Young Ambassadors Club program. They have already raised over one and a half million dollars for the Hospital’s most urgent needs or to fund specific departments or research.
“I am always amazed to see how young people want to give sick children the opportunity to have fun or to think about something else while they are in the Hospital,” says Jennifer Dacius, Tribute Giving Officer and leader of the Young Ambassadors Club. “You have to see the sparkle in the eyes of children who are bedridden, intubated, or undergoing treatment to understand our little ambassadors’ impact.”
Eva was in her mother’s womb when the diagnosis came: long-gap esophageal atresia, a rare condition where the esophagus is not connected to the stomach. When she was born, the doctors at The Children’s were there for her, and she was operated on the next day.
Over the following years, Eva underwent several operations at The Children’s, which became her second home. She had to be tube-fed or eat puréed or tiny pieces of food that she had to chew very slowly.
Grateful to the doctors, specialists, and staff at The Children’s for saving their daughter’s life, her parents marked her first birthday by creating a fundraising page they called Team Eva. The funds raised help families whose children suffer from esophageal atresia. Inga and William know what it means to have a child who will need care for much of their lives. gg
g Aujourd’hui, Eva a 11 ans et se porte bien. Elle rêve d’être vétérinaire. Un jour, elle aidera ses parents à amasser des fonds pour Le Children, car elle sait que, grâce aux soins exceptionnels et novateurs qu’elle a reçus, elle peut manger tout ce qui lui plaît.
Alexis
Joueur de soccer visant le haut niveau, Alexis, 16 ans, sait qu’être en santé est un privilège. Sa petite sœur, Bianca, a été diagnostiquée avec l’arthrite juvénile à l’âge de 22 mois, au Children, et elle y est suivie depuis. Impressionné par la qualité des soins et l’attention du personnel que Bianca reçoit toujours à l’Hôpital, Alexis a décidé de redonner. Dans le cadre d’un projet en éducation internationale à la polyvalente Le Carrefour de Val-d’Or, il a organisé une soirée-bénéfice au profit du Children.
Dans une auberge à proximité, il a réuni près de 100 convives qui avaient payé 50 $ le billet pour une soirée incluant un souper quatre services et un encan silencieux. En plus d’avoir tout planifié et organisé, Alexis a réussi à obtenir l’aide et le soutien de ses amis et de sa famille pour faire de cet événement un succès dont il est très fier.
Cette expérience lui a donné l’assurance que, avec une idée et de l’aide, on peut réussir. Ce jeune entrepreneur bienveillant veut aider son prochain, être là pour les autres. Il rêve d’être policier et vient d’être accepté en techniques policières. Félicitations, champion! M
Pour en savoir plus sur le programme du Club des petits ambassadeurs, veuillez consulter fondationduchildren.com/fr/ impliquez-vous/club-des-petits-ambassadeurs
gg Eva is now 11 years old and doing well. She wants to be a veterinarian. One day she will help her parents raise money for The Children’s because she knows that, thanks to the exceptional and innovative care she received, she can now eat anything she likes.
Alexis
A soccer player aiming for the top level, 16-year-old Alexis knows that being healthy is a blessing. His little sister, Bianca, was diagnosed with juvenile arthritis at 22 months at The Children’s, and she has been treated there ever since. Impressed by the quality of care and attention from the staff that Bianca still receives at the Hospital, Alexis decided to give back. He organized a fundraising evening for The Children’s as part of an international education project at the Polyvalente Le Carrefour High School in Val-d’Or.
At a nearby inn, he gathered close to 100 guests who had each paid $50 for a ticket to an evening that included a four-course dinner and a silent auction. In addition to planning and organizing everything, Alexis enlisted the help and support of his friends and family to make this event a success, of which he is very proud.
This experience has assured him that one can succeed with an idea and some help. This young, caring entrepreneur wants to help others and be there for people. Alexis dreams of being a police officer and was recently accepted into a police technology program. Congratulations, champ! M
To find out more about the Young Ambassadors Club, please visit fondationduchildren.com/en/get-involved/youngambassador-club
« Nos jeunes ambassadeurs se soucient des enfants malades, et je me demande toujours quelles grandes choses ils vont accomplir. »
“Our young ambassadors care about sick children, and I always wonder what great things they will accomplish.”
— Jennifer DaciusAlexis et sa sœur, Bianca. Alexis and his sister, Bianca.
Cette année, le Bal des tannants pour Le Children a été plus grand et plus tannant que jamais. L’événement le plus attendu de la saison mondaine montréalaise s’est tenu le 12 mai et a permis d’amasser la somme record de 1,5 millions de dollars au profit du Fonds pour la santé des enfants de l’Hôpital de Montréal pour enfants.
Une foule élégante de plus de 700 personnes — leaders communautaires, chefs d’entreprise, philanthropes, ministres et autres généreux donateurs — ont assisté à cette amusante collecte de fonds qui s’est tenue chez Starlink Aviation.
« Je suis renversée par l’incomparable élan de générosité à l’égard de nos jeunes patients », déclare Renée Vézina, présidente de la Fondation du Children. « Ensemble, nous avons atteint de nouveaux sommets en donnant à l’Hôpital les outils dont il a besoin pour Panser autrement.
Depuis sa création en 1973, la Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants a recueilli plus de 600 millions de dollars, une somme qui a aidé des enfants malades à se remettre sur pied et à redevenir des petits tannants. Parce qu’un enfant tannant est un enfant en santé. Pour en savoir plus, rendez-vous à fondationduchildren.com
The Bal des tannants for The Children’s was bigger and brattier than ever this year. The most anticipated event of Montreal’s social season was held on May 12th and raised a record $1.5million for The Montreal Children’s Hospital’s Healthy Kids Fund.
A glamorous crowd of over 700 business and community leaders, philanthropists, government ministers, and other generous donors attended the ‘fun’draiser held at Starlink Aviation.
“I am overwhelmed at the outpouring of generosity for our young patients,” said Renée Vézina, President of The Montreal Children’s Hospital Foundation. “Together, we reached new heights in giving the Hospital the tools it needs to find Unexpected Ways to Heal.” M
Since its inception in 1973, The Montreal Children’s Hospital Foundation has helped raise more than $600 million, which has helped sick children get back on their feet and return to their mischievous ways. Because a bratty kid is a healthy kid. For more information, please visit childrenfoundation.com
Isabelle Marcoux et Kim Thomassin, co-présidentes d’honneur du Bal; Sharon Stern et Véronique Black, co-présidentes du comité de partenariat du Bal; Dre Lucie Opatrny, présidente-directrice générale du Centre universitaire de santé McGill; Katrin Nakashima, présidente du conseil d’administration de la Fondation de l'Hôpital de Montréal pour enfants; Renée Vézina, présidente de la Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants. Isabelle Marcoux and Kim Thomassin, Honourary Co-presidents of the Ball; Sharon Stern and Véronique Black, Co-chairs of the Ball’s Partnership Committee; Dr. Lucie Opatrny, President and Executive Director of the McGill University Health Centre; Katrin Nakashima, Chair of The Montreal Children’s Hospital Foundation Board; Renée Vézina, President of The Montreal Children’s Hospital Foundation.
Christian Dubé, ministre de la Santé; Mila Goolab, jeune patiente et lauréate du Prix Fondation McCall MacBain pour l’excellence jeunesse Nicolas W. Matossian. Christian Dubé, Minister of Health; Mila Goolab, young patient and winner of the McCall MacBain Foundation Nicolas W. Matossian Junior Community Award of Excellence. Participants à
Strangers in the Night est un gala gastronomique unique qui a vu le jour en 2005. L’événement fut couronné d’un très grand succès et a offert à la communauté une belle opportunité de s’unir pour soutenir des œuvres de charité locales. Mettant initialement en vedette 10 restaurants et deux groupes de musique locaux, cette soirée spéciale a pris une telle ampleur qu’elle offre désormais les menus délicieux de plus de 80 restaurants qui vous servent des plats aussi variés que succulents. En plus d’artistes locaux, des vedettes telles que The Jacksons, Styx, Boy George the Culture Club, Kool & the Gang, Blue Rodeo, KC & the Sunshine Band, The Pointer Sisters, Simple Plan, Sheila E et April Wine, ont été de la partie lors des éditions précédentes. Il s’agit d’une soirée de divertissement inégalée.
Plus de 5 000 invités auront l’occasion de faire la fête sous un chapiteau de 65 000 pi2 qui transformera un parking régulier en véritable halle sous les étoiles.
Strangers in the Night is a unique gourmet gala, which debuted in 2005. The initial event was a success and offered a great opportunity for the community to get together for local causes. From 10 restaurants offering their varied menus on site and two local bands performing live, this special soirée has grown to over 80 restaurants serving their delicious mouth-watering signature dishes.
The past editions have featured headliners such as The Jacksons, Styx, Boy George and the Culture Club, Kool & the Gang, Blue Rodeo, KC & the Sunshine Band, The Pointer Sisters, Simple Plan, Sheila E and April Wine, as well as many local artists, for an evening filled with entertainment.
Over 5,000 guests party under a 65,000 sq. ft. tenting, transforming a regular parking lot into a virtual hall under the stars.
L’été est l’occasion parfaite pour profiter des aliments frais et locaux. Mes incontournables de la saison sont les fraises et les épinards. Combinez-les avec une simple vinaigrette maison et quelques garnitures pour créer une salade colorée parfaite seule comme dîner ou servie en accompagnement au souper avec votre source de protéines de choix sur le barbecue.
Ingrédients (pour quatre portions)
• 2 cuillères à soupe de vinaigre balsamique (ou de jus de citron frais)
• 1/2 cuillère à thé de moutarde de Dijon
• 1/4 tasse d’huile d’olive extra vierge, pressée à froid
• Sel de mer et poivre noir fraîchement moulu au goût
• 5 tasses d’épinards
• 2 tasses de fraises tranchées finement
• 3/4 tasse de noix de Grenoble hachées (ou de pacanes grillées)
• 1/4 tasse de noix de pin (ou de graines de tournesol)
• 1/2 tasse de fromage bleu (ou de feta) émietté
1. Dans un grand bol, fouetter ensemble le vinaigre balsamique et la moutarde. Verser lentement l’huile d’olive. Assaisonner avec du sel et du poivre.
2. Ajouter les épinards, les fraises et la moitié des noix dans le bol avec la vinaigrette et mélanger pour combiner.
3. Mettre la salade sur des assiettes et recouvrir avec le reste du mélange de noix et du fromage émietté. M
Summer is the perfect opportunity to take advantage of fresh, local produce. My favourite seasonal staples are strawberries and spinach. Pair them with a simple homemade dressing and some toppers to make a colourful salad. It’s great on its own for lunch or served as a side at dinner with your choice of protein cooked on the BBQ.
Ingredients (serves four)
• 2 tablespoons balsamic vinegar (or fresh lemon juice)
• 1/2 teaspoon Dijon mustard
• 1/4 cup cold-pressed, extra-virgin olive oil
• Sea salt and freshly ground black pepper to taste
• 5 cups spinach
• 2 cups thinly sliced strawberries
• 3/4 cup chopped walnuts (or toasted pecans)
• 1/4 cup pine nuts (or sunflower seeds)
• 1/2 cup crumbled blue cheese (or feta)
Directions
1. In a large bowl, whisk together balsamic vinegar and mustard. Slowly pour in olive oil. Season with salt and pepper.
2. Add spinach, strawberries, and half the nuts to the bowl with the dressing and toss to combine.
3. Plate the salad and top with the remaining nut mixture and crumbled cheese. M
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Àquel moment développons-nous le goût pour certains aliments et les habitudes qui nous permettent d’élargir nos horizons alimentaires? Certaines recherches sur le développement in utero et du nourrisson suggèrent que l’appréciation des goûts de base (et de certaines saveurs précises) s’acquiert très tôt. Le dégoût et le déplaisir tendent à se développer plus tard, en lien avec nos contextes socioculturels et l’évolution de nos sensibilités. Globalement, les préférences gustatives sont toujours liées aux environnements dans lesquels nous vivons, aux pratiques que nous apprenons et aux choix que nous faisons (ou non) d’intégrer de nouveaux aliments et de nouvelles boissons.
Alors que les problèmes de santé liés à l’alimentation suscitent de plus en plus d’inquiétudes, les spécialistes de la nutrition étudient les moyens d’influencer les habitudes de consommation des jeunes. L’industrie a également beaucoup d’argent à gagner en créant des produits alimentaires qui répondent soi-disant à ces problèmes de santé. Et, bien sûr, le monde de la technologie a sa part du gâteau « alimentation, goût, santé », car lorsqu’il s’agit de mesurer, de surveiller et de modifier nos comportements individuels, il existe une application pour le faire (ou une application en cours de développement). g
When do we develop our taste for certain foods and the habits that enable us to expand our eating horizons? Some research on in utero and infant development suggests that appreciation for basic tastes (and some specific flavours) is acquired early on. Disgust and displeasure tend to develop later, connected to our socio-cultural contexts and evolving sensibilities. Overall, gustatory preferences are always linked to the environments we inhabit, the practices we learn, and the choices we make (or not) to incorporate new foods and drinks.
Increasingly, as concerns rise about food-related health conditions, nutritional scholars are examining ways to influence young people’s consumption habits. There is also a great deal of industry money to be made by creating food products that supposedly respond to such health conditions. And, of course, the tech world has its own digits in the food/taste/health pie, because when it comes to measuring, monitoring, and modifying our individual behaviours, there’s an app for that (or there’s one in development). gg
g Il est généralement reconnu que les enfants ont un dégoût inné pour les aliments piquants et amers, ainsi que pour les saveurs que certains qualifient de « fortes », comme l’ail et les fromages affinés. Nous parlons souvent de ces aliments comme étant des « goûts acquis ». Toutefois, il est prouvé que ce qui est considéré comme « inné » peut être biaisé par les présomptions inhérentes à la culture alimentaire européenne et nord-américaine, dans laquelle l’acidité, le piquant et l’amertume sont moins appréciés. La question demeure : comment et à quel moment les transitions gustatives se produisent-elles?
Lorsque je donne mes cours d’études alimentaires de premier cycle, je demande à mes étudiants de me faire part de leurs habitudes alimentaires personnelles. Nombre d’entre eux en sont à leur première ou deuxième année d’université, et ceux qui vivent loin de chez eux disent qu’il est difficile d’apprendre à se nourrir. Les fêtes leur permettent de renouer avec les habitudes alimentaires de leur famille, mais l’année scolaire est souvent marquée par des plats à emporter, des aliments transformés et des préparations très basiques. La dépendance excessive à l’égard des sources d’information numérisées — et la « gamification » de tout, de l’exercice aux achats en passant par les relations sociales — signifie également que les algorithmes déterminent les nouvelles habitudes alimentaires plus souvent que la culture alimentaire familiale.
Si la transition vers la vie post-études (déménagement, entrée dans le monde du travail et nouvelles relations) est également considérée comme une période de changement gustatif, il n’est pas clair si ces moments sont en fait des déclencheurs ou simplement des points d’inflexion. Faire « table rase » peut être une nouvelle opportunité, mais aussi un défi de taille pour les mangeurs. Certaines recherches montrent que des repas familiaux réguliers, riches en interactions sociales et en renforcement des habitudes alimentaires, conduisent à une alimentation plus réfléchie et plus ouverte à l’âge adulte. Les enfants qui mangent en bonne compagnie deviennent des adultes plus attentifs à leur nourriture. De plus, ils sont plus ouverts à l’expérimentation et à la découverte.
Que faire alors si vous (ou votre colocataire ou partenaire) êtes un mangeur « difficile »? Revenir en arrière, à l’époque de votre enfance, et partager des repas plus collectifs? Hum. Télécharger un logiciel de suivi des repas qui vous encourage à essayer de nouveaux plats? Peut-être. Apprendre l’histoire culinaire et l’histoire des recettes de nos proches? Bien sûr! Nous ne sommes pas aussi difficiles que nous le pensons. M
gg One common understanding is that children have an innate distaste for piquant and bitter foods, as well as what some people call “strong” flavours, like garlic and ripe cheese. We often talk about such foods as “acquired tastes.” However, evidence indicates that what is considered “innate” can be biased by the assumptions baked in to European-North American food culture, in which acridity, pungency, and bitterness are less appreciated. The question remains: how and when do taste transitions occur?
In the undergraduate food studies courses that I teach, I ask my students to share their personal food habits. Many are in their first or second year of university, and those who live away from home express that it’s hard to learn to feed themselves. Holidays reconnect them with their familial foodways, but the school year tends to be filled with takeout, processed foods, and very basic preparations. The overreliance on digitized sources of information — and the “gamification” of everything from exercise to shopping to social relations — also means that algorithms drive new food habits more often than family food culture.
While the transition into posteducation life — including moving, starting jobs, and entering new relationships — is also thought to a period of taste change, it is unclear whether such moments are in fact triggers or merely inflection points. A “clean slate” can be a fresh opportunity for eaters, but it can also be a daunting challenge. Some research shows that regularly scheduled, familial dinners, rich in social interaction and the reinforcement of food habits, lead to more mindful and open-minded eating in young adulthood. Kids who dine in good company become grownups who pay more attention to their food. Moreover, they are more open to experimentation and discovery.
So what do you do if you (or your roommate or partner) are a “picky” eater? Go back in time to your childhood and share in more collective suppers? Hmm. Download a mealtracker that reinforces trying new dishes? Maybe. Learn about culinary history and the stories of our loved ones’ recipes? Sure! We’re not really as finicky as we might think. M
David Szanto est un chercheur alimentaire montréalais, auteur et collaborateur de longue date de ce magazine.
En 2015, David a obtenu un doctorat en gastronomie à l’Université de Concordia, le tout premier en son genre. David Szanto is a Montreal-based food researcher, consultant, and long-time contributor to this magazine.
In 2015, David earned a PhD in gastronomy from Concordia University, the first of its kind.
L’adolescence est une période charnière, bondée de nouveautés et de défis. Plusieurs changements impliquent une adaptation qui peut souvent déstabiliser ces derniers. Pour les personnes qui ont possiblement une prédisposition génétique à l’anorexie ou à la boulimie, qui ont possiblement aussi un profil propice au trouble du comportement alimentaire (TCA), et qui rencontre un élément déclencheur, le trouble alimentaire agit comme un agent régulateur des émotions, une façon de se comporter qui non seulement peut initialement donner l’impression d’améliorer la condition psychologique, mais qui donne aussi un semblant de contrôle dans un monde changeant et imprévisible. Celui-ci devient donc alléchant aux yeux de certains de nos jeunes, surtout chez notre population d’enfants anxieux qui voient leur anxiété généralisée diminuer en contrepartie des rituels obsédants liés aux comportements alimentaires et compensatoires.
Il est aujourd’hui rendu difficile de connaître la prévalence des différents troubles alimentaires. La pandémie de la COVID-19 a été suivie d’une augmentation certaine des TCA, et ce, à travers le monde. Cette hausse aurait été particulièrement marquée chez les jeunes, voire jusqu’à quadruplée en ce qui concerne les hospitalisations.
Malheureusement, de plus en plus d’enfants et de jeunes adolescents se présentent souffrant en effet de troubles alimentaires. Auparavant, ce phénomène était plutôt rare, mais une congruence de facteurs a fait en sorte que ces jeunes présentent des symptômes francs de TCA importants qui nécessitent un suivi professionnel au même titre que leurs aînés.
Pour déjà un moment, les données probantes indiquent que l’implication de la famille est essentielle compte tenu du bas âge de ce sous-groupe. Les parents sont donc encouragés à prendre les devants d’un tel suivi, et l’alimentation de ces jeunes doit être prise en charge au plus tôt pour éviter une progression et une chronicité de la maladie. g
Adolescence is a pivotal time full of novelties and challenges. Many of the changes teens face require adaptation, which can be destabilizing. For people who have a possible genetic predisposition to anorexia or bulimia, have a profile that potentially makes them vulnerable to developing an eating disorder, and are faced with a triggering event, an eating disorder can act as an emotional regulator. It’s something a person can do that initially seems to improve their psychological state and give them a sense of control in a changing and unpredictable world. This is why eating disorders can seem attractive to some of our youth, especially among anxious young people whose obsessive eating and compensatory behaviours dampen their generalized anxiety.
It has become difficult to assess the prevalence of different eating disorders. The COVID-19 pandemic was followed by a marked global increase in eating disorders. This increase is particularly evident among young people, to the point that hospitalizations have quadrupled.
Unfortunately, more and more children and young adolescents are presenting with eating disorders. Previously, this was rather rare, but now, because of a congruence of factors, young people are exhibiting clear symptoms of serious eating disorders and require the same professional monitoring as adults.
For a considerable time, evidence-based data has shown that family involvement is crucial given the young age of this subgroup. Parents are therefore encouraged to be at the forefront of the monitoring of their child and, to avoid the disorder progressing or becoming chronic, to take charge of their children’s nutrition as soon as possible. gg
g Lorsque les membres de la famille sont impliqués dans le traitement, les résultats sont meilleurs : moins les symptômes sont présents, plus les relations familiales s’améliorent. La guérison d'un trouble alimentaire nécessite beaucoup de soutien comportemental et émotionnel qui justifie l’importance de l’investissement de ceux-ci. L’implication de la famille dans le processus de rétablissement des enfants est aussi favorable à la santé mentale des parents et des proches. Chaque parent se sent presque universellement impuissant lorsque le trouble alimentaire s’empare de leur être cher. Apprendre à soutenir un membre de la famille devient donc stimulant, car cela arrive à positionner la famille comme faisant partie de la solution, et non du problème.
Pourquoi insister si son enfant résiste à une prise en charge pour se rétablir d’un trouble alimentaire qu’il nie, ou qu’elle minimise? En fait, plus le temps avance, plus la chronicité du trouble alimentaire s’installe. Autant les jeunes peuvent être résilients à plusieurs niveaux, autant, lorsqu’il s’agit du trouble alimentaire, le corps a tendance à moins pardonner. Le taux de mortalité lié au TCA se trouve à être le plus élevé de toutes les conditions psychiatriques. Les symptômes qui y sont associés comme la bradycardie, les arythmies cardiaques, les baisses de pression et les idées suicidaires sont très dangereux, sans compter tous les symptômes additionnels qui ont un impact sur le niveau de fonctionnement quotidien des jeunes qui en souffrent. Dans la même optique, il est impératif de considérer les conséquences suivantes qui s’appliquent aux enfants et aux adolescents qui développent un TCA : les retards de croissance et du développement sexuel, les dommages permanents à l’ossature, les difficultés d’adaptation comme suite au retrait de l’école lorsque le retrait est nécessaire, le développement de l’anxiété sociale induit par le phénomène d’isolement qui accompagne trop souvent cette maladie ainsi que le développement de la dépression considérant toutes les épreuves qui accompagnent le TCA, et ce, parmi tant d’autres. Il faut donc s’assurer de se référer à des professionnels lorsqu’un jeune semble manifester des symptômes qui pourraient s’apparenter à un trouble alimentaire, considérant la sévérité des conséquences biopsychosociales qui sont associées à cette maladie.
En dernier lieu, malgré un parcours qui semble long et périlleux, il est important de nommer que la majorité des personnes qui souffrent de TCA se rétablissent complètement, et ce, plus facilement, si les personnes qui en souffrent sont soutenues par un système familial adéquat et reçoivent un traitement multidisciplinaire spécialisé, adapté aux besoins de chaque individu. M
Pour plus d’informations au sujet des pistes d’intervention de traitement recommandées, veuillez consulter : feast.org, anebquebec.com et cliniquebaca.com
gg When family members are involved in treatment, results are improved, and the fewer symptoms are present, the more family relationships improve. Recovering from an eating disorder requires a great deal of behavioural and emotional support, which is why family involvement is so important. Family involvement in the recovery of a child is also beneficial to the mental health of parents and loved ones. Almost every parent feels powerless when their child is afflicted with an eating disorder, therefore learning to support them is motivating because the family becomes part of the solution instead of part of the problem.
Why should you insist if your child resists getting treatment for an eating disorder that they are denying or minimizing? The fact is that the more time passes the more the chronicity of the disorder instills itself. As resilient as young people can be, when it comes to eating disorders, the body tends to be less forgiving. The mortality rate of eating disorders is the highest among psychiatric disorders. The symptoms linked to eating disorders like bradycardia, cardiac arrhythmia, low blood pressure, and suicidal ideation are all very dangerous, not to mention all the other symptoms that impact the daily functioning of affected young people. It is also important to consider the following consequences, for which children and adolescents who develop an eating disorder are at risk: delays in growth and sexual development, permanent bone damage, poor adaptation after having had to be removed from school, social anxiety due to isolation, and depression due to the obstacles often associated with the disorder, and many more. It is therefore important to get professional help anytime a young person appears to be exhibiting symptoms of an eating disorder, especially considering the biopsychosocial consequences. Finally, despite a journey that seems long and perilous, it’s important to note that most people who suffer from an eating disorder do make a full recovery. They do so with more ease when they have the support of an adequate family system and receive specialized multidisciplinary care that is adapted to their needs. M
For more information on recommended treatment intervention options please visit: feast.org, anequebec.com, and cliniquebaca.com
Quand on parle de camping, une considération importante est la préparation des repas. Que vous planifiiez un camping de randonnée ou une aventure de camping en voiture, avoir le bon équipement de cuisine et une bonne préparation de menu peut faire toute la différence pour éviter de rester sur sa faim ou de gaspiller. Voici quelques suggestions d’équipements à regarder ainsi que des exemples de menus.
Pour ce type de camping, il faut privilégier un équipement polyvalent, compact et facile à transporter. Les contenants compactables vous permettront de gagner de la place une fois qu’ils sont vides. Préparez et portionnez vos ingrédients pour vos repas afin d’économiser de l’espace et du poids dans votre sac. Les articles suivants sont nos indispensables :
• Réchaud de randonnée à combustible
• Pot léger pouvant également servir de casserole
• Ustensiles (cuillère-fourchette pour manger, cuillère pour cuisiner)
• Bol léger
• Filtre à eau ou tablettes de purification
• Sacs à poubelle pour garder les déchets que vous devez rapporter
JOUR 1
Petit-déjeuner : pain grillé avec votre tartinade préférée.
Dîner : wrap simple (p. ex. : houmous, avocat et conserve de thon).
Souper : prévoyez quelque chose de plus élaboré qui est préparé, emportez-le congelé. Il dégèlera au cours de la journée et restera à une température sûre pour être cuit le soir.
N’oubliez pas d’apporter des collations comme de la viande séchée, des barres énergétiques et un mélange de noix pour conserver votre énergie.
JOUR 2
Petit-déjeuner : composé d’avoine ou de granola instantanés avec des fruits secs et des noix.
Dîner : salade qui se conserve bien (p. ex. : couscous ou léguminueses).
Souper : un repas déshydraté ou des nouilles instantanées. Terminez la journée avec un chocolat chaud ou un thé et détendez-vous. g
When it comes to camping, one of the most important considerations is menu planning. Whether you’re embarking on a backcountry camping trip or a car camping adventure, having the right cooking equipment and proper meal preparation can make all the difference in avoiding hunger and being wasteful. Here are some suggestions for the equipment to pack, as well as sample menus for a weekend excursion.
For backcountry camping, you want to prioritize versatile and compact equipment that’s easy to carry. Containers for your food should be as collapsible as possible to save room once empty. Prepare and portion ingredients for your planned meals at home to save on space and weight in your pack. Here are our go-to items:
• Backpacking stove with fuel
• Lightweight pot that can also be used as a pan
• Utensils (“spork” to eat with, spoon to cook with)
• Lightweight bowl
• Water filter or purification tablets
• Garbage bags to store any refuse you need to carry out
Breakfast: Toast topped with your favourite spread.
Lunch: Try a simple wrap (ex: hummus, avocado, and canned tuna).
Dinner: Have something more elaborate prepared in advance and take it with you frozen. As it thaws throughout the day it will stay at a safe temperature to be cooked in the evening.
Don’t forget to bring snacks like jerky, energy bars, and trail mix to keep your energy up.
Breakfast: Instant oatmeal or granola topped with dried fruits and nuts.
Lunch: Shelf-stable salad like couscous or legumes.
Dinner: Consider a dehydrated meal or instant noodles. Finish off the day with hot cocoa or tea and relax. gg
g Comme dernier conseil, évitez d’apporter des bananes. Bien qu’elles semblent une collation parfaite, elles peuvent facilement brunir. Quel que soit le sac dans lequel vous les garderez, il sentira fortement la banane pendant un certain temps. Ce n’est pas aussi agréable qu’on pourrait le penser!
Pour le camping en voiture, vous pourrez vous permettre d'apporter plus d’équipement de cuisine. Voici quelques éléments à considérer en fonction des restrictions d’espace ou de poids dont vous disposez :
• Réchaud de camping à deux brûleurs avec combustible
• Poêle en fonte qui peut être utilisée sur votre feu de camp (facultatif)
• Ensemble de casseroles et de poêles pour le réchaud
• Ustensiles (cuillère, couteau, fourchette, spatule)
• Assiettes, bols et tasses
• Planche à découper et couteau (le dessous de certaines assiettes de camping peut servir de planche à découper)
• Glacière avec glace
• Contenant d’eau (ou les filtres et pastilles de purification)
• Bac à vaisselle pliable et savon biodégradable
JOUR 1
Petit-déjeuner : des crêpes (préparez votre mélange à la maison) avec un mélange de fruits surgelés.
Dîner : votre sandwich préféré.
Souper : votre choix de protéines avec un accompagnement de légumes cuits soit sur le poêle, soit sur le feu de camp.
N’oubliez pas d'apporter des collations, telles que des chips, des trempettes et des fruits et légumes frais.
JOUR 2
Petit-déjeuner : œufs brouillés ou omelette et pain grillé servi avec les restes de légumes du jour 1.
Dîner : un wrap fait à l’avance simplifie les choses.
Souper : si vous vous sentez à la hauteur, une pizza dans votre poêle en fonte peut être très satisfaisante. Terminez la journée avec quelques s’mores au-dessus du feu de camp.
Si vous cherchez des endroits pour camper et faire de la randonnée à moins de 200 km de Montréal, nous vous recommandons d’explorer la nature sauvage à couper le souffle en faisant un séjour dans le parc national du Mont-Tremblant ou le parc national de la Mauricie. Bien qu’il puisse être plus difficile de réserver un site de cam-ping de nos jours, la plupart des parcs ont des annulations de dernière minute qui peuvent apporter un peu de spontanéité dans vos voyages.
Rappelez-vous que la nourriture de camping n’a pas besoin d’être compliquée. Avec le bon équipement et un peu de planification, vous pouvez savourer de délicieux repas sains même en pleine nature. Avec autant de magnifiques sites de randonnée et de camping à portée de main, il n’y a pas de meilleur moment pour être aventureux. M
gg As a final tip, avoid bringing bananas. Though they seem like the perfect snack, they can bruise easily. Whatever bag you keep them in, it will smell strongly of banana for a while. This isn’t as pleasant as you might think!
For car camping, you have more space to work with and can bring extra cooking equipment. Here are some items to consider based on the available space or weight restrictions you may have:
• Large, two-burner camp stove with fuel
• Set of pots and pans for the stove
• Cast-iron skillet that can be used on your campfire (optional)
• Utensils (spoon, knife, fork, spatula)
• Plates, bowls, and cups
• Cutting board and knife (the underside of some camping dinnerware can serve as a cutting board in a pinch)
• Cooler with ice
• Water jug (or stick with the filters and purification tablets)
• Collapsible dishwashing tub and biodegradable dish soap
Breakfast: Pancakes (prepare your mix at home) served with frozen fruit mix for breakfast.
Lunch: Your favourite sandwich.
Dinner: Choice of protein with a side of vegetables cooked on the stove or over the campfire.
Don’t forget to pack some snacks like chips, dips, and fresh fruits and vegetables.
Breakfast: Scrambled eggs or omelette and toast served with leftover veggies from Day 1.
Lunch: A wrap made ahead of time to simplify things.
Dinner: If you feel up to it, making a pizza in your cast-iron pan can be very satisfying. Finish off the day with some s’mores over the campfire.
If you’re looking for places to camp and hike within 200km of Montreal, we recommend exploring breathtaking wilderness by visiting the Parc national du Mont-Tremblant or the Parc national de la Mauricie. Though it can be more difficult to reserve a campsite nowadays, most parks have last-minute cancellations that can add a little spontaneity to your trips.
Remember, camping food doesn’t have to be complicated. With the right equipment and a little planning, you can enjoy delicious, healthful meals even in the wilderness. With so many beautiful hiking and camping locations within reach, there’s no better time to be adventurous. M
et découvrez-la sous un nouvel angle,
and view your surroundings from a new avec un vélo électrique. perspective, with an eBike.
Ne restez pas coincé dans les embouteillages quand vous pouvez les éviter en utilisant votre vélo. Empruntez la route de la découverte. À votre propre rythme. Reprenez le contrôle.
Les trajets plus courts sont plus efficaces sur un vélo électrique qu'une voiture, car le vélo électrique nécessite moins de puissance pour parcourir la même distance (transfert de puissance plus efficace). De plus, ils nécessitent moins d'espace pour manœuvrer, ce qui en fait un bon moyen de réduire la congestion autour des centres urbains.
Un vélo électrique n'est pas limité à un horaire comme un bus ou un train permettant au cycliste de se déplacer où et quand il veut et à son propre rythme.
La conduite de l'iGO vélo électrique simplifie les tâches, rend les trajets plus attrayants et fait de l'exercice régulier un jeu d'enfant.
Don’t be stuck in traffic when you can ride around it. Take the scenic route, take it at your own pace. Take back control.
Shorter journeys are more efficient on an eBike than in a car since they require less power to travel the same distance (the electric bicycle has a more efficient power transfer). They can access areas inaccessible to cars and require less space to maneuver, making them a good way to relieve congestion around city hubs.
An eBike is not restricted to a schedule like a bus or train, allowing the rider freedom to move where and when they want and at their own pace.
Tasks seem simpler, journeys more appealing, regular exercise a breeze when riding an eBike.
iGO est l'entreprise canadienne originale qui se consacre au perfectionnement de la technologie des vélos électriques depuis 2006.
iGO is the original Canadian eBike company based in Montreal and dedicated to perfecting electric bike technology since 2006.
Un véritable véhicule à émission zéro avec des coûts de fonctionnement exceptionnellement bas. iGO vélos électriques est une option abordable pour aider à la transition continue et essentielle vers l'utilisation de véhicules électriques en Amérique du Nord. Silencieux et à fonctionnement fluide, il fait de chaque trajet un plaisir.
Faire partie de la solution n’a jamais été aussi sûr, facile, accessible et amusant.
L'exercice en vélo électrique peut améliorer la santé cardiovasculaire, la santé cardiaque ainsi qu'aider à améliorer le bien-être général, le tonus musculaire, réduire le stress et améliorer la qualité du sommeil.
Les vélos électriques réduisent la fatigue musculaire. Ils peuvent voyager rapidement, avec moins d'effort, et le cycliste peut optionnellement arriver sans transpiration.
Mettez vos soucis de côté et profitez du moment présent - soyez en osmose avec votre environnement et sentez le stress s’envoler en voyageant avec aisance.
iGO vélos électriques a un cadre hydroformé conçu au Canada pour une stabilité structurelle, un équilibre et une qualité assurés. L'autonomie de la batterie tout au long de la journée vous permet d’aller là où vous le souhaitez sans inquiétude. Son fonctionnement coûte trois fois rien et elle est aussi bénéfique pour l’environnement que pour votre porte-monnaie.
A true zero emission vehicle with exceptionally low running costs. iGO eBikes are an affordable option to aid in the ongoing and essential transition to electric vehicle use in North America. Clean, quiet, and smooth running - making every ride a pleasure.
Being part of the solution has never felt safer, easier, more accessible, or fun.
Cycling can improve cardiovascular health and heart health as well as help improve general wellbeing, muscle tone, reduce stress, and boost quality of sleep.
eBikes reduce muscle fatigue. They have extra power to get you to your location. They can travel quickly, with less effort, which means the rider can arrive sweat free.
Put your cares on pause and enjoy the moment. Reconnect to your surroundings and feel the stress wash away as you travel with ease.
iGO electric bikes bear the certainty of Canadian-designed, hydroformed frames for assured structural stability, balance, and quality. Their all-day battery range gets you where you need worry free, cost pennies to charge, and is as good for the environment as it is for your pocket.
Pour en savoir plus / Find out more at
Petit quiz : Quels sont les trois principaux avantages de l’exercice physique pour les adolescents? Si vous avez répondu le maintien d’un poids santé, l’amélioration des fonctions cérébrales et le soulagement du stress, vous avez raison! En fait, on sait que l’activité physique favorise la relaxation mentale chez les adolescents comme chez les adultes. La vie d’un adolescent d’aujourd’hui est très différente de celle qui prévalait il y a seulement une dizaine d’années. En plus de la pression sociale, des examens et d’autres facteurs de stress quotidiens, les réseaux sociaux ont augmenté le niveau de compétition perçu à travers les comparaisons, ce qui rend les jeunes encore en développement sujets à une faible estime de soi, à l’anxiété et à la dépression. Les inquiétudes concernant l’école, les relations et l’avenir peuvent provoquer une certaine agitation et même des crises de panique, ce qui entraîne des difficultés à se concentrer ou à effectuer des tâches simples. g
Pop quiz: What are the top three benefits of exercise for teens? If you guessed maintaining a healthy weight, improving brain function, and relieving stress, you’re right! In fact, physical activity is known to promote mental relaxation in both adolescents and adults. The teenage experience of today is very different than that of only a decade ago. In addition to peer pressure, exams, and other daily stressors, social media has increased the level of self-perceived competition through comparison making a still-developing young person prone to low self-esteem, anxiety, and depression. Concerns about school, relationships, and the future can bring about restless minds and even panic attacks, making it hard to concentrate or focus on simple tasks. gg
g Bien que tout cela puisse sembler insurmontable, des recherches ont démontré que quelques minutes d’exercice physique par jour suffisent à réduire le niveau de stress et à activer les hormones du bonheur appelées endorphines, ce qui permet aux adolescents de se sentir plus à l’aise et plus productifs. L’impact positif de l’exercice sur le corps et l’esprit est une raison suffisante pour envisager de pratiquer régulièrement une activité en solo ou en groupe.
La participation à un sport d’équipe comme le hockey ou le basketball encourage la coopération, forge des relations et permet aux esprits en ébullition de faire une pause. Les sports d’équipe exigent également de perfectionner des compétences comme l’agilité, la communication, l’endurance et la force, ce qui requiert toute l’attention d’une personne pour réussir. Pendant que le corps travaille dur, l’esprit concentré peut remplacer toutes les pensées négatives potentielles par des pensées positives. Il n’est pas étonnant que, après un bon match ou un bon entraînement, le niveau d’énergie et l’humeur d’un adolescent augmentent instantanément.
Les jeunes qui préfèrent les activités en solo, comme le jogging, la natation ou la musculation, bénéficieront des avantages de se consacrer du temps et de se concentrer, ce qui exige de l’autodiscipline et de la force d’âme. Sans équipe pour les motiver, ils seront guidés par leur coach intérieur qui les aidera à démarrer et à continuer. L’auto-évaluation et la possibilité de se fixer des objectifs sans l’influence des autres sont des avantages importants pour les adolescents qui s’engagent dans des activités sportives individuelles.
Une activité plus calme comme le yoga — en personne ou en ligne — est une façon douce de promouvoir un état d’esprit plus sain. Grâce à des mouvements utilisant le poids du corps et à une respiration contrôlée, les esprits anxieux et les agitations nerveuses sont plus faciles à gérer. La pratique du yoga enseigne également des méthodes d’apaisement qui peuvent être intégrées dans la vie quotidienne de l’adolescent lorsqu’il n’est pas sur le tapis.
On ne peut pas forcer les adolescents inactifs qui préfèrent les jeux vidéo à pratiquer une activité physique, mais on peut les encourager à être actifs en leur montrant l’exemple. C’est l’occasion idéale, en tant que parent, de pratiquer une activité et d’inviter son adolescent à s’y joindre. Faire de la marche rapide après le souper, partir en randonnée le week-end, construire une salle de sport à la maison ou engager un entraîneur personnel, voilà comment transformer l’exercice en une affaire de famille. Même si l’école, les amis et les réseaux sociaux se disputent l’attention des adolescents, la famille peut encore être leur plus grand influenceur grâce à des habitudes saines. M
gg While it may feel overwhelming, research has shown that only a few minutes a day of physical exercise reduces stress levels and activates happy hormones called endorphins, which allow teens to feel more at ease and more productive. The positive impact exercise has on both the body and mind is enough of a reason to consider a regular solo or group activity.
Participating in a team sport like hockey or basketball encourages cooperation, forges relationships, and presses pause on racing minds with stressed-out thoughts. Team sports also require honing skills like agility, communication, endurance, and strength that require one’s full attention to succeed. While the body is working hard, the focused mind can replace any potential negative thoughts with positive ones. It’s no wonder that after a great game or practice, a teen’s energy level and mood are instantly raised.
For youth who prefer solo activities like jogging, swimming, or weight training, they’ll reap the benefits of dedicating time to themselves and getting into the zone. Both require self-discipline and mental fortitude. Without a team to motivate them, they’ll be guided by their inner coach to get them started and keep them going. The opportunity to self-evaluate and visualize goals without the influence of others is a great benefit for teens engaging individual athletic pursuits.
Slower-paced activities like yoga — in person or online — are a gentle way to promote a healthier mindset. Through bodyweight movements and controlled breathing, anxious minds and nervous fidgeting are easier to manage. The practice of yoga also teaches calming methods that can be incorporated into a teen’s daily life when not on the mat.
Inactive teens who prefer video games over exercise can’t be forced into physical activity, but they can be encouraged to be active through good examples. This is the perfect opportunity as a parent to engage in an activity and invite your teen to join in. Routinely taking brisk walks after dinner, going hiking on the weekend, building a home gym in the basement, or hiring a personal trainer, can make exercise a family affair. Even with school, friends, and social media vying for a teen’s attention, the household can still be their biggest influencer by means of healthy habits. M
Professionnelle de l’exercice certifiée CanFitPro et propriétaire de « Busy Mom Bootcamp », Tina « Toner » Kissavos aide les gens à adopter un mode de vie plus sain depuis plus d’une décennie. Visitez son site Web TinaToner.com pour avoir plus de renseignements sur ses services de mise en forme/nutrition et plus encore.
CanFitPro-certified trainer and owner of the online ‘Busy Mom Bootcamp’, Tina ‘Toner’ Kissavos has over a decade of experience in helping people switch to a healthier lifestyle. Visit her at TinaToner.com to request information about her training/nutrition services and more.
Dans le monde du baseball professionnel, là où les rêves côtoient les grandes carrières, peu d’histoires captent l’imagination comme celle de Miguel Cienfuegos. Comme pour beaucoup de jeunes joueurs d’ici, l’amour de Miguel pour le jeu est né en regardant les matchs des Expos. Il était réellement doué pour ce sport, contrairement à la plupart des jeunes joueurs de baseball.
Originaire de Laval, le lanceur gaucher a quitté le Canada pour développer son jeu avec les Raiders du Northwest Florida State College. Mais lorsqu’il n’a reçu aucune offre des ligues mineures après l’université, il a cru que son rêve de jouer professionnellement était terminé.
Mais Miguel s’est rendu compte qu’il avait encore beaucoup à offrir et a voulu jouer pour les Capitales de Québec, une équipe de la Frontier League — une ligue indépendante avec des équipes au Canada et dans le nord-est des États-Unis. À sa grande surprise, il ne s’est pas contenté d’intégrer l’équipe, il l’a aidée à remporter le championnat et a reçu deux prix impressionnants : « Lanceur partant de l’année » et « Lanceur de l’année ».
À la recherche de nouveaux défis, Miguel a rejoint les Adelaide Giants de l’Australian Baseball League pendant la saison morte l’hiver dernier. Alors qu’il se trouvait en Australie, il a reçu un appel qui a changé sa vie. Les Padres de San Diego lui ont proposé un contrat de deux ans dans leur système de ligues mineures. Emballé par cette opportunité, il s’est rendu à Fort Wayne, dans l’Indiana, pour jouer avec les TinCaps Montréal enSanté a récemment parlé avec Miguel pour un entretien exclusif et approfondi.
Montréal enSanté : Quelles sont vos plus grandes forces en tant que lanceur et comment les exploitez-vous sur le monticule?
Miguel Cienfuegos : Ma plus grande force est ma résistance mentale. J’ai pris l’habitude de passer inaperçu et de ne compter que sur moi-même, ce qui m’a permis d’être très confiant. Pas arrogant, mais confiant. Il y a une différence. Je suis une personne positive et j’essaie d’extraire le positif de chaque situation et d’apprendre du reste.
MES : Quelle est votre préparation pour les jours de match?
MC : Mentalement, j’essaie de rester en paix en faisant des choses que j’aime ou n’en faisant pas trop. La musique est thérapeutique. Jouer à des jeux vidéo me permet d’améliorer ma coordination œil-main. Je garde les choses simples, rien de spécial. Je m’habille bien : bien paraître, bien jouer. g
In the world of professional baseball, where dreams are born and careers are made, few stories capture the imagination like that of Miguel Cienfuegos. Like many local players, Miguel’s love for the game started as a youngster watching the Expos play. Unlike most young ball players, he was good at the sport.
Born and raised in Laval, the southpaw pitcher left Canada to develop his game with the Northwest Florida State College Raiders. But when no minor league offers came his way after college, he thought his dream of playing professionally was over.
Eventually Miguel realized that he still had a lot to offer and tried out for the Quebec Capitales, a team in the Frontier League — an independent league with teams in Canada and the northeastern United States. To his surprise, he not only made the team, but also helped them win the championship and earned two impressive awards: “Starting Pitcher of the Year” and “Pitcher of the Year.”
In search of new challenges, Miguel joined the Adelaide Giants in the Australian Baseball League during the offseason last winter. While in Australia, he received a life-changing phone call. The San Diego Padres offered him a two-year contract in their minor league system. Excited about the opportunity, he headed to Fort Wayne, Indiana, to play for the TinCaps.
Montréal enSanté recently caught up with Miguel for an exclusive and insightful interview.
Montréal enSanté: What are your biggest strengths as a pitcher, and how do you leverage those strengths on the mound?
Miguel Cienfuegos: My biggest strength is mental toughness. I got used to flying under the radar and just betting on myself, which allowed me to be extra confident. Not cocky, but confident. There’s a difference. I’m a positive person, and I try to extract the positive out of every situation and learn from the rest.
MES: How do you approach game day?
MC: Mentally, I try to stay at peace by doing things I like or not doing too much. Music is therapeutic. Playing video games gets my hand-eye coordination going. I keep it simple, nothing special. I wear something nice: look good, play good. gg
g MES : Quel est, selon vous, l’aspect le plus difficile du métier de lanceur gaucher?
MC : Je ne pense pas que ce soit un défi, mais plutôt un avantage. Les lanceurs gauchers sont rares. Je pense que le plus important, comme pour tout autre lanceur ou joueur, c’est de prendre soin de son corps pour rester en bonne santé et être capable de faire son travail.
MES : Comment communiquez-vous avec le receveur et les autres coéquipiers pour vous assurer que vous êtes tous sur la même longueur d’onde et que vous travaillez pour un objectif commun?
MC : Le fait que je parle trois langues m’aide. Les barrières linguistiques ne sont jamais un problème. Nous nous réunissons avec l’entraîneur des lanceurs pour établir le plan de jeu et l’ajuster après chaque manche. La communication est constante. En fin de compte, nous travaillons ensemble pour obtenir des retraits et gagner des matchs.
MES : Pouvez-vous nous parler de votre expérience avec les Capitales de Québec?
MC : Il n’y a rien de tel que de jouer au plus haut niveau chez soi. Ma famille et mes amis ont pu me voir jouer. On m’avait dit que le Québec était un endroit extraordinaire pour jouer, mais je n’aurais jamais pensé que ce serait un moment aussi inoubliable dans ma vie. Les partisans méritent eux aussi d’être félicités.
MES : Comment s’est passée l’annonce de votre départ pour les ligues mineures?
MC : Je ne pouvais pas trop en parler tant que ce n’était pas officiel, mais le fait de pouvoir appeler mes proches et leur annoncer la nouvelle après tant d’années de travail n’avait pas de prix.
MES : Quels sont vos objectifs pour l’avenir, tant en ce qui concerne votre carrière personnelle que votre contribution à l’organisation des Padres?
MC : Mon objectif personnel est de m’améliorer et d’apprendre jour après jour. Mon objectif pour l’équipe est simple : donner un bon spectacle et aider les Padres à remporter les World Series
Le parcours de Miguel Cienfuegos dans le monde du baseball témoigne de sa résilience et de sa détermination inébranlable. Étant passé de jeune spectateur dans les gradins à champion sur le terrain, ce héros local inspire les autres à ne pas abandonner leurs rêves. À chaque lancer, Miguel écrit sa propre histoire, montrant au monde que tout est possible avec de la passion et de la persévérance. M
gg MES: What do you consider to be the most challenging aspect of being a left-handed pitcher?
MC: I don’t think it’s a challenge; I believe it’s an advantage. Left-handed pitchers are rare. I think the biggest thing, just like any other pitcher or player, is taking care of your body to stay healthy and be able to do your job.
MES: How do you communicate with the catcher and other teammates to ensure that you’re all on the same page working toward a common goal?
MC: The fact that I speak three languages helps. Language barriers are never an issue. We meet with the pitching coach to establish the game plan and adjust after every inning. There is constant communication. In the end, we work together to get outs and win ball games.
MES: Can you talk a little bit about your experience playing for the Quebec Capitales?
MC: There’s nothing like playing at the highest level at home. Family and friends were able to see me play. I was told that Quebec was an amazing place to play, but I never thought it was going to be such an unforgettable time in my life. The fan base deserves a lot of credit as well.
MES: What was it like getting the call that you were heading to the minors?
MC: I couldn’t talk too much about it until it was official. But being able to call my loved ones and let them know after so many years of working towards it was truly priceless.
MES: What are your goals for the future, both in terms of your personal career and your contributions to the Padres organization?
MC: My personal goal is to better myself and learn day by day. My goal for the team is simple: put on a show and help the Padres win the World Series.
Miguel Cienfuegos’ baseball journey is a testament to his resilience and unwavering determination. From young spectator in the bleachers to champion on the field, the hometown hero inspires others not to give up on their dreams. With each pitch, Miguel writes his own story, showing the world that anything is possible with passion and perseverance. M
Inspiré par les tendances émergentes en matière de loisirs, Adam Irwin aime faire du vélo, nager et grimper. Collaborateur régulier de Montréal enSanté, il a obtenu un baccalauréat en études urbaines de l’Université Concordia en 2021.
Inspired by emerging trends in recreation, Adam Irwin enjoys cycling, swimming, and rock climbing. A regular contributor to Montréal enSanté, he earned his bachelor’s degree in Urban Studies from Concordia University in 2021.
S i, dans votre jeunesse, vous avez évité les compétitions sportives, vous n’avez peut-être pas profité des nombreux avantages physiques, mentaux et sociaux qu’elles procurent. Les sports de compétition jouent un rôle essentiel dans le développement des jeunes. En fait, la participation à des sports de compétition dès le plus jeune âge peut avoir un impact considérable sur la croissance de l’enfant vers l’adolescence et l’âge adulte. g
If you shied away from sport-related competition in your youth, you may have missed out on the numerous physical, mental, and social benefits it provides. Competitive sports play a vital role in a young person’s development. In fact, participating in competitive sports from a young age can greatly impact a child’s growth into adolescence and adulthood. gg
g Il est vrai que la compétition peut faire peur. La peur de perdre et d’être humilié par ses pairs peut empêcher un adolescent de s’inscrire à un sport d’équipe à l’école ou dans la communauté. Lorsqu’il s’agit de compétition, tout le monde préfère gagner, mais une défaite sur le terrain ou sur la patinoire apporte des leçons précieuses qui vont au-delà de ce qui est enseigné dans la salle de classe. Perdre peut en fait aider les adolescents à développer des caractéristiques importantes qui leur seront utiles plus tard dans la vie. La persévérance, la résilience et la capacité de rebondir aident les jeunes athlètes à se remettre dans le bain rapidement après une déception.
En plus d’apprendre les leçons de la défaite, il y a d’innombrables avantages à simplement jouer le jeu. Se fixer des objectifs, faire preuve de discipline et travailler en équipe contribuent à améliorer l’estime de soi des jeunes et à renforcer leur confiance en eux. Les sports de compétition sont un excellent exutoire pour les adolescents anxieux qui peuvent ainsi évacuer leur énergie refoulée au sein d’un groupe de coéquipiers qui partagent les mêmes idées et en qui ils ont appris à avoir confiance.
Les bienfaits des sports de compétition sur la santé physique sont évidents. Lorsque les adolescents passent à l’âge adulte — à moins qu’ils ne deviennent des athlètes professionnels —, l’activité physique quotidienne ralentit en raison des exigences de la vie professionnelle et familiale. Les sports de compétition pour les jeunes offrent la possibilité de développer et de renforcer les os et les muscles, d’améliorer la santé cardiovasculaire et de développer la coordination œil-main. L’activité physique chez les jeunes est un investissement en vue du vieillissement. Avec l’âge, le métabolisme ralentit et les muscles non utilisés s’atrophient. Les personnes âgées qui ont participé à des compétitions sportives et qui se sont entraînées dans leur jeunesse peuvent puiser dans leur mémoire musculaire pour retrouver de la force et maintenir un poids santé.
D’un point de vue social, les sports de compétition sont un excellent moyen de faire « décoller » les adolescents du canapé et de les faire sortir de la maison. Le fait de déplacer la compétition de la console de jeux vidéo au terrain de sport permet aux adolescents de socialiser en personne par l’intermédiaire de la communication verbale et du contact physique, comme les tapes dans le dos et les poignées de main. Les sports d’équipe obligent également les adolescents à travailler ensemble pour atteindre un objectif commun, ce qui encourage la collaboration et le respect des forces et des faiblesses de chacun. C’est une nécessité dans un monde où l’inclusion et la communauté n’ont jamais été aussi importantes.
De nombreux jeunes sportifs poursuivent leur passion pour l’activité physique jusqu’à l’âge adulte, même s’il s’agit d’une forme d’exercice en solitaire. En prenant l’habitude de bouger régulièrement et en profitant des montées d’adrénaline provoquées par les sports de compétition, il est facile d’éviter de tomber dans la sédentarité. Ce phénomène est évident lorsqu’un joueur blessé doit s’asseoir sur le banc avec une forte envie de reprendre le jeu. En fin de compte, les jeunes qui pratiquent un sport de compétition jouissent d’une bonne santé physique et d’un bien-être mental. De plus, ils ont plus de chances de devenir des adultes forts et en bonne santé. M
gg Admittedly, competition can be scary. The fear of losing and experiencing potential humiliation among their peers may prevent a teen from joining a school or community team. When it comes to competition, everyone prefers to win, but taking a loss on the field, rink, or court imparts valuable lessons that go beyond what’s taught in the classroom. Losing can actually help teenagers develop important characteristics that will benefit them later in life. Perseverance, resilience, and bounce-back ability help young athletes get back in the game of life quickly after experiencing disappointment.
In addition to learning the lessons of loss, there are countless perks to simply playing the game. Goal setting, discipline, and teamwork help improve a youth’s self-esteem and build self-confidence. Competitive sports are a great outlet for anxious teens to let out pent-up energy in a group of like-minded teammates they’ve grown to trust.
The physical health benefits of competitive sports are obvious. As teens transition into adulthood — unless they become professional athletes — daily physical activity slows down with the demands of work and family life. Competitive sports for youth introduce opportunities to build and strengthen bones and muscles, improve cardiovascular health, and develop hand-eye coordination. Physical activity in youth is an investment in healthier golden years. With age, metabolism slows down and unused muscles atrophy. Older adults who participated in competitive sports and trained in their youth can tap back into muscle memory to regain strength and maintain a healthy weight.
Socially speaking, competitive sports are a great way to get teens off the couch and out of the house. Shifting the competition from the video game console to the playing field allows teens to socialize in person through verbal communication and physical contact like high fives and fist bumps. Team sports also require teens to work together toward a common goal, encouraging collaboration and respect for each other's strengths and weaknesses. This is paramount in a world where inclusivity and community have never been more important.
Many young sports enthusiasts pursue their passion for physical activity into their older years, even if it transitions into a form of solo exercise. The adopted habit of regular movement and the endorphin-induced adrenaline highs of competitive sports, make it easy to avoid falling into a sedentary lifestyle. This is obvious when an injured player has to sit on the sidelines chomping at the bit to get back in. Ultimately, youth who engage in competitive sports enjoy good, physical health and mental well-being. Moreover, they increase their odds of becoming strong, healthy adults. M
Que ce soit dans le cadre d’un sport d’équipe ou simplement pour devenir plus agile, les exercices d’agilité sont le meilleur moyen d’améliorer la vitesse, la coordination et l’équilibre. Les trois exercices suivants peuvent être intégrés à votre programme de remise en forme deux ou trois fois par semaine.
En utilisant une surface stable et surélevée qui peut supporter le poids de votre corps (p. ex. : marche en béton, banc en bois, gradins en métal), sautez en pliant les genoux, puis redescendez. Répétez l’exercice 10 fois. Les sauts sur plateforme ciblent les quadriceps, les ischiojambiers, les fessiers et les mollets, améliorant ainsi la puissance et les performances athlétiques dans des sports comme le football, le basket-ball, le soccer et l’athlétisme.
Le mouvement brusque de départ et d’arrêt de cet exercice contribue à améliorer la forme et la vitesse de la course en favorisant une élévation plus importante du genou et un taux de roulement plus rapide. Il permet également de renforcer les muscles fléchisseurs de la hanche, qui sont essentiels pour courir, sauter et effectuer d’autres mouvements athlétiques. Joggez sur place, en levant les genoux au niveau des hanches et en battant des bras au rythme de vos pas, tout en gardant les coudes pliés à un angle de 90 degrés. Poussez rapidement avec la pointe des pieds. Augmentez la vitesse au fur et à mesure. Effectuez des sprints de 30 secondes. Répétez l’exercice cinq fois.
En utilisant de 10 à 12 objets fixes, réglez le chronomètre à une minute et déplacez-vous d’un objet à l’autre en plaçant un pied de chaque côté de l’objet avant de passer au suivant le plus rapidement possible. Effectuez un burpee à la fin de chaque série. Répétez l’exercice cinq fois. M
Consultez cette vidéo exclusive (https://youtu.be/IKdtVCvSAKQ) pour voir la démonstration des mouvements mentionnés ci-dessus.
Whether you’re involved in team sports or simply like the idea of becoming nimbler, agility exercises are the best way to improve speed, coordination, and balance. The following three exercises can be incorporated into your fitness routine two to three days a week.
Using a stable, elevated surface that can bear your body weight (ex: concrete step, wooden bench, metal bleachers), jump up with bent knees and then jump back down. Repeat 10 times. Platform jumps target the quadriceps, hamstrings, glutes, and calves, and help improve power and athletic performance in sports like football, basketball, soccer, and track and field.
The sharp start-stop motion of this drill helps to improve running form and speed by promoting a higher knee lift and a quicker turnover rate. It also helps to strengthen the hip-flexor muscles, which are essential for running, jumping, and other athletic movements. Jog in place, lift your knees up to hip level, and pump your arms in time with your steps while keeping your elbows bent at a 90-degree angle. Push off the balls of your feet quickly. Increase speed as you go. Perform 30-second sprints. Repeat five times.
Using 10 to 12 stationary place holders, set the timer to one minute. Move efficiently and as quickly as possible from prop to prop by placing one foot next to each object before moving on to the next. Perform a burpee at the end of each round. Repeat five times. M
Check out this exclusive video (https://youtu.be/IKdtVCvSAKQ) for a demonstration of each exercise mentioned above.
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