SAS Magazin Nummer 91

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Le nouveau comité central ist perfekt zweisprachig Die Alpinen trainierten «down under» in Neuseeland Die Langläufer sind auch im Sommer viel auf Schnee Der SAS Zürich gewinnt die «Krähe» erneut

Nr. 91 – Sommer 2013

Maga in


MATTERHORN SKI PARADISE. Aktive und nat端rliche Erholung zu jeder Jahreszeit

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Inhalt Contenu Innhold

Leder Éditorial Editorial

Nr. 91 – Sommer 2013

Ich fühle mich sehr geehrt!

Titelbild Die Welt stand für die Alpinen, die diesen Sommer in Neuseeland trainierten, förmlich Kopf. Am anderen Ende der Welt, «down under», legten sie die Basis für einen hoffentlich erfolgreichen Universiadewinter. Michael Toneatti Zentralvorstand

Le nouveau Comité central ist perfekt zweisprachig

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Wir präsentieren den neuen SASZentralvorstand aus Fribourg und lassen sich die einzelnen Mitglieder kurz vorstellen.

Neuseeland wird keiner so schnell vergessen

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Die SAS-Stiftung ermöglichte den Universiade-Kandidaten ein aussergewöhnliches Trainingslager im Spätwinter Neuseelands. Nordisch

Ein Blick auf die Langlauf-Saisonvorbereitung

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Langläufer trainieren viel auf den Rollski, aber auch auf dem Schnee auf Gletschern, im Skitunnel und Schnee vom letzten Winter. Der SAS Zürich gewinnt die «Krähe»

Mitte Juni pedalte ich nach Thun an eine weitere SAS-Delegiertenversammlung und machte mir nicht allzu viele Gedanken – ich genoss das Radeln entlang des Vierwaldstätter-, Sarner-, Brienzerund Thunersees und stellte mich auf einen «so wie gäng»-Tag ein. Das ist Berndeutsch und heisst so viel wie, dass vieles so sein wird wie immer. Anders ist einfach jeweils der Ort, aber das ist ja klar... ...und bei dieser Ein- und Überleitung ist ja auch schon fast klar, dass es eben völlig anders kam! Der Berner Zentralvorstand ehrte mich nämlich mit dem SAS-Silberhasen. Das ist jene Auszeichnung, die relativ selten vergeben wird – und letzteres wohl auch der Grund, dass ich sie gar nicht wirklich kannte.

Alpin

Sommersport

Liebe SAS-lerinnen, Liebe SAS-ler!

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Ich stand also vorne im Scheinwerferlicht und war vor allem eines: Überrascht! Darum war es gut, dass es das Drehbuch so wollte, dass ich nichts sagen musste. Viel Schlaues hätte ich in jenem Moment wohl nicht rausgekriegt. Denn als Redaktor ist man es sich gewohnt, dass andere im Mittelpunkt stehen (über die man als Medienschaffender aus einer gewissen Distanz berichtet) – selber im Mittelpunkt zu stehen, war eine völlig neue und ungewohnte Erfahrung. Ich muss wohl ziemlich verdutzt aus der Wäsche geguckt haben. Als Urs Schüpbach mein zu einem Bündel gesammeltes Gesamtwerk präsentierte, war ich sehr erstaunt über die Dimensionen. Ich hatte mir selber noch nie solche Gedanken gemacht – mein Fokus richtet sich immer auf die nächste Ausgabe. Denn die Zukunft kann ich gestalten, die Vergangenheit nicht. Es macht mir Spass, Redaktor des SAS-Magazins sein zu dürfen. Aber das SAS-Magazin bin nicht «ich» – es lebt vor allem von den Beiträgen aus den Sektionen, den Teams und von den Events. Darum ist es mir ein grosses Anliegen, an dieser Stelle den gut mitdenkenden Autorinnen und Autoren zu danken, die ihre pfiffig geschriebenen Texte und dynamischen Bilder pünktlich der Redaktion übermitteln. Das ist die Grundlage, aus der ich als Redaktor ein attraktives Magazin produzieren kann. Und darum gehört dieser Silberhase eigentlich nicht mir allein, ich teile ihn – zumindest im symbolischen Sinn – sehr gerne. Roli Eggspühler

Das Fussballspiel um die «Krähe» war in der 1. Halbzeit ausgeglichen, doch dann setzte sich der SAS Zürich mit 7:4 durch. Facelook

Was die SASlerinnen und SASler in den «Social Media» so alles posten...

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«Le mot du président»

Offrir des manifestations attractives, dans une ambiance chaleureuse Chers Membres d’honneur, Chers Membres, Chers amis SAS, A la plus grande joie de notre nouvelle équipe, le comité central du SAS passe, pour la deuxième fois de son histoire, en mains fribourgeoises. Avant toute chose nous tenons à exprimer nos plus chaleureux remerciements à nos prédécesseurs qui ont effectué un travail remarquable et qui nous ont transmis un club en parfaite santé, tant sportive que financière. Empreints de pragmatisme, nous nous efforcerons de faire fructifier ces bonnes semailles et de persévérer dans les efforts entrepris. Mais avant toute chose, nos priorités sont de vous offrir des manifestations attractives, dans une ambiance chaleureuse. Au cours des trois prochaines saisons, le son des sonnailles et du traditionnel Lyoba ne vont pas supplanter les traditions SAS, si chères à nos cœurs. Armaillis de cœur, mais résolument modernes, nous aspirons en premier lieu à réconforter les Internautes francophones en présentant un site Internet totalement bilingue. Au grand sacrifice de notre patois natal, nous redoublerons d’efforts pour garantir un équilibre linguistique au sein du SAS Magazine. Pour ce faire, une participation accrue des sections sera demandée, par l’intermédiaire d›un correspondant par section, afin d’offrir un contenu au plus proche de la vie de chacune de nos sections. Sur le plan sportif nous souhaitons maintenir les bons niveaux d’entraînement et de résultats atteints par nos équipes universitaires alpine et nordique. Le SAS bénéficie d’une solide infrastructure et d’une expérience éprouvée qui lui permettent d’offrir à ses athlètes des entraînements de premier plan. Notre objectif sera d’explorer les possibilités d’amélioration et de valorisation de nos compétences par le développement de nouvelles synergies. Le SAS organise depuis de nombreuses années des compétitions régionales de qualité. Il nous importe d’accroître encore la fréquentation de ces manifestations et d’en faire des événements phares, pleinement intégrés dans les championnats régionaux. Dans cette optique, nous favoriserons la communication entre sections et associations régionales, et insisterons en interne sur la formation de nouveaux juges arbitres, de piqueteurs et de chronométreurs. Nous aspirons également à des objectifs de croissance. Alors que les disciplines alpines évoluent, les universités et les hautes écoles fédérales se multiplient, nous nous devons d’explorer les opportunités d’ouverture à de nouvelles disciplines alpines ou de nouvelles sections. Nous visons aussi à accroître l’attrait des coupes SAS et augmenter la participation de nos membres. A cet effet, nous allons intensifier notre collaboration avec notre partenaire Skiline (Skiline.cc), et mettre un accent particulier sur la Skiline Cup, introduite l’année der-

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nière. Chaque participant aura la possibilité de suivre sa progression, comparer ses résultats, et bien évidemment de gagner des prix très attractifs. Ne manquez pas la remise des résultats de la saison 2013 qui aura lieu à Zermatt lors du SAS Opening ! De plus, nous pensons que le temps pour le SAS de se projeter dans l’ère 2.0 est (enfin) arrivé ! Nous aspirons à placer notre site Internet au cœur de la stratégie de communication, de manière à vous offrir d›avantages d›informations et des articles en ligne, ainsi que des outils interactifs pour faciliter les inscriptions aux différentes manifestations. Nous voulons également privilégier la communication par emails ! Ainsi, pour ceux qui le désirent, il sera possible de renoncer à toute communication papier (système d’opting-out). Il s’agit-là de s’adapter à l’évolution des mœurs, mais surtout d’offrir une meilleure plateforme de visibilité à nos sponsors et réduire certains coûts de communication. Afin de nous aider à réaliser cet objectif nous vous invitons sans plus tarder à mettre à jour vos adresses email (et pour vérifier par la même occasion vos coordonnées !). Notre site Internet sera aussi le théâtre de ventes exclusives de matériel, avec en particulier le développement d’articles de sport (chaussettes, pull, sous-pull, etc…), sans toutefois que nos produits traditionnels ne soient mis à la remise avec nos vieux cors des alpes. Enfin, comme annoncé lors de l’assemblée des délégués, de nombreux sponsors n’ont pas reconduit leur soutien envers notre club. En dépit des importants efforts déployés, il ne nous a pas (encore) été possible de tous les remplacer, de sorte que notre budget nous impose à ce stade une grande prudence. Les difficultés rencontrées et la réalité économique nous amène à mener une réflexion en profondeur sur le financement de notre club et notamment le sponsoring afin de garantir la pérennité financière du SAS. Aussi, en parallèle de la poursuite de nos démarches en quête de nouveaux sponsors, nous planifions la mise en place d’un «Sponsoring Board», actif sur le plan national. L’objectif est de mieux identifier les opportunités sponsoring et mieux exploiter les réseaux de nos membres dans une perspective de long terme. Nous vous en dévoilerons d’avantage dans le prochain numéro du SAS Magazine. Dans l’esprit, nous devons faire des économies, mais il ne faut pas craindre des mesures d’austérité! Vive le SAS et à Bientôt! Pour le Comité, Bertrand Siffert NB: Nous vous invitons à vous rendre sur notre site pour réserver les dates SAS Opening 2013, et vérifier vos coordonnées sur notre base de données.


«Le mot du président»

Attraktive Veranstaltungen in einer herzlichen Atmosphäre bieten Liebe Ehrenmitglieder, Liebe Mitglieder, Liebe SAS Kollegen, Zur Freude unseres neuen Teams geht das Zentralkomitee des SAS zum zweiten Mal in der Geschichte in fribourgerische Hände. Vor allem wollen wir unseren herzlichen Dank unseren Vorgängern aussprechen, die eine bemerkenswerte Arbeit geleistet haben und uns einen Club übergeben haben, der sich sowohl sportlich als auch finanziell in perfekter Gesundheit befindet. Geprägt durch unsere bisherigen Erfahrungen werden wir uns bemühen, auf dieser guten Grundlage aufzubauen. Vor allem ist es unsere Priorität, attraktive Veranstaltungen in einer herzlichen Atmosphäre zu bieten. Im Laufe der nächsten drei Saisons wird der Klang der Glocken und die «Lyoba» die Traditionen des SAS, die uns so sehr am Herzen liegen, nicht verdrängen. «Armaillis» im Herzen, aber resolut modern, werden wir versuchen unsere Französisch sprechenden Mitglieder durch eine zweisprachige Website zu begeistern. Wir werden uns anstrengen, um ein sprachliches Gleichgewicht innerhalb des SAS Magazins zu gewährleisten. Um dies zu erreichen, ist eine verstärkte Teilnahme der Sektionen erforderlich, um Inhalte aus dem Leben der Sektionen zu liefern. Auf der sportlichen Ebene möchten wir das gute Niveau des Trainings und die erreichten Resultate durch unsere alpinen und nordischen Studenten-Teams beibehalten. Der SAS verfügt über eine solide Infrastruktur und eine nachgewiesene Erfolgsbilanz, die den Athleten eine ausgezeichnete Ausbildung bietet. Unser Ziel wird es sein, die Möglichkeiten der Modernisierung und Verbesserung unserer Fähigkeiten durch die Entwicklung neuer Synergien zu ermitteln. Der SAS organisiert seit vielen Jahren regionale Wettbewerbe von bester Qualität. Für uns ist es wichtig, die Teilnahme an diesen Veranstaltungen zu erhöhen und aus ihnen beliebte Veranstaltungen zu machen, die vollständig in die regionalen Meisterschaften intergriert sind. In diesem Sinne werden wir die Kommunikation zwischen den Sektionen und den regionalen Verbänden verstärken und werden intern auf Ausbildung neuer Schiedsrichter, Kurssetzer und Zeitnehmer bestehen. Wir streben weiterhin Wachstum an. Während die alpinen Disziplinen sich entwickeln und es immer mehr Universitäten und Hochschulen gibt, müssen wir die Möglichkeiten prüfen, neue alpine Disziplinen einzuführen und/oder neue Sektionen zu gründen. Ausserdem wollen wir die Attraktivität des SAS und die Mitgliederbeteiligung erhöhen. Zu diesem Zweck werden wir u.a die Zusammenarbeit mit unserem Partner Skiline intensivieren und setzen einen besonderen Schwerpunkt auf den Skiline-Cup, den wir letztes Jahr eingeführt haben. Jeder Teilnehmer wird die Möglichkeit haben, seine Fortschritte zu verfolgen, seine Resultate zu vergleichen und

natürlich attraktive Preise zu gewinnen. Verpassen Sie nicht die Rangverkündigung der Saison 2013, die beim SAS Opening in Zermatt stattfinden wird. Darüber hinaus glauben wir, dass auch für den SAS die Zeit reif ist, sich in das web 2.0-Zeitalter zu begeben. Wir sind bestrebt, unsere Website in den Mittelpunkt der Kommunikationsstrategie zu stellen, und bieten Ihnen die Vorteile der Online-Information, sowie von interaktiven Tools zur Anmeldung an Veranstaltungen. Wir wollen uns insbesondere auf die Kommunikation per E-Mail konzentrieren! Es besteht deshalb die Möglichkeit, für alle die es wünschen, auf gedruckte Mitteilungen zu verzichten (Option opting out). Es geht hier einerseits darum, sich den neuen Gewohnheiten anzupassen, und andererseits Kosten zu sparen. Und vor allem auch darum, eine bessere Sichtbarkeit für unsere Sponsoren auf dem Internet zu schaffen. Um uns zu helfen, dieses Ziel zu erreichen, möchten wir sie bitten, uns Ihre E-Mail Adresse mitzuteilen (So können wir gleichzeitig Ihre Daten überprüfen!). Unsere Website wird als Plattform für Verkäufe von Material zur Verfügung stehen. Insbesondere werden dort neu entwickelte Sportartikel (Socken, Pullover, Rollkragen, etc.) neben unseren traditionellen Produkten zu finden sein, die wir nicht wie «alte Alphörner» auf den Speicher verbannen möchten. Wie in der DV angekündigt, haben die meisten Sponsoren ihre Unterstützung für die Saison 2013/14 nicht erneuert. Trotz erheblicher Bemühungen war es uns bisher nicht möglich, diese zu ersetzen, so dass wir für die nächste Saison sehr vorsichtig budgetieren mussten. Die Schwierigkeiten neue Sponsoren zu finden und die wirtschaftliche Realität führen uns zu einer eingehenden Überprüfung der Finanzen unseres Vereins einschliesslich des Sponsorings, um eine finanzielle Nachhaltigkeit des SAS sicherzustellen. Neben der Fortsetzung unserer Bemühungen, neue Sponsoren zu finden, planen wir die Einrichtung eines aktiven «Sponsoring Boards» auf nationaler Ebene. Ziel des «Boards» ist es, die Opportunitäten für den SAS für weiteres Sponsoring lückenlos zu identifizieren und auf lange Sicht die Netzwerke aller unserer Mitglieder besser zu nutzen. Wir werden Sie in der nächsten Ausgabe des SAS Magazins darüber informieren. Aber obwohl wir den Gürtel zur Zeit etwas enger schnallen müssen, heisst das nicht, dass wir die wichtigsten sportlichen Ausgaben nicht bestreiten können. Vive le SAS! Bis bald! Für das Komitee, Bertrand Siffert NB: Wir laden Sie ein, sich auf unserer Website für das SAS Opening 2013 anzumelden und Ihre Angaben auf unserer Datenbank zu überprüfen.

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Comitée central Zentralvorstand Sentralstyre

Der Fribourger Zentralvorstand se présente

Le nouveau Comité central ist perfekt zweisprachig! Bertrand Siffert > Président

«J’ai rejoint le SAS en 1993, époque à laquelle j’ai intégré le comité fribourgeois, tout d’abord comme Rennchef, puis comme président de section. Ces années ont été l’occasion de nouer des amitiés exceptionnelles avec des personnes fédérées autour de la même passion et du même enthousiasme. Le SAS m’a permis de prendre part à des manifestations uniques qui sont autant de souvenirs indélébiles, et ce même en l’absence de résultats significatifs. Le SAS me permet de vivre ma passion et de la partager. L’idée de reprendre le comité central s’est donc imposée tout naturellement et l’équipe qui m’entoure était toute désignée avant même d’y songer. Nous sommes ravis des défis qui s’offrent à nous et nous réjouissons de vous offrir des belles manifestations et de partager notre enthousiasme avec vous.» Avocat, LL.M., spécialisé en propriété intellectuelle, j’ai rejoint le service juridique de Chopard en juillet 2011.

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Felix Gey Jauffret > Vice-président > SwissSki

«En 2003, sur l’initiative de Philippe Döbeli, je me suis rendu à une soirée découverte du SAS Fribourg que j’ai enchainé avec le SAS Opening. L’ambiance des week-ends de compétitions ont rapidement réveillé mes anciennes sensations de compétiteur et m’ont convaincu de devenir membre. En 2004, j’ai repris la présidence de la section Fribourg à Mathieu Boucher jusqu’en 2007. Grâce à cela et à Marc Russenberger qui durant son mandat de président central avait recommandé le rapprochement entre sections, j’ai rencontré ma femme Carole Jauffret qui à l’époque était présidente de la section Genève! Après de belles années d’expériences partagées avec mes amis SAS, mon implication dans le nouveau comité central comme vice-président et contact Swiss-Ski/Association régionale entre dans la continuité de mon aventure SAS. Avec mes amis du

CC, je ne doute pas du fait que nous amènerons une fraicheur et convivialité typiquement fribourgeoise au cours de notre mandat.» Avocat spécialisé en droit des sociétés et M&A, je suis avocat chez Lenz & Staehelin depuis mars 2009.

Marc Walpoth > Vice-président > Communication

«Ich bin als Jeune-SAS Bern und durch meinen Vater Beat, sehr früh in den SAS Kochtopf geworfen worden. Durch mein Studium in Freiburg, Genf und Bern endeckte ich die Plurikulturalität und Mehrsprachigkeit des SAS’. 2001 trat ich dem Fribourger Vorstand bei und engagierte mich bis 2013 in diesem Comité in verschiedenen Ämtern. Le SAS m’a dès le début attiré pour son esprit de camaraderie que j’ai relevé parmi mon père et ses amis et sa force de rassembler amitiés et développement du ski de compétition. La section fribourgeoise de par sa convivialité me convient idéalement et lorsque le comité central


Sentralstyre Comitée central Zentralvorstand

fribourgeois s’est formé c’est tout naturellement que j’ai pris la viceprésidence et la responsabilité de la communication (Internet et SAS Magazin). Ayant grandi sur le Röstigraben je vais tendre à un parfait équilibre des langues au SAS.» Je suis depuis deux ans responsable pour la Suisse du légal et du compliance au sein de la Banque Hinduja.

Philippe Döbeli > Events

«Ich bin im Jahre 2003 in den SAS aufgenommen worden und war danach im Sektionsvorstand von Fribourg als Rennchef tätig. Dem SAS verdanke ich viele interessante Erlebnisse und Begegnungen auf und neben den Pisten. Die Kameradschaft und der Sportgeist in diesem Verein sind einzigartig. Es freut mich deshalb sehr, mich zusammen mit meinen Kollegen aus dem Zentralvorstand für den SAS zu engagieren. Wir werden uns dafür einsetzen, das sehr hohe Niveau der SAS-Veranstaltungen aufrecht zu erhalten. Persönlich bietet mir meine Funktion die Möglichkeit, mich vermehrt mit Mitgliedern der verschiedenen Sektionen auszutauschen und aktiv am SAS-Leben teilzunehmen.»

mir die Möglichkeit, den SAS umfassend kennenzulernen.»

Charles von Wurstemberger

Ich arbeite seit 2013 als Consultant bei der Beratungsfirma Beijaflore. Zuvor war ich mehrere Jahre bei der Credit Suisse tätig. Als Fourier bin ich auch in der Armee fürs Finanzielle zuständig.

«Zusammen mit Mike Tschudin bin ich im Fribourger Zentralvorstand für das Sponsoring zuständig. In den SAS eingetreten bin ich als Jeune-SAS in Zürich. Da ich mein Jus-Studium in Fribourg begann, wurde ich dann Mitglied der Sektion Fribourg. Es folgten tolle Jahre als Mitglied der StudentenMannschaft mit Renneinsätzen im In- und Ausland und Teilnahmen an verschiedenen SAS Expeditionen (Marokko, Kanada etc.). Zu dieser Zeit organisierte ich auch die ersten SAS Intersektionscamps in Gstaad. Da ich einen Teil meines Studiums auch in Bern absolvierte (Berner Fürsprecher), habe ich auch eine enge Beziehung zu der Sektion Bern und war auch Mitglied des vorletzten Berner Zentralvorstandes. Seit ca. zehn Jahren bin ich zudem Mitglied im Organisationskomitee des SAS Pentathlon.»

Virginie Glassey > Matériel & Shop

«J’ai intégré activement la section SAS de Fribourg dès mon arrivée à l’université de Fribourg, c’était en décembre, à Zermatt. J’ai été immédiatement sous le charme : amitié, ski, fun ! J’ai ensuite pris part à tous les évènements SAS, officiels et officieux... J’ai fait partie du comité de la section en tant que rédactrice pour le SAS News, puis au poste des finances. En 2001, j’ai eu le plaisir d’être enfin acceptée en tant que membre. J’aime le SAS pour son sens de l’amitié, son esprit d’équipe et son respect des traditions, le tout dans une ambiance dynamique! J’y ai rencontré des personnalités uniques, d’horizons différents du mien, des amis pour la vie ! C’est un plaisir de me retrouver avec mes compagnons de section au sein de ce comité central. Je serai responsable du matériel.»

Ich bin Anwalt bei der Zürich Versicherung seit Juli 2012.

Diplômée en pédagogie, je travaille actuellement au Tribunal des mineurs à Sion, en tant qu’assistante sociale.

Silvan Bözinger

Raphaëlle Bayard

> Finanzen

«Ich bin im Fribourger Zentralvorstand für die Finanzen zuständig. Ich war bereits im SAS Fribourg Kassier, wo ich das Amt seit meiner Aufnahme in den SAS im Jahr 2004 bis 2010 ausgeübt habe. Bis 2011 war ich zudem als Sekretär im SAS Fribourg tätig. Zuerst ausschliesslich als Alpiner im SAS dabei, habe ich vor drei Jahren den SAS-Alpinismus entdeckt. Dort lasse ich kaum eine Skitour aus und war entsprechend weniger häufig an Skirennen anzutreffen. Ich freue mich sehr auf die ZV-Zeit: Meine ZV-Funktion hat zahlreiche Schnittstellen und gibt

> Liste de membres > Administration «Membre du SAS depuis 2009, c’est avec plaisir que je complète l’équipe du CC en tant que responsable pour la liste des membres et de l’administratif. Le SAS m’a permis, durant mes études, de passer des week-ends inoubliables et de rencontrer des personnalités exceptionnelles; c’est pourquoi j’estime qu’il est désormais normal de contribuer parmi d’autres au bon fonctionnement et à la pérennité de notre club.» Diplômée en droit de l’Université de Fribourg, je poursuis actuellement ma formation dans le but de devenir avocate.

> Sponsoring

Als Leiter Sales und Marketing der Firma Skiline hoffe ich, meine berufliche Aktivität zugunsten des SAS ausnützen zu können und freue mich auf diese neue Herausforderung.

Mike Tschudin > Sponsoring

«Zusammen mit Charly von Wustemberger bin ich im Fribourger Zentralvorstand für das Sponsoring zuständig. Ich widme mich insbesondere der Administration der Inserate und der Betreuung der Inserenten. Ich möchte mit meiner Mitarbeit im Zentralvorstand vor allem Freundschaften pflegen – am besten nicht nur im ZV-Sitzungszimmer, sondern noch lieber auf den Ski. Ich bin seit 2002 im SAS und freue mich für die kommenden drei Jahre auf die alte ‹Fribourg-Connection›.» Ich bin Rechtsanwalt und arbeite zurzeit am Bundesverwaltungsgericht in St. Gallen. Ich wohne mit meiner Frau Sabine in Winterthur.

Zusammenstellung: Marc Walpoth Redaktion: Roli Eggspühler / Virginie Glassey

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Zentralvorstand Comitée central Sentralstyre

SAS Delegiertenversammlung in Thun, 15. Juni 2013

Eine Flasche Wein als «Staffelstab» übergeben Der SAS Bern übergab das Zentralpräsidium anlässlich der Delegiertenversammlung in Thun an den SAS Fribourg mit Bertrand Siffert als neuem Zentralpräsidenten. Der alte und neue ZV trafen sich am Morgen vor der DV zur Übergabe der einzelnen Ressorts, so dass sie das Zentralfest am Abend geniessen konnten.

Jeder Berner übergibt seinem Nachfolger eine Flasche Wein.

Die DV war sehr lebendig gestaltet, Urs Schaeppi liess seine Ressortverantwortlichen zu Wort kommen, und sie übergaben nach einem bilanzierenden Rückblick direkt an den jeweiligen Nachfolger aus Fribourg, der gleich den Ausblick machte. Sehr gelungen war die symbolische Übergabe, als jeder Berner «seinem» Fribourger vor den Augen der applaudierenden Delegierten den «Staffelstab» in Form einer Flasche Wein überreichte. Auftakt mit dem Rennsport Zuerst ging es um den Rennsport. Urs Schüpbach erklärte den Delegierten die Zusammenhänge im universitären Spitzensport und unterstrich einmal mehr die sehr gute Partnerschaft mit Swiss Ski und dem Schweizer Hochschulsportverband (SHSV). Reto Candrian zog über sein erstes Jahr als SAS-AlpinChef Bilanz, präsentierte den neu-

Urs Schaeppi und seine Berner ZV-Kollegen gestalteten zu ihrem Abschluss eine sehr lebendige Delegiertenversammlung. Egg

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en Trainer Hans Erni (siehe Portrait auf Seite 18 dieser Ausgabe) und die Zentralschweiz als neuen Trai-

«

Ich bringe hier wirklich nur die wichtigsten Erfolge, sonst kommen wir nie an den Apéro!» SAS-Nordisch-Chef Alexander Walpen

ningsmittelpunkt. Weiter blickte er auf das Neuseeland-Trainingslager im August, wo sich die UniversiadeKandidatinnen und -Kandidaten an die neuen Skiradien gewöhnen und die FIS-Punkte einfahren konnten,

die es für eine Teilnahme an der Universiade braucht (siehe Berichterstattung ab Seite 12). Nordisch-Chef Alexander Walpen, der in seine 15. und letzte Saison steigt, beleuchtete die SAS-Langlauf-Erfolge der Saison 2012/13. «Aber ich bringe hier wirklich nur die wichtigsten, sonst kommen wir nie an den Apéro», witzelte der Oberwalliser. Oder mit anderen Worten: Was die Langläufer des Studentenkaders letzten Winter geleistet haben, war wieder einmal sehr beeindruckend (Details siehe SAS-Magazin Nr. 89 und 90). Ganz starke Berner ZV-Finanzen Die letzten drei Jahre arbeitete der Berner Zentralvorstand sehr er-


Sentralstyre Comitée central Zentralvorstand

Robert Kessler ist Ehrenmitglied Robert Kessler (SAS Zürich), der Sohn des 2007 verstorbenen Ehrenpräsidenten Hans Kessler, ist das neue SAS-Ehrenmitglied. Seine generationenübergreifende Verbundenheit mit dem SAS zeigte sich auch darin, dass sich der 94-jährige Rolf Lonnevig extra aus Norwegen an die DV einfliegen liess. Das neue Ehrenmitglied Robert Kessler (links) mit Zentralpräsident Urs Schaeppi.

folgreich, vor allem auch bei den Finanzen. Die Sponsoring-Verantwortlichen Andreas Zuber und Dres

«

Was ist schöner als schöne Bilder und schöne Erfolge im Schnee? Schöne Zahlen!» Daniel Pfanner, Chef Finanzen 2010-2013

Fuhrer freuten sich über die beeindruckend hohen Einkünfte aus Partnerverträgen und waren auch beim SAS-Magazin-Inserateverkauf so erfolgreich, dass sich das Publikationsorgan des SAS quasi zur Milchkuh entwickelte – auch wenn das in der Buchhaltung nicht auf den ersten Blick sichtbar ist. Die solide Finanzlage erlaubte Kassier Daniel Pfanner («Was ist schöner als schöne Bilder und schöne Erfolge im Schnee? Schöne Zahlen!») hinter den Kulissen nachhaltig zu sanieren. Namentlich im Materialbereich Abschreibungen zu machen, damit sein Nachfolger Silvan Bözinger die SAS-Kasse ohne jegliche Altlasten übernehmen kann. Die gute Finanzlage erlaubte dem Berner ZV zudem, die Website völlig zu überarbeiten und Werkzeuge einzubauen, die über die drei eigenen ZV-Jahre hinaus nützlich sein werden. Wertvolle Kontinuität Charly von Wurstemberger präsentierte die Situation im Sponsoring-

Bereich und skizzierte die neue Idee eines nationalen «SponsoringBoards» – noch in diesem Jahr soll diese Plattform lanciert werden, um eine höhere Kontinuität sicherzustellen. Die Idee dahinter ist, dass neben den Verantwortlichen des jeweiligen Zentralvorstandes SASlerinnen und SASler aus beliebigen Sektionen mithelfen, ein stabiles Fundament im Bereich Sponsoring/ Partner aufzubauen. Bisher schlug jeder Zentralvorstand zu Beginn seiner Amtsdauer neue Pfähle ein. Auf dem Werk seiner Vorgänger weiterzubauen zu können, war eher der Ausnahmefall, weil viele der Sponsoringpartnerschaften an den (abtretenden) Amtsinhaber gekoppelt sind. Im Spitzensport sehr bewährt Die Chargen im alpinen und nordischen Studentenkader wechselten früher mit jeder ZV-Übergabe. Seit gut einem Vierteljahrundert bewährt sich die heutige Lösung, wonach im operativen Bereich SASler an der Front tätig sind, die aufgrund ihrer Erfahrung für diese Aufgabe prädestiniert sind – egal, ob sie der Sektion angehören, die gerade den ZV stellt, oder nicht. Dieser Systemwechsel hat die von den Spitzensportlerinnen und -sportlern sehr geschätzte Kontinuität gebracht. Wenn es dem Fribourger ZV nun gelingt, dieses Modell in angepasster Form auf den Sponsoringbereich zu übertragen, kommt dies einem Quantensprung gleich. Denn dieses Ressort ist die Triebfeder für alle Aktivitäten im SAS. Roli Eggspühler

Das Ehrenmitglied der Sektion Norge und das Zürcher Ehrenmitglied Max Steinebrunner hielten die Laudatio, und Zentralpräsident Urs Schaeppi überreichte Robert Kessler die persönliche Wappenscheibe. Es war ein besonderer Moment, nicht nur für den Beehrten, sondern auch für den SAS! Egg

Rolf Lonnevig bei seiner Rede, Daniel Pfanners iPhone® tat gute Dienste.

Christoph Schmid (rechts), Präsident der SAS-Stiftung, ehrt die abtretenden Stiftungsräte Pierre Poncet (links) und Wilfred Stoecklin...

...um dann als selber ebenfalls Abtretender durch Urs Schaeppi geehrt zu werden.

Urs Schüpbach ehrt Rahel Imoberdorf (und die abwesende Bettina Gruber) mit dem Schneehasen.

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Ausrüstung Équipement Utstyr

Odlo Muscle Force

Ein spezielles Gefühl, wie eine zweite Haut «Muscle Force» nennt sich die neue Hightech-Unterwäsche von Odlo. Sie ergänzt die bisherige Palette der thermorgulierenden Sportunterwäsche mit einem gezielt für die Bedürfnisse von Alpin-Skifahren entwickelten Produkt. Muscle Force ist zwecks maximaler Muskelunterstützung eng geschnitten. Für ein spezielles Gefühl, wie eine zweite Haut. Wenn die Leidenschaft aufflammt, wenn der Tag nicht lang genug sein kann, um die Skipisten einmal mehr herunter zu brettern, dann kommt Muscle Force ins Spiel. Länger Skifahren ist jetzt möglich. Dank gezielter Muskel-Unterstützung, effektiver Klimaregulierung und wirkungsvoller Isolation. Das ist, was die neue muskelunterstützende Wäsche Muscle Force verspricht. Muscle Force ist die neue Hightech-Wäsche, die Odlo speziell für den Einsatz beim alpinen Skisport entwickelt hat. Die Muskeln bleiben länger belastbar für deutlich längeren Skispass. Drei spezifische Funktionen Die Skiwäsche verfügt über drei spezifische Funktionen, in klar definierten Körperzonen: Muskelunterstützung, schnelle Trocknung, Thermoregulierung. Dort platziert, wo der Körper sie verlangt. Die gezielte Muskelunterstützung ist an den Oberschenkeln und an den Oberund Unterarmen platziert. Dafür kommt eine patentierte, verklebte Dreilagen-Konstruktion zum Tragen. Das Material hat eine ausgezeichnete Dehnungs- und Rücksprungkraft und stützt den Muskel spürbar, Vibrationen werden minimiert. Dies gelingt durch ein zwischen den Stofflagen verklebtes Netz aus gekreuzten Silikon-Stegen, die quer zu den Muskelfasern platziert werden. Diese Anordnung garantiert einen gleichmässigen Druck auf den Muskel. Perfekte Passform Die Entwickler dieser revolutionären Skiwäsche haben aber nicht nur die drei Funktionen Muskelunterstützung, schnelle Trocknung, Thermoregulierung fokussiert. Sie

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haben besonders viel Arbeit in die Passform der Wäsche investiert. Denn nur mit dem perfekten Schnitt erreicht die Wäsche maximale Muskelunterstützung bei gleichzeitiger Bewegungsfreiheit. Für ein Gefühl, wie eine zweite Haut. Darüber hinaus ist der Torsobereich des Oberteils, anders als bei vergleichbaren Produkten, für höchsten Tragekomfort ohne Stützfunktion konstruiert. Ausgeglichenes Körperklima Das Material ist selbstverständlich atmungsaktiv und feuchtigkeitstransportierend. Die feine, nahtlos eingestrickte Mesh-Struktur unter den Achseln und in den Kniekehlen sowie Zonen für extra Wärmerückhalt sorgen für ein ausgeglichenes Körperklima. Der geruchshemmende «effect by Odlo» hält zudem die Wäsche länger frisch. PD/Red Die neue Muscle Force Kollektion besteht aus einem Langarm-Oberteil, einer langen Hose und einer ¾ Hose, jeweils für Damen und Herren, in je zwei Farbstellungen. Für eine optimale Funktion durch perfekte Passform gibt es für Muscle Force eine eigene Grössentabelle.

Nordischtextilien

Langlauf-Neuigkeiten Für die Olympiasaison 2013/14 hält Odlo auch im nordischen Bereich Neuentwicklungen bereit, deren Geheimnisse erst kurz vor dem Höhepunkt in Sotschi gelüftet werden. Red

Dario Cologna in neuen Kleidern. PD


Dario Cologna und ODLO: Motiviert bis in die letzte Faser.

Dario Cologna, X-Country 2010 Olympiasieger Vancouver 2008/09 Gesamtweltcupsieger

Jeden Tag an Grenzen gehen. Jeden Monat besser werden. Olympiasieger Dario Cologna stellt höchste Ansprüche an sich selbst. Und seine Ausrüstung. Deshalb ist ODLO sein Partner. Der führende Hersteller funktioneller Sportbekleidung rüstet ihn mit absolutem Hightech-Material aus und entwickelt mit ihm die X-Country Produktlinie weiter – für beste Performance, ohne Kompromisse. Dabei profitiert ODLO von der Erfahrung eines Olympiasiegers – und Dario Cologna vom Know-how von ODLO. www.odlo.com/cologna

Funktionelle Sportbekleidung für ein perfektes Körperklima.


Alpin Alpin Alpint

Skitraining in Neuseeland, 9. August bis 4. September 2013

Dieses Abenteuer wird keiner so schnell vergessen!

Die SAS-Stiftung ermöglichte den Universiade-Kandidatinnen und -Kandidaten ein aussergewöhnliches Schneetrainingslager in Neuseeland. Die Reise in den Südwinter war auch über den eigentlichen Trainingszweck hinaus ein einzigartiges Erlebnis – wie der Bericht von Tess Hoppeler (SAS Bern) zeigt.

In Neuseeland lebte die SASGruppe ohne jeglichen Luxus. Simona Candrian

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Mittwochmorgen den 17. Juli um 9.00 Uhr: In Kloten mussten wir feststellen, dass die Gepäckwagen nicht geeignet sind für zwei Skisäcke, eine riesengrosse Reisetasche, einen üppigen Rucksack und viel zu viel Handgepäck. Ein kleiner Tipp, probiere nicht, damit die Rolltreppe zu nutzen! Wir haben es trotzdem geschafft, (unverletzt) unsere 80 (oder etwas mehr) Kilogramm einzuchecken – das Abenteuer konnte also beginnen! * Zusammen mit Carol Schmid, Michael Toneatti war ich die Vorhut der SAS-Trainingsgruppe – wir traten die Reise drei Wochen früher an. Wir wurden verstärkt von zwei weiteren Schweizer Athleten, Simon Steimle und Daniele Sette. Nach zwölf Stunden Flugzeit hatten wir

die Chance, Singapur etwas zu erkunden und uns am Flughafen-Pool auf die nächsten elf Stunden Flug vorzubereiten. In Christchurch wurden wir von Cedrig Maret, dem aus der Romandie stammenden Trainer High-Performance-Center (HPC), abgeholt und eine eindrückliche Fahrt auf Wanaka mit Stopps an verschiedenen Seen begann. Nach total drei Tagen reisen haben wir es endlich geschafft, und Adi Bernasconi (HPCCheftrainer) empfing uns mit seinem Team herzlichst.

Die Sonne begleitete den Start in den beginnenden Trainingstag. Michael Toneatti

Wir freuten uns, endlich wieder in einem richtigen Bett zu liegen – doch die Sache hatte mehrere «Haken»: Neuseeland kennt keine Zentralheizungen, was das Vergnügen etwas


Alpint Alpin Alpin

schmälerte. Es war nicht nur kalt in unserem Haus, es war auch erst halb fertig. Es gab keinen Duschvorhang, Besteck war eine Rarität, alltägliche Küchenutensilien nicht vorhanden und Fussböden waren auch nicht selbstverständlich. Einzige Wärmequelle stellte ein kleiner Holzofen dar. Mit einer ähnlichen Wirkung, wie wenn man mittels Tauchsieders den Lake Wanaka zu erwärmen versuchen würde... * Nach zwei Tagen starteten wir unser Training. Wenn jemand das Bedürfnis hat in Neuseeland zu trainieren soll er oder sie gewarnt sein: Tagwache ist um 5:15 Uhr, am Berg ist man um 7:00 Uhr. Während Carol und ich nicht einen Bogen hinkriegten, weil es noch finstere Nacht war, fuhren die Neuseeländer bereits Läufe, ohne die Tore zu sehen. Belohnt wurden wir zum Glück grosszügig mit atemberaubend schönen Sonnenaufgängen. Wir machten auch Bekanntschaft mit Skifahrern und Trainern aus aller Welt. Da war zum Beispiel der 29-jährige Tom aus England. Im Winter gibt er Skiunterricht in der Schweiz, diesen Sommer hat es ihn gepackt und er ist die ersten FIS-Rennen seines Lebens gefahren.

Eine bleibende Erinnerung hat auch Hiroki (bekannt unter dem Spitznamen «Hero») hinterlassen. Der junge Japaner aus Nagano war der Held am Berg. Er sprach kaum Englisch, zu Beginn kurvte er im Pflug den Berg hinunter, aber er sorgte immer für Lacher. So zum Beispiel an einem Rennen in Coronet Peak, wo er 45 Minuten auf dem Lift ausharren musste, während er von einer Schneekanone zugeschneit wurde. Er sah aus wie ein Schneemann und verbrachte die nächsten zwei Stunden im Restaurant. Ihn musste man einfach gerne haben. * Wenn wir nicht auf den Skis waren (was selten vorkam), erkundeten wir dieses unglaubliche Land. Wir machten einen Tagesausflug an die West Coast. Leider regnete es (was dort häufig vorkommt), und Pinguine sahen wir auch keine – aber eindrücklich war es trotzdem. Für Carol Schmid wurde der Ausflug zu einer doppelt nassen Angelegenheit, weil sie nicht genug schnell von der Welle fliehen konnte und ihre Füsse ein Bad nahmen. Wir werden auch nie die Farbe des Lake Haweas vergessen, der so blau war, dass es schon fast künstlich wirkte. Leider

waren wir nicht lange genug dort, um weitere lohnenswerte Orte zu erkunden. * Auch Wanaka ist eine Reise wert. Dieses charmante Städtchen am See hat viel zu bieten. Wir genossen es, am Nachmittag einen Kaffee zu trinken am Wasser oder den Läden entlang zu schlendern. Es war ein guter Ausgleich neben dem Skifahren. Berühmt ist Wanaka auch für Skydiving, natürlich mussten wir dies ausprobieren (siehe «Chips» auf Seite 16). Aber nicht nur bei Extremsportarten hatten wir unseren Spass. Der Pingpong Tisch bei den Graubündnern, die im Ski Connect arbeiten, bot uns die Möglichkeit, uns auch neben der Piste zu messen. Unter anderem feierten wir dort den 1. August – ungewohnt patriotisch mit Cervelats und Bratwürsten. * Die Neuseeländer sind ein offenes und herzliches Volk. Auf dem Sessellift wird man regelmässig in Gespräche verwickelt und die Liftangestellten haben immer einen Spruch auf Lager. Gibt es aber am Abend vorher eine Staffparty oder einen Rugbymatch (was extrem häufig vorkommt), dann muss damit gerechnet werden, dass die Piste nicht richtig vorbereitet ist und die Lifte vielleicht auch erst 30 Minuten später öffnen. * Das Abenteuer Neuseeland wird keiner so schnell vergessen. Wir alle nahmen viele Erinnerungen mit nach Hause. Besonders Michael, er wird seinen neuen Namen («Tortellini») nicht wieder los. Tess Hoppeler

Carol Schmid (linkes Bild) in Treble Cone; Simona Candrian, Lukas Dellenbach, Michael Toneatti und Daniela Fuchs machen Freudensprünge. Krz

Die Hauptreisegruppe verpackte ihre Ski in eine Box aus Holz, die vorab angereisten Athleten (unten Tess Hoppeler) checkten konventionell mit Trollys ein. SCa /MTo

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Sportliche Bilanz des Neuseeland-Trainingslagers

Eine grosse Investition, die sich auszahlen wird Dass das Schweizerische Studentenkader Alpin diesen Sommer ein Trainingslager im Südwinter organisierte, hat viel mit den neuen Skiradien und dem aussergewöhnlichen Universiadedatum zu tun. Schon vor den definitiven Selektionen des Schweizer Hochschulsportverbandes (SHSV) ist klar: Diese Investition wird sich auszahlen. Alle haben ihre Technik gut auf die neuen Ski abgestimmt und unter den veränderten technischen Rahmenbedingungen ihre FIS-Punkte bestätigen können. Daniela Fuchs und ihr Sprung von 94.74 auf neu 54.27 FIS-Punkte waren

sieben von acht Neuseeland-Rennen ausschied, konnte an seiner persönlichen Ausgangslage (65.85 GS) logischerweise nur wenig ändern. Wie streng der SHSV die Selektionskriterien letztendlich anwendet, dürfte nicht zuletzt auch vom Interesse der Swiss-Ski-Kadermitglieder abhän-

«

Im Bereich der neuen Ski und der darauf abgestimmten Technik konnten wir das Optimum herausholen.» Reto Candrian

«down under» das sportliche Highlight.

Die NeuseelandReisenden des alpinen SASStudentenkaders (von links): Carol Schmid, Daniela Fuchs, Simona Candrian, Tess Hoppeler, Michael Toneatti und Lukas Dellenbach. RCa

Damit konnte Teamchef Reto Candrian dem Schweizer Hochschulsportverband (SHSV) im Selektionsantrag fünf SAS-Fahrer und vier -Fahrerinnen vorschlagen (siehe Box) – Maturandin Tess Hoppler, die nach ihrer Verletzung vom letzten Winter keine Wettkämpfe in Neuseeland bestreiten konnte, fehlt auf dem SHSV-Selektionsantrag. Ob die Vorgeschlagenen im Trentino alle dabei sind, ist offen: Denn nur Sandro (14.93 FIS-Punkte SL) und Patrick Boner (28.09 SL) erfüllen die UniversiadeNorm, die anderen sind teils recht nahe dran. Lukas Dellenbach, der in

gen. Die «heisseste» Kandidatin ist Weltcupfahrerin Mirena Küng, die an der Universiade 2009 in Harbin mit Abfahrtssilber überraschte und dort ihre Ski-Karriere neu lancierte. Weitere Ziele erfüllt Nebst dem kurzfristigen Ziel, die FIS-Punkte im Hinblick auf die Universiade zu verbessern, ist das Neuseeland-Trainingslager auch als mittel- bis langfristige Investition zu betrachten: «Im Bereich der neuen Ski und der darauf abgestimmten Technik konnten wir das Optimum herausholen», erklärt Teamchef Reto Candrian: «und wir wissen nun ge-

nau, was wir im Herbst-Schneetraining noch tun müssen!» Denn wer sich bereits im Südwinter mit den neuen Ski unter Wettkampfbedingungen vertraut machen konnte, ist gegenüber allen anderen im Vorteil. Ebenfalls hat sich die Neuseelandreise sehr positiv auf den Teamspirit ausgewirkt: Vier Wochen lang miteinander in einer Hütte zu leben, selber zu kochen und gemeinsam ein spezielles Rahmenprogramm zu erleben, das schweisst zusammen. Damit holt man sich natürlich keine Medaillen, aber für die Entwicklung des alpinen Studentenkaders und die zukünftige Rolle dieser Athletinnen und Athleten innerhalb des SAS ist das durchaus von Bedeutung. Gemischte Gruppen positiv Sehr positiv beurteilt Reto Candrian die Trainings in gemischten Gruppen (nach Geschlechtern getrennt, aber mit Athleten anderer Nationen gemischt) und die Zusammenarbeit mit den Trainern des High Performance Centers: «Mit stärkeren Athleten zusammen in der Gruppe zu trainieren, öffnet die Augen und erweitert den Horizont», stellt Candrian fest: «Da haben unsere Athletinnen und Athleten einige Inputs erhalten, die sie nicht bekommen hätten, wenn sie nur untereinander trainieren.» Roli Eggspühler

SAS-Ranking für die Universiade Die Universiade-Richtlinien des SHSV erfüllen nur Sandro Boner (14.93 SL) und sein Bruder Patrick (28.09 SL) vollständig. Weiter interessieren sich folgende SAS-FahrerInnen für eine Teilnahme an der Universiade 2013 im Trentino: Grégoire Du Pasquier (47.18 SL), Michael Toneatti (55.89 GS) und Lukas Dellenbach (67.85 GS) sowie Daniela Fuchs (54.27 SL), Simona Candrian (56.04 SL), Carol Schmid (70.66 GS) und Caroline Bachmann (76.20 GS). Egg Der abschliessende Selektionsentscheid des SHSV fiel nach Druckbeginn dieser Ausgabe.

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Universiade-Selektionen im Zeichen einer ungewohnten Zeitachse! Der Schweizer Hochschulsportverband selektioniert bis zum 4. November 2013 die Athletinnen und Athleten, welche vom 11. bis 21. Dezember 2013 die Schweizer Farben an der Universiade im Trentino (Italien) vertreten werden. Die Selektionsentscheide erfolgen angesichts der knappen Zeitachse laufend, sobald die Anträge des jeweiligen Disziplinenchefs vorliegen. «Wir wollen keine unnötige Zeit verlieren», erklärt der Schweizer Delegationsleiter und SHSV-Spitzensportchef Fredi Schneider: «Unser Ziel ist, dass sowohl die Athletinnen und Athleten als auch wir von der Teamleitung so schnell wie möglich Klarheit haben, wer im Trentino dabei ist.» Durch die Verschiebung von Maribor (Slowenien), wo die Durchführung im letzten Februar gewesen wäre, findet die diesjährige Universiade in Bezug auf das Kalenderjahr so spät wie noch nie statt. In saisonaler Betrachtung ist es umgekehrt: So früh war noch nie eine Universiade. Diese ungewohnte Zeitachse ist für die Teams und die Selektionäre eine spezielle Herausforderung.

Der Start in den neuen Winter war für die SAS-Universiade-Kandidatinnen und -Kandidaten in Neuseeland in den Skigebieten um den Lake Wanaka. Susanne Iten

Curling-Trials Mitte September Während sich den Skisportlern der Gang in den Südwinter diesmal ganz besonders anbot, um gerade noch rechtzeitig ihre FIS-Punkte zu verbessern, änderte sich für die Curler wenig. Sie trugen ihre Trials einfach etwas früher als normal aus – am mittleren Septembersonntag stand nach dem dreitägigen Turnier fest, dass nicht die Silbermedaillengewinner von Erzurum ins Trentino reisen, sondern das letztes Jahr neu formierte Team um den Zuger Mario Freiberger. Die Entscheidung fiel erst im nötig gewordenen Zusatzspiel, im Verlauf des zweitletzten Ends zeichnete sich der Sieg des Teams ab, das die Schweiz in gut vier Jahren auch an den Olympischen Spielen vertreten will. Roli Eggspühler

Die Schweizer Delegationsleitung rekognoszierte die Universiaderegion im Trentino vom 25. bis 28. September 2013 (von links) und kehrten mit vielen Eindrücken heim: Head of Delegation Fredi Schneider, Mirjam Pfenninger (Chefin Unterkünfte, Ausrüstung), Attaché Luca Previtali (Chef IT, Verbindungen/Übersetzer) und Chris Böcklin (Stv. Delegationsleiter, Chef Administration). PD SHSV

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Chips

Daniela Fuchs (links) dachte sich, wenn ein Einheimischer so Ski fährt, ist das Baden im eiskalten See das Normalste der Welt. SCa

Von der (warmen) Piste in den (noch kalten) See

Dilemma der Aussprache: Daniela Fucks statt Fuchs

Neuseeland erlebte einer der wärmsten Winter der Geschichte. Im September bei den letzten Skitagen, wurden die Temperaturen unter kräftigem Sonnenschein fast sommerlich warm – bis ca. 20 Grad Celsius animierten einen Einheimischen, in den Unterhosen Ski zu fahren. Und das brachte ein paar hartgesottene Athletinnen und Athleten auf die Idee, sich am Nachmittag im See eine richtig (heftige) Abkühlung zu gönnen. SCa

«Fuchs» ist für englischsprachige Kiefer offenbar ein schwieriger Name, und so wird daraus in der Aussprache «Fucks», obwohl dieser Begriff mit einem anderen Inhalt belegt ist, der gleich geschrieben wie «Fuchs» in Neuseeland ausgesprochen wird. Nun, die direkte Übersetzung («Fox») wäre ja auch für Betroffene durchaus noch witzig – aber so, wie ihr Name auf dem Skiliftabokärtchen stand, fand es Daniela Fuchs nicht mehr ganz so lustig. Egg

Beim Bad im Lake Wanaka (von links): Simona Candrian, Michael Toneatti und Daniela Fuchs. Lukas Dellenbach

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The real aussie Feeling

Adrenalinschub in der Luft am Ruhetag!

Kulinarisch ist es Vegemite, dieser Brotaufstrich hat es sogar in die Musikwelt geschafft (Dank «Down Under» von «Men at Work»). Aber ansonsten steht musikalisch eher das Didgeridoo für Australien. Weder Lukas Dellenbach noch Daniela Fuchs oder Simona Candrian haben in der Schweiz je ein Alphorn berührt, aber dafür in Sydney Didgeridoo gespielt und das «real aussie music Feeling» erlebt. Egg

Neuseeland bedeutet viele Kiwis, sehr viele Schafe, und noch mehr Extremsportarten. Somit ist auch «Skydiven» (Fallschirmspringen) beinahe ein Must für Neuseelandbesucher. An einem freien Tag und bei schönstem Wetter liessen sich die Mitglieder der Equipe Suisse universitaire auf dieses Abenteuer ein. Es war so atemberaubend, dass sie das Skifahren am nächsten Tag höchstens noch zum Gähnen brachte. SCa

Lukas Dellenbach, Daniela Fuchs und Simona Candrian spielen beim 3-tägigen Stop-over in Sydney Didgeridoo. KLe

Vor dem Start (unten, von links): Daniela Fuchs, Carol Schmid, Simona Candrian und Tess Hoppeler sowie Lukas Dellenbach (oben, 2. von links) mit Daniele Sette (links) und Simon Steimle (3. von links) und weiteren Skifahrern der Trainingsgruppe. Michael Toneatti

Von der für das Bungee Jumping berühmten Kawarau Bridge stürzte sich niemand aus der SAS-Gruppe. SCa


Winter-HigHligHts 2013 / 2014 St. Moritz und Umgebung

Winterprogramm 2013 / 2014 Gegen 150 offizielle Anlässe organisiert St. Moritz in seiner 149. Winter saison. Dazu kommen noch jene der grossen Hotels, der Nachbarorte und des Engadins. Zudem finden Sie auch elf Museen, acht Bibliotheken und zahlreiche öffentliche Ausstellungen oder Galerien.

29. – 30. November St. Moritz City Race Saisoneröffnung in der Fussgängerzone Dorf 14. – 15. Dezember Ski Alpin Audi FIS Alpine Ski World Cup Damen, Super G und Riesenslalom

www.stmoritz.ch

St. Moritz Tourismus Sports & Events Via Maistra 12 CH-7500 St.Moritz T +41 81 837 33 88 sports@stmoritz.ch www.stmoritz.ch

18. – 19. Dezember Ski Alpin FIS Europa Cup Damen, 2 Abfahrten 20. Dezember Ski Alpin FIS Europa Cup Damen, Super G 28. – 29. Dezember Olympia Bob Run Schweizermeisterschaft 28. – 30. Dezember Konzert Sinfonia 2013

6. – 12. Januar Olympia Bob Run Weltcup 12. – 19. Januar Springreiten 56. Concours Hippique auf Schnee 13. – 19. Januar Olympia Bob Run Europacup 15. – 24. Januar Bridge 73. Internationales Bridge Turnier 15. – 18. Januar Automobile 11. Winter Raid – “White Star of St. Moritz” 18. – 19. Januar Curling 116. Jackson Cup / Steffani Kanne

27. – 31. Januar Kulinarik St. Moritz Gourmet Festival 2014 30. Januar – 2. Februar Polo 30. St. Moritz Polo World Cup on Snow 6. – 9. Februar Engadinsnow Weltklasse-Freeskier und Snowboarder 9. / 16. / 23. Februar Pferderennen White Turf St. Moritz – International Horse Races since 1907 13. – 16. Februar Cricket St. Moritz Cricket on Ice 15. Februar Cresta-Run Grand National

2. März Ski Nordisch 15. Frauenlauf, Samedan — S-chanf (17 km) 7. März Ski Nordisch 34. Nachtsprint St. Moritz / Marathon Village 9. März Ski Nordisch 46. Engadin Skimarathon, Maloja / S-chanf (42 km) und 7. Halbmarathon 14. – 15. März Freestyle FIS Slopestyle World Cup, Freestyle Skifahrer im Corvatsch Freestyle Park


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Hans Erni ist der neue Alpin-Trainer

«Es ist mir eine Ehre, gleich zu heissen wie er!» Die Àra von Christian Schnepf ist Geschichte, neu trainieren die SAS-Alpinen mit Hans Erni. Er ist Zentralschweizer, wie sein berühmter Namensvetter (siehe Box). Skitrainer Hans Erni (54) aus Alpnach ist knapp halb so alt wie der Luzerner Kunstmaler gleichen Namens. Es gibt sogar noch mehr Gemeinsamkeiten. «Ich kenne ihn vom Skiclub Luzern, wo er in jüngeren

«

Ich kenne ihn vom Skiclub Luzern.»

Hans Erni über Hans Erni

Jahren aktiv war», erklärt der neue SAS-Alpin-Trainer und betont: «Ich schaue mit sehr, sehr grossem Respekt zu dieser Person und ihrem Lebenswerk hoch. Es ist mir eine Ehre, gleich zu heissen wie er. Auch wenn das natürlich immer wieder mal

lustige oder komische Situationen gibt.» Nun, Hans Erni ist ein ganz grosser Künstler, und der andere Hans Erni beherrscht die Kunst, seine Athletinnen und Athleten auf den Ski schnell zu machen. Er ist heute freischaffender Skitrainer, und er betreut das SAS-Alpinkader auf Mandatsbasis. Und zwar so, dass iNN Bezug auf andere Mandate ein koordiniertes Nacheinander entsteht. Ein «Nebeneinander» von SASlern und anderen Athleten ist nicht vorgesehen. Nebenbei ist Hans Erni im Sportartikelhandel tätig und baut ein kleines Treuhandbüro auf – in der Zwischensaison und wenn er gerade nicht auf den Ski ist, kümmert er sich um Buchhaltungen, Steuererklärungen und Firmengründungen. Lange Trainertätigkeit Zwischen 1990 und 2002 war er Technischer Leiter und Chef Alpin im Zentralschweizer Skiverband (ZSSV) und während zehn Jahren für die Damen der Interregion Mitte verant-

wortlich. Unter seiner Führung stieg Gaby May direkt vom Kantonalkader in die Nationalmannschaft auf. Corinne Imlig siegte mit 16 Jahren im Weltcup auf der Lenzerheide, Nadja Styger begleitete er während zehn Jahren von ganz unten durch alle Nachwuchsstufen, und Fabienne Suter integrierte er nach ihrem ersten Kreuzbandriss im Training. Als Privattrainer schuf er die Grundlage für diverse Schweizermeistertitel seiner Athletinnen und Athleten, und er baute die Nachwuchs-Nr. 1 von Kanada und den Vereinigten Staaten auf. Neues SAS-Trainingskonzept Für das alpine Studentenkader gibt es ein neues Trainingskonzept, das drei Stufen vorsieht – dabei handelt es sich nicht um eine Hierarchisierung nach Athletenstärke, sondern um Pakete mit unterschiedlichen Leistungen. So sind in der Trainingsgruppe «high» in der Vorbereitung 40 Schneetage vorgesehen, weiter gibt es die Stufe «basic» und «SHM». Roli Eggspühler Hintergrund

Hans Erni, der neue Trainer des alpinen SASStudentenkaders. Reto Candrian

Kunstmaler Hans Erni Hans Erni ist ein international bekannter Schweizer Kunstmaler, Grafiker und Bildhauer aus Luzern. Der am 21. Februar 1909 geborene Hans Erni war in der ersten Lebenshälfte ein aktiver und erfolgreicher Sportler (Landhockey, Skispringen und Skilanglauf). Quelle: Wikipedia.ch Foto: Barbara Hess / maiak.info www.hans-erni.ch

www.ernihans.ch

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13ème camp d’été Jeunes SAS, du 27 juillet au 1er août 2013

Bons conseils de Christian Schnepf Pour la 13ème année consécutive, un camp d’entraînement sur un glacier du Valais était proposé aux jeunes de notre club. Pour cette édition, dix jeunes sportifs entre 10 et 16 ans avaient répondu à l’appel d’Olivier Brunisholz (SAS FR). C’est donc à Saas-Fee que tout ce petit monde s’est retrouvé sous les ordres de Claire Terraillon (SAS GE) qui était responsable de l’encadrement.

Les enfants pouvaient également compter sur les bons conseils de l’ancien entraîneur de l’équipe suisse, Christian Schnepf, qu’on ne présente plus. Il a partagé avec les jeunes sa profonde connaissance du ski et du sport en général, les considérant comme des athlètes à part entière. * Au programme: amélioration de la technique sur les skis, condition physique, activités en plein air, sans oublier apprentissage des valeurs d’amitié et de solidarité dans l’effort qui sont chères à notre club! * Les jours où la météo était capricieuse, nous en profitions pour faire des exercices d’équilibre, nous allions à la salle de sport pour des jeux de ballon ou une partie de hockey. Heureusement, les remontées mécaniques ne sont restées fermées que deux jours et le ski a pu reprendre ses droits sur le glacier! De nombreuses équipes du

monde entier s’entraînaient sous l’Allalinhorn, ce qui n’a pas manqué d’impressionner et d’inspirer la jeune génération de SASlers qui était présente. * L’après-midi, les options pour se dépenser ne manquaient pas, avec des parties de volley, de basket et de foot! Pour les amateurs de sensations fortes, l’accro-branche et la luge d’été étaient également à disposition grâce au Bürgerpass. * En somme la semaine a été, cette année encore, un franc succès. Selon Christian les progrès étaient visibles chez tous les skieurs. Un grand merci à lui pour sa patience et son professionnalisme. Merci également à Olivier d’avoir organisé ce camp qui contribue à façonner l’avenir de notre club. * Le rendez-vous est déjà pris pour l’été prochain, nous attendons les jeunes nombreux et motivés ! Vive le SAS! Philippe Yeterian, Entraîneur

Chips

Hans Erni und Facebook

La dernière photo avant la pause d’été

Als Künstler Hans Erni sein Facebook-Profil eröffnete, staunte er nicht schlecht: Er konnte sein Geburtsjahr nicht eingeben, weil Facebook nicht daran gedacht hatte, dass auch Menschen mit einem dreistelligen Alter in den «social media» aktiv sein möchten. Das ist dank Hans Erni nun möglich – auf sein Schreiben hin korrigierte Facebook das Altersspektrum nach oben. Egg

La traditionnelle photo de la course «Ostermontag» de cette année à Visperterminen, avec (de gauche à droite) Nicolas Weinmann, Philippe Reymond, Poupy de Courten , Philippe Guyot et Christian de Courten. zVg

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Semaine SAS / Sas Season’s Closing à St-Moritz, du 13 au 17 mars 2013

Les traditionnels mojitos dans l’aire d’arrivée Habituellement organisés à Zermatt, c’est dans la station de St-Moritz en Engadine que se sont déroulés cette année la Semaine SAS et le SAS Season’s Closing du 13 au 17 mars 2013.

Marina (à gauche) et Armin Siegwart (à droite) avec l’ancien président central Urs Schaeppi. Egg

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Arrivés mercredi soir après une longue route, nous nous sommes installés dans notre petite auberge et nous avons rapidement retrouvé nos chers amis SASlers dans un petit bar qui deviendra, au fil de la semaine, notre bar préféré: le Stübli! Après un réveil tout en douceur, nous avons passé la journée de jeudi sur le domaine skiable de Corvatsch où nous avons pu profiter d’excellentes conditions: un soleil radieux, une neige de rêve, mais un froid glacial! * Le soir venu, c’est au Lai da Staz que les plus courageux d’entre nous se sont rendus à pied pour dîner, la balade en calèche étant néanmoins nettement plus confortable! À l’accueil du restaurant, un feu de bois nous attendait à l’extérieur avec du vin chaud. Le froid nous a finalement fait migrer à l’intérieur où un excellent repas nous a été servi. La soirée s’est bien évidemment terminée, à nouveau, dans notre bar préféré pour une initiation aux Jägerbomb! * Vendredi, départ pour le Morteratsch: au sommet du domaine de Diavolezza, un guide de montagne fort convivial nous y attendait pour prendre d’assaut le terrible glacier du Morteratsch dont la légende n’est plus à conter. C’est donc par un grand soleil aveuglant, mais qui faisait néanmoins ressortir toutes les teintes bleutées de ce magnifique champ de glace, que nous nous sommes attelés à cette enivrante descente. Tantôt raide et engagée tantôt plate et bucolique, cette sortie hors des pistes fut une totale réussite et le plaisir se lisait sur le visage de chacun, le tout ponctué par cette magnifique incartade dans une grotte glacée, brèche dans la glace invitant à un petit voyage hors du temps à 2500 mètres d’altitude.

Colin Bouduban.

C’est donc avec les jambes renforcées et la tête pleine de belles images que nous sommes arrivés à la fin de notre splendide excursion. * Après cette longue journée, nous avons été chaleureusement accueillis par Ivan Wagner pour un somptueux repas dans son magnifique chalet à Bever où les candidats lausannois ont pu montrer leur talent de serveur, sommelier et valet. Certains ont même bravé

des températures polaires (-20 degrés) pour diriger les voitures des convives dans le village pendant que d’autres s’afféraient en cuisine. Un groupe de téméraires a quant à lui pu profiter d’un dernier entraînement nocturne sur les pistes de Corvatsch et d’une bonne fondue avant le SAS Season’s Closing du lendemain. * Après un réveil difficile pour certains, tous les participants étaient à l’heure au départ. La course a eu


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À l’hôtel Kempinski à St-Moritz.

Chez Ivan Wagner (SAS ZH) à Bever.

La zone d’arrivée du SAS Season’s Closing à Corviglia. zVg

lieu sur la splendide piste de Coupe du monde sur le domaine de Corviglia. Les deux manches se sont parfaitement bien déroulées malgré une piste très gelée qui a entraîné quelques chutes et sorties spectaculaires. Pour leur permettre de se remettre de leur émotion, le comité lausannois avait préparé ses traditionnels mojitos dans l’aire d’arrivée! * Requinqués, il était temps pour tous ces champions de se préparer

pour la fameuse «Sie & Er». Cette année, la «Sie & Er» a été quelque peu revisitée par le SAS Lausanne: la course s’est effectuée en ski de fond sur une petite piste préparée en conséquence à quelques mètres de l’hôtel Kempinski, tout ceci accompagné de quelques bières et Mojitos (de nouveau…!) pour pimenter le tout. * La quinzaine de couples se sont alignés sur la ligne de départ. Pour plus de la moitié, c’était la

première expérience sur des skis de fond, voilà donc qui promettait quelques belles surprises. Au départ, Nicko Gallay qui coordonnait les opérations: après avoir «descendu» un premier verre de bière, les quatre premiers concurrents s’élançaient dans une première boucle à tombeau ouvert. S’en suivait un échange bref mais sportif des dossards, un petit verre de bière à nouveau, le bisou, et c’était alors reparti pour les femmes. Les chutes ont pu se compter par dizaines, faisant le bonheur des spectateurs. * Et pour la finale, les six couples les plus agiles se sont confrontés pour le titre du «Mister et Miss ‹Sie & Er› 2013», qui a été finalement remporté par Simona Candrian et Ian Haefliger. * Après cette journée pleine d’émotion, nous nous sommes tous retrouvés, en toute élégance, pour le dîner de Gala au Kempinski qui se termina, bien évidemment, dans notre bar préféré pour clôturer, en beauté, l’édition 2013 de la Semaine SAS et du SAS Season’s Closing.

Bravo et merci pour Armin et Marina! Après huit Semaines SAS organisées avec brio, comme beaucoup de grands sportifs, Marina et Armin Siegwart ont décidé de se retirer après un dernier succès éclatant. La semaine AH qui nous a réunis très nombreux à Saint-Moritz au mois de mars a été une réussite totale, elle a permis aux Actifs et aux Candidats de côtoyer leurs Ainés dans une magnifique ambiance. Bravo et une nouvelle fois merci à Armin et Marina pour leur dévouement envers le SAS. Devant la tâche et pour être à même de maintenir la même qualité d’organisation (et faire monter tout le monde dans les bons bus....), les nouveaux GO ont décidé de partir à

4: Luc et Rebecca Tétaz, Luca et Martine Micheli. Faire se rencontrer les générations Le passage de témoin a eu lieu ce printemps lors d’une soirée très chaleureuse et, sous certains aspects, solennelle chez Jacques Gautier à Dully. L’année étant déjà bien avancée et le calendrier de la saison à venir déjà chargé, il a été décidé de maintenir la collaboration avec la section de Lausanne. L’organisation en parallèle de la Semaine AH et de la Coupe SAS permettant de mélanger et faire se rencontrer les générations, une des forces de notre club. Luc et Rebecca Tétaz, Luca et Martine Micheli

2014 ins «ItaloSuisse» integriert Die nächste AH-Woche (semaine SAS) mit Season-Closing wird diese Saison in das traditionelle «Italo-Suisse» integriert, das in St. Moritz ausgetragen wird (2.-6. April 2014).

Intégré à l’«ItaloSuisse» en 2014 La Semaine SAS et le SAS Season’s Closing 2014 seront organisés conjointement avec le traditionnel «ItaloSuisse». Ce grand événement aura lieu du 2 au 6 avril 2014 à St-Moritz».

Henri Bittel Emilie Gueissaz Hugo Maye Melissa Von der Mühll

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Nordisch Nordique Nordisk

Saisonvorbereitung der Nordischen

Gletscher, Skitunnel und Rollski Den Nordischen steht im Sommer ein breit gefächertes Spektrum an Trainingsmöglichkeiten zur Verfügung, um sich auf den Winter vorzubereiten: Sie trainieren auf dem Gletscher, im Skitunnel und ab 1. November ist in Davos der übersommerte Schnee in Loipenform gebracht. Dazu kommen unzählige Rollski-Kilometer – hier ein kleiner Bildüberblick.

Die Loipe aus übersommertem Schnee des Vorwinters in Davos als novemberliche Alternative zu den Rollski. PD

Die Swiss-SkiAthleten im Skitunnel in Oberhof. PD

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Nordic Weekend

Sieg für Bettina Gruber Bereits zum vierten Mal traf sich die Schweizer Langlauffamilie in Andermatt zum Nordic Weekend. In dieser dreitägigen Minitour konnten sich Bettina Gruber (Bild unten, rechts) bei den Damen und Dario Cologna bei den Herren durchsetzen. Im Prologsprint lag Bettina Gruber 1.2 Sekunden hinter Laurien van der Graaff, im Klassischrennen und im Berglauf hatte die SAS-lerin die Nase vorn. Rahel Imoberdorf klassierte sich als Gesamt-9. PD/Red


Nordisk Nordique Nordisch

SAS-Gruppenreise nach Finnland zum «Rajalta Rajalle Hiihto» (7.-16. März 2014) Ein Langlauferlebnis der besonderen Art wartet diesen Winter auf die SASlerinnen und SASler: Der «Rajalta Rajalle Hiihto» (9.-15. März 2014) ist ein Langlauf-Etappenevent in Finnland und führt in sieben Tagen nahe des Polarkreises von Finnlands Ost- zur Westgrenze. Der «Rajalta Rajalle Hiihto» (RR) ist nicht ein Wettkampf, sondern ein Skilanglauf ohne Startnummer – für eine Teilnahme muss man nicht Langlaufprofi sein, aber eine gewisse Vorbereitung in der klassischen Lauftechnik ist ratsam, damit der RR zum Erlebnis und nicht zur körperlichen Grenzerfahrung wird. Organisierter Gepäcktransport Die Laufdistanzen liegen zwischen 45 und 76 Kilometern, unterwegs

gibt es mehrere Verpflegungsposten sowie eine Hauptverpflegung. Gelaufen wird auf gespurten Loipen mit relativ wenig Höhenmetern in der weitgehend unberührten finnischen Naturlandschaft. Zwischen den Etappenorten gibt es einen Gepäcktransport, übernachtet wird in Hotels oder einfachen Unterkünften (Schulen, Ferienhäuschen). Zudem gibt es täglich eine Ein- oder Ausstiegsmöglichkeit mit Bustransfer. Hans-Jörg Lutz

Weitere Informationen Kosten ca. 1300 Franken pro Person. Hinflug (nach Kuusamo) und Rückflug (von Oulu, Kemi oder Kuusamo) selber buchen, da günstiger als Gruppentarife. Inkl. Vorbereitungstag bei Kuusamo mit Vollpension. Beschränkte Platzzahl. Voranmeldung bis Ende Oktober 2013 und definitive Anmeldung unter Einzahlung der Kosten bis 15. Dezember 2013 an HansJörg Lutz (hjlutz gmx.ch). Versicherung (auch Reisekostenannulation!) ist Sache der Teilnehmenden. Detaillierte Informationen beim finnlanderfahrenen Reiseorganisator Hans-Jörg Lutz (SAS Zürich) oder im Internet: http://rajaltarajallehiihto.ranua.fi/In-english/

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In den drei Fällen liegt seine bemerkenswerte Eigenschaft in der Tatsache, dass es immer fahrbar bleibt, was ihm erlaubt, ohne Anstrengung seinen Eigentümer praktisch überall hin zu begleiten: den FussgängerWerbung Publicité inAnnonse zonen, durch die Säle und auf den Bahnsteigen, auf den Zufahrtsrampen, in den Handelszentren, den Fahrstühlen und auch auf den Rolltreppen. MOBIKY wird ihr zukünftiger Begleiter, den Sie in die öffentlichen Transportmittel, meistens kostenlos, mitnehmen können: Zug, Strassenbahn, Bus oder Metro. « Mobiky lässt sich so transportieren, wie es Sie transportiert. »

Dans les trois cas, leur particularité remarquable réside dans le fait qu'ils restent toujours aptes à rouler, leur permettant d'accompagner sans effort leur propriétaire pratiquement partout: dans les zones piétonnières, à travers les halls et sur les quais de gare, dans les rampes d'accès, les centres commerciaux, les ascenseurs ou encore sur les escaliers roulants. MOBIKY, c'est le moyen de transport rapide, efficace et écologique qui vous réconcilie avec tous les autres modes de transport: train, tram, bus ou métro, tous les transports publics en général qui l'acceptent, le plus souvent, gratuitement, mais aussi voiture, bateau, camping-car ou avion. « MOBIKY se laisse transporter autant qu'il vous transporte. »

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Dem Berner SASler gelang der «Schnappschuss des Jahres»

Der Sommer war dieses Jahr sehr heiss. Nach der zweiten Maihälfte mit Schnee bis in tiefe Lagen fand das natürlich sofort und mit viel Schalk auf Facebook Niederschlag.

Christoph Boner

Peter Schwager Der frühere SSV-Kaderkollege von Urs Schmidig und Toni Dinkel (beide SAS Bern) schrieb..:

«Sommer im Rheintal! Sogar die Kerzen machen schlapp...» 19. Juni 2013 ...unter das (auf der Sonnenseite) in seiner Wohnung in Balgach aufgenommene Foto.

«Wenn jemand diese Woche noch aufs Matterhorn klettert, könnte der- oder diejenige meinen Medizinball holen? Unsere Physio hat ihn hoch geschmissen und jetzt haben wir keinen mehr...»

Und einer seiner Freunde kommentierte:

«Das sind Designerkerzen. Die müssen so sein... ;-) »

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Fussballspiel um die Krähe, 22. September 2013

«Züri West» ohne Chance gegen SAS Zürich

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Um die Krähe spielen immer der SAS Zürich und der SAS Bern – so will es die Tradition. Der Austragungsort alterniert jährlich zwischen Zürich und «Züri West». So heisst die Bundesstadt in Anlehnung an die Mundartrockband von Mundartrocker Kuno Lauener, einem bekennenden Fussballfan der Berner Young Boys, die seit mehr als einem Vierteljahrhundert von einem Pokalgewinn träumen. Ganz so schlimm ist es beim SAS Bern nicht. Aber die Krähe ging zum dritten Mal in Folge mit den Zürchern nach Hause.

Spieltelegramm SAS Zürich – SAS Bern 7:4 (2:2) ASVZ-Fluntern-Arena. – 12 Zuschauer (davon ca. 8 Ersatzspieler) – SR Nobody Tore, 1. Halbzeit: 5. M. Kinsbergen (Bern) 0:1, 12. V. Kinsbergen (Bern) 0:2, 25. Dörig (Zürich) 1:2, 38. Dörig (Zürich) 2:2. 2. Halbzeit: 54. Dörig (Zürich) 3:2, 59. Rudin (Zürich) 4:2, 62. Rudin (Zürich) 5:2, 67. Züger (Zürich) 6:2, 75. Kind (Zürich) 7:2, 80. Dellenbach 7:3 (Bern), 83. Toneatti (Bern) 7:4.

«Endlich dürfen wir unsere, über die Sommermonate hart erarbeitete Athletik und die Finessen unserer Technik gewinnbringend im Ernstkampf einsetzen!», machte der Zürcher Captain Florian Schmid sein Team im Vorfeld scharf und baute viel Humor zwischen die Zeilen ein: «Es geht darum, unsere starke Serie gegen die Sektion Bern fortzuführen und ihnen den wahren Informationsgehalt der Radiowerbung ‹hie parkiered nid nume Bärner gärner› auf sportlicher Ebene klar zu machen!»

Vom Greifenseelauf weiter auf die Fluntern! Simona Candrian (rechts im Bild) stand im Zürcher «Krähen-Team», nachdem sie keine 24 Stunden zuvor den Halbmarathon um den Greifensee absolviert hatte. Den aufkommenden Muskelkater ignorierte sie hartnäckig, zumindest bis zum Schlusspfiff! Egg

Faires Spiel Das Spiel war über weite Strecken hart umkämpft, aber der offene Schlagabtausch verlief sehr fair – ganz so, wie es sich die neben dem ASVZ-Fussballfeld domizilierte FIFA wünscht. Es fielen viele Tore, nach 90 Minuten siegte der SAS Zürich mit 7:4, wobei das Resultat vielleicht etwas zu deutlich ausfiel! Damit durfte sich die Krähe auf eine kurze Heimreise freuen, denn sie blieb in Zürcher Händen – zum dritten Mal in Serie. PD/Red

Bemerkungen: 21. Chancentod Schmid vergibt kläglich zwei Hundertprozentige. 49. Ballverlust auf FIFA-Gelände durch satt getretenen Eckball von Rudin. 63. Dellenbach mit Knieprellung vorübergehend ausgeschieden, konnte später wieder in das Geschehen eingreifen. 1.-90. Lautstarker SAS-Nachwuchs auf der Tribüne in der Person von Melea Fisler.

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Patrick Menge an der Grasski-WM in Japan, 3.-8. September 2013

Eher einfache WM-Piste mitten im Nirgendwo Anfang September fanden in Japan die Grasski-Weltmeisterschaften statt. Mit dabei war der Basler Sektionspräsident Patrick Menge, welcher zusammen mit drei Teamkollegen die Schweiz vertreten durfte.

Patrick Menge (SAS Basel), hier an einem Wettkampf in der Tschechischen Republik, fuhr an der WM in Japan drei Mal in die Top20. Archiv

Der Grasskisport ist in Japan populärer als in unseren Breitengraden. Es gibt einige Grasskischulen, welche rege besucht werden – Japan verfügt über fast so viele Grasskispisten wie Europa. Die Prinzessin Japans ist die Präsidentin des nationalen Grasskiverbandes, und der japanische Premierminister schickte eine zehnminütige Videobotschaft, die im Rahmen der Eröffnungsfeier ausgestrahlt wurde. Die Rennen fanden etwa 350 Kilometer nördlich von Tokyo statt, eine Stunde von der nächsten grösseren Ortschaft entfernt, mitten im Nirgendwo. Die Piste war eher einfach, was Patrick Menge als leichten Techniker nicht wirklich entgegenkam.

Trotzdem gab er alles, um sein Ziel, einen Top Ten Platz, zu erreichen. 3 x Top20 Nach der Besichtigungs- und Angewöhnungszeit ging es mit dem Super-G los. Dieser geriet dem SASler nicht nach Wunsch. Besser lief es ihm in der tags darauf folgenden Super-Kombination, wo er in

«

Die Prinzessin Japans ist die Präsidentin des nationalen Grasskiverbandes.» die Top20 fuhr. Der Kombi-Super-G war zwar erneut unter seinen Möglichkeiten, aber im seiner Paradedisziplin Slalom konnte er etwas aufdrehen und noch ein paar Konkurrenten hinter sich lassen. Im Riesenslalom reichte es für eine erneute Top20-Platzierung, obwohl

ihm auf der rutschigen Piste keine perfekte Leistung gelang. Der letzte Renntag gehörte dem Slalom – jener Disziplin, in der Patrick Menge letztes Jahr überraschender Vierter geworden war. Dies war in Japan unter «normalen Umständen» nicht möglich, aber er visierte die Top10 an. Die durch den Regen aufgeweichte Piste machte die Aufgabe nicht leicht, aber die Kurssetzung war dadurch direkter als dies normalerweise der Fall ist. Dies führte dazu, dass relativ wenig Athleten ausfielen – auch solche, welche sonst im Slalom nicht so stark sind, kamen durch. Patrick (16.) reichte es nicht für einen Top10-Rang. Dennoch nicht unzufrieden Die Weltmeisterschaften in Japan waren sportlich nicht ganz so erfolgreich wie erhofft, dennoch ist Patrick nicht unzufrieden. Nun ist die Saison für ihn beendet, und es wartet wieder ein voller SAS-Terminplan auf ihn. Roli Eggspühler

Tsunami-Katastrophe und Erdbeben-Schreck! Vor den Rennen durfte die Schweizer Mannschaft die «Desaster Area», die 2011 vom Tsunami verwüstete Küstenregion, besichtigen und ein denkwürdiges Gebäude betrachten: Rundherum war alles flachgewalzt, nur noch das nackte Schulgebäude stand in der Landschaft. Dieses Schulhaus hat eine spezielle Bedeutung für die Bevölkerung, da alle Kinder den Tsunami überlebten, weil der Schulrektor die Kinder aufs Dach schickte – wenige Sekunden bevor die Welle nur einen Meter unter der Dachkante das Gebäude traf. Vor dem Riesenslalom gab es übrigens ein (leichtes) Erdbeben, welches Patrick Menge im 6. Stock seines Hotels erlebte. Die Japaner zeigten sich angesichts der geringen Stärke nicht gross irritiert und schmunzelten gar, als sich einige Europäer unter Türrahmen stellten. Egg

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Grasski-Weltcup im Libanon, 11.-15. Juli 2013

Friedlicher Skisport statt Kämpfe und Kriege Es gibt Länder auf der Welt, welche für ihre grossen Skiarenen bekannt sind. Definitiv nicht zu diesen gehört der Libanon, obwohl es dort Skigebiete gibt – wie den «Faqra Club». Dort startete Patrick Menge in den Sommerferien am Grasski-Weltcup. Hier sein Erlebnisbericht mit vielen Seitenblicken in ein Land, das von Kämpfen und Krieg gezeichnet ist.

Libanesischer Bürgerkrieg Der libanesische Bürgerkrieg dauerte von 1975 bis 1990. In seinem Verlauf bekämpften sich verschiedene Gruppierungen im Libanon in wechselnden Koalitionen. Darüber hinaus kam es zu mehreren Interventionen durch weitere Staaten. Dieser Bürgerkrieg forderte 90 000 Todesopfer, 115 000 Verletzte und 20 000 Vermisste. 800 000 Menschen flohen ins Ausland.

Dass es im Libanon hohe Berge mit Skigebieten gibt, wusste ich bis vor kurzem nicht. Für mich und die Schweizer Grasski-Mannschaft war es eine Reise ins «fast Unbekannte». Nun, wir waren in den vergangenen Jahren einige Male im Iran, um dort ebenfalls Grasski-Weltcuprennen zu bestreiten. Somit waren wir mit dem Nahen Osten schon etwas vertraut und machten uns keine Sorgen um die extra in die Steppe Libanons gepflanzte Graspiste, da auch im Iran auf über 3000 Meter Höhe neben der Grasskipiste direkt die Steppe beginnt. * Am Flughafen der libanesischen Hauptstadt Beirut, welcher sich direkt an der Küste befindet, wurden wir nach der (eine gefühlte Ewigkeit dauernden) Passkontrolle direkt von der Polizei in Empfang genommen – weil sie uns mit Blaulicht und Sirene durch Beirut eskortierte. Die Stadt hat nicht wirklich ein einheitliches Erscheinungsbild: Neben den alten hohen Wohnblöcken, welche teilweise von Einschusslöchern übersät sind (siehe Lupenbild), wurden modernste vollverglaste Modeshops hingebaut. * Am Anfang fuhren wir der Küste entlang nach Norden. Links das Meer, rechts direkt das Gebirge. Und als

wir nach Osten ins Gebirge abbogen, ging es nur noch bergauf bis auf fast 2000 Meter. Das Skigebiet «Faqra Club» liegt in einem Privat­ areal und ist somit für die breite Masse nicht zugänglich. Dieser Club ist eigentlich eine abgeriegelte, kleine Ortschaft mit einem eigenen, überraschend grossen Skigebiet. In «Faqra Club» gibt es keine normalen Häuser, sondern nur grosse futuristische Designervillen. Und am Ende der Ortschaft wurde unsere Grasskipiste angepflanzt. Mit einem eigenem alten Schweizer Occasionsskilift der Städeli-Lift AG. In dieser Hinsicht war dieser Weltcup fast ein Heimspiel! * Da wir uns in einer christlichen Region befanden, war der Kulturunterschied zur Schweiz kleiner als wir ihn im Iran erlebten. Nur wenige Frauen trugen Kopftücher, auch das Essen war eher europäisch geprägt. Doch der Unterschied zwischen reich und arm ist enorm: In der Schweiz habe ich das ganze Jahr nicht so viele Ferraris und Porsches gesehen wie im Libanon an einem Tag. An der gleichen Strasse wohnen aber auch Menschen in Zelten und einfachsten Behausungen. * Sportlich gesehen war der Trip für mich erfolgreich. Ich konnte erst-

mals in die Top10 eines Weltcuprennens fahren. Und neben dem Sport war es eine interessante Reise mit sehr vielen Eindrücken, wie sie nur der Sport ermöglicht: Die Menschen sind sehr gastfreundlich und, da die meisten Französisch sprechen, konnten wir Schweizer uns gut mit ihnen unterhalten. Unter den österreichischen Kollegen machte sich ziemlich schnell das Gerücht breit, dass ich Arabisch könne, da ich mit dem libanesischen Busfahrer gesprochen habe. * Zum Abschluss wurde der Weltcuptross noch in einen Luxusclub eingeladen, wo es eine Abschlussfeier gab. Vor der Türe drängten sich wieder die Edelkarossen. Ein Teamkollege konnte am Ende nicht widerstehen und fragte, ob er mit einem Porschebesitzer zurück ins Hotel fahren könne. Der Aufforderung, mal etwas Gas zu geben, leistete dieser Folge und driftete seine 800 hochgezüchteten PS wie ein Irrer durch die Gegend. * Während dem Bürgerkrieg explodierten 30 Kilometer von der Piste, auf der ich diesen Sommer um Sekundenbruchteile kämpfte, teilweise im Sekundentakt Bomben und Granaten. Autos dienten nicht als Statussymbole, sondern wurden in die Luft gesprengt. Als ich im Libanon die Spätfolgen dieser Auseinandersetzungen sah, stimmte mich das nachdenklich. Auch die jüngsten Unruhen rund um den Syrienkonflikt, gaben und geben mir zu denken – obwohl wir diese nicht direkt mitbekamen. Patrick Menge

2. Libanonkrieg Als «2. Libanonkrieg» werden die Kämpfe zwischen der Hisbollah-Miliz und Israel bezeichnet, die am 12. Juli 2006 begannen und mit dem Waffenstillstand vom 14. August 2006 zu Ende gingen. Im Laufe des 33 Tage andauernden Konflikts wurden mehr als 1500 Menschen getötet; darunter viele libanesische Zivilpersonen. Quelle: Wikipedia

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SAS-Golfturnier in Vuissens, 7. September 2013

Feucht-fröhlich wegen Schüpbachs «Ladies» Am Samstag 7. September 2013 fand im Golf-Club Vuissens die 42. Austragung des traditionellen SAS Golfturniers statt. Es siegte Marc Achermann, er «gewann» damit die Organisation des nächsten Turniers und die Berichterstattung im SAS-Magazin über die diesjährige Austragung. So will es die Tradition.

Der Golfplatz Vuissens präsentierte sich in hervorragendem Zustand, was zusammen mit dem perfekten Wetter und den angenehmen Temperaturen 13 SASler Golferherzen um einiges höher schlagen liess. Verlierer des wunderschönen Tages waren eindeutig die Abwesenden, von denen es heuer leider viel zu viele gab: keine einzige Dame (ist das ein Rückfall in patriarchische SAS-Zeiten?), nur ein einziger junger Aktiver (Philipp Egli) und vergleichsweise wenige Romands (4) trugen sich in die Startliste ein. So fand der diesjährige Wettkampf in kleinem Rahmen und vornehmlich unter über 50-jährigen, braun gebrannten Alten Herren statt. Beinahekollision im unteren Luftraum Trotzdem wurde im für den SAS typischen wettkampfbetonten aber fairen Spirit um jeden Ball und um jeden Punkt hart gekämpft. Eine

Die Teilnehmenden des SAS-Golfturniers 2013: Sepp Gammeter, Eric Favre, Robert Kessler, Jon A. Pinösch, Urs Schüpbach, Charly von Wurstemberger, Sieger Marc Achermann, Vincent Steck, Blaise Grosjean, Hanspeter Rossner, Max Steinebrunner, Urs Egli (vorne), Philip Egli. zVg

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Flasche Champagner. Für sich selber behalten durfte Charly hingegen eine zweite Flasche Champagner als Preis für «nearest to the pin».

Drei Netto-Gewinner ex aequo Die Gesamtauswertung des Turniers ergab drei Netto-Gewinner ex aequo mit 38 Stableford Punkten, nämlich Vincent Steck, Charly von Wurstemberger und Marc Achermann. Letzterer durfte den 1971 von Hans Kessler gespendeten Wanderpreis dank der besseren Einzellochwertung entgegennehmen. Die Bruttowertung ging einmal mehr an Robert Kessler mit 24 Punkten, vor Vincent Steck mit 21 Punkten. Der Wanderpreis «Challenge des Cousine» aus dem Jahre 1993, von der Bezeichnung her zugegebenermas­ sen ein wenig veraltet, muss leider mangels weiblicher Teilnahme über den nächsten Skiwinter auf Eis und hoffentlich viel Schnee gelegt werden.

Urs Schüpbach und die «Ladies» Urs Schüpbach suchte offensichtlich ein Rezept gegen die kollektive Abwesenheit der SAS-Damen und produzierte über 18 Löcher kurzentschlossen selber 4 «Ladies»..! (für Nicht-Golfer: ein «Ladies» ist ein gröber missratener Herrenabschlag, der nicht einmal die Länge der Damenabschlagsmarker erreicht. Als «Strafe» zahlt der betroffene Golfer eine Runde pro «Ladies»). Das traditionelle Essen danach gestaltete sich dementsprechend feucht-fröhlich...

Les absents ont toujours tort Es bleibt zu hoffen, dass das nächste 43. SAS Golfturnier vom 6. September 2014 wiederum gleich gute Bedingungen, aber ein grösseres und breiteres Teilnehmerfeld verzeichnen wird, ganz nach dem Motto: «les absents ont toujours tort!» Ein speziell grosser Dank gebührt dem Vorjahressieger Urs Egli, welcher das diesjährige SAS Golfturnier hervorragend organisiert und durchgeführt hat. Vive le SAS, et le golf! Marc Achermann

Schrecksekunde erlitt dabei der Flight von Hanspeter Rossner, als dieser auf dem Abschlag 4 von Charly von Wurstembergers verzogenem Annäherungsschlag in Richtung Loch 3 beinahe getroffen wurde. Als Reparation für den erlittenen Schrecken erhielt Hanspeter von Charly während der Preisverleihung dessen Preis für «longest drive» (sic!), nämlich eine

«

Auf ein Wiedersehen am 43. SAS-Golfturnier am 6. September 2014.»


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Sieger Pascal Weber strahlt im Ziel....

Thunersee-Rundfahrt SAS Bern, 21. August 2013

Zuerst war es schön. Aber dann... ...ja dann ging die Thunersee-Rundfahrt 2013 als die härteste der Neuzeit in die Geschichte ein. Das Wetter war so schlecht, dass man vor lauter Nebel gar nicht mehr bis zur nächsten Regenwolke sah. Es siegte Pascal Weber (SAS Bern), nach einem trockenen Antritt sah ihn die Konkurrenz nur noch von hinten. Kurz nach 11:00 Uhr machten sich zwei Frauen und zehn Männer beim Strandbad Thun (bei noch angenehmen äusseren Bedingungen) auf die Tour rund um den Thunersee. Am Fuss der Steigung nach Heiligenschwendi (526 Höhenmeter) erfolgte der Massenstart zur «Trofeo Schübi», welche Pascal Weber (SAS Bern) diskussionslos in rund 26 Minuten für sich entscheiden konnte. Vorjahressieger Evgeny Bogdanov (SAS Lausanne) startete heuer in der Kategorie «Tandem» und zog seine Partnerin Denise nicht ganz strassenverkehrsgesetzeskonform am Gummiseil nach oben. Alle Teilnehmenden schafften den Aufstieg mehr oder weniger problemlos unter 45 Minuten. * Immer noch trocken ging es hinunter nach Sigriswil und wieder hinauf nach Grön, wo sich nun die Himmelsschleusen sehr grosszügig öffneten. Bis Beatenberg war das gesamte Gruppetto im stockdicken Nebel bis auf die Haut durchnässt.

Und was alle «Gümmeler» wissen: bei solchen Verhältnissen gerät jede Abfahrt zum Wagnis, weil die Stras­ se rutschig wird und die Bremsen nach einiger Zeit mit zunehmend klammen Fingern kaum noch zu bedienen sind. Trotzdem oder gerade deshalb kamen alle heil hinunter nach Interlaken (diesmal auch der altbekannte Heisssporn Urs Schüpbach). Dort zeigten sich allerdings drastisch die Folgen der starken Unterkühlung: nicht mehr alle fanden auf Anhieb die rettende Konditorei, und es brauchte ein paar Handyanrufe, um das Grüppchen wieder hinter heissem Tee und allerlei Patisserie zu vereinen. * Da es immer noch wie aus Kübeln goss, entschlossen sich die zu spät an den Start gekommenen Urs

...und mit der «Tropheo Schübi» und den Ehrendamen Denise und Sona. SDe

Schaeppi und Urs Schüpbach etwas früher auszusteigen, und die Rückfahrt nach Thun vorerst per Eisenbahn anzutreten. Ein absolut richtiger und vernünftiger Entscheid. Zehn Verrückte liessen sich jedoch nicht davon abbringen, wieder aufs Velo zu steigen, obwohl es goss wie aus Kübeln. In Spiez war es aus mit der Vernunft der zwei Bahnfahrer: Sie gesellten sich für das letzte Teilstück zu den Unentwegten auf dem Velo. Auf diesen Sinneswandel angesprochen, murmelten sie etwas von «der Himmel sah einen Moment lang etwas weniger grau aus». Trocken wurde es erst in Thun nach der Rückkehr: Denn die Preisverleihung und das Nachtessen fanden mit Zustimmung aller Teilnehmenden ausnahmsweise im Innern des Hauses statt! Stefan Dellenbach

Vor dem Start zur Thunersee-Rundfahrt (von links): Andreas Zuber, Pascal Weber, Andri Staub (alle SAS BE), Markus Leutwyler (Gast), Alexander Walpen (SAS BE) und seine Partnerin Sona Tolarová, Denise Marchi (Partnerin von Evgeny Bogdanov, SAS Lausanne), Stefan Dellenbach, Koni Guggisberg (alle SAS BE). (Noch) nicht im Bild: Urs Schaeppi, Urs Schüpbach (beide SAS BE). Evgeny Bogdanov

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«Art & Dinner» des SAS Zürich, 2. Juli 2013

Spannende Einblicke in die Welt der Rega Das alljährlich im Sommer stattfindende «Art & Dinner» entführt die SAS-Mitglieder jeweils an spannende Stätte mit kulturellem Hintergrund. Auch heuer liess sich der Vorstand der Sektion Zürich etwas Besonderes einfallen: Ein Besuch des Rega-Centers am Flughafen Zürich mit anschliessendem Dinner im Hangar «Runway 34». Die Anfänge der Rega Die Abkürzung Rega ist ein Akronym aus den Wörtern Rettungsflugwacht und Garde aérienne Am 27. April 1952 waren die Mitglieder der SLRG in Twann zur Jahresversammlung zusammengekommen. Der Mediziner Dr. Rudolf Bucher setzte sich dafür ein, dass von der LebensrettungsGesellschaft ein Zweig abgetrennt werden sollte, der sich auf die Rettung aus der Luft spezialisiert. Mit der Zustimmung der Versammlung war die Schweizerische Rettungsflugwacht (SRFW) gegründet und damit das moderne, organisierte Flugrettungswesen geboren. Zuvor hatten der St. Moritzer Hotelier Fredy Wissel und der Walliser Pilot Hermann Geiger erprobt, wie man mit Skiflugzeugen auf Gletschern landen kann. Im Dezember 1952 flog der Pilot Sepp Bauer in Davos mit einer Hiller 360 den ersten HelikopterRettungseinsatz.

Die SASler besichtigen einen Jet der RegaFlotte. zVg

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Zu Beginn führte der zuständige Leiter des Besuchszentrums in die Geschichte der Rega ein, welche heute als gemeinnützige, unabhängige und private Stiftung organisiert ist. Die Anfänge der Luftrettung greifen in die Fünfzigerjahre zurück (siehe Seitenspalte). Niemand hätte damals gedacht, dass dank der Pionierleistung von ein paar mutigen Piloten eine moderne Luftrettung entstehen sollte, die heute Rettungsflüge rund um den Globus tätigt. Heute stehen der Rega modernste, auf den Einsatz in der Schweiz und auf der ganzen Welt zugeschnittene Helikopter und Flugzeuge zur Verfügung. Diese kommen nicht nur für die eigenen Gönnerinnen und Gönner zum Einsatz – selbst die amerikanischen

Auf der Führung durch die Rega-Basis.

Im Restaurant «Runway 34». zVg

Behörden beanspruchen die Dienste der Rega.

werden kann – ohne staatliche Unterstützung.

Bestaunen aus nächster Nähe Beim anschliessenden Rundgang durch das Rega-Center konnten die Teilnehmenden diese Flugzeuge und Helikopter aus nächster Nähe bestaunen. Dank der fachkundigen Führung wurden die vielen Fragen der interessierten SASler kompetent beantwortet. Es liegt auf der Hand, dass diese modernste Maschinerie, welche täglich rund um den Globus im Einsatz steht, auch finanziert werden muss: Knapp 2.5 Millionen Gönnerinnen und Gönner ermöglichen es, dass in Not geratenen und hilfsbedürftigen Menschen in Übereinstimmung mit den Grundsätzen des Roten Kreuzes geholfen

Kulinarischer Teil im Hangar Im Anschluss führte uns die Organisatorin des Abends, Vorstandsmitglied Nadja Waldburger, in den «Runway 34» – einem zu einem FlugErlebnis-Restaurant designten Hangar, wo unter einer russischen Ilyushin 14 getafelt wird. Das feine Essen schätzten die SASlerinnen und SASler ebenso wie das gemütliche Beisammensein unter guten SAS-Freunden. Kurzum: Es war einmal mehr ein gelungenes Art  &  Dinner, und Nadja Waldburger versprach, bereits für das nächste Jahr viele Ideen für einen erneut viel versprechenden Anlass zu haben. Man darf also gespannt sein. Tamara Lauber


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Chips

Reges Interesse am Werbestand des SAS Basel versen Interessenten letztendlich gewonnen werden können, wird sich zeigen. Dass sich schon vor der Standaktion erste Interessenten direkt beim Präsidenten gemeldet hatten, ist für die kleinste Sektion ein Erfolg – wenn man bedenkt, dass es am Rheinknie auch Jahre ohne neue Gesichter gab. PMe

An der Universität Basel findet für die Studierenden des 1. Semester ein «Infomärt» statt, an welchem sich die studentischen Organisati-

onen mittels kleinen Infoständen vorstellen dürfen. Nach ein paar Jahren Abwesenheit war der SAS Basel diesmal wieder präsent. Die Basler Kandidatin Anja Heid sowie Sektionspräsident Patrick Menge rührten kräftig die Werbetrommel, und das Interesse war ziemlich gross! Wie viele neue Kandidaten aus den di-

Die keck aufgemachte Anja Heid...

...am Stand des SAS Basel im Rahmen des «Infomärt» für die neuen Studierenden.

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Zürcher AH-Stamm bei Hermann Gericke, 3. September 2013

Von AH organisiert, aber auch für Aktive! Hermann («Hermi») und Vroni Gericke luden am 3. September zum Zürcher AH-Stamm in ihr Anwesen am Ufer des Zürichsees ein. Kann mit der dritten Durchführung bereits von einer Tradition gesprochen werden? Durchaus! Jedenfalls machte der AltherrenStamm seinem Namen alle Ehre, fanden sich doch die alten Herren in grosser Zahl ein – aber wo waren die Aktiven? Sie verstanden den Begriff «AH-Stamm» vielleicht nicht ganz richtig, oder waren in den Semesterferien, oder auf irgendeinem Gletscher oder in Neuseeland am Trainieren. Jedenfalls fanden sie den Weg nach Küsnacht ZH nicht. Die alten Herren schätzten die sehr gemütliche Atmosphäre, die hervorragende Gastfreundschaft und

die einzigartige Lage am See. Nicht nur wurden alte Heldentaten ausgetauscht, sondern es konnte auch festgestellt werden, dass der SAS jung hält und viele der älteren Semester in «altbekannter Form» aufkreuzten (siehe Chips auf dieser Seite). Bach auf dem Flügel Nach dem kulinarischen Teil im Garten wechselte man in den (zum Auditorium umfunktionierten) Salon, wo uns Hermi vorerst mit einer glänzenden Interpretation eines Präludiums von Bach auf dem Flügel überraschte. Er leitete damit über zu einem Referat seines Sohnes Markus, der als CEO der Familienunternehmung Gericke AG über die Herausforderungen eines global aktiven Unternehmens berichtete (siehe Text unten auf dieser Seite).

Geben statt Nehmen Schon in den beiden ersten Zürcher SAS AH-Stamms stand das Geben im Zentrum. Robert Kessler unterstützte mit der musikalischen Einlage junge Musiker, am AH-Stamm bei Ueli Stüssi berichtete Charles-Henry Rochat über seine uneigennützigen Einsätze in Schwarzafrika zur Linderung der Not schwerverletzter und sozial geächteter Frauen. Mich dünkt, dass es vor allem für die Jungen wichtig ist, dass sie nicht nur privilegiert vom Wohlstand in der Schweiz profitieren und deren Errungenschaften nutzen, sondern auch uneigennützig geben sollten. Mich würde es freuen, wenn die zukünftigen Zürcher SAS AH-Stämme weitere derartige Erfahrungen vermitteln würden. Ueli Stüssi

Chips

Der SAS hält jugendlich frisch Am Zürcher AH-Stamm konnte auch festgestellt werden, dass viele der älteren Semester in jugendlicher Frische aufkreuzten: Andrin Urech, der Mittsiebziger mit sonnengegerbter Haut, zeigte sich in beneidenswerter körperlicher Verfassung. Jürg Schweizer erschien in blendender Form und berichtete von vergangenen und zukünftigen Bergabenteuern. Philipp Weber, eigentlich ebenfalls topfit, kam an Krücken – nachdem er sich auf einer tollkühnen Skiabfahrt am Bein verletzte. Er durfte auf die Hilfe von Urs Egli zählen, der sich gleich mit zwei Tellern zum Tisch «jonglierte». USt

Urs Egli (links) hatte nicht übermässigen Hunger, sondern ein Herz für den an Krücken gehenden Philipp Weber und trug darum gleich zwei Teller. USt

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Die Gericke AG in Regensdorf, eine KMU mit 300 Mitarbeitenden Die Gericke AG stellt weltweit Anlagen für das Handling von Schüttgütern her, unter anderem für die Nahrungs- und Pharmaindustrie mit Hauptsitz in Regensdorf bei Zürich. In lebendiger Art erläutert Markus Gericke, wie sich das Familienunternehmen in den letzten über hundert Jahren zu einem bedeutenden industriellem KMU mit weltweit etwa 300 Mitarbeitern entwickelte. Um im globalen Wettbewerb zu bestehen, wurde mit mehreren Standorten, auch in Asien und Südamerika, die Kundennähe gesucht («unsere wichtigsten Kunden befinden sich in diesen Märkten») und eine föderalistische Führungsstruktur aufgebaut. Die Gesamtanlagen werden jeweils lokal geplant und gebaut, die anspruchsvollen Schlüsselkomponenten jedoch nur in Europa (Schweiz, Deutschland und England) entwickelt und gefertigt. Starkes Augenmerk wird auch auf die unterschiedlichen

kulturellen Anforderungen an diesen Standorten gelegt, und die lokale operationelle Führung mit viel Freiraum aber auch Verantwortung ausgestattet. Das Gruppenmanagement gilt als Knotenpunkt und verbindendes Element zwischen den Gruppenfirmen. Es übernimmt einige zentrale Dienstleistungen wie Finanzen, Kommunikation, Koordination von Entwicklungsprojekten und legt die Geschäftsstrategie und die allgemeinen Standards und Managementprozesse fest. Von Vorteil ist auch, dass man die lokale Sprache zumindest rudimentär beherrscht. Markus Gericke brachte den SASlern auch gleich einige Feinheiten der chinesischen Sprache näher. Auf eindrückliche Weise vermittelte er das Bild eines modernen industriellen Unternehmers, der mit Leib und Seele für seine Unternehmung lebt. Unternehmer sein heisst, visionär und pro-aktiv die

Zukunft zu gestalten, mutige Entscheide zu fällen, mit hoher Sozialkompetenz die Mitarbeiter zu Loyalität und Sonderleistungen zu motivieren, hochwertige Arbeitsplätze zu schaffen und mit seinem ganzen Vermögen dem Erfolg der Unternehmung auf Gedeih und Verderben ausgesetzt zu sein. Das Unternehmersein erfordert Leidenschaft; es schafft Leiden. Hartnäckigkeit, Verbindlichkeit und eine tief wurzelnde Grundzuversicht sind unumgänglich, um eine Unternehmung wie die Gericke AG in eine erfolgreiche Zukunft zu führen. Industrielle KMU wie die Gericke AG sind die Zugpferde unseres Wohlstandes. Sie erwirtschaften die Erträge, welche Arbeitsplätze in anderen Branchen wie Banken, Anwälte, Gesundheitswesen, aber auch im Sportbereich finanzieren. In diesem grösseren Rahmen erweisen sich die industriellen KMU als eigentlich Gebende in unserer Gesellschaft.


Seksjoner Sections Sektionen

Seeknall bei Super-Sommerwetter Das «Seeknall» des SAS Zürich hatte grosses Wetterglück – der 10. August 2013 war ein angenehm warmer, aber nicht zu heisser Sommerabend. 37 Personen folgten der Einladung, vom Bebé Melea Fisler bis zum 83-jährigen Max Steinebrunner war das gesamte Altersspektrum vertreten, und im Badehaus der Familie Spillmann entwickelten sich nach dem Wasserskifahren und Wakeboarden (hinter den Booten von Markus Gericke und Urs Jaeger) beim feinen Nachtessen vom Grill generationenübergreifende Gespräche. NWa/Red (Fotos: Markus Gericke / Josef Oehri)

Ueli Stüssi im Konservatorium Genève Das «Orchester vom See» unter der Leitung von Ueli Stüssi (SAS Zürich) tritt jedes Jahr in mehreren öffentlichen Konzerten auf, primär um den (Zürich)See. Nun wechseln die 22 Streich- und 15 Blasmusiker für einmal den See und spielen am 14. November 2013 am Lac Léman. Für das Herbstkonzert (Beginn um 19:30 Uhr) im Genfer Konservatorium gibt es eine Abendkasse (ab 18:30 Uhr) – «auf die Idee, einmal ein Konzert in der Romandie zu geben, brachten mich meine Genfer Freunde», wie Ueli Stüssi dem SAS-Magazin mitteilt. PD/Red

Die Teilnehmenden des AH-Stamms bei Hermann und Vroni Gericke. Ueli Stüssi

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Universiade Universiades Universiade

Schweizerischer Akademischer Skiclub auch unter norwegischer Flagge im Trentino Die Sektion Norge setzte alle Hebel in Bewegung, damit der norwegische Studentensportverband Athleten für die Universiade im Trentino selektioniert. Lange war offen, ob die Bemühungen Früchte tragen würden. Schon in früheren Jahren war eine norwegische Delegation an der Universiade dabei – bei näherer quantitativer und qualitativer Betrachtung zeigte sich aber deutlich, dass die Selektionen in der Vergangenheit nicht allzu systematisch erfolgten. Studentensport hat in Skandinavien nicht dieselbe Bedeutung wie in Mitteleuropa oder Übersee, obwohl in Skandinavien viele Nachwuchstalente einen universitären Weg einschlagen und im Juniorenalter ein Sportgymnasium besuchen. In Norwegen und Schweden sind diese Bildungsstätten und die lokalen Sportvereine sehr wichtige Pfeiler

des Sportsystems. Die Clubs haben teilweise beeindruckende Infrastrukturen und führen gar eigene «Elitgruppen», in denen die Besten speziell gefördert werden. Permanente Kader, wie sie in der Schweiz auf nationaler und regionaler Stufe geführt werden, haben in diesem Kontext eine untergeordnete Wichtigkeit. Eine starke Langlaufmannschaft Der SAS Norge nahm im Frühling 2013 mit dem norwegischen Studentensportverband Kontakt auf. Mit dem Ziel, den Funktionären die Bedeutung der Universiade etwas näherzubringen und im Hinblick auf die Universiade im Trentino eine starke Langlauf-Mannschaft zu

formieren. SAS Norge war vertreten durch Präsident Pål Troye, Jørgen Hals, Martin Grothe Lien und Joakim Levorsen, der seit 2004 mehrmals an den U-Games, am Engadiner und am SAS Cup teilgenommen hat und jeweils Kapitän der norwegischen Studentennationalmannschaft war. «Vor allem durch Joakims Einsatz ist es uns gelungen, drei Frauen und drei Männer zu rekrutieren, die vom Verband inzwischen fürs Trentino selektioniert worden sind», freut sich Pål Troye. Daneben selektionierte der Verband zwei Männer und zwei Frauen, die an einer Universität in Colorado (USA) studieren und die Delegation mit eigenen Serviceleuten verstärken. Egg

Nachhaltigkeit

Nachwuchsschanzen am Holmenkollen ergänzen den Midtstuabakken

Joakim Levorsen, hier im Einsatz als Loipenabschnittschef an der Nordischen Ski-WM 2011. ABü Chips

«Norge-Suisse» im Ullevålstadion – Fazit: Der Originalevent ist unterhaltsamer!

Im Ullevål-Stadion (von links): Präsident Pål Troye Webmaster Espen Wik, Admiralsektretär Nicolay Ramm und Jørgen Hals (Projektleiter Universiade).

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Die Auslosung der Qualifikationsgruppe E für die Fussball-WM 2014 wollte es, dass in Oslo ein sommerliches «Norge-Suisse» ausgetragen wurde. In Verbindung mit einer Vorstandssitzung des SAS Norge wohnte der Vorstand dem Match Norwegen gegen die Schweiz im Ullevål-Stadion in Oslo bei. Fazit von Nicolay Ramm: «Unsere Events sind viel unterhaltsamer als das langweilige Spiel der norwegischen Fussballer!»


Olympiske Leker Jeux Olympiques Olympische Spiele

SAS Norge unterstützt Olympia-Volksabstimmung in Oslo

«Mr. Bean» und die Cracks weibeln für Olympia Im unmittelbaren Vorfeld der Volksbefragung, ob Oslo für die olympischen Spiele 2022 kandidieren soll, ging man von einer knappen Entscheidung aus. Beide Seiten zogen alle Register, und die SAS Sektion Norge half mit norwegischen Skistars mit, die Stimmberechtigten von einem «JA» zu überzeugen. Im Unterschied zur Olympiaabstimmung von Anfang März im Kanton Graubünden war der SAS diesmal auf der Siegerseite. In der Flaniermeile «Karl Johan» war die Taktik ganz einfach: Es brauchte einen Blickfang, welcher die Aufmerksamkeit der Passanten auf sich zog. Pål Troye, der in einem früheren Leben Komiker gewesen sein muss, gefiel die Rolle prima. Der Präsident von SAS Norge hatte seine Sprungski dabei und vollführte im Stil von «Mr. Bean» einige Slapstick-

Pål Troye als «Blickfang» in der Karl Johans Gata. zVg

Einlagen, so war das Eis schon mal ein bisschen gebrochen – er konnte die Passanten problemlos in ein Gespräch verwickeln und immer mehr

Pål Troye (links) stand zusammen mit Skistar Kjetil André Aamodt im Einsatz. zVg

Für diese deutschen Touristinnen war Pål Troye der grosse Star! Einer Gruppe deutscher Touristinnen gefiel der Auftritt von Pål Troye so gut, dass sie unbedingt ein Erinnerungsfoto mit ihm schiessen wollten. Kjetil André Aamodt, den die Urlauberinnen nicht erkannt hatten, stand daneben und verstand die Welt nicht mehr. Pål Troye klärte die Frauen in der Folge auf, wer denn hier der grosse Star ist, und so kam dieser im Handumdrehen auch noch zum «Handkuss» als Fotomodell. USt

zu der sachlichen Argumentation übergehen. «Und wenn dann noch ein ebenfalls anwesender norwegischer Sportstar seine Olympia-Erlebnisse im 1:1-Gespräch schildert, traut sich kaum mehr jemand, ein NEIN in die Urne zu legen», schmunzelt Pål Troye. Auch vor den Wahllokalen aktiv Die nächste Stufe zündeten die Befürworter, denen unzählige norwegische Sportshelden zur Verfügung standen, vor den Wahllokalen. In ähnlicher Aufmachung versuchten sie, die letzten Unentschlossenen in letzter Sekunde umzustimmen. Die Abstimmung ging am Ende deutlicher aus als erwartet: 31855 Stimmen machten den Unterschied, Die Bevölkerung der norwegischen Hauptstadt befürwortet mit 53,45 Prozent JA-Stimmen eine OlympiaKandidatur. Roli Eggspühler

Pål Troye und Jan Fredrik Rosenberg vor dem EIngang eines Wahllokals. zVg

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Kultur Culture Kultur

Alexandra Strobel (SAS Zürich)

«Remember Lucerne» Alexandra Strobel präsentierte am 26. September 2013 ihr neustes Werk und eröffnete anlässlich der Vernissage die Sonderausstellung «Remember Lucerne» im Historischen Museum Luzern. Informationen zu «Remember Lucerne» Die Ausstellung ist eine Co-Produktion der Hochschule Luzern – Design & Kunst und des Historischen Museums Luzern, dauert bis am 9. März 2014. Informationen gibt es im Internet: www.remember lucerne.ch

Alexandra Strobel (links) mit einer Kollegin bei der Vernissage. zVg

Alexandra Strobel ist Kuratorin und Vizedirektorin des Historischen Museums Luzern, die jüngste Ausstellung befasst sich mit dem Thema Tourismus und ist wieder mal in erfrischender Form von dem abweichend, was man landläufig von einem historischen Museum erwarten würde... ...aber eben, das Historische Museum Luzern ist da völlig anders – weit weg von «verstaubt» – und das hat stark mit dem Wirken der Zürcher SASlerin zu tun. Wie schon in ihren früheren Ausstellungen geht sie die stets sehr umfassende Thematik bewusst vielschichtig an, arbeitet gerne mit Partnern zusammen (diesmal mit der Hochschule Luzern – Design & Kunst) und befasst sich nicht nur mit der Vergangenheit: Welches sind die touristischen Bedürfnisse der Zukunft? Was macht Luzern attraktiv und exklusiv? Und wie kann Design dazu beitragen? Roli Eggspühler Vorschau

Programm 2013/14 Programme 2013/14

Impressum

6.-8. Dezember 2013 11.-21. Dezember 2013

Das SAS-Magazin erscheint vier Mal jährlich in einer Auflage von 1200 Stück (WEMF/REMP). Es ist das offizielle Organ des Schweizerischen Akademischen Skiclubs SAS. Redaktor Rédacteur Redaktør

Roli Eggspühler, Medienschaffender dipl. Architekt ETH SIA Redaktion Rédaction Redaksjon

Redaktion SAS-Magazin c/o a2plus Architektur Energie Media Würzenbachstrasse 17 6006 Luzern

Fon: 041 220 03 17 sasmagazin@sas-ski.ch

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Fon: 041 672 90 10 info@koprint.ch

Redaktionsschluss Délai de rédaction Redaksjonslutt

Nr. 92 – Herbst 2013

SAS-Opening (Zermatt)

1. November 2013

Universiade (Trentino ITA)

4./5. Januar 2014

SHM Nordisch (Campra)

13.-16. Januar 2014

Anglo-Swiss (St. Moritz)

18./19. Januar 2014

SHM Alpin (St. Moritz)

25./26. Januar 2014

SAS Cup FR/GE (Jaun)

22./23. Februar 2014

SAS Cup ZH (Davos)

1./2. März 2014

SAS Cup BE/BS (Saanen)

13.-15. März 2014

7. Amateur Interclub Championship (Klosters)

12.-16. März 2014

SAS AH Woche (Saas-Fee)

15. März 2014

SAS Cup LA / Season Closing (Saas-Fee)

21.-23. März 2014

SAS Pentathlon (Grindelwald)

2.-6. April 2014 Italo-Suisse (St. Moritz) inkl. SAS AH-Woche / Season-Closing Juni 2014

DV / Zentralfest

Kursiv markierte Veranstaltungen / Informationen waren bei Redaktionsschluss dieser Ausgabe mit dem Status «provisorisch» versehen. Fett gedruckte Stellen haben sich gegenüber der letztmaligen Publikation verändert oder sind neu hinzugekommen. Les événements en italique n’étaient pas encore fixés définitivement au délai de rédaction. Ces informations sont au status provisoire. Des passages surlignés en gras ont été modifiés ou ajoutés par rapport à la précédente édition. MWa / Red


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