Les câbles électriques sont les artères de toute installation électrique
Tout ce qu’il faut savoir sur les câbles photovoltaïques unifilaires
Le direct-to-consumer : ami ou ennemi ?
Le Gira System 3000 permet d’entrer dans le monde de la maison intelligente en toute simplicité. La commande de l’éclairage, des stores et de la température ambiante peut être effectuée soit manuellement par interrupteur, automatiquement selon les horaires spécifiés ou confortablement via l’application Gira System 3000. Adaptez les fonctions à votre quotidien de manière aussi intuitive que facile de façon à économiser de l’énergie. Les modules rapportés de commande du Gira System 3000 sont disponibles en différents designs et peuvent être facilement remplacés.
En ce début d’année scolaire 2024-2025, nous tournons notre regard vers les fondements de l’avenir de notre secteur : l’enseignement électrotechnique. En effet, alors que notre secteur ne cesse de croître et que la technologie évolue à un rythme effréné, nous déplorons que trop peu de jeunes optent pour des formations techniques et professionnelles. La pénurie d’enseignants, en particulier dans les matières pratiques, nous préoccupe en outre très fortement. Cette situation a des répercussions directes sur la qualité de l’enseignement et sur nos entreprises qui recherchent de jeunes talents qualifiés pour renforcer le marché du travail.
Chez Nelectra, nous prenons ces défis à cœur. De concert avec le secteur, nous nous mobilisons pour promouvoir la technique et la technologie en tant qu’orientations d’études et choix de carrière attrayants. Avec notre campagne Go-Electro, par exemple, nous faisons découvrir aux enfants et aux adolescents les infinies options de notre secteur. Sur les réseaux sociaux, des célébrités et des influenceurs participant mettent les jeunes au défi de relever des challenges électrotechniques, tels que la construction d’un chargeur solaire. Rien de pire qu’un smartphone dont la batterie est déchargée, pas vrai ? Par cette approche ludique, nous cherchons à inspirer les jeunes à se tourner vers les filières techniques.
Les initiatives de ce type portent leurs fruits, l’enseignement secondaire technique et professionnel connaît un regain de popularité ces dernières années. Mais il reste beaucoup à faire. Et pour réellement résoudre cette pénurie sur le long terme, il convient de changer les mentalités, mais aussi que l’enseignement et les entreprises travaillent main dans la main. Ces dernières accueillent les stagiaires pour qu'ils obtiennent l’expérience pratique indispensable à leur carrière de techniciens. Notre secteur est d’ailleurs un pionnier en matière de formation en alternance, lors de laquelle les connaissances et les compétences sont enseignées à la fois à l’école et sur le lieu de travail. Peut-être faites-vous partie des 560 entreprises de notre secteur déjà reconnues comme entreprises formatrices ? Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à demander de l’aide à nos conseillers Nelectra.
Les enseignants et autres accompagnants des étudiants en entreprise ont besoin d’un soutien digne de ce nom pour mieux former les techniciens de demain. Ils méritent non seulement notre estime, mais aussi un soutien structurel et des moyens suffisants pour s’acquitter correctement de cette importante tâche. En tant qu’organisation sectorielle, nous faisons notre part en mettant à disposition du matériel pédagogique et didactique et en permettant aux écoles – en collaboration avec les fabricants et les grossistes – d’avoir accès à peu de frais à du matériel électrotechnique pour les cours.
Il est encourageant de constater que les nouveaux gouvernements, tant flamand que wallon, sont déterminés à améliorer la qualité de l’enseignement et à remédier aux pénuries. En effet, sans talents techniques bien formés, l’innovation dans notre secteur est mise à mal et le fossé sur le marché du travail ne fait que se creuser. Continuons donc à investir dans les jeunes et dans l’enseignement. Ensemble, préparons les prochaines générations d’électriciens à relever les défis qui les attendent !
Des réactions ?
Fallon Declerck fallon.declerck@nelectra.be
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9 chantiers sur 10 mis à l’arrêt
La personne derrière Ludo Holemans 31
“De quoi dois-je tenir compte lors du remplacement d’un onduleur dans une installation photovoltaïque existante ?”
Magazine d’information pour les professionnels du secteur de l’électro. ElectroVision/ElektroVisie a un tirage de 8.019 exemplaires. ElectroVision est un mensuel publié par Nelectra asbl : Nationaal Verbond van Zelfstandige Elektriciens en Handelaars in Elektrische Toestellen, Stationlei 78 boîte 1/1, 1800 Vilvoorde BE 0410 342 662 RPM Bruxelles · T: 02 550 17 11, info@nelectra.be, www.nelectra.be/fr/home
comité de rédaction Dirk Van Steenlandt, Eric Claus, Ludo Holemans, Frank Vanlangendonck, Rudy Van den Bergh, Danny Hermans, Linda Claeys, Fallon Declerck, Els Heyrman, Layla Redjeb, Vincent Boydens
Rédacteur-en-chef Els Heyrman 02 550 17 21 els.heyrman@nelectra.be
régie publicitaire TREVI · Thomas Lannoo Meerlaan 9 · 9620 Zottegem 09 326 74 51 thomas@trevi-regie.be
reportages Linda Claeys linda.claeys@nelectra.be
éditeur responsable Fallon Declerck Stationlei 78 1/1 · 1800 Vilvoorde 02 550 17 11 traduction Akira Translations translations@akiratranslations.be
Les articles et les annonces paraîssent sous la responsabilité de leurs auteurs et annonceurs. La réproduction des articles est autorisée après autorisation écrite de l’éditeur. Membre de l’Union des Editeurs de la Presse Périodique
imprimerie Bredero Graphics
administration Nadia Van Nuffel · 02 550 17 17 nadia.vannuffel@nelectra.be Marian Hemerijckx · 02 550 17 18 marian.hemerijckx@nelectra.be cover Fluvius
Nelectra utilise vos données personnelles à des fins de gestion de ses membres et prospects. Si vous ne souhaitez pas que vos données soient utilisées à ces fins, il vous suffit de nous le signaler par courriel à l’adresse info@nelectra.be. Vous pouvez consulter et faire modifier vos données sur simple demande, avec preuve de votre identité, auprès de Nelectra, Stationlei 78 bus 1/1, 1800 Vilvoorde, ou via info@nelectra.be. Pour toute question ou plainte relative au traitement des données, vous pouvez directement vous adresser à l’Autorité de protection des données. Vous trouverez notre politique générale en matière de protection de la vie privée sur notre site web www.nelectra.be. Vos données nous sont peut-être parvenues via une base de données externe. Vous pouvez obtenir de plus amples informations sur simple demande.
Le direct-to-consumer : ami ou ennemi ?
3 Les réflexions de Fallon
6 Nelectra rend visite a ses membres
Delec Security : « Les collègues ne sont pas des concurrents quand le travail ne manque pas ! »
8 Nelectra vous informe
8 Allô Nelectra?
10 À l’écoute du secteur
12 9 chantiers sur 10 mis à l’arrêt
13 Nouveau C1/107 de Synergrid
14 Europe
Que fait l’UE contre les importations de Chine ?
16 Des réparations ciblées sur les éoliennes grâce à la détection des anomalies
20 RetailDate 2024
Le direct-to-consumer : ami ou ennemi ?
23 Informations techniques
23 Tout ce qu’il faut savoir sur les câbles photovoltaïques unifilaires
26 Les câbles électriques sont les artères de toute installation électrique
28 Inspection de votre installation électrique (3)
31 7 questions personnelles à Ludo Holemans, président du groupe de travail
Retail
Lors de notre rencontre, Eric Dellaert est occupé à l’entretien annuel du système d’alarme de la Maison Sociale de Sleidinge-Dorp. « C’est la loi qui l’impose », déclare-t-il d’emblée. « Tout comme l’obligation de confier l’installation d’une alarme à un entrepreneur agréé. »
Lors du contrôle, Eric Dellaert vérifie le bon fonctionnement des différents composants et, après quelques années, remplace les batteries de manière préventive : « Cet entretien annuel obligatoire permet aussi d’éviter les fausses alertes. »
Delec Security a vu le jour au début des années 1990. Auparavant, Eric Dellaert a travaillé pendant dix ans pour une entreprise de sécurité, où, les dernières années, il était responsable du service après-vente en Flandre-Orientale et Occidentale. Pourquoi s’est-il lancé comme entrepreneur indépendant ? « Parce que conseiller les clients de A à Z m’apporte plus de satisfaction ! Qu’il s’agisse de protection contre l’intrusion au moyen d’une alarme et/ou de caméras, de détection incendie, de contrôle d’accès ou, comme c’est de plus en plus souvent le cas actuellement, de systèmes intégrés. Je suis un technicien dans l’âme. J’aime concevoir des systèmes techniques, mais aussi les installer moi-même. »
Peu après la création de Delec Security, Eric Dellaert s’est affilié à Nelectra et est devenu membre du conseil d’administration. C’est l’inspirateur du groupe de travail Sécurité, le regretté Carlo De Groote, qui l’a convaincu de rejoindre le groupe de travail. Et Nelectra peut également compter sur Eric au sein de l’action provinciale de Flandre-Orientale, de l’assemblée générale et du conseil d’administration. « Dans le groupe de travail Sécurité, je me tiens au courant de ce la législation nous réserve. À cet égard, les contacts avec les autres entrepreneurs du secteur de la sécurité et avec les autres installateurs électrotechniques sont extrêmement précieux. D’ailleurs, mes collègues de Flandre-Orientale ne sont pas des concurrents, à mon sens. Ce n’est pas nécessaire dans notre secteur où, de toute façon, le travail ne manque pas. Grâce au boucheà-oreille, les clients viennent à moi et j’ai le luxe de travailler dans un rayon de 30 kilomètres autour de la ville où je vis, Sint-Amandsberg. Mais pour les bons clients, il m’arrive de faire quelques kilomètres de plus », ajoute Eric en souriant.
Els Heyrman
Johan Martens
En tant que membre de Nelectra, vous pouvez toujours vous adresser à nos conseillers pour leur poser vos questions d’ordre juridique, technique, social, fiscal... Voici les questions intéressantes que nous avons relevées ces derniers mois.
Quels documents dois-je mettre à la disposition de l’organisme de contrôle accrédité lors du contrôle technique du système de détection et d’alarme incendie ?
Selon l’OTC (Organe Technique Commun des Organismes de Contrôle), vous devez être en mesure de présenter divers documents de base. En voici un récapitulatif :
• Les résultats de l’analyse des risques (limites du système de surveillance, installations de sécurité, installations critiques).
- les plans d’implantation indiquant la position des différents équipements ainsi que les répétiteurs optiques d’alarme ;
- les types de câbles utilisés ;
- la liste de tous les locaux avec les composants installés (détecteurs, déclencheurs manuels, sirènes…), l’adresse de ces composants (s’ils sont adressables) et le texte associé ;
- la liste de la fonction des composants (alerte, alarme, déclenchement des asservissements…).
• La grille d’exécution des asservissements (causes/effets).
Contactez notre conseillers Nelectra pour tout complément d’information :
Layla Redjeb layla.redjeb@nelectra.be 02/ 550.17.19
Freddy Steenackers freddy.steenackers@nelectra.be 02/550.17.11
• Les plans de compartimentage résistant au feu (si le compartimentage est prescrit par une règlementation ou découle de l’analyse des risques).
• Le niveau de surveillance (indépendamment des résultats de l’analyse des risques).
• Les références à la réglementation.
• Le document relatif aux influences externes conformément au Règlement général sur les installations électriques (arrêté royal du 8 septembre 2019 établissant le Livre 1, le Livre 2 et le Livre 3).
• Le justificatif du choix des équipements et câblages en fonction des influences externes.
• La liste des voies de transmission dont le maintien de fonction en cas d’incendie doit être garanti ainsi que le temps exigé pour le maintien de fonction.
• L’autonomie des batteries.
• Les plans des zones de détection et des zones d’alarme.
• Les plans et documents « As Built » de l’installation :
- le schéma unifilaire ou le schémabloc de l’installation et de raccordement des composants ;
• Le rapport de mise en service avec la check-list de contrôle établie lors des essais et contrôles effectués lors de la mise en service.
• Le document de réception du placement de l’installation.
• La documentation accompagnant les composants (instructions d’installation, d’utilisation et d’entretien, etc.)
• Les déclarations de performances des composants couverts par une norme européenne harmonisée ou conformes à une évaluation technique européenne (ETE).
• La compatibilité (interopérabilité) NBN EN 54-13 + restrictions observées.
• Les instructions de surveillance régulière et d’essai.
• Le registre d’événements (logbook).
Lors des contrôles périodiques, vous avez besoin de trois choses :
• Le dossier technique du système de détection et d’alarme incendie.
• Le rapport du contrôle initial (conforme) ainsi que le dernier rapport de contrôle périodique.
• Les instructions d’utilisation du système dans la langue de l’utilisateur.
Devenir membre: cotisation annuelle à partir de 112 €
Word lid vanaf € 112 per jaar
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L’arrêté royal sur l’ergonomie, qui fait partie intégrante du Code du bien-être au travail, est entré en vigueur le 25 mai dernier. Cette législation impose aux employeurs de procéder de manière préventive à une analyse des risques ergonomiques et de prendre les mesures appropriées pour prévenir les troubles physiques tels que les douleurs dorsales et cervicales. Elle s’applique tant aux installateurs, qui sont soumis chaque jour à des contraintes physiques, qu’aux détaillants en électro, qui doivent effectuer des mouvements répétitifs et soulever des charges lourdes. Ces deux groupes doivent répertorier les risques et adapter leur lieu de travail afin d’adopter des postures de travail ergonomiques, mais aussi utiliser des aides pour soulever les charges.
Nelectra, en collaboration avec ses partenaires, évalue les besoins du secteur afin de développer des solutions spécifiquement adaptées à l’ensemble du secteur électrotechnique. Nous étudions diverses possibilités pour proposer un modèle d’analyse des risques ergonomiques adapté aux circonstances uniques de notre métier. Les outils et les aides que nous souhaitons offrir visent à simplifier le processus d’analyse et sa mise en œuvre. L’étude des défis ergonomiques spécifiques au secteur joue ici un rôle essentiel. La contribution de nos membres nous permet de mieux comprendre comment nous pouvons les accompagner au mieux. Les personnes intéressées peuvent partager leurs expériences et leurs idées en envoyant un message à info@nelectra.be.
Pour information : plusieurs outils sont déjà disponibles dans notre secteur pour aider nos membres installateurs, tels que la formation « Travailler ergonomiquement pour les électriciens » et la « Toolbox ergonomie » de notre fonds sectoriel Volta. Un toolbox meeting s’intègre dans une analyse des risques participative et peut fournir des informations précieuses.
Nelectra collabore avec UNIZO à une approche sectorielle de la CSRD
Le Pacte vert est la stratégie de l’Union européenne pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat et accroître l’indépendance et la durabilité de l’Europe en matière d’émissions et d’énergie. Les entreprises sont également encouragées à apporter leur contribution. Les efforts demandés ont récemment pris une forme concrète avec l’introduction de la directive relative à la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises (CSRD, Corporate Sustainability Reporting Directive), également connue sous le nom de directive sur le « devoir de vigilance ».
Elle a été publiée au Journal officiel de l’UE le 5 juillet 2024. La Belgique a deux ans pour la transposer dans son droit national. La directive aura un impact considérable sur de nombreuses entreprises, leurs fournisseurs et leurs sous-traitants. L’objectif est d’intégrer le développement durable au cœur des activités de l’entreprise, de promouvoir une culture de la transparence et de la responsabilité et d’augmenter l’impact positif de l’entreprise.
La CSRD impose plus particulièrement aux grandes entreprises de lourdes obligations en matière de publication d’informations. Aujourd’hui, la croissance n’est plus le seul critère de performance d’une entreprise, la manière dont elle relève les défis sociaux et environnementaux compte également. Les conseils d’administration qui intègrent complètement les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leur stratégie d’investissement font preuve d’une bonne gouvernance et contribuent à la durabilité à long terme de leurs activités. Les rapports ESG sont donc appelés à jouer un rôle important pour les PME et les sous-traitants des grandes entreprises. Les entreprises reçoivent dès lors des questionnaires de plus en plus détaillés de la part des grandes entreprises parmi leurs clients.
En tant qu’organisation sectorielle, nous pensons qu’il est important de trouver une réponse commune et d’aider ainsi nos membres à répondre aux questions les plus courantes. Nous analysons dès à présent l’impact de la directive sur vos activités afin de disposer de plans d’action en temps utile. En vue de soutenir nos membres grâce aux connaissances et à l’expertise dont ils ont besoin, notre conseiller a participé à plusieurs séances d’information
et ateliers sur la CSRD. Ces séances nous ont permis de répondre aux questions suivantes :
• Qu’est-ce que la CSRD et quelles sont les entreprises concernées par cette directive ?
• Sur quoi les rapports doivent-ils porter exactement et à partir de quelle date ?
• Comment aborder la CSRD ?
• En tant qu’entrepreneur, comment se préparer au mieux ?
Nelectra collabore avec UNIZO à l’élaboration d’une approche sectorielle de la CSRD afin de guider nos membres dans l’établissement de leurs rapports de durabilité et, ainsi, d’identifier, de mesurer et de rapporter
de manière uniforme les défis en la matière. Nelectra a par ailleurs constitué son propre groupe de travail
« Sustainability », qui traite diverses questions relatives à la durabilité, telles que l’efficacité énergétique, l’économie circulaire et le soutien des membres en vue de la conformité à différentes obligations en matière de durabilité, notamment la CSRD.
Afin de garantir une approche cohérente et ciblée, adaptée à vos besoins, nous vous invitons à partager avec nous les informations que vous avez déjà collectées lors de votre propre parcours dans le cadre de la CSRD. Surveillez notre site et notre lettre d’information pour vous tenir au courant des derniers développements dans ce domaine !
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TUYAUX EXTÉRIEURS
• Étanche à l’eau et aux gaz jusqu’à 5 bar
• Gonfle jusqu’à 450% de son volume initial en contact de l’eau.
• Excellente adhérence et élasticité permanente
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• Mortier à prise rapide
• Pour arrêter les infiltrations et les fuites d’eau dans le béton ou la maçonnerie, même sous haute pression
TUYAUX INTÉRIEURS
• Résistante à l’eau jusqu’à 3 bar
• Flexibilité permanente
• Durable
De mai à septembre, l’Inspection du travail (Contrôle du bien-être au travail) du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale a effectué des contrôles sur une cinquantaine de chantiers d'installation de panneaux solaires. Ces inspections, qui ont eu lieu sur l’ensemble du territoire belge, portaient sur la sécurité du travail en hauteur et du transport vertical des panneaux photovoltaïques.
Les chutes d’une hauteur sont la cause numéro un des accidents du travail les plus graves, c’est-à-dire les accidents mortels et ceux qui entraînent des lésions permanentes. Les chutes d’une hauteur restent donc le principal risque pour la sécurité sur les chantiers. Une campagne d’inspection ciblant le secteur de l’énergie solaire a dès lors été menée tant sur les installations photovoltaïques de particuliers que sur les grandes installations industrielles sur les toits de hangars, d’entrepôts et de bâtiments commerciaux. Par ailleurs, ainsi que Nelectra en avait exprimé le souhait, une grande attention a été accordée aux achats groupés lors de ces inspections.
Au total, une cinquantaine d’inspections ont été effectuées. La campagne a débuté mi-mai. Une première évaluation a été réalisée en juin. Dix de ces inspections ont été examinées en détail, à la suite de quoi neuf chantiers ont été mis à l’arrêt. Les résultats définitifs de toutes les inspections seront publiés en janvier. Les résultats intermédiaires ont été présentés lors de l’après-midi d’étude « Verantwoord, duurzaam en veilig (laten) plaatsen van zonnepanelen » ((Faire) installer des panneaux solaires de manière responsable, durable et sûre),
le jeudi 10 octobre, à la Provinciehuis Oost-Vlaanderen.
Cet après-midi d’étude était organisé par le Provinciaal Comité OostVlaanderen voor de Bevordering van de Arbeid, en collaboration avec divers partenaires, parmi lesquels Nelectra. Danny Van Overmere, conseiller Constructiv, et Tom Vermeersch, inspecteur social du SPF ETCS, DG CBT, y ont pris la parole.
Les personnes présentes ont été informées des meilleures pratiques et des pièges potentiels lors de l’installation de panneaux solaires. Les participants ont en outre reçu des explications sur les lois et réglementations en vigueur, les mesures de sécurité essentielles et les équipements nécessaires pour le travail en hauteur. Les résultats intermédiaires de la campagne d’inspection leur ont en outre été communiqués. Enfin, un installateur de la région a exposé les risques électriques et les contrôles requis.
Les participants ont ainsi reçu des informations essentielles qui leur permettront de prendre des décisions en connaissance de cause et de contribuer en toute sécurité à un avenir plus durable. De plus, ils ont eu l’opportunité de rencontrer des collègues du secteur et d’observer quelques équipements de travail (des échafaudages mobiles, par exemple) et de prévention de qualité. Des démonstrations étaient également organisées par divers distributeurs d’équipements de protection individuelle et collective.
Layla Redjeb (Conseillère Nelectra)
Une nouvelle version de la prescription technique C1/107 de Synergrid a été publiée. Les nouvelles évolutions technologiques ont été intégrées dans la version révisée et les prescriptions ont été mises à jour selon les méthodes de travail actuelles et les règles appliquées par les gestionnaires de réseau de distribution (GRD) belges.
Cette prescription constitue la base de tous les raccordements basse tension en Belgique dans toutes les régions. Les prescriptions propres aux GRD régionaux viennent compléter cette dernière. Les installateurs, bureaux d'études, architectes et utilisateurs du réseau de distribution (URD) ont tout intérêt à en connaitre son contenu. Cet article explique l'essentiel de la nouvelle prescription Synergrid et énumère les principales modifications. La prescription technique C1/107 est valable pour tous les nouveaux raccordements basse tension au réseau de distribution ainsi que pour le câble de liaison. Elle est également valable pour les
raccordements existants lors du remplacement de composants spécifiques et contient des prescriptions visant à garantir la sécurité et la qualité globale du réseau de distribution.
Le texte existant sur l'autorisation d'un
Prescriptions techniques générales pour le raccordement d'une installation électrique d'un utilisateur au réseau de distribution basse tension
raccordement pour un usage déterminé, y compris les règles concernant les numéros de maison et les parcelles cadastrales, a été révisé et clarifié. Les modes de raccordement pour les maisons unifamiliales et multifamiliales, les appartements, les garages, les places de parking, etc. ont été inclus dans un tableau récapitulatif clair. Les conditions pour un câble de raccordement supplémentaire - éventuellement sous une tension différente - sont également clairement énumérées.
Le nouveau C1/107 a été publié sur le site web de Nelectra www.nelectra.be dans la rubrique ‘actualités’
Danny Hermans (Volta)
Travaillez avec nous et vous obtiendrez du cuivre propre et un monde plus propre. Chez nous, pas de tarification au doigt mouillé, mais une formule mathématique qui suit de près les prix sur les marchés internationaux. De plus, nous nous alignons déjà sur la stricte légaslation environnementale europpéenne. Vous êtes donc tout à fait en règle.
Cet été, la Commission européenne a annoncé qu’elle portait à 48 % les droits de douane sur les voitures électriques chinoises afin de lutter contre la concurrence déloyale. Ces voitures sont en effet subventionnées à outrance par les autorités chinoises. Mais l’UE prend-elle également des mesures contre les importations d’appareils électroménagers ou de matériel électrotechnique chinois ?
Importations chinoises en Belgique
Parmi les 21 catégories dans lesquelles toutes les marchandises sont classées au niveau mondial, l’une se distingue nettement des autres en termes d’importations en Belgique de produits chinois, à savoir la section XVI « Machines et appareils, matériel électrique et leurs parties ». Ces dix dernières années, les importations chinoises vers la Belgique ont augmenté massivement, tandis que les exportations vers la Chine sont restées stables. En 2023, des machines, des appareils et du matériel électronique chinois pour une valeur de 11 milliards d’euros ont été importés, représentant ainsi un peu plus d’un tiers du total des importations chinoises dans notre pays. En 2014, les importations de ce type de produits en provenance de Chine ne totalisaient que 3,2 milliards d’euros. Au niveau européen, les États membres de l’UE dans leur ensemble ont importé pour un peu plus de 92 milliards d’euros de ces produits en provenance de Chine en 2023.
Pays en provenance desquels la Belgique importe des machines, des appareils et du matériel électrique (Source : TradeXplorer de l’Agence pour le Commerce extérieur).
Quelles mesures l’Union européenne prend-elle ?
Afin de protéger le marché européen contre le dumping de ces produits chinois, des droits de douane sont imposés sur divers produits relevant de la section XVI de la nomenclature des marchandises. Ces droits de douane ne s’appliquent pas à tous les produits, ne sont pas aussi élevés que les droits de douane sur
les voitures européennes et varient très fortement d’un produit à l’autre. Les tarifs des droits de douane sont disponibles dans l’outil Access2Markets de la Commission européenne. Cet outil permet de prendre connaissance des droits de douane sur la base du code du produit, du pays de destination et du pays d’origine, mais aussi des autres taxes (comme la TVA), des réglementations en matière d’importation, de statistiques commerciales ou, en cas d’accord de libre-échange, des règles d’origine. Ces trois produits, par exemple, relèvent de la section XVI « Machines et appareils, matériel électrique et leurs parties » :
• Code HS 8450.11.11 : machines et appareils à laver le linge, d’une capacité unitaire exprimée en poids de linge sec n’excédant pas 6 kg (charge avant) -> droits de douane de 3 %
• Code HS 8508.11 : aspirateurs à moteur électrique incorporé (puissance < 1500 W et réservoir < 20 l) -> droits de douane de 2,2 %
• Code HS 8528.72.10 : téléprojecteurs -> droits de douane de 14 %
Cependant, les droits de douane ne sont qu’un moyen parmi d’autres d’empêcher le dumping sur le marché européen. La principale protection réside dans les exigences européennes et belges en matière de produits, qui sont beaucoup plus strictes que les exigences chinoises. Nous pensons ici au marquage CE, aux labels d’écoconception, aux labels d’efficacité énergétique, etc. Vous trouverez également toutes ces mesures, qui protègent le marché européen contre les produits chinois moins chers et de moindre qualité, dans la base de données Access2Markets de la Commission européenne.
Autonomie stratégique ouverte
Enfin, la nouvelle politique commerciale de l’Union européenne peut aussi être considérée comme une action contre les importations en provenance de Chine. Baptisée « autonomie stratégique ouverte », elle a pour but de réduire la dépendance vis-à-vis des grandes puissances commerciales telles que la Chine, en renforçant nos propres secteurs stratégiques et en encourageant l’innovation, notamment grâce aux mesures suivantes :
• Diversification des fournisseurs : en stimulant les échanges commerciaux avec plusieurs pays, l’UE réduit sa dépendance à l’égard d’une source unique.
• Soutien à la production locale : les investissements dans les technologies et les capacités de production européennes contribuent à accroître la production nationale d’appareils électroniques.
• Protection des infrastructures critiques : en protégeant les infrastructures stratégiques contre les menaces potentielles, l’UE garantit une chaîne d’approvisionnement plus stable et plus sûre. La conclusion de nouveaux accords commerciaux avec le Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay et Bolivie) ou l’AfCFTA (zone de libre-échange continentale africaine), par exemple, peut permettre la suppression ou l’abaissement des barrières commerciales avec d’autres pays afin de promouvoir les échanges.
Emiel Neyrinck (conseiller en entrepreneuriat international UNIZO)
INSTALLATION ÉLECTRIQUE
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Une des études de cas du projet TETRA EnergAI de Howest (voir encadré) a été réalisée en collaboration avec l’entreprise de production d’énergie éolienne Fortech. Les éoliennes collectent chaque jour une multitude de données et d’alarmes. L’analyse de cette grande quantité de données permet de détecter l’usure précoce, les défectuosités et les dysfonctionnements. Les réparations peuvent ainsi être planifiées de manière plus ciblée et les arrêts prolongés peuvent être évités.
En 2021, il a été constaté, lors d’un gros entretien des éoliennes, que le palier principal de l’une d’elles présentait une usure importante. Le palier principal, visible sur la figure 1, est une pièce mécanique qui permet de réduire l’impact des vibrations du moteur et d’absorber les charges radiales et axiales élevées. Le dysfonctionnement de cette pièce augmente le frottement et la perte de chaleur, ce qui provoque l’échauffement de l’éolienne et, finalement, son arrêt. Ce phénomène, qui n’est pas rare, est relativement complexe à surveiller, car plusieurs facteurs influencent la température du palier principal. Dans le cadre de ce projet, nous utilisons l’IA pour détecter les anomalies de température au niveau du palier principal.
Methode
Plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour détecter les anomalies, notamment le clustering, les auto-encodeurs ou l’analyse en composantes principales (ACP). En fonction de l’application, certaines sont
plus appropriées que d’autres. Dans le cas qui nous occupe, il s’agit d’une « anomalie de dérive », ce qui signifie que ce n’est pas un événement isolé, mais une anomalie qui se développe lentement. Un réseau de neurones de type feedforward, composé de deux couches cachées (hidden layers) contenant chacune 64 neurones, a été entraîné. La couche de sortie (output layer) se compose d’un seul neurone qui prédit en continu la température du palier principal. Des données décrivant des éoliennes actives fonctionnant correctement ont été utilisées. Ces données, mesurées durant quatre ans sur sept éoliennes, ont d’abord été nettoyées, normalisées et subdivisées en données d’entraînement, de test et de validation. Le but est de prédire la température du palier principal en se basant sur de nouvelles valeurs mesurées, puis de la comparer à la température mesurée. Nous avons ainsi une idée de la température qui devrait être atteinte si tout fonctionne correctement. Lorsque la prévision s’écarte trop fortement des mesures, il s’agit d’une anomalie.
Mais qu’est-ce qu’un « s’écart trop fort » ?
La valeur de R2 indique dans quelle mesure la prévision se rapproche du comportement réel. Elle peut aller de 0 à 1.
Sa formule de calcul est la suivante : n représente le nombre de points de données, yi représente la valeur réelle du point de données i, ŷi représente la valeur prédite et y - représente la valeur moyenne des points de données réels.
L' erreur quadratique moyenne (mean squared error, MSE) quantifie la différence entre la valeur prédite et la valeur réelle. Elle est calculée à l’aide de la formule suivante :
Plus R2 est proche de 1 et plus la MSE est faible, plus le modèle s’approche des données. Dans ce cas, cependant, nous nous intéressons aux situations où la valeur de R2 est très faible ou négative et où la MSE est trop élevée, en particulier si :
Le projet TETRA EnergAI d’Howest a pour but de soutenir les PME dans leur optimisation énergétique, grâce à des applications basées sur l’IA.
Les entreprises sont en effet de plus en plus conscientes de la nécessité d’une numérisation poussée pour leur croissance, leurs innovations et l’amélioration de leurs processus commerciaux. Étant donné la forte augmentation des coûts de l’énergie et le besoin toujours plus pressant d’améliorer l’efficacité énergétique, les entreprises sont de plus en plus demandeuses d’un soutien lors de leur transition énergétique, pour éviter des dépenses grandissantes dans une économie hautement compétitive.
L’intelligence artificielle peut apporter une solution. Les entreprises ignorent encore trop souvent ce que l’IA peut leur apporter concrètement, et pensent que ce serait trop complexe à leur échelle. En outre, les PME n’ont souvent pas les connaissances nécessaires et/ou manquent de temps pour s’attaquer à l’optimisation énergétique par la collecte et l’analyse approfondie de données énergétiques. Par conséquent, ces entreprises ne perçoivent pas la valeur ajoutée des outils d’intelligence artificielle. Avec le projet TETRA EnergAI, axé sur l’énergie et l’intelligence artificielle, Howest entend soutenir les PME et leur permettre de poser les bons choix dans la transition numérique. Ce projet vise à combler le fossé des connaissances entre le monde de la recherche et celui de l’entreprise.
Nelectra est un partenaire important de ce projet. Notre fédération sectorielle a pour rôle d’assister et de soutenir ses membres dans la mise en œuvre d’installations électriques dans le cadre de la transition énergétique.
Le transfert de technologie ne peut réussir que s’il a lieu dans les deux sens. Les hautes écoles et les universités apportent leurs connaissances théoriques, et les membres de Nelectra, quant à eux, apportent des applications pratiques aux comités d’accompagnement. La théorie peut ainsi être mise en lien avec la pratique quotidienne de nos entrepreneurs Nelectra. Cette approche permet à Nelectra de renforcer la confiance des consommateurs dans la transition énergétique et dans les applications techniques et technologiques.
Les résultats du projet TETRA et des consultations engagées sont également présentés au groupe de travail installation de Nelectra. Pieter Feys, membre du conseil d’administration de Nelectra, assure le suivi de ce projet.
Figure 2 : exemples de courbes prédites (en orange) comparées aux courbes mesurées (en bleu). Le graphique du haut montre un exemple d’éolienne en bon état de fonctionnement. Celui du bas montre une anomalie de la température du palier principal.
La figure 2 présente un exemple de courbes mesurées (en bleu) comparées aux prévisions (en orange). Les données sont celles de deux éoliennes différentes, sur des périodes différentes (1 à 2 semaines). Le graphique du haut correspond à une éolienne en bon état de fonctionnement. La prévision n’est pas parfaite, mais ce n’est ici pas nécessaire. Le graphique du bas montre clairement un écart beaucoup plus important et correspond à une éolienne défectueuse. Toutefois, ces prévisions doivent être traitées avec prudence. Tout d’abord, parce qu’elles ne peuvent être générées qu’à partir d’éoliennes actives (qui ne sont pas à l’arrêt). Ensuite, parce que les données doivent porter sur un nombre suffisant de jours. Au cours de l’étude, il est apparu qu’au moins deux jours sont nécessaires, mais que plus le nombre de jours est élevé, meilleure est la prévision.
L’application de l’IA à la détection des anomalies sur les éoliennes, telle qu’elle est étudiée dans le cadre du projet EnergAI, offre des avantages considérables en termes de prévention des pannes imprévues et de coûts de maintenance. L’utilisation d’un réseau de neurones pour surveiller la température du palier principal permet de détecter rapidement les anomalies, ce qui se traduit par des actions de maintenance plus ciblées et plus efficaces. Cette étude met en évidence le potentiel de la surveillance guidée par l’IA en tant qu’étape dans la poursuite de l’optimisation des solutions d’énergie durable.
Lore Leenknegt (Howest AI Lab)
Les résultats de cette étude, ainsi que d’autres, sont abordés dans les programmes de formation d’Howest. Les jeunes diplômés peuvent suivre un bachelier de spécialisation (BaNaBa) en Sustainable Energy Management. Les professionnels peuvent quant à eux se tourner vers un post-graduat en Energy Monitoring & Energy Transition (PEMET).
1 référence , beaucoup plus de fonctionnalités
1 referentie, veel meer mogelijkheden
Par exemple, la référence OVA47131 remplace 3 références de l’ancienne gamme SmartLed, sans modification des dimensions du produit et avec beaucoup plus de fonctionnalités.
Bijvoorbeeld referentie OVA47131 vervangt 3 referenties van de oude SmartLed reeks, zonder wijziging in productafmetingen en met veel meer toepassingsmogelijkheden.
EXIT SIGN
Vetrosignaalkit (25m) of zelfklevende pictogrammen (20m) voor alle richtingen.
Kit Vetrosignal (25m) ou pictogrammes adhésifs (20m) pour toutes les directions.
DURABILITÉ
DUURZAAMHEID
Plus de 40% des pièces en plastique sont en matériau recyclé. LED haute efficacité et efficacité énergétique accrue grâce à la batterie LiFePO4.
Meer dan 40% van de kunststof onderdelen is gemaakt van gerecycleerd materiaal. Zeer efficiënte LEDs en verhoogde energieefficiëntie dankzij batterij LiFePO4.
CONFIGUREEBAAR
CONFIGURABLE
De 50 à 500lm, 4 autonomies configurables (1h/ 1,5h / 2h/ 3h) et mode permanent et non permanent sélectionnables via des cavaliers.
Van 50 tot 500lm, 4 configureerbare autonomieën (1u/ 1,5u / 2u/ 3u) en permanent en niet-permanent modus selecteerbaar via jumpers.
FLEXIBILITÉ
FLEXIBILITEIT
Flexibilité d’utilisation maximale. Encastrabel, en saillie, au plafond et faux plafond.
Maximale gebruiksflexibiliteit. Inbouw, opbouw, plafond en verlaagd plafond.
Modèles Auto-test (Activa) NOUVEAU!
Retaildate 2024
Vous (re)connaissez sans doute la frustration lorsqu’un de vos fabricants lance un webshop (boutique en ligne) ou un brand store (boutique en ligne consacrée à sa marque) pour y vendre directement aux consommateurs. En tant que détaillant, vous pouvez avoir l’envie de « punir » ce fabricant et de mettre sa marque à l’index. C’est compréhensible. Mais est-ce bien avisé ?
Els Breugelmans, professeure de marketing à la KU Leuven, nous a fait part des observations de plusieurs études scientifiques sur ce sujet lors de notre RetailDate. Un thème passionnant aux conclusions intéressantes, qui a bien alimenté les discussions par la suite !
Lorsqu’un partenaire fabricant se met à la vente directe, vous risquez de le considérer comme un « ennemi », quelqu’un qui peut cannibaliser vos ventes. Un tel changement impacte l’offre sur le marché, une tendance qui n’a pas échappé aux chercheurs de la KU Leuven. Et ils l’ont jugée suffisamment intéressante pour l’étudier dans une perspective académique.
Le direct-to-consumer, qu’est-ce que c’est ?
Avant d’aborder les constatations des études scientifiques menées, Els Breugelmans a défini plus précisément le concept de « direct-to-consumer » : « Par ces canaux, les fabricants vendent directement au consommateur. Ils éliminent donc l’intermédiaire, c’est-à-dire le détaillant. C’est ce qu’on appelle la désintermédiation. »
Toutefois, dans la pratique, les fabricants ne se limitent que rarement à la vente directe, mais combinent les deux canaux : les producteurs vendent leurs produits aussi bien via les détaillants que directement au consommateur. Et ces canaux directs ne datent pas d’hier : Apple, par exemple, possédait déjà son propre webshop à la fin des années ‘90 et n’a pas tardé à lancer des brand stores. Le concept du direct-to-consumer n’est donc pas aussi neuf que vous le pensez peut-être.
Au début de sa présentation, Els Breugelmans a souligné ne pas avoir la moindre préférence pour l’un ou l’autre canal : « Cette présentation est le résultat d’une recherche scientifique indépendante. »
Quelle est l’ampleur du directto-consumer ?
À l’heure actuelle, le marché du direct-to-consumer est encore restreint.
Nos recherches nous ont appris que plus de 80 % des consommateurs commencent leur parcours d’achat en ligne.
Mais il présente un potentiel non négligeable. Els Breugelmans nous a fait part de quelques chiffres pour illustrer la croissance rapide de ce secteur : « Aux États-Unis, on observe depuis 5 ans une croissance soutenue, avec une hausse entre 34 % et 17 % chaque année. En revanche, avec un chiffre d’affaires de seulement 212 milliards par an, le direct-to-consumer n’occupe qu’une toute petite part du marché total du détail (611
milliards par mois). Mais de tels chiffres indiquent une tendance réelle. » Bien entendu, la situation varie grandement d’un secteur à l’autre. Mais pour l’électro, les consommateurs sont très intéressés par l’idée de traiter directement avec les marques. Cette tendance est donc à surveiller.
Els Breugelmans a également cité des chiffres belges : une enquête de Comeos menée en 2024, qui demandait à des consommateurs où ils avaient réalisé leur dernier achat en ligne. Les market places (« places de marché ») en ligne (comme amazon.com ou bol. com) arrivaient en tête, avec un score de 37 %. Suivaient les webshops des marques (23 %), puis les stores/détaillants (20 %). Il s’agit des chiffres tous secteurs confondus. Si nous examinons les chiffres spécifiques à notre secteur de l’électro, nous constatons que les market places (41 %) comme les webshops des détaillants (37 %) gagnent fortement en importance. Les marques enregistrent un score plus faible, mais près d’1 client sur 5 préfère ce canal (19 %).
Pourquoi les fabricants lancent-ils leur propre canal ?
Pour les fabricants, les canaux directs peuvent s’avérer aussi intéressants que lucratifs. En effet, ils leur permettent de créer un lien direct avec leur client final. L’idéal pour tester de nouveaux produits, par exemple, et recueillir rapidement les observations des consommateurs : Que pensent-ils des prix pratiqués ? Quels sont les modèles/couleurs les plus populaires ? Quelles sont les promotions qui font mouche ? Etc.
Les canaux direct-to-consumer sont également idéaux pour proposer du sur mesure et des produits personnalisés, des services plus difficiles à mettre en place dans le détail traditionnel. D’autre part, avoir son propre canal est bien pratique pour le fabricant lors des négociations, puisqu’il dépend alors moins des détaillants.
Enfin, n’oublions pas qu’il s’agit d’un canal de vente en plus, où il est possible
Els Breugelmans : « Soignez bien vos partenariats et vos amitiés pour neutraliser l’effet de cannibalisation des canaux directs. Lors de cet événement, vous êtes réunis. Profitez-en pour faire du réseautage et rechercher la collaboration. Vous verrez, vos atouts peuvent être complémentaires et, à mon avis, cette force sera très précieuse et importante pour l’avenir. »
de réaliser des ventes supplémentaires avec une marge plus élevée.
Pourtant, certains fabricants décident de ne pas lancer leur propre canal de vente.
Les barrières sont en effet nombreuses : créer un site web représente un sérieux investissement, la communication directe avec le client constitue une toute autre manière de travailler que les négociations avec les collaborateurs/acheteurs des détaillants, et surtout, cela génère des tensions auprès des partenaires/ détaillants existants.
Quel est le degré de rigueur scientifique de cette recherche ?
Cette recherche scientifique repose sur des chiffres concrets et des données réelles émanant de détaillants et de producteurs (pour des raisons de confidentialité, leur identité n’a pas été divulguée). Els Breugelmans a analysé avec ses collègues les ventes des détaillants aux consommateurs, les décisions marketing (prix, assortiment) de la marque
auprès des détaillants, les données des commandes des détaillants chez les producteurs, etc.
« En plus des chiffres irréfutables, j’ai eu recours à des questionnaires et à des entretiens qualitatifs, afin de comprendre les relations, les conflits et le degré de satisfaction de toutes les parties », explique Els Breugelmans. « Dans cette présentation, je m’en tiens aux constatations, mais il me faut insister sur le fait qu’elles résultent d’analyses poussées et de modèles statistiques sérieux. »
Les détaillants : gagnants ou perdants ?
Avec son équipe de collègues de la KU Leuven, Els Breugelmans a cherché une réponse aux trois questions suivantes : Les détaillants : gagnants ou perdants ?
Qui y gagne/qui y perd ? Comment les détaillants réagissent-ils ?
« Notre analyse révèle que l’impact moyen de la vente directe sur les détaillants pointe plutôt dans la direction
d’une cannibalisation que d’une synergie », déclare Els Breugelmans. « Il y a donc plus de perdants que de gagnants parmi les détaillants, en conséquence des canaux directs. »
Une affirmation qu’elle nuance toutefois immédiatement : « Mais tout le monde n’y perd pas dans la même mesure ! Et il y a aussi des gagnants. »
Les gagnants sont les chaînes, les membres de groupements d’achat, et les grands détaillants qui sont eux-mêmes actifs en ligne. Autrement dit, l’exploitation d’un webshop de qualité protège de l’impact des canaux directs et permet même de profiter du buzz que génèrent ces canaux directs.
Les commerçants qui sont connus pour leurs services ou pour leur mix marketing innovant (surtout pour les gros articles) souffriront également moins de l’arrivée d’un nouveau canal direct-to-consumer.
Mais qui y perd, alors ? Les petits commerces familiaux qui ne sont pas actifs en ligne (ou trop peu), qui sont peut-être moins innovants en termes de mix marketing et qui ont moins d’ampleur.
Comment les détaillants réagissent-ils ?
« Lorsqu’un nouveau canal direct-toconsumer fait son apparition, on observe que les détaillants ont tendance à réduire l’assortiment de la marque à ses produits les plus populaires et augmentent le prix de cette marque », partage Els Breugelmans dans ses observations. « Mais d’après nos analyses, c’est une erreur ! En effet, cette réaction rend la marque moins attractive et renforce l’impact négatif du canal direct. Car le consommateur s’attend, après avoir consulté l’offre en ligne, à ce que vous puissiez lui proposer le produit de son choix. N’oubliez donc pas que les consommateurs commencent souvent leur quête du bon produit en ligne, et qu’ils peuvent donc vite atterrir sur le webshop de votre fournisseur. »
Comment les détaillants devraient-ils réagir ?
Els Breugelmans appelle les détaillants à voir les canaux directs comme une opportunité : « Nos recherches nous ont appris que plus de 80 % des consommateurs commencent leur parcours d’achat en ligne. Vous pouvez donc aussi considérer la présence en ligne des marques comme
Les principales conclusions de la recherche :
• Les canaux direct-to-consumer sont en pleine croissance, mais n’occupent pas (encore) une place énorme. Il s’agit toutefois d’une évolution à surveiller.
• Si les consommateurs utilisent parfois les canaux direct-to-consumer pour leurs achats, ces canaux leur servent davantage dans leurs comparaisons et recherches.
• Les canaux direct-to-consumer peuvent cannibaliser la vente sur les canaux de détail classiques et pourraient donc être vus comme des ennemis.
• Mais cette inimitié aggrave l’effet de cannibalisation. Mettez-vous plutôt en quête d’opportunités et de synergies.
une vitrine publicitaire qui attire le client et peut l’amener jusqu’à votre propre webshop et/ou magasin physique. Il y aura toujours des consommateurs qui voudront acheter en ligne, que vous le vouliez ou non.
Autre point important : les fabricants choisissent souvent de pratiquer un prix (plus) élevé sur leur propre canal, ce que le détaillant peut alors utiliser comme « ombrelle de prix » (« price umbrella ») pour définir ses propres prix.
La recherche incluait aussi une simulation auprès des détaillants sans webshop : « Nous avons étudié quelle aurait été la différence si ces détaillants avaient été actifs en ligne. Il s’est avéré que leurs pertes auraient été réduites de moitié. » Conclusion : il est crucial pour le détaillant d’être lui aussi actif en ligne et de développer un webshop digne de ce nom. Pour l’instant, moins de 30 % des détaillants de notre pays sont actifs en ligne. Une belle marge de progression potentielle, donc.
Les fabricants ne peuvent pas tout proposer sur un tel canal. « Exploitez la force des détaillants », suggère Els Breugelmans aux fabricants. « Ils permettent à vos clients finaux de toucher les articles, de
Les questions venues du terrain
les tester, de les examiner... Gardez cet atout à l’esprit, pour offrir un service complémentaire. Pensez à Nike : sur son site, la marque propose des produits personnalisés, et ce genre de personnalisation limite la cannibalisation, les détaillants proposant des chaussures standard. »
Les partenariats solides, une solution d’avenir : « Nous avons là deux parties avec des avantages bien distincts, il est donc dans leur intérêt d’unir leurs forces, par exemple avec des programmes de promotion communs, des collaborations pour le click-and-collect (avec retrait de produit commandé en ligne dans le magasin physique), un service après-vente ou un point de retour des articles, autant de solutions autour desquelles construire un partenariat... »
Et ce ne sont que quelques exemples des opportunités, des possibilités de collaboration avec le producteur offertes par les canaux directs.
Linda Claeys Frozen Moments
(Les études académiques à la base de cette présentation ont été réalisées par Michiel Van Crombruge au sein de la KU Leuven. Els Breugelmans l’a accompagné avec sa collègue Kathleen Cleeren en tant que promotrices, et tenait donc à le remercier pour tous les efforts fournis.)
La présentation a fait émerger quelques questions et remarques intéressantes, dont celles-ci :
« Toutes les marques ne pratiquent pas des prix honnêtes sur leur canal. C’est parfois le symptôme d’une concurrence interne : chez certains fabricants, plusieurs départements de vente sont en compétition... Qu’en pensez-vous ? »
Els : Dans notre recherche, nous avons surtout observé des producteurs qui maintenaient leurs prix à un niveau élevé. Lorsque les fabricants baissent leurs prix, ils créent une dangereuse spirale vers le bas. Il ne me paraît pas judicieux pour un fabricant de sacrifier les prix.
« L’offre du webshop d’un fabricant est souvent indisponible pour nous détaillants. »
Els : C’est aussi ce que j’ai observé, et c’est, à mon humble avis, une mauvaise stratégie de la part des fabricants. C’est ce que nous ont appris les chiffres et les informations dont nous disposons.
En effet, les consommateurs ne connaissent pas les rouages internes de la vente en ligne et de la vente en détail. Quand des produits sont vendus à des prix différents et ne sont pas disponibles sur certains canaux, cela entraîne donc de la confusion.
« Je pense que cela devient surtout une histoire de prix : lorsque le fabricant élimine le détaillant, il se dégage plus de marge. »
Els : Je ne pense pas que nous en arriverons là. Surtout parce que les consommateurs ne sont pas prêts pour une guerre des prix en ligne. Par ailleurs, le producteur doit prendre conscience des nombreux atouts du détaillant. Selon moi, les magasins physiques seront toujours utiles.
Le RGIE ne contient que des informations sommaires sur les installations photovoltaïques. Pour trouver les informations nécessaires relatives à l’installation, vous devrez vous intéresser à chacun des éléments qui composent celles-ci. En ce qui concerne les câbles photovoltaïques, les influences externes, l’indication « H1Z2Z2-K », les propriétés du câble et les instructions d’installation sont cruciales.
Les facteurs externes susceptibles d’influencer une installation photovoltaïque en toiture sont divers.
En voici les principaux :
• Température ambiante (AA)
• Présence d’eau (AD)
• Présence de corps solides étrangers (AE)
• Présence de substances corrosives ou polluantes (AF)
• Contraintes mécaniques dues aux chocs (AG) et aux vibrations (AH)
• Présence de flore et/ou moisissures (AK) ou de faune (AL)
• Influences électromagnétiques, électrostatiques ou ioni santes (AM).
• Rayonnements solaires (AN). Afin de garantir des performances et une durabilité optimales, il est important que ces facteurs soient pris en compte lors de la réalisation de l’installation photovoltaïque.
2. Câbles photovoltaïques unifilaires marqués H1Z2Z2-KH1Z2Z2-K
La norme NBN-EN 50618 spécifie les exigences relatives aux câbles électriques unifilaires souples, sans halogène et à faible dégagement de fumée, dont l’isolation et la gaine sont réticulées. Cette norme s’applique plus particulièrement au côté courant continu (DC) des systèmes photovoltaïques, avec une
tension DC nominale de 1,5 kV entre les conducteurs et entre le conducteur et la terre.
Les câbles conformes à cette norme peuvent être utilisés avec des appareils de classe II. Ils sont conçus pour fonctionner à une température maximale normale du conducteur de 90 °C. Toutefois, pour une durée maximale de 20 000 heures, une température maximale du conducteur de 120 °C est autorisée à une température ambiante maximale de 90 °C. La durée d’utilisation prévue dans les conditions normales de fonctionnement spécifiées dans cette norme est d’au moins 25 ans.
L’indication H1Z2Z2-K fait référence aux propriétés spécifiques de construction du câble, telles que des conducteurs souples en cuivre étamé de classe 5 et des composites réticulés sans halogène pour l’isolation et la gaine. Ces câbles résistent à l’ozone, conformément à la norme BS EN 50396, et aux UV, conformément à la norme HD 605/A1. Leur durabilité a en outre été testée selon la norme EN 0216. Ils conviennent à une utilisation dans des environnements où le feu, la fumée et les vapeurs toxiques constituent un risque potentiel pour les personnes et les équipements.
3. Propriétés des câbles
Comme les câbles H1Z2Z2-K possèdent une excellente résistance aux rayons UV, ils sont particulièrement adaptés à une utilisation dans des environnements extérieurs où ils sont exposés à l’ensoleillement direct. Les câbles sont conformes à la norme EN 50618, qui fixe des exigences spécifiques en matière de résistance aux UV pour les systèmes photovoltaïques (PV). Ils sont testés et approuvés conformément à
la norme EN 50289-4-17/A en ce qui concerne la résistance aux UV, ce qui signifie qu’ils offrent une résistance élevée à la dégradation par les rayons ultraviolets.
Les câbles résistent également aux intempéries et à l’ozone conformément à la norme EN 50396, ce qui les rend encore plus durables et fiables dans diverses conditions climatiques. Ces caractéristiques garantissent que les câbles H1Z2Z2-K possèdent une longue durée de vie et nécessitent moins d’entretien, même dans des environnements extérieurs exigeants.
Les câbles H1Z2Z2-K sont conçus pour résister à diverses conditions environnementales, y compris sous l’eau. Ils peuvent être immergés de manière temporaire ou permanente et sont ainsi parfaits pour des applications telles que les installations photovoltaïques flottantes ou d’autres situations où les câbles sont exposés à l’eau. Leur construction est conforme à la norme EN 50618, qui spécifie les exigences de performance pour les systèmes photovoltaïques (PV), y compris la résistance à l’humidité et à l’eau.
4. Instructions d’installation
Il est important de respecter scrupuleusement les instructions d’installation et de veiller à ce que les câbles soient utilisés correctement, selon les spécifications du fabricant. La sécurité peut ainsi être garantie et les performances, optimisées.
Les câbles H1Z2Z2-K sont réputés pour leur grande flexibilité
qui les rend particulièrement adaptés aux installations où ils doivent être fléchis fréquemment ou tirés dans des espaces restreints. Ils sont composés d’un conducteur souple en cuivre étamé, de classe 5, qui contribue à leur flexibilité.
Le rayon de courbure minimal des câbles est de quatre fois le diamètre total pour un montage fixe et de cinq fois le diamètre total lorsque les câbles sont fléchis. Les câbles peuvent ainsi être fléchis sans dommage sur un rayon qui n’est pas inférieur à quatre ou cinq fois leur propre diamètre, en fonction de l’application. Cette propriété est particulièrement importante dans les systèmes photovoltaïques où les contraintes d’espace et les routages complexes sont fréquents.
Grâce à cette flexibilité, les câbles H1Z2Z2-K sont idéaux pour une large gamme d’applications, y compris celles qui requièrent du mouvement ou de la flexibilité.
La section 2.7.2. « Modes de pose » du RGIE ne contient aucune instruction d’installation permettant de poser des câbles photovoltaïques de manière indépendante sur un toit. L’installation DC d’un système photovoltaïque doit être considérée comme sous tension, que l’onduleur et/ou le côté AC y soient connectés ou non. Le système doit être protégé contre les chocs électriques du côté DC, grâce à l’utilisation d’un matériau à double isolation (classe II) ou d’une très basse tension (SELV/PELV).
Quels sont les facteurs externes pouvant influencer une installation photovoltaïque ? Analyse « si-alors » :
Cette analyse de type si-alors permet d’identifier les risques potentiels et de prendre des mesures préventives pour garantir la durabilité et l’efficacité des installations photovoltaïques. Il est important de tenir compte de ces facteurs lors de la conception, de l’installation et de l’entretien des systèmes.
• Si la température ambiante est extrêmement élevée ou extrêmement basse, alors elle peut influencer négativement l’efficacité des panneaux solaires, car ceux-ci fonctionnent mieux à une température modérées.
• Si de l’eau est présente sous forme de pluie, de neige ou de glace, alors les performances des panneaux solaires peuvent diminuer, à moins que l’installation ne soit protégée de manière adéquate contre l’eau.
• Si des corps étrangers tels que de la poussière, des feuilles ou d’autres débris sont présents sur les panneaux, alors la quantité de lumière solaire absorbée et le rendement énergétique peuvent diminuer.
• Si les panneaux solaires sont exposés à des substances corrosives et polluantes telles que du brouillard salin, alors ils peuvent être endommagés et leur durée de vie peut être raccourcie.
• Si les panneaux solaires sont soumis à des charges mécaniques dues à des chocs ou à des vibrations, alors leur structure peut s’en trouver affectée.
• Si une flore et/ou des moisissures et une faune sont présents, alors elles peuvent provoquer des dégâts ou gêner le bon fonctionnement des panneaux solaires, par exemple en leur faisant de l’ombre ou en les bloquant.
• Si l’installation est soumise à des influences électromagnétiques, électrostatiques ou ionisantes, alors des interférences avec les composants électroniques de l’installation peuvent apparaître.
• Si le rayonnement solaire est trop intense, alors il peut endommager les panneaux solaires, bien qu’un certain rayonnement soit nécessaire à la production d’électricité.
Quelles mesures de protection trouve-t-on dans le RGIE ?
• Chapitre 2.10. Influences externes
• Section 5.2.3. Choix et mise en œuvre des canalisations en fonction des influences externes
• Section 5.3.2. Choix et mise en œuvre des machines et appareils électriques en fonction des influences externes
Contactez notre conseiller Nelectra pour tout complément d’information
Freddy
Pour protéger votre installation électrique contre les influences extérieures, il est important d’établir un plan qui tient compte des facteurs pertinents susceptibles d’affecter sa sécurité et son fonctionnement. Voici quelques étapes à suivre :
1. Identifiez les influences externes : dressez la liste de toutes les influences externes qui peuvent s’appliquer à votre site, telles que la température, l’humidité, l’eau, la poussière, les contraintes mécaniques, les substances corrosives, etc.
2. Choisissez le matériel adéquat : sélectionnez le matériel électrique et les conduites adaptés aux influences externes identifiées. Choisissez, par exemple, des matériaux pouvant résister à des températures élevées, imperméables ou présentant une plus grande résistance aux dommages mécaniques.
3. Conception et installation : assurez-vous que la conception et l’installation des systèmes électriques tiennent compte des influences extérieures. Cela peut impliquer l’ajout d’une protection telle que des boîtiers ou des écrans de protection.
4. Entretien régulier : effectuez un entretien régulier afin de garantir que la protection contre les influences extérieures reste efficace. Il s’agit notamment ici de nettoyer les panneaux, de vérifier les joints et de remplacer les pièces abîmées.
5. Documentation : rédigez un document mentionnant les influences externes pertinentes et veillez à ce qu’il soit approuvé et signé par l’exploitant et par un représentant d’un organisme de contrôle agréé.
En prenant ces mesures, vous pourrez réduire les risques et améliorer la sécurité et la durabilité de votre installation électrique.
Une installation électrique sans câbles est impensable, que ce soit dans une maison, des bureaux ou des bâtiments industriels.
Les câbles électriques sont indispensables. En tant que moyen de transport de l’énergie électrique, ils relient les sources d’alimentation aux différents consommateurs branchés, via des dispositifs de sécurité et de commande.
Choisir le bon câble lors de l’aménagement d’une installation électrique est donc très important. À cet égard, vous devez tenir compte dès le départ de diverses influences externes telles que l’humidité, les vibrations, la poussière et la température. Ces influences externes sont indiquées par un code dans les normes belges et européennes sur les câbles. Ainsi, il existe des normes relatives au comportement et à la résistance au feu des câbles.
Un autre critère à prendre en compte est l’application du câble : pour quelle installation sera-t-il utilisé et quelle sera sa fonction ? Où sera-t-il posé : sous terre, en surface et/ou dans un bâtiment ?
Deux thermoplastiques sont principalement utilisés pour l’isolation de la gaine :
PE - polyéthylène (câbles d’énergie)
- De préférence de couleur noire, pour des raisons de protection contre les rayons du soleil et les intempéries
- Bonne résistance à la déchirure
- Résistance à l’eau
- Excellente résistance aux produits chimiques
- Excellente isolation électrique
- Résistance aux basses températures
- Brûle facilement et convient moins bien aux câbles souples
PVC - polychlorure de vinyle (câbles d’installation)
- Très bonnes propriétés mécaniques
- Excellente résistance au vieillissement
- Résistance à l’humidité
- Peu inflammable et non propagateur de flamme
- Toutes les combinaisons sont possibles, mais la souplesse dépend de la température.
Les câbles électriques sont choisis en fonction des influences externes en présence et des caractéristiques de l’installation (tension, courant, puissance, compatibilité, etc.).
Selon l’endroit et les conditions de pose et/ou d’utilisation des câbles et conduites, ceux-ci doivent respecter un certain nombre de conditions particulières (voir tableau).
- Pour une utilisation dans un bâtiment, ils doivent être conformes au règlement européen sur les produits de construction (CPR). Le fabricant le mentionne en apposant une indication supplémentaire relative à la réaction au feu, à la propagation du feu, à la classe de fumée et à la corrosivité.
- Sous terre, seuls les câbles conformes à la norme relative aux câbles souterrains peuvent être utilisés (EVAVB, EXVB, etc.).
En principe, seuls les câbles d’énergie sont concernés. Ils sont posés à une profondeur de 0,6 m et sont munis d’une gaine de protection mise à la terre (EVAVB) ou d’une gaine qui conserve une résistance suffisante au contact de corps durs et de chocs provoqués par des outils à main métalliques (EXVB) et sont protégés par un couvercle composé d’un matériau suffisamment résistant ou placés dans un tube.
Rudy Van den Bergh Innovation & Training manager ElectroTest
Nous souhaitons mettre en avant certains câbles liés au thème de la sécurité de cette édition.
Les premiers câbles concernés sont les câbles de sécurité PyroconVoici un résumé des principales caractéristiques de notre gamme
PYROCONTROL :
Les câbles Pyrocontrol sont ‘résistants au feu’.
Le feu ne s’étendra jamais plus loin que la longueur du câble, empêchant la propagation d’un incendie.
Les câbles Pyrocontrol sont ‘pauvre en fumée’
En cas d’incendie, ces câbles ne répandent pas d’épaisse fumée ce qui permet aux sorties de secours de rester visibles et de permettre la continuité des secours.
En cas d’incendie, nos câbles provoqueront moins de dommages du aux gaz toxiques ou par la corrosion de la
maintien de la fonction intrinsèque. En cas d’incendie, le maintien de la fonction intrinsèque pour cer-
Par exemple, pour les systèmes d’alarme, les pompes d’urgence ainsi que les éclairages de secours il est très important que les fonctions restent actives durant un incendie pour pouvoir permettre des secours et une évacuation efficaces.
Les câbles de sécurité jouent un grand rôle dans le marché des in stallations électriques. Leur domaine d’application devient de plus en plus large et fréquent.
Une deuxième gamme importante comprend tous nos câbles XGB sans halogène.
En plus nous pouvons livrer le fil H07V2-K et le fil H07Z1-K en ver sion sans halogène.
H07Z1-R 450/750 V Fils d’installation massif sans halogène à conducteur câblé
H07Z1-K 450/750 V Fils d’installation souple sans halogènes
Dans ce troisième article consacré aux inspections, nous nous intéressons aux contrôles et visites auxquels vous pouvez vous attendre lors de l’extension d’une installation.
Le contrôle d’une installation électrique consiste à vérifier si elle répond aux prescriptions du RGIE (Règlement général sur les installations électriques). Il doit être effectué sur la base du « Livre 1 – Installations à basse tension et à très basse tension », à chaque mise en service, c’est-à-dire avant que vous ne commenciez à utiliser l’installation.
Toutefois, un contrôle est également requis dans les cas suivants :
- modification ou extension de l’installation - renforcement de la puissance - vente d’une habitation dotée d’une ancienne installation.
Définitions
Section 2.11.2. Vérification des installations électriques
Contrôle de conformité avant mise en usage : contrôle de conformité des installations électriques prévu au chapitre 6.4.
Visite de contrôle : contrôle des installations électriques prévu au chapitre 6.5.
Mise en usage : la première mise à disposition d’une installation électrique à des fins d’exploitation.
Modification importante ou extension importante : modification ou extension d’une installation électrique qui a un impact supplémentaire (pas encore couvert par un contrôle de conformité) sur la sécurité des personnes ou des biens.
Exemples de modification importante ou d’extension importante : modification du schéma de mise à la terre, dépassement de la puissance de court-circuit admissible pour le matériel installé, remplacement non identique d’un tableau de répartition et de manœuvre, ajout d’un circuit dans une installation domestique...
Contrôles
Chapitre 6.4. Contrôle de conformité avant mise en usage
Section 6.4.1. Généralités
Toute installation à basse tension ou très basse tension telle que définie dans les parties 1. et 2. du présent Livre, même celle alimentée par une installation privée comme les groupes
électrogènes fixes, transportables ou mobiles, fait l’objet d’un contrôle de conformité aux prescriptions du présent Livre avant la mise en usage de l’installation.
Section 6.4.7. Cas spécifiques de contrôle de conformité avant mise en usage
Sous-section 6.4.7.1. Machines et appareils électriques
Dans les installations non domestiques, les machines et appareils fixes sont soumis à un contrôle de conformité avant la mise en usage qui porte uniquement sur le choix, l’installation et l’assemblage corrects sur place.
Sous-section 6.4.7.2. Installation transportable, mobile ou temporaire
L’installation transportable, mobile ou temporaire à composition variable, c.-à-d. composée d’éléments individuels (groupes électrogènes, tableaux de manœuvre et de répartition, câbles…). Elle fait l’objet d’un contrôle de conformité avant chaque mise en usage aux prescriptions du présent Livre. Ce contrôle comprend aussi les éventuels éléments de raccordement au réseau. Pour les machines et appareils électriques (groupes électrogènes…) qui font partie d’une installation transportable, mobile ou temporaire, le contrôle de conformité avant chaque mise en usage porte uniquement sur le choix, l’installation et l’assemblage corrects sur place.
Sous-section 6.4.7.3. Modification ou extension
Toute modification importante ou extension importante d’une installation à basse ou très basse tension alternative ou continue fait l’objet d’un contrôle de conformité aux prescriptions du présent Livre avant la mise en usage de la dite modification ou extension.
Ce contrôle de conformité est limité à la partie ajoutée ou modifiée de l’installation.
Dans le cas d’une modification non importante ou extension non importante dans les installations non domestiques et qui ne nécessite pas un contrôle de conformité avant mise en usage, le chargé de l’installation complète les schémas, plans et documents tels que définis à la section 9.1.1., aux point 4.b. et 5.a.7., permettant à l’organisme agréé d’en vérifier la conformité lors de la prochaine visite de contrôle.
Toute modification ou extension ayant un impact sur la partie non modifiée doit être mentionnée dans le rapport de contrôle. Cette partie non modifiée doit faire l’objet d’un contrôle de conformité en ce qui concerne les caractéristiques modifiées.
Chapitre 6.5. Visites de contrôle
Section 6.5.1. Généralités
Toute installation à basse tension ou très basse tension telle que définie au chapitre 6.4.fait l’objet d’une visite de contrôle sur place soit par un organisme agréé, soit par l’autorité habilitée ou chargée de la faire selon les prescriptions du chapitre 6.3.
La visite de contrôle porte sur le maintien de la conformité aux prescriptions du présent Livre. L’installation électrique doit pouvoir être mise hors tension pendant la visite de contrôle.
Section 6.5.2. Périodicité des visites de contrôle
Après le contrôle de conformité, toute installation électrique fait l’objet de visites de contrôle en respectant au moins les périodicités suivantes :
• tous les 25 ans pour les installations électriques domestiques ;
• annuellement pour les installations électriques transportables, mobiles ou temporaires telles que définies à la sous-section 2.2.1.1.;
• annuellement pour les installations électriques des zones dangereuses explosibles telles que définies au chapitre 7.102. ;
• tous les 5 ans pour les autres installations électriques.
Chapitre 8.4. Visites de contrôle de certaines anciennes installations électriques existantes qui n’ont pas fait l’objet d’un examen de conformité à l’ancien RGIE
Généralités
Une « ancienne installation électrique » est une installation électrique qui contient un ou plusieurs circuits antérieurs au 1er octobre 1981. En l’absence de tels circuits, les articles ci-dessous ne s’appliquent PAS et le contrôle ne sera pas effectué sur cette base, mais sous forme d’une visite de contrôle conformément au chapitre 6.5.
Section 8.4.1. Visite de contrôle d’une ancienne installation électrique domestique d’une unité d’habitation avant tout renforcement de la puissance de raccordement au réseau public de distribution d’électricité
Toute ancienne installation électrique domestique d’une unité d’habitation qui n’a pas fait l’objet d’un examen de conformité conformément à l’ancien RGIE et pour laquelle un renforcement de la puissance de raccordement au réseau public de distribution d’électricité est demandé, fait l’objet d’une visite de contrôle réalisée par un organisme agréé en vue de vérifier sa conformité au Livre 1.
Toute demande de renforcement de la puissance de raccordement est accompagnée du rapport de contrôle de l’installation électrique. Avant de procéder audit renforcement de la puissance de raccordement, le distributeur ou la personne qu’il a mandatée pour effectuer ledit renforcement s’assure de la présence du rapport dans lequel la conformité aux prescriptions du présent Livre est confirmée.
Visites de contrôle
Transportables
Temporaires 1 an Domestiques 25 ans Les autres installations 5 an
Des zones dangereuses explosives 1 an
Section 8.4.2. Visite de contrôle d’une ancienne installation électrique domestique d’une unité d’habitation lors de la vente
Lors d’une vente d’une unité d’habitation telle que visée à la sous-section 8.4.2.1., le vendeur est obligé :
• de faire exécuter une visite de contrôle de l’installation électrique ;
• de faire mentionner dans l’acte authentique, la date du rapport de contrôle et le fait de la remise dudit rapport à l’acheteur.
Lorsque le vendeur et l’acheteur s’accordent sur le fait qu’une visite de contrôle de l’installation électrique est superflue et inutile, parce que l’acheteur va démolir le bâtiment ou rénover complètement l’installation électrique, le vendeur est obligé de faire mentionner cet accord dans l’acte authentique.
Le vendeur est obligé de faire mentionner dans l’acte authentique que l’acheteur doit informer la Direction générale de l’Énergie préposée à la haute surveillance des installations électriques domestiques de la démolition du bâtiment ou de la rénovation complète de l’installation électrique. Cette dernière transmet à l’acheteur un numéro de dossier et l’invite à lui remettre un rapport de contrôle dès que la nouvelle installation électrique sera mise en usage.
Dans le cas d’impossibilité de faire le contrôle à l’occasion d’une vente ordonnée par décisions de justice, celui qui requiert la vente est obligé de faire mentionner, dans l’acte authentique ou dans le procès-verbal d’adjudication publique, l’absence de la visite de contrôle de l’installation électrique et l’intérêt pour l’acheteur de faire procéder à ce contrôle.
Dans le cas d’une visite de contrôle donnant lieu à un rapport négatif, le vendeur est obligé de faire mentionner dans l’acte authentique l’obligation pour l’acheteur de communiquer par écrit son identité et la date de l’acte de vente à l’organisme agréé qui a exécuté la visite de contrôle de l’installation électrique.
Après cette communication, l’acheteur doit faire réaliser une nouvelle visite de contrôle par un organisme agréé afin de vérifier la disparition des infractions au terme du délai de 18 mois prenant cours le jour de l’acte de vente. L’acheteur peut choisir librement cet organisme agréé.
Si l’acheteur désigne un autre organisme agréé, ce dernier en informe l’organisme agréé qui a rédigé le premier rapport de contrôle
Rudy Van den Bergh Innovation & Training manager ElectroTest
Connaissez-vous nos présidents ? Ces personnes qui font de leur mieux — et ce, souvent dans l’ombre — pour que Nelectra incarne une fédération vivante et intéressante et qui contribuent de près à nos nombreuses initiatives. Il y a en effet de fortes chances que vous les ayez déjà croisés et que vous ayez échangé avec eux. Mais qui est la personne qui se cache derrière le professionnel ? Que fait-elle de son temps libre et qu’est-ce qui la tient éveillée la nuit ?
La dernière page d’ElectroVision est consacrée à nos présidents, que nous vous présentons un par un. Ce mois-ci, c’est au tour de Ludo Holemans, président du groupe de travail Retail.
Que faites-vous de votre temps libre ?
Lorsque j’ai du temps libre, je fais le plus souvent du vélo ou de la randonnée avec Marleen, ma femme. Nous passons habituellement nos vacances en Belgique. Vous nous trouverez en général à la mer, à Blankenberge. Je ne me lasse pas de regarder l’horizon pendant des heures, cela me vide complètement la tête. Une promenade sur la plage au lever du soleil, au bord de l’eau, me donne de l’énergie pour bien commencer la journée.
Comment vous reposez-vous ?
Je suis quelqu’un de plutôt nerveux : il faut que ça bouge ! Il y a une dizaine d’années, lorsque je me suis effondré mentalement, j’ai découvert que mon jardin m’apportait la paix. Qu’il s’agisse de légumes, de fruits ou de fleurs, j’aime tout ce qui pousse et fleurit !
Qu’est-ce qui vous fait sourire ?
Je suis heureux lorsque j’ai réussi à accomplir quelque chose. Que ce soit à titre privé ou pour un client ou notre fédération Nelectra, je suis heureux quand je peux faire la différence.
Évidemment, nos trois petits-enfants sont également une grande source de joie. Surtout lorsqu’ils viennent passer quelque temps chez « papy et mamy ». Ou quand ils veulent du pain « de papy ».
Quel est votre plat préféré ?
En fait, j’aime tout, sauf l’ail et le pesto. J’ai probablement un jour mangé un plat dans lequel ces saveurs étaient trop fortes... Depuis, je refuse poliment si on m’en propose.
Qui admirez-vous le plus et pourquoi ?
Marleen, ma femme ! Nous sommes mariés depuis 1981 et nous avons fondé ensemble notre magasin d’électro en 1984. Depuis, nous travaillons ensemble chaque jour.
Elle mérite surtout mon admiration parce qu’elle sait me freiner quand une fois de plus, par enthousiasme, je risque d’aller au-delà de mes limites.
Quel est votre meilleur souvenir de l’année passée ?
L’anniversaire de mariage de notre fille cadette. C’était une belle journée d’été, pour une superbe célébration en plein air.
Imaginez que vous soyez obligé de changer de travail demain : que feriez-vous ?
Tous les métiers m’intéressent. J’aimerais avoir une entreprise de petits travaux. Je pourrais ainsi combiner plusieurs domaines : électricité, plomberie, construction, jardinage...
Chez Rexel, nous apportons des solutions puissantes pour un avenir durable, motivées par l’innovation et la sensibilisation à l’environnement.
Nos solutions révolutionnaires s’inscrivent dans une époque où l’énergie renouvelable n’est pas seulement un choix, mais une nécessité absolue.
Alors pourquoi s’attarder sur le passé quand on peut embrasser l’avenir ? Ensemble, renforçons la voie vers la durabilité.
