Ré à la Hune n° 135

Le Réseau immobilier N°1 sur l’île de Ré vous accueille dans ses 10 agences

L e j o u r n a l d ’ i n f o r m a t i o n g r a t u i t d e l’ Î l e d e R é

135

Joli mois de mai !

E

n avril ne te découvre pas d’un fil, en mai

des Dunes, réalisée par Ré Nature Environnement… Encore une association !

Enfin, « Les Essentielles » vous présentent une sélection de professionnels rétais qui vous accompagneront efficacement dans votre quête de bien-être et de beauté.

Bonne lecture… que vous pourrez actualiser en suivant régulièrement notre Site www.realahune.fr et en vous abonnant gratuitement à notre Newsletter !

fais ce qu’il te plaît… car une météo plus clémente et chaude va permettre aux cœurs de se libérer et aux vacanciers de ce seul long pont de mai de profiter de la douceur insulaire.

édition du

3 mai 2016

Si le logement constitue encore un problème majeur pour les Rétais - et le restera encore quelques années le temps que les programmes intercommunaux et communaux sortent tous de terre - l’île de Ré offre tout à la fois une palette d’activités, d’évènements et d’infrastructures exceptionnels sur un aussi petit territoire.

La densité des Associations - auxquelles nous consacrons pas moins de vingt articles dans cette édition ! - n’est pas étrangère à ce foisonnement social, culturel et de loisirs tandis que la fiscalité des résidents dits « secondaires », permet aussi de financer nombre d’infrastructures et de services publics, il est bon de le rappeler. Tout comme les activités associatives nourrissent la vie permanente, la présence régulière des « secondaires » viabilise bon nombre d’activités économiques du territoire, qui ne sauraient vivre juste de l’afflux touristique estival.

Côté nature, Ré à la Hune est heureuse de vous offrir, encartée dans ses pages centrales, une nouvelle édition de l’œillet

Nathalie Vauchez

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BORDEAUX LE 13/12/2016

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LE 13/12/2016 ET METTEZ LE CAP SUR ET ET METTEZ CAP SUR METTEZ LELE CAP SUR

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VOLS AU

actualité A G

U R C AN

La plaisance est en mutation En ouvrant jeudi 21 avril au Cercle Nautique d’Ars en Ré, l’assemblée générale le président de l’URCAN, Jean-Claude Perin, a évoqué la pratique de la navigation de plaisance, ainsi que le contexte et les conditions de son évolution sur l’île de Ré. des partenaires. Elles souhaitent que l’on parle davantage de la plaisance dans les documents et communiqués de la Communauté de Communes, être entendues et informées. Ne nous laissez pas dans l’ombre » a ouvertement souhaité Jean-Claude Perin, remerciant aussi les élus de leur réponses sur ces sujets compliqués.

De nouveaux courants pour la plaisance De gauche à droite : Lionel Quillet , Régis Baudonnière, Bruno Gourdon, Jean-Claude Perin, Jean-Louis Olivier, Michel Jauffrais.

I

l est intervenu devant les présidents et délégués des associations de plaisanciers de l’île de Ré, de Lionel Quillet, président de la CdC, de Jean-Louis Olivier, maire d’Ars, et de Michel Jauffrais, premier adjoint en charge du port d’Ars. Des questions pour l’avenir En présentant son rapport moral, le rapport d’activité et le bilan financier de l’exercice d’avril 2015 à mars 2016, votés à l’unanimité, JeanClaude Perin et l’assemblée se sont interrogés sur le devenir des projets de ports à sec prévus, du Schéma de mise en valeur de la mer (SMVM) dans le cadre du PLUI, suite à l’abandon du SCOT. Autres préoccupations : la loi NOTRe, avec la création des grandes Régions, aura-t-elle des incidences sur la gestion des ports ? La voix des

C o n s o m m at i o n

plaisanciers au conseil de gestion du Parc Naturel Marin des Pertuis serat-elle écoutée? Quid aussi du désenvasement des ports et des chenaux, rendu très difficile par les fortes contraintes environnementales et la loi sur l’eau ? Ainsi que de la taxe de séjour pour les bateaux visiteurs ?

Des questions auxquelles Jean-Louis Olivier et Lionel Quillet ont apporté des réponses argumentées, confirmant le maintien des projets de ports à sec et la garde de la gestion des ports par le Département. Mais ils ont aussi exprimé de sérieuses réserves sur les possibilités de désenvasement, expliquant très clairement les contraintes environnementales qui rendent les opérations très délicates après des études d’impact de plusieurs années. « Les 13 associations de plaisanciers adhérentes peuvent être

Le mode de consommation de la plaisance change : les bateaux sortent de moins en moins, des agences de location démarchent les propriétaires pour louer les bateaux comme logements flottants, les jeunes ne veulent pas ou ne peuvent plus investir dans un bateau et préfèrent le louer... Dans ce contexte, comment dynamiser et faire évoluer les ports ? La plaisance, avec la qualité du littoral rétais et des pertuis, est partie prenante dans le succès de Ré. Un moteur économique et touristique à prendre en considération, qui doit composer avec les professionnels de la mer, les contraintes environnementales et patrimoniales des sites rétais.

Régis Baudonnière succède à Jean-Claude Perin « C’est avec émotion que je passe la main. Pendant mon mandat, j’ai eu beaucoup de plaisir, entretenu des amitiés durables...» a annoncé le président sortant, avant d’inviter

le comité de direction à désigner le nouveau bureau*.

Pour soutenir l’action de la SNSM, l’URCAN organisera un repas de générosité le 16 juillet à La Flotte et compte sur la solidarité des plaisanciers pour remettre un gros chèque nécessaire au fonctionnement des sauveteurs bénévoles, dévoués et compétents.

Michel Lardeux

* C omposition du nouveau Bureau de l’URCAN Président : Régis Baudonnière, administrateur de l’AUPPG (Association des Usagers et des Plaisanciers de la Pointe du Grouin) Vice-présidents : Les présidents des associations membres de l’URCAN Secrétaire : Jean-Pierre Domenjoz, CNM (Cercle Nautique Martinais).

A noter que deux administrateurs : Pierre Leclerc (AUPLF-membre de la commission pêche) et Jean-Claude Perin (Président AUPAR ex président URCAN), siègent à la Fédération Nautique des Plaisanciers de l’Atlantique, créée pour entretenir une logique et des liens de proximité entre les associations de plaisanciers.

« r a i s o n n é e »

Conférence enjouée à l’Ancre Maritaise

Une trentaine d’auditeurs est venue échanger samedi 23 avril avec Bernard Astruc sur le thème : « La consommation éco responsable, bio locale et de saison, un acte politique citoyen majeur »

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rganisée en partenariat avec Ré Nature Environnement, la rencontre proposée par Agnès Lievens qui anime L’Ancre Maritaise a suscité l’intérêt. Il faut dire que le sujet d’une alimentation saine et raisonnée soulève des questions de santé publique au centre des préoccupations de bon nombre de consommateurs.

Bernard Astruc est un agro écologue autodidacte, militant écologiste depuis les années soixante-dix, et est notamment président de l’association régionale Bio Consom’Acteurs Paca.

De passage sur l’île (il réside dans le Var), son intervention fut l’occasion de rappeler entre autres, que 90% des animaux sont élevés

industriellement, en batterie, et nourris avec des OGM d’importation. Une faille qu’il dénonce au travers du collectif « Consommateurs pas cobayes ! » dont il est le coordinateur national et qui a lancé une pétition citoyenne « OGM transparence » en 2014. L’objectif de cette campagne qui a d’ores et déjà recueilli plus de 240 000 signatures est d’obtenir un étiquetage « de façon à ce que les consommateurs puissent exercer des choix écologiques en toute connaissance de cause ».

S’informer sur l’origine des produits est en tous cas indispensable et pourquoi pas tout simplement consommer moins, et donc plus qualitativement ?

Bernard Astruc à l’Ancre Maritaise.

Agir ensemble pour privilégier les circuits courts Parmi les préconisations de ce militant pour lutter contre le fléau des OGM et des herbicides, acheter local, de saison et si possible en direct est sans doute la priorité !

Ré à la Hune est une publication gratuite éditée par Rhéa Marketing : 19 avenue de Philippsburg / BP 43 17410 Saint-Martin-de-Ré / Tél. 05 46 00 09 19 / Fax : 05 46 00 09 55 / Mail : realahune@rheamarketing.fr Ce journal vous est offert par les Annonceurs, nous les en remercions vivement. Il est mis à votre disposition par tous les commerçants et lieux qui le souhaitent, merci à eux.

D i r e c t r i c e d e l a P u b l i c a t i o n : N a t h a l i e Va u c h e z / M a q u e t t e : R C 2 C / M i s e e n p a g e : Va l é r i e L e L o u e r / Rédaction, photos : Michel Lardeux, Nathalie Vauchez, Marie-Victoire Vergnaud, Jacques Buisson, Jean-Baptiste Le Proux, Jocelyne Chrétien, Valérie Lambert, DR, sauf mention expresse / Dessins : Philbar / Régie publicitaire : Rhéa Marketing : 05 46 00 09 19 – Valérie Darcy : 06 14 29 47 21 – Nathalie Vauchez : 06 71 42 87 88 r h e a @ r h e a m a r k e t i n g . f r / I m p r i m e u r : I m p r i m e r i e R o c h e l a i s e / N ° I SS N : 2 2 5 7 - 0 7 2 1 - P E F C 1 0 - 3 1 - 1 2 4 0

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Si le discours peu paraître un peu austère, l’ambiance de cet échange était tout au contraire enjouée et animée, chacun s’interrogeant sur l’enjeu de son implication pour une consommation citoyenne. Et pour mieux illustrer l’importance des circuits courts, la rencontre s’est achevée par une dégustation de produits locaux : du pain bio du fournil de Mathilde, les Tartes végétariennes de la Tart’entière de Marc Bayet, le tout arrosé du nouveau rosé bio de l’île, « l’Azuré ».

Marie-Victoire Vergnaud

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actualité L o g e m e n t s

s o c i a u x

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F l o t t e

65 logements sur le bon chemin... de la Maladrerie Pour répondre au besoin de logements à loyer modéré de jeunes ménages, la municipalité tient à concilier les exigences architecturales des constructions et l’intégration sociale de nouveaux habitants.

A

Le vaste site du futur lotissement, rue de La Maladrerie.

vec son bourg développé autour du port et le bâti des belles demeures du XVIIIème siècle, La Flotte est un village rétais typique, témoin d’une prospérité historique. Au fil du temps, avec la volonté de maîtriser l’urbanisation, le village s’est développé dans une cohérence architecturale remarquée par ses visiteurs. Un challenge délicat auquel le lotissement de la Maladrerie veut satisfaire, pour compléter les 253 logements à caractère social déjà réalisés sur la commune.

Maîtrise foncière : « la commune de La Flotte assume » En 1217 Savary de Mauléon établit sur ce site, à son retour de Judée, une maladrerie où les lépreux pouvaient recevoir des soins. Sept siècles plus tard, sur ce site littoral à l’entrée nord-ouest du village de La Flotte, en venant de Saint-Martin, le chemin conduisant à ce lieu-dit chargé d’histoire, porte toujours le nom de « chemin de la Maladrerie ».

Demain, ce chemin desservira le nouveau lotissement que le maire Léon Gendre, soutenu par sa majorité du conseil municipal, met en perspective sur ce site depuis 2000, procédant au classement de la partie nord de près de 25000 m2 en zone 2 NA (réservée à la construction de logements sociaux), la partie sud de surface équivalente est en zone ND (inconstructible). Le classement en ZAD (zone d’aménagement différé) par arrêté préfectoral du 1er octobre 2007, est une étape importante, car elle permet à la commune d’exercer un droit de préemption dans cette zone aménageable pour procéder à l’acquisition des terrains.

La procédure d’expropriation nécessaire au projet devait se faire vite, car le droit de préemption lié à la ZAD s’éteindra le 6 juin 2016.

Léon Gendre regrettant « que la CdC qui assume la compétence de la construction des logements sociaux sur les programmes de 20 logements et plus, n’ait pas donné

suite à mes demandes insistantes depuis deux ans », a décidé que la commune de La Flotte assumera le projet la Maladrerie sur son propre budget (lire à ce sujet notre article sur le conseil communautaire du 6 avril sur Ré à la Hune 134 ou sur realahune.fr : « Vote des budgets : quand l’histoire se répète »). 2 millions d’euros seront consacrés à l’acquisition des terrains auprès de 28 propriétaires et 1,5 million d’euros HT au travaux de VRD. D’ores et déjà 1,5 million d’euros sont inscrits au budget communal (la commune dispose d’un reste à réaliser de 800 000 euros sur les acquisitions de terrains). Elle empruntera les 2 millions complémentaires auprès de la Caisse des dépôts à un taux très bas. L’achat des terrains a été conclu devant notaire par la commune dans la deuxième quinzaine d’avril 2016, faisant entrer le projet dans une phase active. Un projet qui aura rencontré sur son chemin bien des obstacles, survécu à l’annulation du SCOT, satisfait à l’enquête publique, composé avec l’opposition des riverains... et qui s’apprête à franchir les procédures administratives courantes des permis d’aménager et de construire. Le maire précise que dans le montage de ce projet, la commune reste propriétaire des terrains.

Un bail emphytéotique de 55 ans est en cours de conclusion avec un bailleur-constructeur social (Habitat 17 pour le locatif et la Compagnie du logement pour l’accession à la propriété). A l’expiration du bail, les constructions reviendraient à la commune.

La difficile recherche d’un équilibre Le projet initial de 2011, établi par l’architecte Bernard Wagon, prévoyait la construction de 95 logements sur une surface de 3 ha.

Un projet mal reçu et contesté par 47 familles de riverains et 83 membres regroupés au sein de l’association des « Amis du secteur de la Maladrerie », constituée en 2011, pour « peser sur les projets

R é à l a h u n e | é d i t i o n d u 3 m a i 2 0 1 6 | N ° 1 3 5

de la municipalité et obtenir la réalisation d’un aménagement utile responsable et acceptable par les riverains », explique son président Jean-Claude Gomez. « Nous avons suggéré au maire des modifications.

Sur la base d’un plan d’esquisse de composition du quartier, remis par le maire, nous avons planché pour définir un projet équilibré, prenant en compte et défendant les intérêts de nos adhérents et des habitants du quartier, tout en n’ignorant pas le besoin de la commune. Nous avons fait connaître au maire, en janvier 2016, notre position écrite détaillée et documentée, portant entre autres sur le nombre de logements aidés (locatifs et en accession à la propriété), sur les conditions d’implantation, sur la protection des vis-à-vis, sur la circulation et les espaces verts… » L’opposition municipale conduite par Jean-Paul Héraudeau considérait : « que trop d’occupants de logements à loyer modéré ont quitté leur maison, vendues à des résidents secondaires ou louées durant la période estivale, contribuant ainsi à la désertification du cœur de village ». Il estimait dans ces conditions, qu’ « il s’agit de simples transferts de population ne permettant en aucun cas d’apporter une dynamique nouvelle à la commune, la baisse de la population en témoignant ».

L’intérêt public avant tout Pour préserver ce projet d’intérêt public pour la vie permanente de la Flotte, le maire et l’architecte Bernard Wagon ont composé avec les suggestions faites, afin de reformater le projet définitif sur cette zone de plan masse. Approuvé

par avis favorable majoritaire du conseil municipal le 3 février 2016, ce sont finalement 65 logements T3, T4, T5, en rez-de-chaussée ou avec étage qui seront construits, dont 43 logements locatifs sociaux (2/3) et 22 logements en accession à la propriété (1/3). Le chantier est programmé en trois tranches : 1 ère tranche de 19 logements en 2016/2017, 2 ème tranche en 2017/2018 et 3 ème tranche en 2018/2019. « La commune sera maître d’ouvrage de ce chantier » explique Léon Gendre. « La Flotte conduit depuis 1978 une politique volontariste de construction de logements à loyers modérés pour répondre aux nombreuses demandes formulées par les jeunes couples de la commune. Un engagement constant, que nous avons tenu tout au long de mes mandats. Dès l’élaboration du plan d’occupation des sols, au lendemain de mon élection en mars 1977, nous anticipions déjà, sur notre plan de référence de 1979, l’intégration de projets en périphérie du bourg. Une vision urbanistique que nous voulions esthétique et bien intégrée dans son environnement, qui est éclairée par la compétence fidèle du couple d’architectes urbanistes Bernard et Isabelle Wagon ».

De nouvelles familles trouveront bientôt dans l’espace paysager de la Maladrerie, à deux pas de l’océan, de confortables conditions de logement, accessibles financièrement, pour s’intégrer aux 2863 habitants qui apprécient la qualité de vie permanente de La Flotte.

Michel Lardeux

M a n i f e s tat i o n

Une brocante très appréciée

L

a traditionnelle brocante de Saint-Martin de Ré est organisée comme chaque année le jeudi 5 mai (de l’Ascension) sur la Place de La République.

Prêt de 100 exposants (professionnels

et particuliers) vous attendent dans une ambiance conviviale.

Ouvert à tous. Entrée libre.

Buvette, restauration sur place.

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Et aussi : Retrouvez l’Agenda des évènements, les Associations, les Informations pratiques (météo, marées, transports, collecte des déchets…)

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actualité C o n f é r e n c e – d é b a t d e l ’ A s s o c i a t i o n p o ur l a v a l o r i s a t i o n d e S a i n t - C l é m e n t d e s B a l e i n e s

PLUI : Harmonisation et mutualisation ne signifient pas uniformisation Lionel Quillet, Président de la CdC est intervenu, le 19 avril, à Saint-Clément des Baleines, à l’invitation de l’AVSCB, pour une première réunion publique d’information sur le PLUI de l’île de Ré.

L

e thème a suscité un vif intérêt parmi les membres de l’association et les Villageois, la salle du village vacances le Phare/ODESIA étant comble. Gilles Duval, le maire de Saint-Clément, était présent à la réunion.

Le Président a rappelé le contexte de la décision de la CdC de travailler à l’élaboration d’un PLUI (Plan local d’urbanisme intercommunal). Le SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale) de l’île de Ré a été annulé par le Tribunal administratif de Poitiers, en juillet 2015, suite au recours déposé par quelques associations de défense de l’île de Ré... annulé « pour seul vice de forme », tient à rappeler l’élu. « Le SCOT était un accord sur un cadre et les communes, dans leurs POS (Plan d’occupation des sols), faisaient ce qu’elles voulaient dans ce cadre » précise-t-il. (Pour plus d’informations sur cette décision de justice, on se reportera utilement à l’interview de Lionel Quillet dans Ré à la Hune du 18 août 2015 et sur realahune.fr). Dès lors, l’alternative était d’élaborer un nouveau SCOT « lequel serait vraisemblablement encore attaqué » ou de plancher pour un PLUI avant la fin 2015, ce qui permettait de maintenir les POS communaux jusqu’à l’entrée en vigueur du PLUI. « Le PLUI prévoit une harmonisation générale, en matière d’urbanisme, mais il peut y avoir des spécificités propres aux communes. Dans le PLUI, comme dans d’autres champs (digues, déchets, tourisme...), il y a forcément

perte de compétences pour les communes en même temps qu’il y a gain au niveau de l’intercommunalité. Le choix a été fait, en 2008, d’une CdC île de Ré forte avec beaucoup de compétences et les spécificités laissées au niveau des dix communes : harmonisation et mutualisation ne signifient pas uniformisation des villages ».

Les objectifs du PLUI

En quoi le PLUI intéresse-t-il Saint-Clément des Baleines ?

Le bureau de l’AVSCB : Michel Martin, Line Besnier, Jean Luc Brillet, président et Didier Courtemanche, secrétaire, attentifs à l’exposé de Lionel Quillet sur le PLUI.

Ils sont de maintenir et de développer la vie permanente. L’île de Ré compte 18 000 résidents permanents « grâce au pont » ; il n’y en avait que 13 000 avant ! Favoriser le développement économique sur le territoire participe à cet objectif. Le tourisme est un richesse. Pour une population de 18 000 habitants, le budget moyen d’une collectivité est de l’ordre de 20 à 25 millions d’euros ; à l’île de Ré, grâce aux touristes, il est de 70 millions d’euros. Un autre objectif est de répondre aux enjeux d’un aménagement durable de l’île de Ré. Dans la Loi NOTRe, les vallées de montagne et les îles ont la possibilité de garder une gestion en propre, quel que soit le nombre d’habitants permanents ; l’exception insulaire a été reconnue.

C’était très important pour l’île plutôt que de devoir rejoindre la CdA de La Rochelle. « Il faut arriver, à 20 000 permanents sur l’Ile », martèle,

néanmoins, le Président Quillet depuis deux ans.

Lionel Quillet a ensuite présenté les modalités de mise en place du PLUI, les instances et leurs rôles. A noter que des réunions de travail thématiques sont prévues, à partir de septembre 2016, dans lesquelles pourront intervenir les associations et, même, des personnalités expertes dans la thématique.

Le président prévient : « le PLUI sera peut-être attaqué ; s’il tombe, ce sera grave de conséquences pour l’île de Ré... beaucoup plus que le SCOT où les communes conservaient leurs POS. Là, les POS n’existent plus car ils sont intégrés au PLUI. Si le PLUI tombe ou s’il n’est pas validé, c’est la loi générale qui s’appliquera, donc la Loi ALUR qui vise à favoriser le bâti ».

Jocelyne Chrétien

La commune est concernée par plusieurs axes du PLUI : - La défense des côtes. L’île de Ré est le premier projet d’ingénierie civile en France. Le choix de la CdC a été de prendre la responsabilité des digues.

En Charente-Maritime, c’est le département qui a la maîtrise d’ouvrages et qui finance. L’Etat n’aura aucune responsabilité alors que 40 milliards de travaux sont engagés.

- Le réaménagement du Site du Phare. Pour rappel, le projet porte sur le cinquième du territoire de la commune de Saint-Clément des Baleines.

Il a pris 18 ans d’études !

Il est maintenant validé par la Commission des Sites, le Département et les associations de protection de l’environnement.

- Les pistes cyclables, création, aménagement et entretien.

- Les transports par bus. 5 fois plus de bus circulent à l’île de Ré que dans d’autres zones rurales.

- Les logements à loyer maîtrisé.

En réponse à une question de l’auditoire, Lionel Quillet a précisé que le PPRL est un document de sécurité, qui se situe au-dessus du PLUI. Le challenge, en 2016, est de négocier le PPRL tout en sauvegardant les £intérêts du PLUI. Par exemple, le projet du Moulin Rouge qui n’a pas eu d’eau lors de Xynthia sera défendu.

« L’évolution du littoral rétais, au fil des siècles » Jacques Boucard, historien de l’île de Ré et co-auteur de “Histoire de l’île de Ré” avait été convié à intervenir en introduction, sur le thème de l’évolution du littoral rétais, au fil des siècles.

A

u début de l’époque historique jusqu’au Moyen-Age, la zone élargie à la Vendée, appelée Golfe des Pictons, était constituée de nombreuses îles et échancrures que les alluvions combleront à la faveur des courants, rapporte Jacques Boucard. Il en va ainsi de la zone Nord de l’île de Ré, par exemple, où le passage entre l’île des Portes et la Pointe des Baleines sera effectivement comblé vers le XIè siècle. L’épaisseur de bri y est approximativement de 7 à 8 mètres, ce qui favorisera l’aménagement des premiers marais salants, au XIIè siècle, dans cette zone qui est celle du Gillieux.

On remarque qu’au moment de Xynthia, les zones submergées sont celles qui ont été gagnées sur la mer, à l’exception de La Couarde où le cordon dunaire les a protégées.

Le problème de l’érosion de la dune, à la Conche des Baleines :

trop de prélèvements de sable en mer « La dune est vivante, contrairement à la falaise », poursuit Jacques Boucard : « le sable s’accumule sur la plage et il est transporté par le vent.

Lors de tempêtes érosives, la mer emporte le sable qu’elle rapporte, le plus souvent, les saisons suivantes.

Ceci est vrai, à la double condition qu’il n’y ait pas d’obstacles pour gêner la reconstitution et que le stock de sable, en mer, ne s’amenuise pas.

On considère que, depuis la dernière guerre, la dune a reculé de 20 à 25 mètres et d’autant, lors des tempêtes de 2014. La dune devrait se reconstituer mais la présence de blockhaus, sur la plage empêche le sable de se stabiliser. De plus, il existe un énorme banc de sable, entre Ré et Oléron, qui est très largement exploité, tant par la drague de La Rochelle que par deux dragues venues de Lorient. Ce prélèvement, indéniablement trop élevé,

contribue à l’érosion de la Conche des Baleines, phénomène imparable si on ne réagit pas. La Charente apporte aussi moins de sable car, là encore, des prélèvements sont réalisés pour la construction ». Les autorisations de dragage sont données par les préfectures et Gilles Duval, le Maire de Saint Clément, dit s’être opposé au renouvellement de celles-ci lorsqu’il a été consulté ; en vain, puisque le renouvellement a été donné.

Il faut recréer les conditions naturelles qui concourent au réensablement Jacques Boucard, évoquant les moyens de protection de la dune et de lutte contre l’érosion, a cité les épis qui fonctionnent, le plus souvent bien, selon lui, comme les écluses à poissons. Il a fait également allusion à la digue-jetée qui existait au XIXè siècle, pour la construction du Phare des Baleineaux qui a eu un effet très

positif : « il est évident que ce type d’ouvrage devrait être rebâti », a-t-il lancé, ce qui a donné lieu à quelques applaudissements, dans la salle. « Même le sable de la Gironde remonte jusqu’à la Conche des Baleines. Or, là encore, il y a de plus en plus de prélèvements et la conséquence est que de moins en moins de sable remonte. L’apport de sable artificiel n’est pas la solution ; il vaut mieux recréer les conditions naturelles qui concourent au réensablement ». Et le Maire de SaintClément de conclure par ce constat amer : « rien n’est fait pour nous aider à recharger les dunes ».

Lutter contre les prélèvements de sable en mer... voilà peut-être une nouvelle voie d’action à mener pour l’AVSCB, laquelle s’est constituée autour du projet sauvegarde de la Conche des Baleines et avait su réunir quelques 5000 signatures pour alerter nos responsables, à l’été 2012.

Jocelyne Chrétien

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actualité Pr o t e c t i o n

d u

l i t t o r a l

Port de La Flotte : la porte anti-submersion est en place !

Elle est arrivée sans encombre sur deux camions adaptés, comme prévu ce mercredi 20 avril, la partie basse d’abord, suivie par la partie haute, attirant l’attention sur son passage. du chantier par Didier Henry, devant les cadres des entreprises impliquées.

Les élus ont ensuite effectué une visite attentive du chantier, inscrit pour un coût de 5 millions d’euros dans le PAPI dont le Département assure la maîtrise d’ouvrage. La porte coulissante métallique, de « type brouette », pèse 45 tonnes et roule sur un chemin de roulement. De forme trapézoïdale avec 14 m de largeur en partie haute et 12 m en partie basse, elle est haute de 6,80 m, épaisse de 1,10 m ; cette porte en acier est calculée pour un niveau de protection à la cote NGF de

L’intégration architecturale de la porte avec la modification des môles Nord et Est, était une des préoccupations lors de l’étude, pour ne pas défigurer le port et les bords de mer. Avec l’habillage des môles par parement de pierres, dont certaines récupérées lors de la déconstruction des anciens môles, le défi semble bien relevé.

Ce grand chantier, d’une haute technicité, tient ses délais. Si les essais de fonctionnement de la porte une fois équipée de ses charriots moteurs et de sa logistique de manœuvre sont validés dans les prochaines semaines, la réouverture du port à la navigation © LM

© SPB

pour assister à cette spectaculaire et importante opération. La partie basse mise en place, ce fût à la partie haute de prendre les airs pour rejoindre sa moitié de porte dans la feuillure. Elles seront unies pour le meilleur, et pour une longue vie maritime, par un cordon de soudure réalisé en place, à l’intérieur du môle Est. Il restera ensuite à poser les chariots moteurs pour permettre à la porte de se fermer ou de s’ouvrir en 6 minutes, à partir du poste de commandement intégré au La manœuvre d’une partie de la porte. plus près, dans le bâti du bout du quai de a porte anti-submersion était Sénac, grâce à la compréhension attendue par une grue de 200 civique de Madame Lefort. tonnes, arrivée la veille pour la Une visite attentive placer dans sa feuillure du môle Est. du Président du Conseil Des manœuvres délicates, départemental bien réalisées Entouré de Lionel Quillet, vice-préIl fallait un vent nul. Le vœu de Didier sident départemental et Président Henry, responsable de l’agence des de la Mission Littoral, du maire de infrastructures départementales La Flotte, Léon Gendre, et de Gisèle d’Echillais, maître d’œuvre du chanVergnon, conseillère départementale, tier, a été exaucé par la météo, au maire de Sainte-Marie, le président rendez-vous du jour J. Le public se Dominique Bussereau a écouté attengroupait rapidement sur les quais tivement la présentation technique

L

Didier Henry présente le chantier à Dominique Bussereau.

4,95 m, sécurisant ainsi le port qui est actuellement à la cote de 4,15 NGF. Manœuvrée par des moteurs hydrauliques, sécurisés par groupes électrogènes autonomes en cas de panne du réseau électrique, la porte dispose aussi d’un système de fermeture de secours manuel par cabestan.

en juin 2016 est dans le viseur.

Le bourg de la Flotte, situé en contrebas du port, sera ainsi entièrement sécurisé par le dispositif anti-submersion comprenant également les parapets littoraux, en bonne voie d’achèvement.

Michel Lardeux

Ré à la Hune recherche un Rédacteur-pigiste

Cette photo est parue dans Les Essentielles de Ré à la Hune n°133.

S’il s’agit bien d’une réalisation de Michel Héraudeau, les plans ont été dessinés par l’Architecte Anne Deniel (Les Portes en Ré).

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co nfi den garan tiali tie té

Dans le cadre de son développement et pour compléter son équipe rédactionnelle, Ré à la Hune recherche un rédacteur-pigiste, toute l’année.

Une bonne connaissance de l’île de Ré du nord au sud, de réelles compétences rédactionnelles et des qualités tout à la fois de curiosité, d’empathie et d’autonomie sont indispensables pour cette fonction rémunérée.

Contact Ré à la Hune : 19 av de Philippsburg - BP 43 – 17410 Saint-Martin de Ré Mobile : 06 71 42 87 88 ou realahune@rheamarketing.fr

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actualité M a n i f e s t a t i o n

f e s t i v e

La Déambulle, une fête de village très réussie Samedi 3 0 avril, la déambulle n’a pas bullé de 1 4 h à 2 3h, sur le square de la commune, pour sa troisième édition.

B

eaucoup d’inquiétude samedi, aux aurores, face aux humeurs de la météo. Mais, il n’en fut rien. A l’heure du déjeuner, le rideau s’est levé pour laisser la place à un soleil complice des festivités, pour le plus grand bonheur de Fanny Lamarche (présidente de l’association des parents d’élèves de l’école de La Couarde), organisatrice de l’animation.

Un éventail d’activités au programme Tout d’abord, « Yo Laflèche » a organisé un spectacle interactif où les enfants jouaient le rôle du dragon, du chevalier qui venait délivrer la princesse en crevant des ballons.

Un village indien a été dressé par les responsables de la bibliothèque du village qui ont lu des contes. Un

F o r m a t i o n

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stand de maquillage de Sabrina de l’ « Onglerie de Saint Martin » proposait ses services. On pouvait admirer la malle à chapeaux. Des mamans tenaient un stand de bonbons et de macarons fabriqués « maison ». Le « manège à légumes » a eu un succès fou, les enfants ont entendu des histoires sur les La Banda Loups. légumes et leurs bienfaits. Le clownrock « Peach » a offert au public un spectacle de magie et l’association de la Couarde « Contemplumes » a convié des volontaires pour s’initier

aux danses artistiques « hip-hop ».

Tout le monde a suivi, dans les rues environnantes, la fanfare du Bois Plage « Banda Loups » qui était accompagnée par les échassiers, « les Tisseurs de brume ».

Une « déambullade » réussie, les participants ont pu assister à différents concerts à partir de 18h30.

Des groupes se sont succédé sur la scène : le « Coin’tet, jazz blues », « Rock’Oon, rock folk » et « Gombo Clubs, black session ».

Lecture de contes dans le jardin.

Un public nombreux, plus de 200 réservations pour le repas de clôture de la fête.

Jacques Buisson

Le manège aux légumes.

Yo Laflèche.

I n s e r t i o n

Les jeunes volontaires en Service Civique reçus par le Préfet Le préfet, Eric Jalon, dans le cadre de la formation civique et citoyenne, a rencontré 26 jeunes volontaires en service civique dans notre département pour leur présenter son rôle et les missions d’un préfet. mission est définie par la constitution : « Mon rôle est de protéger tous nos concitoyens ».

L’ a c t u a l i t é , lui offrait un exemple concret, deux heures plutôt, il avait dû faire preuve de réactivité pour prendre des disAlexandre Magnant directeur DDCS, le préfet Eric Jalon, Meidhi positions opéraVermeulen inspecteur jeunesse et sport, devant les 26 jeunes. tionnelles suite à la secousse siseux formations sont obligamique qui venait de frapper notre toires pour valider le service département. Mais il était surtout civique, cette journée du 28 important pour lui de rencontrer avril à la préfecture de Charenteces 26 volontaires pendant leur parMaritime en faisait partie. Entouré cours civique tant certaines valeurs du directeur de la DDCS 17*, les rassemblent.

Alexandre Magnant, et de Meidhi Des missions d’intérêt général Vermeulen, inspecteur Jeunesse et reconnues prioritaires, telles que la Sport, Eric Jalon a tenu à saluer et culture et loisirs, le développement encourager tous ces jeunes réunis international, l’action humanitaire, dans la salle Jean Moulin. Il leur l’éducation, l’environnement, l’intera rappelé que les préfets sont les vention d’urgence, les mémoires et seuls hauts fonctionnaires dont la citoyenneté, la santé et la solidarité.

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Engagés auprès d’un service public ou d’une association, depuis 2015, ils sont près de 1040 à avoir pu bénéficier du dispositif « service civique » avec plus de 272 missions agréées, ce qui a placé notre département au deuxième rang des plus dynamiques en matière de service civique sur l’ensemble de la nouvelle région Aquitaine Limousin PoitouCharentes. La diversité des thématiques des missions proposées a attiré 56 % de jeunes avec un niveau baccalauréat ou moindre, sur un dispositif qui permet, aux 16/25 ans, diplômés ou non, d’acquérir une expérience professionnelle rémunérée tout en s’engageant dans une mission d’intérêt général pendant 6 à 12 mois.

Thomas, 20 ans en service civique pour une association de solidarité internationale « Avenir en héritage » dans le quartier de Bongraine à La Rochelle affirme : « Le service civique a été la seule opportunité que j’ai trouvé pour sortir de la galère, honnêtement, assure-t-il, ça a changé ma vision des gens et celle sur moi, on fait de bonnes rencontres, on

acquiert des compétences pour enrichir son CV ». Très heureux, il souhaiterait tout de même que la rémunération** soit un peu plus importante pour motiver plus de jeunes.

Julien, 25 ans, termine son service au Club Pongiste Fourasin où il a pu transmettre sa passion pour ce sport. comédien avant tout, il assure que ce service civique a été un bonus pour reprendre la comédie.

La répartition homme / femme est équitable, tous évoquent le même plaisir à gagner en confiance et en expérience. Après un échange de questions auxquelles le préfet a bien voulu répondre, ils se sont tous retrouvés autour d’un buffet offert par leur hôte, une façon conviviale de clôturer cette formation.

Valérie Lambert *Direction Départementale de la Cohésion Sociale. ** Versement d’une indemnité prise en charge par l’état d’un montant de 467,34 euros auquel s’ajoute 106,31 euros versés par la structure d’accueil et une bourse de 106,38 euros versée par l’État pour les bénéficiaires du RSA. Elle ouvre droit à un régime de protection sociale financé par l’État.

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actualité

L’Alcmaria et l’Azuré sont arrivés ! © Outdoo

La primeur rétaise, star de vos repas d’été Une chair délicate au goût raffiné très spécifique, un territoire balayé par les embruns et à l’exceptionnel ensoleillement, un climat doux et une appellation AOP, telles sont les atouts de la pomme de terre rétaise.

L’histoire de cette pomme de terre, bénéficiant d’une appellation protégée depuis 1998, la première décernée à une pomme de terre, est aussi une histoire d’hommes, celle de 35 producteurs passionnés, travaillant 150 ha en rotation sur les 900 délimités en AOP. Son goût inimitable est régulièrement contrôlé par un jury de dégustation officiel et encadré par l’Institut national des appellations d’origine et de qualité. Les Régalades célèbrent l’arrivée de la pomme de terre primeur avec des surprises gourmandes et des balades en vélo à la découverte des producteurs.

Pour conserver leur caractère de primeur, les pommes de terre seront récoltées avant le 31 juillet et possèdent deux variétés précoces. La première Alcmaria est arrivée sur les marchés depuis la mi-avril. Sa chair est fondante et elle est exquise à la vapeur tant elle est goûteuse. Puis, la Charlotte, à la chair jaune et ferme, est présente de mi-mai à la fin juin. Les experts lui trouvent de douces senteurs de légumes printaniers, de beurre, de fruits secs, avec des notes sucrées, parfois salées et une extraordinaire texture fondante.

vignerons rétais et leur permet aujourd’hui de proposer une gamme de vins au plus près de la nature, en adéquation avec l’image environnementale de l’île de Ré. L’Azuré constitue l’aboutissement de cette démarche et de l’avis de tous ceux qui ont déjà pu le déguster, ce rosé obtenu avec un millésime favorable est une réussite gustative !

Nathalie Vauchez

Le conditionnement bleu des pommes de terre AOP.

L’Azuré, un vin rosé issue de la culture biologique Sous la conduite de la cave coopérative Uniré, les Vignerons de l’île de Ré ont lancé en ce début de printemps 2016 leur première cuvée issue de vignobles inscrits dans un processus de conversion vers l’agriculture biologique. Portant le doux et évocateur nom de « L’Azuré », cette nouvelle gamme est cette année proposée en vin rosé, avant d’être développée les saisons prochaines en cépages blanc et rouge.

De la vigne à la bouteille, l’Azuré est élaboré dans le respect de l’environnement rétais afin de préserver la biodiversité et le caractère de nos terroirs. Et quel meilleur symbole pour ce vin que l’Azuré du Serpolet, un papillon qui s’épanouit dans les écosystèmes équilibrés, dont la présence sur l’île de Ré témoigne de ce travail en harmonie avec la nature ?

Préserver et valoriser au mieux leurs terres de culture constitue l’une des priorités des

L’Azuré, vin rosé Bio, a été salué dès son lancement.

cave Coopérative uniré Route de Sainte-Marie - 17580 Le Bois-Plage en Ré - 05 46 09 71 61 www.ilederepommedeterre.com www.vigneronsiledere.com

l’ abus d ’ alcool est dangereux pour la sant é . À consommer avec mod é ration .

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actualité A G d e l’ a s s o c i a t i o n S a i n t - M a r t i n d e R é

d e s

E n t r e p r i s e s

d u

c e n t r e

e x t r a

m ur o s

d e

Ils veulent animer le Village des Salières Sébastien Lamit (Ré Sport), Yvon Logiou (Pressing de l’île) et David Maziller (L’Etoffe Marine), respectivement président, trésorier et secrétaire de l’association, ne manquent pas de bonnes idées pour animer le Village Commercial Les Salières.

C

ett e a s s o ciation dont le but est de favoriser la rencontre et les échanges des entreprises du Village des Salières, de promouvoir les activités et de dynamiser l’image de la zone organise des apéros d’avant et d’après saison, et animations, ainsi que des opérations de communication commune. Dans le cadre d’un partenariat et de la signature d’une Convention avec la CCI, les adhérents disposent de différentes actions de promotion et dynamisation de leurs activités : Charte Qualité Accueil, Ecoute, Conseil, ateliers d’anglais, diagnostic Eclairage,

L i o n s C lu b î l e d e R é

Un succès pour « Tulipes contre le Cancer »

dispositif Alerte Commerces.

Le Village des Salières a vu arriver trois nouveaux magasins : Gathoune Déco, Villa en Ré et Jo La Godasse, tandis que quatre ont déménagé dans la zone : Ci Klop, l’Etoffe Marine, Ile de Résonance, Ré Mobile Emploi, et deux ont quitté la zone (Malbosc encadrement a cessé son activité, Celluchic est parti à Beaulieu).

Le Bureau a proposé aux

adhérents d’organiser dimanche 7 août 2016 une journée videgrenier et concert gratuit, avec buvette-restauration type moules frites et barbecue. Cet évènement étant prévu sur une journée complète, un maximum d’adhérents sont invités à se relayer, avec engagement ferme sur quelques heures de bénévolat (5 le matin, 15 l’après-midi).

L’organisation d’un Loto, à une

autre date, a aussi été évoquée.

Trois groupes de travail ont été créés : Animation commerciale, communication, et gestion.

Nathalie Vauchez

Contacts : Ré Sport (05 46 01 39 02), Pressing de l’île (05 46 09 05 97), l’Etoffe Marine (05 46 09 30 75)

FESTIVAL ARCHITECTURE + PATRIMOINE ILE DE RÉ

PATRIMOINE MILITAIRE

DES FORTERESSES AU MUR DE L’ATLANTIQUE

Mercredi 8 juin

9h-12h : Conférences Du Moyen Âge au siège de l’Ile de Ré. [Saint-Martin-de-Ré] 15h : Visite du Fort La Prée. [La Flotte]

Jeudi 9 juin

9h30-16h : Conférences Fortifier du XVIIe au XIXe siècle.

[Saint-Martin-de-Ré] 17h : Parcours découverte des graffitis [Saint-Martin-de-Ré]

Le président du Lions Club, Christian Bourgne, remercie tous les bénévoles.

U

ne solidarité sans faille a prévalu à cette campagne menée chaque année par le Lions Club île de Ré.

Etalée sur une longue période cette année (5 semaines) à cause d’un temps capricieux, l’opération du Lions Club « Tulipes contre le Cancer », coordonnée par Jean-Louis Neveu, a été un succès, avec environ 55.000 tulipes vendues.

Nombreuses ont été les personnes qui se sont engagées, pour ramasser les tulipes, faire les bouquets, ou encore les vendre sur toute l’île. Beaucoup d’associations locales se sont également mobilisées, ainsi que les communes de la Flotte (site de l’Abbaye), Rivedoux (mobilier), et le BoisPlage (chalets), sans oublier la société Eiffage (algeco).

CB

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Vendredi 10 juin

DU 8 AU 12 JUIN 2016

9h-16h : Conférences Le mur de l’Atlantique. [Saint-Martinde-Ré] 17h : Visite de la batterie de Sablanceaux. [Rivedoux-Plage] 21h30 : Visite poétique des fortifications, à la lueur des bougies. [Saint-Martin-de-Ré]

Samedi 11 juin

14h30 : A vous de jouer !

Après-midi jeux de stratégie, à partir de 6 ans. [Ars-en-Ré] 16h : Visite tout-terrain Découverte de la batterie Herta. [La Couarde-sur-Mer ]

Dimanche 12 juin

15h : Saint-Martin, ville forte...mais pas que ! (visite comique et décalée) [Saint-Martin-de-Ré] 18h : Conférence apéritive. Revivez les moments forts de l’œuvre fortifiée de Vauban. [Les Portes-en-Ré]

Infos et réservations : 05 17 83 20 57 paysarthistoire@cc-iledere.fr

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V i s i t e

d é c o u v e r t e

actualité

« fl a s h »

La Batterie Klara, « une vieille dame de 70 ans » Les visites « découvertes » organisées par la CdC se poursuivent sur le thème, pour 2016, de la défense ; après la défense des côtes, c’était, le 21 avril, la défense militaire avec les vestiges du Mur de l’Atlantique, à la Conche des Baleines. blockaus à gauche, dont l’un encore habité, le plus à l’ouest, et 3 blockaus à droite, dont l’un au-dessous de nous. Plus au loin, à droite, on aperçoit les blockaus de Kouny.

Hélène Gaudin, la conférencière de la CdC rappelle rapidement La Batterie Klara. Les trois blockhaus dont la destruction le contexte de la est prévue à l’automne. seconde guerre mondiale qui a prévalu à l’édine cinquantaine de perfication du Mur de l’Atlantique, sonnes était au rendez-vous, ce projet de construction de au Parking de la Solitude, défenses sur 8000 km du littoral à Saint-Clément des Baleines, atlantique français pour parer pour une visite « Flash »... trente un débarquement allié. Seuls minutes pour présenter la Batterie 4400 km seront effectivement Klara. Le succès de ces visites ne réalisés et les blockaus de l’île de se dément pas puisqu’une bonne Ré qui subsistent faisaient partie cinquantaine d’inscriptions ont de cette infrastructure. Le Mur de été refusées, ce jour-là. l’Atlantique est une opération La municipalité de Saint-Clément gigantesque qui a mobilisé 450 000 avait accepté d’ouvrir, pour cette ouvriers issus des entreprises de visite, la barrière qui interdit, construction réquisitionnées ou depuis quelques mois, cet accès à volontaires, des jeunes de 15 à la Conche pour des raisons de sécu18 ans qui n’avaient pas l’âge rité. Notre groupe s’avance face à d’être enrôlés dans l’armée, pour la mer jusqu’au petit terre-plein qui la plupart. domine la plage et les blockaus : 2

U

A l’île de Ré, les allemands installent quelques 300 casemates

Automne 2016 : la destruction de trois blockaus

Le débarquement des alliés, en Normandie, les 5 et 6 juin 1944 entraînera la défaite allemande et la fin de la guerre ; les blockaus seront désaffectés en 44 et 45. Depuis, les tempêtes ont fait reculer la dune et ces monstres de béton ont glissé sur la plage.

Constituant des obstacles au passage de l’eau, à marée haute, ils favorisent les tourbillons (effet venturi) qui emportent le sable et l’empêchent de se redéposer. Devant ce constat, l’Office National des Forêts, propriétaire, a décidé de La Plage de la Conche et les blockhaus qui participent faire procéder au recul de la dune. à la destrucKlara installée sur la Plage de la tion de trois de ces unités. Une Conche assure la continuité de ce grosse grue viendra s’y attaquer dispositif de surveillance. Les 3 km pour en broyer le béton qui sera de la plage de la Conche peuvent, réutilisé pour la construction de en effet, être un lieu approprié pour la Digue des Doreaux. un débarquement. Klara constitue Ainsi disparaîtront ces témoins de un ensemble de quatre blockhaus la dernière guerre qui portaient, construits sur la dune et quelques pour certains, de magnifiques tags, batteries défensives, situées plus témoins de notre époque. A reteen arrière, dans les dunes. Les blocnir : la CdC prépare, pour le mois kaus abritent une artillerie de côte de juin, une grande manifestation dotée de gros canons d’une portée autour du patrimoine militaire. de 3 km tandis que les batteries Jocelyne Chrétien arrière sont de portée moindre.

Ils construisent de nouveaux édifices défensifs mais ils utilisent aussi les anciennes batteries de côte qui dataient du 18ème siècle.

Le site de Karola, à Ars, est l’avantposte pour la protection de la base navale de La Pallice et la Batterie

Deniel David Maçonnerie

07 80 36 88 57

daviddeniel@laposte.net - Les Portes en Ré

A

vec la complicité de Pascal et Marie Ravigné, ses associés, Jean-Claude Arnaud a créé, il y a de cela 15 ans, sur l’îlot de Saint-Martin, un « Bistrot » devenu un vrai lieu de vie et d’échanges, un « incontournable » de l’île de Ré.

Sa recette : un lieu simple, convivial, à la déco authentique où l’on ne sert que des produits frais, tout juste préparés. L’équipe dirigée par Patrice Podevin sait créer une vraie complicité avec chaque client, toujours accueilli chaleureusement.

Le Chef, Yann Crépin, qui officie depuis 11 ans aux fourneaux, ne propose que du « fait maison » : des plats de poisson bien sûr concoctés tout en finesse, la fameuse côte de bœuf du Bistrot, ses andouillettes ou son tartare, mais aussi ses poissons fumés localement…

Côté desserts, les profiteroles de Yann, élaborées avec des choux fabriqués sur place chaque matin et un mélange de deux chocolats sont à se damner !

La terrasse extérieure chauffée et protégée par un store, baignée de soleil toute la journée à la belle saison, offre une vue imprenable sur le port de Saint-Martin !

Le Bistrot du Marin vous accueille de 8 h à 2 h du matin, sans réservation (fermé le jeudi).

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aasss s oo c icaitai t o inosnàs l a h u n e Agr i cul t ur e -

A G

Af i p a r

ACTUALITÉ

Concertation et mutualisation des compétences Gpour une vision d’avenir L

I L’Afipar (association régionale très active en faveur des territoires ruraux) nous rend visite à l’occasion de son assemblée générale.

PL !

l ’association dont le siège est à Melle symbolisait en organisant cette journée de rencontres vendredi 29 avril à la coopérative du Bois, son partenariat avec les agriculteurs de l’île.

Trèsrecueillis impliquée Propos en Poitou-Charentes mais aussi au par Nathalie Vauchez niveau national par le biais de l’antenne parisienne qui coordonne ses actions, le réseau Afipar forme et accompagne les acteurs du monde agricole dans leurs projets.

Par les nombreuses actions menées pas ses quatre salariés et les membres du bureau, cette structure locale contribue au développement des circuits courts, favorise la création d’activité en milieu rural et porte la parole des paysans auprès des institutionnels.

La première partie de cette réunion fut l’occasion de présenter les différents projets menés cette année en appui au développement d’une agriculture citoyenne. Parmi les axes forts, la création de magasins de producteurs est un levier de valorisation du travail des exploitants locaux. Autre innovation qui s’inscrit dans une économie sociale et solidaire : la mise en œuvre des « champs du partage » créés en

2014, vise entre autres à favoriser l’installation des jeunes dans la filière agricole.

Le GDAD se structure et renforce sa communication Missionnée au printemps 2015 par les élus de la Communauté de Communes de Dolus d’Oléron et également par Le GDAD (Groupement pour le Développement d’une Agriculture Durable) ici, le rapprochement des problématiques agricoles insulaires a conduit l’Afipar à organiser 2 journées de rencontres inter-îles pour créer des espaces de concertation. Une première étape importante dans un processus de mutualisation des savoirs et des initiatives.

S’agissant du partenariat avec l’île de Ré, une première intervention a consisté l’année dernière en une formation de 5 séances auxquelles 12 agriculteurs du GDAD ont participé, visant à structurer un dialogue territorial. Carole Pardell, présidente du GDAD a témoigné : « Ces réunions nous ont permis de nous positionner pour élaborer un discours commun et acquérir une légitimité auprès

d’écopastoralisme sur l’île de Ré est née de ce travail de préparation à la concertation. Intégrer un troupeau itinérant sur ces parcelles délaissées pourrait-être une solution écologique pour les défricher tout en introduisant une production de viande locale en circuit court.

Ce nouveau projet (qui Des moutons dans nos marais comme à Belle île ? devrait dans un premier temps concerner les zones de des élus ». Ces groupes de travail Rivedoux et Sainte-Marie) est ont permis entre autres réflexions actuellement en étude de faisabilité d’identifier comme prioritaire la et de viabilité économique, mais a gestion des friches sur l’île. En reçu un accueil plutôt favorable lors effet, les agriculteurs en quête d’une première réunion en mars d’espace auraient bien besoin dernier avec Gisèle Vergnon. d’occuper ces zones pour revaAprès cette matinée dense et très loriser ces terres abandonnées et constructive, la quarantaine de pour la plupart préemptées par le membres présents s’est retrouvée Département et le Conservatoire autour d’un repas de la mer typidu littoral. quement rétais, avant de visiter le Dans le cadre de la révision du SCoT, magasin de producteurs installé la Communauté de Communes a juste derrière la coopérative Uniré. mis en place un comité des gestion des friches ouvert à plusieurs Marie-Victoire Vergnaud acteurs du territoire (Département, Conservatoire du Littoral, mais GDAD : gdad@gmail.com aussi agriculteurs, chasseurs, assoAFIPAR : www.facebook.com/afiparpc ciations naturalistes…).

O5 49 29 15 96 L’idée de monter un projet pilote

pollutions électromagnétiques de Les pollutionsLes électromagnétiques sont bien réelles ! plus en plus présentes dans nos habitats

• Les micro-ondes émises par boîtier wifi dans la zone de sommeil. les fours, antennes relais, télé• Éliminez les dans matelasnotre à ressorts métalliques Depuis quelques décennies, les équipements électriques environnement phones portables et boîtiers (qui captent et amplifient les ondes), préfése sont multipliés wifi, et intensifiés avec l’apparition des nouvelles technologies, qui ont une fréquence rez des matelas en latex, naturels... comme la wifi, la téléphonie mobile, les antennes relais, et maintenant, les nouveaux plus élevée, perturbent les • Tout mobilier métallique – surtout le lit – doit compteurs intelligents avec le courant porteur (CPL) type Linky. vibrations de nos cellules, et en ligne être mis à la terre. agressent nos glandes endoTous ces champs électromagnétiques sont proximité d’un boîtier wifila dans la zone sommeil.: Dans maison endegénéral crines, ce qui pour les conséomniprésents et polluent de plus en plus - Ealiminez matelas•àLaissez ressorts métalliques (qui captent et amplifient respirer votre organisme. notre environnement quotidien.quence Cette pol-d’effondrer les ondes),notre préférez •des matelas en latex,wifi naturels…

Protections wifi – portable – disjoncteur Éteignez le boîtier la nuit, préférez un système immunitaire. lution électromagnétique invisible est non - Tout mobilier métallique - surtout le lit - doit être mis à la terre (attenréseau câblé (plus efficace) à un réseau sans fil.

Il est mais doncaussi indispensable se protéger. seulement physique, énergé- de tion Ces dernières années, les équipements aux lits réglables avec moteur électrique !).

Pose d’un émetteur d’ondes • Vérifiez bien vos prises de terre. tique ; elle se traduit souvent sur l’individu électriques dansTerres l’habitat la maison naturelles Sens®ont énormément Où sommes-nous le plusDans exposés aux en général : par un stress cellulaire, générant un état - Laissez respirer votre organismeseenprotéger éteignantdes le boîtier évolué, se compteur sont multipliés sur un électriqueet intensifiés avec Comment ondeswifi la nuit champs électromagnétiques ? de fatigueCes insidieux et permanent…

Linky, neutralisant l’effettechnologies. (préférez un réseau électromagnétiques câblé - plus efficace - à un l’apparition des nouvelles ? réseau sans fil).

Dans notre environnement -extérieur : lignes toxique des pollutions viennent s’ajouVérifiez bien l’efficacité de vos prises de terre. champs électromagnétiques Bien sûr, toutes ces pollutions citées aupaélectromagnétiques.

Les principales sources de fréquences haute tension, caténaires (trains), transformater à toutes les autres pollutions environneravant peuvent harmonisées, afin d’en électromagnétiques agressives, sont : public.

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R é à l a h u n e | é d i t i o n d u 3 m a i 2 0 1 6 | N ° 1 3 5 RÉ À LA HUNE | ÉDITION DU 10 SEPTEMBRE 2014 | N° 109

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C o o p é r a t i v e

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La Coopérative des Sauniers sort la tête de l’eau, au prix d’efforts drastiques

Le président, Guy Leprince, a ouvert l’Assemblée Générale en rappelant le contexte difficile de 2014 et les mesures drastiques prise en 2015, qui permettent de présenter un compte de résultat positif (bénéfice net de 49 62 3 € en 2015, contre une perte de - 362 856 € en 201 4), malgré une baisse sensible du chiffre d’affaires (2,78 millions d’€ en 2015 , contre 3,57 millions d’€ en 2014).

Les Sauniers de l’île de Ré ont présenté au Salon de la Gastronomie de La Rochelle, une nouvelle gamme, relookée et colorée.

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n effet, l’exercice 2014 très largement déficitaire et le manque de perspective avec un stock de sel dégradé ont contraint la Coopérative à prendre des mesures économiques pour l’année 2015. « En conséquence, nous avons dû pallier l’absence de direction (suite au licenciement du directeur), réaliser le déménagement de l’entrepôt de La Rochelle, et pour ce faire, réhabiliter le hangar de La Couarde. Le retour à Ars-en-Ré des services administratifs et commerciaux a imposé une nouvelle organisation…

De plus devant la baisse prévisible du chiffre d’affaires liée à l’abandon programmé de certaines enseignes de la grande distribution, nous nous sommes trouvés bien démunis pour faire face, avce un effectif commercial très réduit.

Le seul choix de maîtriser les dépenses pour limiter le déficit a demandé des sacrifices à chacun. Nous vous présentons aujourd’hui un bilan positif et à ce titre, je tiens à remercier l’ensemble du personnel pour les efforts entrepris, et le Conseil d’Administration pour son implication » a expliqué en introduction Guy Leprince.

2015 a été une saison moyenne Avec 1740 tonnes de Gros Sel brut livrés à la Coopérative et 196 tonnes de Fleur de Sel brut, la récolte de 2015 a été une saison moyenne. Sur la période 2000/2015, la production moyenne

a été de 0,542 tonnes par carreau brut. La Coopérative table donc sur 1630 tonnes pour 2016, sur la base de 3010 carreaux. Pour la Fleur de Sel, la période de référence prise en compte est 2008/2015, avec une production moyenne de 11,5 % de la quantité de Gros Sel récolté. Pour une récolte moyenne de 1630 tonnes de Gros Sel, il faut prévoir une moyenne annuelle 2016 de 188 tonnes de Fleur de Sel. Loïc Picart a fait un point sur les activités de l’Association française des producteurs de sel marin de l’Atlantique.

Concernant le projet d’IGP, le cahier des charges a été finalisé et déposé et un plan de contrôles établi avec un organisme certificateur. Ainsi des audits seront menés sur les exploitations cet été, afin de rendre « IGPisable » la récolte 2016 : si l’IGP est obtenue en 2018, les stocks 2016 pourront ainsi être intégrés. Guy Leprince a rappelé que tous les producteurs de l’île de Ré doivent adhérer pour rendre la production 2016 « IGPisable » et ainsi pouvoir vendre le sel sous le nom « île de Ré » et chacun d’entre eux sera audité.

Cette année, l’association reprend l’organisation de la fête du sel qui aura lieu en fin d’année.

Des travaux dans les marais salants largement subventionnés Côté communication et promotion, la CdC a cette année subventionné la participation de la Coopérative à deux salons gastronomiques à La Rochelle et à Bordeaux ; celle-ci a également été présente au marché aux fleurs d’Ars, à Saveurs en Ré (Uniré), aux JEP à Grandville, ainsi qu’au marché de Noël d’Ars, sans oublier les salons professionnels sur lesquels sont présents les salariés. Pour 2016, la Coopérative des Sauniers veut communiquer au plus près des consommateurs, via des articles dans les médias, la refonte des deux Sites en un Site unique, le développement sur les réseaux sociaux, etc.

Côté travaux, l’AEMA assure la maîtrise d’ouvrage déléguée par la Coopérative

dans le cadre des travaux de restauration des marais salants de l’île de Ré.

En 2015, sur les huit dossiers déposés, faisant l’objet d’autorisation et de financements, cinq ont été réalisés, pour 14 612 €. Pour 2016, cinq dossiers ont été déposés pour un montant total de 57 471 € ; deux d’entre eux concernent la réhabilitation d’anciens marais salants abandonnés. Les travaux 2016 seront financés pour 45 % par la CdC, 35 % par le Département, et 20 % par les sauniers exploitants.

Concernant les travaux qui seront réalisés au printemps 2017, afin de déposer les dossiers dans les délais, les sauniers sont invités à déposer leurs demandes à la Coop avant fin septembre 2016.

Les ventes de Fleur de Sel sont tributaires de celles de Gros Sel Gabrielle Cherpentier a ensuite présenté le contexte commercial. Avec 500 tonnes manquant en janvier 2015, la Coopérative a été contrainte de quitter un gros client, avec un impact collatéral de perte de 39 tonnes de Fleur de Sel. Carrefour ayant racheté ED, la MDD (marque de distributeur) DIA s’est arrêtée en juillet 2015. Compte tenu de ce prévisionnel, il a été décidé d’augmenter la tarification des produits vendus sous la marque « Les Sauniers de l’île de Ré ». Passée de près de 2022 tonnes en 2014 à 1529 tonnes en 2015, la perte de production vendue de 496 tonnes a impacté le chiffre d’affaires, en baisse de 948 000 €, soit - 27 %. S’il représente 83 % des volumes, le Gros Sel ne pèse que 38 % dans le chiffre d’affaires, alors qu’a contrario avec 5 % des volumes, la Fleur de Sel représente 38 % de celui-ci.

Il faut en permanence anticiper, avec des processus de décision très longs en grande distribution. Celle-ci n’accepte par ailleurs de référencer la Fleur de Sel (sur laquelle la marge est donc très intéressante) que dans le cadre d’un volume donné de Gros Sel, l’insuffisance de stock pénalise donc fortement et doublement l’activité commerciale.

Un développement commercial contraint aussi par le manque d’effectif Si certains sauniers souhaiteraient que soient développés d’autres réseaux que la grande distribution, la tâche est difficile pour le service commercial, non seulement parce que l’ « ADN commercial de la Coopérative réside dans les grandes surfaces, qui représentent 80 % du chiffre d’affaires », mais aussi par le manque de moyens humains de la Coopérative. La prospection à réaliser serait énorme et hors de portée actuellement compte tenu d’un effectif réduit, tout comme un travail à l’export nécessiterait une compétence spécifique en interne. L’absence de stock obère toute vision de long terme, il faudrait produire plus de Gros Sel pour vendre plus de Fleur de Sel. Pour terminer sur des notes plus positives, la nouvelle charte graphique des produits de la marque « Les Sauniers de l’île de Ré » a largement satisfait les distributeurs interrogés, qui la qualifient de « moderne et qualitative » et côté production un travail de standardisation des modes opératoires porte ses fruits, les pertes du crible sont passées de 2,2 % à 1,1 %, la productivité a sensiblement progressé et la réunification des équipes de La Rochelle et d’Ars a été bénéfique.

Pour 2016, le développement commercial est conditionné à la récolte 2016 ; l’objectif est de stabiliser la situation, de s’adapter aux stocks, et de développer en priorité la marque « Les Sauniers de l’île de Ré ». Pour l’export, la Coopérative se contentera dans l’immédiat de répondre aux commandes. L’accent sera mis sur « vendre mieux » et une réflexion est en cours pour augmenter le prix d’achat de la tonne de Gros Sel aux producteurs.

Reconstituer les stocks de Gros Sel reste une priorité pour 2016.

Nathalie Vauchez

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aasss s oo c icaitai t o inosnàs l a h u n e S o l i d a r i t é

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e n v i r o n n e m e n t

« Demain en mains » : l’éco-partage pour lutter contre le gaspillage L’association rivedousaise, qui recycle et met en valeur ce que vous apportez, propose un lieu convivial d’échange, de partage et de solidarité.

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es locaux de « Demain en mains » situés au 133 de la rue Gustave Perreau, sur le port de Rivedoux accueillait en ce mercredi après-midi de nombreux visiteurs, à la recherche d’un vêtement d’occasion, de linge de maison, de jouets, de petits meubles, d’objets déco, de livres...

Une fréquentation en progression constante Bernadette Prieur, la présidente, et les bénévoles très actives, constatent à chaque permanence du mercredi de 13 h à 18 h, que le bouche à oreille fait la réputation de l’association et du lieu, de plus en plus fréquenté. Dans la grande maison claire et ouverte à tous, mise à disposition par la municipalité de Rivedoux, les visiteurs se pressent autour des portants pour choisir des vêtements, les essayer et les acheter en acquittant 3 euros d’adhésion pour l’année,

S p o r t

e t

à un prix d’achat à leurs pieds, des allant de 1 à 3 euros, sacs... C’est ouvert selon le vêtement. à tous ! Les vêteL’ambiance est gaie ments non retenus dans toute la maison pour la vente sont où le rayon vêtement recyclés en sousoccupe les pièces du produits d’isolation rez-de-chaussée. ou de garnissage Au premier étage, via une entreprise sont agréablement spécialisée ». présentés les vêteLe succès ments d’enfants, grandissant les objets déco, les livres, qui inté- Le Logo dessiné par l’association. de l’éco-partage et de la lutte ressent les visiteurs. anti-gaspillage ! « Tous nos vêtements sont triés, Entourée de Marie- Laure Colnot, valorisés, repassés, en très bon Nadège Groseiller, Brigitte Boutet, état » dit Bernadette. Chemises, Céline Leprince, Sylvie Mediana, robes, pantalons, blousons, manMireille Perrollaz, Joëlle Meder, teaux, chaussures... pour homme, Marie-Claude Echard... Bernadette femme, ou enfant... les familles qui Prieur animera le 4 mai 2016 à soutiennent l’idée du recyclage ou 18 h dans les locaux, la première celles qui ne peuvent consacrer assemblée générale de l’association qu’un petit budget à l’habillement ouverte le 8 octobre 2014. Un beau de la famille, trouvent ici ce qu’il parcours déjà pour ces bénévoles leur faut, et aussi des chaussures

très actifs et une association forte de 380 adhérents à ce jour, qui s’autofinance, et va présenter un rapport d’activité très satisfaisant.

Et les idées ne manquent pour développer les échanges et le partage autour de son cœur d’activité : échange de savoirs et de services, mais aussi animation d’ateliers de relooking de petits meubles ou de customisation de vêtements, dont les premières sessions ont connus un succès encourageant.

En conjuguant, avec bonheur et générosité, protection de l’environnement et action sociale, « Demain en mains » démontre que le « mieux vivre ensemble » dans un esprit de développement durable et d’action citoyenne n’est pas une utopie. Il suffit de vouloir s’en donner la peine et de se discipliner. Ne jetez pas : il n’y pas besoin d’adhésion pour donner vos vêtements, chaussures et petits objets... en bon état.

Michel Lardeux

h u m a n i t a i r e

Un challenge sportif pour lutter contre la faim dans le monde Action contre la Faim organise le 20 mai à 17h30, au parc Franck Delmas à La Rochelle, un challenge sportif qui permet de réunir des dons pour financer la lutte contre la faim. Une rétaise pilote l’opération.

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oëlle Pelosse, une maritaise, anime la délégation départementale de l’ONG : « Notre délégation a eu l’honneur d’être retenue cette année pour organiser à La Rochelle le challenge sportif qui permet de récolter des dons effectués par des entreprises qui inscrivent des équipes au challenge. 12 % de la population mondiale, soient 850 millions d’adultes et d’enfants, souffrent de sous-nutrition. La sous-alimentation fait de nombreuses victimes. Les progrès effectués ces dernières années restent insuffisants et il nous faut des moyens pour mettre en place de nombreuses actions. L’Asie du Sud est la première région la plus touchée avec l’Afrique (sources FAO).

C’est un combat quotidien pour sauver des vies par la prévention, la détection, le traitement de la sous-nutrition, permettre l’accès à l’eau potable, à des pratiques d’hygiène et aux infrastructures d’assainissement ».

Organisation humanitaire créée en 1979, ACF est intervenue en 2014 dans 46 pays, aidant près de 13,6 millions de personnes. En intégrant ses programmes dans les

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de don forfaitaire, et lorsque un(e) participant(e) effectue un tour de 1 km de course ou marche, ou 6 minutes de Zumba, un don de 15 euros est versé à ACF par l’entreprise sponsor de l’équipe participante.

Les concurrents au départ de l’édition 2015.

Pendant 1 h 30, systèmes régionaux et nationaux, plus on courrera, marchera au Action contre la Faim s’assure que dansera, et plus les dons seront les interventions à court terme élevés. Pour chaque tour de parc deviennent des solutions à long effectué ou 6 minutes de Zumba, terme. le don de 15 euros de don permet à 10 enfants sous-nutris de bénéfi« Challenge contre la faim », cier de médicaments nécessaires à pour récolter les dons leur traitement nutritionnel. Pour des entreprises U 12 tours de parc ou 72 minutes de Zumba, c’est un don de 180 Les entreprises, dont la plupart euros qui permet à 12 personnes sont partenaires de l’Atlantique Stade Rochelais, se mobilisent de bénéficier d’un kit d’urgence et fédèrent les salariés en particomprenant un seau, une coucipant à cet évènement sportif verture, une bâche plastique, des et solidaire unique. Les salariés ustensiles de cuisine et du savon. défendent les couleurs de l’entre60 % du montant du don est prise et soutiennent une grande déductible de l’impôt sur les sociécause humanitaire. Chaque inscriptés dans la limite de 5 pour mille tion individuelle apporte 10 euros du chiffre d’affaires HT. Chaque

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euro collecté est intégralement reversé à Action contre la Faim. En 2015, le Challenge contre la Faim a réuni dans six villes de France, près de 170 entreprises et 5 500 salariés. Ensemble, ils ont permis de collecter plus de 900 000 € pour Action contre la Faim.

En 2016, ACF affectera 75 % des dons nets issus du Challenge contre la Faim à ses programmes à Madagascar et Djibouti. 25 % seront affectés aux urgences et besoins rencontrés sur le terrain.

Les entreprises rétaises sont les bienvenues !

Michel Lardeux

Renseignement et inscriptions auprès de : Joëlle Pelosse, déléguée départementale de Charente-Maritime Tel : 06 09 25 74 77 Ils courreront pour aider Haïti Pour la 4 ème année consécutive, en ouverture de cet évènement, le 20 mai à 9 h au Parc Franck Delmas à La Rochelle, les élèves des collèges de Missy et Fénelon effectueront une « course contre la faim » pour valider des promesses de dons.

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l ’ ADEPI R

« L’avenir des pêcheries passe par une professionnalisation des équipes d’intervention » L’Association de défense des écluses à poissons de l’île de Ré, qui fêtera ses 20 ans cet été, se porte bien, mais a besoin de renforcer ses équipes de bénévoles, pourquoi pas par des contrats aidés ? La piste a été lancée lors de l’AG qui s’est tenue le 30 avril.

Lionel Quillet et Gisèle Vergnon, au côté de Dominique Chevillon (en rouge).

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n présence de plus de la moitié de ses 134 adhérents, ainsi que de Gisèle Vergnon, maire de SainteMarie et de Lionel Quillet, président de la Communauté de Communes, Dominique Chevillon, actuel président de l’Adépir, a évoqué la bonne santé financière de l’association, aidée par ses partenaires que sont la CdC, le Crédit Agricole, et cette année la Maaf qui a financé le calendrier des écluses.

Il a remercié aussi les chefs d’écluses et l’ensemble des co-détenteurs, sans le savoir faire et l’implication desquels rien ne serait possible.

Des satisfactions et des sujets d’inquiétude « Le contexte actuel appelle toutefois à une grande vigilance », a-t-il expliqué, « les modes de vie, les contraintes, les engagements ont évolué » et il devient difficile de maintenir ce patrimoine rétais exceptionnel sur la seule base du bénévolat.

Il est cependant encourageant de relever que les 14 écluses à poissons en activité de l’île de Ré sont toujours détenues par des Rétais, contrairement aux 14 écluses de l’île d’Oléron qui ont échappé aux Oléronais et sont désormais détenues par des membres de Rochefort, Surgères, La Rochelle…

Autre point d’attention, les co-détenteurs prennent de l’âge et l’Adépir risque de perdre une partie des savoirs et savoir-faire des bâtisseurs d’écluses. Un travail de conservation de la mémoire, confié à Jacques Boucard dans le cadre de l’Université

du Littoral, devra permettre de garder les traces des techniques et des savoirs. Inhérent à ce vieillissement, le second enjeu que doit relever l’Adépir est d’attirer des jeunes et de les former.

Un vibrant hommage a été rendu à Lucien Joubert, fondateur de l’Adépir, disparu cette année, avec une minute d’applaudissements nourris. « C’était un sacré client, comme on dit ici, et un patron pêcheur respecté et apprécié de tous » a souligné Dominique Chevillon.

Gisèle Vergnon a rappelé que la mairie de Sainte-Marie soutient activement l’Adépir, via l’Ancre Maritaise créée il y a 8 ans, qui participe largement à l’inforrmation et la communication autour des écluses, avec notamment de nombreuses visites organisées sous son égide et une exposition. Elle a émis le souhait qu’un diplôme consacrant le savoirfaire des bâtisseurs d’écluses, tout comme pour les murs en moellon chers à Sainte-Marie, puisse être créé.

La CdC est prête à accompagner l’Adépir dans la professionnalisation des équipes d’intervention Lionel Quillet s’est engagé à aider l’Adépir à faire reconnaître beaucoup plus encore ce patrimoine vivant que représentent les écluses auprès des Ministères. Soulignant le dynamisme des bénévoles de l’Adépir, il a aussi relevé la fragilité d’un système qui ne repose que sur la motivation humaine. Confirmant le rôle de protection des côtes rempli par les écluses, qui avait été souligné par Marinette, adhérente, rôle non reconnu par l’Etat, il a aussi enfoncé le clou en annonçant que l’on serait de plus en plus confrontés à des évènements climatiques qui « tabasseront » les écluses, comme Moufette l’a été. Il a aussi lancé l’idée qui consisterait à professionnaliser les interventions sur les écluses, avec une brigade de 2 ou 3 personnes qui

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viendraient en renfort et au secours des bénévoles. « La CdC finance à hauteur d’environ 13 000 € l’Adépir, elle pourrait mettre beaucoup plus au nom de sa protection des côtes, pour laquelle elle dépense par ailleurs des dizaines de millions d’€, mais à quoi cela servirait-il s’il n’y avait plus de bras ? Nous pourrions aider l’Adépir pour le financement de contrats de six mois… Cela changerait certes l’âme de l’Adépir, mais l’île de Ré en créant le métier de bâtisseur / réparateur d’écluses serait précurseur, il faut s’en donner les moyens ». La perche ainsi lancée n’a pas paru incongrue aux adhérents, si l’on en croit les applaudissements.

Le rapport d’activité de l’association a ensuite permis de mettre en évidence la consolidation des relations avec les Affaires Maritimes et avec les partenaires, le succès des visites d’écluses et la réussite du calendrier des marées qui présentait en photos les 14 écluses rétaises, dont 380 exemplaires ont été vendus, soit l’intégralité de l’édition.

Un projet de recueil de la mémoire des savoirs et savoir-faire des bâtisseurs de pêcheries Jacques Boucard, qui a fait une thèse sur les écluses, connu pour sa rigueur scientifique et historique et sa méthodologie, a présenté le projet dont il a la charge dans le cadre de l’Université Populaire du Littoral Charentais, mise en place au lendemain de Xynthia.

Celle-ci a pour objectif de faire cohabiter des gens qui ont une expertise avec des citoyens qui ont, eux, une expérience de terrain. Cette structure est en capacité de recueillir des témoignages, de les valoriser puis de les restituer. L’un des grands projets de l’Adépir étant de reconstruire une écluse et à cette occasion de recueillir les savoirs et savoir-faire autour de la construction des pêcheries, afin d’en avoir une bonne vision. Les techniques sont en effet extrêmement

compliquées, elles évoluent au fil du temps et du retour d’expérience, mais aussi en fonction des moyens modernes utilisés.

Un reportage vidéo sera fait, l’un de quelques minutes pour présenter une opération de construction, l’autre de 30 minutes utile pour former les gens et servir de référence. L’objectif est de conserver les savoirs.

Lilian Nadaud, nommé responsable des travaux pour l’Adépir, a présenté les différents travaux menés en 2015 sur les écluses de la Foirouse (Ars), de la Paillarde (Ste Marie), de la Providence (Les Portes) sans oublier Moufette (St Clément). Début 2016, des travaux ont été entrepris à la Brizère et à Belle Pointe. Ceux-ci sont souvent réalisés avec les professionnels de l’AEMA, toujours en parfaite concertation avec les chefs d’écluses qui ont la connaissance du terrain.

Ces travaux ne remplacent pas la surveillance opérée au quotidien par les co-détenteurs.

Le trésorier, Michel Gallot, a présenté des comptes 2015 et un prévisionnel 2016 à l’équilibre avant que ne soient votés à l’unanimité le renouvellement de quatre membres : Michel Druon, Michel Gallot, Michel Fiquet et Maddy Glejean, ainsi que l’entrée de Marcel Moa (La Chiouze aux Portes).

Dominique Chevillon était ainsi heureux d’annoncer que c’est historiquement la première fois que toutes les communes ayant des écluses sont désormais représentées au conseil d’administration de l’Adépir.

Nathalie Vauchez

Au secours de Moufette Michel Martin a invité tous les adhérents et bénévoles qu’ils soient Villageois, Rétais et de plus loin, à participer à une réunion prévue le 11 mai à 18 h à la salle des fêtes de Saint-Clément dont l’objectif sera de définir comment réparer les dommages importants subis par L’écluse Moufette (lire Ré à la Hune 134) sur 350 mètres, ce qui représente environ 4000 heures de travail.

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P o p ul a i r e

F r a n ç a i s

Des vacances pour tous !

Du 27 avril au 1er mai, le village océanique, situé au Bois-plage, a accueilli 400 vacanciers, venus de plusieurs départements de la région parisienne, à l’initiative du Secours populaire français. « Les vacances, ça n’est pas du luxe : c’est un droit ».

Il a ensuite cédé la parole à Julien Lauprêtre, président national de l’association. Ce dernier a déclaré, avec une certaine émotion, qu’il avait passé ses premières vacances en 1936, sur l’île de Ré, dans une colonie de La Couarde. La première fois qu’il voyait la mer…

Jean-Louis Roland, debout et à sa droite Julien Lauprêtre.

A

cette occasion, Jean-Louis Roland, responsable de la section de Charente-Maritime du SPF, est intervenu dans les locaux du village océanique pour présenter l’importance des actions menées en faveur du tourisme populaire.

A s s e m b l é e

Une date anniversaire 1936-2016 : 80 ans après la loi sur les congés payés, un enfant sur trois ne part toujours pas en vacances.

L’objectif du Secours populaire est bien d’intensifier le combat sur le mot d’ordre : des vacances pour tous ! Julien Lauprêtre a insisté, tout au long de son discours, sur

la nécessité du droit au repos, au dépaysement. « Tout ce qui est humain est nôtre » a-t-il déclaré sous les applaudissements du public, qui a pu visionner un court film de présentation du DVD (d’une durée de 50 minutes) réalisé par Laurence Karsznia et Mourad Laffite qui porte le titre de l’entête de notre article.

Jean-Pierre Gaillard, maire du BoisPlage, Lionel Quillet, président de la Communauté de Communes, et Olivier Falorni, député, étaient présents et sont intervenus pour féliciter le combat et les initiatives du Secours Populaire. Un verre de l’amitié a clôturé la séance.

Pour Julien Lauprêtre, la générosité est une action, un mode de vie.

Cet homme au glorieux passé n’a rien perdu de ses convictions, il s’efforce de les faire partager. Enfant de cheminot, il s’engage très jeune dans la Résistance. Capturé par la Gestapo, à Paris, il passe 5 mois dans les geôles tenues par l’occupant.

Il rencontre certains membres du Groupe Manouchian qui seront tous exécutés plus tard par les nazis. A la libération, Julien conserve la même ardeur du combat et participe à la création du Secours Populaire Français, dont il est président depuis 1955.

Jacques Buisson

G é n é r a l e

Radio Soleil de Ré La Rochelle : un bilan positif

La radio « made in Ré » va pouvoir souffler (la dernière échéance du plan de redressement est le 15 mai), et pourquoi pas étendre son auditoire depuis que le CSA a autorisé la nouvelle appellation Soleil de Ré La Rochelle.

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Richard et Sylvie Adaridi.

’autant que les ondes, à présent émises du château d’eau aux Evières, permettent désormais de couvrir des Portes jusqu’à La Tranche sur Mer. Pour la première fois depuis cinq ans l’association affiche un bilan positif avec un résultat net engageant malgré 110 000€ de remboursement en six ans ! Ceci notamment grâce à la gestion drastique de Patrick Noirez, saluée en préambule par Sylvie Adaridi, présidente de l’association. Parmi les bonnes nouvelles, la Communauté de Communes soutient, de façon plus appuyée, ce vecteur de communication locale.

Les membres présents le 28 avril salle des Eridolles au Bois étaient donc plutôt confiants, les obstacles sont maintenant dans le rétroviseur et les projets peuvent germer. Christopher Peuple qui animait « toute l’île en parle » ayant convolé avec Radio Mademoiselle, la programmation évolue et plein de nouvelles idées fusent. Il reste d’ailleurs de la place pour deux chroniqueurs « ascendants nature et environnement »…

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De nouvelles rubriques et de nouvelles énergies pour une Ré Volution !

s’émancipe et devient un canal de diffusion auquel nous sommes tous invités à participer…

Encore un jeu de mots sur Ré ?

C ’est pas moi, c’est Richard Adaridi qui l’a dit ! L’accro du micro qui traînait en studio du temps des premières radio libres s’est montré très motivé. Le vieux routard Bruno Hittler est fidèle dans le poste et continue le 5/9 après que sa vrombissante moto ait réveillé tout le village de Loix.

Daisy enchantera encore nos plats avec ses conseils de nutrition, tandis que l’aiguisé Pierre Leclerc apportera son point de vue critique et pertinent. Les rubriques d’Alain Renaldini (professeur et par ailleurs président de la Verdinière) seront toujours teintées de curiosité, mais bien d’autres nouveautés vont accompagner cet élan.

La case « Zoom Actu » le samedi à 11 heures (en séance de rattrapage le dimanche à 19 heures) devient « Si on en parlait ». Ce rendez-vous d’actualité guidé par Catherine Salez (notre Kathleen Evin locale) se modernise et s’ouvre au débat avec plusieurs intervenants, acteurs de la vie rétaise.

Enfin, la radio poursuit sa couverture sport, après le rugby, le foot et le tennis avec Roland Garros devraient faire leur entrée au programme… Et puis la préservation de l’environnement tient à cœur de tous les membres (touchés notamment par la disparition de l’ânesse Sirène de Régis Léau) qui souhaiteraient voir les touristes sensibilisés à notre spécificité insulaire. À quand les infos ? La radio

Marie-Victoire Vergnaud

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n at u r e Pr o j e t s

p é d a g o g i q u e s

A Loix, l’esprit « Citta-slow » concerne aussi les jeunes « Si la douceur de vivre était un pays, ce serait certainement l’île de Ré », déclarait récemment un journaliste de la presse télévisée en présentant son documentaire. La petite presqu’île de l’île illustre à merveille cette citation. diversifiée : haricots, radis, fraises, courgettes, potirons, concombres, petits pois, pommes de terre, fèves, tomates, des fleurs, des plantes aromatiques et même… des cacahuètes !

Les enfants se rendent à pied dans leur jardin. Ils n’oublient pas d’adresser, au passage, un petit « coucou » à leurs amies : la chèvre « Blanchette », « Clochette » la vache ainsi qu’à son petit veau qu’ils ont baptisés « Fleur ».

Les petits dans le potager…

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epuis deux ans, le village de Loix s’est doté du label « Citta-slow ». Ce label n’est pas mis, uniquement, en avant lorsqu’il y a une fête ou une animation dans la commune. Il symbolise un comportement vécu au quotidien par l’ensemble des habitants. On prend le temps de vivre en observant les règles de la convivialité et du « bien-être ».

Les « tout-petits » témoignent de cet état d’esprit à leur manière.

Ils vivent tout près de la nature, ils observent, écoutent, commentent, sous l’initiative habile, réfléchie et mesurée de leur maîtresse Christelle Houin. Depuis quelques temps, les jeunes élèves se rendent régulièrement devant l’hôtel des insectes (fabriqué bénévolement par Yannick, des services techniques de la mairie), installé au cœur de la cour de récréation depuis le printemps dernier. On attend le réveil de la nature : l’arrivée des gendarmes, des coccinelles, des araignées (bien que ces dernières ne soient pas des insectes), de quelques abeilles et d’autres « petites bêtes »…

D’autre part, les jeunes élèves de l’école maternelle travaillent avec leurs camarades du groupe scolaire René Brunet à Ars, dans le cadre du projet d’école élaboré en commun par les enseignants. Cette année, le thème est « la forêt ». Une sortie a déjà été effectuée dans la forêt de la « Combe à l’eau ». Les plus grands ont fait des activités encadrées par les éco-gardes, les plus petits ont fait de la découverte sensorielle et se sont lancés dans des compositions « land-art » avec de la mousse, des branches, des pommes de pin. Une seconde sortie est prévue dans le bois Henri IV, avec la LPO.

Les petits de maternelle ont des grands-frères et des grandes-sœurs qui ont aussi des contacts permanents avec la nature, avec leur environnement. Ils fréquentent régulièrement l’estran, ils pratiquent la pêche à pied (une tradition

transmise par leurs parents et grands-parents). En 2013, la municipalité a acheté un marais (appelé « marais pédagogique ») dans le but de sensibiliser les jeunes à son histoire, son utilité, son importance pour la vie du village. Une réunion a été organisée en présence des enfants en posant la question : « que voulez-vous élever dans cet espace ? », ils ont répondu : « des crevettes ». Tous les ans, au mois de mai, la mairie prend l’initiative de « verser » des petites crevettes qui grandiront et seront pêchées au mois d’octobre. Durant toute la période, les enfants, à tour de rôle et selon un planning bien établi, vont nettoyer les pièges à crabes (principaux prédateurs de l’élevage).

Jacques Buisson

Clochette, née en Vendée, est devenue loidaise au mois de mars 2013. Mais, comme une vache n’aime pas la solitude, Florence Breuilh et son époux, Jacques (vétérinaire à Saint-Martin), ont offert une petite chèvre prénommée Coquette (de l’élevage de Catherine et Richard Lefort de Loix) afin de lui tenir compagnie. Le 5 octobre dernier, « Clochette » a donné naissance à « Fleur » (née le jour de la sainte Fleur). Les trois pensionnaires de la prairie attirent l’attention des touristes qui, de la piste cyclable, marquent des pauses pour les admirer et en profitent pour prendre des photos.

Un autre centre d’intérêt : le potager A l’exception de la période hivernale, tous les vendredis (de 10h à 11h30), les élèves se rendent au potager de l’école, situé à l’extérieur du village. Ils retrouvent François et Gérard de l’association des « Jardiniers de l’île de Ré » qui expliquent comment semer, planter, entretenir la « pousse ».

Cette année, la récolte sera très

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La vache Clochette, son veau Fleur et la biquette Coquette.

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les essentielles - bien-être / beauté

A l’approche de la saison estivale, chacun a envie de se sentir mieux dans son corps, de bouger au grand air et de profiter du soleil. Perdre les kilos de l’hiver, gagner en tonicité, se faire un teint de pêche et se parer de jolis accessoires, nécessitent souvent l’accompagnement de professionnels de la remise en forme, du bien-être et de la beauté. Ré à la Hune vous présente une sélection de centres, instituts, magasins, qui sont des valeurs sûres de l’île de Ré.

Loix & Savons joue la carte du terroir rétais

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© Incognito

arie-Paule et Jean-Pierre Paullet ont repris il y a trois ans la savonnerie artisanale de Ré, à Loix, rebaptisée Loix & Savons. Ils ont ouvert ce printemps un Institut de Beauté et une boutique à Saint-Martin de Ré.

Bien décidés à perpétuer la tradition en travaillant avec les produits du terroir, les savons au lait des ânesses de Régis Léau ayant été longtemps leur produit phare, ils développent désormais des partenariats avec plusieurs producteurs locaux.

De nouveaux produits et fragrances, issus du terroir rétais Ayant la chance de bénéficier à plein temps des compétences de Marie-Paule, Ingénieur chimiste et parfumeur, Loix & Savons innove sans cesse en termes de matières premières et de fragrances.

Ainsi, au côté des savons au lait d’ânesse qui contiennent désormais un conservateur naturel, ce qui conforte l’authenticité du produit, a été lancée l’an passé

rétais. « Le savon des lavandières », contient de la saponaire, plante de prédilection des lavandières d’autrefois grâce à sa substance très active et néanmoins naturelle, la saponine, idéal pour laver et détacher le linge.

Le savon de rasage au lait d’ânesse enrichi en beurre de karité et huile d’amandes douces, qui évite le feu du rasage, fait lui aussi un tabac. L’un des derniers nés, Les savons au lait d’ânesse de l’île de Ré. le savon à la salicorne de Ré, gorgée de minéraux et d’oligo-éléments, associée à l’huile une gamme de pétales de savons d’amande douce et au beurre de dont les fragrances élégantes et karité, exfolie tout en douceur les raffinées plaisent énormément. peaux les plus sensibles.

Les savons à l’huile d’olive de Loix Les nouveaux parfums nés de la produite par le Moulin du Puits créativité de Marie-Paule : violette, Salé, au miel bio fabriqué par fleur d’orchidée, citrus bergamote, l’Abeille de Ré, ou encore au lait coquelicot ou encore thym sont un de chèvre de la Chèvrerie Lefort enchantement des sens, tandis que les sont issus de rencontres locales hommes ne sont pas oubliés avec une entre producteurs du terroir. fragrance agrume boisée : « orange L’entreprise propose sans cesse de épicée », nouveauté 2016, devrait nouveaux produits, fragrances et rencontrer autant de succès que contenants, bien décidée à exploiter « poudre d’amour » lancé en 2015. positivement la richesse du terroir

« L & S », une gamme de soins et un Institut de beauté Loin de se reposer sur ses lauriers, Loix & Savons a lancé une gamme complète de cosmétiques et soins au lait d’ânesse produit exclusivement par l’élevage de Régis Léau sur l’île de Ré, baptisée « L & S » et a ouvert un institut de beauté. Situé à l’emplacement de l’ancien institut Passion Beauté, L & S Institut dispense à partir de ce mois de mai des soins complets au lait d’ânesse, et prévoit d’élargir cette saison son offre…

Après avoir découvert les savons et la gamme de soins cosmétiques dans l’atelier-boutique de Loix et l’institut-boutique de Saint-Martin, vous pouvez désormais commander l’ensemble des produits sur www.savonneriedere.fr

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les essentielles - bien-être / beauté

L’institut de Beauté Carole innove !

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La cabine privée de Waterbike.

nstallée depuis de nombreuses années à Loix, bien connue des Rétais pour son professionnalisme, Carole Bonnet a récemment aménagé une cabine privée de waterbike, grande nouveauté sur l’île de Ré.

Le Waterbike est une nouvelle pratique innovante dérivée de l’aquabike, appelé plus communément vélo aquatique. Cette nouvelle activité est totalement individuelle contrairement à l’aquabiking qui se déroule en cours collectifs.

Tandis que les cours collectifs, se font à des horaires pré-définis,

la souplesse de cette prestation individuelle fait que vous pouvez maintenant pratiquer cette activité à votre rythme, quand vous le souhaitez.

Elle se déroule en institut de Beauté sur rendez-vous en cabine privative ! Les utilisateurs pourront apprécier l’aspect hygiénique de cette activité. L’eau est renouvelée après chaque séance.

Waterbike est un procédé 3 en 1, car il associe le bienfait de l’eau, l’effort musculaire et l’hydro-massage provoqué par des remous tel qu’un jacuzzi. Cette pratique est ouverte à tout public. Quel que soit votre âge, ou votre condition physique, vous pourrez bénéficier des bienfaits de l’exercice : réduction de la peau d’orange, amincissement, renforcement musculaire ou cardio-vasculaire, diminution de la sensation de « jambes lourdes ».

En une séance de Waterbike près de 300 à 500 calories sont brûlées, ce qui équivaut à 1h de sport. Vous êtes les bienvenues pour expérimenter le Concept Waterbike.

Institut de Beauté Carole 28 chemin du Corps de Garde Loix Tél : 05 46 29 04 52

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Spa Océan, un voyage de beauté et de détente

S

pa Océan, espace de beauté et de bien-être de 300 m2, vous ouvre les portes d’un monde de détente, de douceur et de raffinement.

Modelages seul ou en duo, soins du corps et du visage, épilation, soins de beauté des mains et des pieds sont tous assurés par des esthéticiennes diplômées. Une fois par semaine, un ostéopathe et un coiffeur viennent compléter ces prestations dédiées au bienêtre et à la beauté. La gamme de soins proposée est très large, et les marques utilisées sélectionnées pour la qualité de leurs produits : Yonka pour les soins du visage, Equatoria pour les soins du corps.

La seule appellation des soins du corps invite au voyage et au dépaysement : « Croisière bien-être en Polynésie » ou encore « Croisière Créole », « Cérémonie des mille et une nuits », « Rite du Hammam », sans oublier la « Célébration Impériale Japonaise ».

Le Spa Océan dispose bien sûr d’un hammam, d’un sauna et d’un jacuzzi, ainsi que d’une salle de tisanerie, mais également de trois

salles privatives à l’équipement de balnéothérapie individuelle haut de gamme « SOMETHY » : « Thalia », le bain hydro massant ; « Biostart », la bulle de vapeur et lit d’affusion ; « Plénitude », le

Le bain hydro massant.

lit d’eau chaude : allongé sur un matelas d’eau chaude, laissez-vous bercer par les remous des vagues !

Ouvert à tous, tous les jours sauf le mardi de début avril à fin septembre, de 10h-13h et 15h-19h. En juillet août, ouvert tous les jours de 10h-13h et 15h-20h.

Camping de l’Océan 50, route d’Ars - La Couarde sur Mer Tél : 05 46 29 19 33 www.spa-ile-de-re.com

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les essentielles - bien-être / beauté

Vacances à la mer, la boutique qui a du sens Les sacs et accessoires en toile marine d’Esprit Voile, les bijoux fantaisie en céramique, résine, ou encore en cuir de Baïn Création, les objets en découpe Inox de Ré-Créa, les pochettes rangeécouteurs d’Ofyl, les lampes à poser colorées et design d’atelier CZ… sont joliment présentés Un magasin lumineux qui met en avant le « Fabriqué local ». dans cette boutique ès que vous en franchissez lumineuse à tous points de vue. l’entrée, cette boutique saiAnnick Delalleau, une « figure » de sonnière du design local, l’île de Ré, vous y accueille avec son a un tas d’histoires à raconter. bagou et sa générosité bien connus Partie prenante du « Fabriqué en des Rétais ; une raison de plus de France », elle met en avant les venir découvrir Vacances à la Mer, produits de six artisans de l’île de qui entame sa seconde saison.

Ré et de La Rochelle. Venez-vous faire agréablement surprendre par Village Artisanal de Loix ce magasin « différent », niché au cœur de la zone artisanale de Loix, Tél : 06 47 90 79 65 et qui vous donnera envie de voir Facebook /vacancesalamer17 la vie sous un autre jour.

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AquaRé, un centre de bien-être

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ace au stade de Saint-Martin qui sera très fréquenté à l’heure de l’Euro 2016 - le centre aquatique de l’île de Ré, outre ses trois bassins chauffés à 28, 29 et 30°C, et son toboggan, propose son espace bien-être, composé d’un sauna, d’un hammam, et d’un spa à 34°C. Côté activités, AquaRé a encore élargi son offre : outre les cours d’aquagym (sans réservation), d’aquacyling (plusieurs cours et horaires), et d’aquapalm (le mercredi, depuis septembre), une nouveauté vous attend à partir de fin mai : l’aquastep.

L’aquastep, ou travail sur une marche (le step est déjà connu en salle de remise en forme), qui se pratique en eau peu profonde, permet de travailler la musculature des cuisses, des abdos, des fessiers pendant 3/4 heure. Le step est une plateforme posée au fond de la piscine, comme une marche d’escalier, autour de laquelle vous faites des mouvements : monter, descendre, sauter d’un côté, de l’autre, etc. Il s’agit d’enchainer des combinaisons

Une nouveauté à partir de fin mai, l’aquastep.

de pas et exercices rythmés, sur de la musique et sous la direction d’un maître-nageur.

L’espace bien-être, qui se niche à proximité du moyen bassin, est très apprécié tant par les nageurs après l’effort, que par ceux qui veulent se détendre et se ressourcer. Il est accessible grâce à un badge, ce qui garantit calme et détente.

Aquaré Chemin du Vieux Marais Saint-Martin de Ré Tél : 05 46 66 10 95

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Village artisanal - Loix en Ré 06 47 90 79 65 /vacancesalamer17

Relook form lance le biking C hristophe Caillavet, responsable du centre de remise en forme de La Flotte, vient de créer une salle dédiée au biking et propose six séances par semaines, animées par les différents coaches sportifs.

Des cours très rythmés, à l’intensité modulable par chacun

Véritable « brûleur de calories » le biking (ou RPM) est un cours de cyclisme indoor, qui consiste en l’utilisation de vélos fixes en salle, et en groupe, le tout en musique. Les exercices proposés sont basés sur la résistance cardio respiratoire et le travail musculaire (essentiellement le bas du corps). Les intensités peuvent être modulées par chacun. Cette discipline est très efficace en guise d’entraînement, pour préparer une sortie à vélo ou une randonnée, mais aussi pour perdre rapidement du poids.

L’entraînement consiste à pédaler en rythme, sur des musiques stimulantes, qui cadencent l’intensité de l’effort. Le travail se base sur différentes positions et rythmes de travail. Vous enchaînez des phases d’accélération (sprint) pendant lesquelles la fréquence cardiaque augmente, et des phases de récupération active.

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Perdre du poids à coup sûr et sculpter son corps

Que ce soit pour entretenir sa santé cardio-vasculaire, se défouler, perdre du poids, sculpter son corps, les bienfaits du biking sont multiples. Il constitue un moyen infaillible de perdre du poids, en un minimum de temps. En effet, il mixe travail musculaire et travail respiratoire, les deux composantes indispensables pour maigrir. L’intensité des exercices proposés et la durée des efforts entraînent des dépenses caloriques importantes (comptez en moyenne 700 calories par séance, en fonction de votre poids et de votre niveau… mais aussi de votre engagement !). Le biking ne fait pas seulement perdre du poids, il est aussi bon pour tonifier le bas du corps, jambes, fessiers, tout en préservant vos articulations. Cerise sur le gâteau, c’est l’activité à pratiquer pour se sentir bien dans son corps, car vous libérez

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un maximum d’endorphines, dites « hormones du bonheur ».

Bien évidemment, pour profiter des bienfaits du biking, vous devrez pratiquer ce cours 2 fois par semaine, au minimum. Le cours ne comporte aucun mouvement technique ni de difficulté motrice particulière. Il ne cause aucun impact au niveau ostéo articulaire et pour cela, il est accessible même aux personnes qui ont un dos fragile.

Séances : lundi à 19h30, mercredi à 9h30 et 18h30, jeudi à 17h30, vendredi à 18h30, samedi à 12h30.

Tarifs : une séance 10€, carte de 10 séances 85€. Sur réservation. 29 rue des Bois - La Flotte

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Une déferlante d’artistes s’apprête à hisser la grand voile de la note Bleue Bonner qui lancera les festivités.

Richard Galliano emporteront le public par la complicité de leur jeu.

Un programme dense et varié

Des stars confirmées mais aussi des talents prometteurs

Pour le centenaire de la naissance de Frank Sinatra en 2015, Walter Ricci, extraordinaire jeune chanteur italien Alerte et agile : c’est Michel Legrand jeudi 18 août à 22h. et le saxophoniste David Sauzay ont conçu « Nice & Easy, A tribute to ean Chavinier et Jean-Michel Proust les organisateurs de cet Frank » : un répertoire où figurent événement devenu culte pour les chansons les plus célèbres du les amoureux du swing nous procrooner, ainsi que d’autres titres mettent cette année encore des moins connus qu’ils ont eu à cœur moments inoubliables tant la prode mettre en lumière. Tous deux grammation est riche. se produiront mardi 16 août, juste avant Lisa Simone, fille de l’aduAuteur de mélodies éternelles, on lée diva de la soul. a l’impression qu’aucune discipline Après un parcours musicale ne résiste à cet homme de singulier (elle comla chanson et du cinéma. Michel mence sa carrière Legrand est l’un des rares artistes professionnelle dans français à émouvoir dans le monde l’armée et rejoint l’US entier. Le compositeur au sourire Air Force à 18 ans), radieux revisitera ses standards la chanteuse ose se jeudi 18 août dans le cadre hors norme de la grande scène du libérer de l’ombre de Phare. Son amie la québécoise Terez sa mère à cinquante Montcalm accompagnera de sa voix ans pour jouer sa suave et puissante les variations de propre partition. Elle ce génie du piano pour un concert nous enchantera de tout en complicité. sa formidable présence sur scène, Parmi les surprises que nous réserve faite de fougue, de sensualité et la grande scène, le spectaculaire de subtilité. Le concert du 17 au Stanley Clarke viendra électriser le soir sera également un temps festival, dès la première soirée lundi fort du festival avec un trio de vir15, avec sa basse avec laquelle il tuoses qui viendra rappeler que le marie à la perfection l’énergie rock, jazz est avant tout une histoire de la virtuosité jazz et l’âme funk. En rencontres. Les prestigieux Didier préambule et comme une tradition porte-bonheur, c’est Patricia Lockwood, Philip Catherine et

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Comme aime à le revendiquer l’équipe organisatrice de ces quatre jours d’exception, les nombreux sites proposés sont l’occasion d’écouter des vedettes internationales mais aussi de découvrir d’autres noms qui vous enthousiasmeront.

Chez Marie et Au café du Phare, le Fred Nardin Trio ou le jeune prodige de la guitare Tom Ibarra (il n’a que 16 ans) sont à découvrir absolument ! Les plus noctambules migreront vers le Top on The Green (la scène du théâtre de la verdure) où les excellents DJ du Wrecka Spinnazz Club ambianceront toutes les nuits du festival en mode électro funk.

On trouve aussi des pépites au Théâtre de la Verdure à l’occasion du concours des jeunes talents chaque matin à 11 heures. C ’est d’ailleurs grâce au Tremplin de l’année dernière qu’on a pu remarquer Tom Ibarra (La SACEM ne s’y est pas trompée et l’a déjà récompensé deux fois) que tous les festivals se disputent désormais.

Enfin, les plus petits ne seront pas en reste puisqu’ils pourront se trémousser dans la salle du restaurant Au Gré du Vent sur les rythmes de

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Amoureux du jazz, larguez les amarres pour 4 jours de tempo au Phare des Baleines, le Capitaine de cette 7 ème édition est un monument de la musique !

La basse claque avec Stanley Clarke !

Lundi 15 sur la grande scène.

« Belle de swing » le spectacle de la star préférée des enfants, Donin.

Marie-Victoire Vergnaud

Le festival en chiffres : 15 000 visiteurs / 40 concerts gratuits et 12 payants / 103 musiciens 8 scènes / Une équipe organisatrice de 80 bénévoles.

Du 15 au 18 août 2016 au Phare des Baleines.

www.jazzauphare.com La billetterie est ouverte depuis le 27 avril Et pour les accros : le pass 3 ou 4 jours pour la grande scène (de 95 à 132€)

S a i n t - M a r t i n

De beaux rendez-vous pour les « Accros d’Arts » © Pierre Nadler

La salle des fêtes de la mairie accueillera 18 artisans d’art le week-end de Pentecôte. Et toujours cet été « les jeudis des peintres » à Saint-Martin et « les toiles du Soir » tous les vendredis à La Flotte.

Découvrir le travail des artisans d’art.

D

epuis presque vingt ans l’association Accros d’Arts présidée par Emmanuelle Brunner, participe à la promotion des métiers d’art grâce à l’organisation d’expositions-vente de créations contemporaines.

Les métiers d’art à l’honneur Avec la conjoncture et la difficulté des artisans à vivre de leur métier, les trois évènements annuels proposés

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par Accros d’Arts mettent en lumière leur travail et la qualité de leurs créations et tissent un lien avec tous ces métiers de tradition.

Tout au long de l’année les membres de l’association dénichent des coups de cœur à nous faire partager. Les Journées Européennes des Métiers d’art du début du mois d’avril ont d’ailleurs été l’occasion pour Emmanuelle Brunner de sillonner toute la région, car c’est pour elle une véritable passion.

Les métiers qui seront représentés sont variés : des céramistes, des sculpteurs, une brodeuse, un tourneur sur bois, une modiste. La maroquinerie, le cartonnage, la création textile ou l’art floral seront également mis à l’honneur. Certains ateliers seront même proposés. Aussi, les 14 et 15 mai, ouvrez les portes

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d’un univers particulier et allez à la rencontre d’hommes et de femmes au savoir faire d’exception, toujours prêts à présenter leurs œuvres avec enthousiasme.

Flâneries et rencontres avec des artistes

Comme un air de Montmartre les jeudis d’été à Saint-Martin.

À partir du 30 juin les flâneries dans les ruelles de Saint-Martin mériteront une halte sur le parvis de l’église

tous les jeudis. Photographes, peintres et sculpteurs y seront réunis jusqu’en septembre, pour une journée hebdomadaire de convivialité dans une ambiance paisible et détendue avec les artistes.

L’été à La Flotte sera encore une fois bien animé le soir ! Dès le 2 juillet c’est dans l’écrin du marché médiéval que les peintres, pour la plupart professionnels, exposeront tous les vendredis de 17 à 23 heures.

Voir les toiles en famille au détour d’une promenade à la tombée du soir, profiter d’une lumière différente (les stands sont éclairés) pour admirer des paysages d’ici ou d’ailleurs et échanger avec les peintres, le concept a déjà rencontré son public l’année dernière alors qu’il venait d’être lancé !

Marie-Victoire Vergnaud

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zap’arts G a l e r i e

d ’ a r t

Poésie et magie à la Galerie Glineur La galerie de Saint-Martin nous invite à découvrir début mai l’univers de Sepulveda, un artiste au talent convoité.

I El plantador Peinture 116 x 89

G a l e r i e G l i n e u r

GALERIE GLINEUR

Place de l’Eglise - 17410 Saint Martin de ré Tél : 05 46 09 10 90 - Port. : 06 80 43 70 63 email:galerie.glineur@neuf.fr s i t e : w w w . g a l e r i e g l i n e u r. c o m

05 46 30 29 29 - www.iro-imprimeur.com - Réalisation respectueuse de l’environnement.

Couverture : Maestro y aprendiz, Peinture - 108 x 85 - Réalisation et impression

Dessin -1, Papier - 46 x 33

l est rare que Martine fantasmagorique, et Patrick Glineur emprunt de la accueillent un nouveau mythologie sudvenu dans cette belle maiaméricaine. Ses son ancienne située sur toiles sont d’une les hauteurs de Saintpuissance onirique fascinante, Martin, face à l’église.

Fidèles à une quinzaine une invitation à d’artistes permanents qui plonger dans des produisent régulièrement scènes fantastiques pour eux des collections où l’homme est inédites, ne reste dans appelé à retrouver SEPULVEDA la vaste pièce lumineuse son essence natuque la possibilité d’un Francisco Sepulveda, relle. « Je fais un véritable coup de cœur ! une exposition exceptionnelle. véritable travail Voici trois ans que le d’introspection qui couple convoite le talent de Francisco me demande quotidiennement de Sepulveda, un peintre chilien de plus m’envoler pour visiter mes peurs en plus sollicité en France et dans le ou mes hallucinations célestes » monde. Il en faut plus pour découdit l’artiste. Des bêtes, des arbres, rager les Glineur, glaneurs d’émotion des figures mi-homme mi-animal et jongleurs de talents… Après de se fondent sur des aplats de couleurs nombreux échanges fortes pour former les agendas se croisent un ensemble qui enfin et les dernières tout à la fois fait œuvres de cet artiste appel à l’instinct et à la douceur du envoûtant pourront nous être présentées à vagabondage de partir du week-end de l’esprit. Le peintre, l’ascension et jusqu’au qui ne joue pas la 17 mai. carte mercantile de l’art « comptant Né en 1977 à Santiago, Francisco Sepulveda pour rien » se fait rare pour conser(il vit actuellement ver sa liberté, une au Mozambique) a beaucoup voyagé et Les toiles de Sepulveda allient exposition excepcultive un imaginaire douceur et puissance. tionnelle donc !

Los secretos del cuervo Peinture

Francisco

162 x 130

Galerie Glineur Exposition 2016

GALERIE GLINEUR

Et toujours les nouvelles collections des artistes permanents Connaissez-vous les machines à rêves de Yannis Lagresle ? Cet inventeur redonne vie à des objets rares en créant des véhicules improbables supposés propulser les « Yayas » dans une aventure qu’il vous appartient d’écrire pour eux… Le duo Cherif et Géza est toujours présent avec la série « l’esprit du mur » prétexte à détourner les affiches publicitaires pour questionner le monde contemporain. Ce travail à quatre mains à la fois drôle et corrosif, donne à voir des compositions qui infusent le sentiment dans l’espace urbain.

Elles semblent écorchées, éraflées, presque arrachées... Les sculptures de Michel Wohlfahrt portent pourtant la marque de sa fantaisie et de son humour grinçant. Quant au sémillant Gordon Hopkins, il ne reste que quelques toiles de sa très vitaminique dernière collection !

Bien d’autres réjouissances méritent une pause de curiosité à la galerie Glineur où Martine et Patrick vous recevront en toute convivialité, simplement animés du goût de l’art.

Parmi les surprises à venir, un autre duo fera son entrée au catalogue début juillet. La Ville Bleue est une ville imaginée par Carole Sionnet et Pier Gajewski. L’un croque,

04/04/16 15:18

Il y a toujours un chien errant dans les toiles de Cherif et Géza… Saurez-vous le trouver ?

l’autre photographie. Ensemble ils ont conçu un espace libre, une ville internationale dont le plan s’agrandit au gré de leurs voyages. Émotions capturées, l’une avec un appareil l’autre avec un carnet, à la rencontre des cultures et croisées pour un dialogue sans frontières.

Marie-Victoire Vergnaud

Vernissage vendredi 6 mai en présence de Francisco Sepulveda, à partir de 18 heures.

Galerie Glineur

Place de l’Église - Saint-Martin-de-Ré Tél. : 05 46 09 10 90 Port. : 06 80 43 70 63

www.galerieglineur.com

Café « LES MOUETTES » à La Couarde

du nouveau dans la galerie

Martine et Patrick Glineur ont le plaisir de vous inviter

28 grande rue 17670 La Couarde - Réservation obligatoire au

05 46 29 90 30

le vendredi 6 mai à partir de 18h au vernissage de l’exposition

Francisco SEPULVEDA

En présence de l’artiste Exposition du 6 mai au 17 mai 2016

Galerie Glineur

Place de l’Eglise - 17410 St Martin de Ré - Tél : 05 46 09 10 90 - Port. : 06 80 43 70 63 email : galerie.glineur@neuf.fr - site : www.galerieglineur.com

R é à l a h u n e | é d i t i o n d u 3 m a i 2 0 1 6 | N ° 1 3 5

itué à100 m des plus belles plages de l’Ile de Ré, Cap O Sud vous accueille dans une

ambiance décontractée. En terrasse au bord de la piscine, vous pouvez prendre un verre ou vous restaurez midi et soir. En juillet/août, le repas du midi inclut l’accès à la piscine. Salades, moules, pizzas, poissons et viandes à la plancha, glaces et desserts maison vous attendent.

Réservation conseillée en saison. Tickets restaurant et chèques vacances acceptés. Ouvert d’avril à septembre.

66 av. du Pas des Bœufs, 17580 LE BOIS PLAGE EN RE. Tél : 05 46 09 99 66 Suivez l’actualité de l’île de Ré sur realahune.fr

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sports à la hune T o ur n o i

d e

rug b y

i n t e r - é c o l e s

s ur

l’ î l e

d e

Sport, pédagogie et esprit d’équipe

R é

La 3ème édition du Challenge Bernard Gonthier de balle ovale se déroulera le 20 mai au stade Bel Air de La Flotte.

En plus d’initier au jeu de la balle ovale ce tournoi permet de rassembler les différentes écoles de l’île et de les fédérer autour d’un esprit solidaire et sportif.

Cette année le tournoi se déroulera le 20 mai au stade Bel Air de La Flotte ; il évolue et se renouvelle.

L’école de Saint-Clément intègre cette nouvelle édition et vient compléter l’effectif déjà important de cinq écoles : la Flotte, Sainte-Marie, Rivedoux, La Couarde et SaintMartin, soit près de 300 enfants de 8 à 10 ans.

2016 marquant l’entrée du rugby à

Josette Gonthier et Arlette Pay, dont les époux furent à l’origine du rugby sur Ré, entourent Bernard Gonthier.

7 aux JO, les organisateurs en ont fait le thème du tournoi. Chaque équipe se verra attribuer un pays et le représentera lors de la cérémonie d’ouverture.

Le thème de l’olympisme permet aux enseignants de travailler différentes disciplines autour des pays, des valeurs morales du sport, et de l’esprit d’équipe.

Ce rassemblement répond aussi à certains objectifs de la Fédération Française de Rugby qui préconise le développement et la valorisation de la pratique du rugby en milieu scolaire, tout en favorisant des

C

et évènement sportif est issu d’une très belle initiative de Laurent Bénard, enseignant à Saint-Martin, et Olivier Friloux, enseignant à Rivedoux, qui l’ont lancé en novembre 2013 en partenariat avec l’USEP (Union Sportive de l’Enseignement du Premier degré) et le SCR (Sporting Club Rétais).

Chaque école travaille en amont sur le thème du rugby et se prépare techniquement pour s’affronter par équipe lors du challenge qui se déroule toute une journée.

D é f i

V a u b a n

moments d’échanges et de convivialité pour les enfants et les adultes qui les encadrent, tels que enseignants, bénévoles et partenaires.

Nathalie Vauchez

Déroulement de la journée : 9h : arrivées des écoles, briefing général 9h20 : cérémonie d’ouverture et défilé des participants 10h : début des épreuves (1 ère phase de poules) 12h : pause déjeuner : pique-nique pour les enfants, buffet apéritif pour l’encadrement 12h30 : reprise des épreuves (2 ème phase de poules) 14h30 : fin des épreuves et remise des récompenses 15h : goûter et retour aux écoles

La pédagogie dans le sport

L e

Le rugby, un sport mixte.

Le Trophée des Cours Moyens de Rivedoux, en 2013.

-

S a i n t - M a r t i n

d e

R é

En famille ou entre amis, partez à l’aventure !

Pour découvrir ou redécouvrir le village de Saint-Martin, de façon tout à la fois ludique et sportive, la Mairie organise la 6ème édition de Défi Vauban, le 22 mai.

L

es équipes de deux à quatre concurrents, sportifs ou non (à partir de 7 ans), partiront à la chasse aux « Vaubans », en participant à quatre ateliers : une course d’orientation dans la ville fortifiée, un duathlon, vélo et disc golf, un parcours aventure - pont de singe, tyrolienne dans les douves, et filet à grimper dans un lieu surprise - et un tir à la Sarbacane.

Elles devront faire preuve de concentration, d’observation, de réflexion, d’adresse, de courage et de solidarité !

Chaque équipe est obligatoirement composée, au minimum, d’un adulte à l’exception des jeunes de 16 ans, dans l’année civile, qui peuvent se lancer seuls dans l’aventure.

L’an passé, 78 personnes réparties en 25 équipes s’étaient donné rendez-vous pour partir à la chasse aux « Vaubans ».

L’Ufolep et la Communauté de Communes de l’île de Ré participent

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Tyrolienne dans les remparts !

au côté de la Commune à l’organisation de cet évènement original.

CP

Contact : Inscriptions et renseignements auprès de Guillaume Cudennec, Mairie de Saint-Martin de Ré : 05 46 09 38 93 ou g.cudennec@saint-martin-de-re.fr www.saint-martin-de-re.fr Inscription = 5€/participant L’inscription ne sera validée qu’après réception de la fiche d’inscription accompagnée du règlement en Mairie de Saint-Martin de Ré avant le 19 mai 2016.

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ils bougent !

E n t r e p r i s e

r é t a i s e

Esprit du Sel renforce sa présence internationale et locale Depuis plus de deux ans, Esprit du Sel a mis en œuvre une démarche d’amélioration continue, avec pour objectif d’être au plus proche des consommateurs et leur offrir le meilleur du savoir-faire salicole rétais.

L

’Entreprise rétaise indépendante multiplie les initiatives et renforce sa présence sur les salons internationaux.

Garrett MacDonald, manager export d’Esprit du Sel, au Salon de San Francisco.

Une présence soutenue sur les salons à l’international et en France Dès le mois de janvier 2016, le sel marin et la fleur de sel d’Esprit du Sel étaient présentés lors d’un salon gastronomique à San Francisco.

Ce Salon majeur aux USA a battu cette année un record d’affluence avec plus de 20 000 visiteurs, professionnels de la gastronomie. Une occasion unique de mettre en avant l’île de Ré et ses trésors. Au mois d’avril, dans le même esprit, les

Ou v e r t ur e

d e

équipes Esprit du Sel exposaient au SIAL de Montréal, une occasion de rencontrer plus de 15 000 visiteurs professionnels qui ont grandement apprécié la très haute qualité gastronomique du sel marin et de la fleur de sel rétaise.

Les mois à venir seront encore riches en actualité pour Esprit du Sel, avec un salon à Dublin, réunissant de nombreux chefs restaurateurs inspirés par la gastronomie française. Esprit du Sel est le fournisseur officiel et exclusif de sel marin et fleur de Sel de l’événement. Suivra également une forte présence à New-York lors d’un salon agroalimentaire. Enfin, Esprit du Sel sera le partenaire exclusif de sel marin et de fleur de sel du salon « Journées de l’alimentation et de la Santé » pour faire valoir les nombreux avantages santé de ses produits.

En France, plus de 30 partenariats avec des chefs étoilés ou meilleurs ouvriers de France se sont mis en place, valorisant la haute qualité des produits proposés par Esprit du Sel. Une nouvelle boutique à La Flotte Sur l’île de Ré, Esprit du Sel travaille avec des partenaires très fidèles, qui accompagnent et soutiennent son développement. L’Entreprise a ouvert, le 25 mars dernier, une nouvelle boutique très

bien située, juste à la sortie du marché de La Flotte.

Sur plus de 50 m2, dans un espace authentique et lumineux, sont joliment présentées toutes les gammes alimentaires d’Esprit du Sel : sels, fleur de sel, sels et aromates, caramels à la fleur de sel ou aromatisés au pineau, au miel ou encore à la salicorne, sablés « Le Bisou de Ré » à la fleur de sel, coffrets Toutes les gammes de gros sel et de fleur de sel. et paniers cadeaux…

Un beau corner est réservé à la nombreux produits locaux, fabrigamme cosmétique et de soins Bio qués par des Rétais, soutenant Salines, lancée l’an passé, qui comainsi la promotion des produits du prend une dizaine de références terroir : Bonfitures, confitures et pour les femmes et trois pour les gelées, épicerie fine, vins de l’île de hommes.

Ré, salicorne, pâtés fins…

Esprit du Sel y propose aussi de Angélique et Annick vous y accueillent toute la semaine, avec l’enthousiasme qui règne dans cette Entreprise jeune et dynamique, porteuse d’une histoire, celle des marais salants, et d’un savoir-faire local, celui des sauniers de l’île de Ré.

Nathalie Vauchez

Esprit du Sel

Esprit du Sel soutient des producteurs locaux.

22 rue du marché – La Flotte Ouverte du lundi au dimanche, de 10h à 13h et de 14h30 à 19h (en continu de 10h à 19h pendant l’été).

m a g a s i n

Couleurs des Thés, pour les amateurs de thés et de douceurs

Bien connue des Rétais, Bérengère Boury vient d’ouvrir un magasin de thés et épicerie fine à La Flotte, à l’emplacement de l’ancienne mercerie tenue par sa grand-mère, à deux pas du port. idéalement située à côté de la librairie du Port, presqu’en face de l’Institut de beauté de sa sœur A Fleur de Peau.

Une gamme de thés Betjeman & Barton judicieusement choisie Elle compte bien rester ouverte à l’année, afin de faire bénéficier les Rétais, Bérengère propose une soixantaine de variétés de thés. comme les vacanciers, de sa gamme de thés Betjeman & ongtemps ATSEM à l’école Barton. Ces « marchands de thé privée Sainte-Catherine de La à Paris depuis 1919 » - aux destiFlotte, où elle a elle-même suivi nées desquelles président désortoute sa scolarité, Bérengère est mais quatre femmes - ont donné aussi connue des petits et grands ses lettres de noblesse au thé « à la Rétais pour son implication bénéfrançaise » et trouvent les meilleurs vole au sein du Foyer du Bois-Plage, thés issus des plus grands jardins et où elle dispense chaque vendredi plantations du monde. Sans jamais des cours de danse très appréciés renier la tradition séculaire, elles par les enfants. ont ajouté à l’excellence, une oriSon projet, qu’elle a mûri pendant ginalité qui se déploie en touches un an, vient de se concrétiser avec gourmandes, feutrées, joyeuses, l’ouverture lors des vacances de curieuses, audacieuses… pour offrir Pâques de cette jolie boutique,

L

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le meilleur aux amoureux du thé. A des prix raisonnables, oscillant entre 5 et 12 € les 100 grammes.

Ainsi Bérengère propose une large gamme composée d’une soixantaine de thés noirs et verts, en vrac et en sachets. Les clients peuvent en découvrir les parfums grâce à des échantillons « Sentez-moi » qui les guident efficacement dans leur choix, ou encore déguster dans le petit espace « salon de thé » aménagé au fond de la boutique le thé choisi, accompagné de petites pâtisseries succulentes fabriquées artisanalement par autrement Cake.

Vous pourrez aussi trouver des tisanes bio (en vrac, en sachets ou liquides), les préparations de Marlette, des cafés, des sirops de fruits, des pâtes à tartiner sans huile de palme, du chocolat, sans

oublier les bonbons bio ! Pendant la saison estivale, un comptoir de vente à emporter, donnant directement sur la rue (à droite du magasin) proposera aussi gâteaux et douceurs aux passants.

En attendant, n’hésitez pas à pousser la porte de ce magasin, dont les délicieuses odeurs de thés parfumés vous envelopperont dès l’entrée, tout comme le sourire et la convivialité de Bérengère.

Nathalie Vauchez

De nombreux produits d’épicerie fine.

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ils bougent !

E d i t i o n

Coup de cœur pour les Chasseurs de Cœurs !

Ils sont amoureux depuis 15 ans et continuent de se le prouver de la plus délicate des façons.

J

ulie est réalisatrice, Thibault, auteur-compositeur. Ensemble, ils signent JT à quoi ils ajoutent un M. Le couple qui s’est rencontré à Paris où ils ont vécu jusqu’en 2011, ne fait rien l’un sans l’autre.

Tous deux co-écrivent actuellement le prochain long-métrage de Julie qu’elle tournera au printemps 2017 avec Fanny Ardant et Alice Pol.

en forme de cœur sur un trottoir parisien. Elle le capture immédiatement dans son téléphone pour l’envoyer à son chéri, qui à son tour lui rend la pareille quelques jours plus tard, tandis qu’un papier piétiné sous la pluie lui donne le plus beau des messages. Comme un jeu, les deux se transforment progressivement en chasseurs de cœurs qui, l’œil aiguisé, nourrissent une correspondance romantique et secrète.

Cailloux, nuages, reflets : « il y a des cœurs partout pour qui veut bien les voir », pourrait-on dire en copiant Matisse.

Jusqu’à ce qu’ils osent à l’occasion d’un dîner s’épancher sur cette coutume amoureuse presque devenue lubie auprès de leurs amis !

Loin de provoquer les moqueries attendues, le concept suscite l’engouement des copains qui suggèrent de faire un livre de cette foisonnante collection.

Un projet devenu collectif

Heureux reflet

L’histoire commence alors que Julie, qui laisse ses yeux flâner partout (est-ce un réflexe professionnel ?) remarque des petits morceaux de plastiques naturellement disposés

De l’idée d’un livre est né petit à petit un projet collectif et participatif.

Après qu’une maison d’édition réputée qui convoitait le livre se soit désistée à la suite d’un partenariat à l’international avorté, le couple a choisi de porter l’aventure et de la décliner sur des supports multiples ;

sera invité à rejoindre le club des Chasseurs de Cœurs, grâce au grand « mur de l’amour » du site internet et à l’application mobile ; pour « dire à ceux qu’on aime, qu’on les aime » disent-ils en cœur, certains que cette énergie positive devrait-être virale.

Ils ont besoin de nous pour soutenir ce concept « made in Ré »

À la croisée des chemins.

de sorte que tous (les proches sont déjà contaminés), puissent capturer un cœur offert en surprise…

Il y aura donc un livre (les cœurs ne sont jamais touchés, les photos jamais retouchées) de photos choisies parmi les 1500 qu’ils ont butinées, toutes prises dans l’île de Ré où ils vivent depuis cinq ans et avec un téléphone portable, pour se les envoyer dans l’instant.

Celui-ci devrait nous être présenté en avant première en juin à l’occasion de nombreuses dédicaces. Des expositions seront également programmées, mais surtout chacun

Contraints de créer leur propre maison d’édition, Julie et Thibault sont passés par la case crowdfunding pour financer la réalisation de ce qui est en passe de devenir un mouvement. Une page Facebook existe d’ores et déjà, le site internet sera bientôt en ligne, mais le couple n’a réuni que 55% des fonds nécessaires au lancement de l’opération. Or il ne reste que dix jours pour participer à la collecte qui prend fin le 13 mai, aussi Rétais hauts les cœurs ! Entrez dans la ronde de l’amour, si le cœur vous en dit…

Marie-Victoire Vergnaud

www.kisskissbankbank.com :

chasseurs de cœurs dans l’onglet recherche (Dans le cas où l’objectif ne serait pas atteint, chacun sera remboursé et le projet ne se fera pas).

R e s t a ur a n t

Nouveau concept à « La Plage » à Sablanceaux C’est la première ou la dernière image qu’on a de l’île selon qu’on la rejoint ou la quitte… Le restaurant fait peau neuve pour être le point de rencontre de ce flux estival.

O

n se demandait ce qu’allait devenir le très convoité « La Plage », tant le potentiel de ce restaurant à l’écart des habitations est énorme et le cadre dépaysant. Idéalement situé sur la plage sud de Rivedoux au pied du pont « La Plage » est l’endroit parfait pour réunir Rochelais, Rétais ou vacanciers les pieds dans le sable.

Si le lieu reste dans le même esprit, convivial et sans prétention, un air de fête y soufflera au gré des nombreuses animations qui y seront proposées, puisées dans l’inspiration des deux nouveaux

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gérants Jean-Michel Ledey et Gilles Aubin. Ces deux amis qui ont en commun la passion de la musique comptent bien faire entrer le tempo dans l’établissement réaménagé pour l’occasion.

Des travaux et une nouvelle équipe Coté déco, l’esprit reste authentique et simple, mais la vaste salle face à la mer s’est dotée d’un parquet et se prolonge sur une magnifique terrasse elle aussi en bois.

Sur la plage, un bar a été installé ainsi que des bancs et petites tables pour créer un espace apéro. Apéropétanque ? Un terrain de boules a aussi été réalisé. Derrière le Détente absolue. comptoir, c’est une pro qui confectionnera les cocktails, tandis qu’en cuisine on retrouve Jérémie Boucard, qui officiait au « Grand Large » et au « M ». Au menu, des huîtres, des moules et des plancha majoritairement de

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poisson, en tous cas des produits frais et de saison ! La carte s’étoffe aussi d’une belle cave avec un large choix de vins.

Le lieu est grand et il n’y aura pas moins de trois, voire quatre nouveaux venus pour assurer les 120 couverts par service.

Des soirées à thèmes

Les nouveaux gérants du restaurant La Plage, Jean-Michel Ledey et Gilles Aubin.

Jean-Michel et Gilles fourmillent d’idées pour que vive cet espace exceptionnellement bien situé et que La Plage devienne un lieu de rencontres. Plusieurs évènements par semaine seront programmés tout au long de l’été. Des soirées tapas, des concerts, des cours de danse… Le très apprécié Achile Dinga (il a créé à Rivedoux le festival Swob, de son vrai nom Salsa West On Beach qui cartonne depuis cinq ans et fait vibrer tout le village au mois d’août) vous initiera à la sensualité de la salsa.

Il y aura aussi des rencontres culturelles. Parmi les bonnes surprises

un « bar à langues » sera proposé.

L’idée ? Réunir des gens qui ne se connaissent pas autour de la pratique d’une langue en commun, un concept qui devrait rencontrer son public !

Pour déjeuner, dîner, prendre un goûter après la baignade en famille ou l’apéro au coucher du soleil entre amis : ça commence dimanche 8 mai !

Marie-Victoire Vergnaud

La Plage : sur le plage de Sablanceaux à Rivedoux Tel : 05 46 09 58 12 Inauguration prévue en juin.

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ils bougent !

M a i s o n

d u

Pl a t i n

« Quand le p’tit train parcourait l’île de Ré »

Mes artisans électricité générale AJB ÉLEC Jean-Baptiste Martin 8 bis impasse de la brise de mer 17580 LE BOIS PLAGE EN RÉ ajbelec@yahoo.fr www.ajbelec.fr 06 66 12 99 21

Cette nouvelle exposition, dont l’inauguration a lieu ce mercredi 4 mai à 18h30, s’intéresse au développement du chemin de fer en France et notamment sur l’île de Ré.

E

lle réactive l’histoire du train P. 6 qui a circulé sur l’île de ré de 1877 à 1926. Si les touristes et même les Rétais n’ont pas connaissance de ce réseau ferroviaire qui a aujourd’hui disparu, c’est sur ce tracé que beaucoup de pistes cylcables se sont développées.

L’exposition est composée de grands panneaux explicatifs, mais aussi de pièces, d’objets évoquant ce train, le fameux « Tortillard », et son réseau. Plusieurs maquettes sont également présentées.

Les visiteurs sont plongés dans le paysage rétais du 19ème siècle. Les infrastructures des chemins de fer de cette époque diffèrent énormément de celles que nous connaissons actuellement. Elle s’intéresse également au matériel roulant utilisé sur l’île. En 1904, le réseau compte 5 locomotives, dont 3 spécifiques à l’île de Ré. Une machine légère a en effet été imaginée pour s’adapter au trafic de l’île. Chaque voiture, peinte en brun, transporte jusqu’à 36 voyageurs. Les wagons transportant les marchandises sont quant à eux de couleur grise.

A partir de 1918, le chemin de fer rétais amorce son déclin. Le réseau

est en mauvais état. Il est revendu.

Dès les années 1920, un service d’autobus concurrence et supplante le train. Le trafic marchand est également touché, préférant lui aussi la voie routière. En 1936, le train cesse de fonctionner. Pendant la seconde Guerre Mondiale, l’armée allemande occupe l’île. Elle remet en fonction le réseau ferroviaire à partir de 1942 et de nouvelles voies sont aménagées.

Le chemin de fer rétais connait un sursaut de courte durée, jusqu’au départ des Allemands en 1945.

L’exposition s’attarde également sur les témoignages des usagers. Ces anecdotes, souvenirs, dessins ou procès-verbaux, plongent avec humour dans cette autre époque où les chemins de fer sont à leur apogée. Petits et gros accidents, déraillements et retards se produisent fréquemment.

De plus, le « Tortillard » prend son temps pour transporter voyageurs et marchandises. C’est l’occasion pour les rétais et les touristes de se côtoyer dans la convivialité.

CP

Ateliers et animation, en lien avec l’exposition Un livret-jeu est à la disposition des enfants à partir de 7 ans, pour leur permettre de découvrir l’exposition tout en s’amusant avec Pierrot le cheminot.

Un jeu de l’oie, spécialement imaginé pour cette exposition, est placé au centre de la salle. Les visiteurs sont invités à tester leurs connaissances après avoir découvert les panneaux et les objets présentés.

Création d’un p’tit train : le musée propose une activité créative pour les enfants, la réalisation d’une locomotive avec des objets de récupération.

Coordonnées Association Flottille en Pertuis Musée du Platin 4, cours Félix Faure - BP 2 17630 LA FLOTTE (Île de Ré) Tél : 05.46.09.61.39 Mail : contact@museeduplatin.fr www.maisonduplatin.fr

Comment surmonter un choc traumatique ?

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a vie ne sera plus jamais comme avant et pourtant elle continue ! Du stress au traumatisme, prévenir, accompagner. Des techniques pour mieux vivre et aider à retrouver ses ressources. Tel est le thème de la conférence qui sera animée par Karin Rozendal, infirmière, praticienne en psychothérapie et Anne-Marie Taillé, thérapeute psycho corporelle et familiale, membres de SPSU France (Soutien Psycho Social d’Urgence) - Stress et traumatisme : comment

isolation des combles

les définir et reconnaître.

- Les signaux de l’état de stress post-traumatique : prévenir, accompagner, traiter, les approches pour aider à dépasser un choc traumatique.

- La salutogenèse et la psychoéducation : pour retrouver ses ressources.

Jeudi 26 mai 20h30 Le Bois Plage en Ré Salle des Eridolles - Rue des Barjottes Participation : 5 euros 06 70 52 87 38 / 06 33 46 28 86

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ils bougent !

R e s t a ur a n t

Le Chasse-Marée, le nouveau resto des Portes C’est une jeune femme, Marine Péan, qui a repris, depuis ce mois de mars, les destinées du « Chasse-Marée », le restaurant de la place des Portes créé dans les années 70 par Pascal et Bernadette Frigière. inspiré et de jolies fleurs parachèvent l’ambiance « comme chez soi »... on a le sentiment d’être attendu pour un dîner en famille, d’autant que les nappes et les serviettes blanches en tissu, la vaisselle et l’argenterie signent une volonté d’élégance discrète dans la mise.

L’eau à la bouche nous vient déjà...

La carte est courte et alléchante : cinq entrées, deux plats de poissons et un risotto, deux viandes, quatre à cinq desserts.

Marine ne travaille que des produits frais. Elle prévoit de renouveler sa carte, chaque semaine, en conservant quelques plats de base comme les « œufs pochés au foie gras », le filet de bœuf et le « filet de bar au riz fumé Shirin Polo ». Nous avons, nous-même, testé, ce soir-là, un « tartare d’huîtres et de bar », très

Le Chasse-Marée propose une cuisine inventive dans une ambiance simple et raffinée.

D

ans la décoration de la salle, nous avons voulu retrouver l’ambiance du Chasse-Marée des débuts », confie Marine. En effet, c’est bien une décoration simple et joliment surannée qui nous accueille : murs en pierres apparentes ou en bardage bois blanc et gris, tomettes au sol, cheminée, éclairage rétro, un piano à l’intention de l’improvisateur

S a i n t - C l é m e n t

d e s

savoureux, un dos de cabillaud parfait et original ainsi que le « finger pistaches et griottes », en dessert qui fut une délicieuse découverte.

Marine est une professionnelle de la cuisine qui s’est formée chez de grands chefs parisiens, Alain

Enfant du pays, puisqu’élevée aux Portes, Marine est aussi une « enfant de la balle », en restauration. Elle a travaillé pendant dix ans dont sept en cuisine, à la Cabane de La Patache, que ses parents, Patrick et Sylviana, ont créé. Au seuil de la trentaine, elle a décidé de marquer de son nom l’enseigne portingalaise, en y apportant son savoir-faire et sa créativité en cuisine... alors que Patrick, à l’accueil en salle, veillera sur la clientèle de sa fille.

Le Chasse-Marée est ouvert midi et soir, à l’exception du mardi soir et du mercredi, hors vacances scolaires, et dispose de 30 couverts en Marine Péan dans sa maison du Chasse-Marée. salle et 20 en terrasse. Il propose un menu, le midi, Ducasse, pour le salé et le sucré, entrée/ plat/ dessert pour 29 euros.

Ferrandi, pour le salé, sans omettre Une bonne adresse à tester sans quelques stages à la Classe des attendre...

Gourmets de Grégory Coutanceau, Jocelyne Chrétien à La Rochelle.

B a l e i n e s

Retrouvailles chez « Sylvie Coiffure » Depuis le 12 avril, le salon de Sylvie compte une nouvelle collaboratrice avec l’arrivée de Bénédicte Lucas.

S

ylvie a établi son salon de coiffure le 1er juin 1993, au sein du village de Saint-Clément, pour créer une dynamique économique et relationnelle. Bénédicte Lucas a participé à la vie du salon, dès l’ouverture, en tant qu’ouvrière, pendant cinq ans, et a ensuite vécu d’autres expériences.

La vie du salon est bien rythmée

S a l o n

d u

v i n

e t

tout au long de l’année puisque Sylvie embauche du personnel saisonnier d’avril à octobre et, sur les périodes dites « creuses », elle est entourée d’une apprentie et d’une ouvrière. Elle perfectionne régulièrement son savoir-faire en participant à des stages professionnels lui permettant aussi de se sensibiliser aux nouvelles tendances et d’en

d e

l a

faire profiter ses collaboratrices.

Dix-huit ans plus tard, Bénédicte revient avec son expérience de coiffure, de maquillage et de conseil en image. Ainsi, au fait de l’exigence de son métier, Sylvie vous reçoit dans son salon, en partenariat avec Bénédicte, Priscilla et Charlène.

CP

g a s t r o n o m i e

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L e s

L’équipe de Sylvie Coiffure : Bénédicte, Sylvie, Priscilla.

P o r t e s - e n - R é

« Fleur de Vigne en Ré », les saveurs en fête

L’Association « Les Portes en Fête » vous convie à la 8ème édition de ce salon du vin et de la gastronomie, créé en 2009 par l’Office de Tourisme des Portes en Ré.

C

Une précédente édition de Fleur de Vigne en Ré.

e rendez-vous incontournable dans le paysage portingalais rassemble près de 25 exposants. Connaisseur ou amateur, fin gourmet ou grand gourmand, côté vigne ou côté

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gastronomie, le salon « Fleur de Vigne en Ré » vous propose de vous faire vivre un voyage gustatif aussi réjouissant que surprenant.

Au programme, de belles rencontres avec les vignerons indépendants de

R é à l a h u n e | é d i t i o n d u 3 m a i 2 0 1 6 | N ° 1 3 5

toutes les régions de France : Alsace, Auvergne, Bordelais, Bourgogne, Champagne, Languedoc Roussillon, Poitou-Charentes, Provence, Sudouest, Vallée de la Loire et centre sans oublier… les vins de notre terroir de l’île de Ré avec la coopérative Uniré, ainsi que les Bières de Ré.

Côté gastronomie : un producteur de saumon, un fabricant de produits camarguais (viande, saucisse, terrine, fromage de tête de taureau d’appellation d’origine protégée) et un producteur d’huile d’olive du Lubéron avec ses tapenades noires et vertes et ses délices de caviar d’aubergine seront également présents. Les exposants guideront les visiteurs dans leurs accords mets-vins.

Pour un prix d’entrée de 3 euros

vous obtiendrez votre sésame, un verre de dégustation offert, pour une balade gourmande sur la route des cépages et des terroirs. Les vignerons vous proposeront des prix adaptés à tous les budgets.

Et pour assaisonner ce tour de France viticole, des bouteilles à gagner durant le salon.

CP

Le salon se déroulera salle des Marais de la Prée, les jeudi 5 mai de 16 h à 22h, vendredi 6 et samedi 7 mai de 10h à 20h.

Contact : Les Portes en Fête 09 67 44 67 73

http://www.fleurdevigneenre. blogspot.com

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ils bougent !

C a f é

Mes services

c i t o y e n

L’Ecotaxe : un pont qui vaut de l’or !

La dixième édition du café citoyen animé par le CÉSIR*, mercredi 2 7 avril, avait pour thème : « l’utilisation actuelle de l’écotaxe », et invitait les personnes intéressées à réfléchir à quoi pourrait servir l’écotaxe dans le futur.

L

es participants, moins nombreux que pour Linky, ont attentivement suivi en introduction le diaporama commenté par JeanPaul Tognet (AIR, ARUP et AUTIR) et Patrick de Vanssay (ASSIP), sur la répartition et l’utilisation de l’écotaxe actuelle. Les 13,2 millions collectés en 2014, sont ainsi répartis : 4,4 millions à la Redevance pour Service Rendu (RSR) et 8,8 millions d’euros au Droit départemental de passage (DDP). Après déduction des frais de perception ou de gestion dans les proportions 1/3 sur RSR, soit 1,1 million et 2/3 sur DDP, soit 2,2 millions, le montant net RSR est alors de 3,3 millions et pour le DDP de 6,7 millions. Le Droit départemental de passage de 6.7 millions d’euros est ainsi réparti : 45% Conseil départemental, soit 3 millions d’euros, et 55% CdC, soit 3,7 millions d’euros. La Communauté de Communes de l’île de Ré garde 3 millions et affecte aux 10 communes un montant global de 657 KF. Ceci en première approche simplifiée car des reports des années précédentes peuvent compléter l’enveloppe.

Agir en faveur de la protection de l’environnement rétais L’écotaxe est affectée à l’entretien ou l’acquisition d’espaces naturels sensibles (ENS) et au développement de transports propres : navette du pont, navettes intravillages et inter-villages. Chaque commune reçoit une part d’écotaxe d’un montant fixe de 50 000 euros augmentée d’une part proportionnelle à la surface des espaces naturels sensibles situés sur la commune. Elle peut ainsi intervenir sur des opérations autorisées par la convention : surveillance,

entretien gestion d’espaces naturels, nettoyage de rivage, travaux de protection dunaire et défense douce des côtes, développement des transports en commun avec une énergie propre... Les réalisations par village sont très diverses et ont soulevé des commentaires par les participants.

Des propositions pour l’écotaxe de demain Les participants aimeraient que l’éligibilité des travaux financés par l’écotaxe puisse à l’avenir s’élargir vers de nouvelles dépenses liées à l’entretien des ouvrages de défense des côtes non pris en charge par le Département, au développement de transports propres alternatifs à la voiture particulière, terrestres ou maritimes, à l’utilisation d’une part plus importante de la RSR... La rédaction d’une nouvelle convention plus conforme à l’importance actuelle du produit de l’écotaxe, adaptée au nouveau contexte et aux contraintes de la protection environnementale de l’île de Ré serait souhaitable.

En fin de séance, la question du prochain référendum qui sera soumise aux électeurs oléronnais, le 26 juin, sur l’instauration d’un droit départemental de passage sur l’île d’Oléron, a été débattue.

Mais la grande sœur oléronnaise, dont les élus verraient d’un bon œil de nouvelles ressources compenser la baisse des dotations d’état, pour défendre leur environnement, voudra-t-elle ou pourra-t-elle suivre l’exception rétaise ?

Michel Lardeux *Conseil économique et social de l’île de Ré.

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e groupe vocal Ré-Sonance reçoit la chorale de Sarran (Corrèze) en escale dans l’île de Ré, samedi 14 mai à 18 h à l’église de Rivedoux.

Un programme de chansons, cartes postales de bord de mer, et de la variété française.

Le groupe vocal Ré-Sonance.

Entrée libre.

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JUSQU’AU 31/08/16