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Enseignement sur [ Clé spirituelle ]
Enseignement sur la rechute [ Clé spirituelle 7 ]
Pour l’enseignement précédent sur la RECHUTE voir 1 Thessaloniciens 5.21 (page 521). Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Arrêtez, et sachez que je suis Dieu! Je domine sur les nations, je domine sur la terre.»
Psaume 46.11
Avec la clé spirituelle 7, nous réservons chaque jour un temps avec Dieu pour examiner notre vie, lire la Bible et prier, afin de mieux connaître Dieu et recevoir la force de vivre selon sa volonté. L’étude de ce principe nous conduit progressivement à l’appliquer et à vivre ce que nous avons découvert dans les six premières clés spirituelles. Nous apprenons à vivre quotidiennement dans l’humilité, en étant en prise directe avec la réalité et en rejetant le déni. Nous avons fait de notre mieux pour réparer notre passé. En nous soumettant à la volonté de Dieu, nous pouvons à présent mieux gérer nos émotions, sachant qu’elles ont une incidence sur nos pensées et nos actes. Nous pouvons commencer à agir de façon délibérée et positive, au lieu de fonctionner selon un perpétuel mode réactionnel.
Le second aspect de cette clé spirituelle – l’appel à réserver chaque jour un temps avec Dieu pour examiner notre vie, lire la Bible et prier, afin de mieux connaître Dieu et recevoir la force de vivre selon sa volonté – se rapporte à l’ étape 11 des 12 étapes centrées sur Christ.
Étape 11. Nous avons cherché par la prière et la méditation à améliorer notre contact conscient avec Dieu, lui demandant seulement de connaître sa volonté à notre égard et de nous donner la force de l’exécuter.
La quatrième caractéristique de cette étape est de S’HABITUER
Un Moment Seul
AVEC DIEU. L’étape 11 utilise le mot méditation, un terme qui met mal à l’aise certains d’entre nous. Une bonne définition de la méditation, cependant, est précisément ce que nous recherchons: être dans une relation consciente avec Dieu. Un aspect important de la méditation est de ralentir suffisamment pour pouvoir entendre Dieu. Avec de la pratique, nous commencerons à comprendre l’importance de passer du temps, seuls, avec Dieu. Même Jésus a passé du temps seul à seul avec son Père. Nous devons mettre en place un rendez-vous quotidien avec Dieu, et nous y tenir. Nous devons apprendre à l’écouter et essayer de discerner sa douce demande: «Arrêtez, et sachez que je suis Dieu».
L’ennemi utilisera tous les moyens à sa disposition pour interrompre notre moment quotidien passé seul à seul avec Dieu. Il fera en sorte que notre emploi du temps soit rempli de
Enseignement sur la rechute [ Clé spirituelle 7 ] tellement de bonnes choses que nous n’aurons plus le temps de respecter notre rendez-vous avec Dieu. Satan aime nous empêcher de grandir et d’entretenir la relation la plus importante de notre vie: notre relation avec Jésus.
Le Psaume 1.1-3 affirme: «Heureux l’homme qui ne suit pas le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs et ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel et la médite jour et nuit! Il ressemble à un arbre planté près d’un cours d’eau: il donne son fruit en sa saison, et son feuillage ne se flétrit pas. Tout ce qu’il fait lui réussit.»
L’étape suivante de l’enseignement sur la RECHUTE est d’UTILISER LA PUISSANCE DE DIEU PAR LA PRIÈRE . Voir Philippiens 4.6 (page 507).
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Enseignement sur la gratitude [ Clé spirituelle 7 ]
Pour l’enseignement précédent sur la GRATITUDE , voir Hébreux 12.1 (page 551). Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Entrez dans ses portes avec reconnaissance, dans ses parvis avec des chants de louange!
Célébrez-le, bénissez son nom.»
Psaume 100.4
Avec la clé spirituelle 7, nous réservons chaque jour un temps avec Dieu pour examiner notre vie, lire la Bible et prier, afin de mieux connaître Dieu et recevoir la force de vivre selon sa volonté. À mesure que nous étudions et appliquons ce principe, et que nous nous rapprochons de notre seule vraie Toute-Puissance, Jésus-Christ, nous comprenons que nous avons de nombreux sujets de reconnaissance. Nos relations avec les autres se restaurent, et nous faisons l’expérience de la paix et de la libération quant à nos blessures, nos blocages et nos dépendances. Nous découvrons un nouveau but pour notre vie. À ce stade, il est important de développer de la GRATITUDE et de maintenir une «attitude de reconnaissance» pour tous les changements positifs qui se sont produits et qui se produisent encore dans notre vie.
Nous pouvons tous être reconnaissants pour au moins quatre domaines clés de notre vie. Le quatrième de ces domaines est NOTRE ÉGLISE . Hébreux 10.25 nous dit: «N’abandonnons pas notre assemblée, comme certains en ont l’habitude, mais encourageons-nous mutuellement. Faites cela d’autant plus que vous voyez s’approcher le jour.» Comme le rappelle le Psaume 100.4, nous devons être reconnaissants et nous réjouir profondément du rôle de l’Épouse du Christ (l’Église) dans notre vie. C’est dans ce lieu, celui de la communauté chrétienne et de la communion fraternelle, que nous trouvons l’environnement sûr qui nous offre l’accueil, les encouragements et l’amour dont nous avons besoin.
Pour quels aspects sommes-nous particulièrement reconnaissants envers NOTRE ÉGLISE?
Cet aperçu correspond à la dernière section de l’enseignement sur la GRATITUDE.
Enseignement sur le déni [ Clé spirituelle 1 ]
Pour l’enseignement précédent sur le DÉNI, voir Psaume 146.7-8 (page 158).
Pour une discussion au sujet des Clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Dans leur détresse, ils ont crié à l’Éternel, et il les a délivrés de leurs angoisses: il les a fait sortir des ténèbres et de l’ombre de la mort, il a arraché leurs liens.»
Psaume 107.13-14
Le pouvoir de changer ne vient que par la grâce de Dieu. La première clé déclare: «Réaliser que je ne suis pas Dieu. J’admets que seul, je suis impuissant à gérer ma vie de façon satisfaisante.» Si nous admettons que nous sommes impuissants, nous reconnaissons notre besoin d’un pouvoir supérieur à nous-mêmes pour nous restaurer. Ce pouvoir est notre Toute-Puissance, le seul et unique vrai pouvoir supérieur, Jésus-Christ.
Avec la clé spirituelle 1, nous découvrons que nous avons été dans le DÉNI de nos blessures, de nos blocages et de nos habitudes. La prochaine caractéristique du DÉNI est qu’il NEUTRALISE NOTRE CROISSANCE. Nous sommes aussi malades que nos secrets. Nous ne pouvons pas commencer à évoluer vers la guérison tant que nous ne serons pas prêts à quitter l’obscurité de notre déni pour aller vers la clarté aveuglante de la vérité. Dieu attend de nous prendre la main pour nous diriger, bien qu’il ne nous tire jamais contre notre volonté. Lorsque nous avançons sur la voie de notre rétablissement, nous en venons à comprendre que Dieu ne gaspille jamais une blessure. Et il ne va pas gaspiller l’obscurité que nous avons traversée. Il ne peut pas en tirer profit, cependant, tant que nous ne faisons pas ce premier pas.
Enseignement sur «admettre» [ Clé spirituelle 4 ]
Pour l’enseignement précédent sur «ADMETTRE», voir Jacques 5.16 (page 558). Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Dans leur détresse, ils ont crié à l’Éternel, et il les a délivrés de leurs angoisses: il les a fait sortir des ténèbres et de l’ombre de la mort, il a arraché leurs liens.»
Psaume 107.13-14
La clé spirituelle 4 entame le processus de «nettoyage». Dans la deuxième partie de ce processus, nous reconnaissons nos fautes et les confessons ouvertement à Dieu et à quelqu’un de confiance.
Lorsque nous ADMETTONS et confessons nos défauts à une autre personne, nous bénéficions de trois avantages exceptionnels. Le deuxième bénéfice que nous tirons du partage de nos inventaires (clé 4) est la liberté. Nos secrets nous ont maintenus enchaînés, liés, immobilisés et rendus incapables d’aller de l’avant dans notre relation avec Dieu et avec les autres. Admettre nos péchés rompt nos chaînes afin que la puissance de guérison de Dieu puisse s’enclencher.
Nous devons nous assurer de confesser tous nos péchés, car un péché non confessé suppure et nous maintient lié à notre passé. Dans Psaume 32.3-4, David exprime ce qui lui est arrivé quand il a essayé de dissimuler ses péchés: «Tant que je me taisais, mon corps dépérissait; je gémissais toute la journée, car nuit et jour ta main pesait lourdement sur moi. Ma vigueur avait fait place à la sécheresse de l’été.»
Faire part à une personne digne de confiance de l’inventaire de nos péchés, selon la clé spirituelle 4, apporte un troisième avantage: le soutien. Cette personne peut nous aider à nous concentrer sur l’essentiel et nous fournir des commentaires d’une grande valeur. Lorsque notre vieil «ami» le déni refait surface, et que nous entendons la litanie d’excuses de Satan: «Ce n’est pas si grave», «Ils l’ont mérité» ou «Ce n’était pas vraiment de ta faute», la personne qui nous soutient est là pour nous mettre au défi de voir la vérité en face. Mais avant tout, nous avons besoin d’avoir près de nous une personne qui est là simplement pour nous écouter et entendre ce que nous avons à dire. Nous devons garder à l’esprit que «l’ouverture est à la plénitude ce que les secrets sont à la maladie.»
Cet partie correspond à la dernière section de l’enseignement sur «ADMETTRE».
Cette partie correspond à la première section de l’enseignement sur la GRATITUDE. Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Qu’ils louent l’Éternel pour sa bonté et pour ses merveilles en faveur des hommes.»
Psaume 107.15
Avec la clé spirituelle 7, nous réservons chaque jour un temps avec Dieu pour examiner notre vie, lire la Bible et prier, afin de mieux connaître Dieu et recevoir la force de vivre selon sa volonté. À mesure que nous étudions et appliquons ce principe, et que nous nous rapprochons de notre seule vraie Toute-Puissance, Jésus-Christ, nous comprenons que nous avons de nombreux sujets de reconnaissance. Nos relations avec les autres se restaurent, et nous faisons l’expérience de la paix et de la libération quant à nos blessures, nos blocages et nos dépendances. Nous découvrons un nouveau but pour notre vie. À ce stade, il est important de développer de la GRATITUDE et de maintenir une «attitude de reconnaissance» pour tous les changements positifs qui se sont produits et qui se produisent encore dans notre vie.
Nous pouvons tous être reconnaissants pour au moins quatre domaines clés de notre vie. Tout d’abord et surtout, nous pouvons être reconnaissants envers Dieu pour tout ce qu’il a fait pour nous. Nous devons offrir des prières quotidiennes de reconnaissance à notre Créateur. Psaume 107.15 nous encourage à remercier Dieu pour son amour inconditionnel envers nous. Identifions au moins deux domaines de notre vie dans lesquels nous pouvons voir Dieu à l’œuvre et pour lesquels nous voulons lui exprimer notre reconnaissance et notre louange envers lui. Nous pouvons aussi réfléchir à ce que Dieu a fait pour nous au cours de l’année écoulée, sans oublier d’inclure ses bénédictions de cette semaine et même d’aujourd’hui.
Un autre domaine pour lequel nous pouvons être reconnaissants concerne LES PERSONNES QUE DIEU A PLACÉES DANS NOTRE VIE . Voir Colossiens 3.15-16 (page 516).
Enseignement sur l’inventaire [ Clé spirituelle 4 ]
Pour l’enseignement précédent sur l’INVENTAIRE, voir Ézéchiel 34.16 (page 224). Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Examine-moi, ô Dieu, et connais mon cœur, mets-moi à l’épreuve et connais mes pensées! Regarde si je suis sur une mauvaise voie et conduis-moi sur la voie de l’éternité!»
Psaume 139.23-24
La clé spirituelle 4 entame le processus de «nettoyage». C’est ici que nous reconnaissons nos fautes et les confessons ouvertement à Dieu et à quelqu’un de confiance. Dans la première partie de cette clé spirituelle, nous examinons ouvertement notre vie. Selon la clé spirituelle 4, lorsque nous nous préparons à rédiger notre inventaire moral et spirituel, nous devons le diviser en cinq sections spécifiques.
La cinquième et dernière section (ou colonne) est intitulée «MA PART». Lamentations 3.40 nous dit: «Réfléchissons à nos voies, examinons-les et retournons à l’Éternel.» Notons que le verset ne dit pas: «examinons leurs voies», mais «nos voies». Nous avons parlé de cela dans les quatre premières sections ou colonnes de notre inventaire. Il nous faut à présent déterminer honnêtement dans la cinquième section la rancœur (ou tout autre péché ou blessure) dont nous sommes responsables. Nous devons demander à Dieu de nous montrer notre part de responsabilité dans un mariage brisé ou une autre relation endommagée, qu’il s’agisse d’une relation avec un enfant ou un parent éloigné ou même d’une relation professionnelle ayant entraîné la perte d’un emploi. De plus, dans cette section, nous énumérons toutes les personnes que nous avons blessées, en notant aussi la façon dont nous les avons blessées. Comme dans la prière que le psalmiste exprime dans Psaume 139.24, nous avons besoin de l’aide de Dieu pour qu’il nous montre ce qui est mauvais en nous. Cela nous aide à identifier où nous avons failli dans nos relations.
Remarque: si nous avons souffert d’une relation abusive, surtout en tant qu’enfant, nous pouvons expérimenter une grande libération dans cette partie de l’inventaire. Nous découvrirons que nous n’avons joué AUCUN rôle et que nous n’avions AUCUNE responsabilité dans la cause de cette rancœur. En écrivant simplement les mots «AUCUN» ou «NON COUPABLE» dans la colonne 5 de notre inventaire, nous pouvons commencer à être délivrés de la honte et la culpabilité mal placées que nous avons portées.
Cette partie correspond à la dernière section de l’enseignement sur l’INVENTAIRE.
Enseignement sur l’action [ Clé spirituelle 3 ]
Pour l’enseignement précédent sur l’ACTION, voir Romains 10.9 (page 448).
Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Enseigne-moi à faire ta volonté, car c’est toi qui es mon Dieu. Que ton bon Esprit me conduise sur le terrain de la droiture!»
Psaume 143.10
Avec la clé spirituelle 3, nous choisissons de confier notre vie et notre volonté à Christ et de dépendre de lui dans tous les domaines de notre vie. Nous prenons la décision de remettre notre vie et notre volonté à notre Toute-Puissance, Jésus-Christ. Pour ce faire, nous devons passer à l’ACTION.
Ce n’est qu’après avoir pris cette décision que nous pouvons prendre l’ENGAGEMENT de demander à Christ sa volonté et de la suivre. C’est la deuxième caractéristique. Nous sommes nombreux à avoir essayé de mener notre vie avec nos propres forces et notre volonté, et cela n’a pas marché du tout. Avec la clé spirituelle 3, nous changeons notre définition de la volonté. La volonté devient un empressement à accepter la puissance de Dieu pour guider notre vie. Nous nous rendons compte qu’il ne reste plus de place pour Dieu si nous sommes remplis de nous-mêmes. Nous devons faire nôtre la prière du psalmiste dans Psaume 143.10.
La caractéristique suivante de l’ACTION est la SOUMISSION. Voir Proverbes 3.6 (page 173).
Enseignement sur «être prêt à laisser Dieu agir» [ Clé spirituelle 5 ]
Cette partie correspond à la première section de l’enseignement sur «ÊTRE PRÊT À LAISSER DIEU AGIR ».
Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv
«Enseigne-moi à faire ta volonté, car c’est toi qui es mon Dieu. Que ton bon Esprit me conduise sur le terrain de la droiture!»
Psaume 143.10
Avec la clé spirituelle 5, nous devons être prêts à accepter sincèrement tout changement que Dieu veut opérer dans notre vie et lui demander humblement d’éliminer les défauts de notre caractère.
La prochaine caractéristique renvoie au fait de PASSER LES COMMANDES. Dieu est très courtois et patient. Dans la clé spirituelle 3, il ne nous a pas imposé sa volonté. Il a attendu que nous l’invitions! Dans la clé spirituelle 5, nous devons être tout à fait PRÊTS, désireux de laisser Dieu entrer dans tous les domaines de notre vie. Il ne va pas venir et nettoyer un domaine à moins que nous le lui demandions. On dit que «la volonté est la clé qui entre dans la serrure et ouvre la porte qui permet à Dieu de commencer à éliminer nos défauts de caractère». PASSER LES COMMANDES, ou en d’autres termes: «Lâcher prise et laisser Dieu agir!»
La caractéristique suivante d’«ÊTRE PRÊT À LAISSER DIEU AGIR» est d’avancer PETIT À PETIT. Voir Psaume 37.5-6 (page 147).
Pour l’enseignement précédent sur le DÉNI, voir 2 Pierre 2.19 (page 566).
Pour une discussion au sujet des clés spirituelles 1 à 8 et une liste des enseignements respectifs, voir les pages xvii-xliv.
«Il fait droit aux opprimés, il donne du pain aux affamés. L’Éternel délivre les prisonniers, l’Éternel ouvre les yeux des aveugles, l’Éternel redresse ceux qui sont courbés, l’Éternel aime les justes.»
Psaume 146.7-8
La puissance de changer vient uniquement de la grâce de Dieu. La clé spirituelle 1 déclare: «Réaliser que je ne suis pas Dieu. J’admets que seul, je suis impuissant à gérer ma vie de façon satisfaisante.» Lorsque nous admettons notre impuissance, nous reconnaissons par la même occasion notre besoin d’une puissance plus grande que nous pour nous restaurer. Cette puissance est la seule et unique vraie puissance supérieure: c’est Jésus-Christ. Avec la clé spirituelle 1, nous découvrons que nous avons NIÉ nos blessures, nos blocages et nos dépendances. La deuxième caractéristique du déni, c’est qu’il nous FAIT PERDRE NOTRE ÉNERGIE. L’anxiété est l’un des effets secondaires majeurs du déni. L’anxiété nous pousse à gaspiller notre précieuse énergie lorsque nous sommes confrontés à nos blessures et nos échecs passés et à la peur de l’avenir. Au fur et à mesure que nous adoptons les principes du programme, nous apprenons que ce n’est que dans le présent qu’un changement positif peut s’effectuer. Se faire du souci à cause du passé et redouter l’avenir nous empêche de vivre et de profiter du plan que Dieu nous réserve dans le présent. Nous laissons facilement nos peurs et nos préoccupations nous paralyser, mais la seule façon de nous débarrasser d’elles de manière permanente, c’est de les apporter à Dieu. Si nous voulons être libérés de nos blessures, de nos blocages et de nos dépendances, nous devons venir à bout une fois pour toutes de nos échecs, de nos souffrances, de la honte, de notre culpabilité et de nos ressentiments liés au passé. Nous devons réclamer le bon sens que Dieu voulait inculquer à son peuple dans Ésaïe 43.18: «Ne pensez plus aux premiers événements, ne cherchez plus à comprendre ce qui est ancien!» Cela ne veut pas dire que nous sommes censés ignorer le passé. Au contraire, nous devons tirer des enseignements du passé, offrir le pardon, réparer les torts et lâcher prise en abandonnant à Dieu les saletés de notre passé. Ce n’est qu’alors que nous pouvons être libérés de la culpabilité, de la rancune et de la peine!
Dans Philippiens 3.13-14, l’apôtre Paul nous défie de suivre son exemple: «Frères et sœurs, je n’estime pas m’en être moi-même déjà emparé, mais je fais une chose: oubliant ce qui est derrière et me portant vers ce qui est devant, je cours vers le but pour remporter le prix de l’appel céleste de Dieu en Jésus-Christ.» L’apôtre Paul avait beaucoup de choses à regretter au sujet de son passé. Il avait même participé au meurtre d’Étienne, le premier martyr chrétien. Mais parce qu’il a pu accepter le plein pardon de Dieu, Paul a trouvé la force de recommencer. Jésus est allé à la croix afin que tous nos péchés puissent être pardonnés. Christ connaît toutes les bonnes choses, toutes les mauvaises choses que nous avons faites et toutes les expériences que nous avons vécues. Et malgré tout, il nous aime tellement qu’il veut nous donner une seconde chance. Cette deuxième chance commence au moment où nous étudions et adoptons les principes de la clé spirituelle 1.
Hébreux 13.6 nous dit: «C’est donc avec assurance que nous pouvons dire: Le Seigneur est mon secours, je n’aurai peur de rien. Que peut me faire un homme?» Il se peut que nous ayons peur de l’avenir et peur du changement. Nous nous faisons tous du souci sur les choses que nous ne maîtrisons pas et que nous n’avons pas le pouvoir de changer. C’est pourquoi, alors que nous commençons notre guérison, nous devons conserver la prière de la sérénité dans notre cœur.
Il se peut que nous soyons depuis si longtemps piégés par une blessure, une dépendance ou un blocage que cela est devenu notre identité. Peut-être nous disons-nous: «Que va-t-il se passer si je donne vraiment une chance à la guérison? Vais-je changer? Si j’abandonne mes anciennes blessures, blocages et dépendances, que vais-je devenir? Qui serai-je?» Nous avons peut-être abusé de l’alcool, de médicaments ou de nourriture. Nous avons peur, nous ne savons pas ce que nous allons faire sans cela. Peut-être entretenons-nous une relation dysfonctionnelle avec quelqu’un depuis des années. Peut-être nous disons-nous: «Que va-t-il se passer si je change et que mon conjoint alcoolique se met en colère contre moi?»
La vérité, pourtant, c’est que nous pouvons faire face à la possibilité de changer sans aucune crainte ni aucun doute car, à mesure que nous avançons sur le chemin de notre restauration, nous découvrons avec une confiance grandissante que le Seigneur est bien celui qui nous aide véritablement à guérir.
1 Jean 4.18 nous donne cet encouragement: «Il n’y a pas de peur dans l’amour; au contraire, l’amour parfait chasse la peur, car la peur implique une punition. Celui qui éprouve de la peur n’est pas parfait dans l’amour.» Même si notre passé est extrêmement douloureux, il est possible que nous résistions malgré tout au changement et à la liberté qui peuvent être trouvés lorsque nous adoptons les principes de la clé spirituelle 1. À cause de notre peur de l’inconnu ou de notre manque de motivation causé par un sentiment de désespoir, ou encore d’un sentiment de culpabilité et d’inutilité, nous fermons notre esprit à la possibilité d’un réel changement positif.
Toute cette énergie que nous avons mise à rester dans notre déni, si nous l’utilisons maintenant pour apprendre la vérité de Dieu, nous développerons un amour sain à l’égard des autres et de nous-mêmes. Plus nous apprendrons à dépendre de notre Toute-Puissance, Jésus-Christ, plus nous verrons la lumière de la vérité et de la réalité. C’est pourquoi nous devons proclamer le message exprimé dans Psaume 146.7-8.
La caractéristique suivante du DÉNI est qu’il NEUTRALISE LA CROISSANCE. Voir Psaume 107.13-14 (page 152).