Alimentation saine Inviter à domicile

dié Oscar Wilde avant de partir pour Oxford. Sa bibliothèque contient quatre millions de volumes et c’est l’occasion de faire une pause pour y admirer les pages illustrées de l’un des plus anciens manuscrits du monde : le Livre de Kells, réalisé par des moines en l’an 800.

De parc en parc sans descendre de vélo

A cinq minutes de Trinity se trouve le parc Merrion Square, entouré de résidences victoriennes qui préservent l’atmosphère de son opulent passé, lorsqu’il était à l’usage exclusif de ses riverains. Outre l’ancienne demeure d’Oscar Wilde, ce quartier abrite deux des plus importants musées de la ville : le National Museum et la National Gallery. Et les attraits du Merrion se poursuivent sous terre, puisqu’un insolite abri antiaérien pour 1 000 personnes a été construit sous cette oasis de verdure.

Mais si l’on doit parler du « parc » de Dublin par excellence, c’est sans aucun doute St. Stephen’s Green. Ouvert au public depuis 1880 et doté de quinze sculptures commémoratives disséminées sur ses parterres, c’est l’endroit idéal pour poser son vélo contre un arbre et pique-niquer en plein air comme le font de nombreux Dublinois, ou pour se poser en terrasse d’un des nombreux stands de café et de dégustation. Ce poumon vert de neuf hectares est l’endroit où le légendaire groupe irlandais U2 a donné son premier concert, et les deux roues sont le meilleur moyen de traverser ses pontons et de profiter de l’étang et de ses sentiers flanqués d’arbres colossaux.

Un peu plus loin sur St. Stephen’s Green, plus modestes en taille mais pleins de charme, se trouvent les jardins d’Iveagh, un joyau caché avec des grottes, de magnifiques cascades et un labyrinthe d’ifs où l’on peut s’amuser à se perdre.

En remontant la Liffey, les cyclistes peuvent tourner à gauche pour contempler les deux cathédrales médiévales de Dublin. L’église Saint-Patrick se dresse sur le site même où les Irlandais ont construit au Ve siècle une simple église en bois pour leur saint patron, transformée au XIIIe siècle en une magnifique église gothique qui a accueilli la première du Messie de Haendel en 1742. À proximité, la cathédrale Christ Church bat St Patrick’s en âge car elle a été construite il y a mille ans.

LA VILLE DES PONTS

l Du sacré au profane, à deux

pas de Christ Church, se trouve un autre monument incontournable, le château de Dublin, au cœur de Temple Bar, le quartier emblématique des pubs et de la vie nocturne typique de la ville. Bien que des marchés de nourriture et de livres s’y tiennent pendant la journée, Temple Bar se révèle pleinement la nuit. Vous y profiterez de l’ambiance et des restaurants après un détour devant Molly Malone et son étal sur Grafton Street. Cette statue de bronze d’une poissonnière légendaire, dont la beauté captivait les Dublinois, est l’icône la plus populaire de la ville.

La variété des ponts qui traversent la rivière Liffey est étonnante. Nous avons déjà évoqué le pont O’Connell, mais il ne faut pas oublier le pont Ha’penny, qui nous ramène de Temple Bar à l’autre côté de la ville, où commencent d’autres itinéraires de balades à vélo. Chaque pont de Dublin raconte sa propre histoire. Le Ha’penny Bridge (appelé ainsi en raison de sa forme en demi-penny) est le premier pont piétonnier à avoir traversé la rivière en 1816. Aujourd’hui, il est emprunté par plus de 20 000 personnes chaque jour.

Plus modernes sont les deux ponts conçus par le célèbre architecte espagnol Santiago Calatrava, qui en a réalisé deux : le pont Samuel Beckett, inauguré en 2009 en forme de harpe, symbole national de l’Irlande, et le pont avant-gardiste James Joyce, qui relie les docks sud de la ville à Blackhall Place. Phoenix Park, plus grand parc urbain d’Europe

Le point d’orgue de votre itinéraire sera le superbe parc de l’Europe, ou Phoenix Park, un gigantesque havre de verdure qui, avec plus de 700 hectares, est le plus grand parc urbain d’Europe. Au 17ème siècle, c’était une réserve de cerfs et aujourd’hui encore, on peut en apercevoir en liberté. Le vélo est une fois de plus idéal pour parcourir ce vaste parc, avec des arrêts au zoo de Dublin, au jardin du peuple et à l’obélisque de 63 mètres dressé en hommage au duc de Wellington.

Bien sûr, les charmes de Dublin ne s’arrêtent pas là. Il existe d’autres iti-

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néraires cyclables remarquables tels que le Grand Canal et le Royal Canal, qui font le tour de la ville. Canards et cygnes vous attendent sur le Grand Canal, qui se prête également au kayak. Et vous ne pourrez pas quitter la ville sans avoir visité le Guinness Storehouse, où l’on sert la plus célèbre bière d’Irlande, ni sans avoir appris à verser une pinte avec juste assez de mousse pour la boire au Gravity Bar, situé sur le toit...

Il existe bien d’autres itinéraires thématiques pour tous les goûts: statues, maisons d’écrivains, églises, pubs... Vous aurez toujours une bonne raison pour revenir dans cette capitale du vélo ! l l

4 5 3 1 Pont Samuel Beckett.

2 Balade à vélos dans Merrion Square.

3 Le mythique Temple Bar.

4 Guinness Storehouse.

5 Bibliothèque du Trinity College.

Plus de 2 300 < centres Naturhouse < dans le monde... et aussi en Irlande

Kimmage, Dublin. 165 Kimmage Road Lower D6W HH57. Tel.: +353 83 307 5326

obsessions ! Halte aux

Parfois, des obsessions nous tourmentent et nous empêchent de vivre sereinement. Elles affectent notre vie mais aussi celle de nos proches. Mais il n’y a pas de fatalité : on peut agir pour les maîtriser et apprendre à résister face à ces situations génératrices de stress et d’anxiété.

ÀLEX BLANCAFORT

« Et si je n’avais pas verrouillé la voiture correctement ? » « Ai-je laissé le gaz allumé ? » « Je ne pense pas avoir bien fermé la porte du congélateur ». Êtesvous constamment assailli par ce genre de questions dans votre vie quotidienne ? Pire encore, devez-vous constamment vérifier et contrôler que tout est en ordre pour vivre une vie normale ? Si la réponse est oui, c’est que les obsessions tendent à diriger votre vie.

Tout le monde est obsédé par quelque chose à un moment ou à un autre. Et nous savons tous ce que c’est que d’être incapable d’arrêter de penser à un souci ou à un événement qui revient sans cesse dans notre esprit. Le problème est à prendre au sérieux lorsque ces obsessions et ces inquiétudes deviennent persistantes, avant que cela ne devienne un calvaire pour nous-mêmes et notre entourage.

L’obsession peut provoquer des niveaux élevés d’anxiété et perturber considérablement les relations personnelles et professionnelles. Et vivre dans l’obsession permanente nous empêche de nous reposer de manière récupératrice ou de profiter pleinement de la vie.

Nous avons tous des soucis, des problèmes et des pensées négatives. Et chacun réagit à sa manière. Certains d’entre-nous parviennent à relativiser l’importance de ces soucis et ont une capacité étonnante à les laisser « glisser » sur eux. D’autres, en revanche, anticipent constamment de manière né-

CONSEILS PRATIQUES

l L’exercice aide à combattre l’anxiété et peut contribuer à éliminer les pensées obsessionnelles. Les endorphines générées par l’activité physique réduisent le stress, apaisent et génèrent du bien-être. l Toute activité liée aux techniques de relaxation, comme le yoga, la méditation, le tai chi ou la pleine conscience, peut réduire l’anxiété et, avec elle, les pensées obsessionnelles. l Essayez d’être aussi réaliste que possible face à une pensée obsessionnelle. Réfléchissez aux conséquences que pourrait avoir le fait de ne pas faire ceci ou cela et demandez-vous si ces conséquences justifient vraiment que vous soyez obsédé et stressé par un événement ou un fait hypothétique. l Résistez à la tentation de vérifier systématiquement si vous avez verrouillé votre voiture ou la porte de la maison. Nous savons pertinemment que, dans la plupart des cas, il est inutile de s’inquiéter car tout

est en ordre. Si vous parvenez progressivement à maîtriser ces petites obsessions, vous finirez par vivre plus paisiblement. l Fixez une limite. Dans le prolongement du précédent conseil, dites-vous « assez ! ». Prenez une décision (refuser de s’inquiéter concernant une porte fermée ou pas) et tenez-vous en à celle-ci quoi qu’il arrive. À long terme, vous vous rendrez compte que beaucoup de vos inquiétudes sont inutiles. l Vivez le moment présent.

N’anticipez pas des choses dont vous ne savez pas si elles vont se produire et, surtout, dont vous ne savez pas comment elles vont se produire. l Acceptez le fait que vous ne pouvez pas tout contrôler. Il est capital de pouvoir se détacher des choses qui ne dépendent pas de vous. Il y a des situations extérieures qui ne changeront pas, mais ce que vous pouvez changer, c’est votre attitude à leur égard.

gative ce qui pourrait se passer et imaginent des scénarios et des situations, parfois catastrophiques - et fictives - qui ne vont pas nécessairement se réaliser, ou très rarement.

L’une des clés pour combattre les obsessions est de prendre conscience que ce qui pour nous, à un moment donné, est presque une question de survie nerveuse, est en fait beaucoup moins important qu’il n’y paraît à première vue.

Mais comment faire face aux obsessions ? L’idée la plus simple consiste à essayer de ne pas penser à quelque chose qui vous inquiète, à « bloquer » la pensée négative… mais cela ne fonctionne généralement pas ou mal. Au contraire, votre cerveau aura tendance à revenir à ce à quoi par une thérapie, soit par des traitements spécifiques, les pensées obsessionnelles susciteront moins d’angoisse, se produiront moins fréquemment et disparaîtront progressivement. l l

Les obsessions sont un symptôme de l’anxiété, il est donc essentiel de les traiter pour en venir à bout

vous ne devez pas penser et, par conséquent, vous finirez par y penser davantage. Les obsessions sont un symptôme naturel causé par l’anxiété. Si nous parvenons à réduire le niveau d’anxiété, soit

Est-ce que vous vivez dans l’obsession ?

1. Chaque fois que j’ai un souci....

a) Il disparaît après un certain temps. b) J’y pense de temps en temps. c) J’y pense tout le temps.

2. Combien de fois vous vient-il des idées dont vous avez du mal à vous débarrasser ?

a) Très sporadiquement. b) Une à trois fois par semaine. c) Tous les jours.

3. Vérifiez-vous que la voiture, la maison, etc. sont bien verrouillées ?

a) Jamais. b) Ça m’arrive. c) Toujours.

4. Laquelle des propositions suivantes vous convient le mieux lorsque vous vous inquiétez de quelque chose ?

a) Je lui accorde l’importance qu’elle mérite. b) J’y pense plus d’une fois par jour. c) Je n’arrête pas d’y penser.

5. Pensez-vous que vos pensées sont source d’anxiété ?

a) Pas du tout. b) Un peu. c) Beaucoup.

6. Dans quelle mesure pensez-vous que vos pensées sont intrusives ou que vous ne pouvez pas les contrôler (arrêter d’y penser) ?

a) Pas du tout, je contrôle ce que je pense. b) Un peu : parfois, je n’arrive pas à les faire sortir de ma tête facilement. c) Beaucoup : elles apparaissent et je ne peux pas m’en débarrasser.

7. Cela vous affecte-t-il que les choses soient bien rangées ou non ?

a) Je ne m’en soucie pas vraiment. b) Cela me gêne un peu. c) Je ne supporte pas que les choses ne soient pas comme elles devraient être.

8. Que pensez-vous que les gens qui vous entourent pensent de vos « bêtes noires » ?

a) Rien, parce que je n’en ai pas. b) Que je suis un peu ennuyeux, mais ça ne prend pas trop d’importance. c) Ils en ont assez, et j’en ai déjà parlé avec eux.

9. Que pensez-vous de votre niveau de perfectionnisme ?

a) Je ne suis pas du tout perfectionniste. b) J’admets que je suis parfois trop perfectionniste. c) Mon perfectionnisme va trop loin et me fait souffrir.

10. Vos obsessions ou vos troubles obsessionnels interfèrent-ils avec votre vie ?

a) Pas du tout. b) Un peu. c) Beaucoup : ils me causent des problèmes personnels, sociaux, professionnels....

RESULTATS :

Majorité de réponses A : Vous vivez sans obsession

Vous vivez en paix, et c’est bien ! Cependant, n’oubliez pas qu’il y a toujours quelque chose dont nous devons assumer la responsabilité ou que nous devons prévoir !

Majorité de réponses B : Un peu obsédé

Vous pensez à des choses « problématiques » plus que vous ne le voulez. Vous devez apprendre à les dédramatiser et à faire la différence entre ce que vous redoutez qu’il arrive et ce qui se passe réellement.

Majorité de réponses C : Vous vivez sous la pression de vos obsessions

Vos obsessions interfèrent de manière négative dans votre vie quotidienne et provoquent un grand inconfort émotionnel. Vous devez essayer de vous détendre, de ne pas être effrayé par vos propres pensées et de mettre de côté vos obsessions. Facile à dire, évidemment… Persuadez-vous et répétez-vous qu’en général, au final, aucune des grandes peurs qui vous tourmentent ne se réalise. Si vous pensez que vous ne pouvez pas y arriver tout seul, il n’y a aucune honte à se faire aider par un spécialiste (thérapeute, psychologue…).

Apprendre à minimiser les choses qui vous inquiètent pour ne pas les laisser interférer dans votre vie

Des chargeurs sans fil en bois

Les chargeurs à induction ont de plus en plus la côte. Pratiques et écolo, compacts et ergonomiques, ceux de la gamme de la marque Coque en Bois sont optimisés pour les smartphones certifiés QI, c’est-àdire compatibles avec la charge à induction. En bambou, noyer, merisier, en assemblages de bois divers, à motifs ou personnalisables, la vaste gamme de la marque en propose pour tous les goûts ! Prix : 45 à 55 euros, en vente sur www.coque-en-bois.fr

Apinat cacao, toute la gourmandise du cacao en légèreté

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Le grand traité du jardin punk

Après le succès de sa première édition, le paysagiste et pépiniériste Éric Lenoir propose une nouvelle version enrichie de son Petit traité du jardin punk, une approche décalée et instinctive du jardin, à revers de bon nombre d’idées reçues. Il explore et décrit ici le concept du Jardin Punk : un espace décomplexé et moins artificiel, qui s’émancipe des règles du jardinage traditionnel, ne cherche pas à dompter la nature à tout prix et la laisse, au contraire, reprendre un peu ses droits. Il invite le lecteur à porter un regard nouveau sur ce qui l’entoure pour apprendre à discerner le potentiel de tout lieu, afin de l’investir autrement et de reconquérir la biodiversité dans chaque parcelle du quotidien. Une approche non conventionnelle du jardin et du paysage par un jardinier rebelle qui réagit aux atteintes environnementales dont il est témoin. Prix : 25 euros, 192 pages, Editions Terre vivante. Tout en 1, Juvenki crème raffermit, fortifie, lifte et tonifie la peau tout en nourrissant et régénérant l’épiderme. Elle possède également des propriétés drainantes et reminéralisantes. A appliquer matin et soir. Prix : 36,60 euros, pot de 200 ml.

Panaki 1500

Complément alimentaire sous forme de sachets liquides, à base de gelée royale et de vitamine C. Sa teneur en vitamine C permet de réduire la fatigue et contribue au fonctionnement normal du système immunitaire. L’allié de votre hiver. Prix : 15,50 euros, 14 sachets de 10 ml. Produit exclusif Naturhouse

Lait et boisson végétale, la recette idéale !

Pâquerette & Compagnie a pour ambition de révolutionner le rayon lait en mixant celui de ses vaches avec des boissons végétales issues de filières locales. Résultat, trois innovations douces et savoureuses associant 50 % de lait de vache collecté en Bretagne, à 50 % de boisson végétale (avoine, amande et noisette), sans arôme ajouté ni additif. De l’aveu du fabriquant, c’est « vachement » bon ! Prix : 1,49 euro le pack cartonné de 75 cl.

Juvenki crème, crème hydratante aux multi-actions

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Le Bog, le gobelet bio durable

Nuboj Botanique : un shampoing solide responsable

Packaging minimaliste, compostable et recyclable, ingrédients botaniques et formulations saines : chez Nuboj Botanique, tout est conçu dans une vision écologique et transparente. Son shampoing solide offre une mousse onctueuse aux parfums d’arbre à thé, de cèdre de l’atlas et d’avocat. Sa fonction régulatrice de sébum protège le cheveu des agressions extérieures. Adaptés à tous types de cheveux, ses composants procurent un fini doux et assoupli. Garanti sans sulfate, sans silicone et végan. Prix : 12,90 euros (100 gr), en vente sur www.nuboj-botanique.com Interdits depuis le 1er janvier 2021, les gobelets en plastique jetables ont été remplacés par des gobelets en carton… Pas toujours recyclés. Le Bog, lui, ne se jette pas. Fabriqué en France à partir de matières bio-sourcées, ce gobelet de 40 ml se veut durable, multi-usages, joli et pratique, avec un couvercle pour conserver le froid et le chaud. Il a été « éco-conçu » pour un impact environnemental minimal et une durée de vie maximale. Parmi ses qualités, il est incassable (on n’a pas essayé..), lavable au lave-vaisselle, il passe au micro-ondes, et est sans odeur. Prix : 19, 50 euros, en vente sur www.biom.paris

Sambuki, l’allié minceur

Complément alimentaire sous forme de sirop. Idéal grâce à sa teneur en sureau, utilisé pour faciliter l’amincissement en complément de mesures diététiques. Prix : 16,19 euros, 250 ml.

Produit exclusif Naturhouse

Redunat Transit

Produit exclusif Naturhouse

Contient de l’Ispaghul (Plantago ovata) qui aide à maintenir la bonne santé de l’intestin et à faciliter le transit intestinal. Prix : 9,23 euros, 20 sachets.

Bouillon cube Diétesse

Bouillon de légumes à faible teneur en sel. L’aide culinaire idéale pour relever tous vos plats. Prix : 2,70 euros la boite de 10 cubes.

Produit exclusif Naturhouse