Un guide pour savourer l’été Un concert ou un festival ? Une envie de balade ou de baignade ? Passion pour le patrimoine ou penchant pour la cueillette de fruits en famille ? Ce guide d’été de Nantes Métropole vous propose un agenda d’été bien fourni où trouver matière à passer un bon moment ainsi que 50 propositions de découvertes insolites sur les 24 communes de la Métropole, dans le vignoble, sur la Loire ou sur la côte. Bel été à toutes et tous !
Blanc (typo blanche) LOGOTYPE 2015 Blanc Métropole
Nantes Métropole, 2 cours du Champ-de-Mars 44923 Nantes CEDEX 9. Directrice de la Publication : Johanna Rolland. Codirecteur de la publication : Mathieu Baradeau. Rédacteur en chef : David Pouilloux. Direction artistique & mise en page : Olivier Leprévost. Photographes : Christiane Blanchard, Franck Tomps. Journalistes : Isabelle Pin, Sandrine Lemoalle, Isabelle Corbé, Gwenaëll Lyvinec. Assistante : Audrey Lehazif. Ont collaboré à ce numéro : Fabien Le Dantec. Éditeur : Direction de la communication de Nantes Métropole. Le logotype Nantes Métropole est une entité immuable, dont les transformations envisageables sont définies dans la charte graphique. Toutes autres interprétations graphiques de l’identité visuelle sont interdites. Pour tout complément d’information, contactez le Service Communication externe de Nantes Métropole.
PART. #1 L’AGENDA
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PART. #2 + 50 SORTIES
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INSOLITES
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LE GUIDE D’ÉTÉ
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LeVoyageàNantes
revientsurprendre LE VOYAGE À NANTES, QUATRIÈME ÉDITION ! Depuis le vendredi 3 juillet, grâce à un parcours de 12 kilomètres combinant propositions artistiques, lieux patrimoniaux et sites remarquables, les touristes et les habitants sont appelés à devenir (ou redevenir) explorateurs d’une ville encline à surprendre, séduire, distraire. « Une ville revisitée et renversée par les artistes », comme le résume Fabrice Roussel, viceprésident de Nantes Métropole délégué au tourisme. Par rapport aux précédentes éditions, certaines animations sont reconduites, comme les enseignes des commerces, les installations in situ, les playgrounds ou le Poussin de Claude Ponti, tandis que des initiatives voient le jour, notamment le parcours «Nantes-Clisson » dans le vignoble nantais. « Le concept de la manifestation, nous l’avons, nous le travaillons, nous le renforçons », estime Jean Blaise, directeur du Voyage à Nantes. Pour cela, nous disposons d’un dispositif culturel intéressant, composé d’institutions qui collaborent à cet événement, dont le Muséum d’histoire naturelle, le Lieu Unique, le Château des Ducs, le Musée des Beaux-Arts de Nantes, le Musée Jules Verne, le Grand T. » Cet été, le visiteur peut redécouvrir le cours Cambronne ou profiter des collections du Musée des Beaux-Arts, exposées gratuitement dans le cadre du Musée nomade. L’opportunité lui est aussi offerte d’accéder à des lieux inédits, comme une péniche sur le canal Saint-Félix, ou encore des sites inhabituels, comme le théâtre Graslin. « C’est important que certains lieux puissent s’ouvrir : c’est une façon de les démocratiser. La ville possède un patrimoine, et il faut qu’il soit accessible. » • Isabelle Corbé
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LE GUIDE D’ÉTÉ
Vincent Mauger Visible l’été dernier place du Bouffay, la sculpture toute en pieux de bois hérissés de Vincent Mauger fait une réapparition, cette fois-ci pérenne. En effet, Résolution des forces en présence a trouvé un emplacement à sa mesure, juste à côté des anciennes cales de lancement des bateaux.
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DES INSTALLATIONS ARTISTIQUES IN SITU « Tout à coup, surgissent des installations artistiques surprenantes. » Constitutives du concept de Voyage à Nantes, ces œuvres in situ, souvent monumentales, parfois déroutantes, participent de l’animation de l’espace public. La place du Bouffay est coutumière du phénomène. Cette année, en écho aux nombreuses terrasses des cafés limitrophes, le sculpteur Baptiste Debombourg a imaginé une envolée de chaises formée de deux ellipses. Le théâtre Graslin est aussi familier de ces interventions plasticiennes revigorantes. Après les larges rubans chromatiques d’Elsa Tomkowiak accrochés en façade en 2014, place au dispositif lumineux du plasticien et homme de théâtre Aurélien Bory : intégrant les multiples rangées de fauteuils de la salle intérieure, Spectacula s’appréhende visuellement à partir de la
scène. En revanche, c’est la première fois que le cours Cambronne accueille une sculpture in situ : imaginée par Aymeric Caulay, étudiant post-diplômé des Beaux-Arts de Nantes : cette dernière consiste en une pelleteuse à l’échelle 1, élaborée façon « Lego » à partir de briques en terre cuite. Enfin, l’association Pick Up Production et l’artiste nantais Kazy Usclef font de nouveau montre d’imagination dans le choix du lieu que les plasticiens, illustrateurs et graffeurs sont conviés à investir intégralement : après l’ancien immeuble de la Mutualité transformée en « Villa Occupada » en 2014, c’est en effet une péniche, amarrée canal Saint-Félix et rebaptisée « Asie Riderz », que des plasticiens, originaires d’Asie ou fortement influencés par son esthétique, se sont employés à « occuper ».
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LE GUIDE D’ÉTÉ
L’esprit ludique règne dans la ville Vous avez apprécier de marquer quelques paniers à L’Arbre à basket, près des Nefs ? Vous avez adoré disputer des matchs de water-polo dans la piscine pleine de balles en plastique baptisée « Balapapa » ? Alors, venez découvrir Feydball, installation étonnante élaborée par l’agence nantaise d’architecture BarréLambot. Du fait de sa forme courbe, ce terrain de foot, installé sur l’esplanade du Carré Feydeau (d’où son nom, contraction de Feydeau et football), va mettre à rude épreuve les amateurs de ballon rond, lesquels vont devoir s’adapter à ce terrain de jeu atypique, qui plus est légèrement pentu. De surcroît, face au public, un miroir cylindrique aux effets anamorphiques redonne sa forme normale au terrain de foot tout en déformant évidemment les silhouettes des footballeurs ! À expérimenter ! Visant lui aussi à donner à Nantes « cette dimension d’une ville ludique qui n’est pas confite dans son patrimoine », comme le rappelle Jean Blaise, le second nouveau playground a atterri au pied de la Grue jaune : imaginé par l’agence Détroit Architectes, conçu avec l’aide de l’artiste Bruno Peinado, On va marcher sur la lune figure une sphère molle et argentée, émaillée de nombreux cratères qui abritent des trampolines ! Enfin, propice aux sensations fortes, Le Skate Ô Drome coiffe le toit-terrasse de l’École nationale supérieure d’architecture. Pensée par Unity 4 Ride, association nantaise promouvant les sports extrêmes, cette installation relève d’un mélange de piste d’athlétisme, de vélodrome et de skatepark, qui s’adresse autant aux débutants qu’aux riders confirmés !
Taturo Atzu sous toutes les facettes Drôle de personnage que ce Taturo Atzu ! Enclin à changer de nom comme de chemise, un jour Tatzu Nishi, le lendemain Tazro Niscino, cet artiste japonais s’est rendu célèbre, dans nos contrées, par sa Villa-Cheminée, créée à Cordemais : appartenant à la collection d’art contemporain Estuaire, ce pavillon de 16 m2 avec jardinet, planté en haut d’une tour de 15 mètres de haut, est proposé à la location. C’est également lui qui, il y a quelques années, avait recouvert la fontaine de la place Royale d’un baraquement complété par une chambre d’hôtel kitsch ! Se plaisant à croiser des notions habituellement opposées (privé et public, beau et laid, bon et mauvais goût, sérieux et caustique, païen et sacré, historique et anecdotique), Taturo Atzu présente sa première exposition d’envergure en France, intitulée « Solo Group Show », en écho à ses nombreux patronymes artistiques. Dans l’espace de la Hab Galerie aménagé par ses soins, seront notamment visibles les photographies réalisées ces derniers mois dans la ville de Nantes. Lesquelles mettent en scène divers personnages, humains ou statues, coiffés d’une multitude d’objets empilés symbolisant leurs envies, leurs soucis, leurs pensées. En outre, par le biais d’une installation présentée au Musée Jules Verne, Taturo Atzu rend hommage à l’écrivain d’origine nantaise dont il est fan. « Solo Group Show » à la Hab Galerie, au Hangar à Bananes, jusqu’au 30 août.
Et si on (re)découvrait le vignoble ? « Le Vignoble nantais est l’un des éléments de l’attractivité de la ville de Nantes », assure Jean Blaise. D’où l’idée de mettre en valeur ce territoire traversé par la Sèvre, où rayonne, en outre, un petit joyau : Clisson l’Italienne. Parcours jalonné de huit étapes, Le voyage dans le vignoble relie des sites naturels (La Chaussée des Moines à Vertou ; La Butte de la Roche, haute de 47 mètres, au Loroux-Bottereau), des éléments patrimoniaux (le château de Goulaine à Haute-Goulaine ; Le Domaine de la Garenne-Lemot à Gétigné), des villages de caractère (Château-Thébaud, dont une ancienne carrière abrite la base de loisirs de Pont Caffino) ainsi que des caves atypiques (Le château du Coing, à Saint-Fiacre). « À terme, des points de vue pour certaines de ces étapes vont être aménagés, notamment les abords du moulin à papier du Liveau, à Gorges. » En complément à cet itinéraire de Nantes à Clisson, auquel va correspondre un plan distinct, divers événements culturels ou culinaires vont se dérouler dans le vignoble nantais : Jazz sur lie / Orchestra Day sur les rives de Pont Caffino, à Château-Thébaud et Maisdon-sur-Sèvre (dimanche 26 juillet, de 11 h à 22 h, gratuit) ; Le Champ des producteurs, marché réunissant les meilleurs d’entre eux à Vertou (dimanche 12 juillet, de 12 h à 20 h) ainsi qu’un « Dîner secret », élaboré à partir de trois produits locaux par deux grands chefs et servi à 200 convives dans un lieu dévoilé au dernier moment (lundi 20 juillet, renseignements sur www.nantestourisme.com et au 0892 464 044).
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LE GUIDE D’ÉTÉ
Jeu vidéo avec Ultima au Lieu Unique Composée par l’artiste/curateur Pierre Giner, cette exploration de l’univers protéiforme du jeu vidéo prend appui sur la présentation d’une centaine de consoles, dont certaines mythiques, ainsi que l’évocation de jeux cultes et de personnages célèbres. De l’apparition de Pong aux dernières créations avec lunettes de réalité virtuelle, en passant par le hardware et les gameplays, cette exposition retrace l’histoire de ce secteur. Jusqu’au 20 septembre. http ://www.lelieuunique.com.
Le Poussin de Claude Ponti Le Jardin des plantes n’en a pas fini avec l’illustrateur et auteur de littérature de jeunesse Claude Ponti, et c’est tant mieux ! Non seulement le célèbre Poussin continue à faire la sieste pour le plus grand bonheur des badauds (1 million de visiteurs à ce jour), mais, en outre, il revient accompagné d’un comparse ! Cette année, le public du « Jardin déjanté » pourra également faire tinter les Clochers-Pots, faire entendre Simone-la-voix-de-la-gare, se détendre parmi les mille Cousspoussins ou se banlançer ! Jusqu’au 1er novembre.
Claude Cahun à la Médiathèque Jacques Demy
LE TRAMWAY A 30 ANS Le tramway nantais souffle ses trente bougies d’une façon pour le moins originale et convie Yasmina Abid (la Cale 2 Créateurs) à investir 30 stations pour exposer en grand format 30 photographies qui invitent à redécouvrir la ville. Renseignements sur www.levoyageanantes.fr
Musée nomade Comme à l’accoutumée, les collections du Musée des Beaux-Arts de Nantes s’adonnent au nomadisme, sous l’égide, cette année, de l’artiste québécois Jocelyn Robert. Lequel a composé un parcours nommé « Interférences », décliné en quatre propositions aux titres explicites : « Portraits » au Temple du Goût, « Corps » dans le passage Sainte-Croix, « Espace » à la Maison régionale de l’architecture des Pays de la Loire et « Nomenclature » au Muséum d’histoire naturelle.
Célèbre pour ses autoportraits mis en scène, habituée des cercles surréalistes et amie d’André Breton, l’artiste Claude Cahun est née à Nantes, en 1894. Issues des collections municipales, les photographies, œuvres graphiques, publications et correspondances, présentées à la Médiathèque Jacques Demy, mettent en lumière la diversité de sa pratique artistique. L’exposition rappelle également l’engagement de Claude Cahun, tant dans son art qu’en politique, puisqu’elle s’est illustrée, durant la Seconde Guerre mondiale, par des actes de Résistance, à Jersey. Jusqu’au 31 octobre.
Charles de La Fosse à la Chapelle de l’Oratoire Intitulée « Les amours des dieux », l’exposition estivale de la chapelle de l’Oratoire est dédiée au peintre, dessinateur et grand décorateur Charles de La Fosse (1636-1716), avec un intérêt plus particulier pour ses œuvres mythologiques. Dans ces tableaux peints au tournant du XVIIe et du XVIIIe siècle, certains motifs récurrents reviennent : la figure du Roi Soleil ou encore les amours galantes des dieux. Jusqu’au 20 septembre.
De nouvelles enseignes apparaissent Lancé en 2014, le concept consistant à inviter des artistes à réinterpréter librement les enseignes de commerces nantais est reconduit. Cette année, c’est au tour de l’Anglais Gavin Pryke, de Grégoire Romanet et du Gentil Garçon de se frotter à cet exercice, pour des propositions créatives et apparitions inattendues suspendues, çà et là, aux frontons de plusieurs boutiques du centre-ville. De nouveau, la rue Joffre se distingue en accueillant Automates à l’unisson, installation qui retrace la chronologie amoureuse d’un couple en plusieurs tableaux. Emplacements des enseignes dans un dépliant dédié.
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LES FLAMANDS ET LES HOLLANDAIS AU CHÂTEAU Jusqu’au 30 août
Château des Ducs, Nantes
Plein feu sur les collections flamande et hollandaise du Musée des Beaux-Arts de Nantes grâce à une exposition de soixante-cinq chefsd’œuvre, visible en ce moment au Château des Ducs de Bretagne. La richesse artistique des Pays-Bas aux XVIe et XVIIe siècles transparaît au travers de la diversité des sujets traités : des peintures mythologiques et religieuses, des portraits par Pourbus et Voet, des paysages de Fouquières et Lytens, des marines, des scènes de genre dues à Droochsloot et Wouwerman ou encore des natures mortes peintes par Claesz et Coninck. Par ailleurs, cette collection compte quelques grands artistes de cette époque, parmi lesquels Jan Brueghel, Rubens ainsi que Govert Flinck et Jürgen Ovens, illustres élèves de Rembrandt. Intervenant parallèlement à son exposition Solo Group Show, à la Hab Galerie, le Japonais Taturo Atzu bouscule les conventions muséales usuelles en effectuant un accrochage de quelques tableaux flamands pour le moins surprenant ! À noter que l’exposition Flamands et Hollandais donne lieu à l’édition d’un catalogue. Jusqu’au 30 août, de 10 h à 19 h, sept jours sur sept. Accès dans la cour du Château des Ducs, de 9 h à 20 h. Nocturnes le samedi jusqu’à 23 h. www.chateaunantes.fr.
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LE GUIDE D’ÉTÉ
Pass annuel des musées
Du poulet à la cantine Sur les tables en bois de La cantine du Voyage, un plat unique, du poulet accompagné de pommes de terre. Pour le reste, les ateliers slow food, la librairieépicerie, les Baby-foot, les terrains de pétanque et les transats sont fidèles au rendez-vous de ce lieu convivial emblématique du Voyage à Nantes.
Grâce à l’acquisition d’un pass donnant accès, toute l’année, à l’un des Musées de la Ville de Nantes (Muséeum d’histoire naturelle, Musée Jules Verne, Planétarium, Château des Duc de Bretagne, Musée des Beaux-Arts de Nantes), vous pourrez, durant les deux mois du Voyage à Nantes, accéder gratuitement à l’ensemble des musées partenaires de la manifestation. Tarif : 10 € aux accueils-billetteries des musées.
Jusqu’au 20 septembre, 7 jours sur 7. Formule unique (entrée + plat + boisson) : le midi, 10€ ; soir, 13 €.
Le Nuit Bretonne Estuaire en croisière Au nombre de 29, les œuvres du Parcours Estuaire valent d’être découvertes, ou appréhendées, au fil d’une croisière, au départ de Nantes ou Saint-Nazaire, en aller simple ou aller-retour. De surcroît, cette balade fluviale offre l’occasion de s’immerger au cœur d’un territoire méconnu et fascinant, combinant réserves naturelles riches en faune et flore, villages situés sur les rives et bâtiments industriels. Croisière (aller simple) : de 12 à 22 €. Journée Estuaire (allerretour) : de 20 à 30 €. Renseignements et réservations : www.nantestourisme.com, www.marineet loire.fr, 02 40 75 75 07 ou 02 40 69 40 40.
Conçue en partenariat avec Le Nouveau Pavillon, à Bouguenais, et l’Agence culturelle bretonne, cette 4e édition de La Nuit Bretonne innove en proposant un fest-noz alternatif, imaginé par les musiciens de BivOAc**** et les danseurs de la compagnies 24 X 27. Avec les concerts de Dervish, les sonneurs DayotDefernez, la formation Dour-Le Pottier Quartet et le duo Krismenn-Alem. Samedi 25 juillet, de 18 h 30 à minuit, dans la cour du Château. Tarifs : de 5 à 9 €. Gratuit pour les moins de 12 ans.
« Le Voyage magique » Abracadabra ! Tout l’été, la magie va régner sur le quai François Mitterrand, à proximité du Lieu Magique, où règne l’inégalable Max Zargal, instigateur d’une proposition inédite : « Le Voyage magique ». Chaque samedi soir, des spectacles de magie et de rue gratuits vont distraire les Nantais et les touristes, un point d’orgue étant annoncé le 15 août, avec la présence de magiciens de renommée internationale, tels Ted Mc Koy, Gary Knight, Tod Various et Dan Marques. En outre, les néophytes et amateurs pourront apprendre ou opérer quelques tours de passepasse lors d’ateliers programmés en journée autour de la table conçue spécialement par les graphistes nantais du studio The Feebles. Du 11 juillet au 22 août, chaque samedi, à 20 h 30, quai François Mitterrand, Nantes. Gratuit. Ateliers de magie, du 4 juillet au 30 août, du mercredi au dimanche, de 16 h à 19 h. www.lelieumagique.com
Un « diabolo menthe » à Orvault !
Du 15 juillet au 14 août, les parasols et les transats vont fleurir dans le centreville d’Orvault. Servi du mardi au samedi, aux abords de la médiathèque Ormédo, du centre culturel de la Gobinière et de la piscine municipale de la Cholière, Diabolo Menthe consiste en un cocktail de culture, de sport, de jeux et de convivialité, relevé d’une large dose de farniente, à consommer sans modération. Du 15 juillet au 14 août. Gratuit. Renseignements sur les activités et les horaires sur www.orvault.fr
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DE RICHES PÉRÉGRINATIONS CULTURELLES DANS LA VILLE À partir du 7 juillet, la ville de Nantes passe « Aux heures d’été », nom du festival estival proposé depuis 2005 dans les différents parcs et jardins du centre-ville et des quartiers. Axée sur les cultures d’ici et d’ailleurs, la programmation alterne concerts intimistes, soirées festives, séances de cinéma, spectacles musicaux pour les enfants et lectures digestives. Soit, en tout, 36 spectacles répartis sur 6 semaines. Cette année, en raison des travaux en cours au square du Maquis de Saffré, la scène destinée aux concerts du jeudi soir est exceptionnellement déplacée sur le cours Saint-Pierre, juste derrière la cathédrale de Nantes. Enfin, comme à l’accoutumée, le festival se clôt par un grand bal populaire dans la cour du Château des Ducs de Bretagne : prévue le 14 août, à 21 h 30, cette soirée festive est placée sous la houlette d’Aziz Sahmaoui & University of Gnawa.
Chaque mardi, à 20 heures, concerts intimistes dans les douves du Château : le 7 juillet, Trio
Anne-Gaël Gauducheau ; 12 août, « Bal des petits cocos », par le Bal bel air de forro.
Chemirami (percussions persanes) ; le 14 juillet, Trio Reijseger Fraanje Sylla ; le 21 juillet, German Diaz – Metodo Cardiofonico (jazz galicien) ; le 28 juillet, Ekko (jazz onirique) ; le 4 août, Rhizottome (jazz vagabond) ; le 11 août, Bijan Chemirani et Kevin Seddiki (rêverie orientale).
Chaque mercredi soir, vers 22 h 30, séance de cinéma en plein air : 8 juillet, La Cour de Babel de Julie
Chaque jeudi, à 20 h, soirées plus festives cours Saint-Pierre : 16 juillet, Charkha (jazz breizhoriental)/Avaz (Perse bretonne) ; 23 juillet, Forabandit (transe turcooccitane) ; 30 juillet, Trio Sabil (musique classique arabe d’aujourd’hui) / Alsarah & The Nubatones (groove nubien) ; 6 août, Cykadelic & Ousmane Aq Oumar (musique cosmique du désert) / Bko Quintet (musique actuelle malienne).
Bertuccelli, à l’hippodrome du Petit Port ; exceptionnellement, le jeudi 9 juillet, Paris, Texas de Wim Wenders, au Jardin des plantes ; 15 juillet, Tel père, tel fils de Hirokazu Kore-eda, au bassin des Dervallières ; 22 juillet, May in the summer de Cherien Dabis, au parc de la Meta, à Bellevue ; 29 juillet, The Lunch Box, de Ritesh Batra à Port Boyer ; 5 août, The we and the I, de Michel Gondry, parc de la Crapaudine, au Clos-Toreau ; 12 août, Chico et Rita, de Fernando Trueba & Javier Mariscal, Bottière-Chénaie.
Chaque vendredi, vers 13 h, des lectures au Jardin des plantes : 10 juillet, Sorour Kasmaï ; 17 juillet,
Chaque mercredi, à 16 h, dans le val de Chézine, pour les tout-petits : 8 juillet, « Le bateau de
Laurence Vilaine et Simon Mary ; 24 juillet, Jean-Luc Raharimanana ; 31 juillet, Claudine Bonhommeau ; 7 août, Sara Charrier ; 14 août, Jérôme Brethomé.
Nino », Hélène Bohy et Olivier Caillard; 15 juillet, « Enfantines », Aimée de la Salle et Serena Fissau ; 22 juillet, « Sakay », Jean-Luc Raharimanana ; 29 juillet, « Le cabinet des curiosités », Armelle et Pepo Audigan ; 5 août, « Afongandjia »,
11e édition d’« Aux heures d’été », du 7 juillet au 14 août. Renseignements sur www.auxheuresete.com
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LE GUIDE D’ÉTÉ
Rencontre Mauves-surlittéraire en Loire bord de mer photographiée par les habitants
Mauves-sur-Loire. Depuis quelques années, durant l’été, les rues et les environs de Mauves-sur-Loire se parent de multiples clichés. Présentant jusqu’alors des portraits des habitants photographiés par un professionnel dans des situations particulières (en groupe, en famille ou en héros d’un roman-photo), cette exposition se double désormais d’un concours, ouvert aux Malviens ainsi qu’aux habitants des communes extérieures. Lesquels vont partager leur vision de Mauves via une photographie d’un lieu emblématique (pont de Mauves, salle du Vallon, le presbytère, les bords de Loire...), d’une situation atypique ou d’un aspect méconnu de la ville. Tout l’été, les passants et promeneurs peuvent évaluer la trentaine de photographies numérotées, exposées sur des bâches extérieures un peu partout dans la ville, et voter pour celles qu’ils préfèrent. Exposition tout l’été, dans les rues de Mauves-sur-Loire. Rens. sur www.mauvessurloire.fr
Depuis 18 ans, à l’instigation de la maison d’édition nantaise Joca Seria, des romanciers, poètes, essayistes, éditeurs, critiques, traducteurs et universitaires du monde entier se retrouvent, chaque été, à La Baule, afin d’échanger autour de grandes questions artistiques et sociétales de notre époque. Du 15 au 19 juillet, cette 19e édition d’Écrivains en bord de mer rend hommage à James Joyce qui, en septembre 1939, séjourna quelques jours à La Baule en compagnie de sa femme Nora. Cette évocation de l’écrivain irlandais va prendre la forme de lectures, tables rondes, conférences et projections de films (Les Gens de Dublin de John Huston). Durant cette villégiature littéraire, les figures de Roland Barthes et de Raymond Carver ainsi que la poésie américaine contemporaine vont également faire l’objet d’échanges. Parmi les écrivains présents, les Français Philippe Forest, Yannick Haenel, Thiphaine Samoyault et Charles Juliet, et les Américaines Anne Waldamn et Claudia Rankin. Du 15 au 19 juillet, chapelle Sainte-Anne, La Baule. www.ecrivainsenborddemer.fr
Pour guincher, c’est au Bastringue ! Indre. Chaque été, la veille de la Fête nationale, l’esprit guinguette revient rôder en bord de Loire, sur les quais d’Indre. Rendez-vous incontournable pour nombre de participants, le Bastringue, organisé par la ville d’Indre avec la complicité de l’association La Compagnie des Indre, invite à guincher sous les lampions suspendus sur la place Odette Nilès. Libre à chacune et chacun de venir avec son pique-nique ou de partager le banquet proposé (menu unique entrée/plat/dessert 10 euros), de rejoindre la piste de danse encouragé par le jazz manouche décalé dispensé par Les Fils Canouches ou de profiter des nombreuses animations qui, de manière impromptue ou continue, vont émailler la soirée. Parmi ces dernières : la fanfare Auprès de ma blonde, le Manège Titanos, la Compagnie 1 Watt avec leur création burlesque Parfait État de marche, et, enfin, une performance de la compagnie Tantôt, laquelle, à cette occasion, va projeter les 8 films réalisés en mars dernier autour des péripéties indraises d’une marionnette à taille humaine, prénommée... Tantôt ! Le lundi 13 juillet, à partir de 19 h, place Odette Nilès, Indre. Bal à 22 h. Banquet sur réservation. Rens. www.indre44.fr.
Du 2 au 30 août,
le dimanche de 14 à 18 h. Gratuit.
Une halte dominicale au Château du Pé
Saint-Jean-de-Boiseau. Au Château du Pé, à Saint-Jean-de-Boiseau, le visiteur peut profiter du beau point de vue sur la Loire, arpenter le parc boisé de 7 hectares, s’amuser de l’œuvre intitulée Did I miss something, installée, en 2012, dans le grand bassin par l’artiste hollandais Jeppe Hein. Découvrant l’intérieur de ce château daté du XVIIIe siècle, il est, par ailleurs, invité à découvrir les six chambres d’artistes, aménagées en 2010 par des plasticiens de renom, dans le cadre du projet d’art contemporain Estuaire. Ou, à faire connaissance, cet été, avec les aquarelles de Raphaël, ancien étudiant en architecture à Nantes qui s’emploie à représenter avec sensibilité et minimalisme la Loire et ses vestiges industriels, la base sous-marine de Saint-Nazaire, les paquebots amarrés à Donges. Dans le parc du château, la parenthèse estivale se clôt rituellement par les Conviviales du Pé : le dimanche 29 août, attendez-vous à y croiser du théâtre jeune public (« Hôtel des Hortensias », à 16 h 30), du cirque acrobatique burlesque (« Entre le zist et le geste », à 18 h), un quatuor a capella et un trio a capella (« Allez les filles ! » et « Garçons s’il vous plaît ! », à 19 h), et, pour terminer, du théâtre péplum par la compagnie Pare-choc (« Les nouveaux antiques », à 21 h). Exposition d’aquarelles de Raphaël, de 2 au 30 août, le dimanche de 14 à 18 h. Gratuit. Les Conviviales du Pé, le dimanche 29 août, à partir de 16 h 30. Pique-nique ou restauration sur place. Rens. www.saint-jean-de-boiseau.fr/
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Roche Ballue L’AGENDA La s’anime LE GUIDE D’ÉTÉ
UNE INSTALLATION D’HECTOR ZAMORA AU FRAC Carquefou. En ce moment, la grande salle du Frac des Pays de la Loire est occupée par un impressionnant campement labyrinthique, composé de dix-sept caravanes aux ouvertures obstruées par des planches en bois. Au sein de cette installation monumentale inédite, le visiteur n’a d’autre alternative que de déambuler, errer, se perdre... Telle est la proposition artistique d’Hector Zamora, artiste mexicain remarqué, ces dernières années, pour ses œuvres sculpturales réalisées en lien étroit avec l’espace urbain environnant, notamment à Mexico, Bogota, San Diego ou Venise. Souvent conçues à partir de matériaux simples, comme des tôles, des briques, des bâches en plastique, des pneus et des bidons, les structures éphémères d’Hector Zamora intègrent aussi sou-
vent des éléments récurrents des habitats de fortune, par exemple des caravanes, des cabanes ou des auvents. Par ailleurs, l’humain y tient régulièrement un rôle primordial, invité, notamment, à interagir avec l’œuvre et à apporter sa contribution au processus créatif. Jusqu’au 11 octobre 2015, du mercredi au dimanche, de 14 h à 18 h, au Frac des Pays de la Loire, 24 bis boulevard Ampère, La Fleuriaye, Carquefou. Tél. 02 28 01 50 00
tout l’été
Envie de piquer une tête dans l’eau, contempler des oiseaux, se faire une toile, se balader dans la nature, assister à un concert ou un spectacle de clowns ? Pensez... La Roche Ballue !
Jusqu’au 30 août, l’entrée à l’ancienne carrière réhabilitée en site naturel de loisirs donne accès à nombre d’animations : activités aquatiques « Tous à l’eau » (le lundi, à 11 h 30, à partir de 8 ans), des balades-découvertes de la faune et de la flore du site (le mardi, à 14 h 30), des initiations à l’environnement (le mercredi, à 14 h), des jeux de plein air (le jeudi, à 14 h, de 6 à 12 ans), des observations ornithologiques (tous les jours, de 16 h à 18 h 30, les samedis et dimanches, à partir de 14 h 30). En outre, chaque vendredi, les propositions distillent un parfum de fête grâce à des séances de cinéma (les 10 juillet et 21 août, 3,50 €), une prestation clownesque par Gérard Mulet, alias Clinty (14 août, à 16 h), un spectacle de contes, Sauve qui peut , par la compagnie du Caillou (7 août, à 17 h) et des concerts : la formation nantaise Bermudi Brass Band (le 24 juillet, à 17 h) et le duo blues & rock formé par Kevin Doublé et Thomas Troussier (le 31 juillet). Animations estivales du 4 juillet au 30 août, de 10 h 30 à 20 h 30. Saison payante jusqu’au 6 septembre. Tarifs : 6 à 15 ans : 1,50 € / 16 ans et plus : 3 € / Moins de 6 ans et Bouguenaisiens de moins de 16 ans sur présentation de la carte piscine : gratuit / Carte 10 entrées : 20 €. Transports en commun : ligne 99 (arrêt Roche Ballue). Renseignements : 02 40 32 29 41 ou www.ville-bouguenais.fr
QUAND ART ET NATURE SE RENCONTRENT Jusqu’au 27 septembre 2015,
tous les jours, de 9 h à 18 h, sur le site des Renaudières, à Carquefou.
Pour le troisième été consécutif, le site des Renaudières, espace naturel de 1,5 hectare au riche patrimoine historique et architectural, est valorisé grâce à un parcours artistique composé de huit œuvres monumentales disséminées. Après Structure(s) en 2014, la mairie carquefolienne a proposé aux artistes de cogiter sur le thème des « Illusions des espacestemps ». Résultat : une édition d’« Art et Nature » qui prend la forme d’une balade sensorielle combinant illusions d’optique, environnements phoniques et sensations olfactives. Intégrant l’œuvre de Pierre-Alexandre Remy, Echo au chaos, installée à l’extérieur du Frac Pays de la Loire, le parcours s’articule entre « La rose des vents » du collectif marseillais La grande Tombola, une « Fontaine moquette » sonore par l’artiste nantais Luc Kerléo, des « Pulsations » au cœur d’un arbre par le Collectif Scénocosme
de Saint-Etienne et « aTOPIQUEb », une installation in situ en film polyéthylène du Nancéen Pascal Brateau, qui s’est inspiré des vestiges de l’orangerie proche. Sont également programmés un parcours paysager conçu par les agents du Centre technique de la Ville, des ateliers scolaires et une exposition de maquettes réalisées par les élèves de l’École du design Nantes Atlantique. Jusqu’au 27 septembre 2015, tous les jours, de 9 h à 18 h, sur le site des Renaudières, à Carquefou. Visites commentées sur réservation à la direction de l’action culturelle : au 02 28 22 24 43 ou à culture@mairie-carquefou.fr Renseignements : www.carquefou.fr/art-nature
PART.#1
L’AGENDA PAGE 18
LE GUIDE D’ÉTÉ
DES DINOSAURES AVEC DES PLUMES ! Il y a 125 millions d’année, durant l’ère du Crétacé, une catégorie singulière de dinosaures est apparue dans la province du Liaoning, en Chine. En effet, ces « terribles lézards » étaient couverts de plumes ! S’il est avéré que le Cardipterix zoui, bien que doté de plumes, ne pouvait voler, il n’en est rien de ses congénères, qui ne pratiquaient, en revanche, que le vol plané : c’est le cas de l’Anchiornis, aux ailes griffues et à la longue queue squelettique, ou encore de l’Anchiornis huxleyi, qui, apparu à l’ère jurassique, était pourvu de quatre ailes. « Les oiseaux sont des dinosaures » nous rappelle-t-on, au cours de l’exposition « Plumes de dinosaures ! », proposée par le Muséum d’histoire naturelle de Nantes, le plus célèbre d’entre ces volatiles préhistoriques ayant été découvert en 1860, dans des carrières, en Bavière. À quoi ressemblait un écosystème d’il y a plus de 120 millions d’années ? Le prêt de spécimens et fossiles rarissimes par le Musée paléontologique du Liaoning permet d’apporter une réponse et de faire connaissance, par exemple, avec les plus anciennes plantes à fleurs au monde ou encore les premiers insectes pollinisateurs. En fin de parcours, un film d’animation fait revivre une zone lacustre de l’ère crétacé, habitée de nombreux Anchiornis et autres dinosaures à plumes. • IC Muséum d’histoire naturelle, 12 rue Voltaire, Nantes. Exposition jusqu’au 3 janvier 2016. Tous les jours (sauf le lundi, le 14 juillet et le 15 août), de 10 h à 18 h. Tarif : de 2 à 3,5 €. www.museum.nantes.fr
UNE FORMIDABLE MÉNAGERIE MÉCANIQUE
Quoi de neuf aux Machines de l’Île, projet issu de l’imagination de François Delarozière et Pierre Orefice, qui, depuis 2007, sur le site des anciens chantiers navals, accueille de bien étranges créatures en bois et en acier ? Et bien, Le Carrousel des Mondes marins compte un nouveau pensionnaire, le Poisson-Coffre qui, début 2015, a rejoint le Crabe géant, le Poisson-Pirate, le Calamar à rétropropulsion, les Méduses et la Raie manta ! À l’instar de deux autres installations, le Nautile et l’Engin d’exploration, le Poisson-Coffre peut s’immerger dans les entrailles du Carrousel, au quatrième niveau, avec, à son bord, quatre explorateurs des abysses! Pour le reste, la ménagerie de la Galerie des Machines est au grand complet : le Grand Éléphant, évidemment, qui, du haut de ses 12 mètres, ne rechigne pas à faire un petit tour, avec 50 personnes grimpées sur son dos ou logées dans son « ventre » ; le Héron, long de 8 mètres, qui effectue fréquemment des vols dans la galerie des Machines ; la Fourmi géante, dont les pattes, la tête et les mandibules peuvent être, occasionnellement, actionnées par quatre passagers. Tous évoluent dans un environnement peuplé de bestioles mécaniques et autres structures végétalisées, dont une branche de 20 tonnes et 20 mètres de long, sur laquelle le public peut déambuler à la fin de sa visite : il s’agit de la Branche prototype du futur Arbre aux hérons. La Galerie des Machines et Le Carrousel des Mondes Marins, tous les jours, de 10 h à 19 h, jusqu’au 30 août. Voyage en Éléphant ou Galerie des machines : de 5,50 à 8,50 € (tarif famille proposé). Carrousel des Mondes Marins : de 3 à 8,50 € (tarif famille proposé). http ://www.lesmachines-nantes.fr
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Portraits de femmes par Titouan Lamazou Jusqu’au 25 juillet,
du mercredi au samedi, de 14 h à 19 h, à la Galerie Le Garage
« Le voyage et la femme » : c’est sous cet intitulé que Titouan Lamazou présente, coup sur coup, deux expositions à la galerie nantaise le Garage, toutes deux consacrées à l’un de ses sujets de prédilection : les portraits de femmes. La première exposition présentait exclusivement des dessins et tableaux. La seconde, visible jusqu’au 25 juillet, regroupe des photographies du navigateur. Également peintre et écrivain officiel de la Marine, Titouan Lamazou n’a de cesse, durant ses périples aux confins du monde, d’en dresser un état des lieux subjectif. Reconnu pour son engagement en faveur des droits des femmes, il mène, en 2011, un projet singulier : partir à la rencontre des femmes victimes des conflits au Congo-Kinshasa afin de donner un autre visage aux drames humains que connaît la région des Grands Lacs. Des expériences de vie complexes et sensibles qu’il se plaît à raconter en apportant un soin particulier au choix des lumières et des couleurs. Jusqu’au 25 juillet, du mercredi au samedi, de 14 h à 19 h, à la Galerie Le Garage, 32 rue Scribe. 02 51 84 16 36. www.legarage-galerie.fr
PART.#1
L’AGENDA PAGE 20
LE GUIDE D’ÉTÉ
PierreAlexandre Rémy expose à Couëron Couëron. Depuis 2012, l’Espace culturel et associatif de la Tour à Plomb à Couëron programme une exposition estivale d’art contemporain. Succédant au plasticien Jean Bonichon, Pierre-Alexandre Rémy a pris en compte le volume singulier de la Cour Carrée avant de sélectionner deux de ses installations sculpturales, présentées sous l’intitulé « Scape the escape ». Sensible à « la notion de territoire physique, historique, structurel, virtuel », Pierre-Alexandre Rémy privilégie également les mélanges de matériaux dans ses sculptures. Interrogeant la relation et l’interaction entre espace, intervention artistique et corps du Du 4 juillet au 30 août les samedis et dimanches de 16h à 19h spectateur, Cour Carrée, Espace de la Tour à Plomb la démarche THE SCAPE IN ESCAPE de l’artiste de Pierre-Alexandre Rémy nantais entre en résonnance avec « Espèces d’espaces », un projet initié par la mairie de Couëron, au printemps, avec la résidence artistique de KMK. Ce projet vise, notamment, à ce que les habitants portent un regard différent sur des lieux familiers, grâce à la création d’une nouvelle balade couëronnaise, voulue moins historique et plus « sensible ».
Exposition
d’été
Renseignements au 02 40 38 32 11• www.ville-coueron.fr
Jusqu’au 30 août, les samedis et dimanches, de 16 h à 19 h, dans la Cour carrée, Espace culturel et associatif de la Tour à Plomb, quai Emile Paraf, Couëron. http ://coueron.info/La-tour-a-plomb
LE SOUND SYSTEM RÉSONNE AU PELLERIN Le Pellerin. Satisfaite du succès rencontré par la première édition du Dub Camp Festival (15 000 spectateurs sur trois jours), l’association nantaise Get Up ! réitère sa proposition d’une manifestation dédiée à la culture sound system, en réinvestissant un site apprécié par les festivaliers l’an dernier : les abords du canal de la Martinière, sur la commune du Pellerin. Du vendredi 10 au dimanche 12 juillet, une cinquantaine d’artistes originaires de France (Stand High Patrol et leur fameux Mc Pupajim, Blackboard Jungle), d’Italie, d’Espagne, d’Angleterre, mais également du Japon (Mighty Massa), des États-Unis (Black Redemption Sound) et d’Afrique du Sud (Kebra Ethiopia Sound), vont se produire sur les 15 sound systems artisanaux installés sous trois chapiteaux thématiques. Par ailleurs, bénéficiant du dispositif « réseau éco-événements » piloté par Nantes Métropole, le Dub Camp Festival met en œuvre plusieurs mesures éco-responsables : gestion des déchets en collaboration avec l’association Les Connexions, restauration à base de produits bio/locaux et issus du commerce équitable, utilisation de matériaux de récupération pour la scénographie et la décoration... Les vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 juillet, sur le site du Canal de la Martinière, au Pellerin. Pass journée 29 euros, pass 3 jours 75 euros. Camping sur site. www.dubcampfestival.com
LES SÉMAPHORES PAR LES PEINTRES DE LA MARINE En 1830, le statut de peintre officiel de la Marine voit le jour. De nos jours, 32 peintres titulaires et 17 peintres agréés participent aux opérations navales et aux missions de découverte, puis, restituent, dans leurs œuvres picturales, les paysages, la faune, la flore et les hommes rencontrés au cours des différents voyages et escales. Réunissant une quarantaine de leurs tableaux (gouaches, acryliques, aquarelles...), photographies et maquettes, l’exposition « L’homme, les signaux et la mer » aborde un sujet unique, les sémaphores, s’intéressant particulièrement à ceux qui ponctuent le littoral Atlantique. Au sein de ces outils indispensables à la surveillance maritime œuvrent les guetteurs sémaphoriques, surnommés les « anges gardiens »... Jusqu’au 20 septembre 2015, à la Maison des hommes et des techniques, 2 bis boulevard Léon Bureau. Du lundi au vendredi, de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h. Les samedi 4, dimanche 5, samedi 18 et dimanche 19 juillet, de 14 h à 18 h. Mardi 7 juillet, à 18 h 30, conférence « La Marine nationale en 2015 » par le capitaine Bernard Jacquet. Rens. 02 40 08 20 22 ou sur www.maison-hommes-technique.fr
Le patrimoine couëronnais, version numérique Aux trois carnets de balades que les randonneurs peuvent se procurer à la mairie de Couëron et dans les sites culturels de la ville, vient de s’ajouter une version numérique de la balade sur le patrimoine industriel, réalisée avec l’association Les boîtes vertes et leur application Baludik. À Télécharger gratuitement sur : http ://fr.baludik.fr/
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Visites du 4 au 14 juillet de 10 h à 18 h. Gratuit.
ESCALE NANTAISE POUR LE BELEM Emblématique de l’histoire de la ville, ancré dans la conscience collective des Nantais, le Belem revient régulièrement rendre visite au port nantais, où ce grand voilier de commerce français, le dernier du genre à naviguer, a été construit et mis à l’eau en 1896. Cet été, cet impressionnant trois-mâts, classé monument historique depuis 1984, fait, de nouveau, une escale d’une dizaine de jours à Nantes. Faisant désormais office de navire-école, avec, à son bord, 48 navigants encadrés par 16 membres d’équipage, il va être amarré au ponton éponyme, du 4 au 14 juillet, période durant laquelle des visites sont organisées. Le soir du 14 juillet, juste avant le traditionnel feu d’artifice, le navire va briller de tous ses feux, grâce à une mise en lumière riche en scintillements. Un spectacle à admirer, entre autres, des pelouses du Parc des Chantiers, juste en face du ponton Belem. Visites du 4 au 14 juillet, de 10 h à 18 h. Gratuit. Renseignements Nantes Tourisme : 0892 464 044.
PART.#1
L’AGENDA PAGE 22
LE GUIDE D’ÉTÉ
UN ÉTÉ « SO » CINÉMATOGRAPHIQUE Du mercredi 8 au dimanche 12 juillet, le magazine mensuel Sofilm lance un camp d’été particulier, un festival de cinéma sur l’Île de Nantes. Son nom ? Sofilm Summercamp ! Se voulant à la fois populaire et innovante, cette nouvelle manifestation repose sur une programmation mixant œuvres cultes en version restaurée (French Connection de William Friedkin) et films en avant-première. Les projections se déroulent dans les salles de cinéma nantaises (Katorza, Concorde, Gaumont), une séance nocturne et en plein air étant, par ailleurs, prévue chaque soir, vers 23 h, soit sur la cale des sous-marins, soit au Jardins des plantes (en partenariat avec Aux Heures d’Été). Dans le cadre de cartes blanches, certaines œuvres cinématographiques vont faire l’objet d’une présentation par des personnalités venues du cinéma et d’ailleurs (musique, politique, sport). Parmi les premiers noms qui circulent : Chantal Goya et Jean-Pierre Léaud (pour Masculin Féminin de Jean-Luc Godard), Éric Cantona, Frédéric Taddéï, Gaspar Noé, Noël Godin, Jean-François Stévenin... Enfin, différentes rencontres, parfois décalées, sont également prévues, parmi lesquelles une masterclass avec le producteur et distributeur français Vincent Maraval. « Sofilm Summercamp », du mercredi 8 au dimanche 12 juillet, sur l’Île de Nantes.
Respirez l’été
à Saint-Aignan-de-Grand-Lieu
Saint-Aignan-de-Grand-Lieu. « Respirez, c’est l’été », tel est le mot d’ordre lancé par la mairie de Saint-Aignan-de-Grand-Lieu, qui a imaginé un riche programme d’animations mixant balades, rendezvous culturels et stages de pratiques artistiques. Avec, notamment, des observations ornithologiques à l’observatoire mobile, sur le site des Pierres Aigües, en libre accès ou dans le cadre de séances commentées (les dimanches, de 16 à 19 h) ainsi que des balades en barque au fil du lac de GrandLieu, à partir du Port de l’Halbrandière, prolongée en soirée d’un spectacle conté (le vendredi 24 juillet) ou d’une soirée flamenco et paëlla (le vendredi 7 août). Envie de parfaire votre chant, de vous initier au flamenco, de pratiquer la photographie, de manipuler des marionnettes ou de découvrir le butô, une danse japonaise ? Des stages ouverts à tous (toute provenance géographique, avec différents niveaux) sont proposés par La Cie NTP Théâtre Nomade Populaire dans le parc du presbytère et le patio musical. « Respirez, c’est l’été », jusqu’au 19 septembre. Programme complet, renseignements et réservations : 02 40 26 44 44 et www.saint-aignan-grandlieu.fr
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Les Escales font route vers Valparaiso Après Istanbul en 2014, Les Escales mettent, cette année, le cap vers les rives du Pacifique Sud, pour une halte musicale dédiée à la cité portuaire de Valparaiso au Chili. Également à l’affiche de la 24e édition du festival nazairien : la Franco-Israélienne Yaël Naïm, la formation Caribbean Dandee menée par Joey Starr, le Français Cerrone et le combo californien Groundation. Les 8 et 9 août. Saint-Nazaire
Connaissez-vous Valparaiso, premier port et deuxième ville du Chili, cité mythique entourée de 44 collines ? Inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco, surnommée tantôt la petite San Francisco, tantôt le Joyau du Pacifique, cette ville très dynamique connaît une certaine effervescence intellectuelle et culturelle. Que le festival Les Escales invite, les 8 et 9 août prochains, à découvrir et à apprécier via un large focus musical, au gré duquel les spectateurs vont naviguer d’un registre à l’autre : la chanson traditionnelle avec La Isla de la Fantasia, le punk-rock de LaFloripondio, le sound system de Poder Guadaña, le folk-rock de la jeune interprète Pascuala Ilabaca, la cumbia colombienne revisitée par Chico Trujillo, groupe chilien parmi les plus populaires, ou encore La Smala Banda, projet né à Nantes en 2010, qui a ensuite migré vers le Chili. Dans le reste de la programmation, la manifestation nazairienne se plaît également à opérer des grands écarts musicaux, propices au dépaysement et au métissage, entre les chants traditionnels ukrainiens de DakhaBrakha et
l’electro-jazz du Tunisien Dhafer Youssef, la musique mandingue teintée de funk et soul des Ambassadeurs internationaux (Mali) et l’afrobeat de la formation franco-togolaise Vaudou Game. Défilant sur la grande scène du Parc des Expositions, les têtes d’affiche de cette 24e édition des Escales vont elles aussi faire entendre des sensibilités musicales aux antipodes les unes des autres : la pop soul de Yael Naïm, le rap de Caribbean Dandee, l’electro-disco de Cerrone, le reggae de Groundation et le set electro du binôme belge 2manydjs. Un voyage sans frontières, riche en escales bigarrées, auquel plus de 32 000 explorateurs ont l’habitude de s’adonner, chaque été.• IC Les vendredi 8 et samedi 9 août. Pass 1 jour 27 € (23 € jusqu’au 6 août), pass 2 jours 42 € (37 € jusqu’au 6 août). Gratuit pour les moins de 12 ans. Renseignements et réservations : www.les-escales.com
PART. #2 + 50 SORTIES
pages 24 à 75
INSOLITES
1.
Et si on pédalait cet été entre filles ?
26
2.
La place Sainte-Croix et son beffroi
27
3.
Les quatre Grâces du Jardin des plantes
28
4.
Musée de l’imprimerie
29
5.
e passage Pommeraye, L plus que jamais incontournable !
30
6.
Mignonne, allons voir si la rose...
31
7.
De Suncheon à la glacière
32
8.
Le Hangar : pour les fans de glisse en intérieur
33
9.
i Marseille a sa pétanque, S Lyon sa boule lyonnaise, Nantes a sa boule nantaise…
34
10. Le parc de la Chantrerie
et sa vue unique sur l’Erdre
35
11. Allez viens ! Danse avec nous sur les quais !
36
12. Sur les traces de Jean-Jacques Audubon à Couëron
37
13. De la cité à l’usine, petit tour de patrimoine rezéen
38
14. L’île de Sainte-Luce-sur-Loire
39
29. Le marais de Goulaine : du Menhir de
Basse-Goulaine à la Maison bleue du pont de l’Ouen 30. Brains : Port Hamoneau et le marais de l’Acheneau
55
31. Bouguenais : La Roche Ballue
56
32. Saint-Aignan-de-Grand-Lieu :
le circuit des Pierres Aiguës le manège à vélo de l’île Forget
59
35. Orvault et la vallée du Cens
60
36. La plage verte de Port Jean,
entre canoë-kayak, voile, et manoirs au bord de l’Erdre
61
37. Claude Janin, pêcheur passionné !
62
38. Clisson : randonnée nocturne en canoë
sur la Sèvre nantaise son parcours œno-touristique
16. Une chapelle, des Gremlins !
41
41. Grimper au Croisic : c’est magique !
17. Vertou, de la Chaussée aux moines à la tannerie
42
42. De la pointe de Penchâteau au Pouliguen,
18. La maison du lac à Bouaye
43
19. La Ferme de la Chasseloire à Saint-Herblain
44
20. La Chapelle Notre-Dame de Bongarant à Sautron
45
21. Le canal de La Martinière, au Pellerin
46
23. Les boîtes aux livres aux Sorinières
49
25. Votre regard sur Mauves
50
26. À La Montagne, du château d’Aux au bois des Fous
51
27. Couëron en aviron !
52
28. Le Domaine des Hautes Noëlles
à Saint-Léger-les-Vignes
43. Prendre le large et de la hauteur dans une pêcherie
64 65 66 67 68
44. La plage de Pont-Mahé à Assérac :
pour les fans de kitesurf… mais pas que !
69
45. Pornichet : de la plage de la Bonne-Source
70
46. Balade du Sémaphore de la pointe Saint-Gildas
de Préfailles à la plage de l’Étang de Pornic.
71
47. De la plage de la Fontaine aux Bretons de Pornic
24. Les Sorinières : Le parc de la Filée
et la ferme de la Blanchardière
à la plage de la Govelle à Batz-sur-Mer
à la plage Saint Marguerite 48
63
39. Vignoble : Le château de la Cassemichère et
40
47
58
34. La Chapelle-sur-Erdre, la vallée du Gesvres
15. C’est dimanche, faites donc un tour au marché !
de Thouaré-sur-Loire
57
33. Saint-Sébastien-sur-Loire :
40. Le musée du Vignoble nantais
22. Le pigeonnier et le chemin de halage
54
53
à la grande plage de la Bernerie-en-Retz
72
48. Saint-Nazaire :
de la plage de Monsieur Hulot à la plage des Jaunais
73
49. Grandes marées :
ramassage de coquillages et crustacés
74
50. Du vélo en bord de mer,
du coup de pédale à la baignade…
75
01
Nantes Métropole
PART. #2
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LE GUIDE D’ÉTÉ // 50 SORTIES INSOLITES
INFOS PRATIQUES La Musette, 4 1 quai de Malakoff, 44000 Nantes, Tél : 09 81 90 81 95.
Nantes Et si on pédalait cet été entre filles ? Tout nouveau mais bien apprécié désormais des Nantais, La Musette, un charmant cyclo-café, restaure avec passion le cycliste et sa bicyclette, comme le disent en chœur Yvan et Eszther, les heureux propriétaires de cet endroit atypique. En plus d’avoir créé cet atelier/ restaurant, ils ont eu la bonne idée d’organiser des balades le long de la Loire à vélo, et de proposer notamment des sorties entre filles le dimanche. Pourquoi entre filles ? Pour laisser les garçons sportifs pédaler à leur guise sur des centaines de kilomètres entre eux ! D’ailleurs, précise Yvan : « Si vous êtes un homme intéressé par des sorties vélo : l’association N-Peloton est faite pour vous, consultez son site Facebook! ». La Musette c’est donc un café / restaurant qui confectionnent de bons petits plats à déguster sur place ou à emporter, du petit déjeuner au goûter, avec des fruits et des légumes bio, des produits simples, frais et délicieusement cuisinés. Et c’est dans une musette, dans ce petit sac en tissu que les cyclistes peuvent emporter leur ravitaillement. Pratique ! Le piquenique coûte 9, 50€. La Musette s’occupe ensuite de l’organisation de la balade le long de la Loire ou de l’Erdre. Des ateliers sont même initiés au préalable pour apprendre à bichonner son vélo et à le réparer. N’hésitez pas à les contacter pour programmer des sorties en groupe, ils sont ouverts tout l’été. Et si vous n’avez pas encore de bicyclette, La Musette vend également des vélos qui ont été récupérés et recyclés. La retransmission du Tour de France est également prévue sur grand écran au restaurant. Allez : toutes en selle avec Eszther !
Place Sainte-Croix – le Beffroi, 6 place Sainte Croix, 44000 Nantes. L’église est ouverte du lundi au samedi de 9 h à 19 h et le dimanche de 10 h à 19 h.
Nantes Une précision sémantique mérite peutêtre d’être donnée avant d’aller plus avant à la découverte de ce joyau du cœur de ville... Un beffroi, c’est, selon monsieur Larousse, « un bâti en charpente qui porte les cloches à l’intérieur d’un clocher ». Pour apercevoir celui qui nous intéresse, il faut vous rendre sur la ravissante place Sainte-Croix dans le quartier du Bouffay, à Nantes. Peut-être aurez-vous d’abord l’occasion d’y rencontrer un brocanteur, un disquaire ou des libraires qui y installent leurs étals de façon régulière, animant ainsi le quartier. Mais ensuite, c’est une église de taille relativement imposante qui ne manquera pas d’attirer votre regard : l’église Sainte-Croix. Sa façade immaculée est d’inspiration baroque, joliment découpée. On peut y voir des colonnes, une Vierge, des saints... et depuis 1860, sur ordre de l’architecte de la ville, Henri-Théodore Driollet, l’église est « chapeautée » d’une horloge et d’un beffroi (qui appartenaient quant à eux à l’ancien château du Bouffay). Il faut le savoir, ce beffroi est le seul de Nantes : pièce unique, à admirer sans modération ! Ce beffroi en métal (qui tranche avec la pierre blanche de la façade) nous laisse apercevoir une balustrade à l’intérieur de laquelle est positionnée une ronde d’anges dorés soufflant dans leurs trompettes. Peut-être espèrent-ils réveiller les Nantais ? Le fait est que ces trompettistes sont visibles de loin et que, même s’ils restent tristement muets, ce sont vos pupilles qui prendront plaisir à les observer.
LE GUIDE D’ÉTÉ // 50 SORTIES INSOLITES
Nantes Métropole
INFOS PRATIQUES
La place Sainte-Croix et son beffroi
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Nantes Métropole
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LE GUIDE D’ÉTÉ // 50 SORTIES INSOLITES
INFOS PRATIQUES Jardin des plantes, rue Stanislas Baudry, 44000 Nantes. Ouvert de 8 h 30 à 20 h. Tel. 02 40 41 65 09
Nantes Les quatre Grâces du Jardin des plantes Du Jardin des plantes, les promeneurs et les badauds connaissent les serres exotiques, les historiques camélias nantais ou les grandes allées qui voient déambuler les familles et les amoureux (des plantes bien sûr, mais pas seulement...). Mais saviez-vous que huit femmes aux formes généreuses proposent de vous désaltérer « à l’œil » ! Certes, leur offre est limitée, point de boisson sucrée ou à bulles, point de muscadet ou de thé aux saveurs délicates, mesdames Bonté, Simplicité, Charité et Sobriété vous offrent l’eau de la ville ! Positionnées en deux endroits distincts du Jardin des plantes, l’une est plein Nord et l’autre plein Sud (à vous de les trouver!), ces deux fontaines Wallace ont été installées à Nantes à la fin du XIXe siècle. C’est grâce à un philanthrope, Richard Wallace, que les fontaines éponymes ont initialement fait leur apparition à Paris en 1872. Charles-Auguste Lebourg, un sculpteur nantais, a, quant à lui, dessiner les quatre voluptueuses. Réalisées en bronze, ces imposantes « fontaines à boire » perpétuent leur office et nombre d’enfants sont encore aujourd’hui ravis de les trouver sur leur chemin lorsque chaleur et activité physique se conjuguent ! Les quatre Grâces sont bienveillantes et sauront hydrater les assoiffés. Sachez enfin que Nantes compte trois autres de ces sculpturales fontaines : place de la Bourse, cours Cambronne et dans le jardin de la Gaudinière.
Nantes Ne faut-il pas rendre à Gutenberg, ce qui est à Gutenberg... À l’heure de la génération 2.0 et du tout numérique, un petit retour vers le passé vous permettra certainement de vous réancrer dans un quotidien parfois sacrément rapide. Pour cela, faites donc un arrêt du côté de la médiathèque Jacques Demy pour y découvrir un délicieux musée, celui de l’imprimerie. Ici, une bande de passionnés de la mécanique et d’enragés de la lettrine se démène pour vous faire découvrir près d’un demimillénaire de savoir-faire calligraphique. Pour profiter au mieux des richesses de ce musée, on ne saurait trop vous recommander de vous joindre à la visite quotidienne de 14 h 30 (d’une durée de 2 h) qui vous permettra de profiter d’un conférencier bon pied bon œil et d’un parc de machines absolument bluffant. Le plus de cette visite, c’est d’abord l’enthousiasme et la passion communicative de ceux qui l’animent, mais c’est aussi une plongée dans l’histoire industrielle et technique de l’imprimerie, où ouvriers spécialisés et artistes travaillèrent régulièrement de concert. C’est l’occasion de voir du plomb liquide se transformer en ligne de matrice, de découvrir que les chiens ont eu d’autres usages que ceux de gardiens de cours de ferme, ou encore que les plumes ne servaient pas uniquement à garnir les chapeaux (jeter donc un coup d’œil à la presse en fin de visite !). Le Musée de l’imprimerie a également ceci de singulier qu’il accueille de façon régulière des artistes en résidence que vous aurez peut-être la chance de voir travailler.
LE GUIDE D’ÉTÉ // 50 SORTIES INSOLITES
Nantes Métropole
Musée de l’imprimerie, 24 quai de la Fosse, 44 000 Nantes. Tel. 02 40 73 26 55. Ouvert du lundi au vendredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30. Visite guidée avec démonstrations tous les jours à 14 h 30. Adultes 6 €, scolaires et étudiants 3,50 €. Groupes adultes : visite guidée, sur rendez-vous 6 €, demandeurs d’emploi : 3, 50 €. Gratuité : Pass’Nantes ticket gratuit ou réduit (à prendre à l’office de tourisme). Employés municipaux, pass Formation Tourisme.
Musée de l’imprimerie
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INFOS PRATIQUES
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Nantes Métropole
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INFOS PRATIQUES Passage Pommeraye ue de la Fosse, 44000 Nantes R http ://www.passagepommeraye.fr Ouverture du lundi au dimanche de 8 h 00 à 20 heures.
Nantes Le passage Pommeraye, plus que jamais incontournable ! S’il est un joyau architectural incontournable de notre belle cité des Ducs de Bretagne, c’est sans nul doute le passage Pommeraye. Situé en plein cœur de la cité, ce passage couvert fait le lien entre la ville haute, côté rue Santeuil et la ville basse, côté rue de la Fosse. Entre 2013 et 2015, des travaux d’envergure minutieusement réalisés lui ont rendu son lustre et sa majesté d’il y a maintenant plus d’un siècle et demi. C’est à l’initiative d’un jeune notaire, Louis Pommeraye, probablement inspiré par les passages parisiens, que l’on doit ce monument du XIXe siècle. Les trois galeries (Fosse, Régnier et Santeuil) feront le plaisir des flâneurs qui aimeront à lécher les vitrines des différents commerces qui ponctuent leur promenade. Mais c’est à n’en pas douter dans les détails que ce passage plaira aux amoureux d’architecture et de patrimoine. Les regards aiguisés n’auront aucun mal a trouver les médaillons représentant Pierre Abélard ou Olivier de Clisson ; les plus curieux sauront que les statues allégoriques qui les accompagnent tout le long de l’escalier représentent le commerce, l’industrie, l’agriculture, les beaux-arts, le spectacle, les sciences et le commerce maritime. Sachez aussi qu’un certain nombre d’animaux sont les observateurs muets de vos déambulations. Les entre-marches méritent par exemple un petit coup d’œil pour leurs escargots ; les escaliers sont, quant à eux, soutenus par d’effrayants dragons. Que ce soit pour flâner, trouver un petit cadeau, craquer pour des chocolats, prendre un thé ou observer la verrière, le passage Pommeraye s’impose à vous dans toute sa beauté !
Parc floral de la Beaujoire, route de SaintJoseph-de-Porterie, 44300 Nantes. Gratuit. Juillet, août : 8 h 30 – 19 h 45. Nombreux parkings – Tram : la Beaujoire ou bus 75 ou C6 (arrêt : la Roseraie).
Nantes La rose, bien sûr ! Mais pas seulement... Le somptueux parc floral de la Beaujoire recèle des merveilles en son sein : iris, camélias, magnolias ou bruyères. Si la balade vous tente, laissez-vous aller et ouvrez grands vos chakras : vos mirettes en ressortiront remplies et votre nez tout retourné (messieurs les allergiques, passez peut-être votre chemin !). La partie haute du jardin offre un point de vue unique sur l’Erdre où l’on peut admirer au loin les bateaux à voile glissant sur la « plus belle rivière de France » (dixit François Ier) entouré des milliers de roses qui s’offrent à vous. Ne manquez pas l’allée des parfums dans laquelle vous retrouverez entre autres Julio Iglesias (tout en pétales !) ou la rose de Molinard. Un bon moyen de savoir si vous avez le nez fin ! Si la journée est chaude, profitez d’un moment de repos au milieu des cascades de roses grimpantes aux couleurs chatoyantes qu’abritent les nombreuses tonnelles et pergolas... Enfin, un carré de rosiers botaniques et anciens se laisse généreusement admirer. En redescendant vers le fleuve, c’est la balade des Vallons que vous emprunterez et qui vous mènera vers un jardin d’iris dont on aurait aimé que Vincent van Gogh l’ait vu ! Ici et là, vous croiserez de nombreux canards et les jeunes visiteurs pourront se dépenser dans un espace spécialement aménagé pour eux. À vous maintenant de découvrir Pierre de Ronsard, Danse des Sylphes, Froufroutante Jacquie, Dames de Chenonceau, Elvis, Patte de velours ou encore Guirlande d’amour...
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Mignonne, allons voir si la rose...
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INFOS PRATIQUES Parc du Grand Blottereau, boulevard Auguste Péneau, 44 000 Nantes. Juillet – août : 8 h 30 – 19 h 30.
Nantes De Suncheon à la glacière Le parc du Grand Blottereau, c’est un peu Charles Trénet et son jardin extraordinaire : c’est un voyage temporel et géographique. Sur un même et seul espace, tout de même vaste de pas moins de 19 ha, on trouve un jardin à la française, un jardin coréen, des bassins, une bananeraie, un jardin au naturel, un château du XVIIIe, un temple, des terrains de sport et... une glacière. Commencez la visite par la partie coréenne du parc (la plus à gauche), écoutez le vent dans les bambous et laissez le zen vous envahir sur la colline de Suncheon. Dirigez-vous ensuite vers l’entrée principale du parc (côté château), longez les serres (tout en transparence) et le jardin d’agronomie tropicale, empruntez le chemin au bout duquel vous tomberez sur une construction en briques de la taille d’un petit garage : l’ancêtre de notre congélateur. Passez la porte voûtée et vous entrapercevrez derrière une grille une sorte de cuve profonde. On y entreposait dès la fin du XVIIIe siècle des plaques de glace ramassées l’hiver. Soigneusement conservées, elles étaient recouvertes de branchages et le plancher de bois permettait l’évacuation des eaux de fonte. Cette « glacière » d’avant la fée électricité servait bien sûr aux heures chaudes de l’été à conserver les denrées périssables et aussi, comble du chic, permettait de refroidir les boissons et de confectionner des sorbets. Parfaitement restaurée et entretenue, cette glacière mérite bien un petit coup d’œil.
L e hangar, en bord de Loire, est facilement accessible en voiture (grand parking), en Chronobus C3 (arrêt San Francisco), en bus (ligne 58) et via la ligne 1 du tramway. Skatepark Le Hangar 9 allée des Vinaigriers 44 300 Nantes www.lehangar-skatepark.com Tél : 02 51 13 26 80.
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Le Hangar est le plus grand skatepark associatif polyvalent d’Europe. Et bonne nouvelle pour les fans de glisse : il se trouve à Nantes et il est ouvert tout l’été du lundi au samedi. Petits et grands peuvent ainsi s’initier ou améliorer leur pratique du skateboard, du roller et du BMX dans cet espace adapté de 5300 m2, librement, ou avec un encadrement. Des stages pour débutants, niveaux intermédiaires ou confirmés y sont réalisés avec des animateurs diplômés. Généralement, les cours ont lieu le matin pendant 2 heures, le pique-nique est le bienvenu et recommandé pendant la pause-déjeuner, et la pratique de ces sports de glisse est libre l’après-midi. Idéal par tous les temps ! Des cours particuliers sont organisés (et recommandés) pour les adultes. Différents espaces ont été aménagés : des mini-rampes pour une initiation acrobatique et le développement de la technique, une rampe de lancement, une aire de street, un park de 1500 m2, une big rampe pour les riders confirmés, et un bowl (une sorte de cuvette). À chacun son rythme et son style… Dans ce hangar ont eu lieu le Championnat de France de skateboard et des compétitions nationales de BMX. Comme dirait l’un des pratiquants : « Le mieux est d’y venir avec son matériel! ». Mais on peut y louer des rollers, des skateboards, des protections et des casques. Alors pour tout savoir sur les tricks, les grinds, les ollies, ollie flips et autres techniques des skaters : rendezvous au Hangar !
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Le Hangar : pour les fans de glisse en intérieur
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INFOS PRATIQUES our retrouver tous les lieux dédiés à la boule nantaise, contacter l’Amicale de la Colinière : P 20 rue de la Haute Mitrie, 44300 Nantes - Tél : 02 40 49 27 54, www.lacoliniere.sportsregions.fr. Deux adresses également : Le Marronnier : 3 bd Gabriel Auriol 44100 Nantes 02 40 74 50 05. Les P’tits Joueurs 23 rue du port Guichard 44 000 Nantes.
Nantes Si Marseille a sa pétanque, Lyon sa boule lyonnaise, Nantes a sa boule nantaise… Connaissez-vous ce jeu de boule traditionnel de la région nantaise ? La boule nantaise est pratiquée depuis le début du siècle en intérieur sur un terrain rectangulaire aux bords incurvés. Une planche en bois, appelée le talon, est placée à chaque extrémité du terrain de jeux pour permettre aux boules de rebondir dessus. Deux équipes de 1 à 3 joueurs s’y affrontent avec 6 boules chacune, 6 boules noires (ou rouges) et 6 boules blanches (ou vertes). L’objectif est de les faire rouler au plus prés du « petit », qui est une boule plus petite, en gardant un pied en contact avec le talon. Attention on ne jette pas les boules, on les fait rouler… la piste est fragile et une boule pèse 2 kg! La première équipe qui totalise 9 points a gagné. Une partie dure environ 1 heure. Historiquement, la boule nantaise se jouait dans la cale des bateaux, d’où la forme de son terrain, puis elle a été pratiquée sur des terrains extérieurs, et enfin en intérieur. On peut s’y initier dans une petite dizaine d’endroits à Nantes. On la retrouve notamment dans l’arrièresalle des cafés-restaurants, c’est ce qui l’a rendue populaire. Les boulistes arrivent généralement en fin de journée, après leur travail pour se divertir, ou en soirée et le week-end en groupes autour d’un buffet pour des occasions particulières. C’est un véritable lieu de rencontre, plutôt réservé aux adultes ou aux grands adolescents. L’initiation est conseillée et sur réservation.
Parc de la Chantrerie, R oute de Gachet - 44 300 Nantes Tél. : 02 40 41 90 09. Ouvert tous les jours de 8 h 30 à 20 h l’été. Chronobus C6, descendre à l’arrêt Atlanpole. Tramway ligne 1, descendre à l’arrêt Beaujoire / Bus 22 arrêt Atlanpole.
Nantes Avis à tous les citadins nantais qui ont une envie furieuse de campagne, d’une balade dans un cadre de toute beauté, d’une vue splendide sur l’Erdre et sur ses magnifiques demeures : venez vous ressourcer au parc de la Chantrerie ! D’une superficie de 176 600 m2, ses longues allées sont propices aux flâneries ou au jogging pour les plus sportifs. D’ailleurs, les coureurs du jour le confirment : « Cet endroit est vraiment adapté aux courses à pied ». Pour les amateurs de farniente, des tables ont été installées sous de grands arbres pour profiter au mieux du pique-nique et de la sieste qui l’accompagne. Les animaux de compagnie y sont autorisés et bon nombre de maîtres y viennent pour jouer avec leurs chiens préférés. Vous y verrez un château (une folie nantaise comme on l’appelle), une chapelle, une ferme aux volets rouges, des enclos avec ânes, vaches et chevaux, mais aussi un bon nombre de grands et beaux arbres. La star du parc est un châtaignier âgé de plus de 700 ans ! Châtaigniers, hêtres, chênes, platanes, cèdres, cyprès, séquoias ponctuent cette balade et ses grandes pelouses vertes. Le parc ne se trouve qu’à 6 km du centreville à vol d’oiseau. Avis donc aux adeptes du footing : c’est la distance idéale pour vous préparer aux vingtièmes Foulées de la Gournerie de Saint-Herblain au mois de septembre (course de 12 km en sous-bois) ! À noter pour les petits accompagnants en balade que la ferme est fermée l’été, mais qu’ils y verront quand même des animaux dans leurs enclos.
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Le parc de la Chantrerie et sa vue unique sur l’Erdre
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INFOS PRATIQUES L es dates des soirées sont consultables sur les sites Internet et Facebook des associations. West coast swing : Simply West Nantes www.simplywest.fr - Salsa : Association A gozar la salsa, 44 rue de la Durantière 44100 Nantes Tél : 06 77 97 41 08 www.agozarlasalsa.fr. Tango : Association Les Allumés du Tango 2 rue du Printemps 44700 Orvault www.allumesdutango.com Tél : 09 52 17 01 83.
Nantes / Orvault
Allez viens ! Danse avec nous sur les quais ! Connaissez-vous cette nouvelle danse qui s’appelle le West Coast Swing ? Selon Marie-Annick, une de ses ferventes pratiquantes, « c’est une danse passionnante qui est très esthétique ». Cette danse est assez répandue aux États-Unis et commence à être connue en France depuis une dizaine d’années. Forcément, pour ses adeptes, c’est LA danse qui monte ! Et comme le précise Alexandra Pasti, membre active de l’association Simply West, « c’est une danse qui laisse beaucoup de place à l’improvisation et qui donne aux deux partenaires l’initiative des pas, ce qui change et plaît beaucoup aux filles ! ». Elle se pratique donc à deux, et elle fait plutôt penser à un mélange de rock et de salsa, rythmée comme une danse sportive, avec des mouvements assez élastiques entre partenaires. Alors pour tous les curieux ou tous les intrigués : rendezvous au Parc des chantiers, à côté du Carrousel, pas très loin de l’Éléphant, pour suivre une démonstration ! Des pratiques gratuites et ouvertes à tous ont lieu les 2 et 30 juillet, et les 13 et 20 août de 20 h 30 à 23 h. Pensez à prendre une paire de petites baskets… De la même manière, l’association A Gozar (pour la salsa), et l’association Les Allumés du Tango devraient également enflammer les quais cet été. La salsa, c’est une danse très « caliente et sensuelle», qui favorise les rapprochements humains… avec séduction, technique, et sourire. Et si on la pratique en plus en groupe, et avec des passionnés de musique, la soirée sera forcément très festive ! Quant au tango, les débutants pourront en découvrir toute la magie et l’émotion en admirant les différentes démonstrations. Voilà de quoi mettre tous nos sens en éveil…
our le circuit de 5 km, se garer au lieudit le P Dareau au Nord-Ouest de Couëron. Un circuit de 10 km est également accessible au départ de la commune de Couëron à la Gerbetière.
Couëron De Jean-Jacques Audubon (alias John James Audubon), on dit souvent qu’il fut le premier écolo ! Élevé dans sa propriété de la Gerbetière à Couëron, on aime à penser que son goût de la nature lui vint en ces lieux. Pour le célébrer, rien de mieux qu’une petite promenade à vélo au milieu des marais qui portent désormais son nom. Précision qui a son importance, c’est depuis la route que l’on observe cette zone de marais, écosystème fragile oblige ! Le circuit de 5 km forme une boucle et commence au lieudit Le Dareau, où l’eau fait entendre sa puissance par le biais d’une écluse (l’écluse du Dareau) située à quelques pas du chantier naval Fouchard. Un petit coup d’œil sur les bateaux et vous continuez votre chemin sur la droite dans une ambiance de bocage, entre prairies où paissent les vaches et nature verdoyante. Un peu plus loin, les marais deviennent bien visibles et quadrillent le territoire. Chacun de son côté de l’eau, c’est un moment d’observation réciproque entre bovidés et promeneurs. Après 2 km, prenez la route sur la gauche, c’est la zone dite des Tiers desséchés, et là encore, entre marais et étiers, c’est une nouvelle écluse qui s’offre à vous sur le canal de la Ceinture. Pour apprécier pleinement cette balade au grand air, munissez-vous d’une paire de jumelles qui vous permettra entre autres d’observer les reines du lieu : mesdames cigognes. Un nid installé sur une plate-forme est visible dans la dernière partie de la promenade. Les habitants à plumes, à poils et à écailles sont divers et nombreux ; si vous avez le sens de l’observation et de la discrétion, vous croiserez peut-être ragondins, hérons ou brochets...
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Sur les traces de Jean-Jacques Audubon
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INFOS PRATIQUES Pour les visites, 02 40 84 43 84
Rezé
Ancienne usine Bariller, 19 rue Jean-Baptiste Vigier à Rezé, visible 1 depuis la rue et si ouvert, possibilité d’entrer dans la cour. Bus 97, arrêt : Chêne-Galla. La Maison Radieuse : d Le Corbusier, Rezé. Reprendre le 97, arrêt : b Le Corbusier. Pour les visites, 02 40 84 43 84
De la cité à l’usine, petit tour de patrimoine rezéen Direction le Nord-Ouest de la commune, direction la Maison Radieuse de monsieur Le Corbusier (de son vrai nom CharlesÉdouard Jeanneret-Gris). Cette « unité d’habitation » comme la dénommait luimême l’architecte, existe à seulement 5 exemplaires dans le monde (Rezé, Marseille, Briey, Firminy et Berlin) et notre gloire locale souffle cette année ses 60 bougies. Bien sûr, on peut se rendre seul au pied de la bâtisse pour en faire le tour, mais les visites organisées avec des conférenciers-experts permettent de découvrir ce « village vertical » grâce notamment à un appartement témoin resté « dans son jus », aux longs couloirs rebaptisés « rues » et bien sûr à la fameuse école installée sur le toit de cet imposant bâtiment. À vous le revival années 50 ! Toujours dans cet esprit patrimonial, vous pouvez également vous rendre rue J.-B. Vigier pour regarder un bel exemple de réhabilitation industrielle. Autrefois, usine de tissage mécanique de toiles (Bariller et Frères puis BinetDelaunay Fils), le site est ensuite devenu une charcuterie sous l’enseigne Charcuterie de Bretagne. De cette époque, ont été conservées la longue enfilade de toits de zinc en dents de scie, les briques et les tuiles. Dans la cour, également visible, vous pourrez observer l’ancienne chaufferie. Le coup d’œil est certes rapide mais il ne doit pas être manqué pour les férus d’archi et de réhabilitation, puisque le bâtiment est classé au patrimoine architectural de Rezé !
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INFOS PRATIQUES Î le Clémentine - 44980 Sainte-Luce-sur-Loire. Villa Belle-rive : 12 Promenade de Bellevue, 44980 Sainte-Luce-sur-Loire, Tél : 02 40 25 42 36, www.restaurant-villabellerive.fr
Sainte-Luce-sur-Loire Voyage sur l’île Clémentine Qu’il est bon de se balader au bord de la Loire accompagné du chant des oiseaux… Faites-vous partie de ceux qui prendront leur vélo (via le circuit Loire à Vélo) et leur pique-nique pour s’isoler sur l’île Clémentine ? De ceux qui y feront une halte en parcourant le GR3 (circuit de Belle-Rivière) ? Ou préférez-vous profiter de cette île Clémentine après une pause gourmande à la Villa Belle Rive qui donne sur la promenade de Bellevue ? Laissez votre voiture sur le parking aménagé aux abords de l’île, et prenez la passerelle piétons pour y accéder. Vous pourrez alors profiter de ce grand espace vert, et peutêtre même y croiser une plante protégée : la fritillaire pintade. Elle appartient au patrimoine des bords de Loire et des prairies humides. Surtout préservez-la, et ne la cueillez pas ! Un panneau avec photo vous l’indiquera. Un autre panneau vous présentera la flore et la faune de l’île, les espèces remarquables de plantes de bord de l’eau, les arbres du haut des berges, et les différents oiseaux susceptibles de fréquenter le site. Venez à la rencontre du héron cendré, du héron biboreau et de l’aigrette garzette ! Pour les petits aventuriers, une petite aire de jeux en forme de bateau les attend au centre de l’île. Vous y trouverez enfin un bon nombre de tables pour pique-niquer en toute quiétude. Attention : lors des fortes montées des eaux de la Loire, l’accès à l’île Clémentine est interdit. Après avoir sillonné l’île (ancienne exploitation agricole en bois, foin, et osiers), le circuit de l’île Clémentine, indiqué sur un panneau avec son parcours de 4 km, permet de découvrir le village de Bellevue et le plan d’eau du Plessis.
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INFOS PRATIQUES Marché de Basse-Indre, p lace Jean-Ligonday à Basse-Indre, tous les dimanches matin. Par le périphérique, prendre la sortie Porte de l’Estuaire puis suivre Indre. Depuis le Sud Loire, prendre le bac de Loire, reliant Basse-Indre à Indret. Bus n° 81 et 73. Le Relais du Bac : 1 , quai Besnard à Indre. Conseil : le distributeur automatique est littéralement pris d’assaut les jours de marché, pensez à retirer de l’argent avant d’arriver.
Indre
C’est dimanche, faites donc un tour au marché ! Il est des rendez-vous incontournables de l’agglomération que d’aucuns ne rateraient pour rien au monde. Le marché de BasseIndre fait incontestablement partie de cela. Chaque dimanche matin, dès potronminet, une cohorte de commerçants prend d’assaut la place Jean-Ligonday pour y installer qui son camion, qui ses tréteaux... Il faut le savoir, ce marché de plein air est bien connu des Ligériens et attire de très nombreux chalands venus se promener ou se ravitailler pour la préparation du barbecue dominical. Idéalement, on ne saurait trop vous recommander de prendre le bac pour vous « mettre dans le bain » et profiter des beautés des bords de Loire. À votre arrivée, c’est un marché haut en couleur qui vous saisit à la cale du bateau. À vous la dégustation de la tomme affinée ou de la noix de jambon ! La chose est entendue, quoi que vous cherchiez (et plus encore !), vous le trouverez à BasseIndre : bouchers, volaillers, poissonniers, primeurs, fromagers, vendeurs de miel, de confitures, d’œufs et aussi de nombreux traiteurs qui vous feront voyager : Afghanistan, Maroc, Espagne, il y en a pour absolument tous les goûts. Si votre cabas déborde maintenant de denrées appétissantes, il est l’heure de se plier à la dernière tradition du lieu : se poser à la terrasse du Relais du Bac pour y siroter (avec modération) votre boisson préférée. Vous voilà requinqué ? Alors avant votre départ imminent, profitez donc des charmantes ruelles du bourg pour une charmante balade.
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INFOS PRATIQUES L a chapelle se trouve à la sortie de Saint-Jeande-Boiseau. Parking. Bus 99 (arrêt : Saint-Jean-de-Boiseau).
Saint-Jean-de-Boiseau Une chapelle, des Gremlins ! À Saint-Jean-de-Boiseau, l’histoire commence des plus classiquement : au XIIe siècle, une chapelle est construite pour christianiser un lieu païen. Délabrée, elle accueille au XVe siècle les fondements d’une nouvelle chapelle réalisée avec une partie de ses matériaux, qui sera dédiée à la Vierge Marie. Elle s’appellera la chapelle Notre-Dame de Bethléem. Le bâtiment est de facture classique : porche, entrée principale et pinacles. Mais les ravages du temps furent tels que la chapelle eut besoin d’être restaurée et c’est là qu’intervint, en 1993, un certain maître sculpteur du nom de Jean-Louis Boistel. Dans l’esprit de ce lieu autrefois païen et du fait du peu d’archives, monsieur Boistel restaura certaines gargouilles et en créa d’autres. Et qui croyez-vous que l’on trouve perchés sur les pinacles ? Que vos enfants connaissent peut-être... Qui passent au cinéma ou à la Télé... Qui font partie de la culture américaine ou japonaise... Levez les yeux vers le ciel et faites le tour de ladite chapelle pour y découvrir des gargouilles à l’effigie du personnage de Gizmo dans le Gremlins, de Goldorak (Fulguro-poing !) ou de l’effrayante bête baveuse du film Alien. Ils sont tous réunis là-haut, sur les pinacles et vous observent du coin de l’œil. Une bonne manière de faire découvrir des monuments à votre petit dernier, non ? Pour les admirer à leur juste valeur, équipez-vous d’une paire de jumelles, la découverte en sera facilitée. À noter, l’intérieur de la chapelle est fermée au public. Depuis le parking face à la chapelle, plusieurs chemins de randonnée sont accessibles qui offrent notamment un très beau point de vue sur la Tour à plomb située à Couëron.
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INFOS PRATIQUES Vertou – Rond-point de la Rousseliere. Bus 97 (arrêt : Rousseliere).
Vertou De la Chaussée aux moines à la tannerie Vertou, c’est bien sûr la mythique Chaussée aux moines et son écluse, qui méritent le détour tant le lieu est singulier et propice à une sortie familiale. Mais à Vertou, on peut également, avant de partir en randonnée, s’arrêter au rond-point de la Rousselière et admirer une série de quatre bâtiments aussi massifs qu’architecturalement épatants. Ces bâtiments, ce sont les anciennes tanneries-corroieries Le Roy et Cie. Aujourd’hui résidence hôtelière de standing, le lieu n’est certes pas visitable et c’est depuis le parking que vous pourrez en admirer les façades, mais vous ne serez pas déçus du coup d’œil. Construite à la fin du XIXe siècle, cette usine a vu travailler jusqu’à 200 ouvriers. Grande consommatrice d’eau et grande pollueuse, la tannerie s’est installée sur les bords de l’Ilette, affluent de la Sèvre, en 1850. La matière première « fraîche » provenait de chez les bouchers et des abattoirs environnants. Les peaux nécessitaient de nombreuses opérations, dont le corroyage, qui consiste, après tannage, à préparer les cuirs pour les assouplir. L’usine à progressivement périclité jusqu’à sa fermeture en 1954. De briques vernissées, d’ardoises, de verre, de poutres métalliques et surtout de moulures en terre cuite, ces quatre bâtiments vous séduiront par cette association paradoxale de délicatesse et de force. Si le cœur vous en dit, une randonnée balisée en forêt le long de la Sèvre nantaise est possible au pied de l’ex-tannerie : suivre le parcours Village de l’Aufrère – Ilette.
La Maison du Lac de Grand-Lieu, rue du lac – 44 830 Bouaye - 02 28 25 19 07 http ://maisondulacdegrandlieu.com - contact@maisondulacdegrandlieu.com En juillet et en août : du mardi au dimanche, de 9 h 30 à 18 h 30. Tarifs : de 3 € à 7 €, gratuit pour les moins de 6 ans. Réservation obligatoire pour la visite guidée – Parking.
Bouaye L’histoire commence après la Seconde Guerre mondiale alors qu’une entreprise néerlandaise envisage d’assécher le lac de Grand-Lieu pour y planter... des tulipes. Acquis par une société de chasse, c’est finalement monsieur Jean-Pierre Guerlain, parfumeur de son état, qui en devient propriétaire en 1960 pour en faire une splendide propriété, et y construire son pavillon de chasse. En 1977, monsieur Guerlain fait don de ces presque 3 hectares à l’État. Ouverte il y a un an à peine, la Maison du lac de Grand-Lieu propose aujourd’hui trois espaces distincts : le centre d’accueil, le chemin écologique et le Pavillon. Si vous le pouvez, inscrivez-vous à l’une des visites guidées afin de devenir (presque...) incollable sur l’écosystème local. Vous y apprendrez joyeusement de nombreuses informations sur votre environnement. Mais surtout, vous pourrez visiter le pavillon de chasse, qui constitue le clou de la visite. Promenez-vous dans les différentes pièces de la bâtisse pour y sentir, y toucher ou y découvrir les richesses naturelles de la biodiversité. Mais c’est indéniablement la terrasse d’observation qui décroche le pompon de la plus belle vue sur le lac. À vous canal Guerlain, prairie humide, roselière boisée ou herbier flottant, à vous cormorans, cygnes et autres spatules blanches... La réserve naturelle s’étire sous vos yeux à 180°. Difficile de décrocher son regard de ce splendide tableau vivant et en mouvement ! Le centre d’accueil mérite également votre visite pour approfondir ce que vous aurez pu voir in situ.
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INFOS PRATIQUES Ferme de la Chasseloire, Chemin de l’Ouchetien – 44 800 Saint-Herblain - T él : 02 28 03 19 28 www.les-fermes.fr/les-fermes/ferme-de-la-chasseloire Ouvert du lundi au jeudi : 9 h 15-13 h et 14 h -18 h 45. Les vendredis et samedis : 9 h 15-18 h 45.
Saint-Herblain Découvrez la Ferme de la Chasseloire Si les fruits et les légumes issus de l’agriculture raisonnée sont vos amis. Si par ailleurs vous aimez les ramasser. Si, enfin, l’idée de consommer locavore fait écho à vos préoccupations, rendez-vous à la ferme de la Chasseloire. Située à SaintHerblain, cette exploitation familiale est singulière à plus d’un titre. Vous tomberez d’abord peut-être nez à nez avec un cochon, une vache, un poney, une chèvre, un mouton, à moins que ce ne soit un cygne, des canards, des lapins ou des cochons d’Inde... Tous réunis dans un enclos qui s’étire jusqu’en bas de la ferme, ils font le bonheur des enfants qui peuvent les nourrir et les observer à leur gré. Mais la ferme de la Chasseloire, c’est surtout un lieu formidable où cueillir des produits cultivés sainement ; ici, pas de produits phytosanitaires mais plutôt des bandes fleuries et des traitements à base d’algues. Les mois de juillet et d’août vous réservent de belles cueillettes : fraises, framboises, coco de Paimpol, concombres épineux, carottes violettes, haricots verts ou beurre, courgettes rayées mais également de nombreuses variétés de tomates et de légumes anciens, tous couvés, bichonnés et entretenus avec une passion non démentie par David, le chef des cultures. Pour ceux que la cueillette ne séduit pas, un bel espace de vente propose également de très nombreux produits frais et d’épicerie : pommes, poires, pommes de terre mais aussi viande, charcuterie, œufs, vin, farine, terrines, gâteaux secs... Pour Mathilde Placier, la gérante, cette ferme c’est enfin « un moyen de faire découvrir les plaisirs de la nature au plus grand nombre, en associant partage, plaisir et exigence ». Courez-y !
L a chapelle se trouve à 3,5 km à la sortie de Sautron. Itinéraire fléché. Chapelle Notre-Dame de Bongarant, 6 Rue de la Chapelle Bongarant – Sautron. Parking.
Sautron Erigée au XVe siècle, la chapelle NotreDame de Bongarant aurait vu le jour à la suite d’une chute de cheval de François II. Lors d’une partie chasse, se retrouvant nez à nez avec un sanglier, le duc de Bretagne se promit de bâtir une chapelle si le cochon lui laissait la vie... Chose promise, chose due ! La chapelle Notre-Dame de Bongarant, classée à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1969, est aujourd’hui encore un haut lieu de pèlerinage et de réunions pour les catholiques. De l’extérieur, on est d’abord frappé par le petit air bretonnant de l’édifice (le granit et les ardoises y sont sans doute pour beaucoup) avant d’être totalement séduit par le hameau environnant, tout en tulipes, en hortensias et en longères joliment restaurées. Les deux ânes du pré voisin vous accueilleront peut-être de leurs sonores braiments, caresses chaudement recommandées ! Notez sur le côté de la chapelle, le long des murets, ces dalles de pierre du nom d’échalier qui faisaient autrefois barrage aux animaux. Passez le petit portail et pénétrez dans la chapelle pour y admirer en premier lieu la voûte en bardeaux dont les poutrelles apparentes lui donnent un air de carène de bateau renversé. Notez la richesse des décors peints sur la voûte et les transepts. À voir également les cinq icônes byzantines du XVIIIe siècle représentant le Christ en majesté et quatre évangélistes, Jean, Marc, Luc et Mathieu, ou les nombreuses représentations de saints disposées dans toute la chapelle. Un seul mot règne ici en maître : « charme » ; à vous maintenant d’y succomber !
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Le mystère de la Chapelle Notre-Dame de Bongarant
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INFOS PRATIQUES Canal de la Martinière - Le Pellerin. Contacter l’ACCAM : 02 40 03 12 91 Café-bar de La Martinière : du mardi au dimanche, ouvert toute la journée, déjeuner et dîner.
Le Pellerin Sur le canal de La Martinière Plus que jamais ligérien, ce petit bout de randonnée se fait en compagnie de Dame Loire. Du début à la fin, elle est là, à vos côtés, vous ravissant de sa douce mélodie et de sa pacifique onde. Pour bien commencer, rendez-vous donc sur la commune du Pellerin face au bac pour y garer votre voiture. Longez la Loire, dirigez-vous vers Les Ateliers des Coteaux et profitez-en pour admirer les belles demeures qui font face au fleuve. Le sentier de randonnée est là. À vous les points de vue quasi picturaux sur la Loire, le ravissant hameau de La Martinière et enfin, après quelques kilomètres (compter une quarantaine de minutes), vous voilà face au canal, à son écluse et à sa machinerie (sans oublier bien sûr le fameux Bateau mou d’Erwin Wurm). Il se dit souvent que le canal de La Martinière a sauvé le port de Nantes lors de son ouverture à la fin du XIXe siècle. Sachez qu’aujourd’hui il est affecté à une mission de régulation hydraulique et qu’il constitue également un « spot » de pêche à la ligne. L’ouvrage mérite le détour, et, si vous êtes adepte de mécanique et de technique, l’association ACCAM (Association culturelle du canal maritime de la Basse-Loire) organise régulièrement des visites guidées de la machinerie aux mois de juillet et août. Enfin, s’il fait soif et faim, que les enfants réclament de jouer, c’est au café-bar de La Martinière, face au canal, qu’il faut vous rendre. La terrasse invite à la contemplation pendant que les enfants profitent du petit parc situé derrière le restaurant. Si vous pouvez encore marcher, la boucle de randonnée autour du canal vous tend les bras !
igeonnier et château de Thouaré-sur-Loire P visible depuis la rue de la Saulzaie. Propriété privée - Accès interdit.
Thouaré-sur-Loire Située à l’Est de Nantes, la commune de Thouaré-sur-Loire offre de belles surprises. On compte notamment de très beaux châteaux, dont le château de Thouaré bâti au XIVe siècle, où l’on peut admirer les douves et les tours depuis la route. Sachez qu’Anne Descartes, demi-sœur du célèbre philosophe (auteur de la non moins célèbre maxime, « je pense, donc je suis »), en fut une des propriétaires au XVIIe siècle une rue de la ville porte d’ailleurs son nom ! Bon à savoir, le château a toujours été une propriété privée et ne se visite que lors des Journées du patrimoine. Depuis la rue de la Saulzaie, on peut également profiter d’un beau point de vue sur le pigeonnier du château, splendide bâtiment circulaire de pierre et de tuffeau. Coiffé d’un dôme en ardoises tout en haut duquel trône la sculpture d’un pigeon, l’édifice compte 1 189 niches, signe de la puissance du seigneur de l’époque. Le bâtiment est inscrit au registre des Monuments historiques depuis 1982. Là encore, si vous souhaitez le visiter, il vous faudra attendre les Journées du patrimoine les 19 et 20 septembre 2015. À quelques encablures du château, vous pourrez enfin profiter des beautés de la Loire grâce au chemin de halage qui offre une ravissante balade et pourra vous emmener jusqu’à la commune voisine de Mauves-sur-Loire. Parfaitement carrossé (et idéalement plat !), le chemin est agréable, que vous soyez à pied ou en vélo. On peut également venir y pique-niquer grâce aux nombreuses tables disposées ici et là le long du parcours.
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Le pigeonnier et le chemin de halage
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Les Sorinières Les boîtes aux livres aux Sorinières À l’occasion de son siècle et demi d’existence, voilà une formidable initiative de la part de la ville des Sorinières pour tous ses habitants. « Prenez, lisez, déposez, échangez » : l’idée est juste géniale ! Quatre boîtes à livres ont été installées à différents endroits de la ville : à la mairie, au parc de la Sanglerie, au parc Hippolyte-Derouet (près de la salle Joseph-Manufret), et à la coulée verte (dans le quartier des Vignes). Le concept est simple. Une fois la lecture de votre roman terminé, vous l’apportez dans l’une de ces boîtes, et vous en prenez un autre en échange. Ces boîtes ont été fabriquées par le service technique de la ville des Sorinières, et décorées par les enfants du centre de loisirs pendant la semaine du développement durable. « Apporter des livres que l’on aime, c’est le début du partage !, souligne d’ailleurs Christian Couturier, maire des Sorinières. Avec les boîtes à livres, c’est la dimension sociale de l’objet que nous souhaitons mettre en avant, en partageant le plaisir de ses lectures en toute liberté et en favorisant l’accès à la lecture. La première boîte à livres a été mise en place à la mairie, et au bout d’une semaine, des doudous d’enfants reconnaissants l’avaient envahie en remerciement des livres récupérés ! L’initiative est particulièrement pertinente pour emprunter des livres dans un endroit inhabituel, mais aussi dans le lieu ou l’on vit. Le livre voyage et est révélateur de ce que l’on souhaite transmettre entre générations. Quel autre objet que le livre peut traverser le temps sans prendre une ride ? » C’est le principe du phénomène mondial du « bookcrossing », pour la première fois mis en œuvre dans la métropole nantaise.
Chalet du parc de la Filée, Parc de la Filée, 44840 Les Sorinières, Tél : 02 40 13 00 00. Ferme de la Blanchardière : 2 rue de la Blanchardière 44840 Les Sorinières, www.jeanyvesguitteny.fr (consulter sur le site Internet les horaires d’ouverture), Tél : 02 40 31 28 06 / 06 80 05 45 09
Les Sorinières
Envie d’un peu d’exercice, de campagne et de vert, de vous balader entre des ruisseaux, de flemmarder au bord d’un étang ? Filez au parc de la Filée, au SudOuest des Sorinières. Amis sportifs : à vous le slalom landais, les haies, le sautemouton, la poutre d’équilibre, la barre fixe double, la planche abdominale, l’échelle horizontale et l’escalier simple, dans ce grand espace naturel avec son petit parcours santé. Amis flâneurs, à vous ce parc d’une superficie de 12 hectares, la balade le long des ruisseaux de l’Ognon et de la Filée, les tables de pique-nique, et les cinq terrains de pétanque. À noter qu’un chalet de 25 m2 peut se louer pour des réunions privées, et héberger jusqu’à 25 personnes. Amis pêcheurs, le plan d’eau de 1,5 hectare est géré et aleviné par l’association La Gaule Nantaise, c’est donc un véritable lieu de rendez-vous, et vous risquez fort d’y avoir quelques prises… Ami randonneur, le circuit de la Filée propose une balade de 9,6 kilomètres, en empruntant une jolie passerelle en bois qui traverse l’Ognon, bordé de hauts peupliers. Et pour les plus petits, une aire de jeux les attend au bord de l’étang… sous votre surveillance, bien entendu. Enfin, si vous souhaitez rentrer chez vous avec des fruits et des légumes cueillis du jour, arrêtez-vous en fin d’aprèsmidi en semaine ou le samedi matin à la ferme de la Blanchardière, une exploitation maraîchère traditionnelle qui pratique la lutte intégrée, et qui vend également des produits de producteurs locaux. Voilà un endroit qui complète parfaitement cette petite escapade bucolique.
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Les Sorinières : Le parc de la Filée et la ferme de la Blanchardière
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INFOS PRATIQUES i vous souhaitez voter pour votre photo S favorite, communication@mauvessurloire.fr ou directement à la mairie de Mauves-sur-Loire, 7 rue du Carteron.
Mauves-sur-Loire Votre regard sur Mauves Au XIXe siècle, le très célèbre Jules Verne passait régulièrement à Mauves-sur-Loire, puisqu’il venait rendre visite à sa sœur, alors épouse du maire de la commune. On peut aujourd’hui parier que cet illustre homme de lettres souscrirait certainement à l’exposition qui se tient là tout l’été, « Votre regard sur Mauves ». L’idée ? Regarder Mauves différemment grâce à une trentaine de photos disséminées ici et là dans un parcours extérieur. Pris par des Malviens ou des habitants des communes alentour, tous amateurs, ces clichés ont pour objectif de faire partager un lieu, un paysage, une situation, un détail pris à Mauves… Figuratives ou plus abstraites, chacune de ces photos est le reflet d’un instantané. À vous donc de déambuler au milieu de ces galeries d’art à ciel ouvert que sont la cale du port, le jardin du presbytère, les jardins du Vallon ou les environs de la gare afin de comparer votre vision de Mauves à celle de tous ces artistes en herbe. Et, si vous le souhaitez, votre « travail » ne s’arrêtera pas là, puisque les visiteurs peuvent également être jurés en votant pour leur photo préférée. De Mauves, on ne saurait également trop vous recommander d’aller vous promener le long des berges de la Loire pour notamment y voir ce pont en treillis de 1882 qui mérite bien un petit coup d’œil et qui, certainement, vous donnera l’envie… d’appuyer sur le déclencheur de votre appareil photo ! Doisneau, Depardon et consorts n’ont qu’à bien se tenir !
L a Montagne - Accessible en transport en commun, lignes 99 ou E8.
La Montagne À quelque 15 km de Nantes se trouve la commune de La Montagne. À l’origine située sur Saint-Jean-de-Boiseau, c’est en 1877 que La Montagne devient une commune à part entière de l’agglomération. Il faut le savoir, La Montagne se trouve au sommet du coteau du pays de Retz : montées et descentes en perspective ! Dès l’entrée de la ville, impossible de manquer le château d’Aux et son allée cavalière ; cette bâtisse du XVIIIe siècle ne se visite pas mais mérite cependant un petit coup d’œil en passant. C’est au comte François d’Aux de Bournay, qui fit fortune dans les plantations d’ananas à Saint-Domingue, que l’on doit cette résidence dont la construction fut confiée à Jean-Baptiste Ceineray, lui-même grand architecte de la place du Bouffay, du cours Saint-Pierre ou de la place Royale à Nantes. Depuis le château d’Aux, partez visiter le nord de la commune. Ce circuit pédestre (ou à vélo) parfaitement balisé vous mènera vers de très beaux panoramas de la vallée de la Loire et des communes voisines. Avec la possibilité de piqueniquer si le cœur vous en dit. En quittant La Montagne (au rond-point du Chat qui guette), c’est le bois des Fous qui vous attend. Rien de bien énigmatique dans cette appellation qui désigne en réalité le hêtre dans la langue bretonne. À vous les nombreuses essences d’arbres pour une promenade champêtre.
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À La Montagne, du château d’Aux au bois des Fous
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INFOS PRATIQUES Aviron Loire Océan- Rendez-vous les mercredis soir à 18h et les samedis à 14h15 au bac de Couëron lieudit Le Paradis et le samedi matin à 8 h 45 au vélodrome de Couëron Réservation obligatoire sur le site http ://alo44.e-monsite.com puis cliquer sur l’onglet Qui vient ramer ? pour vous inscrire. Aucun matériel particulier n’est requis. Prendre des vêtements et des chaussures qui ne craignent rien. Les promenades sont gratuites.
Couëron
Couëron en aviron ! « Rendez-vous au Paradis ! » vous dira-t-on si vous les appelez. Une telle occasion ne se refuse pas… Ce Paradislà, il se trouve du côté de Couëron, plus précisément au niveau de la cale du bac. C’est en ce lieu que se retrouve, 12 mois par an et quelle que soit la météo, une bande de gais lurons et de joyeux sportifs qui ont en commun une passion : l’aviron de mer. Réunie dans un club du nom d’Aviron Loire Océan (ALO pour les intimes), l’équipe se retrouve donc à la cale du Paradis tous les mercredis soir et les samedis. D’horizons et de niveaux sportifs différents, les 57 adhérents en pincent pour cette activité de plein air. À deux ou à quatre rameurs par yole, les départs se font contre le courant et demandent une bonne synchronisation des mouvements (eux-mêmes relativement techniques) en même temps qu’une bonne condition physique générale. Assis sur une coulisse, dos au fleuve, il faut ramer en rythme ! Le club propose à qui le souhaite de venir s’initier à ces randonnées et ainsi découvrir la Loire au plus près de la faune et de la flore le temps d’une balade d’une heure trente environ. Si le temps et le fleuve sont d’humeur calme, vous pourrez peut-être remonter jusqu’à Cordemais et sa centrale ; sinon, les étiers des marais environnants seront une bonne solution de repli. Cerise sur le gâteau, les soirs de beau temps, le coucher de soleil sur la Loire au retour de la promenade mérite tous les efforts fournis. Sachez-le enfin, les avirons sont « stables, autovideurs et insubmersibles », tient à préciser le président de l’ALO, Jean Dumont-Roty.
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INFOS PRATIQUES Domaine Les Hautes Noëlles, rue de Nantes à Saint-Léger-Les-Vignes 02 40 31 53 49- www.les-hautes-noelles.com - domaine@les-hautes-noelles.com L’été : du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 17 h 30 et le samedi de 9 h 30 à 12 h 30. Il est recommandé de téléphoner avant de passer.
Saint-Léger-les-Vignes Le Domaine des Hautes Noëlles à Saint-Léger-les-Vignes Nombreux sont ceux qui prennent la route de Nantes vers Pornic sans penser à s’arrêter et pourtant… Du côté de SaintLéger-les-Vignes, à une quinzaine de kilomètres du centre de la cité des ducs de Bretagne et à une trentaine de kilomètres de la côte, se trouve une belle exploitation viticole qui mérite qu’on s’y attarde. C’est le Domaine des Hautes Noëlles. Sur son domaine de 25 hectares, Jean-Pierre Guédon et son équipe cultivent la seule et unique appellation muscadet Côtes de Grandlieu en culture biologique. Les bâtiments sont flambant neufs et d’allure contemporaine, et le chai peut être visité sur demande. Vous y découvrirez ainsi des cuves enterrées entièrement recouvertes de carreaux de verre. À vous de découvrir le pourquoi de cette méthode… Une petite vigne pédagogique est, quant à elle, accessible devant le domaine. C’est idéal pour y découvrir les différents cépages mais aussi les spécificités techniques liées à la production bio. Avant de partir, une dégustation s’impose (avec modération !) : muscadet, gros-plant, gamay, chardonnay, vins de Loire ou vins effervescents. En tout, le Domaine des Hautes Noëlles propose une quinzaine de breuvages différents, à l’image de ce muscadet sur lie dit « Les Moineries » issu d’une parcelle de vieilles vignes de 80 ans, ou de cet autre muscadet « Les Hautes Noëlles » élevé en fûts de chêne… À vous maintenant de déchiffrer la subtilité des parfums et des arômes. Et pour les plus jeunes, du jus de raisin (bio, bien sûr) à consommer sans modération.
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INFOS PRATIQUES Le Menhir de la Pierre frite, à Basse-Goulaine, à 800 m au Sud de l’église. Croisement de la Rue de Vendée et rue des Landes de la Plée. www.basse-goulaine.fr/ La Maison bleue : 1 36, route du pont de l’Ouen 44115 Haute-Goulaine, tel: 02.40.54.55.50. Pour tout savoir sur le marais de Goulaine: www.maraisdegoulaine.fr
Basse-Goulaine Le marais de Goulaine : du Menhir de Basse-Goulaine à la Maison bleue du pont de l’Ouen C’est au cœur du vignoble nantais, à 15 km au Sud-Est de Nantes, que se trouve le marais de Goulaine. Si le marais est privé, de nombreux circuits de randonnées balisés en jaune permettent de s’y promener. Il est le refuge de très nombreuses espèces d’oiseaux, de poissons, de batraciens, de papillons, de libellules, de reptiles, d’insectes aquatiques… Commencez donc par vous garer sur le parking près de la Maison bleue du pont de l’Ouen. La Maison bleue est un lieu d’accueil, d’information et d’éducation à l’environnement. De nombreux panneaux vous indiqueront les spécificités du marais, sa faune, sa flore, ses richesses naturelles, sa gestion, ses randonnées vers Basse-Goulaine, commune de la Métropole, et le LorouxBottereau. Du pont de l’Ouen, contemplez ses deux étangs, où les pêcheurs (détenteurs d’une carte de pêche) attrapent brochets et écrevisses rouges de Louisiane. Le paysage est magnifique car le marais contraste avec les vignes qui l’entourent. Trois circuits pédestres d’une vingtaine de minutes s’offrent à vous : la boucle du Marais, la boucle des bœufs nantais, et celui de la butte de la Roche. À vous donc la petite grimpette le long des vignes jusqu’au point culminant de la butte à 47 mètres, qui offre un panorama époustouflant avec sa vision à 360 degrés sur Nantes, le marais, le vignoble et ses environs. Une table d’orientation situe la tour Bretagne, le pont de Cheviré, le château de Goulaine et les clochers voisins. Du côté de Basse-Goulaine, un passage par le monument mégalithique de la Pierre frite et les pierres plates, mérite par ailleurs un détour fort instructif. Ces pierres, selon l’histoire locale, auraient été disposées là entre 3 500 et 800 av. JC et se trouvent à 800 m au Sud de l’église de Basse-Goulaine. Le menhir de la Pierre frite est également l’un des emblèmes de la ville de Basse-Goulaine.
Le Port Hamoneau 44830 Brains. Mairie de Brains, 2 place de la Mairie
Brains Brains est une commune située à 14 km au Sud-Ouest de Nantes, entre la Loire et le lac de Grand-Lieu. Saviezvous qu’autrefois le Port Hamoneau constituait une halte commerciale sur l’ancienne « route du sel », qui permettait l’acheminement de marchandises entre l’océan et Nantes ? De 1850 à 1880, plus de 500 chalands passaient chaque année par le Port Hamoneau, véritable artère du pays de Retz. Aujourd’hui, de nombreuses barques sont amarrées au rivage pour y pêcher anguilles, brèmes, brochets, carpes, tanches, gardons, sandres, perches… Montez sur le ponton (accessible aux personnes à mobilité réduite), parcourez les explications indiquées au niveau de cet observatoire, et admirez ce magnifique marais. Vous y lirez que plusieurs circuits pour randonnées pédestres, équestres ou VTT, jalonnées de stations découvertes avec panneaux d’orientation et pupitres explicatifs sur le patrimoine de la commune, soulignent que la commune de Brains possède un mélange harmonieux de bocage et de marais, où alternent bosquets, vignes et roseaux, qui reflètent la diversité des paysages ligériens. Le circuit complet est de 17,5 km ; il faut compter 5 heures de marche environ. Trois autres sentiers entre 7 et 11 km invitent à la découverte de la nature, au plus près d’une faune et d’une flore variées. Des coins pique-nique ont été aménagés et signalés tout au long du circuit pour le plus grand bonheur des randonneurs. À noter qu’un carnet de promenade sur les sentiers de découverte du patrimoine communal est disponible à la mairie. Voilà de beaux Brains de découvertes en pleine nature !
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Brains : Port Hamoneau et le marais de l’Acheneau
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Bouguenais
Pour y accéder du périphérique : p rendre la sortie 52a en venant du Sud ou 52b en venant du Nord, direction Bouguenais centre, puis direction Bouguenais bourg. Suivre ensuite le fléchage routier « La Vallée de Bouguenais ». En venant de Nantes : t ramway ligne 3 arrêt Neustrie, puis bus 99 arrêt Roche Ballue. Bus ligne 99 arrêt Roche Ballue. Accès payant du 2e samedi de juin au 1er dimanche de septembre. Ouvert de 10 h 30 à 20 h 30 (fermeture billetterie à 19 h). 16 ans et plus : 3 €. Enfants de - 16 ans : 1,5 €. Enfants de -6 ans : gratuit. Espace buvette. vChiens interdits dans l’eau et sur la plage.
Bouguenais : La Roche Ballue La Roche Ballue, c’est une aire de loisirs comme on les aime, chaleureuse et sympathique ! Si vous ne la connaissez pas encore, courez la découvrir le temps d’un barbecue, d’une baignade, d’une partie de pétanque, d’une balade entre le marais et la Loire. Ce site est unique et se situe à seulement une dizaine de kilomètres au Sud-Ouest de Nantes. Si la carrière existe depuis plus d’un siècle, la base de loisirs a quant à elle vu le jour en 2001. Sa grande plage verte attire les amateurs de bronzette et la baignade y est surveillée (1,20 mètre de profondeur dans le petit bain contre 2 mètres dans le grand bain). Une zone de plongée de 8 mètres de profondeur avec paliers est réservée aux clubs. Vous apercevrez également la zone d’escalade, accessible aux risques et périls des licenciés… Un champ de bosses est bien apprécié des pratiquants de bicross. Pour les plus petits, plusieurs aires de jeux sont à leur disposition, à moins qu’ils ne préfèrent une grande partie de foot sur les nombreuses pelouses de cet espace naturel de 13 hectares. Des tables de pique-nique, des barbecues collectifs (à partager!), ainsi qu’un terrain de boules rendent l’endroit particulièrement convivial. N’hésitez pas à vous balader du côté de l’observatoire pour admirer et écouter canards colverts, hérons, martins-pêcheurs, poules d’eau… Le site ornithologique est de toute beauté, et nous invite à nous promener vers la Loire. Pour les grands marcheurs ou les joggeurs, un circuit de 10,7 km (soit environ 3 h 30 de marche) offre de nombreux points de vue remarquables. Une chouette sortie entre amis, en famille, ou en solo…
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INFOS PRATIQUES L e guide des chemins nature de la commune de Saint-Aignan est disponible à la mairie, et consultable également sur le site Internet : www.saint-aignan-grandlieu.fr
Saint-Aignan-de-Grand-Lieu Saint-Aignan-de-GrandLieu : le circuit des Pierres Aiguës Ce circuit d’une distance de 8 km, soit 2 heures à pied ou 1 heure à vélo, vous fera longer le lac de Grand-Lieu, profiter d’un superbe point de vue et suivre chemins et sentiers pour découvrir le patrimoine des alentours. C’est à partir de la Fontaine Saint-Rachoux que débutera cette balade. Celle-ci est toute proche de l’église, dans le bourg, et on y accède par le chemin des Sablonnières. « Véritable lieu de légende et de pèlerinage, l’eau de cette fontaine miraculeuse possédait, dit-on, le pouvoir de guérir la Rache, nom breton de la teigne. Au XIXe siècle, quelque deux cents pèlerinages amenaient chaque mère et enfant à la fontaine et à l’église. » Des panneaux tout au long du circuit expliquent les différentes curiosités à contempler. Partez ensuite à la rencontre du lac de Grand-Lieu, vers un observatoire naturel de la faune et de la flore, à environ 2 km de la Fontaine. D’une superficie de 6 300 hectares, la vue panoramique sur le plus grand lac naturel de France est saisissante. À vous l’observation des hérons cendrés et des spatules blanches, qui font du lac l’une des plus importantes réserves ornithologiques d’Europe. Continuez ensuite le parcours pour découvrir les villages alentour et le cœur du bourg. Il est possible à ce niveau de ne parcourir que la moitié du circuit. Pour les randonneurs et les cyclistes, deux autres circuits sont proposés, également au départ de la Fontaine Saint-Rachoux, celui de l’Hermitage (18 km), et celui des Halbrans (16 km), pour découvrir vignes, demeures, châteaux et autres points de vue panoramiques. Vous pourrez même y apercevoir l’atterrissage des avions du bout de la piste de l’aéroport de Nantes Atlantique…
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INFOS PRATIQUES Le manège à vélo l’Echo-système, île Forget, Saint-Sébastien-sur-Loire : ouvert tous les jours cet été de 15 h à 21 h. Prix : 2 € le tour (gratuit pour les pédaleurs). Réservation possible pour des groupes avec animations sur demande. Ce manège a été réalisé avec les étudiants des lycées professionnels de la Joliverie à Saint-Sébastien-sur-Loire, de Goussier à Rezé, et d’Arago à Nantes.
Saint-Sébastien-sur-Loire Pédalez sur le manège à vélo de l’île Forget L’île Forget et l’île Pinette, entretenues de façon écologique, possèdent désormais une pièce unique : un manège à vélo dénommé l’Echo-système. Lionel Jaret, son heureux créateur, bavard et ingénieux, a concentré toutes ses compétences de marionnettiste, de poète de rue et de métallier pour amuser son public. Ce manège est constitué de matières recyclables, d’acier traité à l’huile de lin, de bois local issu de la forêt de Mervan en Vendée, bien connu pour sa durabilité. Pour le confectionner, Lionel a utilisé des outils de récupération, de très bonne qualité puisqu’ils ont résisté au temps, qu’il cédera à son tour aux futures générations. Au centre du manège, vous découvrirez un tronc avec 12 branches, symbolisant les 12 mois de l’année. Elles seront décorées de végétation locale et d’animaux au fur et à mesure de leur conception. Les adultes sont invités à pédaler sur des vélos anciens munis de sièges enfants en forme de fleurs pour le faire fonctionner, « car les enfants naissent dans les fleurs, pas dans les choux ! ». Petits et grands pourront également profiter des sculptures résistantes de l’artiste en chevauchant héron, fourmi, lapin, canard, papillon, grenouille, brochet, renard… que des animaux ligériens ! Un film sur la réalisation, le montage et la mise en route de ce manège, à la fois fiction et documentaire, est en cours de tournage. Alors préparez-vous à pédaler au rythme d’une clochette, à rire des rimes de Lionel, à découvrir avec le sourire l’univers évolutif de cet homme passionné et passionnant. À proximité de ce manège, vous pourrez également profiter de plusieurs aires de jeux pour les enfants, au milieu desquels se trouve une tyrolienne.
La Chapelle-sur-Erdre
La Chapelle-sur-Erdre, la vallée du Gesvres La Chapelle-sur-Erdre, c’est la commune la plus septentrionale de l’agglomération, elle est bordée sur sa partie Est par l’Erdre, « la plus belle rivière de France » comme la décrivait François Ier. Mais, La Chapelle, c’est aussi la vallée du Gesvres, qui mérite toute votre attention pour son caractère encore très sauvage et ses nombreux sentiers de randonnée. Rendez-vous donc au lieudit La Verrière, sous le viaduc éponyme, pour quelques 10 km de pur plaisir. Le viaduc d’abord, datant du XIXe siècle, compte 18 arches et offre une perspective graphique des plus saisissantes. À quelques pas de là, c’est l’écluse de la Verrière qui retiendra toute votre attention. Le ruisseau du Gesvre qui est là se trouve réparti entre bassins et étais, où le minéral côtoie le végétal dans un vaste site franchement époustouflant. En route maintenant pour la promenade. Très vite, vous serez saisi par ces paysages aux faux airs de bayou. Dans le Gesvres, nombreux sont les arbres que l’on dirait « pétrifiés » et qui servent souvent de lieux d’observation privilégiés aux hérons et cormorans qui ont trouvé là un lieu de pêche généreux. Les carpes, quant à elles, sont aisément observables depuis le sentier. Mais ce qui frappe le plus ici, c’est une nature sauvage et dense. En chemin, vous croiserez la fontaine Saint-Georges et celle des Forges, cette dernière date du XIXe siècle et a connu son heure de gloire pour ses eaux ferrugineuses. Sur le chemin du retour, un énorme rocher aménagé tend les bras à ceux qui aiment la grimpette. Un vrai dépaysement à quinze minutes du centre de Nantes.
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INFOS PRATIQUES L ieudit La Verrière sur la D69 pour la randonnée Le Gesvres entre le pont de Massigné et Gesvrine Nombreux sentiers de randonnée disponibles en ligne sur le site : www.lachapellesurerdre.fr
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Orvault
L e guide des promenades est disponible à l’hôtel de ville d’Orvault - 9, rue Marcel Deniau - Du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30 - 02 51 78 31 00. Le guide est également Téléchargeable : www.orvault.fr (onglet : culture, sport, tourisme).
L’écrin de verdure de la vallée du Cens Orvault, commune du Nord-Ouest de l’agglomération nantaise, offre aux amoureux de la nature et du patrimoine nombre de trésors, notamment grâce à la vallée du Cens. Pour les plus curieux, sachez que le Cens est une rivière d’une longueur de 22,4 km et qu’il est un sousaffluent de la Loire (via l’Erdre). On ne saurait trop vous recommander d’aller vous y promener à pied, à vélo, avec vos enfants, votre famille ou vos amis tant les sites sont splendides et les chemins parfaitement balisés. Le circuit du Pont aux Prêtres au Pont Marchand (3,3 km) vous permettra, d’une part, de profiter des grandes terrasses en bois aménagées sur la rivière du Cens et, d’autre part, de découvrir la faune et la flore locales grâce aux panneaux explicatifs (et pédagogiques) disséminés ici et là. À vous de répondre aux quiz après lecture ! Les plus sportifs apprécieront les espaliers et les équipements dédiés ; les observateurs se prélasseront, quant à eux, dans les zones de détente, où ils trouveront par exemple de grands transats en bois idéalement installés en plein champ ! Des tables permettent également de faire des pauses ou de venir y pique-niquer. Si vous êtes fins observateurs, peut-être aurezvous la chance d’y voir une truite fario, un roitelet à triple bande, une mésange bleue ou un vairon… Pensez aux jumelles qui sont toujours les bons compagnons des promenades champêtres. Sachez enfin qu’un ensemble de sept circuits est accessibles depuis Orvault, de 2,2 km à 13,5 km. Il y en a nécessairement un qui vous conviendra !
ection sportive de l’amicale laïque (canoë-kayak) : base nautique de Port Jean, 44770 Carquefou, S contact@alcep44.fr, Tél : 02.40.52.70.99. Sport Nautique de l’Ouest, 17 chemin de Port breton, 44770 Carquefou, Tél : 02 40 50 81 51, www.snonantes.com
Carquefou
Voici une bonne alternative pour ceux qui ont la flemme de se rendre sur la côte, ou qui ont la phobie des bouchons et des retours de plage ! Carquefou, à quelques minutes de Nantes en voiture, a la chance de posséder un bien agréable petit port de plaisance dans un site naturel de plus de 20 000 m2, d’accès libre et gratuit. On peut y faire bronzette sur sa petite plage verte, sa plage engazonnée. Mais attention, ici point de baignade ! Les sports de glisse y sont très nettement privilégiés. Adeptes de la voile, de canoë-kayak, de paddle ou de voile, ce site est fait pour vous ! Port Jean possède donc un club de canoë-kayak et non loin de là, à 5 minutes à pied, Port Breton vous accueille avec son club nautique. Le site est idéal pour s’initier au plaisir de la glisse ou se perfectionner sur un bateau Optimist, Equipe, Vago ou sur un catamaran. Des stages sont organisés tout l’été au sein des deux clubs. Pour les accompagnateurs non sportifs, des tables de pique-nique et des bancs ont été installés pour profiter au mieux de la vue sur l’eau et sur les élégantes demeures bourgeoises. Ce panorama sur l’Erdre est très relaxant, et il est bien agréable et amusant de regarder les canards colverts piquer des têtes pour se nourrir de poissons. Pour ceux qui ne souhaitent pas participer aux activités nautiques, le sentier pédestre numéro 2 est balisé et fléché au niveau du point d’eau, et promet une belle balade le long de l’Erdre. Sur le chemin du retour, n’hésitez pas également à vous arrêter au domaine viticole de Port Jean (ouvert du lundi au samedi) pour préparer l’apéritif du soir et prolonger ce moment de détente.
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La plage verte de Port Jean, entre canoë-kayak, voile, et manoirs au bord de l’Erdre
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INFOS PRATIQUES L es Balades du Pêcheur, route du Chanvre, Saint-Julien-de-Concelles - 06 19 25 58 29 ww.lesbaladesdupecheur.com - janinclaude@orange.fr - Ouvert du lundi au dimanche en juillet et en août (fermé du 25/07 au 13/08) - Uniquement sur réservation - 27,50 € par personne la balade de 2 h 30 incluant la dégustation des produits de M. Janin.
Saint-Julien-de-Concelles Claude Janin, pêcheur passionné par la Loire ! Si vous aimez les hommes passionnés et passionnants, si par ailleurs vous aimez la pêche et les pêcheurs « bon pied bon œil », alors vous adorerez Claude Janin. Pêcheur depuis plus de trente ans, il propose aujourd’hui aux amateurs de tourisme fluvial de passer quelques heures à ses côtés à la découverte de la Loire. L’idée ? Une belle balade sur un bateau spécialement aménagé, le Lory III, pour partager ses anecdotes, ses connaissances et aussi ses terrines maison ! Parce que, oui, Claude est également épicurien. Mais commençons par le commencement : un petit coup de fil à Claude pour réserver votre sortie. Ici, pas de départ sans réservation, sachez-le ! Rendez-vous est donné le long de la levée de la Divatte pour découvrir l’embarcation et prendre connaissance des règles de sécurité. Selon l’humeur du capitaine, vous partirez ensuite en amont de la Loire jusqu’au Cellier, sur le site des Folies Siffait, à moins que son choix ne se porte sur Nantes et un tour de l’île Beaulieu avec dégustation des produits de Claude du côté de Trentemoult. À vous les rillettes maison de sandre aux pleurotes, de brochet au muscadet, d’anguille fumée et persillée ou de crevette blanche à la truffe noire du Périgord. Le tout sera bien entendu arrosé d’un petit verre de muscadet ou de rosé. Blagues et bonne humeur sont de rigueur sur le Lory III ! Comme aime à le dire notre fier capitaine : « Je veux faire partager et découvrir la beauté et la richesse du fleuve à mes clients. Ils sont mes meilleurs ambassadeurs ! »
lub de Canoë-Kayak de Clisson, Le Moulin de Plessard 44190 Clisson. Tél : 02 40 54 39 59, C e-mail : ckclisson@orange.fr. Le club est ouvert tous les jours de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h. Randonnées nocturnes les vendredis de juillet et d’août. Vérifier l’agenda sur le site Internet du club www.ckclisson.fr. Coût : 13 € par personne. Réservation obligatoire. Possibilité d’organiser des sorties un autre jour de la semaine sur demande pour un groupe de 20 personnes maximum.
Clisson Saviez-vous que Clisson, véritable joyau du vignoble nantais à l’architecture et aux paysages italiens, pouvait se visiter de nuit à bord d’un canoë ? Pour ce faire, rendez-vous à une trentaine de kilomètres au Sud de Nantes, au club canoë-kayak de Clisson, au Moulin de Plessard, dans un cadre unique et majestueux. Dès l’arrivée au club, on est conquis par la beauté du site. C’est ensuite, à la tombée de la nuit, et pendant une heure et demie à deux heures de randonnée sur l’eau, que vous découvrirez les merveilles du patrimoine de Clisson commentées par un historien. À vous l’histoire du Moulin de Plessard et des autres monuments que vous croiserez, les illuminations du viaduc et du château ! L’instant vécu est magique, hors du temps. Pas de panique, cette balade est accessible aux enfants, aux adultes et aux personnes âgées, idéale pour une grande sortie familiale ou amicale. Le club organise également des sorties découvertes de la Sèvre nantaise en journée en canoë, en kayak, en barque et en stand-up paddle, sur des parcours d’une heure à une journée avec pique-nique, en fonction de votre curiosité, de votre condition physique et de votre motivation ! À noter également l’évènement majeur de cet été pour la ville de Clisson : les Médiévales les 25 et 26 juillet, où chevalerie, artisans, jongleurs, musiciens, troubadours, marionnettes, et théâtre animeront le centre historique. N’hésitez donc plus à vous rendre à Clisson pour profiter de son environnement sublime et de son romantisme à l’italienne.
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Randonnée nocturne en canoë sur la Sèvre nantaise
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INFOS PRATIQUES Le Château de la Cassemichère, La Cassemichère, 44330 La Chapelle-Heulin, Tél : 02 40 06 74 07. Parcours gratuit. Du lundi au samedi de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h, le dimanche sur rendez vous. Caution de 50 € pour l’utilisation des tablettes. Dégustation : 5 €/personne. Sur place chambres d’hôtes et hébergements. Organisation d’évènements.
La Chapelle-Heulin Vignoble : Le château de la Cassemichère et son parcours œno-touristique À vous l’échappée belle dans le vignoble nantais et la découverte du domaine du château de la Cassemichère à la ChapelleHeulin, à une vingtaine de kilomètres au Sud-Est de Nantes. Depuis fin mai 2015, dans un parc arboré de 5 hectares, ce château propose une nouvelle activité libre et gratuite : un parcours œno-touristique ludique, sportif et instructif. Sur moins de 2 km, ce parcours de 9 balises peut s’effectuer à pied ou à vélo. À l’accueil du château vous seront remises des tablettes. À chaque étape du parcours correspond un QR code qu’il suffira de flasher pour découvrir toutes les richesses de ce domaine, et pour avoir accès à toutes les explications en plus de celles inscrites sur chaque panneau. Vous découvrirez alors l’histoire du château, du terrain extérieur de boules nantaises, du métier de vigneron, des vignes, de la façon de récolter le raisin, du muscadet, du parc et de ses arbres, des dépendances, de l’architecture du domaine, de la Confrérie des Gastronomes de la mer… Mais vous devrez répondre également à de nombreuses questions, et en fonction de vos résultats et de votre score, une petite surprise vous attendra à l’accueil ! À l’issue du parcours, une dégustation est fortement conseillée (avec modération, bien sûr) suivie d’une petite visite des chais et des caves, pour comparer muscadet classique, vieilli, chardonnay et vin pétillant. Vous pourrez également profiter de la vente de produits locaux. À noter enfin que, sur une superficie de 45 hectares, les vignes de ce château sont particulièrement chouchoutées entre culture bio et lutte raisonnée.
usée du Vignoble nantais - 82, rue Pierre Abélard, 44330 Le Pallet - 02 40 80 90 13 M www.vignoble-nantais.eu - accueil@musée-vignoble-nantais.fr. En juillet et en août : tous les jours sauf le samedi de 10 h à 18 h. Tous les dimanches, visite guidée à 15 h 30. Adulte : 5 €, adulte en groupe : 4, 50 €, jeunes de 12 à 17 ans : 2, 50 €, gratuit pour les moins de 12 ans, famille 12 €. En vélo : TER jusqu’à la gare du Pallet puis piste cyclable jusqu’au musée.
Le Pallet Si aux heures chaudes de l’été, vous appréciez la dégustation (raisonnable !) d’un verre de muscadet, nous vous recommandons chaudement un passage par le musée du Vignoble nantais. La route, bordée de vignes, vous mettra doucement dans l’ambiance. Le musée est constitué de deux espaces à visiter. Une première partie « indoor » dans un bâtiment à l’esprit contemporain et une seconde partie « outdoor » constituée par le Conservatoire des cépages. Ici, le maître mot est pédagogie et le musée met un point d’honneur à ce que la visite soit plaisante, que l’on ait 8 ou 88 ans. Les jeunes peuvent ainsi enfiler la panoplie du parfait vigneron en fonction des espaces visités, ici un bleu de travail, et là une blouse de chimiste ; ici, une étiquette de bouteille à créer, et là, un jeu des 7 familles d’outils. Amusant et instructif ! Pour les plus âgés, on reste baba devant les tracteurs exposés ou les pressoirs monumentaux, qu’ils soient à levier ou à vis verticale. Les nombreuses cartes, les vidéos et si vous le pouvez, la visite assurée par une conférencière finiront de vous éclairer sur cette délicieuse AOC qu’est le muscadet. À noter la possibilité de déguster les vins du prix Clémence Lefeuvre. La visite n’est pas encore finie puisqu’elle peut se poursuivre autour du musée dans les rangs de vignes du Conservatoire des cépages : Melon de Bourgogne bien sûr, mais aussi folleblanche, gamay noir ou encore noah, longtemps accusé de rendre fous ses consommateurs ! Enfin, pour les plus courageux, deux chemins de randonnée sont accessibles depuis le parking du musée.
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Le musée du Vignoble nantais
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INFOS PRATIQUES Site d’escalade : A venue de la Pierre Longue, 44490 Le Croisic, au niveau du panneau « Rocher de l’Ours »
Le Croisic Grimper au Croisic : c’est magique ! La commune du Croisic forme comme une presqu’île, et sa partie Sud est une falaise granitique. Elle offre ainsi un magnifique site d’escalade sur une côte déchiquetée. Ce site naturel est fragile et d’une beauté exceptionnelle. C’est au niveau du panneau du Rocher de l’Ours, au Sud du golf, sur la route de la côte sauvage, que vous trouverez un parking. Ce rocher à la forme d’un ours, avec sa tête qui semble regarder l’océan pour l’éternité, est indiqué et facilement reconnaissable. C’est à ce niveau-là que le site est le plus fréquenté et que les voies sont partiellement équipées. Ce site d’escalade est un mélange de voies équipées et de terrain d’aventure, avec près de 250 voies dominant la mer sur de la roche granitique. Attention à bien respecter ce site et à s’équiper d’un matériel adéquat pour éviter de mauvaises surprises ! De longues sangles solides pour l’assurage sont nécessaires à cause du granit très abrasif. Ne pas oublier également un casque contre les chutes de pierres, des coinceurs et une bonne corde de 30 mètres. Connaître l’horaire des marées n’est pas inutile non plus pour planifier au mieux sa journée d’escalade, et profiter de façon optimale de ce site grandiose. Il faut bien sûr privilégier la marée basse pour escalader ses rochers de 10 à 15 mètres de haut. Ambiance nature, physique et sportive garantie ! Les promeneurs qui arpentent ce superbe sentier côtier profitent également de ce beau spectacle.
u port du Pouliguen, prendre la direction de la Grande côte, la rue Jules Benoît puis la rue François D Bourgouin, et se garer à la pointe de Penchâteau. La marche qui longe le boulevard du Labego et le boulevard des Korrigans en direction de Batz-sur-Mer dure environ une heure. Crêperie Côté Plage, 22 Route de la Govelle, 44740 Batz-sur-Mer Tél : 02 40 23 84 33.
Pouliguen / Penchâteau / Batz-sur-Mer De la pointe de Penchâteau au Pouliguen, à la plage de la Govelle à Batz-sur-Mer Envie d’un grand bol d’air iodé et d’une vue panoramique à couper le souffle ? La côte sauvage du Pouliguen, appelée Grande Côte, offre un panorama époustouflant sur la baie de la Baule et l’océan Atlantique. L’endroit est très accessible, et c’est à pied, à vélo, ou même en voiture que l’on peut profiter de cet espace naturel protégé. En effet un sentier douanier dédié aux piétons, une piste Vélocéan et, un peu plus en retrait, une petite route longent cette promenade. Le spectacle est grandiose et varié en fonction des marées. À marée haute et par beau temps, on ne peut que rester bouche bée devant les différents camaïeux de bleus de la mer et du ciel. Les amoureux de la nature profitent de la marée basse, idéale pour partir à la découverte des criques sauvages et des différentes grottes : pas moins de 23 grottes sont accessibles ! Attention à la marée montante en cas de pique-nique dans l’une d’entre elles. En partant de la pointe de Penchâteau et après environ une heure de marche, on arrive sur la belle plage de la Govelle et à Batz-sur-Mer. Cette plage de sable fin est idéale pour pratiquer les sports de glisse et vous y verrez grand nombre de surfeurs. À marée basse, elle devient le paradis des pêcheurs à pied. C’est dans ce cadre magnifique que l’on pourra s’y baigner, à moins que l’on ne préfère s’arrêter au restaurant côté plage. Face à la mer, on y déguste sur sa grande terrasse une bonne galette, un hamburger, des moules frites, ou des crêpes. Une balade magnifique qui ravira toute la famille.
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INFOS PRATIQUES Plage de La Govogne 44770 La Plaine-sur-Mer. Réservation de la pêcherie no 13 auprès de l’office du tourisme de La Plaine-sur-Mer, tel. 02 40 21 52 52. D’autres pêcheries peuvent être louées dans des communes voisines : se renseigner auprès des offices de tourisme de Préfailles et de Saint-Brévin-les-Pins notamment.
Saint-Brévin-les-Pins / La Plaine-sur-Mer Prendre le large et de la hauteur dans une pêcherie Besoin de se ressourcer seul, de se retrouver entre amis ou en famille, de prendre un bon bol d’iode, ou tout simplement de pêcher ? La pêche au carrelet sur la plage de la Govogne promet à tous un beau moment de détente, avec en prime une vue magnifique sur l’océan, sur l’estuaire de la Loire, sur la superbe plage du Cormier, et sur le pont de Saint-Nazaire. Et c’est sur cette plage, avec sa succession de petites criques, que vous trouverez la pêcherie n°13. Pour en profiter, il faut contacter l’office de tourisme : « Mais attention ! Mieux vaut s’y prendre tôt pour la réservation ! La pêcherie est louable pour la marée ou le week-end, et c’est également une très bonne idée de cadeau pour tous vos proches ! ». Cette pêcherie est accessible à marée basse, interdite aux enfants de moins de 13 ans, et 5 personnes maximum y sont autorisées. Un ponton qui surplombe la mer permet l’accès à la cabane en bois montée sur pilotis, qui abrite le carrelet. Un carrelet, c’est un filet carré tendu et descendu horizontalement au moyen d’un treuil dans la mer. On le remonte ensuite très rapidement, et parfois avec des poissons, comme des éperlans, des anguilles, des seiches, des bars, des mulets… À vous de tester les différents types d’appâts, car leurs recettes sont nombreuses ! On peut également profiter de la marée basse pour pêcher à pied et récolter crevettes roses et grises, palourdes, moules et autres coquillages… et avec un peu de chance des petites soles ! « Mais avec de bonnes bottes et en remettant bien en place les cailloux déplacés, s’il vous plaît ! ».
our tout savoir sur Assérac : www.asserac.fr. Plage de Pont-mahé - 44410 Assérac. Ecole de P kitesurf : www.plaisirkite.com, Tél : 06.50.49.39.22. Restaurant Les Pieds dans l’eau et bar à huîtres et glacier le Wind Beach, avec un service sans interruption et donnant sur la plage, Tél : 02.51.10.21.20. Camping le Moulin de l’Eclis avec parc aquatique : www.camping-moulin-de-leclis.fr. Tél : 02.40.01.76.69.
Assérac
À environ une heure de voiture de Nantes, à la frontière du Morbihan et de la Loire-Atlantique, se trouve un paradis pour kitesurfeurs et planchistes… mais pas que ! Car cette baie est idyllique et magique pour tous. Le panorama, à couper le souffle, donne l’impression d’être sur une plage du bout du monde. Ici, pas de béton ni de bitume le long de la plage, pas de voiture ou de route à traverser, on ne voit que falaises, dunes et forêts de pins. On l’appelle à juste titre « la Méditerranée de l’Ouest », car l’eau peut y atteindre les 30 degrés l’été. Alors si vous recherchez un endroit dépaysant et calme, c’est sur ce spot qu’il faut venir pour vous y balader. Grâce à ses fonds sableux, la plage de Pont-Mahé est particulièrement propice à la pratique du kitesurf et de la planche à voile. D’ailleurs, selon l’école de kitesurf Plaisir Kite : « Ici on a pied partout, il n’y a pas de vague, pas de courant, pas d’obstacle, la baie est “ fermée ” et idéale pour apprendre et évoluer rapidement en kitesurf et en toute sécurité ». La plage, surveillée l’été, avec ses eaux peu profondes, est donc parfaite pour toute la famille. À marée basse, il faudra marcher un peu pour vous tremper les pieds. Alors si l’envie vous prend d’y rester plusieurs jours, pour profiter un maximum des différentes marées, le camping donnant directement sur cette plage peut être une bonne alternative. La ville d’Assérac possède également des marais salants et une zone de conchyliculture, c’est-à-dire une zone d’élevage de coquillages comme les huîtres, les moules et les palourdes.
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La plage de Pont-Mahé à Assérac : pour les fans de kitesurf… mais pas que !
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INFOS PRATIQUES Fiche découverte du sentier du littoral Téléchargeable sur le site Internet de l’office de tourisme de Pornichet : www.pornichet.fr. Plage de Bonne-Source - Avenue de Bonne Source – 44 380 Pornichet. Où manger : Restaurant Le Récif sur la plage de Bonne Source, Tél : 02.40.61.61.20 (réservation recommandée). Plage de Sainte-Marguerite - Boulevard de l’Océan – 44 380 Pornichet.
Pornichet Pornichet : de la plage de la Bonne-Source à la plage Saint Marguerite Envie de vous balader sur des planches en bois en profitant d’une vue splendide sur une grande étendue de sable fin et sur l’océan d’une couleur bleu azur ? Commencez cette petite balade vivifiante de 3 km par la plage de la BonneSource, la plage la plus étendue de Pornichet, « The Beach to be », « une plage immense mais discrète, tendance mais mystérieuse » selon les membres de l’office de tourisme. Ce superbe spot est très apprécié pour la baignade, mais aussi par les adeptes du bodyboard et du skimboard. Du quoi ? Du bodyboard : à l’aide d’une petite planche adaptée à sa morphologie, on s’arme de palmes courtes aux pieds, on palme, on rame avec les bras, et on glisse sur la vague le ventre collé à la planche. On devient également adepte de l’aquaplaning avec le skimboard, c’est-à-dire en lançant une petite planche en bois sur une grande étendue de sable recouverte d’une fine couche d’eau, en sautant dessus, et en glissant le plus longtemps possible… Testez ou regardez les pros en action ! Continuez sur ce chemin des planches en bois, et admirez la dune qui évolue en fonction des assauts du vent et de l’océan. Vous arrivez sur la pointe de Congrigoux, qui offre une belle vue sur les îles de la Pierre Percée, Baguenaud et des Evens, ainsi qu’un panorama exceptionnel de la pointe Saint-Gildas de Préfailles à la pointe de Penchâteau du Pouliguen. Vous apercevez alors la plage Saint-Marguerite, la plus petite des trois plages de Pornichet, bordée de grandes villas d’antan, plus familiale avec son club de plage, dans un environnement boisé et fort agréable. Pour la petite histoire, de nombreux artistes, compositeurs et célébrités l’ont fréquentée, comme Sarah Bernhardt.
émaphore de la Pointe Saint-Gildas – 44 770 Préfailles Tél : 02 40 21 01 21. Plage de l’Étang – S 44 210 Pornic (c’est la plage la plus à l’ouest de Pornic, à la limite de Préfailles). À savoir : vous trouverez des grands parkings à proximité de la pointe Saint-Gildas, et de la plage de l’Étang.
Préfailles / Pornic
Il faut compter environ une heure et demie pour cette balade à pied sur le sentier des douaniers. Il s’agit là, sans aucun doute, de l’un des plus beaux panoramas de la côte de Jade, ainsi nommée en raison de la couleur de son eau d’un vert soutenu. Vous pourrez vous y baigner au gré de vos envies sur tout son long. En partant de la pointe Saint-Gildas, vous remarquerez sans doute le sémaphore devenu phare. Son espace muséographique se visite. Longez ensuite la mer en direction de Pornic en empruntant le sentier des douaniers. C’est sur cette partie de la pointe, sauvage et ventée, que vous croiserez bon nombre de surfeurs et de planchistes. Au bout de 45 minutes de marche environ, vous arriverez à la plage de Port Meleu. La plage de Port Meleu est la plus proche de la source ferrugineuse qui fit la renommée de Préfailles. On ne saurait trop vous conseiller de faire une petite pause gourmande au bar-restaurant Les Viviers de Port Meleu, ouvert toute la journée. Il est un peu comme une oasis en plein désert côtier. En fonction de l’heure, à vous de choisir entre un petit café, une friture d’éperlans, ou des rhums arrangés, à prendre de préférence sur la grande terrasse qui surplombe la plage. Continuez ensuite pendant une trentaine de minutes jusqu’à la plage de l’Étang, une splendide plage préservée de Pornic, découpée en plusieurs larges criques. Ici le littoral est protégé, pas de construction, pas de route, juste une succession de criques au sable fin légèrement orangé. C’est l’endroit idéal pour étendre sa serviette, et profiter de l’eau transparente.
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Balade du Sémaphore de la pointe Saint-Gildas de Préfailles à la plage de l’Étang de Pornic.
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LE GUIDE D’ÉTÉ // 50 SORTIES INSOLITES
INFOS PRATIQUES Auberge de la Fontaine aux Bretons - C hemin des Noëlles 44210 Pornic, Tél : 02 51 74 07 07 (Résidence), Tél : 02 51 74 08 08 (restaurant). Copanema bar-restaurant, 24 avenue de Noirmoutiers, 44 760 La Bernerie-en-Retz.
Pornic / Bernerie-en-Retz De la plage de la Fontaine aux Bretons de Pornic à la grande plage de la Bernerie-en-Retz Prêts pour une balade riche en coups d’œil le long de la baie de Bourgneuf ? Commencez par vous garer sur le grand parking de la plage de la Fontaine aux Bretons à Pornic. Dirigez-vous vers sa belle auberge aux volets bleus entourée de rangées de vigne. Vous êtes chanceux : son jardin, son potager, et sa ferme se visitent librement. Et parfois même des artistes y exposent leurs œuvres. Prenez ensuite la route qui descend vers la plage, face à l’île de Noirmoutiers. La vue sur la baie y est unique et saisissante par sa beauté. Empruntez le sentier douanier vers la Bernerie-en-Retz tout en marchant le long des falaises. Admirez au passage le dolmen du Prédaire sur votre gauche, avant de découvrir la magnifique plage de la Boutinardière, grande crique de sable fin où se dressent de gigantesques rochers. Continuez à marcher en la surplombant, son horizon y est magique. Par la suite si vous souhaitez profiter au maximum de la vue sur toutes les pêcheries, il vaut mieux effectuer cette balade par marée basse. Vous pourrez ainsi vous rendre sur la grande plage de la Bernerie-enRetz sans longer la route sur la fin du circuit. Parcourez enfin les différentes criques qui vous mèneront sur la grande plage de La Bernerie-en-Retz. Vous vous sentirez tout petit comparé à la hauteur des nombreuses pêcheries. Respirez à fond : ça y est, vous êtes en vacances ! Vous avez gagné le droit de vous arrêter au bar-restaurant Copanema pour profiter de ses poufs colorés les pieds dans le sable, en sirotant une collation sur cette grande plage calme et familiale. Il ne vous reste plus qu’à parcourir le chemin en sens inverse ! Comptez une heure de marche environ pour l’aller.
Plage de Monsieur Hulot Plage de Saint-Marc - 44600 Saint-Nazaire
Saint-Nazaire
Est-il encore nécessaire de présenter cette superbe plage mythique de Saint-Nazaire ? Celle où Monsieur Hulot a passé ses vacances ? Celle où Jacques Tati a tourné en 1951 un succès cinématographique qui a triomphé en France et à l’étranger ? Partez du célèbre Hôtel de la plage, et posez vos pas dans ceux de Monsieur Hulot, après avoir salué sa statue en bronze qui veille sur la plage. Cinq cabines-totems jalonnent un parcours qui est indiqué sur un grand panneau, où vous pourrez vous y faire prendre en photo. Sachez qu’une version restaurée du film Les Vacances de Monsieur Hulot a été réalisée en 2009. En direction de Pornichet, ce bout de chemin côtier bordé de magnifiques villas, est exclusivement réservé aux piétons, « à leurs risques et périls », comme le signalent de nombreux balisages tout le long des falaises. Après 5 minutes de marche, une petite aire de jeux donnant sur l’océan accueille les enfants en bas âge. On arrive ensuite à la plage de Saint-Eugène, plus calme que sa voisine. En continuant le sentier douanier, on découvre alors la plage de Grand Traict, qui se mérite pour qui veut s’y baigner avec son grand escalier abrupt. Sa quiétude, son environnement sauvage à la végétation méditerranéenne, avec ses pins parasols et maritimes, en font l’une des plus belles plages de Saint-Nazaire. Mais chuuuuut ! Les habitués souhaitent garder son anonymat pour en profiter au maximum… Enfin pour les adeptes du naturisme, poursuivez votre chemin sur cette côte rocheuse aux petites criques, vous tomberez alors sur les plages de Petite Vallée et des Jaunais, qui vous assurent plus de confidentialité.
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Littoral & plages
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Saint-Nazaire : de la plage de Monsieur Hulot à la plage des Jaunais
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INFOS PRATIQUES enseignez-vous auprès des offices de tourisme ou mairies des communes sur la côte pour R connaître les recommandations sanitaires des différents sites, pour demander le guide des bonnes pratiques de pêche à pied ainsi que les horaires des marées.
Littoral Grandes marées : ramassage de coquillages et crustacés « Sur la plage abandonnée… coquillages et crustacés… » Inutile de vous dire que vous ne serez pas seuls sur ces grandes plages ou sur les rochers lors des grandes marées ! Car c’est LE rendez-vous estival de tous les amoureux de pêche à pied et l’occasion de repartir avec son seau ou son panier en osier plein. Cette année, les plus gros coefficients de marée, ceux qui sont supérieurs à l’indice 100, auront lieu au mois d’août, les 1er, 2, 3, 4, 29, 30 et 31 août. La pêche à pied se pratique également facilement avec des coefficients au-delà de 80. N’hésitez pas à vous procurer l’agenda des marées pour profiter pleinement de cette pêche à marée basse. Mais attention ! La pêche à pied est réglementée. Il faut bien respecter les tailles et quantités des coquillages indiquées sur les panneaux au niveau des plages, utiliser du matériel adapté, ne pas laisser de déchets, bien remettre les pierres retournées à leur place, et ne prendre que ce dont vous avez besoin pour votre consommation. Pour les crevettes, on utilisera des haveneaux pour ratisser le sable. Pour les palourdes et autres coquillages fouisseurs, on s’armera d’un grattoir à 3 dents ou d’un couteau. On ramassera les moules et les autres fruits de mer à la main avec des gants. Râteau, pelle, pioche sont interdits. Cette petite mise au point faite, à vous huîtres, moules, palourdes, praires, crabes, étrilles, bigorneaux, crevettes grises ou roses… Renseignez-vous auprès des offices de tourisme ou mairies des communes sur la côte pour connaître les recommandations sanitaires des différents sites, pour demander le guide des bonnes pratiques de pêche à pied ainsi que les horaires des marées.
Office de tourisme de Pornic - Place de la gare - 02 40 82 04 40 - www.ot-pornic.fr - L’été, du lundi au samedi : 9h30 à 12h30 et 14h00 à 18h30. Le dimanche et les jours fériés : 10 h 30 à 13 h et 15 h à 17 h 30 - Pour la location de vélos : Ada - 6/8 Route Saint-Père-en-Retz - 02 40 21 12 01 Ouvert le dimanche - Accessible sans réservation - Horaires TER : www.voyages-sncf.com
Pornic
Les amoureux de la petite reine, les fans de bicyclette, les adeptes du vélo aimeront, à n’en pas douter, profiter des joies du cyclisme et des paysages marins. C’est pourquoi, l’office de tourisme de Pornic leur propose une sortie aux accents iodés, où le dieu Éole peut parfois se montrer favorable s’il a la gentillesse de vous pousser, ou franchement hostile s’il est face à vous... Pour cela, rendezvous à Pornic pour profiter des circuits Vélocéan et Vélodyssée. Pourquoi ne pas commencer par donner quelques coups de pédale entre le Vieux Port de pêche, le château de Pornic et le port de plaisance de la Noëveillard ? C’est joli, agréable et idéal pour une bonne entrée en matière. À vous ensuite d’évaluer vos envies et votre courage. Une petite boucle de 7 km ? Quittez Pornic vers la Bernerie-en-Retz via le circuit Vélocéan, et longez les plages de la Source, de la Birochère, de la Joselière, de la Fontaine aux Bretons et de la Boutinardière. Si le temps est clément, choisissez donc l’une des ces plages pour piquer une tête avant de rentrer. Pour ceux qui ont les mollets déjà bien fermes, depuis Pornic, suivez le balisage en direction de La Plaine-surMer. Si la route quitte la côte, elle n’en est pas moins agréable pour profiter des verts pâturages…Et sachez que la balade le long de la côte de Préfailles, avec sa Grande Plage et la pointe de Saint-Gildas n’en seront que plus belles à votre arrivée. Côté logistique : pour ceux qui arrivent à Pornic avec leurs vélos, pas de soucis. Et enfin, pour ceux qui arrivent les mains vides, il est possible de louer des bicyclettes (adultes et enfants) auprès de l’agence Ada. Il ne vous reste maintenant plus qu’a pédaler !
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Du vélo en bord de mer, du coup de pédale à la baignade…
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