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L’OSF et l’immigration
L’invasion organisée de l’Europe : le plan Soros/Merkel
« La protection des réfugiés est la priorité, et les frontières constituent un obstacle. » George Soros
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Un exemple de l’influence de George Soros et de l’OSF sur la question de l’immigration nous a été donné par la gestion catastrophique de la crise migratoire toujours en cours par l’Union européenne. Dans un article d’avril 2016, l’analyste et géopoliticien l’américain William Engdahl (1) a rappelé le rôle de George Soros dans la crise des migrants en 2015 :
« Le 8 octobre 2015, au milieu de la vague créée par des centaines de milliers de réfugiés inondant l’Allemagne, la chancelière allemande Angela Merkel proclama, au cours d’un programme populaire de télévision allemande : “J’ai un plan” (…) Ce que la chancelière allemande n’a pas dit aux téléspectateurs, c’est que son plan lui avait été fourni seulement quatre jours plus tôt, le 4 octobre, dans un document déjà intitulé le plan Merkel, par un think-tank international nouvellement créé et, évidemment, bien financé, appelé l’Initiative de stabilité européenne ou ISE. Le site internet de l’ISE indique qu’il possède des bureaux à Berlin, Bruxelles et Istanbul. L’actuel président de l’ISE, qui est directement responsable du document intitulé Plan Merkel, est un sociologue autrichien basé à Istanbul, Gerald Knaus. Knaus est également membre du Conseil européen des relations étrangères (ECFR) et membre de l’Open Society. »
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Comme nous l’avons déjà exposé au début de cette étude, George Soros est le créateur et financier de l’ECFR. Fondée à Londres en 2007, l’ECFR est une imitation du célèbre Coucil On Foreign Relations dont Engdahl rappelle qu’il est « Le think-tank créé par les banquiers Rockefeller et J.P. Morgan pendant les pourparlers de paix du traité de Versailles, en 1919, afin de coordonner une politique étrangère mondiale anglo-américaine ».
L’ECFR réunit les personnalités les plus importantes du monde de la finance et de la politique américaine. Parmi ses membres importants, le conseil de ce think tank basé à Londres a comme co-président Joschka Fischer, l’ancien ministre allemand des Affaires étrangères du Parti vert. « Celui qui a obligé son parti à soutenir le bombardement illégal, par Bill Clinton, de la Serbie sans l’aval du Conseil de sécurité des Nations unies » comme le rappelle justement Engdahl. Et Engdahl de poursuivre :
« Les autres membres de l’ECFR sont l’ancien secrétaire général de l’OTAN, Xavier Solana ; le plagiaire déshonoré et ancien ministre allemand de la Défense, Karl-Theodor zu Guttenberg ; Annette Heuser, directrice exécutive de la Bertelsmann Stiftung à Washington DC ; Wolfgang Ischinger, président de la Conférence sur la sécurité de Munich ; Cem Özdemir, président de Bündnis 90/Die Grünen ; Alexander Graf Lambsdorff du Parti libéral allemand (FDP) ; Michael Stürmer, correspondant en chef de Die Welt ; Andre Wilkens, directeur de la fondation Mercator ; Daniel Cohn-Bendit du Parlement européen. »
L’ECFR, à l’image de son parrain américain, se révèle être un lieu de collusion d’élite entre marxistes culturels, banquiers et militaires de l’OTAN.
Soros avait présenté lui-même sur son site officiel le plan à l’origine de l’Initiative de stabilité européenne présenté ensuite par Merkel. (2)
En Allemagne, au nom du vivreensemble, de nombreuses manifestations promigrantes ont eu lieu. Il a fallu les évènements de Cologne au Nouvel An 2016 pour qu’un début de prise de conscience fasse son chemin.
Pour Soros l’Union européenne devrait adopter un plan global pour cette crise, plan qui aboutirait ensuite à des normes mondiales :
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« L’UE a désormais besoin d’un plan global de réponse à cette crise, qui réaffirme l’efficacité de la gouvernance sur les flux de demandeurs d’asile, afin que les migrations puissent s’effectuer dans l’ordre et la sécurité, à un rythme adapté aux capacités européennes d’absorption des réfugiés. Afin d’être complet, ce plan devra s’étendre au-delà des frontières de l’Europe. La situation est moins chaotique, et beaucoup moins coûteuse, lorsque les demandeurs d’asile potentiels demeurent au sein ou proches de leur localisation actuelle. (…) Le sort de la population syrienne doit être inscrit au plus haut des priorités, sans pour autant que soient oubliés d’autres demandeurs d’asile et migrants. De même, ce plan européen devra s’accompagner d’une réponse mondiale, sous l’autorité des Nations unies et avec la participation de ses pays membres. Ceci viendrait répartir la charge de la crise syrienne sur les épaules d’un plus grand nombre d’États, tout en permettant l’instauration de normes mondiales pour la gestion des difficultés plus largement liées aux déplacements forcés. »
Les six points de ce plan étaient les suivants :
1. L’Union européenne devra accepter au moins 1 million de demandeurs d’asile par an, répartis équitablement entre les pays membres. Étant stipulé dans ce plan que l’Union devrait alors donner 15 000 € à chaque demandeur d’asile pour chacune des deux premières années afin de lui permettre de couvrir ses divers frais. « Il sera tout aussi important de permettre à la fois aux
États et aux demandeurs d’asile d’exprimer leurs préférences, en usant le moins possible de la contrainte. Le placement des réfugiés là où ils le souhaitent — et là où ils sont désirés — constituera une condition sine qua non de réussite. » 2. L’UE devra apporter son financement au Liban, à la Jordanie, ainsi qu’à la Turquie nous chez eux quatre millions de réfugiés.
Soit un coût total de vingt milliards d’euros.
« Il s’agirait également pour l’UE de contribuer à la création de zones économiques spéciales, bénéficiant d’un statut commercial privilégié dans la région, y compris en Tunisie et au Maroc, afin d’attirer l’investissement et de créer des emplois à la fois pour les locaux et les réfugiés. Il appartiendrait à l’UE de s’engager financièrement en faveur des pays frontaliers, à hauteur chaque année d’au moins huit à dix milliards d’euros, le reste des financements provenant des États-Unis et du reste du monde. Ceci pourrait s’ajouter au montant des obligations à long terme émises en soutien aux demandeurs d’asile en Europe. » 3. « L’UE doit immédiatement commencer à bâtir une Agence des migrations et du droit d’asile, et plus tard un corps commun de gardes-frontières en son sein. L’actuel patchwork de 28 systèmes distincts en matière d’asile ne fonctionne pas : il se révèle couteux, inefficace, et produit des résultats extrêmement incohérents sur le plan de la détermination des personnes admissibles au droit d’asile. Cette nouvelle agence pourrait ainsi progressivement harmoniser les procédures ; instaurer des règles communes en matière d’emploi et d’entrepreneuriat, ainsi que des avantages adaptés ; et élaborer une politique efficace de retour au pays pour les migrants non admissibles au droit d’asile, dans le respect des droits de la personne. »
Afin de protéger leurs citoyens, certains pays comme la Hongrie reprennent le contrôle de leurs frontières, en faisant fi des accords de Schengen.
4. Des couloirs humanitaires sécurisés doivent être établis afin de permettre aux migrants de passer de Grèce et d’Italie vers leur destination finale.
L’étape suivante étant d’étendre ses couloirs jusqu’aux régions frontalières de l’UE, afin de réduire le nombre de migrants qui entreprendraient une traversée périlleuse de la Méditerranée.
Tout ceci devant se faire en coopération avec l’agence de l’ONU pour les réfugiés (l’HCR).
Clairement, Soros demande à l’UE de s’organiser pour aller quasiment chercher elle-même les migrants. 5. Les arrangements opérationnels et financiers alors développés par l’Union européenne pourraient servir à établir des futures normes globales dans le traitement des demandeurs d’asile et des migrants.
6. Dernier point proposé par Soros : « Afin de pouvoir absorber et intégrer plus d’un million de migrants et de demandeurs d’asile chaque année, l’UE devra mobiliser le secteur privé — ONG, organismes humanitaires, et entreprises — afin que celui-ci apporte son parrainage. »
L’Open Society Fondations finance plus d’une vingtaine d’ONG qui œuvrent pour l’ouverture des frontières et l’accueil des réfugiés.
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Et Soros de conclure ce plan titanesque en pointant du doigt l’alternative proposée par le plan Orban :
« Le premier ministre hongrois Viktor Orbán a lui aussi récemment présenté un plan en six points de réponse à la crise. Seulement voilà, en subordonnant les droits humains des demandeurs d’asile et migrants à la sécurité des frontières, ce plan menace de diviser et de détruire l’UE, en lui faisant renoncer aux valeurs sur lesquelles elle s’est bâtie, et violer les lois censées la gouverner. »
Il est intéressant de noter que Soros considère les propositions alternatives du premier ministre hongrois comme une menace réelle risquant de freiner ses projets d’ouverture totale de l’Union européenne aux flux migratoires venus d’Afrique et du Moyen-Orient. Suite aux propositions de George Soros, l’Open Society a rapidement publié un rapport intitulé : « Accueillir l’engagement. Comment le sponsoring privé peut renforcer l’installation des réfugiés dans l’Union européenne. » (3)
Produit en collaboration avec le Migration Policy Institute, un think tank financé par d’influentes fondations américaines, ce rapport proposait de mettre en place des sponsorings pour aider les migrants à venir s’installer dans leur pays de destination. Agissant parallèlement aux institutions publiques, ces programmes pourraient « aider à accroître le nombre de places disponibles pour les réfugiés », car ils se situeraient hors des quotas fixés pour chaque pays.
On se demandera ce qui pousse Soros à investir autant dans les politiques de soutien aux migrants et appuyer autant dans le sens de leur accueil ?
La lettre d’information stratégique de la fondation Prometheus (4) a publié sur son site une analyse des perspectives profondes qui soustendent l’investissement de Soros dans la crise des migrants. Une mise en perspective intéressante qui aide à mieux comprendre les positions de Soros. Soutenir et forcer l’accueil des migrants par l’UE constituerait en fait un investissement gagnant-gagnant qui permettrait à Soros d’affaiblir l’UE à son compte :
« Une cartographie des ONG intervenant dans la crise des migrants expose le soutien massif que l’Open Society apporte à ces derniers, bien au-delà de l’action isolée de son ONG, accroissant ce flux que Soros décrit pourtant comme presque impossible à absorber. Ce positionnement est à mettre en perspective avec les investissements massifs de Soros dans l’or et l’argent : le Wall Street Journal souligne en effet que le Soros Fund Management a acquis plus de 19 millions d’actions de Barrick Gold Corporation, «une position qui a gagné plus de 90 millions de dollars depuis la fin du premier trimestre [2016]», ainsi qu’un million d’actions des mines Silver Wheaton Corporation. Soros a déjà fait un pari gagnant avec le Brexit, et une chute de l’Union européenne — et donc de sa monnaie — lui profiterait également. À ce titre, autant la provoquer en fournissant un soutien actif aux ONG d’aide aux migrants.
Le calcul est assez simple, Soros étant par ailleurs friand de psychologie sociale :
1. aider tant que faire se peut les migrants et faire du lobbying en faveur d’une politique migratoire ouverte ; 2. ce qui crée une défiance envers l’Union européenne, suscite des mouvements de contestation et aboutit à un vote majoritaire pour le Brexit, permettant à Soros :
3. d’accroître à nouveau sa fortune grâce à sa spéculation sur l’or :
«[…] À l’annonce de la victoire du Brexit, l’once d’or a […] bondi de plus de 4 %, remontant à son plus haut niveau depuis deux ans.
Depuis le début de l’année, la ‘relique barbare’ a gagné 24 %, pour atteindre 1 320,20 $ l’once […].
Le cours de l’argent a flambé de 29 % depuis le 1er janvier pour s’établir à 17,765 dollars l’once […].
À la Bourse de Toronto, le titre de Barrick Gold a été multiplié par 2,5 depuis le début de l’année, tandis que celui de Silver
Wheaton a bondi de 60 % sur la place canadienne.»
Cette lettre très bien renseignée donne ensuite un échantillon des associations promigrants soutenues par l’OSF sur la route des Balkans et en Méditerranée :
« En parallèle, l’Open Society finance plus d’une vingtaine d’ONG de natures diverses, et qui œuvrent pour l’accueil des réfugiés :
1. Refugee Aid
Miksalište : serbe, elle apporte son aide sur le terrain au sein d’un centre de transit pour migrants à Belgrade.
Elle fut fondée par la Mikser House et la Divac
Foundation.
Cette dernière, comme d’autres étudiées ci-dessous, a plusieurs sponsors, mais nous nous limiterons à chaque fois à mentionner quand l’Open Society y figure. C’est ici le cas, via la
Foundation for an Open Society
Serbia. 2. Migrant’s Help
Association for Hungary (MigHelp) :
Hongroise, elle fut créée par des migrants et leurs soutiens, parmi lesquels l’Open Society
Budapest.
L’ONG dispense des cours de langue et d’informatique pour aider les migrants à trouver un emploi.
Elle renvoie vers Menédek, une autre ONG d’aide aux migrants financée par l’Open Society. 3. Menédek —
Hungarian
Association for
Migrants agit en dispensant des formations, dans le plaidoyer, l’aide juridique et le lobbying depuis plus de vingt ans.
L’ONG donne des cours — en invitée — à l’université d’Europe centrale, et travaille, selon ses propres termes, à rendre la société hongroise
« plus ouverte » à l’égard des migrants.
4. International
Rescue
Committee : cette
ONG d’origine américaine ne précise pas être financée par l’Open Society, mais l’information se trouve dans le bilan de l’ONG de Soros pour l’année 2014 (subvention de 150 00 dollars) (3). L’IRC agit de façon polyvalente : aide active sur le terrain (voir activisme avec Refugeeinfo.eu), lobbying, rapports, Elle apporte en outre une aide logistique.
5. ICUM (Plateforme pour la coopération internationale sur les sans-papiers) : l’Open Society apporte son soutien financier depuis 2014 seulement, elle est en effet absente des rapports financiers des quinze années qui précèdent. PICUM se compose d’une centaine d’organisations, mais l’Open Society fait partie des trois ONG citées en page principale et remerciées. Particulièrement influente sur le plan institutionnel, PICUM publie des rapports, fait du lobbying, apporte son aide juridique, et mène des campagnes. 6. EPIM (European
Program for
Integration and
Migration) : son rôle premier est, d’après son site, de « renforcer le rôle joué par la société civile en influençant les politiques de développement et en promouvant des approches constructives pour la migration en
Europe. »
7. Oxfam : Ici,
Oxfam produit des rapports et apporte son aide sur le terrain dans plusieurs pays touchés par la « crise des migrants ».
8. Internews : sa branche intitulée
NewsThatMoves fournit de nombreuses informations pratiques aux migrants (c.-à-d. une aide illégale), afin que ces derniers puissent se rendre à leur destination.
9. UNITED for
Intercultural
Action : ce réseau d’activistes, qui agit également dans le lobbying et les plaidoyers, réclame une
Europe sans frontières et veut montrer qu’ « un grand nombre de personnes croit en une société ouverte interculturelle ». C’est cette association qui soutient les fameux « No Borders » qui se sont illustrés à Calais ou à la frontière italienne.
10. ADRA (Adventist
Development and Relief
Agency) : fondée en 1956, elle est notamment financée par l’Open Society
Sofia. Cette ONG internationale apporte une aide matérielle et informationnelle aux migrants, agit comme lobby et fournit une aide juridique.
11. MigAid
12. Vaša Prava
BiH : réseau d’assistance juridique qui se trouve en Bosnie-
Herzégovine. 13.YLA (Macedonian
Young Lawyers
Association) : la
Foundation for an Open Society
Macedonia fait partie de ses partenaires.
Centrée sur l’aide juridique, le lobbying et les plaidoyers, cette ONG n’aide pratiquement que les réfugiés et les migrants. Sur les près de 9 000 bénéficiaires (qu’elle revendique) de son action, 64 % seraient des demandeurs d’asile, 12 % seraient des apatrides, et 9 % seraient des réfugiés reconnus.
14. Praksis : cette
ONG grecque agit dans plusieurs pays en menant du lobbying, des plaidoyers, une aide sur le terrain et / ou juridique.
Elle est par ailleurs membre de l’International
Drug Policy
Consortium, soutenu par des fonds parmi lesquels se trouve l’Open Society.
15. Albanian,
Bulgarian &
Hungarian Helsinki
Committees : ces comités furent initialement montés pour aider les gens victimes de persécutions dans les pays totalitaires. Ils se dédient à la défense des droits de l’homme et agissent de ce fait pour venir en aide aux migrants, au travers de lobbying, de rapports, d’aide juridique et de plaidoyers divers. 16. Legis : née en
Macédoine, cette
ONG apporte son aide sur le terrain (en envoyant des juristes informer les migrants de leurs droits) et sur le plan juridique, fait du lobbying et mène des plaidoyers. Son activité semble exclusivement dédiée aux migrants. (5)
On notera qu’elle dispose de plusieurs partenaires mais qu’elle n’a lancé de « concours » en faveur de l’aide humanitaire qu’avec l’Open
Society.
17. Grupa 484 : cette ONG serbe travaille entre autres avec Oxfam et l’International
Rescue
Committee. Elle fournit une aide juridique et terrain.
Elle agit en Serbie et en Europe du
Sud-Est.
18. Praxis : Serbe également, et créée à Belgrade, initialement sur l’impulsion du Norwegian Refugee Council, Praxis apporte des services d’aide juridique gratuite et travaille au renforcement de la place des migrants dans la société.
19. Atina : ONG serbe, Atina agit dans de nombreux domaines. Elle a, entre autres, réalisé le court documentaire Up the Road qui rapporte les vœux des migrants et dénonce le refus des populations nationales de les accueillir. Son réseau dépasse les Balkans, pour s’étendre jusqu’aux pays d’Europe occidentale, où elle dispose de partenaires.
20. Greek Council for Refugees : depuis 2013, l’Open Society la finance, à raison de plus de 100 000 dollars à chaque fois.
Ses plus récentes actions menées en Grèce, en 2015, ont été financées par l’Open Society. (6) L’ONG aide sur le terrain, sur le plan juridique, mène des plaidoyers et fait du lobbying.
21. Novosadski
Humanitarni
Centar : ONG serbe et financée entre autres par le Fund for an
Open Society
Serbia, le NSHC apporte une aide sur le terrain, mais aussi juridique, et produit des rapports, travaille au développement de la « société civile » et promeut une société « ouverte » (au sens sorosien).
Et enfin 22. Solidarity Now, l’ « Open Society » grecque, créée opportunément en 2013.
Sources :
• (1) http://lesakerfrancophone.fr/dans-les-coulisses-du-combat-entre-trump-et-letat-profond • (2) https://www.project-syndicate.org/commentary/rebuilding-refugee-asylum-system-by-george-soros-2015-09/french • (3) http://www.migrationpolicy.org/research/welcoming-engagement-how-private-sponsorship-can-strengthen-refugee-resettlement-european • (4) http://www.fondation-prometheus.org/wsite/publications/newsletter/octobre-2016/george-soros-le-brexit-et-les-migrants/