L'Ecole valaisanne, mai 1980

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Bulletin mensuel du personnel enseignant du Valais romand Mai 1980 XXIVe année

Votre tableau noir remplit-il encore toutes ses fonctions? o y écrit-on facilement?

o Lit-on facilement ce qui s'y trouve? o Est-il antireflets? o Sa surface est-elle endommagée?

o Est-il facile à nettoyer? o Peut-on y fixer des objets aimantés? o Ses réglures sont-elles impeccables? o Est-il facile à déplacer?

Que faire quand vous découvrez un défaut? Si votre tableau noir présentait tel ou tel défaut, c'est-à-dire, s'il ne répondait plus entièrement aux besoins de l'enseignement, l'un de nos spécialistes pourrait vous aider. Il se fera un plaisir de l'examiner gratuitement et

L'ÉCOLE VALAISANNE

paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.

RÉDACTEUR

M. Jean-François Lovey.

DÉLAI DE RÉDACTION

Le 25 de chaque mois.

ÉDITION, ADMINISTRA TION, RÉDACTION

ODIS, Gravelone 5, 1950 Sion, tél. (027) 21 62 86.

IMPRESSION, EXPÉDITION

Imprimerie Valprint S.A., Sion.

ABONNEMENT ANNUEL

Fr. 20.-, CCP 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le personnel enseignant, l'abonnement est retenu sur le traitement).

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Couverture: 4" page avec 1 couleur (minimum lOfais) mais avec changement de text~ possible

sans engagement pour vous et vous dira - si un nettoyage approfondi spécial pourrait le femettre en état, -si sa surface doit être restaurée, -si tout le tableau doit être remplacé.

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Les encarts sont acceptés. Prière de se renseigner de cas en cas auprès de Publicitas S.A.

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Somm.aire ÉDITORIAL Jean-François Lovey

Ethique de l'éducation ... ....... ...... ... .. ...... ... .. .... .... ...... .. .... .

ÉDUCA TION ET SOCIÉTÉ Jean-François Lovey Jocelyne Gagliardi Centre d'information sur le tabagisme

E~hique

Un regard sur l'ODIS Questionnaire à l'intention des enseignants

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Une bibliothèque de CO ....... ... .. ..... ......... ... ....... .. ............ . Enseignement du français: pourquoi un effort de rénovation? . Retroussons les manches et mettons-nous au travail Maîtrise du français .............. ..... .. .

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Divertissements de Matix Solutions aux divertissem~~t~ 'd~ 'r\,1"~ti~ :

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Une réalité qui dérange: la condition du remplaçant Des activités accessoires ....... .... ............... ....... ...... , ...... ..... ..

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de l'éducation

ACTUALITÉ PÉDAGOGIQUE Jean-Michel Mathey François Mathis Damien Bex François Mathis

Il ne nous appartient pas, en ces quelques lignes tracées à l'enthousiasme, de tenter une grandiose esquisse de la Morale, partie fondamentale de la philosophie, et encore moins d'y prêcher la bonne parole ou l'évidence avec l'assurance d'un clerc ambitieux. Le fronton de l'histoire est orné de têtes illustres qui se sont risquées à une définition de nos droits et de nos devoirs, de nos libertés et de nos limites. Respect à tous ceux-là et oubli pour tous les autres qui ont confondu méditation et idéologie.

DIDACTIQUE J.-J. Dessoulavy VIE CORPORA TIVE Corinne Décaillet Alfred Monnet Alex May Jean Gay-des-Combes

CIRCE III: Sous-commission d'histoire: information sur les ré~ul.tats de la consultation concernant le «Rapport de la commIsSIon romande d'éducation civique» Amicale des instituteurs

Mais qu'il nous soit permis, en revanche, d'avancer quelques réflexions qui pourraient servir à une modeste éthique de l'éducation, car telle est bien notre tâche en ces colonnes.

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A u-delà des questions portant sur les différents courants pédagogiques, au-delà également des querelles de méthodologie, se posent des interrogations fondamentales dont l'épanouissement de l'être est l'enjeu. Celle dont nous traiterons brièvement aujourd'hui pourrait s'énoncer ainsi: quel type de morale est engagé dans le rapport quotidien de l'enseignant à l'élève? qu'est-ce qui fonde ces comportements? qu'est-ce qui les oriente? de quel genre de société sont-ils le reflet?

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NOUVEAUX MOYENS D'ENSEIGNEMENT AU DÉPÔT SCOLAIRE par y. Savi ~z, R. Fournier, J. Gagliardi , G. Pralong, M. Zuber, R. Mittaz et abbé Pralong

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NOUVELLES ACQUISITIONS À L'ODIS ODIS

Livres et cassettes du mois

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INFORMA TIONS OFFICIELLES Caisse de retraite et de prévoyance du personnel enseignant DIP CME DIP DIP DIP DIP

Par souci de clarté et par commodité, schématisons à l'extrême et disons qu'il y a deux types de morale en éducation: Informons ........... ........ ....... .................. , .. ......... . Introduction au programme romand d'écriture en 4 P ... . A propos des cahiers utilisés à l'école primaire ...... ... .... . Instrl:1ct~ons concernant le calcul des moyennes annuelles .. ... . InscnptIon pour des remplacements pendant l'année 1980-1981 ... ........... ........ ........................ ... ..... ...... ..... ... . Statut des remplaçants à l'école primaire ....... ..................... . P,résentation des nouveaux manuels pour l'enseignement religIeux ..

celle du (( fais )) celle du (( ne fais pas )).

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La première est une morale du commandement, de l'invitation, de la stimulation; elle ne compte pas, semble-t-il, ses principaux disciples dans le domaine réservé de l'école. La deuxième est une morale appuyée sur l'interdit, l'obstacle, l'empêchement. o 'un côté, une morale du conseil et de l'ordre; de l'autre une morale de la loi et du règlement.

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INFORMA TIONS GÉNÉRALES TV éducative romande Service de l'enseignement secondaire GRETI

La course autour de chez soi .

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Communiqué aux maîtres de 6" primaire ............ .... .... . Les a.ctiv,ités de connaissance physique à l'école enfantine ..... . PublIcatIOn des cours de l'Association suisse d'éducation physique à l'école .......... ... .... .......,.. ..,.. ..,.. . , ... , ... .. ... .......... ...... .

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(Selon certains historiens des mentalités et selon certains penseurs, l'élément (dais)) domine lorsque la morale et la société sont en période de croissance, de développement. L'élément (( ne fais pas )), lorsqu'elles ont atteint leur maturité, lorsqu'elles sont rassasiées et qu'une rechute est à craindre.

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A chacun de déterminer, sous cet éclairage, le climat de notre époque).

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Nous croyons, quant à nous, l'une et l'autre morale trop exclusive, trop tranchée, trop compartimentée. Toutes deux sont pourvoyeuses d'excès bien connus: la crainte qui dégénère en terreur pour la première, la liberté qui se ruine en licence pour la seconde. Mais est-ce que dans le domaine précis de l'éducation, le juste équilibre est trouvé entre les deux? Est-ce que nous usons autant du (dais)) que du (( ne fais pas))? A utant de l'encouragement que de l'interdiction? - Le vocabulaire et certaines attitudes employées sont à cet égard révélateurs. A ujourd'hui, dans nos différents centres scolaires, on lutte beaucoup CONTRE: contre la drogue, contre le tabagisme, contre le laisser-aller, contre la paresse, contre la malhonnêteté, contre la tricherie, contre le manque d'intérêt, contre la filouterie. Très bien. Et si on luttait aussi un peu POUR: pour un meilleur équilibre de l'élève par le sport et l'amitié favorisés lors des temps libres, pour une meilleure harmonie entre l'effort et les loisirs de l'élève, pour une meilleure répartition des joies et des prévisibles déceptions, pour une meilleure connaissance de la famille, des amis, des proches de l'élève, pour une meilleure compréhension de son milieu et de ses difficultés, pour l'aider à meubler ses temps d'inactivité, pour répondre à ses nombreuses questions etc ... Et ce n'est pas là une spécieuse querelle de vocabulaire!

Un regard sur l'ODIS Il y va des institutions comme des meilleures décisions: ilfaut un certain temps avant qu'elles n'entrent dans les mœurs Des remarques, questions, objections, critiques, interrogations ou simples étonnements émanant du corps professoral à l'énoncé du sigle ODIS, nous montrent que tout n'est pas clair encore et nous poussent à présenter, en ce numéro, les principaux axes de travail et de recherche qui ont leur siège en l'édifice, sis route de Gravelone 5. Un tel dossier avait été:entrepris en 1976 déjà, sous la direction de M. Rausis, alors qu'on inaugurait de nouveaux locaux pour la documentation et l'information scolaires; le travail publié dans le n° 6, Ecole Valaisanne de cette année-là, avait certainement permis alors à tout un chacun de se faire une idée précise du fonctionnement de ladite institution.

Nous sommes tous convaincus du bien-fondé de la lutte CONTRE la drogue; le sommes-nous aussi de la nécessité de lutter POUR éliminer l'ennui. Et pourquoi pas des règlements, lus le premier jour et répétés fréquemment, où le (( fais ceci)) et le (( fais cela)) remplaceraient allégrement le rébarbatif (( ne fais pas)) ? Réclamer ce réajustement de l'aspect ((positif)) de la morale éducative souligne le fait que nous devons plus APPORTER qu'EMPECHER, plus ECOUTER que TAIRE.

Mais depuis, l'office a pris de l'importance, de l'ampleur, et il nous semble indispensable d'en présenter succinctement les principaux aspects: ce sera un judicieux rappel pour les connaisseurs et les intimes des lieux, une fiche signalétique encourageante pour les autres, parmi lesquels les nouveaux enseignants.

Jean-François Lovey

Introduction

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L'ODIS est né en 1956 et, comme tout enfant il a eu des premiers pas hésitants et difficiles parfois. Malgré tout, "lI a grandi et celui que nous vous présentons aujourd'hui porte déjà les indéniables premiers signes de maturité et d'expérience. Il a séjourné à l'ancienne maison du sel, dans des locaux de la rue de Conthey et à l'école normale des garçons;

J,'ue générale de l'OD1S

voilà maintenant cinq ans qu'il se trouve dans les locaux que nous vous présentons aujourd'hui. Parallèlement à cela, en relation avec la bibliothèque cantonale, deux ODIS régionaux ont été créés: l'un à Brigue en 1971 (responsablè M. H. Zenhausern), l'autre à Saint-Maurice en 1973 (responsable M. M. Parvex). Ces deux offices sus-mentionnés consacrent un tiers de leur temps à la documentation pédagogique et deux tiers à l'animation des bibliothèques communales.

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Tout ce matériel n'a de sens que dans la mesure où il sert à animer un cours, une le<;on, un domaine d'investigation précis. Il doit être le support ou le pro!onge-

Deuxième étage: le dépôt des ou vragesfémin ins

Les buts L'office de documentation et d'information scolaires a pour but avoue d'être un centre dynamique d'appuis pédagogiques au service des enseignants. Irest à la fois une aide et un lieu de recherche scolaire. Qu'il s'agisse de problèmes strictement didactiques, de renseignements précis, d'illustrations de cours, d'animation culturelle, de formation professionnelle, de méthodologie à revoir, de mise à disposition de matériel indispensable, l'ODIS, dans la mesure de ses possibilités, répond «présent» et remplit ainsi son contrat et une tâche primordiale dans les perspectives de l'enseignement actuel. Il Documente; il Informe, il met à disposition des moyens ou vecteurs pédagogiques.

cules d'introduction à diverses matières appuis à la catéchèse et aux autres bran~ ches du programme, diapositives, cassettes, vidéo-cassettes, caissettes de technologie (serrures, poulies, électricité), sont à la disposition des enseignants. Ils peuvent" être consultés sur place ou prêtés à domicile pour une durée variable, selon le matériel. Comme un catalogue est à disposition, il est possible d'obtenir ce que l'on désire sous forme d'envoi à domicile. (Le matériel numéroté en ce service voisine les 10000 pièces): plus de 60000 dias; plus de 2000 cassettes-son; près de 300 cassettes-vidéo; plus de 3500 livres; des revues et des ouvrages de lecture suivie ...

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1. Service de prêt

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Livres de méthodologie, revues pédagogiques, ouvrages de lecture suivie, opus-

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photocopieurs (grands tirages, formats A4, A3, confection de dossiers, possibilité de réduction de format) _ thermocopieur (pour confection de stencils et de transparents) copieurs de cassettes (1 mono et 1 stéréo)

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ment d'un thème que l'enseignant a choisi; il est la partie visible, traitable, malléable de l'iceberg que le maître ou l'élève traite. Utilisé à des fins propres, réduit à son rôle de matériel, il transforme un cours en un tape-à-l'œil et en clinquant de parade. III. La vente Si l'ODIS n'est pas un magasin, il a quand même en lui, de par son histoire, un secteur où règne la vente. Il s'agit principalement des Travaux à l'Aiguille, avec tout le matériel que cela comprend (des tissus au matériel manuel) et d'un lieu d'Activités Créatrices Manuelles (matériel nécessaire et certaines réalisations). Le tout se trouve au 1er étage du bâtiment. IV. Pour la connaissance de !'envÎronnem,ent: Une pennanence pédagogique Sion - Saint-Maurice Le recyclage de la connaissance de l'environnement se déroule en trois phases:

Le sludio-son

II. Matériel technique à disposition

Présentation des lieux

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duplicateur à alcool audition et visionnement de documents à l'aide de magnétophone, diascope (petit et grand écrans), projecteurs pour cassettes, épiscope, ensemble magnétoscope-TV, rétroprojecteur salle de visionnement à disposition des classes (25 places) laboratoire photo noir-blanc (matériel à la charge des utilisateurs) copie de dias, confection de dias à partir de documents macrophotos - microphotos studio son (salle insonorisée); copie de disques ou de bandes magnétiques sur cassettes, enregistrements, mixage. matériel en prêt (diascope, projecteurs 8 et 16 mm, cassettes super 8, appareils photos 24 x 36, valise à dias, rétroprojecteur)

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des ouvrages: livres, revues, fiches, maîtres, certains réservés aux d'autres aux enfants. Une nouvelle série de diapositives sur les animaux de chez nous, chacune accompagnée d'un document complet sur l'animal. des exemples d'ateliers que chaque enseignant, à partir d'un matériel de récupération peut mettre à disposition de sa classe. des cages pour petits élevages, fabriqués à partir d'un matériel simple et d'un peu d'habileté manuelle. un service photos pour les documents d 'histoire en 3P.

D'autre part, ce secteur vise aussi à la conservation des oiseaux, petits animaux et insectes.

Si, par la permanence pédagogique, les animateurs sont informés des problèmes et besoins des enseignants, ceux-ci peuvent pour une grande part, contribuer au développement de ce secteur en continuant d'y apporter leurs expériences et leur réflexion ... Horaires

Sion IP - 2P: tous les premiers mercredis du mois tous les lundis dès 16 h. 30 3P: tous les mercredis Saint-Maurice IP-2P-3P: tous les premiers mercredis du mois

Groupe d'institutrices collaborant à la résolution des nombreux problèmes posés par l'environnement

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Une matinée d'information générale au cours de laquelle sont présentés aux enseignants les raisons de cette pédagogie basée sur les intérêts de l'enfant, ses buts et la nécessité de décloisonner les disciplines et d'aborder de manière globale les sciences: sciences humaines, sciences naturelles, sciences exactes. une semaine de cours de perfectionnement pendant laquelle les enseignants sont appelés à vivre cette pédagogie de la découverte, de l'observation, de la recherche et de la communication. Au vécu de ces situations est joint un apport théorique. des séances d'animation réparties tout au long de l'année scolaire: les enseignants se retrouvent par petits groupes et échangent leurs expériences de classe, les réactions et comportements des enfants face à une situation donnée et les travaux qui en ont découlé.

Certains enseignants souhaitent des rencontres plus fréquentes. La permanence pédagogique leur offre la possibilité d'un contact personnel avec l'animateur, d'une recherche commune sur un problème posé et d'échanges avec d'autres enseignants. En plus de cette invitation au dialogue, elle présente aux enseignants: des travaux d'enfants (dossiers individuels, dossiers de classe, panneaux). A travers ces documents, les maîtres peuvent remarquer les différentes manières de traiter un sujet selon les intérêts des enfants, les possibilités du lieu d'enseignement, le nombre d'élèves, etc ... des documents théoriques «Approche de la démarche». Ces documents sont en cours d'élaboration. Ils comprendront pour chaque point du programme le pourquoi, les objectifs et des suggestions pédagogiques.

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Action d'information sur le tabagisme

1979-1980

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

remise à tous les élèves de cycles d'orientation et des Se et 6 e années primaires, afin qu'ils les apportent à leurs parents en vue d'un échange d'idées.

Vous nous avez certainement apporté votre collaboration dans la campagne organisée par le centre d'i~formati0!l sur le tabagisme, sur instructIon des lIgues valaisannes contre le cancer, contre la tuberculose et les maladies pulmonaires, contre les toxicomanies et du Département de l'instruction publique.

Ceci dit, nous nous permettons ~e vous mettre à contribution en vous pnant de nous renvoyer le petit questionnaire cijoint pour le 31 mai 1980. Selon vot~e désir vous pouvez soit signer l'exemplaIre que vous nous retournez, soit nous l'adresser de façon anonyme.

Vous comprendrez qu'une évaluation, d'ailleurs annoncée dans le journal de l'Ecole valaisanne de juin 1979, est indispensable afin de poursuivre tous ensemble un travail correspondant au but recherché. L'évaluation annoncée est conçue de la façon suivante: Nous demandons à tous les maîtres qui ont requis le matériel d'information auprès du centre, de même qu'à un certain nombre d'autres, de nous apporter le résultat de leurs observations. Nous rappelons qu'une brochure, sous forme de bandes dessinées, a été éditée pour être

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Par la même occasion, nous vous signalons qu'une évaluation de notre action sera également conduite auprès d'un groupe restreint d'élèves (choix d'un cycle d'orientation moyen). Les résultats de ces différents questionnaires seront publiés dans l'Ecole valaisanne. Nous souhaitons pouvoir compter sur votre collaboration et nous vous en remercions. Nous vous présentons, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, nos meilleures salutations. Le centre d'information sur le tabagisme


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l'I~ltAt;ttt;ltPIII~ Questionnaire à l'intention des enseignants 1. Avez-vous eu l'occasion d'aborder le thème du tabagisme avec vos élèves? Par: 1.1 1.2 1.3 lA

D D D D

Cours magistral Cours de français Cours de biologie Autres

Une bibliothèque de CO

2. Avez-vous eu l'occasion d'y revenir au cours de l'année scolaire? 2.1

Si oui, combien de fois? Responsable d'une bibliothèque scolaire, en l'occurence celle du CO de Leytron, je me propose d'exposer les réflexions et les suggestions suivantes à mes collègues enseignants et/ou bibliothécaires.

3. Quel matériel vous a semblé le mieux adapté à ce genre d'enseignement? (Etablir un classement par ordre de priorité) 3.1 3.2 3.3

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Bande dessinée Films Livres Fumeur mécanique

Le goût de lire n'est pas inné. Cependant, dès que l'apprentissage de la lecture est effectué, l'enfant ressent un appétit de lire, un des moyens d'appréhender la réalité environnante ou de s'identifier à des héros de son âge.

4. Cette information semble-t-elle aboutir à un apport chez vos élèves? 4.1

Cette inclination est pourtant vite annihilée par toutes sortes de phénomènes de société, propres à notre époque: le mauvais parti que l'on tire de la télévision , la débilité affligeante de certaines bandes dessinées, la recherche de la facilité en général. L'effort de lire, car il s'agit d'un effort que tous nos élèves doivent s'imposer, disparaît ainsi peu à peu.

Savez-vous notamment si les élèves ont discuté le contenu de la bande dessinée avec leurs parents? .

5. Pouvons-nous continuer notre campagne dans une voie analogue?

Dans le but de remédier à cet état de fait, l'Ecole doit s'efforcer de revaloriser le livre de récits d'aventures et les documentaires, adaptés à la faculté de compréhension des lecteurs. L'enrichissement intérieur de ce genre de lecture a été clairement établi et pour s'en convaincre, il suffit de converser avec des élèves très friands de livre pour constater l'emploi d'un vocabulaire approprié et abondant.

6. Que pensez-vous de ces méthodes de sensibilisation?

7. En complément du matériel mis à votre disposition, avez-vous eu d'autres idées? 7 .1

Lesquelles?

7.2

Comment les avez-vous appliquées? 1

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8. Suggestions - Remarques:

Le centre d'information sur le tabagisme

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La bibliothèque du CO de Leytron

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Afin de promouvoir la lecture, le CO de Leytron possède depuis peu une biblio-

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thèque scolaire digne de ce nom , un local spacieux (95 m2), très bien équipé. Le nombre des volumes mis à la disposition du prêt reste cependant faible (800), quoique tout à fait acceptable pour un CO de 250 élèves. Les ouvrages sont répartis approximativement de la façon suivante: 1/ 3 livres documentaires 2/ 3 livres de récits d'aventures. Puisque cette bibliothèque comporte une partie réservée à la consultation , un effort particulier est entrepris dans l'achat de documentaires et d'encyclopédies. Le prêt L'horaire d'ouverture de la bibliothèque (5 x par semaine) doit donner la possibilité à tous les lecteurs potentiels d'em'prunter les livres, spécialement à ceux qui habitent hors du lieu de construction du bâtiment scolaire. Le prêt des livres a progressé de façon très satisfaisante. Ainsi, il a passé de 1481 livres prêtés en 1977/ 78 à 2421 en 1978/ 79 (en augmentation de 70%). Si tous les élèves du CO lisaient le même nombre de livres, cela signifierait que chacun aurait lu presque dix livres durant l'année scolaire. Or, la réalité dément sans conteste ce raisonnement simplifié à l'extrême. Constatons la répartition dans le graphique ci-dessous

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Certains maîtres, conscients du rôle important joué par la lecture, viennent régulièrement à la bibliothèque avec toute leur classe, en incitant les élèves à emprunter un livre, leur conseillant différents ouvrages. A cet effet, un élève de confiance a été formé dans chaque classe pour assurer le prêt en l'absence du bibliothécaire.

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les âges et plonge dans l'embarras le bibliothécaire lors des acquisitions de nouveaux volumes. Dans le meilleur des cas, les propositions d'achats proviennent des élèves et des maîtres. Un concours, qui n'a pas d'autre but que d'attirer le plus grand nombre possible d'élèves et ainsi de susciter une relance du prêt est organisé chaque année avec succès.

Un contrôle après chaque ouverture permet de se rendre compte quels élèves ont empruntés un ou plusieurs ouvrages.

Ainsi, la bibliothèque, élément important et dynamique d'une école, doit souvent trouver de nouvelles formules, afin de revaloriser le livre et stimuler la curiosité intellectuelle des élèves.

Le choix des livres importe beaucoup. Le marché vend de la littérature pour tous

lean-Michel Mathey


Enseignement du français

Retroussons les manches et mettons·-nous au travail

Pourquoi un effort de rénovation?*

Une question que peuvent légitimement se poser tous ceux et celles qui seront appelés prochainement à participer aux rencontres de recyclage. Ces quelques réflexions ne prétendent pas y apporter une réponse définitive, mais peut-être aideront-elles à mieux saisir les divers aspects du problème. Disons d'emblée que l'argument consistant à dire qu'il faut «changer pour changer», ou par souci pur de nouveautés, de modernisation, voire même de scandale n'est qu'une affirmation gratuite que nous abandonnerons volontiers aux amateurs de polémique. Repenser l'enseignement de la langue maternelle, tel est notre propos et notre préoccupation. Sera-t-il permis d'imaginer que les enseignants eux-mêrries s'interrogent sur la satisfaction qu'ils retirent de leur propre enseignement? Et les élèves? On ne leur demandera pas bien sûr s'ils Sont satisfaits de l'enseignement qu'ils reçoivent; mais qu'il nous soit permis, à nous adultes, d'imaginer une réponse à cette question ... L'investissement en temps - 9 ans de scolarité obligatoire, ce n'est pas à négliger! - en efforts de patience et de répétitions, en moyens de toutes sortes est-il justifié par les résultats obtenus? L'ennui de «certains» élèves ou même de «certains» maîtres parfois, est-il à considérer une fois pour toutes comme une chose normale et inhérente à l'enseignement?

On entend, ici et là, relever avec nostalgie la baisse du niveau de l'orthographe de la lecture ou de la composition française: vaut-il la peine d'y prêter une quelconque attention?

Cinq cents pages et plus de méthode renouvelée du français nous attendent. Avouons-le, pour une méthode, elle est monumentale. Le mot n'est pas trop fort. Mais le personnel enseignant valaisan n'en est pas à ses premières prouesses. Lorsque jadis, nos vieux héros de l'enseignement devaient assumer des classes de 50 à 60 élèves à tous les degrés et dans des salles de quelques mètres carrés, ils s'en sortaient. Honneur à eux et bravo pour l'exemple qu'ils donnent à leurs cadets. L'étude d'une méthode nouvelle, même monumentale, paraît un jeu d'enfant à côté de cet héroïsme. Et puis notre personnel enseignant ne manque ni d'audace ni d'imagination. Je lui fais confiance pour apprivoiser une nouvelle méthode et l'adapter à l'enseignement.

Quels rapports existe-t-il entre l'école d'une part et la vie, le milieu, les intérêts des élèves d'autre part? Les liens sont-ils si artificiels que l'on doive s'empresser d'oublier un monde sitôt que l'on a franchi les portes de l'autre? La pédagogie évolue et progresse: pourquoi ne pas tirer parti de ces découvertes? Même question pour d'autres sciences telles que la psychologie, la linguistique ou la sociologie. Les publications de manuels suivent les progrès de ces découvertes; il suffit de parcourir les collections de toutes les éditions actuellement sur le marché pour s'en assurer.

Comme responsable scolaire, je veux aussi me mettre à l'ouvrage avec vous tous et m'efforcer d'apporter mon écot à cette tâche. La concertation, sous toutes ses formes, est bénéfique, lorsqu'elle est guidée par une réelle bonne volonté et non par le goût du bavardage et de la critique stérile.

Notre langue maternelle, par définition, est une langue vivante, une langue qui évolue; pourquoi voudrions-nous à tout prix persister à calquer notre enseignement - de la grammaire par exemplesur celui, plusieurs fois centenaire, de la grammaire latine? Il ne s'agit pas, ici, de dénigrer un enseignement traditionnel par lequel nous avons tous passé et qui a fourni ses preuves. Les raisons de cette rénovation se veulent d'abord constructives, axées vers une réflexion véritable sur l'enseignement de la langue maternelle dans le but d'en améliorer l'efficacité. François M athis

* «Maîtrise du Français», Introduction, p. 1 On pourra lire également avec profit R.H. ROBINS «Brève histoire de la linguistique - de Platon à Chomsky», Seuil, 1976

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Au lieu de foncer tête en avant au cœur de cette méthode, au risque de me faire mal et de m'y perdre, je préfère m'en tenir à son avant-propos, à son introduction, à sa table des matières et à un rapide coup d'œil sur l'ensemble. A ce jeu-là je découvre les multiples intentions des auteurs, leurs options, les grandes lignes de l'ouvrage, l'équilibre entre ses différentes parties, l'ordre des valeurs etc. Ensuite, en feuilletant le livre, je me rends compte que ses grandes options sont excellentes, parce qu'elles s'adressent à l'homme tout entier: intelligence, mémoire, imagination, cœur, sensibilité et même à ce subconscient qui sommeille en chacun de nous. Tandis que les méthodes traditionnelles ne s'adressaient

qu'à notre intelligence et à notre mémoire, ces deux glacis de notre être, laissant nos forces vives sans engagement et sans emploi. Je remarque également que les auteurs de la méthode ont fait la part belle à la technique, et cela à tel point que les grandes options de la méthode subissent, ça et là, une espèce d'étouffement, jusqu'à perdre quelque peu de leur valeur. De plus, certains développements techniques, poussés à l'excès, ressemblent fort à des vérités de La Palice. Je pense que les techniciens, sans même s'en apercevoir, se laissent emporter par le démon de la technique qui les entraîne de divisions en subdivisions, de subtilités en subtilités, de déductions en déductions, jusqu'à ce qu'il sont prisonniers de leur technique, comme l'araignée de sa toile. Entre temps, ils ont perdu de vue le maître et l'élève qui sont à la réception et à la mangeoire. C'est un peu là le péché mignon de tout technicien. Tenez, prenons un exemple dans la construction, une branche que j'ai souvent côtoyée, à cause des multiples constructions qui me sont tombées sur les bras. Architectes et ingemeurs vous arrivent avec une montagne de plans. On se met à table, on examine tout cela en partageant le verre de l'amitié. Aussi longtemps que nous faisons les stratèges en chambre, tout va bien . Ces plans nous paraissent d'une bonne cuvée et tout le monde est content. Mais, comme l'édifice se construit sur le terrain et non sur le papier, nous nous rendons sur le terrain, et là, patatras! Plus rien ne va. Le terrain a bousculé notre rêve et nous a ramenés à la réalité. Penauds et humiliés, nous quittons le terrain en nous disant qu'il eût été plus sage de commencer par là.

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Maîtrise du français Séance d'information du personnel enseignant du Valais rOlnand Décembre 1979 Résumé de la conférence de M. Jean-Luc Bagnoud (Texte recueilli par François Mathis) Jean-Luc Bagnoud - licencié ès lettres - sous-directeur de l'Ecole normale des instituteurs . , - professeur à l'ENG - membre de la commission d'examen de «Maîtnse du FrançaIs» décédé des suites d'un accident le 31 décembre 1979 .

Je ne parlerai pas en tant qu'auteur de «Maîtrise du Français», mais tout simplement en tant que lecteur, comme peut-être la plupart d'entre vous. J'ai eu l'occasion de lire ce livre au fur et à mesure de sa parution et de le relire maintenant dans sa nouvelle facture et avec le titre «Maîtrise du Français».

Concernant les changements auxquels l'école est soumise, en cette période de mutations et de transformations profondes, je crois que la langue ne change pas. «Maîtrise du Français» n'a pas la prétention de changer la langue. C'est peutêtre l'approche de la langue qui peut . changer. Il n 'y a donc pas de «français rénové», mais un enseignement du français qui peut être rénové.

Deux remarques liminaires Ce sont là de mauvaises farces que la réa:lité se permet de jouer à la technique, lorsque celle-ci empiète sur celle-là. Je me réjouis, en constatant que les auteurs de la méthode y ont fait une large place à la psychologie. La civilisation moderne surexploite le système nerveux et crée des cas au sein de chaque classe. Face à cette réalité, on se rend de mieux en mieux compte combien il est nécessaire que la psychologie, comme une grande sœur, prenne la pédagogie par la main et la conduise dans les dédales du cœur humain. La pédagogie de la peur et de la contrainte doit arrêter ses massacres et prendre conseil de la psychologie qui l'invite à observer, à s'informer, à écouter et à comprendre. Jean Piaget, ce grand psychologue de notre temps, nous invite

«Maîtrise du' Français» est un ouvrage qui met en lumière les deux pôles de la langue, à savoir la liberté et la contrainte. La langue est liberté, dans la mesure où elle permet à chacun de s'exprimer, de s'affirmer. Mais la langue est également contrainte ; elle est un code, un système de signes structuré, qui obéit à des lois internes. Et ce code est contraignant comme tous les codes.

sans cesse à aller à la découverte de l'enfant, pour mieux réussir son éducation. En voilà de la bonne pédagogie! Mais prenons garde que, sous le prétexte de faire de la psychologie, l'éducateur pratique l'abandon et le «fais ce que tu veux» comme il se constate malheureusement de nos jours chez bon nombre d'éducateurs. Ceux-là se trouvent davan. tage à leur place dans un champ de patates qu'à l'école.

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A notre époque, l'enseignement doit réussir une entente et une franche collaboration entre la pédagogie, la psychologie et la technique. La nouvelle méthode renouvelée du français s'est orientée dans cette direction. Il faut en féliciter les auteurs. Damien Bex

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1. Le plan de l'ouvrage

Première partie: «Les Objectifs» Deuxième partie: «La Démarche» Ces deux parties, extrêmement importantes, quoique peu volumineuses, donnent ce que j'appellerai «l'esprit nouveau» , un «nouveau style», une manière de concevoir l'enseignement du français qui n'est pas «révolution», je le répète , mais plutôt «évolution» ou «transformation».

Il m'a semblé, à la lecture de «Maîtrise du Français», que l'enseignement renouvelé du français tient compte à la fois de ces deux pôles: libération de la parole et structuration de la langue.

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Les objectifs

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Troisième partie: quatre exemples d'activités-cadres qui permettent de constater que les objectifs qui figurent en tête de l'ouvrage sont effectivement atteints et réalisés par la nouvelle démarche.

On peut craindre que les nouvelles méthodes ne privilégient unilatéralement la créativité. Nous pouvons découvrir, dans «Maîtrise du Français», ·des activités d'émission et de réception du message (oral ou écrit), qui tendent vers le pôle «libération», c'est vrai , et c'est heureux , me semble-t-il. Mais il y a aussi des activités d'analyse et d'apprentissage qui tendent vers le pôle «structuration» ; et je pense qu'il y a là, pour nous enseignants, une certaine sécurité.

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Quatrième partie: «Les Ateliers» c'est la partie la plus importante du livre (quelque 400 pages), et qui présente l'étude de la lecture, de l'élocution, de l'orthographe, de la syntaxe, du verbe, du lexique. .

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T 2. Les objectifs proprement dits Ceux-ci ont été considérés comme une partie indiscutable de «Maîtrise du Français». Ils se présentent sous forme

de tableaux - généraux puis détaillés extrêmement utiles pour le praticien , le pédagogue, dans la pratique de tous les jours. Voici quelques-uns de ces tableaux:

SAVOIR PARLER

Il EIre ca pa blcdc sc faire comprendre A . Organiser les idées

SAVOIR É CRIRE

SAVOIR ÉCOUTE R

II EIre cap a ble de comprendre

Il Elrecapablcdc se fair e comprendre

Il EIre ca pa ble de comprendre

A. A dap ler la leclU re

A . Organiser les idées

A . A daplerl'écolile

1. Etablir unplan

SAVOIR LIR E

1. Adap ter l'eco ut e a u message

1. Etabl ir un pla n

1. Adaptc r la lcc tureau

2. Formulerl'idécp ri nc ipalc:

2. Adaptt:r lalcc tu rcau but visé

tcxtclu

en tendu

2. Fo rmulerJ'id éeprincipale

TABLEAUX GÉNÉRAUX

3. Choisi rlcsdétaÎls

B. Adapler lajorm e du message

SAVOIR PA RL E R

2. Adaptcr J'êcou tcaub ul visê

SAVOIR ÉCRIRE

SAVOIR É CO UT E R

B. S aisir l'orgallisa lion du message

B. A dapler lajorme du message

.B. Saisir l'organisalion du

message

1. Chois-ir le niveaude lang ue

1. Saisir l'cnchaine mcn t des fa its . la s uite des idées

1. C ho isir lc niveaudelangue

1. Saisir l'cnchaine mcmdes faits , la suite des idées

2. Doser le message

2. Sa isi r l'idée pr in ci pale

2. Dose r le message

2. Saisir l' idce principale

SAVOIR LIRE

3. Rt:con naitrclesdc tails

3. Recon naitre lesdctails

1 EIre capable de produire des énoncés ora ux

1 EIre ca pable de produire des énoncésécrils

1 Elreca pabled 'enlendre l'or a l

C. Produire des aCIeS 1 EIre ca pable de prendre conn a is sance de l'écril

A . Encoder

A. Décoder

de parole

de parole

1. Rcco nnai lre lcs intcntions

1. Prendre posi tion co mme aute ur

1. Reconnaitrc lesintcn tions du loc uteu r

locu teur

A . E ncoder

C. Produire des aCles

C. I dentijierdes acleS

de parole 1. Prcndrcpositio n com me

C. Ide lll ijier des acies de parole dcl'aut cu r

A. Décoder

1. Produi re des phrases selon kcodcora l

1. Rcconnaitrcg lobalcment la phrase

1. Produire des ph rases selon

2. Produi reCl3 rt icu lerdes

2. ReconnaÎtrc lcssynlag mes

2. Produi re CI artic ule r des

2. Reco nnaitrelessy nt agmes

3. Produirc.· lcsp honêmes

3. Rcconnai tn: lcsp honérncs

3. Maitriserlesys tc:mede transc nptlon

3. Maitriserlc!sys têmede tr anscrip tion

D. Uliliser l'injormalion

1. Recon naitreg lobalementla

le code éc rit

D . Uliliser /'injormalion

ph rase

1. Selectionn er l'i nformat ion

2. Relcnir l'informati on 3. Agi r cn fonction de l'in· forma tion rclcnue

3. Agi r en fonc liondeJ'infor mation rete nue

nieau est diftërent: le locuteur commence déjà à s'exprimer.

«Savoir parler» , ici, ne signifie plus se ulement «prononcer des mots», mais «organiser des idées». «établir un plan» «formuler l'idée principale». etc .. . Le Ils peuvent être lus d'abord horizontalement et présentent les quatre domaines de l'enseignement de français: savoir parler, savoir écouter, savoir écrire et savoir lire. Remarquez, en passant, la place de l'oral, qui vient en tête, mais aussi la place de l'écrit. Remarquez

également

la

place

de

L 'écoute, un objectif peut-être un peu oublié de l'enseignement traditionnel, où l'on parlait surtout ~ à l'école d'apprendre à calculer, à écrire, puis seulement à parler, et peut-être pas beaucoup à écouter. Vous distinguez également les activités d'émission du message (première et troisième colonnes) et les activités de réception du message. A signaler, en passant, que «savoir lire», c'est précisément «savoir écouter» quel-

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qu'un qui n'est pas présent et qui s'adresse à nous à travers un texte écrit. Dans sa dimension verticale, ce premier tableau présente des objectifs qui portent sur la production orale ou la compréhension de la phrase. Il s'agit, comme disent les linguistes, de «capacités linguistiques» au sens étroit du terme. Il s'agit en effet de savoir prononcer des énoncés oraux. A un autre niveau , comme nous le verrons plus loin , «savoir parler» signifie parler comme M. Nussbaum ou M. Camus. Je ne voudrais pas commenter les quatre domaines, mais ici nous sommes au niveau de la phrase. Dans un deuxième tableau , «Maîtrise du Français» présente les problèmes relatifs aux capacités linguistiques au sens large. Il ne s'agit plus du mot, ou même de la phrase , il s'agit du discours. Ces capacités touchent à l'organisation de la pensée, à l'usage de la langue en tant que moyen de communication.

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SAVOIR PARLER

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III EIre capable de s'exprimer

A. S e dire

Si nous passons au troisième tableau , SAVOIR ÉCRIRE

SAVOIR ÉCOUTER

III EIre capable d'éla borer

III EIre capable de s'exprimer

III EIre ca pable d'él a borer

A. A ssocier

A. Sedil'e

A. Associer

1. Expri mer sessensa tÎons

SAVOIR LIRE

1. Etabllr des rclatio nsâ pa rt ir du teX1C lu

1. Exprimer sesse nsalio ns

1. Elabli rd esrclalionsà

partir du messagccn tendu

2. Exp ri mer ses impressions, ses se nti me nts 3. Exp rime r son opinion

2. Exp rimer ses imp ressions, sessenUments 3. Ex prime r so n opi nion

B. Décrire

et/ou à part ir du message entendu 2. Porte r un jugement 5 ur ee qu 'onaentcnd u 3. C rcc r a partirdumessage ente nd u:activ ites d'expressio n di ve rses

2.

C. Expliciler 1111 lexie J. Rés ume r 2. Paraphraser

1. Résu mer 2. Pa raph rase r 3. Interprete r

D. Jouer avec les ill OIS

D. Jouer avec les m ois

1. Jouer avcc les sons 2. Jouer avec les graph ies 3. Jouer3\'cclesrytbmes

1. Joue r avec les sons 2. Joue r avec les rythmes 3. Jouc!ra"ccJesstruc turcs syn taxiques 4. Joul! r a"l!cJcsens

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2. Porter un jugemen t 5 ur cc qu'onalu J. Crecrâparti r du tcx tel u: aC livÏlcsd'cx pression diverses

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une reali té non prese nte 3. Dêcri re l'imaginaire

C. Expliciler Ull lexie

20

1. Se poser des questio ns su r el/ouapa rti rdutcxte lu

J. Dcc rircune rêalité présen te

1. Se pose r des questio ns su r

2. Dc:crire uneréali tê non prêsenle 3. 0 ccri rel'imag ina ire

B. Prolonger la leClUre

B. Décrire

B. Prolollger l'écollle

1. Dec rireu ncrêalitc presen te

4. Joue r avec less tru ctu rl!s sy ntaxiques 5. Joueravt!c lc se ns

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i vous constatez que «savoir parler» signifie «se dire», «exprimer ses sensations», «jouer avec les mots», etc ... En résumé, ces trois tableaux insistent sur le savoir. Il s'agit des capacités linguistiques, du domaine cognit~f

Le quatrième tableau présente des objectifs du domaine affectif: il ne s'agit plus des «aptitudes», mais des «attitudes», ni de savoir, mais de vouloir.

SAVOIR PARLER

SAVOIR ÉCOUTER

SAVOIR ÉCRIRE

SAVOIR LIRE

IV Vouloir s'affirmer

IV Vouloir s'eduqucr

IV Vouloir s'affirmcr

IV Vouloir s'eduquer

A. Prel/dre la parole 1. Participeractivementâune

conversati on, unediscussio n,u ndebal

2. Acceplerd'être leportcparole d 'u n g roupe et/ou

A. Ecol/teral/trl/i

A. Ecrire spolllanémel/t

1. S uÎ" rca tten tÎ "t!me ntun e

1

Les divertissements de Matix

Pour les petits degrés

sion,u n dcbal

2. Manirc.!sterdcl'interéta

2. Rëdigervolonticrsun

J'ecoute d'autrui

rappo rt, unproces·ycrbal

2. Emprunt erctprêterdcs li vres

13.1 Il faut trois minutes pour cuire un œuf à la coque. Combien faut-il de minutes pour en cuire six?

de lepresider 3. Ecri re pour son plaisir: journal,poemes, essais

B. Aimers'exprimer

B. S 'il/téresser al/ mOI/de et al/x

B. Aimers'exprimer

idées 1. Aime rd onnerunei nforma tion

1. Elrcenquélcdclaplus

J. Aimer donner une infor ma tion

largeinrormationpossible

2. Aimer expri me r sesse ntime nts, son opÎ nÎon

2. Etrec urieux de l'o pinion d'au trui

2. Aimer cxprimer ses se nti ments,

3. AÎmerfaireparldeses experiences

3. Eco uter pourelargir sa comprehension du monde

3. Aimerfairepartdescs

C. Valoriser laforme dl/message 1. Donneruntourpersonnclà

c(q u'ondit

C. Apprécier la qI/alité dl/message

son opinion ex~ë (]en ces

C. Valoriser laforme

dl/message

I.Prendreplaisi r:i eco uter celuiqui s'cx primeavcc aisance et de façon personnelle

1. Donner un tour personnel

àcequ'onecrit

2. Mettreenvaleurcequ'on ecrit

2. Mctt recnv aleu r cequ'ondit

3. Conslituer ct/oufrëqucn tèr

uncbibliothêquc

B. S'illléresseral/ mOI/de et al/x idées

13.2 Un promeneur a mis deux heures pour aller de Sion à Vex. Combien de temps mettraient ensemble trois promeneurs?

1. Liredcslivres.desrcvues. des journaux, pour recueil· lirla plus la rge information possible 2. Lirt!pourconnaitrcle

point de YUC d'au tru i

3. Lirepourelargirsacom· prehension du monde

13.3 Il y a 150 mètres entre la maison de Paul et l'école. En courant, il va deux fois plus vite qu'en marchant. Quelle distance parcourt Paul quand il va à l'école en courant?

C. Apprécier la qualité dl/message 1. Seconstituerun e ec hclle

de va leurs

2. Choisi r ses lectures en foncliondeccttcêchclle

13.4 Doit-on dire 7 et 5 fait onze, ou 7 et 5 font onze?

18

«Vouloir s'affirmer» signifie ici «participer», «aimer s'exprimer», etc ... 1 1

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Deux remarques pour terminer Il n'y a pas de chronologie à re~pecter: les objectifs du quatrième tableau ne se situent pas à la fin de l'apprentissage. Ils doivent être constamment présents. Tous sont des objectifs à long terme, valables pour l'ensemble de la scolarité. Quand, en 6 e primaire, par exemple, vous corrigez des défauts d'élocution, vous essayez d'honorer les objectifs du premier niveau. Et quand, en 3e , vous invitez les élèves à «vouloir prendre la parole», vous honorez des objectifs affectifs du quatrième tableau.

Ces tableaux ne sont pas une superstructure qui viendrait gonfler les programmes; ils sont là essentiellement pour permettre à l'enseignant une prise de conscience de l'immense éventail des disciplines, des activités que nous pouvons pratiquer à l'école primaire. Ils permettent au maître de préparer son programme d'une façon équilibrée, et à chacun d'entre nous de prendre conscience de notre «zone d'ombre», de voir les secteurs que nous laissons de côté à l'école - pour certains, c'est peut-être l'oral, pour d'autres l'orthographe [... -] et ce que peut-être nous privilégions de façon unilatérale ou exagérée.

Pour les degrés moyens

13.5 Un ouvrier doit couper une barre de fer de 5 mètres de long en 5 morceaux égaux. Pour scier chacun de ce~ morceaux il travaille pendant 12 mmutes. Quel temps mettra-t-il pour terminer son travail?

N.B. Dans un prochain numéro, paraîtront les textes des autres exposés.

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François a occupé successivement chaque appartement le double du temps qu'il avait occupé le précédent.

Treizième série

A. L ire spontanément

J. Corrcspondrefrcqucmment

convcrsation,un cdiscus-

13.6 Deux garçons, François et Luc, sont nés le même jour, à la même heure; dans la même maison. Tous deux ont vecu exactement une année dans cet immeuble et ont déménagé le même jour. Ensuite chacun d'eux a habité des appartements différents.

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Quant à Luc il a occupé successivement chaque appartement le triple du temps qu'il avait ocuupé le précédent. Tous deux, hélas, sont décédés avant de pouvoir prendre leur retraite à 65 ans, et le jour même où ils allaient déménager une nouvelle fois! Quel est l'âge atteint par François? Quel est l'âge atteint par Luc?

13.7 Papa pèse deux fois plus que moi. Mon frère pèse 10 kg. de moins que moi. Les trois ensemble, nous pesons 150 kg. Quel est le poids de chacun de nous? Pour les degrés supérieurs

13.8 Cinq équipes participent à un tournoi: Sion, Martigny, St-Maurice, Zermatt et Brigue. Lorsque chaque formation a joué contre les quatre autres on a pu lire dans une chronique sportive: -

un des clubs a gagné toutes les parties, Sion a gagné une fois de plus que Zermatt, il n'y a eu qu'un seul match nul, entre Martigny et St-Maurice, Brigue et St-Maurice ont perdu chacun trois fois.

Pouvez-vous donner le classement des cinq équipes, sachant qu'un match gagné donne deux points et un match nul en donne un.

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teaux, mais pas de poids. Et pourtant on peut isoler à coup sûr la boule la moins lourde .

Une maison de jeux possède huit boules de billard qui seraient rigoureusement semblables, si l'une d'elles, et une seule, n'était légèrement moins lourde que les autres. La différence n'est pas visible à l 'œil nu. On possède une balance à pla-

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Comment procéder en effectuant un minimum de pesées?

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On fait les totaux par colonnes. On en tire le classement:

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Solutions aux divertissements de Matix

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13.1 Réponse irréfléchie: 18 minutes. Réponse correcte: 3 minutes!

Luc Appartem ent

13.2 Réponse irréfléchie: 6 heures. Réponse correcte: 2 heures! Pourquoi trois promeneurs mettraient-ils plus de temps qu 'un seul?

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2e 3e 4e 5e

13.3 Réponse irréfléchie: 300 mètres. Réponse correcte: 150 mètres. 13.4 13.5

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Réponse irréfléchie : 5 x 12 =60 minutes . Réponse correcte: 4 x 12 = 48 minutes car il n'y a que 4 emplacements à scier.

13.6 Le calcul devient facile en établissant un , tableau:

François Appartement

Temps passé

1 année 2 ans 4 ans 8 ans 16 ans 32 ans 64 ans

Age au moment de quitter

1 année 3 ans 9 ans 27 ans 81 ans

1 an 4 ans 13 ans

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40 ans 2 dans les cases SI/MA et SI/ZE, puis 0 dans les cases MA/ SI et ZE/ SI.

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13.8 Age au m oment de quitter

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an ans ans ans ans

63 ans impossible

On raisonne et au fur et à mesure les résultats dans un tableau: -

BR ayant gagné un match, a perdu les trois autres, donc on note 0 dans les cases BR/ MA, BR/ SI, BR/ ZE , puis 2 dans les cases MA/ BR, SI/BR, ZE/ BR.

«Sion gagne une fois de plus que Zermatt» et «un club gagne tous les matches» , c'est forcément Sion qui gagne tous les matches, donc:

13.7 En ajoutant à 150 kg. les 10 kg. que mon frère pèse en moins on pourra partager en quatr~ parts égales. Suggestions pour un croqUIS:

7 et 5 font douze!

Il

Temps passé

un seul match nul entre MA et SM donc 1 dans la case MA/ SM et 1 dan~ la case SM/ MA' . BR et SM p~rdent chacun trois fois, donc SM a perdu les trois autre-s matches, et on note 0 dans les cases SM/ BR, SM/ SI, SM/ ZE, puis 2 dans les cases BR/ SM,SI/SM, ZE/ SM;

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Enfin: 2 dans la case ZE/ MA et 0 dans la case MA/ ZE.

4e 5e

Sion Zermatt Martigny Brigue St-Maurice

8 points 6 points 3 points 2 points 1 point

13.9 Deux pesées suffisent: On pose trois boules dans chaque plateau. Si l'équilibre est parfait la boule la plus légère est l'une des deux qui restent. En les plaçant chacune sur un plateau de la balance, on saura laquelle c'est. Si l'équilibre n'est pas normal à la première pesée on saura que la boule la plus légère est l'une des trois du plateau le plus haut. On en met de côté une et on place chacune des deux autres sur un plateau. Ou bien la boule la plus légère se trouve sur la balance et on le voit, ou bien c'est celle qui a été mise de côté parce que la balance est en équilibre.


tous les espoirs et idéaux réduits à peu de chose. Bien sûr, quelques points positifs éclairent ce tableau somme toute assez sombre. Le fait d'avoir moins de responsabilités à longue durée face au programme et à la tenue de la classe n'est pas à dédaigner. Il ne faut pas sous-estimer non plus ces expériences multiples qui permettent au remplaçant d'acquérir un sens de l'organisation absolument nécessaire, une faculté d'adaptation toujours mise à contribution et un à-propos face à toute situation nouvelle. Le contact avec différentes méthodes d'enseignement est également à mettre en valeur car il permet d'augmenter l'éventail de ses concepts pédagogiques. De même, le dialogue toujours renouvelé avec des enseignants et des enfants de milieux différents mène à une plus grande ouverture.

Une réalité qui dérange: la condition de remplaçant Avec la pléthore sévissant dans l'enseignement, la situation de remplaçant devient commune à des jeunes de plus en plus nombreux, alors que jusqu'à ces dernières années, elle était réservée à des personnes qui s'y inscrivaient volontairement et qui bénéficiaient déjà de quelques années de pratique. Cette condition, étant actuellement imposée, crée chez celui qui démarre dans sa profession un réel sentiment de frustration et d'insécurité, insécurité autant psychologique que pédagogique et matérielle. Personne ne peut juger positives l'attente d'un coup de téléphone, l'obligation de choisir tel ou tel remplacement sans pouvoir présager des conséquences de ce choix. De plus un remplaçant est certainement considéré comme moins apte du moment qu'il a été écarté lors des nominations. A l'heure actuelle, le nombre de postulants étant très élevé, les raisons pédagogiques sont-elles seules déterminantes? Le fait de ne jamais se sentir appartenir à un groupe d'enseignants ou à une classe représente également un facteur non négligeable. Face aux enfants, le problème de la discipline intervient quasiment à chaque nouveau remplacement, cette période étant pour eux synonyme de relâchement. Surgit aussi la question de la personnalité du " remplaçant, de ses idées pédagogiques. Il est obligé de les calquer à chaque nouvel emploi sur celles du titulaire de classe, même si la ligne dans laquelle le maître travaille ne lui correspond pas du tout.

Déjà pour tout jeune sortant de l'école normale, les premières années d'enseignement sont pénibles, sans être pour autant plus profitables aux élèves: il a une conception de l'enseignement à réaliser, des attitudes à acquérir, des programmes à respecter. Pour le remplaçant, le problème est encore plus aigu. A chaque fois, c'est une nouvelle atmosphère à laquelle s'intégrer, un nouveau programme à enseigner, de nouveaux élèves à comprendre.

La situation financière du remplaçant n'est pas à négliger. S'il est vrai que le

Malgré les fréquents changements, «on» lui demande d'être aussi capable et aussi «rentable» dans son enseignement que ses collègues titulaires. «On», ce sont les autorités scolaires, le maître remplacé qui jugera de ce qui a été fait en son absence, les collègues qui catalogueront le nouveau venu, les parents aux préjugés trop souvent défavorables et par le fait même leurs enfants curieux de tester les limites de leur maître du moment. Du point de vue pédagogique, la principale difficulté vient de l'insécurité face aux programmes, le remplaçant devant parfois travailler avec des enfants de quatre ans et d'autre fois avec des adolescents de quinze ans. Cela favorise d'une certaine manière une vue d'ensemble des programmes, vue d'ensemble malheureusement superficielle car, presque à chaque fois, l'approche, à peine ébauchée, prend fin. Dans ces conditions, il est difficile, voire irréalisable, d'entreprendre des travaux à long terme. La motivation et la bonne volonté du remplaçant sont ainsi mis à rude épreuve,

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salaire journalier dépasse celui d'un titulaire, les jours de congé et les vacances ne sont par contre par rémunérés. Comme dans toutes les professions, les jours ou les semaines sans emploi, il est possible de bénéficier de l'assurance-chômage à condition de ne pas se laisser décourager par toutes les difficultés rencontrées. Cette situation d'insécurité totale serait acceptable pour les remplaçants s'ils avaient la certitude d'obtenir un poste fixe pour l'année suivante. Certaines communes ont conscience de cette situation délicate et ne les oublient pas par la suite. Par contre, d'autres communes ignorent délibérément ceux qui ont répondu à leurs appels en cours d'année et ceci au profit de nouveaux n'ayant jamais pratiqué. Pourquoi? Corine Décaillet


Des activités accessoires L'éditorial que nous a donné M. Anselme Pannatier dans «L'Ecole valaisanne» d'octobre dernier a relancé le débat sur le vieux problème des activités accessoires. Il faut dire que le contexte actuel quant au marché de l'emploi, ainsi que le souci de certains députés y sont pour quelque chose. Très habilement, avec objectivité aussi, et beaucoup de tact, - trop peut-être M. Pannatier brosse le tableau de la situation: référence au passé, loi de 1962, nécessité pour l'enseignant de «sortir» de ses préoccupations strictement scolaires, allusion à quelques activités complémentaires admises ou à bannir, difficultés du moment, récession ... De cette analyse intéressante, voici un passage clé, souligné dans le texte, et qui pourrait constituer une conclusion définitive à la question, ou à la controverse: «En fait, c'est chaque enseignant, lui~ même, qui doit s'interroger et apprécier dans quelle mesure telle occupation complémentaire est de nature à porter atteinte à la qualité et à l'efficacité de son travail principal». Seulement, M. Pannatier poursuit: «Mais on n'est pas toujours bon juge quand il s'agit de sa propre personne et de ses intérêts particuliers ... ». Cette remarque ne saurait être contestée, tant elle ressortit à la nature humaine, et cette remarque s'applique donc à tout homme, qu'il soit enseignant, dentiste, mécanicien, manœuvre, journaliste ou avocat.

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D'autant plus qu'en fin de compte l'enseignant peut disposer de sa vie extra-scolaire en toute liberté, pourvu qu'il ne gagne rien de plus. Car le nœud du problème est bien là: indépendamment du temps investi, une occupation accessoire est admise, et souhaitée, dans la mesure où elle ne rapporte rien à celle ou à celui qui s'y adonne ou s'y consacre.

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Le maçon, le libraire, l'agriculteur, le pharmacien, et tous les autres peuvent, quant à eux, à peu de chose près, faire ce que bon leur semble parallèlement à leurs activités professionnelles.

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Seraient-ils meilleurs juges que les en.seignants?

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Cependant, pour ces derniers - pour eux seulement -, l'on parle d'une liste à établir, et qui mentionnerait, d'un côté, les activités accessoires tolérées, et de l'àutre, celles qui ne le seraient plus.

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Cette liste accordera-t-elle encore le droit, aux enseignantes et aux enseignants, d'accepter les occupations, les charges ou les responsabilités suivantes: -

ménagère chef de section? président, caissier ou secrétaire d'un club de ski, de football et de toute autre société sportive? preneur d'assurance? chroniqueur ou correspondant auprès d'un journal, d'une revue? président de commune? organiste paroissial? courtier en fruits? bricoleur avec atelier? membre d'une société de chant, de musique? juge de commune? entraîneur d'un club de football, de hockey, de volley-baIl ... ?

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serait payé par l'Etat, il n'aurait pas le droit de disposer librement de ses loisirs? Des questions qui font tourner en rond ...

Dès lors, comment expliquer que l'on ne se soucie généralement que des activités accessoires des fonctionnaires et des 'enseignants? Parce qu'ils ont un travail garanti? Voir. .. Parce que c'est la caisse de l'Etat qui les rétribue? La belle raison! ' On est rémunéré par ceux pour qui l'on travaille. Et, parce qu'un travailleur

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mUSICIen, danseur ou responsable d'un groupe folklorique? président de la chambre pupillaire? sculpteur ou peintre? directeur de la chorale? membre d'un conseil d'administration? mère de famille, sans «bonne»? Combien d'enfants? officier d'état civil? écrivain? directeur de la fanfare? conseiller communal? courtier en vins? animateur d'une troupe de théâtre? tuteur? responsable de la bibliothèque municipale? président de la bourgeoisie? agriculteur de montagne? Combien de bovins? membre ou président du Conseil Général? ' caissier ou président de la CaisseMaladie? musicien, musicologue ou musicographe? président du conseil pastoral? arboriculteur? Combien d'arbres? représentant d'une banque? membre ou président de la section des samaritains?'

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teneur du cadastre? couturière occasionnelle? vigneron? Quelle surface? membre ou président de la Commission Culturelle? officier dans l'armée suisse? député?

Le parfait mélange est intentionnel... Et la liste pourrait s'allonger. .. A chacun de la compléter, et de se demander à chaque fois: admis? interdit?

Mais laissons là ces préoccupations toutes matérielles pour faire deux pas dans les nuages! Dites-mois, s'il vous plaît, Où loge un ver luisant Beau comme une beau sonnet De Rùnbaud maudissant! Vous suivez ce sentier, Il saura, .. Il viendra ... Et vous tendra les bras Lourds de son amitié. Il habite dans un mur-à-sec Qu'ombrage un très ancien griottier. Ecoutez la musique des becs Et prenez à gauche aux noisetiers! A. Monnet

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• CIRCE III SO~ls-commission dJhistoire

civique, dont le président, M. F.-L. Reymond. A elle donc de fixer le programme en corrélation avec l'histoire, de proposer les moyens d'enseignement en fonction des dotations horaires de chaque degré et voie de formation. Ceci en tenant compte des réserves et remarques qui reviennent dans la plupart des rapports cantonaux et dont les principales concernent les points suivants:

Information sur les résultats de la consultation concernant le «Rapport de la commission romande d'éducation civique». Rappel Janvier 1975 Constitution de la commission romande d'éducation civique dont le mandat est de préaviser sur les objectifs, la méthodologie, le programme et les moyens d'enseignement de l'éducation civique pour les deux derniers degrés de la scolarité obligatojtre. Présidence:' M. Maurice Parvex, SaintMaurice Juin 1977 Constitution de CIRCE III (degrés 7 -8-9) Novembre 1977 La commission romande d'éducation civique remet son rapport à CIRCE III.

1978-1979 Procédure de consultation. En Valais, les maîtres enseignant la civique au CO ont reçu le rapport puis leurs délégués sont réunis par le DIP, le 29 mai à Martigny, pour un échange de discussions et de remarques sur l'analyse de ce document. A fin octobre, cantons et organismes professionnels remettent leurs conclusions à CIRCE III. Résultats de la consultation Dans l'ensemble, ce rapport a été bien accueilli : a) Quant à ses objectifs qui visent à la fois à informer et à former; à donner à l'élève un esprit civique, un esprit de tolérance; à former un futur citoyen conscient de ses droits mais aussi de ses devoirs envers lui-même et la société. b) Quant à sa méthode inductive consistant à partir de l'actualité, du concret; et active, demandant la participation dynamique de l'élève: travail de groupe, enquêtes, débats, ce qui est bon

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moyen de l'engager à participer à la vie sociale. c) Quant à son programme intéressant, ouvert, actuel. Celui-ci paraît ambitieux , vaste, difficile pour les élèves du CO, mais il laisse assez de liberté et d'initiative au maître pour l'adapter à sa classe.

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Les associations professionnelles (*SPR CARESP - CROTCES - CDRESC) ont donné un avis favorable. Les départements cantonaux aussi. A des titres divers et en formulant réserves et remarques, ils considèrent soit que ce rapport est une bonne base de départ pour la sous-commission d'histoire, soit qu'il est nécessaire de travailler dans la perspective de ce rapport. La commission d'éducation civique, dite aussi commission Parvex, a fait un très bon travail. Elle est di.ssoute et son mandat n'a pas à être repris par la sous-commission d'histoire. Celle-ci, ayant pour mission de définir la conception pédagogique de l'enseignement de l'histoire et de l'éducation civique et d'en élaborer le programme-cadre pour les degrés 7-8-9 dispose, en civisme, d'un rapport remarquable. Elle maintiendra une certaine unité de conception puisqu'elle compte en son sein trois membres de la commisison d'éducation

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Remarques A Genève et Neuchâtel, l'enseignement de l'éducation civique s'inspire du Rapport Parvex. A Neuchâtel, ce rapport amendé constitue le programme-cadre de la g e année. Il s'agit de la première série d'un système de fiches du «Séminaire d'éducation civique» .édité par le DIP de ce canton. Alexandre May Jean Gay-des-Combes

Amicale des instituteurs Le 22.3.69, s'est constitué« l'Amicale des instituteurs» comprenant tous les membres ayant appartenu à la Société valaisanne d'Education. Des rencontres ont été organisées à diverses reprises, mais à chaque fois avec un peu moins de fréquentations. C'est ainsi que le comité provisoire se pose des questions quant à la survie de l'Amicale et sur l'utilisation des fonds (Fr. 2 000.-). Pour résoudre ces problèmes, nous invitons tous les membres de l'Amicale à se retrouver dès midi le dimanche 28 septembre 1980 au Restaurant de la Colline aux Oiseaux à Chamoson. Le Comité

*CARESP Cartel romand des associations du corps enseignant secondaire et professionnel SPR Société pédagogique romande CROTCES Conférence romande et tessinoise des chefd'établissel1'zents secondaires CDRESC Conférence des directeurs romands des écoles supérieures de commerce

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primauté des connaissances, en particulier des institutions. nécessité de dégager des plages horaires suffisantes. programmed'un instauration minimum intégration ou non au programme d'histoire. (Aujourd'hui, l'instruction civique figure séparément à la grille-

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horaire dans les cantons de FR - NE VD; elle est incluse dans le programme d'histoire, dans les cantons de BE - JU - GE - VS). formation spécifique du maître création des moyens et coût: dossiers et/ou manuel.

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Nouveaux moyens d'enseignement au dépôt scolaire

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sur des activités qui suscitent l'intérêt et la participation des enfants sur les réactions et les questions fréquentes des enfants sur les recherches expérimentales qu'ils sont capables de conduire s~r les savoirs qu'ils peuvent acqué-

rIr. 1. L'eau, l'air, le temps qu'il fait guide du maître - Bordas - Collection Tavernier 1P à 4P Les sujets proposés dans ce livre offrent des possibilités particulièrement riches de tâtonnement expérimental: essayer de reproduire un phénomène, en rechercher les causes, manipuler, faire des essais ...

Chaque livre est assorti d'une quinzaine de jeux-bibliothèque présentés dans un coffret.

L'objectif de cette brochure est de ~igna1er aux enseignants de tous les degres, l~s princjpales publications ou études relat;ves aux différents aspects que peut revetir le milieu dans lequel vit l' enfant. Les thèmes choisis sont l'histoire, l'art, la géographie , les sciences, le folklore, l'économie.

Ces jeux progressifs s'~dres~e!lt aU~~,i bien aux non -lecteurs qu aux eleves deja familiarisés avec les rudiments de la lecture.

pour l'environnement (Valais romand)

Connaissance de l'environnement La connaissance de l'environnement contribue à l'épanouissement de la personnalité de l'enfant et vise à développer chez lui des attitudes et des aptitudes. Les sujets présentés dans les deux guides suivants sont le produit d'un vécu pédagogique et apportent au maître une information:

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S. Bibliographie

Le maître doit constamment faire face à des situations imprévues: par exemple, si les élèves apportent en classe des grillons, une mante religieuse, des escargots, il doit pouvoir trouver rapidement des idées précises d'exercices. Le présent volume doit permettre d'exploitér au mieux toutes les occasions. De plus, la grande variété des sujets offre la possibilité de ne pas reprendre chaque année les mêmes travaux.

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étude

Texte de présentation pour les livres de lecture suivie et les coffrets de jeux bibliothèque destinés aux élèves de 1 P A la rentrée 1980/ 81, les titulaires de 1P pourront se procurer 5 livres de lecture sui vie pour leurs élèves:

3. Initiation technologique de la maternelle à l'école élémentaire OCDL - ULLRICH et KLANTE IP -2P - 3P.

Les exercices les plus simples sont basés sur la lecture de l'image et font appel au sens de l'observation de l'enfant. La deuxième série de jeux, plus difficile , demande au lecteur d'ordonner, de classer, de trier des informations écrites. Pour l'exécution de chaque activité, l'enfant est invité à se référer au texte de base. Par conséquent, nous conseillons aux titulaires de 1P de se procurer des exemplaires supplémentai~es ~ des livre~, également disponibles au depot du materiel scolaire.

Premier Dictionnaire Nathan (pour 2 e année)

Ce livre offre des exemples vécus, des références précises concernant les élèves qui ont effectivement réalisé les études et les montages présentés, des suggestions pédagogiques ainsi que tous les renseignements utiles sur le matériel nécessaire, comme sur les objectifs visés.

200 mots illustrés en couleur

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Le Premier Dictionnaire Nathan est co~­ çu pour faire entrer l'enfant dans l'UnIvers des mots.

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4. Quelle est donc cette fleur? Nathan IPà6P

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2. Les animaux, les élevages guide du maître - Bordas tion Tavernier- IP à 4P

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Ce guide est destiné à l'amateur sans connaissances scientifiques. La classification étant faite d'après la couleur des fleurs, cet ouvrage est d'un emploi facile.

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La petite lille et la pluie Tito pirate le naufragé Petit Jean et le marchand de sable La petite chenille qui faisait des trous La promenade de Monsieur Gumpy

Les mots choisis se réfèrent à un univers concret: monde animal , végétal, vie quotidienne. Les définitions abstraites ont été évitées. La définition du mot est donnée à l'intérieur d'une phrase, d'un petit texte, d'une comptine, d'un petit poème, d'une


• chansonnette, associés à des illustrations très agréables.

propose des activités après les définitions.

A l'intérieur de ces textes, on s'est efforcé de créer des associations telles que: abeille, ruche, miel ou lettre, enveloppe, timbre ... etc.

Ce dictionnaire a plus l'aspect d'un livre de classe. Il serait également à introduire dans la bibliothèque scolaire, ce ne serait pas un livre personnel.

L'alphabet est représenté au sommet de chaque page avec, en rouge, la lettre par laquelle commence le mot que l'on cherche.

Ce dictionnaire est plus difficile que le Premier Dictionnaire Nathan. Il convient donc aux élèves plus doués qui pourraient ainsi aller de l'avant.

les objectifs suivants: l'expression orale, la lecture, l'expression écrite, l'éducation dujugement, le travail en groupes.

Franc-Parler 6 e de A. de Meur et G. Huget

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Ce dictionnaire a l'aspect d'un livre d'histoires. La présentation est nette, agréable, aérée. La grosseur des caractères est bonne. Ce dictionnaire serait un livre de classe et non un livre personnel. Il serait à introduire dans la bibliothèque scolaire. Il ferait lajoie de tous les élèves mais spécialement des moins doués.

Dictionnaire Actif Nathan

Planches de majuscules (Ecriture romande) Tableau de l'ensemble des majuscules (Ecriture romande)

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Ce dictionnaire fait suite au Premier Dictionnaire Nathan. La démarche utilisée est sensiblement la même. Mots choisis dans un univers concret

Les chemins de l'expression CM2

Pour l'enseignement de l'écriture, les maîtres de 2P, 3P, 4P, disposeront désormais de deux auxiliaires didactiques supplémentaires:

(2 e année) 1000 mots illustrés en couleur -

Livre de français divisé en 15 unités de trav'a il comprenant pour chaque chapitre des textes et des images avec questionnaires pour réponses orales ou écrites. Ce livre propose des exercices variés de vocabulaire, de jugement, de recherche, de phraséologie, de prononciation, de rédaction, d'expression orale, de travaux en groupes.

Il s'agit d'une grammaire pour 6 e année primaire.

un jeu de lettres majuscules: chaque lettre est dessinée sur carton plastifié, formatA4; un tableau présentant l'ensemble des lettres majuscules, pratique pour l'affichage en classe.

'Après deux années d'étude et d'expérimentation, la Commission cantonale de catéchèse a proposé à Mgr Schwéry d'adopter pour nos classes de 1re, 2 e et 3 e primaire les nouveaux manuels belges de Sœur Marie-Carmel Plissart, parus aux éditions LUMEN VITAE, et pour la classe de 6 e , celui de A. Kesch et G. Dechambre paru aux éditions de la Procure. Pour les classes enfantines, l'équipe d'animation mettra au point une démarche, avec des propositions de livrets de la collection «Réjouis-toi».

La commission a proposé en outre deux brochures pour la préparation des enfants de 2 e année à la première confession et à la première communion; il s'agit des ouvrages édités par les Editions «Bible et Liturgie»: «Va d'abord te réconcilier» et «Communions ensem-

Les livres Franc-Parler se distinguent avant tout par la part prépondérante accordée au langage.

Alphabet au sommet de chaque page. Par des textes parfois nouveaux mais toujours captivants, Franc-Parler 5 vise

De plus, ce dictionnaire:

Nouveaux manuels de catéchèse pour les classes primaires

Dans les classes de 4 e et de 5e années, il est prévu de maintenir momentanément les ouvrages existants, Marche en ma présence et Vous serez m.on peuple, avec des livrets complémentaires ronéotypés à l'ODIS.

Franc-Parler 5

Pas d'abstractions mais introduction du mot dans de petites phrases, de petits textes joliment illustrés.

de la grammaire. On y trouve de la variété dans l'introduction et l'étude de certaines notions. Un recours à la bande dessinée et à la photo en couleur apporte une touche esthétique à l'ouvrage et permet une exploitation orale des illustrations.

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utilise le système des renvois: chaud est renvoyé à tiède, brûlant, froid, glacé. (Cette invitation à ne pas limiter la recherche à 1 seul mot favorise d'autre part l'entraînement au maniement du dictionnaire) essaie de prévoir certaines erreurs possibles comme de chercher le mot hameau à la lettre a ou cygne à la lettre s. Il fait donc figurer hameau à a et cygne à s et il indique à l'enfant qu'il doit se reporter à h et à c.

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Si le contenu de ce manuel n'est pas en tous points conforme aux exigences de «Maîtrise du Français», il présente une conception nouvelle de l'enseignement

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• Elle a proposé en outre que l'on mette à la disposition des élèves de se et de 6 e années un Nouveau Testament, traduit en français courant, édité par les Sociétés bibliques, «Bonnes nouvelles aujourd'hui».

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Voici une brève présentation des nouveaux lnanuels de catéchèse qui seront disponibles à l'Economat de l'Etat dès la rentrée 1980.

Dans ce manuel de 1re année, Sœur Marie-Carmel a voulu tout spécialement s'inspirer de la démarche du Christ qui disait à ses disciples «Venez et voyez» et qui voulait vivre avec eux pour les aider peu à peu à découvrir le Père. Parents et maîtres sont invités à rejoindre les enfants dans ce qui fait leur expérience vitale, pour leur apprendre à découvrir Jésus, à s'ouvrir à lui et reconnaître l'Esprit qui l'inspirait. A ce niveau il y a un livre de l'enfant et des parents qui voudrait aider les parents à vivre en famille ce qui s'apprend à l'école, un dossier de fiches pour les enseignants et 80 fiches de dessins pour les activités à proposer aux enfants. 2. Pour les classes de 2 e prilnaire:

HEUREUX ENSEMBLE L'objectif de ce manuel de 2 e année est d'approfondir la connaissance de Jésus, en aidant les enfants à «vivre ensemble» et en les initiant progressivement au sacrement de la Récon'ciliation et à l'Eucharistie. Autrement dit, il s'agit d'aider les enfants à «communier», communier aux autres, communier à Jésus. Cette initiation se fait par le procédé pédagogique de l'histoire, l'histoire d'une famille où l'on vit heureux ensemble. Deux documents seront disponibles cette année pour les catéchistes de 2 e année: un dossier de fiches catéchétiques et un dossier de 72 dessins. Le livre de l'enfant est en préparation.

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1. Pour les classes de 1 re prilnaire:

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tament, et mItle aux différents 'sacrements et aux fêtes liturgiques. Les dossiers disponibles pour cette année comportent une sorte de fiches pour les enseignants et un cahier pour les élèves où sont insérées trois pages spéciales pour les parents. 5. Pour les classes de 6 e primaire: BÂTISSEURS DE COMMUNAUTÉ L'objectif de cet ouvrage est d'aider les

enfants à se sentir «d'Eglise», à accepter, au nom de Jésus, des responsabilités à la mesure de leur âge, à découvrir leur vocation de «bâtisseurs» de communautés fraternelles. Les enfants seront stimulés dans leur effort par la présentation de certains témoins de l'histoire de l'Eglise. Les documents disponibles pour ce degré comportent un livre du maître, particulièrement abondant, et un livre de l'élève.

3. Pour les classes de Je primaire: SEIGNEUR, A QUI IRIONS-NOUS? La catéchèse de la 3 e année est centrée sur huit thèmes de vie: le renouveau, la croissance, la parole, le respect, la réconciliation, la fidélité, la fête et le feu. Ces thèmes ont pour but d'initier progressivement les enfants au langage symbolique de l'évangile, des sacrements et de l'agir moral. Chacun de ces thèmes s'appuie à la fois sur l'expérience de l'enfant, sur un aspect de la vie de Jésus et sur un sacrement ou une fête liturgique. Les documents disponibles pour cette année comprennent un dossier de fiches catéchétiques pour les maîtres et un livre-cahier pour les enfants où se trouve insérée une page pour les parents à la fin de chaque thème. 4. Pour les classes de 4 e primaire: RESTE AVEC NOUS, SEIGNEUR! Cet ouvrage de Sœur Marie-Carmel n'est introduit qu'à titre expérimental, dans les classes à deux degrés - de 3 e et 4 e ayant utilisé l'an dernier l'ouvrage Seigneur, à qui irions-nous? Ce cours est centré sur trois thèmes: la maison, le repas-la nourriture, la route.le chemin. Chacun de ces thèmes s'appuie sur l'expérience familière des enfants, l'éclaire par un aspect de la vie de Jésus ou une Parole du Nouveau Tes-

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Ouvrages nouvellement acquis Bruno Bettelheim Harlan Lane

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Survivre L'enfant sauvage de l'Aveyron Mira Rothenberg Des enfants au regard de pierre Françoise Dolto Lorsque l'enfant paraît 3 vol. Maud Mannoni Secrète enfance: et Guy Seligmann Les enfants et les parents de Bonneuil prennent la parole AvnerZiv L'humour en éducation: approche psychologique André Giordan U ne pédagogie pour les sciences expérimentales Ginette Raimbaut L'enfant et la mort. Des enfants malades parlent de la mort: problèmes de la clinique du deuil Claude Levy-Leboyer Psychologie et environnement Philippe Aries L'homme devant la mort Hans Koningsberger Vermeer et son temps (1632-1675) Carl Gustav Jung La psychologie du transfert

Caisse de retraite Informons

Rob . Laffont «Réponses» Bibliothèque Payot scientifique Seuil Seuil

EPI E.S.F.

Jusqu'à ces dernières années, la plupart des caisses de prévoyance versaient des prestations en fonction du nombre d'années de sociétariat.

Science de l'éducation

Cett solution présentait un inconvénient majeur; elle ne tenait pas compte des besoins des jeunes assurés.

Le Centurion Paidoguides

Privat

Educateurs

P.U.F. Seuil

Le Psychologue Univers historique

Time-Life

Le monde des arts

Ainsi la personne qui serait devenue invalide à l'âge de 35 ans recevait une rente fortement réduite puisqu'elle ne comptait, au mieux, que 15 ans de sociétariat, alors qu'il en aurait fallu 40 pour espérer la rente maximum. Situation fort précaire, d'autant plus que 35 - 40 ans , c'est souvent l'âge où l'on a le maximum de charges de famille. Ce système ne répondait pas non plus à la conception moderne en matière d'assurance sociale: le 2 e pilier doit permettre de maintenir d'une manière appropriée le niveau de vie antérieur en cas de décès d'un soutjen de famille, d'invalidité ou de vieillesse.

Albin Michel

CAS S ETT ES VI DÉO ART, LITTÉRATURE, MUSIQUE CVaim 9607

Initiation à la musique: formons un orchestre

Il fallait donc y remédier. Nous l'avons fait , il y a quelques années déjà, par l'introduction de la notion des années possibles d'assurance , dont il n'est pas inutile, me semble-t-il, de rappeler le prinCIpe.

HISTOIRE CVH 9307 CVH9396

Le tem ps des cathédrales IV: La cathédrale, la ville, l'école Trotsky Il (Guillemin)

Au moment où le risque survient, on ne tient pas compte du nombre d'années effectives de sociétariat, mais du nombre d'années possibles jusqu'à l'âge de la retraite obligatoire.

SCIENCE CYS 9605 CYS 9606

Le voyage de Charles Darwin (6) Le voyage de Charles Darwin (7)

Ainsi, pour une personne assurée depuis l'âge de 23 ans, le nombre d'années possibles est de 42 (de 23 à 65 ans). Pour une personne qui s'assure à 27 ans, le nombre d'années possibles est de 38. Tous les assurés ayant 40 années possibles d'assurance disposent, dès le début, de la couverture maximum, soit 60% du traitement assuré; en cas d'invalidité. Pour chaque année manquante, ce taux est réduit de 1 %. Reprenons les exemples cités ci-dessus: un assuré est membre de la caisse depuis l'âge de 23 ans. Il a donc 42 années possibles d'assurance. Devenu invalide à l'âge de 26 ans, il a droit aux prestations maximales, soit 60% de son traitement assuré, jusqu'à ce qu 'il puisse reprendre son travail ou,jusqu 'à sa mort. L'autre assuré, rentré à l'âge de 27 ans, avec ses 38 années possibles, aurait droit, quel que soit le moment où il deviendrait invalide, à une rente égale aux 58 % du traitement assuré (60 % - 2 % pour les 2 années manquantes). A ces prestations s'ajoutent les rentes fédérales AI et pour les pères et mères de famille, les rentes d'enfants. Nous reviendrons dans un prochain article sur ces diverses prestations. . l'Administrateur:

V. Darbellay

TÉLÉVISION ÉDUCATIVE CVE9510 CVE9616

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Une fiction et un reportage d'actualité Téléactualité: Une enquête sur l'auto l Un phénomène du XXe siècle

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1


A propos des cahiers utilisés

Introduction du programme romand d'écriture en 4P Le programme romand d'écriture a · été introduit dans les classes de 1P en 1977. Les élèves qui ont appliqué ce nouveau programme depuis le début de leur scolarité obligatoire constituent donc l'année prochaine l'effectifdes classes de 4P. Chaque année jusqu'à maintenant, les maîtres chargés d'enseigner pour la première fois l'écriture romande dans leur classe ont été réunis pour une séance d'introduction. Compte tenu du fait que le programme de 4 e année est avant tout une consolidation du travail de la 3 e , le Département n'a pas jugé utile de réunir les enseignants cette année. Toutefois les titulaires de ces classes sont invités d'une manière pressante à se préparer à dispenser cet enseignement en tenant compte des changements intervenus. Les maîtres liront avec profit les pages 57 et 62 du chapitre consacré à l'écriture dans le Plan d'études de Suisse romande. Ils se procureront au dépôt des livres scolaires les documents suivants: a. Ecriture, méthodologie 1 b. Ecriture, méthodologie III. Nous signalons particulièrement à leur attention les pages 55, 56, 57 du cahier de méthodologie n° 1 qui traitent de la posture, de la tenue de l'instrument, de la leçon d'écriture proprement dite, de l'attitude du maître, de l'organisation du travail. Des suggestions sont faites en ce qui a trait au nombre de leçons par semaines et à leur durée. Dans le cahier n° III sont présentés entre autres les caractères d'écriture liée droite adoptés par les cantons romands.

à l'école primaire . toute l'année pour les leçons de calligraphie. Dans le courant de l'année, les t~a­ vaux écrits sont à réaliser sur le cahIer sténo à gros carrés (N° 155 ou N° 23 La commission des moyens d'enseigne- selon les fournisseurs) ment leU'! soumet le préavis né de l'anaMath: cahier quadrillé 5 mm. (conseillé) lyse;· des offres du marché et du choix opéré dans la multiplicité des formats et des réglures. 4 e primaire

De nombreux enseignants s'interrogent quant auJype de cahie.rs à utiliser dans tel ou tel degré de l'enseIgnement.

L'écriture liée penchée n'a pas été introduite dans notre canton. Toutefois, les enfants prédisposés à incliner leur écriture vers la droite ne sont pas systématiquement contrariés, pour ·autant que la posture, la tenue de l'instrument et l'inclinaison du cahier soient corrects. En revanche, les écritures penchées vers la gauche sont redressées.

En 1re 2e 3e et 4 e années, l'utilisation des cahie;s d'écriture présentés est obligato~­ re Ces cahiers correspondent aux eXIge'nces du programme romand d'éc~itu~e introduit en automne 1980 en 4 e pnmaIre.

Les lettres majuscules sont revisées systématiquement. Les graphies défectueuses prises séparément, sont corrigées e~ commençant par celles qui enlaidissent le plus l'écriture. En plus des exercices effectués dans les cahiers, la méthodologie insiste sur la valeur de la mise en page réalisée sur feuilles blanches. L'élève doit être particulièrement attentif aux points suivants: dat.e, titre, marges, centrage du texte, calIbrage des lettres, intervalles entres les 'mots, interlignes.

Les propositions faites pour 5e et 6e primaires, gardent pour le moment, un caractère facultatif.

Ce cahier est à utiliser pour les travaux de calligraphie dans le courant de l'année scolaire. Les travaux écrits sont à réaliser sur le cahier sténo à gros carrés (N0 155 ou N° 23 selon les fournisseurs).

1 re primaire

Math: cahier quadrillé 5 mm.

Ecriture: cahier format oblong, réglure spéciale 5 mm., inter;Jt&ne 8 à 10 mm., Math: cahier format oblong, carres 7 mm.

L'ensemble des documents mis à votre disposition mérite une lecture attentive particulièrement les pages qui traitent d'éléments nouveaux: exercices pictographiques, exercices scriptographiques ...

2 e primaire Ecriture: cahier de 1P en début d'anné.e pour la répétition des mi~uscules; pUIS cahier format quarto, reglure 4 mm. interligne 8 mm. . , Math: cahier quarto quadnlle 6 mm. (conseillé)

Il est indispensable que l'apport de la nouvelle méthodologie soit exploité tout au long de l'année afin d'en tirer les effets attendus.

3 e primaire Ecriture: cahier format quarto avec la réglure suivante: _ corps d'écriture 4 mm. avec fi~ets gras _ jambage 4 mm. avec filets maIgres - interligne 8 mm.

Département de l'instruction publique Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales

40

41

Ecriture: cahier format quarto avec la réglure suivante: _ corps d'écriture 4 mm. avec fi~ets gras _ jambage 4 mm. avec filets maIgres - interligne 8 mm.

Ce . cahier est à utiliser pour les travaux de classe en début d'année afin d'assurer la transition avec la 2 e primaire et durant

Se et 6 e primaires Français: sténo normal ou ligné 20 lignes Math: cahier quadrillé 5 mm.

Remarques Il sera demandé aux fournisseurs de cahiers de prévoir pour les 2 e , 3 e et 4 e primaires des paquets de feuilles détachées pour des exercices d'écritu:e (ré~~ur~s et formats identiques aux cahIers d ecnture mentionnés ci-dessus pour 2 e P, 3 e P et 4 e P. Nous conseillons aux enseignants de communiquer aux commissions scolaires les informations ci-dessus avant que les commandes pour l'année scolaire 1980/1981 soient effectuées.

Commission des l1'wyens d'enseignement


Instruction concernant le calcul des moyennes annuelles et le passage au cycle d'orientation 1. Calcul des moyennes annuelles du livret scolaire

1.1 Calcul de la moyenne annuelle par branche Ce calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres et celles de l'examen: la somme est divisée par 4. Ex. grammaire-orthographe: 4 + 4,6 + 4,6 +4,8 4 4,5 Dans les branches pour lesquelles n'existe pas l'examen de promotion, le calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres; la somme est divisée par 3. Ex.ACM: 4,9 + 5,3 + 5,2 5,1

3 1.2 Calcul de la moyenne annuelle du premier groupe

Inscription pour des remplacements pendant l'année scolaire 1980/1981 Le(la) soussigné(e):

les élèves fréquentant la 6 e année primaire durant l'année scolaire 1979-1980.

1

Nom:

2.2 Toutefois, il faut remarquer ' que

pour être admis au cycle d'orientation, l'élève doit satisfaire aux critères de promotion définis dans l'Arrêté du Conseil d'Etat du 23 mars 1977 concernant le livret scolaire de .l'enseignement obligatoire (art. 10): « L'élève doit obtenir au

Date de naissance: 1

Le calcul se fait en additionnant la moyenne annuelle (5 e colonne) de chaque ligne (éviter d'y inclure la moyenne annuelle du premier groupe); la somme est divisée par le nombre de lignes. Ex. 4,9 + 4 5 + 4 6 + 4 J + 4 5

î~ 4

5 + 4 6 + 5 B : 5 6+5 1+5 3+5 2. 4,9

2. Calcul de la moyenne pour le passage

au CO

moins la note 4 dans la moyenne du premier groupe et dans la moyenne annuelle générale ». Les conditions de l'article 2

1

des dispositions du 7 décembre 1977 concernant l'admission au cycle d'orientation doivent être interprétées dans ce même sens (double moyenne de 4).

2.1 Les critères d'admission au cycle d'orientation demeurent inchangés pour

Domicile:

Titres pédagogiques obtenus:

1

1

2.3 La note 5 à la moyenne générale annuelle se + 6 e P dispense l'élève de l'examen d'admission en division A.

... Adresse exacte: ...... ...... ....

D

Certificat de maturité pédagogique en 19

D

Autorisation d'enseigner en 19

D

Brèvet pédagogique en 19 ..

(Marquer une x dans la case qui convient)

1

1

2.4 La moyenne de passage au CO est 1

est disponible pour assurer des remplacements durant l'année scolaire 1980/1981 aux conditions approxImatives suivantes: Périodes:

1

1

2.5 Les élèves de 6 e P quin'atteignent

Durée: du .. Degrés: ..... .

.... .... ... au: . .... ........... . .. Régions: ... ......... ... .. .

1

pas la note 4,0 à la moyenne annuelle du premier groupe et/ou à la moyenne annuelle générale peuvent, dans certains cas, redoubler la 6e année primaire s'îl leur reste plus de deux années de scolarité obligatoire à accomplir (condition absolument nécessaire).

Lieu et date: .... ..... .. ...... ... .. ... .. .. ..... .. .. Signature: . 1

1

1

i

Ces cas particuliers doivent être soumis pour examen et décision à l'inspecteur de l'enseignement primaire concerné. . Département de /';nstruction publique Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales.

..... N° de tél.: (indispensable) ....... .... ....... ... ... ....... ... .

1

calculée comme suit Le calcul se fait en additionnant la . - moyennes annuelles 1er groupe et moyenne annuelle (5 e colonne) de chagénérale de fin de 5e P affectées du coefficient 2 que ligne; la somme est divisée par le nombre de lignes. - moyennes annuelles 1er groupe et Ex. générale de fin de 6 e P affectées du coefficient 3 4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 4,5 - résultat moyen des classes d'observa7 tion (5 e et 6e P): total divisé par 5.

1.3 Calcul de la moyenne annuelle générale

... Prénom: .

1

~ 42

43

REMARQUES: Cette formule, dûment remplie, doit être retournée dès que I?ossible, . mais à la fin juin au plus tard, au Service cantonal de l'enseIgnement prImaire et des écoles normales Planta 3,1951 SION


Projets de courses d'écoles 1980 Lieu

20 places 30 places 40 places 50 places

Derborence - Rawyl- Ovronnaz Evolène - Siviez - Thyon Arolla - Col des Planches G rimentz - St-luc - Zinal Loèche-Ies-Bains - Marécottes

220.-

260.-

250.-

300.-

290.-

340.-

350.-

400.-

Champex - Champéry - Verbier Fouly - Fionnay - Betten Morgins - Môrel- Fafleralp

310.-

360.-

410.-

460.-

Bouveret - Fiesch - Saas-Fee Tasch - G rachen

340.-

390.-

440.-

490.-

Col des Mosses - Chamonix Col de Croix - G letsch

390.-

440.-

490.-

540.-

Val d'Abondance - Evian Sauvabelin - Servion

430.-

490.-

540.-

610.-

450.-

520.-

600.-

690 .-

Statuts des remplaçants à l'école primaire:

Décision du ·Conseil d'Etat du 9 juin 1978 Le Conseil d'Etat, Vu la décision du Conseil d'Etat du 22 mars 1978 chargeant le Département de l'instruction publique d'étudier un statut particulier pour les maîtres qui n'auront pas un emploi permanent au début de l'année scolaire 1978-1979 et qui seront engagés dans des remplacements;

Signal de Bougy - Col du Jaun

+ Pillon - La Gruyère

Considérant qu'il y a lieu d'établir une distinction entre les maîtres qui accomplissent des remplacements occasionnels et ceux qui ne pourront obtenir un poste fixe en raison de la pléthore ;

Château de Grandson Zoo de Garenne Les Grottes de l'Orbe Musée de l'Auberson Morat - Fribourg - Avenches Estavayer-Ie-Lac

490.-

560.-

640.-

720.-

Berne - Tour du Lac - Stresa Annecy - Interlaken Pillon et Mosses

590.-

650.-

720.-

790.-

Zoo de Bâle - Melide Suisse miniature

770.-

Aoste (y compris tunnel)

830.-

520.-

900,-

580.-

640.-

V u les mesures générales adoptées Conseil d'Etat en séance du 22 1978 et destinées à éviter les effets trop grave pléthore de maîtres l'enseignement primaire;

Sur la proposition des Départements de l'instruction publique et des finance~ ,

980.-

décide: 1. Les institutrices et les instituteurs formés en Valais, qui ne pourraient en raison de la pléthore occuper un poste fixe dès l'automne 1978 et qui de ce fait s'engageraient en qualité de remplaçants bénéficient des dispositions arrêtées ciaprès:

720.-

Les tarifs mentionnés ci-dessus sont valables au départ de Sion

VOYAGES

DUBUIS

LATHION

THEYTAZ

l'Oiseau bleu

EXCURSIONS

VOYAGES

EXCURSIONS

Les fils d'A. Melly

1.1 Leur traitement est celui prévu à l'article 14 du règlement concernant le traitement du personnel enseignant auxiliaire et des remplaçants;

SAVIÈSE SION SION SIERRE ~ (027) 22 13 01 ~ (027) 22 48 22 ~ (027) 22 18 01 ~ (027) 5501 50

1.2 Les remplaçants mariés reçoivent proportionnellement à la durée de leur activité les allocations de ménage et les

45.

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·~!'III,

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par le mars d'une dans

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allocations familiales prévues pour les titulaires de classes; 1.3 En cas de maladie ou d'accident survenant en cours d'activité , les remplaçants dont il est ici question sont mis au bénéfice des dispositions de l'article 10 du décret du 7 février 1973 concernant le traitement du personnel enseignant des écoles primaires et secondaires. Le calcul du traitement de maladie est basé sur celui d'un maître titulaire et doit correspondre aux années de service du remplaçant et à la durée de la scolarité en vigueur dans la commune où celui-ci a exercé sa dernière activité; ce traitement est servi pour une période maximale de 6 mois; 1.4 Les communes, respectivement les commissions scolaires des écoles régionales assurent les remplaçants contre les risques d'accidents professionnels, au même titre que les titulaires des classes ; 1.5 En cas d'interruption de travail pour cause de grossesse et d'accouchement, le traitement prévu pour les titulaires est versé à la remplaçante dont il est ici question durant trois semaines au maximum, conformément aux dispositions figurant sous chiffre 8 de la décision du Conseil d'Etat du 5 mai 1976 et à celles prévues sous chiffre 1.3, paragraphe 2 de la présente décision; 1.6 Lors de l'accomplissement d'un service militaire, obligatoire ou non obligatoire, l'Etat sert au remplaçant dont il s'agit ici, s'il est engagé depuis plus d'une année au service de l'Etat, le traitement complet du titulaire d'une classe jusqu'à concurrence de 6 mois conformément aux dispositions prévues sous chiffre 1.3, paragraphe 2 de la présente décision. Si la durée de l'engagement, avant le service militaire, est inférieure à l'année, la part du traitement à payer est déterminées par la décision du Conseil d'Etat du 9 juillet 1969; 1.7 Tout remplacement dont la durée effective dépasse 90 jours (congés d'été ,

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Présentation des nouveaux manuels pour l'enseignement religieux de la Toussaint, de Noël, de Carnaval et de Pâques non compris) compte comme année de service déterminante pour le calcul de la prime d'âge et de la prime de fidélité . .

2. Les instituteurs et les institutrices concernés par cette décision ont l'obligation de s'annoncer par écrit au Département de l'instruction publique, Service de l'enseignement primaire et des écoles normales, jusqu'au 20 août qui précède l'ouverture de l'année scolaire. 3. D'entente aveè les commissions scolaires et les directions d'écoles, le Service de l'enseignement primaire et des écoles normales s'efforce de fournir en priorité des activités de remplacement aux maîtres sans emploi permanent, désignés sous chiffre 1 de la présente décision. Demeurent réservées les questions relatives aux qualifications professionnelles. 4. Conformément aux dispositions du règlement du 20 juin 1963 concernant les conditions d'engagement du personnel enseignant, les commissions scolaires et les directions d'écoles sont tenues de signaler au Département de l'instruction publique tous les cas de remplacement. Elles font appel en priorité aux enseignants désignés sous chiffre 1 de la pré-

1. Indication générales

sente décision: la liste leur en est fournie par le Département de l'instruction publique.

La présente information concerne spécialement les enseignantes et les enseignants des classes enfantines et des degrés 1,2,3 et 6 de l'enseignement primaire. Depuis quelques années sont expérimentés dans les classes de nouveaux manuels de catéchèse pour les degrés 1,2,3 et 6 de l'enseignement primaire ainsi que du matériel didactique pour la formation religieuse à l'école enfantine.

5. La «Caisse de retraite et de prévoyance du personnel enseignant» est priée d'étudier des possibilités d'adhésion pour les maîtres et les maîtresses d'école dont il est ici question et de présenter ses propositions au Département de l'instruction publique si possible avant l'ouverture de la prochaine année scolaire. 6. Les institutrices et les instituteurs qui n'accomplissent que des remplacements occasionnels sans être à la recherche d'un emploi permanent demeurent soumis aux anciennes dispositions les concernant. Celles contenues dans la présente décision ne leur sont pas applicables.

Sur la base des rapports communiqués par la commission catéchétique nommée à cet effet, rapports qui font suite aux résultats de l'expérimentation, et avec l'approbation de l'autorité diocésaine , le Département de l'instruction publique a décidé d'introduire ces nouveaux moyens d'enseignement, dans les degrés indiqués ci-dessus, avec effet au début de l'année scolaire 1980/ 1981.

7. Les mesures d'application et autres dispositions de détail non contenues dans la présente décision sont prises d'entente entre le Département de l'instruction publique et le Département des finances. 8. La présente décision qui entre en vigueur le 1er septembre 1978 est valable jusqu'au 31 août 1982. Pour copie conforme, Le Chancelier d'Etat

Fondation Pierre Gianadda Martigny Musée Gallo-Romain Ouvert tous les jours sauf lundi Tél. (026) 2 39 78 Ecoles: entrées gratu ites

Des journées de présentation de ces ouvrages et de ces moyens sont organisées comme suit:

-

à Sion , les 25 août 1980, de 08.30 h. à 16.30 h. , au nouveau collège, pour les enseignantes et les enseignants des degrés concernés, des districts de Sierre , Hérens, Sion et Conthey (parc pour véhicules à proximité) à Martigny, le 26 août 1980, de 08.30 h. à 16.30 h., à la salle comnnmale, avenue du Grand-St.-Bernard, pour les enseignantes et les enseignants de mêmes degrés, des districts de Martigny, Entremont, Saint-Maurice et Monthey. Il s'agit ici de la salle qui se situe derrière l'ancienne gendarmerie (parc pour véhicules: cour de l'école et place du Manoi r).

Prière de se présenter un quart d'heure à l'avance.

Pour vos prochaines courses d'écoles, dans la flore alpine

4 buts merveilleux, pour 1 jour inoubliable

* * * *

Champéry:

Planachaux - Portes du SoleilLe G rand Paradis, etc.

Les Diablerets:

Isenau - Lac Retaud - Meilleret - Glacier, etc.

Leysin:

Lac d'Aï - Berneuse - Pierre du M oellé, etc.

Villars- Bretaye:

Chamossaire - Bretaye et ses lacs, etc.

LAC DES CHAVONNES, restaurant rénové, barques sur le lac

Partout restaurants d'altitude, télécabines, téléphériques Pour tout renseignement ou projet de courses, adressez-vous, s.v.p., aux

TRANSPORTS PUBLICS DU CHABLAIS, 1860 AIGLE Chemins de fer et autocars AL - AOMe - ASD - BVB -

Tél. (025) 26 16 35


Ces journées de présentation seront animées par Sœur Marie Carmel Plissart, auteur des manuels de 1ep, 2 eP, 3eP M. l'abbé Dechambre, coauteur du manuel de 6 e P - des membres de la commission catéchétique - des prêtres et des enseignants ayant participé à l'expérimentation

bien apporter avec eux les nouveaux manuels concernant leur degré (voir dans ce même numéro de «L'École valaisanne», la présentation des ouvrages faite par M. l'abbé Pralong). Ceux-ci peuvent être obtenus au Dépôt scolaire sur présentation d'un bulletin de commande officiel muni du sceau et de la signature de l'autorité communale. On peut obtenir les bulletins de commande au Dépôt scolaire à Sion ou au Secrétariat communal.

3. Annonce

6. Indemnité

Pour permettre une bonne organisation et un bon déroulement de ces journées, tous les enseignants concernés voudront bien s'annoncer en utilisant le bulletin d'inscription prévu à cet effet.

Les participants ont droit à une indemnité pour le repas de midi pris dans un restaurant de leur choix s'ils ne sont pas domiciliés à Sion ou à Martigny.

4. Congés

7. Convocation

Dans les communes où l'année scolaire aurait déjà commencé, les élèves devront être mis en congé .

Cet avis tient lieu de convocation. Il n'en sera pas envoyé d'autre, à titre individuel.

2. Présentation

5. Manuels

-

-

« Je n'ai rien appris que je ne savais déjà. Que l'on soit au Zaïre ou en Valais, les gens sont en gros les 111êm.es et ma manière de voir le monde n'a pas changé ». «Jeferais bien le tour de la Suisse en seize semaines. Ça oui. Vous savez SionLausanne, ça vaut Kinshasa-Les Seychelles. Il y a beaucoup à voir partout, ça n'est pas une question d'espace ». Gérard Crittin Lauréat de «La Course autour du Monde» 1978-1979 , à son retour en Suisse.

La Télévision éducative vous demande de vous inspirer de ces propos de Gérard Crittin et de les prendre aux mots. Alors entre Genève, Berne et Sion qu'est-ce qui se passe? Nous vous donnons la possibilité de le faire s~voir, en nous envoyant vos films super 8 mm., tournés cet été en Suisse. Il s'agira de reportage fait par des élèves en âge de scolarité. Pour plus de détail voir le règlement ci-joint.

Service Cantonal de l'Enseignement Primaire et des Ecoles Normales

Pour bénéficier pleinement de la journée d'information, les participants voudront ~~_.-

Télévision éducative romande « La course autour de chez soi))

--

-

8. BULLETIN D'INSCRIPTION 8.1 Nom: .. .. ...... ... ..... . ... . ... ... . ..

Prénom: .. ....... ........ .

Deux émissions diffusées les mardis, en début d'après-midi, à fin avril-début mai, vous permettront en outre d'en savoir plus. (Les émissions sont disponibles à l'ODIS).

8.2 Domicile, NP: .. ... ....... .. .. .. N° de tél.: .... .. ... .. ... .... .. ... ... ..

Adresse précise: . 8.3 Degré d'enseignement: Primaire Enfantine o 0 0 0 o 0 8.4 Lieu:

Sion

le 25.8.1980

Développement

o

Spéciale

o

REGLEMENT

«La cou.rse autour de chez soi» n'est pas un concours. Le seul gain que les participants peuvent attendre est la diffusion par la télévision suisse romande des films les plus intéressants.

0

8.5 Remarques Sous 8.3, marquer une x dans la ou les cases qui conviennent Sous 8.4, marquer une x dans la case qui convient Envoyer le bulletin, rempli et signé,jusqu'au 15 juin 1980 au Service cantonal EP + EN, 3, Planta, 1950 Sion. 8.6 ......... .... ... ....

.. ... .. .... ...... ..... . le. Signature:

1980

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49

1. La participation est ouverte à tous les enfants en âge de scolarité de la Suisse romande (francophone). Ils peuvent participer seuls, en groupe ou en classe.

2. Les enfants, groupes ou classes qui veulent participer nous informeront de leurs intentions, au plus tard jusqu'à fin juin 1980, en nous envoyant une carte postale, sur laquelle figurera: a) l'adresse le nom et le numéro de téléphone d'un responsable. b) notre adresse: Télévision Suisse Romande Télévision Educative «La course autour de chez soi» case postale 234 1211 GENEVE 8 3. Les films devront parvenir au plus tard, à notre adresse, le samedi 4 octobre 1980. 4. Un jury de spécialistes choisira les films qui seront diffusés lors des deux ou trois émissions prévues pour le mois de novembre 1980. 5. Les films choisis et diffusés seront payés, tout droit compris, Fr. 40.-la minute (quarante francs). 6. Les films seront envoyés dans le format super 8 mm., muets ou sonores (piste couchée sur le film), vitesse 18 ou 24 images/ seconde. Leur durée sera de 5 à 8 minutes au maximum. Ils seront envoyés avec une amorce de 2 mètres au début et à la fin de chaque bobine. 7. Une fiche technique accompagnera les films, avec les indications suivantes: a) Nom, adresse et N° de téléphone d'un responsable. b) Une liste des musiques utilisées, avec un minutage précis de chaque thème, le nom du ou des auteurs,


Une journée d'étude au GRETI

compositeurs, la marque et le N0 du dIsque. (Les musiques originales sont souhaitées). c) Un texte précisant les conditions de r.éalisation, les intentions, qui serVIra pour un commentaire de présentation des films. 8. ~e choix des sujets est totalement lIbre. Toutefois, il s'agira de reporta-

ges sur des thèm,es ou des évènem,ents d'actu,alité de la Suisse. Reportages tournes, entre le mois de mai et septembre 1980. 9. Les adultes, notamment les enseignants, qui participeraient avec des classe~, limiteront leur rôle à celui de conseIller technique. Nous n'accepterons aucun film conçu ou réalisé par un adulte. 10. Tous les films diffusés ou non seront retournés à leurs auteurs à fi~ novembre 1980 au plus tard. Pour toute question concernant «La Course autour de chez soi», vous pouvez vou~ adresser aux Centres cantonaux de RadIO et Télévision éducatives, dont les adresses figurent ci-dessous. Ces Centres peuvent aussi donner des conseils et de cas en cas fournir une assistance technique qui est à convenir avec eux. La . Télévision éducative se réserve le droIt de copier tous les films envoyés et de les rediffuser en tous temps aux memes conditions.

Les activités de connaissance physique à l'école enfantine

Adresses des Centres: Monsieur Pierre JELMI Instituteur Les Longues Royes

Comment développer l'intelligence de votre enfant? Des livres, des articles traitent abondamment de ce thème, tout comme la publicité consacrée au matériel et jeux dits éducatifs.

2854 BASSECOURT TV Educative Rue du Châtelet 37

2500 BIENNE

Tous les exercices spécifiques proposés dans les livres, la variété du matériel mis à disposition dans le commerce sont certainement appréciables, mais risquent de faire oublier aux parents et aux enseignants toutes les situations naturelles et significatives dans lesquelles l'enfant développe son intelligence, parce que mis en contact avec des problèmes réels. Par l'expérimentation, il trouve seul la réponse à certaines questions, il cherche des explications auprès de ses camarades, de ses parents. Quelques exemples:

Centre d'initiation aux Mass Media case postale 7

1700 FRIBOURG Service des MA V Av. de France 15

1202GENEVE Centre cantonal Radio- TV Educatives Fbg. de l'Hôpital 65

2000 NEUCHÂTEL

1005 LAUSANNE

J eux avec de l'eau: certains objets mis dans l'eau flottent, d'autres coulent, pourquoi? Parce qu'ils sont petits, gros, légers, lourds... Des objets rouillent, d'autres pas, certains récipients se remplissent et se vident plus rapidement que d'autres, paraissent plus petits mais peuvent contenir la même quantité d'eau, etc.

Télévision Educative et Sous-Comlnission Rom,ande de Production

Plans inclinés: les billes, les pelles, les voitures ne s'arrêtent pas au même endroit. Qu'est-ce qui les fait rouler plus ou moins loin, plus ou moins vite?

ODIS Gravelone 5

1950 SION Centre Initiation Cinéma Ch. du Levant 25

A

Lausanne et Genève, mars 1980

Jeux d'adresse (quilles, par exemple): emplacement des éléments-cibles, quelle est la disposition qui permet d'en faire tomber le plus d'un seul coup. Distance de celui qui vise, force nécessaire, poids, dimension de la boule qui renverse les quilles, etc.

Communiqué aux maîtres de 6 e primaire Lors de l'examen d'admission au c t d'· .

le mardi 17 juin 1980 dans les d· yc e onentatlOn qui se déroulera élèves devront être en possession/~e;s cen,t~es. du. cycle d'orientation, les les constructions géométriques soit: r;;~:e~:::,ndlsp;nsable pour réaliser Les maÎtres concernés doivent en informe/les é/~::~. equerre et rapporteur. Service de l'enseignement secondaire

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L'enfant, amené à agir sur les objets, pose des questions de plus en plus complexes. Il observe comment ces objets réagissent à son action, il anticipe le résultat, il ajuste son action pour produire l'effet désiré; par tâtonnements suc-

cessifs, il parvient à trouver la cause objective d'un phénomène. Il met les choses en relation les unes avec les autres, compare, observe les différences et les ressemblances, ordonne progressivement les phénomènes qui l'entourent. Les interactions avec d'autres enfants permettent un recul de l'égocentrisme tant socio-affectif qu'intellectuel. Le langage se précise de plus en plus, la représentation graphique imaginée par l'enfant est une indication précieuse sur sa capacité d'abstraction. Ces activités développent l'autonomie et la confiance en soi: elles aident l'enfant à construire lui-même ses connaissances, à son rythme, selon son degré de maturité. La réponse donnée par l'objet et non toujours par l'adulte encourage les initiatives, l'esprit de recherche. Pour aider les maîtresses enfantines et les parents à promouvoir une telle pédagogie centrée sur l'enfant et sur son activité, le GRETI organise à nouveau cette année une journée d'étude ayant pour thème «Les activités de connaissance physique à l'école enfantine». Cette journée sera animée par Madame Constance Kamii, professeur à l'Université de Chicago et chargée de cours à l'Université de Genève, avec la collaboration de trois maîtresses enfantines genevoises, Mesdames Capt, Glayre et Hegy, qui pratiquent ces activités dans leurs classes. Le thème débordant largement le cadre de la préscolarité, la présence de parents, d'enseignants de différents niveaux est vivement souhaitable.

Monique Gobet Renseignements et inscription: Administration du GRETI Case postale 301 1217 MEYRIN 1 (tél. 022/821481, matin)


Pu~~icati0!1 des c0':lrs de l'Association suisse d education physique à l'école- Eté 1980

Cours de cadres N°2 L'éducation physique à l'école sous l'aspect de la santé 6.17.5. Zurich N°8 Introduction du manuel N° 5 «EMT» (CP J +S) 16.-19.6. MacoIin Ce.s cours de cadres sont réservés aux des cours cantonaux. Les maitres mtéressés sont priés de s'adresser aux ~esponsables d'éducation physique scolaire de leur canton. anI~ate.urs

Cours normaux N°31 1 re à g e année: Plein air 14.-17.7. Yverdon

N°35 Dès la Se année: N t f 7.-11.7. a a IOn et jeux Lausanne Entraînement des styles de natation ~o~ern~s avec. un. accent sur les formes jouees, 1 org~nISatIOn de l'enseignement et les C?rrectIOns des erreurs principales t'PerfectIOnnement personnel . Su gges-. Ions P?ur l'appreI?tissage du plongeon en bas sm de natatIOn scolaire. Volleyba!l: perfe~tionnement technique et methodologique, entraînement.

Méthodol?gie de la natation, compre-

(l~~ gr~nds jeux d'équipe et les jeux sco-

tIons ~our un entraînement à niveau. Pe,rfectIOnnement personnel et directives methodologiques dans le domaine du plongeon. Initiation au badminton.

N°34 Dès la Se année: EMT, introduction du manuel N° 511.-16..8. Coire

No41 CP: Education du mouve.ment dans la gymnastique aux agrès 4.-8.8. Kreuzlingen

~e cours ~st réservé aux maîtres d'éducatIon physIque diplômés. Il sera reconnu comme CP J + S.

Expérimentation de différentes possibilités méthodologiques d'une gymnastique éducative aux agrès. Apprentissage conscient et développement de la personnalité (responsabilité, confiance en soi etc.) par le travail avec partenaires. Activité complémentaire: planche à voile et badminton.

Comment ~duquer les élèves par le jeu

lalI.es), comI?ent atteindre des buts éducatIfs pa; le je~: où se situent les limites d e cette educatIOn.

No42 CM 1/ CM 2: Sauvetage 28.-31.7. St Gall

N°38 Tous les degrés: Volleyball à 4.-8.8. l'école Marin ~nalyse . des différentes méthodes d a~p~e,ntIssage (suisse et étrangère) ACtIvI.te complémentaire: canoë et voil~ (gratUIt).

«Comment introduire le tennis à l'éco-

Cours J +S

?

~ant des jeux dans l'eau et des sugges-

Mesures permettant la prévention précoce des faiblesses organiques, musculaires et de coordination (y compris les troubles psychomoteurs). Education spécifique du mouvement et de la tenue par l'EMT, la gymnastique aux agrès, la natation et le jeu.

Vivre et expérimenter différents processus de création dans le domaine de l'EMT, de la danse et de la gymnastique aux agrès. Suggestions pour une action indépendante: chercher, trouver, élaborer, varier et créer des enchaînements de mouvement. Activité complémentaire: planche à voile et volleyball.

Analy~~ et essais des différentes méthoSuggestions tirées du nouveau manuel d~s d mtroduc~ion du volleyball au ~o.9; exploit~tion des nombreuses possi- nIve.a~ g.ymnasIal; exercices correctifs bIlItes enseIgnement en plein air sous . stabdIsa~I~n: Perfectionnement person~ form~ jouée. Activité complément~ires: ne!. ActIvIte complémentaire: canoë et natatIOn: Ce cours s'adresse également voIle (gratuit). aux enseIgnements du degré inférieur.

N°37 Tous l~s degrés: Les possibilités éducative~ dU.Jeu dans·le sport scolaire 7.-12 7 Hltzkuch ..

No43 Sans J + S : Le tennis dans le sport scolaire facultatif 21.-24.7. Baar

No40 Tous les degrés: Education et création du mouvement aux agrès, avec et sans engins 7.-11.7. Kreuzlingen

N°36 10 e à 14 e année: Volley baIl à l'école 28.7.-1.8. Marin

N°33 Se. à g e année: Natation, plongeon badmmton 14.-19.7. ' AdIiswil

No39 Tous les degrés: Gymnastique spéciale (théorie et pratique) 4.-8.8. Bâle

52

53

Possibilité d'obtenir le brevet de sauveteur N° 1. Condition de participation: maîtrise de la brasse poitrine et de la brasse dos, du plongeon simple et de 400 m. de nage. Les porteurs du brevet 1 peuvent obtenir le brevet 2 pour autant qu'ils soient également porteurs du certificat de samaritain.

le? No44 CM 1/ CP: Le tennis dans le sport scolaire facultatif 28.7.-1.8. St-Gall No45 CM 1/ CP: Le tennis dans le cadre du sport scolaire facultatif 30.6.-4.7. Genève Les cours 44 et 45 s'adressent aux enseignants du sport scolaire facultatif (attestation des autorités scolaires nécessaire). Condition de participation: être classé au moins dans la catégorie D; prière d'indiquer cette classification sur l'inscription.

Cours spéciaux No46 Perfectionnement: Natation pour maîtres débutants ou d'un certain âge 6.-9.8. Aarwangen Réservé aux enseignants qui désirent apprendre à nager ou qui souhaitent perfectionner des connaissances élémentaires. Perfectionnement personnel, en particulier dans le crawl dos et le crawl poitrine. Activités complémentaires: EMT et jeux.

No47 Enseignement: Excursion en montagne et technique alpine 4.-10.8. Arolla Initiation et perfectionnement de la technique alpine pour les responsables de camps scolaires. Des groupes à niveau seront formés, aucune connaissance particulière préalable n'est donc nécessaire.


Jardin des Glaciers Lucerne

N°48 Enseignement: Excursion dans les Alpes 7.-12.7. Gstaad Excursions de cabane en cabane sans varappe. Au cours des excursions, d'autres aspects seront traités (géologie , botanique, zoologie, etc.).

N°49 Sport scolaire: Organisation du sport au niveau communal 17.-18.9. Zurich Exemples d'organisation de journée sportive scolaire, de concours de jeux et de natation, de course d'orientation etc. destinés aux enseignants responsables de telles manifestations dans leur commune. Di rection princi pale: Herbert Donzé

et le Ticino, possibilités d'application dans le SSF.

Inscriptions: 1. Ces cours sont subventionnés par la Confédération et s'adressent à tous les enseignants de l'éducation physique dans les écoles publiques ou reconnues paI-I'Etat. 2. Les étudiants, futurs enseignants, peuvent être admis lorsque le nombre de places disponibles est suffisant. 3. Les moniteurs du sport scolaire facultatif, non enseignants, peuvent également être admis au cours avec une attestation des autorités scolaires. 4. En cas de manque de places, la priorité sera donnée aux membres de l'association. L'inscription peut être accompagnée d'une demande d'admission à une association cantonale.

N°50 Sport scolaire facultatif: Le canoë dans le cadre du SSF 14.-19.7. San Vittore

Délai d'inscription: 1cr juin 1980

Réservé aux enseignants du sport scolaire facultatif (attestation des autorités nécessaire). Initiation et perfectionnement technique, navigation sur la Moesa

(pour le cours N° 49: 1er septembre 1980) Inscription à envoyer à la Commission technique de l'Association suisse d'éducation physique à l'école CT ASEP Urs Illi, 8561 Wiildi.

Finhaut 1237 m. Giétroz - Châtelard Funiculaire Train panoramique et monorail Accès par la route de La Forclaz ou chemin de fer Martigny-Châtelard Centre d'excursions à proximité de la chaîne du Mont-Blanc Départ ligne d'autobus pour barrage Grand-Emosson

Monument naturel: D'une plage de mer subtropicale avec palmiers, il. y a 20 millions d'années, jusqu'à l'ère glaCiaire. Projection sonore: Explication sur les phénomènes naturels découverts en 1872 comme complément méthodique. Musée: Les plus anciens reliefs de la Suisse. Exposition spéciale: 18.4 - 19.10.1980 « Island». Jardin: Place pour pique-nique, kiosque, belvédère. Labyrinthe de miroirs: Rencontre nostalgique avec l'année 1896. Entrées pour écoles: Jusqu'à 16 ans Fr. 1.50, dès 16 ans Fr. 2 .-. Horaire d'ouverture: 1 er mai - 15 octobre: 8-18 heures/1 er mars - 30 avril et 16 octobre - 15 novembre: 9-1 7 heures, hiver: mardi - dimanche: 10.30-16 .30 h. Renseignements, documentation:

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