SAS News No 129

Page 34

OPENING LAKE PLACID 2023

SAS CUPS

LA FONDATION SAS

Le magazine
N°129 PRINTEMPS 2023 WWW.SAS-SKI.CH
du Ski-Club Académique Suisse Das Magazin des Schweizerischen Akademischen Skiclubs

Ihre Leistung auf dem Prüfstand

Das Saisonende naht. Was ist gut gelaufen? Wo sehe ich für mich Optimierungsbedarf?

Sportmedizinische Leistungstests bilden die Grundlage einer professionellen Trainingssteuerung. Das Team der Sportmedizin nimmt eine allgemeine Standortbestimmung Ihrer Leistungsfähigkeit vor und unterstützt Sie bei der Abklärung Ihres persönlichen Trainingsstatus.

Unsere spezialisierten Ärztinnen und Therapeuten klären mit Ihnen Ihre individuellen Bedürfnisse und schnüren ein auf Sie zugeschnittenes Paket aus Diagnostik, Training und Therapie. Das Zusammenspiel der Experten garantiert Ihnen die bestmögliche Betreuung. www.balgrist.ch/sportmedizin

Nach der Saison ist vor der Saison: Zeit für ein Résumé? Weitere

Informationen:
Leistungspotential
Beratungs-
Nutzen Sie Ihr ganzes
Jetzt
termin vereinbaren

Quel début de saison !

La neige s’est fait attendre après sa brève apparition pour l’Opening. Elle est finalement arrivée, mais avec un peu de retard, pour les FISU qui ont été un véritable succès. Les Universiades de Lake Placid, qui ont suivi au début janvier, ont permis de mettre en lumière nos athlètes alpins et nordiques. Félicitations à ces étudiants sportifs qui ont gagné plusieurs médailles ! Le mois de janvier, aussi chargé que le calendrier de la Coupe du Monde de slalom, comprend également les Anglo-Swiss et la Beppi Cup. En plus de tout savoir sur ces événements, vous pourrez aussi lire quelques lignes sur le weekend du Jaun.

Dans ce numéro, nous avons aussi décidé de partager le portrait de notre équipe nordique ainsi que celui de la jeune athlète Grace Anders qui a participé au European Olympic Youth Festival.

Alors que la saison bat son plein, Beat Walpoth nous met en garde contre les accidents hypothermiques, tandis qu'Hans Grüter nous rappelle l’importance et les objectifs de la Fondation SAS.

Bonne lecture à tous et vive le SAS !

SOMMAIRE

Was für ein Saisonstart!

Der Schnee liess nach seinem kurzen Auftritt zum Opening auf sich warten und kam schliesslich mit etwas Verspätung für die FISU, die sehr erfolgreich verliefen. Die Universiade in Lake Placid, die Anfang Januar folgte, stellte unsere alpinen und nordischen Athleten ins Rampenlicht. Es ist in der Tat eine schöne Ernte von Medaillen, die unsere Sportler dort gewannen. Dieser Januar, der so vollgepackt ist wie der Kalender des Slalom-Weltcups, umfasst auch das Anglo-Swiss und den Beppicup. Neben diesen Events werden Sie auch einige Zeilen über den Jaun Cup lesen können.

In dieser Ausgabe stellen wir zudem unseres Nordic-Team sowie die junge Athletin Grace Anders, die am European Olympic Youth Festival teilgenommen hat, vor.

Während die Saison in vollem Gange ist, warnt uns Beat Walpoth vor hypothermischen Unfällen und Hans Grüter erinnert uns an die Bedeutung und Ziele der SAS-Stiftung.

Viel Spass beim Lesen und ein lang lebe der SAS!

IMPRESSUM

Le SAS News, organe officiel du Ski-Club Académique Suisse SAS, paraît quatre fois par an, avec un tirage contrôlé (WEMF/ REMP) de 1’700 exemplaires. Il est envoyé individuellement à tous les membres du SAS.

SAS News erscheint viermal jährlich in einer Auflage von 1700 Exemplaren (WEMF/REMP). Es ist an allen SASMitgliedern versandt und ist das offizielle Organ des Schweizerischen Akademischen Skiclubs SAS. www.sas-ski.ch

Editeur | Herausgeber

SAS Ski-Club Académique Suisse

c/o PIM Sportsguide SA

Av. de Choiseul 23 | 1290 Versoix

Rédaction | Redaktion

Alexandra Yeterian, Elina Neyroud et Ségolène Brunisholz sasmagazin@sas-ski.ch

Publicité | Inserate

Lorenzo Frei | sponsoring@sas-ski.ch

Impression | Druckerei

Atar Roto Presse SA | 1214 Vernier

Production | Produktion

Patrick Favre

PIM Sportsguide SA | 1290 Versoix

+41 22 774 32 21 | info@pim-sa.ch www.pim-sa.ch

Changements d’adresse | Adressmutationen

Elina Neyroud admin@sas-ski.ch

Alle Rechte vorbehalten. Nachdruck ohne Genehmigung verboten. Tous droits réservés. Reproduction, même partielle, interdite sans l'autorisation des éditeurs.

3 EDITO
Retour sur l’Opening 4 Sportmedizin mit Balgrist 6 Accidental Hypothermia 8 Lake Placid 2023 10 Fondation SAS 18 FISU aux Diablerets 22 Bebbicup 24 European Olympic Youth Festival 26 Coupe SAS au Jaun 28 Anglo-Swiss 30 Équipe Nordique 32 Stamms de Noël 36 SAS People: Sandro Jelmini 37 Latest News 38 Calendrier SAS 38 Alexandra, Elina et Ségolène | L’équipe rédactionnelle Das Redaktionsteam

DE BON AUGURE POUR LA SUITE

Cette année, le nouveau Comité Central genevois, mené par Alix Marxer, a travaillé d’arrache-pied pour débuter son mandat sous les meilleurs hospices à Zermatt, du 9 au 11 décembre.

Alexandra Yeterian l Membre CC, SAS Genève

Le week-end a commencé le vendredi après-midi par un briefing médias pour les athlètes pour la nouvelle saison à venir. Vendredi soir, 110 personnes étaient déjà présentes à l’Hôtel Derby pour le repas d’ouverture, ce qui annonçait déjà une participation record pour cet évènement.

4

Samedi matin, le soleil nous attendait au sommet de la piste Garten où se sont déroulés deux géants Swiss-Ski, une Open Race et une Kids Race réunissant au total 126 concurrents. Au milieu des enfants, candidats et athlètes aguerris, on aura noté en particulier la présence indéfectible de l’éternelle Beatrice de Courten. Philippe Guyot, le vétéran de la course, était aussi de la partie, toujours serein et sûr de lui. La journée s’est terminée un peu prématurément avec l'interruption de la deuxième manche après les catégories féminines et avant celles des hommes à cause d’un brouillard à couper au couteau qui avait commencé à monter au cours de la matinée. La sécurité des athlètes avant tout !

Au vu du nombre d’inscrits, il a été difficile de trouver un lieu qui pouvait accueillir 250 personnes pour l’apéritif le samedi soir. L’Hôtel Post nous a donc proposé d’inaugurer son nouveau Living Room à l’extérieur, derrière l’hôtel Mont-Cervin, dans une ambiance bucolique mais… glaciale. L’apéritif a commencé par une présentation passionnante du Professeur Johannes Scherr, représentant notre sponsor principal Balgrist, sur le thème des blessures dans le ski de compétition. Nous vous invitons à lire l’article qu'il a rédigé pour le SAS News en pages 8-9.

L’apéritif s’est ensuite poursuivi autour d’un vin chaud accompagné de soupe et de focaccia. La remise des prix, orchestrée par Fredéric Marxer, a conclu

cet apéritif et récompensé les athlètes les plus rapides – notamment Alexandra Walz chez les femmes et Yannick Chabloz chez les hommes –, puis nous nous sommes dirigés vers l’Hôtel du Mont-Cervin pour le diner de Gala.

Alix Marxer nous a accueillis dans cette magnifique salle avec le traditionnel discours de la Présidente, axé sur les priorités et les objectifs que s'est fixé le Comité Central pour la durée de ce mandat genevois. Parmi d'autres, on notera l'accent mis sur la durabilité.

Le délicieux dîner s'est poursuivi avec la présentation, par Pierre-Alain Ceralli, de notre nouveau sponsor DSM. Nous nous réjouissons de ce nouveau partenariat et de découvrir la gamme de produits nutritifs proposée par DSM pour renforcer nos capacités physiques et mentales.

À 22h00, le Cé qu'è lainô, hymne de la République et Canton de Genève, est entonné, et la marmite de l’escalade brisée sous les applaudissements des 250 convives. La soirée est lancée et la piste de danse s’enflamme. Toutes les générations se retrouvent aux sons des tubes des années 90. À minuit, une dernière danse sur le lac du Connemara sonne la fin des festivités au Mont-Cervin. La soirée se poursuivra jusqu’à l’aube pour beaucoup dans les différents bars de Zermatt.

Le dimanche, sous un soleil radieux, le Comité Central attendait les participants

au pied du Cervin, à la patinoire, pour un brunch et une dernière glissade avant de reprendre la route et regagner la plaine. Au nom du Comité Central, je tiens à remercier tous les participants venus à l’Opening 2022, car c’est grâce à vous et à votre enthousiasme que cet évènement a été un succès.

L’organisation de ce premier évènement nous a permis de nous mettre en place et d’envisager des améliorations pour le prochain Opening qui se tiendra cette année le second week-end de décembre, soit du 8 au 10. À noter donc dès maintenant dans vos agendas !

OPENING À ZERMATT

SCHNEESPORT – NICHT NUR EIN VERGNÜGEN?

MYTHEN UND WAS DAVON NACH WISSENSCHAFTLICHER BETRACHTUNG ÜBRIG BLEIBT

Skifahren, Snowboarden, Langlauf –Schneesport ist vielseitig und nicht nur bei den SAS-Mitgliedern sehr beliebt. Dabei verwundert es nicht, dass viele Mythen zu Sicherheit und Gesundheit dieser Sportarten kursieren. Aber sind sie auch wahr? Prof. Dr. med. Johannes Scherr, Leiter der Sportmedizin an der Universitätsklinik Balgrist, klärte mit einem spannenden Vortrag am SAS Season Opening 2023 in Zermatt anhand sportmedizinischer Fakten auf, was Mythos und was Realität ist. Gestützt werden seine Aussagen unter anderem durch wissenschaftliche Erkenntnisse seines Kollegen PD Dr. Jörg Spörri, Leiter Forschung Sportmedizin am Balgrist.

Kreuzbandrissen ist Skifahren eine Sportart mit relativ hohen Verletzungsraten. Ein Blick in die Statistik zeigt, dass sich beim Skifahren 0,23 Kreuzbandrisse pro 1000 Skitage ereignen. Wenn ein Skitag auf sechs Stunden umgerechnet wird, sind es im Vergleich zum Fussball allerdings weniger Verletzungen am Kreuzband“, sagt Scherr. Gemessen an 1000 Stunden der Sportausübung, werden im Fussball 0,17 Kreuzbandverletzungen gezählt. Die Zahlen im Leistungssport Ski Alpin zeigen jedoch ein anderes Bild: Pro Saison verletzten sich Athletinnen und Athleten durchschnittlich 1,84 Mal. Das Risiko für eine Kreuzbandverletzung während einer Saison liegt im Leistungssport Ski Alpin je nach Studie bei 5–15 %.

Conclusio der Experten: Das Verletzungsrisiko im Freizeitskilauf ist relativ gering und das im Leistungsskisport eher hoch.

Wie gefährlich – oder gesund – ist Schneesport tatsächlich?

Mythos 1: Skifahren ist eine der gefährlichsten Wintersportarten überhaupt Skifahren wird als eine risikoreiche und verletzungsanfällige Sportart angesehen. Das scheinen auch die vielen Sturzvideos in den Sportsendungen zu bestätigen. „Im Hinblick auf die Häufigkeit von

Mythos 2: Frauen sind häufiger von einem Kreuzbandriss betroffen als Männer Frauen verletzen sich häufiger am Kreuzband als Männer. Warum ist das so? Die Wissenschaft kennt mittlerweile mehrere Gründe, warum das Kreuzband bei Frauen häufiger reisst. „Ausschlaggebend ist u.a. die Anatomie der Frau. Die Beinachse, die von Natur aus bei Frauen eher eine X-Stellung aufweist und die sich daraus ergebende X-Bein-Bewegung und ein breiter gebautes Becken können durch die Beweglichkeit und Krafteinwirkung eher zu einem Kreuzbandriss prädispositionieren. Aber auch die geringere Muskelmasse und hierdurch geringere Stabilität spielen eine Rolle“, erklärt Scherr. Im Leistungssport Ski Alpin jedoch ist kein Geschlechterunterschied zu beobachten.

6

Mythos 3: Wenn ein Sturz unausweichlich ist, dann sollte man sich entspannen und es geschehen lassen. Was ist der typische Unfallmechanismus für eine Verletzung am Kreuzband? Beim Skifahren oder bei einem Sturz kann das Knie stark belastet werden, indem sich entweder der Unterschenkel gegenüber dem Oberschenkel nach vorne verschiebt, oder es zu einem seitlichen Einknicken (X-Beinstellung) kombiniert mit Innenrotation des Unterschenkels kommt. Studien zeigen, dass richtiges Verhalten nach dem Fallen oft Schlimmeres verhindert.

Tipp: Während eines Sturzes nicht unmittelbar aufrichten, sondern so sanft wie möglich fallen – bis es zu einem Stillstand kommt. So können weitere, das Knie gefährdende Belastungen verhindert werden.

Mythos 4: Alle Langläufer/innen sind Asthmatiker/innen Asthmatische Probleme sind im Langlaufsport tatsächlich mehr verbreitet als in der Allgemeinbevölkerung. Üblicherweise tritt Asthma bereits in der frühen Kindheit auf – anders bei Langläufern: hier geschieht dies meist zeitverzögert im Alter von 10 bis 17 Jahren. Der Grund? Mit zunehmendem Training wird ein grösseres Atemvolumen benötigt, was eine vermehrte Irritation der Atemwege auslösen kann. Hinzu kommt, dass im Winter die trockene und kalte Luft die Atemwege mehr belastet.

„ Eine gute körperliche Fitness ist auch bei Kindern die optimale Verletzungsprävention: vorbeugen ist besser als behandeln. Man kann Kindern bereits ab fünf Jahren ein begleitendes physisches Training zumuten, wie beispielsweise Krafttraining mit dem eigenen Körpergewicht. “

PD Dr. Jörg Spörri

Sie wollen ein bestimmtes

Trainingsziel erreichen oder nach einer Verletzung wieder trainieren?

Das Universitäre Zentrum für Prävention und Sportmedizin an der Universitätsklinik Balgrist bietet ein komplett auf Sie abgestimmtes Programm an. Weitere Informationen rund um Spitzenmedizin am Bewegungsapparat und zum medizinischen Angebot finden Sie unter www.balgrist.ch.

Prof. Dr. med. Johannes Scherr, Chefarzt und Leiter des Universitären Zentrum für Sportmedizin und Prävention

Aufgewachsen im Schwarzwald und selbst passionierter Alpinsportler verfügt

Johannes Scherr über eine langjährige Erfahrung als verantwortlicher Arzt von Nationalmannschaften bei verschiedenen Olympischen Winterspielen und Skiweltmeisterschaften. Er ist Facharzt für Innere Medizin, Sport- und Ernährungsmedizin und anerkannter universitärer Sportmediziner.

Mythos 5: Eine überdurchschnittliche körperliche Fitness kann Verletzungen vorbeugen wohingegen Kinder nicht überlastet werden sollen. Es ist richtig, dass regelmässiger Sport die Muskelkraft, die Ausdauer und die Kraft verbessert. Eine Studie zusammen mit Swiss-Ski hat ergeben, dass sich bei regelmässigem, einmal wöchentlichem präventiven Training die Verletzungsrate bei U16-Nachwuchsskirennfahrern pro Saison um ein Drittel reduziert. Es wurden 33 % weniger traumatische Knieverletzungen, 53,8 % weniger Überbelastungen am Knie und sogar 77,9 % weniger Rückenbeschwerden verzeichnet.

Tipp: Für sicheren Schneesport speziell die hintere Beinmuskulatur und die Rumpfstabilität stärken und die Beinachsenstabilität trainieren, wie es im ISPA Präventionsprogramm von Swiss-Ski beschrieben wird (www.swiss-ski.ch/events/ summer-challenge/off-snow-training).

PD Dr. Jörg Spörri, Leiter Forschung Sportmedizin

Er war selbst Leistungssportler in der Sportart Ski Alpin, früheres Kadermitglied von Swiss-Ski und ist langjähriges SAS-Mitglied. Jörg Spörris Forschung konzentriert sich auf die Prävention und Rehabilitation von Sportverletzungen und Entwicklung modernster Diagnose- und Rehabilitationskonzepte. Seine Forschungserkenntnisse dienen sowohl dem Breitensportler, aber auch führenden nationalen und internationalen Sportverbänden wie z.B. Swiss-Ski oder dem Internationalen Ski- und Snowboardverband FIS.

7 BALGRIST UND SPORTMEDIZIN
• Schneesport-Mythen: Referent Prof. Dr. Johannes Scherr beim SAS Season Opening 2023 in Zermatt.
©Etienne Bornet

RISKS OF HYPOTHERMIA

Even though Global Warming is melting our glaciers, there is still a risk of becoming hypothermic, especially for those SASlers involved in skiing and mountaineering. Major progress has been made and discussed during the 7 th International Symposium on Accidental Hypothermia in Lausanne in 2022 regarding prognosis and treatment of victims of accidental hypothermia, and thanks also to the International Hypothermia Registry (IHR).

Beat Walpoth l MD, Emeritus, Cardiovascular Surgery in Geneva & Founder of the International Hypothermia Registry.

Louis Marxer l MD, GRIMM, Sion

Amélie Dupasquier l Medical Student, Lausanne

Paradigm shift

Forty years ago, a mountain guide fell into a crevasse and suffered deep accidental hypothermia until the rescue team could recover him, at which time he was found without any vital signs. He was transported by helicopter to the nearest hospital where the doctors diagnosed a very low body temperature (< 23°C) and a cardiac arrest, not compatible with survival. He was declared "dead".

At the same time, in the 1980’s, cardiac surgery for complex, congenital defects in children was performed in specialized

centres in deep hypothermic cardiac arrest, giving the surgeon about 30’ to operate the defect in a total standstill without neurologic deficits after rewarming to 37°C. As you may well know, a cardiac arrest of more than 3-5’ may lead to irreversible brain damage in normothermia. Hypothermia slows down the metabolism enough to give an opportunity of normal survival after rewarming. Therefore, the team of Prof. Althaus, at the Inselspital in Bern, in which I was involved, decided to attempt rewarming of such hypothermic victims by heart-lung machine (Figure 1), as used during cardiac surgery for blood perfusion, oxygenation and rewarming of the body.

The operation was successful and it opened a new era of treatment for such victims. However, as these accidents are very rare, we performed a Swiss Multi-Centre Study with a follow-up of the patients five years after their survival to assess their physical and intellectual conditions. I directed this study and we achieved a 47% long-term survival rate after accidental deep hypothermic cardiac arrest. At follow-up, five years after the accident, all the 15 survivors had recovered their normal life and were sequelae-free. These findings were published in the New England Journal of Medicine, the world’s leading medical journal and from there on, this new rewarming and reviving treatment of patients in hypothermic cardiac arrest is used worldwide and therefore represents an innovation in medicine.

International Hypothermia Registry (IHR)

As not all international centres reported similar good results of a survival of about 50% as described in our study, and the fact that deep accidental hypothermia with cardiac arrest is rare with concomitant factors playing a role for survival, I initiated, together with Dr. Marie Meyer at the University Hospital in Geneva, the IHR in 2010. This Registry now contains data from more than 250 patients from all five continents and over 50 international centres

8
1

actively participate. Recently an analysis of these data from the last 10 years was published in the journal Resuscitation and focuses on negative and positive survival predictors thus aiming at improving the outcome of the patient and helping the rescue teams on-site and hospital teams to make right decision. www.hypothermia-registry.org

Danger of winter sports

Besides many dangers of winter sports such as ski accidents and sometimes avalanches as related in the last SAS News, hypothermia may also represent a danger which can lead to death. Hypothermia is when the body core temperature falls below 36°C and is divided into mild, moderate, and severe stages. Mild hypothermia consists mainly of cold sensation, shivering and can be treated with warm clothes and drinks. Moderate hypothermia already represents a danger zone and medical help should be sought. Severe hypothermia (with body temperature below 28°C) is a lifethreatening condition and most of the victims are comatose, with or without cardiac arrest, and need to be transported immediately to a centre where they can be rewarmed by extra-corporeal life support using a heart-lung machine. (Figure 2)

The world’s deepest hypothermic survivor was a young Norwegian doctor who was found after a skiing accident with a temperature of 13.7°C. She was rewarmed with our method, followed by a long rehabilitation leading to normal professional and recreational life. Several factors influence the chance of survival of such patients, namely if the victim had some vital signs before rescue. To the contrary, victims of an avalanche may succumb early due to asphyxia (impossible to breathe under the avalanche).

Major advance in the treatment of deep accidental hypothermia victims in cardiac arrest has been achieved with prolonged use of a modified heart-lung machine (ECMO), with the possibility to support the patient’s circulation and respiration for a longer period than the conventional heart-lung machine as used in cardiac surgery.

7th International Symposium on Accidental Hypothermia

In order to foster the knowledge of accidental hypothermia treatment, we created a biannual meeting which involves mainly medical doctors such as emergency, anaesthesia and surgery specialists, as well as terrestrial and air-borne rescue services. Last year’s meeting was the first post-pandemic event and brought together around 200 participants from all over the world and was organized by Mathieu Pasquier, MD, Evelien Cools, MD and myself, from the Universities of Lausanne and Geneva. The SASlers, Dr. Louis Marxer, emergency physician, representing GRIMM, a rescue organization from the Valais, as well as Amélie Dupasquier, medical student from Lausanne, both participated actively in the meeting. ( Figure 3 ) During the meeting not only results from the IHR were presented but also the

HOPE Score which is a multi-variable predictor for survival to be used when victims arrive at the hospital.

For more information on this subject, please also consult the 2018 Schneehase.

1 Heart-lung machine used to rewarm the blood of hypothermic victims.

2 Rescue of a hypothermic crevasse victim.

3 & 4 Beat Walpoth with Louis Marxer and Amélie Dupasquier at the 7th International Symposium on Accidental Hypothermia in Lausanne

«C'est un honneur pour nous, jeunes médecins travaillant dans le domaine des urgences, des soins intensifs et au sein du GRIMM (Groupe de Recherche et d'Intervention médical en montagne (www.grimm-vs.ch) d'avoir accès au Symposium sur l'hypothermie, tel que celui organisé par Beat et son équipe en 2022 à Lausanne. Les résultats des recherches portés à notre connaissance permettent une adaptation préclinique et clinique de la prise en charge de nos patients, notamment en Valais et dans le domaine du secours en montagne, en gardant à l'esprit que nous pouvons tous être touchés par cette problématique médicale.»

"The symposium on accidental hypothermia was a great opportunity to get closer to mountain medicine, which fascinates me. My master thesis is about hypothermic patient in cardiac arrest at the hospital in Sion. Taking part in this symposium immersed me in the subject, seeing the progress of the research and the questions that still arise. It is motivating to see all these people passionate about the same subject."

9 SYMPOSIUM IN LAUSANNE
Amélie Dupasquier
2 3 4

SAS TEAM IN LAKE PLACID

Die Lake Placid 2023 FISU World University Games, die vom 12. bis 22. Januar 2023 in der Olympia-Stadt 1980 stattfanden, sind die grösste Winter-MultisportCollege-Sportveranstaltung der Welt. Wir gratulieren unseren Athleten zu ihren Leistungen und lassen sie ein wenig von ihren Erfahrungen erzählen.

Im Januar durften wir zwei Wochen in Lake Placid an der Winteruniversiade verbringen. Es war ein unvergessliches Erlebnis. Ich habe viele gute Erinnerungen und neue Erfahrungen mitgenommen.

Unsere Unterkunft war ein typisch amerikanisches College mitten in einer Naturlandschaft umgeben von viel Wald und Seen. Die Trainings und Wettkämpfe fanden aber ein Stück entfernt auf einer harten und selektiven Strecke, auf dem Mount Hoevenberg statt. Dort fanden auch schon die Langlaufwettkämpfe der Olympischen Spiele 1980 statt. Für mich waren es die ersten Wettkämpfe ausserhalb von Europa und mit einem solchen Internationalen Startfeld. Neben dem Training und Wettkämpfen kam aber auch das Soziale nicht zu kurz. An der Eröffnungs- und der Schlussfeier, bei Busfahrten oder Kartenspielen lernte man Athleten aus anderen Ländern kennen, die mit dem Leistungssport und Studium ebenfalls ähnliche Ziele verfolgten. Aber auch als Schweizer Team wuchsen wir näher zusammen.

10
• Selina Bebi

Die Schweiz an so einem Event vertreten zu dürfen, war ein riesiges Privileg und ein unglaublich schönes Erlebnis, an welches ich noch lange mit guten Erinnerungen zurückdenken werde.

Ich bin in einem Internat aufgewachsen und in USA habe ich in einer Schule gewohnt (Northwood school), das hat mir viele schöne Erinnerungen beschert.

Das Ganze wurde mit einer Silbermedaille zu einem Traumserlebnis. Litauen hat nie zuvor in seiner Geschichte eine Silbermedaille geholt. Es war eine Ehre für mein Heimatland und den SAS Bern, in Lake Placid zu fahren.

Robin Locher

SAS Zürich

Voller Spannung und mit riesiger Vorfreude reiste ich am 9. Januar 2023 mit der Schweizer Delegation via New York nach Lake Placid. Nach der langen Reise nutzten wir vor Ort die Zeit zum Training auf den Loipen beim Langlaufstadion am Mount van Hoevenberg.

Morris Blom SAS Bern

Die Universiade in Lake Placid war mein erster Grossanlass. Alles ist anders als an normalen Skirennen, so musste ich zum Beispiel noch nie zuvor durch eine Sicherheitskontrolle, um ins Skigebiet zu kommen. Die Organisation war sehr gut und die Helfer machten alle einen super Job und waren hilfsbereit.

Mein grosses Highlight war der Gewinn der Silbermedaille im Team Event. Die Stimmung im Team und die Unterstützung der anderen Schweizer Athleten waren unglaublich. Nach jedem Heat wurden wir vom Team zusätzlich motiviert und angefeuert, um nochmals Vollgas zu geben. Diese Emotionen werden mir für immer in Erinnerung bleiben.

Im Slalom lief es leider nicht nach Plan. Nach einem sehr guten Start in den zweiten Lauf habe ich in der Hälfte des Laufs leider eingefädelt. Trotzdem kann ich auch hier lehrreiche Erfahrungen mitnehmen.

Das grösste Highlight abseits der Pisten war für mich ganz klar das Kennenlernen anderer Sportarten und Athleten, von der Schweiz sowie vom Ausland. Hierbei sind Erinnerungen und Freundschaften entstanden, die für immer bleiben werden.

Die leider sehr kurze Zeit in Lake Placid war sehr lehrreich. Falls es für mich jemals zu einem weiteren Grossanlass reicht, hilft es enorm, dass man diese Erfahrung bereits gemacht hat. Jetzt weiss ich genau, was an einem Grossanlass auf mich zukommt.

Andrej Drukarov SAS Bern

Ich war sehr froh, dass ich nochmals die USA erleben kann und an der östlichen Küste Ski fahren durfte. Ich traf bei der Universiade sehr viele Freunde und Skirennfahrer, mit denen ich als Athlet aufgewachsen bin, dazu neue Leute, die ich nicht kannte. Das schönste am ganzen Event war, dass ich mit diesen Sportlern zusammen den ganzen Tag verbringen durfte und sie noch besser kennengelernt habe.

Am 12. Januar nahmen wir an der imposanten und eindrücklichen Eröffnungsfeier teil. Es war genial, inmitten aller Nationen Teil der University Games 2023 zu sein.

Leider erwischte ich eine kurze Magen-Darmgrippe, was mir leider die Teilnahme am Sprint verunmöglichte. Zum Glück konnte ich mich rasch und gut erholen.

Dann folgte das 10-km-Rennen Klassisch. Ich spürte, dass ich noch über zu wenig Kraft verfügte und daher war das Resultat nicht ganz zufriedenstellend. Im 10 km Skating Verfolgungsrennen konnte ich 13 Plätze gut machen und war erfreut über mein Ergebnis.

Das 30 km Skating-Rennen war ein wunderbares Erlebnis und ein toller Abschluss. Ich war mit dem 32. Platz auf der technisch sehr anspruchsvollen Strecke mit vielen Steigungen und Abfahrten sehr zufrieden.

Die Universiade 2023 war ein wunderbares und bleibendes Erlebnis, welches ich nicht missen möchte und mir noch lange in Erinnerung bleiben wird.

2023 WORLD UNIVERSITY GAMES LAKE PLACID
• Morris Bloom • Andrej Drukarov

Not just another asset management company.

Asset Management can happen in many ways.

At Patrimonium, we take an active entrepreneurial approach.

To achieve excellence in our mission we seek talents who share our passion for private markets and look for commitment and creativity –qualities that the work environment at Patrimonium helps foster

Real Estate - Private DebtPrivate Equity - Infrastructure

Discover our current openings: www.patrimonium.ch/careers

We are hiring

Valentine Macheret

SAS Fribourg

Mon meilleur souvenir de ces World University Games est évidemment constitué par ma médaille d’argent en slalom. La veille de la course, il a commencé à neiger fort. Nous savions que le mur allait se dégrader, il fallait donc jouer un peu tactiquement. Je me suis classée 5e de la première manche. Disons que j’étais alors bien placée, mais que j’avais vraiment envie d’aller chercher plus. Si bien que j’ai tout donné sur le second parcours, réalisant une très belle manche qui m’a permis de rester dans le siège de leader jusqu’à la dernière concurrente. Mais malheureusement, j’avais concédé trop de temps lors de la première manche sur l’Italienne Carlotta Marcora qui a remporté la course. Le long voyage jusqu’à Lake Placid était pour moi ma première visite aux États-Unis et, finalement, m'a permis de fêter une première médaille sur un grand évènement. Le soir, après la cérémonie des médailles, nous sommes sortis avec toute l’équipe fêter et nous avons pu en profiter pour rencontrer d’autres étudiants de tous horizons.

Andri Moser

SAS Zürich

Die Universiade in Lake Placid wird mir in spezieller Erinnerung bleiben. Leider nicht aus sportlicher Sicht, denn eine angestrebte Medaille verpasste ich mit Rang vier leider knapp. Dafür aber umso mehr wegen den vielen neuen Freundschaften, die ich während dieser

zwei Wochen schliessen konnte. Ich hatte grosse Freude, bei Wettkämpfen von anderen Schweizern mitzufiebern und sie anzufeuern und ich freute mich, dass auch sie teilweise bei unseren Rennen mit dabei waren. Die Erinnerungen an das Einlaufen in ein volles Stadion bei der Eröffnungsfeier oder das dichte Gedränge in der Bar am letzten Abend werden wohl auch nicht so schnell wieder vergessen sein.

Alexandra Walz

SAS Bern

Endlich ist es soweit. Nach drei Jahren Warten und unzähligen ungewissen Stunden, ob es für eine Universiade-Selektion reichen wird oder nicht, war es am 31. Dezember 2022 endlich soweit. Mit meiner Team-Suisse-Ausrüstung und vier weiteren Skirennfahrern sass ich im Flieger nach New York City. Die Erwartungen und Vorfreude waren riesig. Das Programm stand fest: zuerst zwei Tage New York, danach eine Woche Vorbereitung in Burke Mountain mit zwei NorAm-Rennen und anschliessend weiter nach Lake Placid zu den Universitätsmeisterschaften.

In New York hatten wir Glück mit dem Wetter und konnten bei angenehmem Sonnenschein zum Jahresstart die Stadt mit dem Velo erkunden. Wenn man das erste Mal diese Stadt besucht, ist sie extrem beeindruckend. Die

riesigen Bauten in Manhattan, die wunderschönen Brücken über den Hudson River, und vor allem die Vielfalt an Kultur und Menschen, welche New York zum Leben erwecken.

Nach zwei Tagen Big City Life hatten wir aber alle genug und freuten uns auf das erste Skigebiet, welches Burke Mountain hiess und etwa fünf Fahrstunden von New York entfernt liegt. Der Unterschied von Vermont, wo Burke Mountain liegt, zu New York City ist enorm. Von allem zu nichts. Aber uns gefiel beides. In Burke Mountain waren für die vier Jungs sechs Rennen geplant, für mich zwei. Leider hatten wir mit

• Valentine Macheret • Alexandra Walz
2023 WORLD UNIVERSITY GAMES LAKE PLACID
• Andri Moser

dem Wetter nicht mehr so Glück und es regnete die ersten zwei Tage. Somit wurde die Piste komplett aufgeweicht und das Durchführen meiner Trainings leider verunmöglicht. Stattdessen konnte ich viel frei Ski fahren und mich an den Schnee gewöhnen. Die Tage darauf durfte ich mit der Ski Mountain Skiacademy trainieren. Am letzten Tag in Burke Mountain standen zwei Super G-Rennen für die Damen auf dem Programm. Das Wetter strahlend schön und die Temperaturen etwa 20 Grad kälter als zuvor. Dies bedeutete, dass ich anstatt einer Piste eine Eisbahn angetroffen habe. Nun weiss ich auch, warum die Amerikaner sagen: ski the east. Mit meinem NorAm-Rennen war ich nicht zufrieden, dafür konnte es in Lake Placid nur besser werden.

Vier Fahrstunden und schöne landschaftliche Eindrücke später kamen wir endlich an unserem finalen Ziel an: Lake Placid. Vier Tage vor Beginn der Spiele weilten wir schon vor Ort und konnten das Städtchen und die Pisten auskundschaften. Von Tag zu Tag fand ein Team nach dem anderen aus verschiedensten Nationen den Weg zu den Word University Games. Lake Placid füllte sich mehr und mehr mit Athlet*innen, Trainer*innen, Funktionären und Helfer*innen. Die Tage vor der Eröffnungsfeier hatten wir die Möglichkeit, im Skigebiet jeweils zwei Stunden zu trainieren, was wir noch so gerne nutzten. Pünktlich zur Eröffnungsfeier am 12. Januar war das Team-Suisse komplett. Die Feier war sehr beeindruckend. Gemeinsam liefen alle Athlet*innen im historisch geprägten, mit Zuschauern gefüllten EishockeyStadion in Lake Placid ein. Das werde ich nicht so schnell vergessen.

Am Tag darauf sollte eigentlich der Super-G stattfinden, jedoch hatte es die ganze Nacht geschneit, was zu einer Absage führte. Dies fand ich persönlich aber nicht schlimm. So hatte ich noch einen Tag mehr Zeit, um mich auf das Rennen vorzubereiten.

Am 14. Januar war es dann soweit. Aufgeregt, aber mit einem guten Gefühl im Bauch, besichtigte ich die Rennstrecke. Der Kurs gefiel mir. Ich wusste, wenn ich ohne zu grossen Respekt fahre, kann ich ein gutes Ergebnis erzielen. Meine Fahrt war wild, aber zu meiner grossen Freude auch schnell. Im Schlussklassement erreichte ich den 6. Rang, was ein Diplom bedeutete. Mir fiel ein Stein vom Herzen. Ich war stolz, dass ich nach all dem Trainieren, Warten und Bibbern mein Können nochmals zeigen konnte. Der Super-G hat mich leider etwas zu viel Energie gekostet. Ich erkältete

mich und bekam Fieber. Ich konnte meine Kräfte für die Kombination nicht mehr mobilisieren und danach war die Universiade für mich leider schon vorbei.

Trotzdem kann ich auf eine sehr gute Zeit mit extrem viel schönen Erinnerungen und Erfahrungen zurückblicken und bin sehr dankbar und stolz, dass ich einmal im Leben an einem Grossanlass teilnehmen durfte. Das Beste an diesem AmerikaTrip sind die vielen Freundschaften, welche gestärkt wurden, und jene, die man dazugewinnen konnte.

Vielen Dank an den SAS für das Mitfiebern und die grosse Unterstützung!

Carla Nina Wohler

SAS Bern

Für die Erfahrungen, die ich gesammelt habe und für alles, was ich in Lake Placid an den World University Games gelernt habe, bin ich sehr dankbar. Nebst den Wettkämpfen mit internationaler Konkurrenz sind es auch die Standorte der Austragung, welche das Erlebnis in und rund um Lake Placid einzigartig gemacht haben.

Ich kann auf zwei Wochen voller Highlights zurückblicken. Eines davon bleibt mir aber besonders in Erinnerung: Als wir nämlich das erste Training im Stadion von Mount van Hoevenberg

14
• Alexandra Walz • Gianna Chiara Wohler

absolvierten – bei besten winterlichen Bedingungen und Sonnenschein. Ich fühlte mich angekommen und bereit für die Wettkämpfe und alles, was kommen würde.

Die Wettkämpfe liefen nicht alle wunschgemäss. Dennoch habe ich versucht, in jedem der sechs Wettkämpfe meine Chance zu nutzen und 200 Prozent zu geben. Im letzten Rennen über 15 Kilometer Skating schaute so der 16. Rang heraus – was meinem besten Ergebnis an den World University Games 2023 entspricht.

Gianna Chiara Wohler SAS Bern

Nachdem ich mich im Juli dazu entschieden hatte, an die World University Games gehen zu wollen, hatte ich mit Alexander Walpen Kontakt. Dieser meinte, dass das Einzige, was ich im Moment tun soll, Trainieren ist. Ich befolgte den Rat und versuchte neben dem Vollzeitstudium auch im Training mein Bestes. Ich freute mich sehr über die Selektion im Dezember und bereitete mich dann noch einige Tage auf Schnee auf die Wettkämpfe vor. Bereits die Reise nach Lake Placid war sehr erlebnisreich. Nach 9 Stunden Flug, 3 Stunden Wartezeit am Flughafen und einer sich ewig anfühlenden Busfahrt, kamen wir nach 24stündiger Reise im Saint Paul Smith College an. Das College liegt nach eigenem Empfinden mitten im Nirgendwo, da man bereits nach Lake Placid 45 Minuten Fahrt auf sich nimmt. Bis zum Stadion in Mount van Hoevenberg ist es etwa ähnlich weit. Zu meinen Highlights gehören die Staffel, welche wir auf dem 9. Rang beendeten, auch wenn unser Ziel Rang 8 gewesen wäre. Weiter war es das schöne Wetter, welches die Landschaft noch schöner machte. Beim College und im Wald fühlte man sich dort manchmal wie in Schweden.

Allgemein ist zu sagen, dass wir ein super Team waren und dass es das viel einfacher machte, die Zeit in den USA noch mehr zu geniessen. Sich mit anderen Athleten auszutauschen und zu messen, Feiern mitzumachen, die amerikanische Kultur und auch die Atmosphäre einer WUG zu erleben, waren speziell. Das nehme ich gerne auf meinem weiteren Weg mit mir. Ich konnte viel lernen, was mich motiviert, weiter zu trainieren und an mir zu arbeiten. Die Zeit in Lake Placid werde ich in bester Erinnerung behalten.

Die Wettkämpfe waren gut. Ich denke, dass manchmal jedoch mehr dringelegen hätte, wenn alle Umstände gepasst hätten. Dennoch bin ich froh darüber, dass ich die Chance hatte, so viele Wettkämpfe laufen zu dürfen.

Eric Wyler SAS Bern

Mit der Reise nach Amerika startete mein 2023. Die Vorfreude war riesig, das eigentliche Erlebnis noch viel grösser. Mit meinen Freunden durfte ich drei Wochen lang neue Erfahrungen sammeln, neue Freundschaften schliessen und auch ein paar Erfolge feiern. Mit vielen neuen Erinnerungen und zwei Medaillen im Handgepäck stieg ich ins Flugzeug nach Hause. Danke SAS und Swiss University Sports für dieses Erlebnis.

2023 WORLD UNIVERSITY GAMES LAKE PLACID
• Eric Wyler • Carla Nina Gianna

SAS NORGE SUMMARY

This year Norway and SAS Norge sent the biggest team of Nordic skiers in recent history to the Universiade. The team consisted of 10 skiers, 4 women and 6 men, a majority of whom ski for universities in the United States.

The 2023 games were hosted by the State of New York, in the small idyllic town of Lake Placid, that hosted the 1980 Olympics. To get there most of the athletes flew into the arrival city, Albany, and were shuttled the roughly 3 hours by bus to the Nordic events accommodation – Paul Smith College. The team is pretty used to the college dorm setting and quickly settled into their double rooms and

The opening ceremony was held in the 1980s hockey arena where the legendary Olympic final between the US and Soviet Union USSR took place. Parading through the opening and being met by ice dancers and thousands of cheering people was truly a magnificent experience. The ceremony featured a spectacular ice show and an address by the governor of New York, along with the lighting of the Universiade Olympic flame. 1

The following day we had our very first race, the classic mixed team relay. As an opening distance, it could not have been more difficult. Each team consists of one woman and one man, and each person sprints 1.5 km before exchanging with his partner, and they each go 3 times. From the semifinals, the 2 best teams advance, and then the next best 6 teams from any final advance based on time. In the morning it was raining heavily, which made the tracks wet and soft with grainy snow. But right before the start of the first semifinal, it switched over to sleet, then snow. The worst possible conditions to wax for in classic skiing. Wax teams were scrambling, athletes were rushing back to the trailers to get their skis rewaxed. It was total chaos. Despite the challenging conditions, our first team with Andreas Kirkeng and Karianne Dengerud pulled through and managed to place on the podium for our first medal of the games! 2

took advantage of the dining hall which was available at almost all hours. The college was inconveniently located almost 45 minutes from the stadium and 35 minutes from downtown Lake Placid, which the team got to see in all its glory the first evening during the opening ceremony.

Luckily the mood of the weather gods turned around and we had 3 beautiful race days following the opening distance:

1. The freestyle sprint where Kristoffer Karsrud ended up in a blocked position in the final and was denied a podium he very much wanted.

2. The thrilling 10 km classic individual start where Magnus Bøe and Andreas Kirkeng fought their way to 2nd and 3rd place, while all the other guys placed within the Top 25. Followed by a thrilling pursuit where Andreas Kirkeng battled the unbeatable Japanese Hirose to secure another silver medal. 3

16
1 2

3. The team relay, the event everyone had been waiting for. The night before, the women put bows in their hair, and the men chanted their war cries after the team meeting. The dream for any cross-country skier from Norway is to be awarded the chance to represent his country in the relay at a championship event. After a rocky first leg with mixed and challenging conditions the women fought their way back to a silver medal. 4 & 5 And after a ferocious battle with an incredibly strong French team, the men also secured the silver medal, which definitely felt like a win.

That night we celebrated with all of Team Norway and invited Team Suisse over for Norwegian waffles. However, the waffle iron was made for a European 220 volt outlet, but the US outlets only provide a measly 110 volts. As such the waffles were made at glacial speeds, and only a few lucky Swiss got to try them. One of these lucky Swiss is seen below. 6

The last day of the games was the ultimate strength test – and at this time due to the incredible strain on the athletes of all the races over the course of the last week, many fell sick before the last distance. The 15 and 30 km freestyle mass start is truly the crowning achievement of a championship. Selma Andersen gave everything she had and placed 8th 7

While Magnus Bøe almost caught up with the fading American Johnny Hagenbouch snagging another silver, rounding out his total to 3 silver medals at the games. 8

All in all, an impressive 7 total medals for the team made for some nice overweight luggage back home. 9

None of this would have been possible without the support of SAS and SAS Norge. After the last competition, the team huddled up and thanked SAS for their support. We are tremendously grateful. 10

The team

Nordic Women

• Selma Andersen, Denver University

7

• Karianne Dengerud, University of Utah

• Henriette Semb, Michigan Technological University

• Astrid Stav, University of Alaska Anchorage

Nordic Men

• Andreas Aas-Jacobsen, Norwegian Business Institute

• Magnus Bøe, University of Colorado Boulder

• Øyvind Haugan, University of Colorado Boulder

• Fredrik Lütcherath Nilsen, University of Colorado Boulder

• Andreas Kirkeng, Denver University

• Kristoffer Karsrud, Northern Michigan University

Officials

• Jørgen Grav, Head Coach (SAS Norge Board Member)

• Cole Morgan, Chief Wax Technician

17 2023 WORLD UNIVERSITY GAMES LAKE PLACID
3 4 5 6 8 9 10

LEVÉE DE FONDS POUR LE 100e ANNIVERSAIRE DU SAS

Fondation

Ces dernières années, la Fondation SAS et le Fonds Wilhelm se sont impliquées de manière croissante dans le financement des tâches du Comité Central du SAS et du ski estudiantin. Ainsi, au cours des trois dernières années, nous avons octroyé en moyenne plus de CHF 130’000 de subventions par an, ce qui correspond à un tiers environ du budget du Comité Central.

La professionnalisation du ski en général, l'excellent niveau des équipes SAS alpine et nordique – tant en nombre qu'en qualité – et la couverture du sport populaire posent des exigences accrues sur les athlètes, les accompagnateurs et les organisateurs. Un soutien financier pour notre jeune génération est donc de plus en plus nécessaire. Avec votre don, vous pouvez y contribuer de manière déterminante et aider à assurer le succès de notre formidable SAS pour les 100 prochaines années.

Tom Kessler – Anglo-Swiss –La plus ancienne course de ski par équipes du monde

La Fondation SAS apporte une contribution essentielle à la poursuite de l'Anglo-Swiss, qui s'est déroulé pour la première fois en 1925. Un grand merci pour votre soutien !

Quel est l'objectif de la levée de fonds ?

À l'occasion du centenaire de notre club en 2024, quatre fidèles membres du SAS ont lancé une initiative très généreuse visant à doubler la fortune de la Fondation SAS et ont déjà promis de verser chacun CHF 100'000. À la suite de cette initiative, la Fondation SAS s’est fixé pour objectif d’accroître sa fortune actuelle (CHF 500'000 environ) à CHF 1'500'000. En d'autres termes, nous recherchons CHF 600'000 supplémentaires pour atteindre notre objectif. Nous faisons appel à la générosité des membres du SAS pour des dons «platine» (CHF 100'000), «or» (CHF 50'000), «argent» (CHF 25'000) et «bronze» (CHF 10'000) à la Fondation SAS. Bien entendu, toute autre contribution est toujours la bienvenue.

Comment les dons sont-ils utilisés ?

La Fondation SAS et le Fonds Wilhelm, une dotation testamentaire séparée gérée sous la responsabilité de la Fondation SAS, soutiennent le ski estudiantin et le SAS dans le cadre de ses objectifs, conformément à l'objet de la Fondation et à la mission testamentaire du Fonds Wilhelm respectivement. Au cours des dernières années, la Fondation et le Fonds Wilhelm ont par exemple soutenu financièrement les activités et événements suivants:

• entraînement et compétitions alpines et nordiques en Europe, en Amérique du Nord et du Sud;

• SAS Norge 2022 à Narvik, y compris la participation aux championnats de ski nordique;

• des athlètes individuels de haut niveau comme Tanguy Nef, Daniele Sette, Luca Tavasci ou Mario Dolder;

• financement de départ pour le University Ski Team alpin et nordique.

Quelques témoignages attestent du grand impact, de la joie et de la gratitude des athlètes.

À l'avenir, nous voulons continuer à soutenir nos jeunes athlètes dans un cadre similaire, en accord avec notre politique de subventionnement.

Que signifie un don pour le donateur ?

La Fondation SAS est le moyen pour un donateur de soutenir de jeunes athlètes skieurs, en particulier les SASlers et SASlerinnen, dans leur sport. Que ce soit pour le plaisir d'offrir, pour contribuer à construire l'avenir, pour donner à la jeune génération ce que l'on a reçu soi-même en tant qu'ancien, pour soutenir la passion du ski ou pour donner quelque chose à la collectivité.

Arnaud Du Pasquier – Dupaski Festival –Championnats de ski à roulettes

Que ce soit en tant que passionné de ski de fond, de participant aux Universiades ou de membre du SAS, mon plus grand souhait a toujours été d'avoir un impact positif sur la communauté du ski. Grâce au soutien de la Fondation SAS, j'ai pu mettre sur pied un projet qui aurait eu peu de chances de voir le jour autrement. En outre, j'ai pu concentrer mon énergie sur d'autres aspects de ma manifestation et faire de celle-ci une expérience inoubliable. Voilà ce que représente pour moi la Fondation SAS: elle permet à des personnes ambitieuses, qui n'auraient jamais pu réussir seules, de réaliser leurs rêves pour le bien de tous.

18
stiftung

Tanguy Nef

Grâce au SAS et à la Fondation SAS, je peux poursuivre mon rêve au quotidien. Le soutien financier apporté aux jeunes étudiants-athlètes est tout simplement en train de changer la donne en Suisse.

Gouvernance

Et comme la Fondation SAS est reconnue d'utilité publique, les dons en sa faveur sont en principe déductibles de l’impôt sur le revenu pour les contribuables suisses. Enfin, le donateur peut décider si son don reste anonyme ou s'il peut être publié sous une forme appropriée, par exemple dans le rapport annuel de la Fondation SAS.

La Fondation SAS est une fondation au sens du Code civil suisse et sujette à la surveillance du Département fédéral de l'intérieur. Une société fiduciaire reconnue fait office d'organe de révision. Le Conseil de fondation se compose d'un président et d'un représentant de chaque section, il gère la Fondation et présente chaque année un rapport d'activité à l'Assemblée des délégués du SAS pour approbation.

Le Fonds Wilhelm est géré par la Commission Wilhelm, élue par la section Bâle. La fortune du Fonds Wilhelm a été transférée à la Fondation SAS au sens d'une sous-fondation.

L'organisation et les processus mis en place permettent une gestion professionnelle et transparente des deux fondations, conforme à leur but, efficiente et conforme au devoir de diligence.

Collecte de fonds: démarche concrète

Les membres du conseil de fondation sont les responsables de la collecte de fonds dans leur section. Il s'agit respectivement de:

• Bâle Adrian Sommer

• Berne Bernhard Welten

• Fribourg Eric Bersier

• Genève Alexander Troller

• Lausanne Sandro Jelmini

• Norge Pål Raaum

• Zurich Robert Kessler et Hans Grüter

Thomas Pool – Swiss University Team

L'état de la levée de fonds est régulièrement communiqué. Voici la situation actuelle (début janvier 2023):

Levée de fonds CHF

Le Conseil de la Fondation SAS et la Commission Wilhelm remercient tous les donateurs et donatrices pour leur généreuse contribution à cette collecte de fonds. En tant que donateur, vous soutenez ainsi le ski universitaire et le SAS dans ses missions et ses objectifs. Nous mettons tout en œuvre pour que les fonds soient gérés et utilisés conformément aux objectifs.

Pour vos versements

Fondation SAS, Kreuzmatt 32c, 6430 Schwyz

• Bordier & Cie, 1211 Genève IBAN CH44 0876 7017 7903 A000 A

• Banque J. Safra Sarasin AG, 4002 Bâle IBAN CH64 0875 0061 9441 2400 0

Le soutien de la Fondation SAS permet aux jeunes de réaliser leurs rêves et de vivre leur passion pour le ski. Grâce au financement d'une nouvelle carabine, j'ai pu améliorer mon niveau de performance.

Il y a cinq ans (2018), pendant le mandat du CC Lausanne et en vue des Universiades d'hiver de Lucerne 2021, le Swiss University Team a été créé. À cette occasion, les meilleurs étudiants alpins et nordiques ont été sélectionnés, soit 12 athlètes au total, membres ou non du SAS. Au fil des années et jusqu'à aujourd'hui, l'équipe s'est fortement développée. Certains membres de l'équipe participent aujourd'hui à la Coupe du Monde, en défendant pour certains les couleurs du SAS. D'autres sont candidats dans une section du SAS. L'objectif était de promouvoir le sport universitaire de haut niveau en Suisse et de réussir les Universiades d'hiver de Lucerne. Grâce à cette équipe, le SAS a continué à s'établir en tant que club et association régionale leader pour les étudiantes et étudiants dans le sport d'élite (ski alpin et nordique). L'image du SAS a également profondément gagné en notoriété. Les deux fondations SAS ont soutenu cette initiative importante pour le SAS par un financement de départ d'environ CHF 100'000 sur quatre ans. Une nouvelle étape importante a ainsi été franchie pour la poursuite du développement du SAS comme étant LE club de ski (et association régionale) pour les étudiantes et étudiants.

19 FONDATION SAS
Mario Dolder
Vive le SAS !
Patrimoine de la Fondation (capital propre) 2022 500'000 Situation actuelle de la collecte de fonds 400'000 Différence à combler 600'000 Objectif du patrimoine de la Fondation en 2024 1'500'000 0 500'000 1'000'000 1'500'000

34.50 NUR FÜR SWISSSKI-MITGLIEDER

Unlimitiert surfen in CH & EU 10 Jahre

Alle Mitgliederangebote und Details auf sunrise.ch/swiss-ski

Sunrise Up Mobile L: CHF 34.50/Mt. während 10 Jahren, danach CHF 69.–/Mt. Keine Mindestvertragsdauer. Siehe besondere Vertragsbedingungen auf sunrise.ch/swiss-ski

Offizieller Hauptpartner von

20

Philippe Nicollier –Universiades

Le soutien de la Fondation SAS nous a permis de participer gratuitement aux différentes Universiades. L'aide financière a été une chose, et sa valeur symbolique presque plus importante: j'ai ressenti un grand soutien. Cela m'a donné encore plus de motivation pour donner le meilleur de moi-même !

Philippe Nicollier, qui a participé aux Universiades 2013, 2017 et 2019, est ici en action lors des 30 km des Universiades d'Almaty (KAZ).

et Yannick Dobler) ont bénéficié d'un voyage inoubliable à des courses Nor-Am à Nakiska (Canada).

Christian Vial

Grâce à la Fondation, nous avons pu voyager jusqu'à Narvik et représenter le SAS aux championnats norvégiens. C'était une expérience incroyable, notamment le tracé de la descente qui a eu lieu sur une piste mythique qui n'avait pas été utilisée depuis 26 ans. Tout ceci dans l'esprit SAS. Merci à la fondation pour nous avoir permis de vivre des moments qui resteront dans nos mémoires.

Projet olympique –Fabian Birbaum

Grâce au soutien de la Fondation

SAS, quatre athlètes SAS (Tatjana Stiffler, Seraina Boner, Heidi Widmer et Jöri Kindschi) ont pu s'offrir une préparation supplémentaire. Cela leur a permis de s'entraîner en dehors des cadres de Swiss Ski et d'obtenir de superbes résultats (plusieurs participations à la Coupe du Monde et des classements de choix en Coupe d'Europe). C'est ainsi qu'est né le SAS Pro Team. Après le marathon de Tartu en Estonie en 2019.

SAS Basel – Simon Heinzmann

Le fonds Erich & Monika Wilhelm soutient de jeunes athlètes motivés qui poursuivent activement leur passion et leurs objectifs dans le ski de compétition. Un grand merci !

Valentine Macheret

Le généreux soutien de la Fondation SAS m’a permis de me rendre à Lake Placid, aux États-Unis, pour participer aux World University Games et d’y remporter la médaille d’argent du slalom. Lors de ce séjour, nous avons pu rencontrer des personnes du monde entier qui partagent la même passion que nous pour le ski tout en faisant également des études. Une expérience incroyable que je ne suis pas prête d’oublier ! Un grand merci à la Fondation SAS !

Livio & Janis Herrmann, Quentin Mesot et Alexandra Walz

La Fondation SAS nous a offert les plus aventureuses et les plus belles possibilités d'entraînement dans l'hémisphère sud, à un moment où, en Suisse, les glaciers fondaient sous l'effet de la canicule estivale. En 17 jours, nous avons pu découvrir au Chili trois domaines skiables et nous y entraîner dans les meilleures conditions. Sans la Fondation SAS, un tel projet n'aurait pas pu voir le jour. Merci infiniment !

21 FONDATION SAS

DES SLALOMS RÉUSSIS MALGRÉ LE MANQUE DE NEIGE

Deux slaloms FIS sur une piste magnifiquement entretenue ont pu garantir une superbe course à la centaine d’athlètes venus pour l’occasion.

Après deux jours d’entrainement pour l’équipe SAS, sur une piste également utilisée le vendredi par Pinturault & Co (!) pour préparer l'échéance d'Adelboden, nous n’avons pas pu prendre d'autre décision que de faire courir deux slaloms au lieu d’un slalom et un géant en raison du manque de neige sur le bas de la piste. Une décision difficile en raison de l’importance d'un événement qui n’est autre que les championnats universitaires suisses et la seule course FIS organisée par le SAS.

La piste de slalom, magnifiquement entretenue et préparée par Theo Cuche et son équipe, nous a permis d'assister à deux très belles épreuves qui ont permis aux athlètes de marquer d’excellents points – la participation d’athlètes des NLZ Mitte et Ouest a relevé le niveau – et de couronner un SASler champion suisse universitaire de slalom.

C’est sous un ciel radieux que nous nous sommes retrouvés le samedi matin sur la piste, le soleil se pointant sous l’horizon. Tous les éléments étaient réunis pour une très belle course: une piste bien préparée, dure, des températures pas trop chaudes et pas un nuage à l’horizon. C’est au plus tard lors du passage de notre ouvreur de luxe Christian Vial que nous avons tous pu nous dire que la journée allait couronner de beaux vainqueurs.

Une mention toute particulière pour les bénévoles ainsi que les membres de notre CC ayant fait le déplacement pour nous donner un coup de main. Sans eux, cette course n’aurait pu avoir lieu. Nous comptons tout particulièrement sur vous pour la prochaine édition dont nous vous donnerons les dates et le lieu très prochainement.

22
Frédéric Marxer l Rennchef CC, SAS Genève

S’agissant de la première FISU organisée par votre CC genevois, ce fut un plaisir pour tous de pouvoir proposer une course soutenant

notre mission principale qui est de promouvoir le ski universitaire. Nous nous réjouissons d’ores et déjà d’organiser la prochaine édition.

Compte tenus des résultats incroyables de nombreux athlètes SAS en Coupe du Monde, en Coupe d’Europe ou dans les courses FIS et, bien sûr, dans les disciplines nordiques, le SAS peut être fier d’avoir un avenir sportif assuré. Et en tant que Rennchef, je me réjouis de ces prochaines années, tant pour vivre les performances de nos athlètes que pour participer à nos nombreux événements.

23 FISU & SWISS UNIVERSITY CHAMPIONSHIP (LES DIABLERETS, 6-7 JANVIER)
1 Les lauréates du slalom posent fièrement avec leurs récompenses. 2 C'est l'heure d'observer les premiers concurrents avant de prendre soi-même le départ…
«Nous tenons à féliciter tout particulièrement Kevin Oester du SAS Bern, champion suisse universitaire de slalom 2023 !»
1 2

RIEN NE VA PLUS IM HOCH YBRIG

Der Bebbicup fiel dieses Jahr dem Hochnebel zum Opfer. Gefeiert wurde trotzdem.

Nils Freyenmuth & Ron Schibler | SAS Basel

Eine böse Überraschung

Samstagmorgen, 7:00 Uhr. Die für die Vorbereitung eingeteilten Helferinnen und Helfer treffen in der Talstation „Weglosen“ ein. Lunchpakete und Skitickets werden bezogen, während man auf die erste Bergfahrt wartet. In den Köpfen der Leute eine Mischung aus Vorfreude und Anspannung, denn gleich würde man in die Hände spucken müssen, sei es beim Aufstellen der Netze, beim Stecken des Laufs oder bei der Vorbereitung des Zielgeländes. Während der Fahrt mit der Gondel ging die Sonne auf und das Tageslicht enthüllte eine Nebeldecke, die sich unheilvoll über das Gebiet erstreckte,

als wollte sie uns herausfordern. Noch war jedoch nicht klar, welchen Einfluss dieser Nebel auf unser Rennen haben würde. Erst auf der Fahrt mit dem Sessellift zum Starthaus, als wir in die Suppe eintauchten, wurde uns das Ausmass bewusst: vom einen Sessel konnte man nur mit Mühe den nächsten Sessel erkennen und der Boden entzog sich dem Sichtfeld. Am Start angekommen war sofort klar, dass man so keinen Lauf setzen konnte, von Fahren ganz zu schweigen. So blieb nichts anderes übrig als abzuwarten und zu hoffen, dass sich die Wetterlage zu unseren Gunsten entwickeln würde. Alle 30 Minuten wurde die Situation neu

eingeschätzt und ein Update gegeben. Für den Fall, dass keine zwei Rennen möglich sind, gab es zwei Alternativen bei guter Entwicklung: Entweder ein einziges Rennen auf der Originalstrecke oder ein Sprint-Riesenslalom in verkürzten Läufen. Beide Optionen erforderten jedoch eine Verbesserung der Situation bis spätestens 11 Uhr.

Die Gewinner des Bebbicups

Währenddessen trafen allmählich die über 130 Rennläuferinnen und Rennläufer, sowie die zweite Helfergruppe ein. Schnell füllte sich das Restaurant bis auf den letzten Tisch,

24

denn auch an Einfahren war nicht zu denken. Der Nebel war so dick, dass man die Piste nicht vom Himmel unterscheiden konnte. Von Zeit zu Zeit fiel der Blick aus dem Fenster in der Hoffnung, der Nebel möge sich verflüchtigt haben. Dieser blieb jedoch das Einzige, was man durchs Fenster erkennen konnte. So ging es bis 11:00, als die Rennen schliesslich ersatzlos gestrichen wurden. Der grosse Gewinner war an diesem Tag der Wirt des Bergrestaurants, der mit den Teilnehmerinnen und Teilnehmern ordentlich Umsatz machte.

Auf Wiedersehen

Anstelle der Siegerehrung organisierte das OK eine Verlosung der Rennpreise. So konnten wir alle Startnummern sammeln und den zahlreich erschienenen Athletinnen und Athleten einen würdigen Abschluss des Bebbicups bieten. Alle abgegebenen Startnummern wurden in einer grossen Schneehexe gesammelt. Die Besitzer durften darauf hoffen, dass ihre Nummer gezogen würde. Zu gewinnen gab es Keks- und Crackerpakete von Wernli und Darvida. Nach einem Gruppenfoto mit allen Teilnehmerinnen und Teilnehmern war damit das offizielle Programm vorbei. Doch der SAS-Anlass ging weiter.

Der Ausklang

Wie jedes Jahr verbrachten wir den Abend bei einem gemütlichen Beisammensein in der Roggenstock Lounge. Neben dem feinen Menu und ein paar Drinks gab jeder Anwesende seine lustigen SAS-Erlebnisse zum Besten. So amüsierten wir uns bis in die frühen Morgenstunden.

Der Nächste Tag präsentierte sich zunächst ähnlich grau wie der Vortag. Doch unseren geplanten Plausch-Skitag unter SAS-Freunden wollte die Sonne scheinbar nicht missen und plötzlich erstrahlte der Himmel nach dem Morgenessen in Blau. Und so stiegen alle zusammen mit einem breiten Grinsen und strahlenden Augen für einen weiteren Tag in die Ski.

25 BEBBICUP
„Der grosse Gewinner war an diesem Tag der Wirt des Bergrestaurants, der mit den Teilnehmerinnen und Teilnehmern ordentlich Umsatz machte.“

GRACE ANDERES ERSTE SASLERIN AM EOYF

Als erste und jüngste Jeune-SASlerin hat sich Grace Anderes für das EOYF (European Olympic Youth Festival), welches vom 21.-28. Januar in Italien stattgefunden hat, qualifiziert.

Thomas Pool | Präsident TK

An dieser Jugendolympiade fanden Wettkämpfe in 14 unterschiedlichen Wintersportdisziplinen mit AthletInnen aus 48 Nationen statt. Grace ist 17 Jahre alt, Kandidatin des SAS Zürich und fährt seit letztem Jahr für den SAS. Mit drei Top-15-Platzierungen (11. im SG, 12. im SL und 15. im RS) hat sie drei tolle Resultate herausgefahren und ihre bisher besten FIS-Punkte erzielt.

Grace, wie war das Erlebnis EOYF?

Es war eine wirklich tolle Woche. Unsere Trainer haben alles getan,

um uns mit Ski- und Konditraining optimal für die Rennen vorzubereiten. Wir hatten ein super Team und es hat viel Spass gemacht, wieder einmal neue Leute zu treffen und besser kennenzulernen. Die Piste war ziemlich weich und bereits früh markiert. Trotzdem waren es super Rennen und ich hatte grosse Freude am EYOF teilzunehmen. Insgesamt durften 95 Schweizer SportlerInnen am EYOF starten – acht davon waren SkirennfahrerInnen (4 Jungs und 4 Mädchen).

Wie bist du mit der bisherigen Saison zufrieden?

Bis jetzt konnte ich den Rennmodus noch nicht so wirklich finden, denn ich hatte bisher zu viele Ausfälle in diesem Winter – und die Rennen, die ich ins Ziel brachte, waren bisher immer sehr fehlerhaft. Am EYOF gelang es mir aber endlich, meine FIS-Punkte wieder einen Schritt zu verbessern. Ich hoffe, dass ich meine Slalompunkte in dieser Saison auf etwa 40 und meine Riesenslalompunkte auf unter 50 runterbringe.

26

Was sind deine Ziele?

Nach dieser Saison wäre es das Ziel, mindestens in einem NLZ (Nationales Leistungszentrum) aufgenommen zu werden. Wenn es so weitergeht und ich weiterhin an meiner Stabilität arbeite, bin ich sicher auf einem guten Weg. Ich gehöre zu den besten meines Jahrganges in der Schweiz, da ich mich von Niederlagen gut erholen kann und nie vergesse, Spass beim Skifahren zu haben. In Zukunft möchte ich mit den besten Skirennsportlerinnen mithalten können und mit der gleichen Motivation und Freude Skirennen bestreiten.

Wie bist du zum Skirennsport gekommen?

Ich habe einen 20 Jahre alten Bruder, der nach der zweiten U14-Saison mit dem Skirennsport aufgehört hat. Er studiert jetzt an der Uni Zürich und arbeitet im Winter als Skilehrer. Als ich klein war, lernte ich in der Skischule meine ersten parallelen Schwünge. Mit etwa vier Jahren meinte eine Skilehrerin in Gonten, dass sie mir bald nichts mehr beibringen könne und ich doch einmal in einem Skiclub vorbeischauen sollte. So trat ich dem Skiclub Gossau bei und bestritt schon bald meine ersten Skirennen.

Warum fährst du Skirennen?

Skirennen fahre ich, weil ich ein Wettkampftyp bin. Ich wollte nie eine Sportart machen, ohne an deren Wettkämpfen teilzunehmen. Meine Mutter meinte immer: „Du kannst nicht auf allen Hochzeiten tanzen.“ So musste ich mich mit etwa 11 Jahren entscheiden, ob ich lieber an Hip-HopSchweizermeisterschaften mitkämpfen will oder doch eher Skirennfahrerin sein möchte. Glücklicherweise habe ich die richtige Entscheidung getroffen.

Warum fährst du für den SAS?

Ich gehe an ein normales Gymnasium (Kantonsschule am Burggraben) und brauchte mehr Flexibilität, wann und mit wem ich trainieren möchte. Ich fahre für den SAS, da das Ostschweizer Regionalkader mit meinem Set-up keine Option für mich war. Mein Trainer, Clemens Caderas, der schon einige SASler trainieren durfte, hat mir den SAS empfohlen. Diesen Frühling 2023 werde ich die Matura abschliessen und kann mich somit erstmals mindestens ein Jahr voll auf den Skirennsport konzentrieren. Studieren würde ich gerne Englisch und idealsten wäre ein Fernstudium.

Herzlichen Dank für diesen Einblick in dein Leben als junge Skirennfahrerin und die Beschreibung deiner Ziele und Träume. Wir freuen uns, dass du für den SAS fährst, werden deine Karriere weiter verfolgen und begleiten und sind gespannt auf deine weiteren Resultate.

27 EUROPEAN OLYMPIC YOUTH FESTIVAL

ENTRE TRADITION ET COMPÉTITION, LE JAUN

DÉVOILE TOUT SON CHARME

La station gruérienne a été le théâtre de quatre courses fantastiques et habilement organisées par le duo FribourgGenève. Entre SASlers habitués et nouveaux candidats, le week-end au Jaun a été à la hauteur de sa réputation.

Alexis Cogne | Candidat SAS Genève

La SAS Cup a débuté vendredi soir autour d’un dîner convivial entre SASlers heureux de se retrouver. Au terme d’un repas festif, les skieurs ont pris la direction de la colonie où une table de ping-pong a été le théâtre de tournantes géantes. Armés d'une raquette, d'un téléphone ou simplement de leur main, les SASlers se sont affrontés lors de parties endiablées avant de prendre place sur le dancefloor pour le reste de la soirée.

Samedi matin, chacun était à son poste pour sécuriser la piste et piqueter le tracé afin de permettre à quelque 150 compétiteurs de dévaler la pente glacée du Jaun. La même piste accueillant une étape de Coupe d’Europe quelques jours plus tard, les pentes avaient été préalablement injectées, laissant place à un mur de glace immuable.

La première manche a fait preuve de très peu de tolérance vis-à-vis des skieurs. La moindre faute d’intérieur, et c’était la glissade garantie jusqu’en bas de la piste. Au terme de ce parcours initial, les organisateurs et candidats ont à peine eu le temps d’avaler leur hot-dog préparé avec amour par le SAS Fribourg qu’ils étaient déjà au sommet de la piste. Un re-piquetage éclair a laissé parler tout le savoir-faire du SAS et offert une seconde manche moins verglacée qui s’est vue fortement appréciée des concurrents.

La première journée de compétition achevée, les SASlers prirent la direction de la colonie qui s’est éteinte dans un silence de plomb: la sieste s'avéra sacrée et surtout

28

nécessaire. Ensuite, un bus piloté par un habile chauffeur de la région dévala le chemin escarpé et verglacé qui rejoint le village. Les skieurs arrivèrent enfin à bon port où la traditionnelle fondue fribourgeoise les récompensa de leurs performances. Le repas terminé, une tombola géante fut mise sur pied et vit certains chanceux gagner de généreux lots, notamment une magnifique luge de compétition qui, je n’en doute pas, fera parler d’elle lors des prochaines SAS Cups. Une fois le dîner clos, les participants ont repris le chemin de la colonie où un parcours d’obstacles revisité à la sauce du SAS attendait les candidats. Ceux-ci, dispatchés en quatre équipes, ont démontré leur agilité et robustesse au terme d’une compétition acharnée. La soirée était bel et bien lancée, et chacun put ensuite briller à sa manière sur la piste de danse.

Plutôt deux fois qu’une

Dimanche matin, rebelote, la colonie s’est activée de bonne heure et a repris la route pour cette deuxième journée de compétition. Le soleil se levait à peine sur le Jaun qu’apparaissait déjà la fameuse piste-patinoire, lissée manuellement la veille à l’ancienne par les skieurs. L’organisation était définitivement rodée et le parcours fut mis sur pied en un rien de temps. Quelque 120 vaillants concurrents ont pris le départ de cette seconde journée et bénéficié de très bonnes conditions lors des deux manches.

Enfin, au terme d’une remise des prix pleine d’émotion, les SASlers se sont quittés fatigués, certes, mais la tête pleine de souvenirs d’un magnifique week-end en se réjouissant déjà de se retrouver bientôt sur les pistes.

29
COUPE SAS

WHAT AN EVENT!

For the 89th time in history, the SASTeam and the BUSC-Team met in January for their annual interclub competition. What an unbelievable experience it is for a young SASler! The suite-life, the competition, the weight of History… Let me explain.

How it all started

Arriving in St.-Moritz on a beautiful Sunday, through the “Glacier-Express” line under the Furka, over the Oberalp, on the Albula line, is in itself already a wonderful journey in our beautiful Alps. For the young athletes of the BUSC and SAS Teams, arriving at the Badrutt’s Palace is something else though… Your luggage: taken care of; your shoes: the staff will make them shine; the breakfast: unbelievable; the Hotel spa: wow!

The spa was actually the first place of gathering of the SAS-Team. Learning to know each other within a 38-degrees outside jacuzzi makes everything easier. In the other corner of said jacuzzi, unseeable through the fog created by the pool, another gathering was happening. This is where the BUSC-Team was met for the first time.

Following a nice dinner, where the teams were mixed-up in order for people to meet in more suitable attire, an early night was called for everybody, tired of this long journey to the Engadin resort.

The competition begins

After this first casual meeting, it was time to find out where both teams stand on a skiing level. Although the weather was not really at the rendezvous on this first day, Fraser (BUSC-Team Member) was able to demonstrate his GS-skills in the permanent “fun-GSslope” of St. Moritz. It is said that ETH-researchers are still using very performant calculation machines to find out how you can win by more than five seconds on a 25 second slope… against some World Cup skiers!

That being said, we could already feel the first analysis within the teams, trying to determine which skiers would be the ones to be feared, on which ones some pressure would need to be put so his/her nerves would collapse in the race. The mind games began.

Then followed the first lunch in this exceptional Corviglia Ski-Club chalet. Of course, most of the team members were new to this exercise. Slippers and collars were forgotten, phones were used although it is strictly forbidden inside the chalet. Something to do better in the next days.

The ice-hockey confrontation of the afternoon was a simple formality win for the SAS-Team. However, we’ve heard that the British are quite fast on ice without their skates… But this story shall be told later.

After a quick detour to the hotel spa, we could meet the first guests that had arrived on this Monday, and they joined us at dinner. The day was achieved with a few drinks at a local pool bar.

30
1

Training, eating…and keeping up with tradition

The Tuesday morning was quite a stressful day for both team captains. The team order of skiing for the race had to be announced, and the (actually not very useful) draw has been done. Then, the racers were able to train in a slalom course set by the BUSC. We could analyze the slalom level of the other team, and rapidly see that the level of this year’s race was really high.

In the evening, the last guests had joined us for the pre-race dinner in a beautiful chalet facing the Badrutt’s, Chesa Veglia, where the decision to submit Romansh as the fourth Swiss national language to a popular vote was taken.

Both teams however had to call it an early night… to have time to go and keep up with tradition. Let’s just say that we found some grass in some rooms, wooden parts had been broken, but human bodies were (almost) intact. After this fun and scary part of the week, a good night of sleep was needed in order to be able to compete seriously the next day.

Racing in a “catsuit”, with a tie, a shirt, and a “Pulli”

The pioneers of the SAS would have found this normal, but for us, youngsters used to wearing only a “catsuit” (as the BUSC members call their racing suit), the shirt, tie and “Pulli” skiing was not a normal situation. But what a fun experience this was. Men helped women to tie their ties, pictures of this abnormal skiing gear were taken…and go!

Two runs of giant slalom and two runs of slalom to see who would not drink out of the full cup this year.

We could only admit a large defeat against the BUSC. In their own words, this is one of the best teams they had ever had. Multiple World Cup, World Championship, European Cup and NorAm Cup starts, very low FIS points in either discipline… We did not stand a chance against this high-quality team. However, we had a nice consolation with Gian-Andrea “Gianni” Hehli (SAS ZH) taking on the prize for the overall fastest racing of the day!

Another great consolation was our clear victory in the “Champagne Race”. As explained earlier, it was told that the BUSC-Team was very fast on ice without skates. But they were not fast enough! For the first time in many years, the SAS-Team could go home with the honorific title of winners of this particular race.

How it all ended

The evening gathering is well remembered by the undersigned… until the cup drinking part for the

me to be designated as the SASTeam Captain, and an even bigger pride to captain this particular team.

To all young SASlers: this event is a once in a lifetime experience! If you get the chance to participate, run to it! Words do not transfer the power of the feelings you get when you are there. Thank You, Anglo-Swiss!

losing captain. After, I must say, everything got a little bit blurry. However, the traditions of this dinner are to be remembered. The same menu is served since the first edition of this iconic competition; toast to King George the Third and President Alain Berset were given; speeches were made by both captains; and the cup went around the honorary table, whilst the drinker was heavily guarded. After this, I think everybody went dancing at the King’s Club… but again, this part is a little bit blurry…

In the name of all the BUSC and SAS Teams members, I want to thank Tom Kessler, Markus Almer and Frankie Clough for the organization of this 89th edition of the Anglo-Swiss. The atmosphere has been amazing for the four days, and new international friendships were built during the event. I also want to thank my teammates for the incredible fun we all had together. It has been a real honor for

The races of 11th and 12th January 1925 are regarded by both Lunn and Amstutz as the beginning of the Anglo-Swiss. In this first race, the British Team officially represented Great Britain. A race on equal terms, in other words between two student ski clubs, only became possible when Lunn founded the British Universities Ski Club (BUSC) in December 1926.

1 Both Teams with skiing gear. Behind,

Frankie Glough (BUSC's Head of Delegation; Julia Steiner (SAS BE); Morgane Vullioud

31 ANGLO-SWISS (22-26 JANUARY)
from left to right: (SAS LA); Zak Vinter; Kilian Tournier (SAS GE, SAS's TeamCaptain); Alicja Krahelski (BUSC's TeamCaptain); Markus Almer (SAS's Co-head of Delegation). Front, from left to right: GianAndrea Hehli (SAS ZH); Hannah Gray; Lars Ackermann (SAS BE); Adam Hall; Anthony Viola (SAS LA); Fraser Middleton; Tom Kessler (SAS's Co-head of Delegation).. 2 Both Teams at dinner
2
Vive les Anglo-Swiss, Vive le BUSC, Vive le SAS ! Erratum “the oldest team ski race” (SAS News No. 128, p. 29)

FAITES CONNAISSANCE AVEC NOTRE ÉQUIPE

Après quatre années passées à la tête de l’équipe nordique, il est temps pour moi de laisser la place aux jeunes. J’ai eu de la chance de pouvoir non seulement développer le ski nordique au sein du SAS, mais aussi de grandir à travers diverses expériences enrichissantes.

À côté de mon doctorat à l’EPFZ, le fait de devoir prendre de la responsabilité, planifier un programme régulier d’entraînements et de courses, organiser le matériel, gérer les finances, tout en gardant une communication régulière avec les membres du CC, de la TK, et de la ComCom, n’a pas toujours été facile. L’aide de diverses personnes, qui se reconnaitront, ainsi que celle des structures du SAS, a été fantastique et sans elle, rien n’aurait été possible.

Nous comptons à présent environ 40 athlètes qui participent régulièrement au programme proposé. Celuici consiste d'environ 70 journées organisées (compétitions et camps d’entraînement). À travers cet article, et pour honorer le changement de Comité Central, je voudrais présenter quelques-uns de mes athlètes (14 pour

être exact, histoire de ne pas dépasser la limite que m’a fixée la responsable du SAS News !). Non seulement les plus performants, mais aussi certains par le biais de quelques histoires qui, pour moi, représentent l’esprit SAS. Les histoires hors du commun vont avec le SAS comme le pull en cashmere avec son col en V blanc. Ainsi, le groupe nordique m’a toujours impressionné par sa capacité d’harmonie malgré la diversité de ses membres.

Matthias Leibundgut 1

Je commence par mon successeur, Matthias Leibundgut, qui représente l’esprit SAS à merveille. Membre du SAS Lausanne, natif de Berne, et habitant depuis six ans à Trondheim, en Norvège, il symbolise les facettes régionales du Ski-Club Académique Suisse. Je suis persuadé que par ses

talents linguistiques, mais surtout par sa motivation à organiser les choses proprement et par son souci du détail, le SAS nordique va bénéficier d'un nouveau souffle et continuera à se développer de manière positive. L’étudiant en génie mécanique a d’ailleurs décidé de rentrer en Suisse au printemps 2023, cela aussi par souci de pouvoir reprendre les rennes du SAS Nordique de la meilleure des façons.

Carla 2 & Gianna Wohler 3

Il me faut les présenter ensemble, faute de pouvoir différencier sans un dernier doute les jumelles aux origines grisonnes qui ont grandi à Spiez (BE). C’est un duo de choc qui nous a rejoints l’année passée, et les candidates du SAS Berne l’ont prouvé dès leur première année sous les couleurs du SAS: aux Universiades de Lake Placid, les deux sœurs étaient au départ. Gianna, étudiante en 3e année en soins infirmiers à la haute école spécialisée bernoise, a terminé 26e du 15 km libre, tandis que Carla, étudiante en sciences politiques à l’université de Lucerne, a pris la 16e place.

32
Le groupe nordique présent lors des championnats suisses en mars 2022 à Sparenmoos, au-dessus de Zweisimmen. Philippe Nicollier

Arnaud Du Pasquier 4

Arnaud Du Pasquier, un des athlètes chevronnés de l’équipe avec lequel j’ai pu partager de nombreuses années sur les pistes de ski de fond, est une figure dominante du ski de fond de longue distance en Suisse. Quand il ne prépare pas son festival de ski à roulettes, le «Dupaski Festival», on le retrouve un peu partout dans le monde, mais presque toujours à l’entraînement. Il écume les courses de la série «Ski Classics» avec son équipe française «Team Nordic Expérience», mais porte bien souvent et fièrement les couleurs du SAS lorsqu’il est au départ d’autres compétitions.

Lea Fischer 5

Notre athlète la plus performante du moment est Lea Fischer. Membre du cadre A de Swiss Ski, elle compte parmi les meilleures spécialistes du pays, mais surtout parmi les meilleures sprinteuses mondiales en style libre. Elle l’a prouvé cette année en terminant à la 12e place de l'épreuve Coupe du Monde de Livigno. Après un bachelor en sciences du sport à Trondheim – où j’ai d’ailleurs eu l’honneur d’occuper la chambre d’amis pendant un mois ! –, Lea est de retour en Suisse. À Davos, au moment de rédiger ces lignes, elle s’entraînait avec l’équipe helvétique et se préparait pour les championnats du monde de Planica 2023.

Nicola Müller 6

Nicola Müller domine la scène suisse d’un sport qui est taillé pour les membres du SAS: le ski d’orientation. Ainsi, c’est la

combinaison parfaite entre sport et capacités mentales (un peu comme le «chessboxing», mais avec moins de risques de blessure). Non seulement faut-il aller vite sur les skis, mais aussi lire une carte et choisir le chemin le plus court (si le bus nordique ne nécessite pas de GPS, vous savez pourquoi…). Plus sérieusement, Nicola a remporté plusieurs médailles internationales (championnats d’Europe, championnats du monde) et pourrait donc être un candidat pour une médaille aux Universiades. Malheureusement, alors que ce sport était au programme pour Lucerne 2021, Lake Placid a choisi de ne pas proposer la discipline pour l’édition 2023 des Universiades. Nicola est néanmoins champion du monde universitaire de la discipline.

Sophia Velicer 7

Comme Lea, Sophia aura aussi été présente aux championnats du monde de ski nordique 2023 à Planica, mais en défendant les couleurs d'une autre nation. Elle a représenté le pays de sa mère, Taiwan. Sophia vit à Rothenthurm dans le canton de Schwyz, après avoir passé du temps en Allemagne, aux États-Unis et en Écosse où elle étudia les sciences médicales à l’université d’Edinbourg. Elle suit en ce moment un programme en Data Analytics à la London School of Economics. Sophia présente quelques résultats intéressants, figurant habituellement dans le Top 10 des courses FIS en Suisse. Mais c’est surtout sur les marathons à ski qu’elle excelle: une deuxième place sur la Gommerlauf ainsi qu’une victoire sur le marathon de Bessans figurent ainsi à son palmarès.

33 SAS NORDIQUE
1 5 2 6 3 7 4

helvetia.ch/mitglieder-swiss-ski

Partnerschaft.

Vorteile. Für Sie.

Profitieren Sie mit dem neuen Helvetia Vorteilspaket für Swiss-Ski-Mitglieder unter anderem von:

50% Willkommensrabatt

Doppelte Versicherungssumme

Reduziertem Selbstbehalt

In Kooperation mit

Für mehr Informationen QR-Code scannen

Luca Aerni und Daniel Yule Team Helvetia | Ski Alpin

Robin Locher 8 et Selina Bebi 9

Je présente Robin et Selina en même temps, car ils constituent en quelque sorte la jeunesse nordique du SAS. Les deux athlètes de Suisse orientale (Herisau pour Robin, Davos pour Selina) se sont qualifiés pour les Universiades de Lake Placid et ont pu tâter pour la première fois la scène internationale du ski de fond. Un apprentissage plein de valeur et, à mon avis, un signal important pour les athlètes-étudiants: même en étudiant à plein temps, il est possible d’avoir des objectifs ambitieux. En Amérique du Nord, Selina s'est classée à une 43e place et Robin à un 32e rang. Autre point commun: les deux athlètes sont candidats au sein du SAS Zurich.

Gian-Andri Müller 10

Des Müller au sein du SAS Nordique, il y en a «wie Sand am Meer» pour utiliser la locution allemande. Pas tous de la même famille certes, mais dans ce cas précis, Gian-Andri est bien le frère de Nicola. Il figure dans plusieurs équipes de différents sports: hormis celui du nordique SAS, on le retrouve dans les cadres nationaux du ski d'orientation et de la course d’orientation. Plus jeune membre de l’équipe (il est encore jeune-SAS), Gianni termine son cursus au sein du collège sportif de Davos. Il a remporté un diplôme ainsi qu’une médaille en relais avec l’équipe suisse lors des championnats du monde de ski d’orientation cette année ainsi que deux médailles de bronze lors des championnats du monde juniors l’année précédente.

Flavia Lindegger 11

Vous avez peut-être déjà entendu le nom de Lindegger au sein du SAS Nordique. Janis, grande sœur de Flavia, est en effet depuis plusieurs années engagée comme coach pour l’équipe nordique. Quant à Flavia, elle fait partie de l’équipe du SAS Nordique depuis deux saisons. Ancienne membre du cadre C de Swiss Ski, elle est une spécialiste du sprint en skating et a représenté la Suisse lors des championnats du monde juniors d’Oberwiesenthal en 2020. Native de Davos, elle étudie à distance et est candidate au sein du SAS Zurich.

Luca Tavasci 12

Luca est un athlète paralympique qui a intégré le cadre nordique du SAS voici plusieurs saisons. L’ancien étudiant en génie civil «construit» sa forme en été sur le VTT. Technicien talentueux sur deux roues, il m’a déjà distancé dans quelques descentes de son Engadine natale. En ski de fond, il a participé aux Jeux Paralympiques de Beijing 2022 et participe au circuit Coupe du Monde paralympique. Grâce au SAS, il a trouvé un groupe d’entraînement qui le soutient dans ses futurs objectifs. Un de ceux-ci est assurément constitué par les Jeux Paralympiques de Milan 2026.

Aita Kaufmann 13

Aita Kaufmann, membre du SAS Zurich, s’est qualifiée l’année passée pour les épreuves de Coupe du Monde de Davos. Une réussite remarquable si l'on songe que l’étudiante en médecine n’avait presque pas mis les skis à cause de son emploi du temps chargé durant l’hiver en question. Son talent était déjà apparent dans sa jeunesse: elle a notamment participé au festival olympique de la jeunesse européenne (FOJE) en 2015. Aita court vite, avec et sans skis. N'a-telle pas terminé en tout juste trois heures le marathon d’Amsterdam 2022 ?

Eliane Deininger 14

Pour terminer cette présentation d’équipe, Eliane Deininger, autre athlète adepte du ski d’orientation, vient de gagner une médaille européenne historique pour la Suisse avec le relais féminin de la discipline. En outre, elle a couronné sa saison avec une médaille d’argent aux championnats du monde U23. L’étudiante en géographie à l’Université de Berne est candidate au sein du SAS Berne.

35
SAS NORDIQUE 8 12 9 13 10 14 11

À MONTANA…

Quel plaisir de se réunir à nouveau, sans restrictions, sans masques, sans PCR, etc., mais avec l’amitié et la joie retrouvées ! C’est à la «Désalpe» qu’environ trente SASlers et SASleuses ont partagé un apéritif «bien valaisan» et un repas «bien italien». Mais surtout, ils ont pu échanger leurs exploits et souvenirs comme à l’époque…

Cette soirée a aussi été l’occasion d’envisager, avec PierreAlain Ceralli, de créer un groupe de SASlers disponibles pour assister les organisateurs des futurs championnats du monde 2027 de ski alpin. Il est prévu de «s’entrainer» lors des futures éditions, dès 2024, de la Coupe du Monde. Que toutes les personnes intéressées nous contactent, PierreAlain ou moi, et nous vous tiendrons au courant. N’hésitez surtout pas à en parler à vos ami(e)s SAS, l’objectif étant vraiment de créer un groupe actif et à disposition des organisateurs pour réaliser des championnats mémorables et pour encourager nos futurs membres SAS participants.

Et vive le SAS !

ÀVERBIER…

Louise Thilo | SAS Lausanne

Le 29 décembre dernier, Léo Tétaz (Co-Président SAS Lausanne) et Louise Thilo (SAS Lausanne) ont organisé un stamm de station à Verbier. C’était l’occasion de continuer à festoyer entre Noël et Nouvel-An en profitant de se voir entre SASlers. Après une belle journée de ski en petit comité sur les pistes de Savoleyres et Verbier, nous nous sommes tous retrouvés à l’après-ski du Farinet. Après quelques heures de live music et de douches de bières, nous nous sommes dirigés vers la Pizzeria Le Borsalino.

Nous étions plus de 40 SASlers représentant les sections de Lausanne, Fribourg, Genève et même de Zurich. Après une bonne pizza, nous sommes retournés au Farinet pour finir la soirée comme il se doit… jusqu’au bout de la nuit ! Heureusement, le lendemain, nous avons eu l’excuse du mauvais temps pour ne pas être les premiers sur les skis…

…UND AUF DER LENZERHEIDE

Ami Beuret | Kandidat SAS Zürich

Nach zweijähriger, coronabedingter Verzögerung konnte der alljährliche Jahresendapéro wieder stattfinden. Wie bereits 2014 fanden über 80 SASlerinnen und SASler sowie Angehörige im Restaurant des Golfclubs Lenzerheide zusammen.

Nachdem alle eingetroffen und die ersten Worte untereinander ausgetauscht waren, wurden wir offiziell von unserem Sektionspräsidenten Niklaus Hug sowie OK-Mitglied Robert Kessler kurz und knackig begrüsst.

Eine grosse Überraschung gab es für diejenigen, die die Bedeutung von „Apéro very riche“ nicht richtig verstanden hatten. Es ging hier in Wirklichkeit um einen Apéro, gefolgt von einem kompletten Vier-Gang-Menü. Hungernd nach Hause musste folglich definitiv niemand.

Die Stimmung war den ganzen Abend über erfüllt von Freude und Wärme. Kühl wurde es nur denjenigen, die für das traditionelle Fotoshooting im SAS-Pulli kurz nach draussen mussten.

Der Anlass war auch dieses Jahr wieder voller Erfolg und wir freuen uns schon auf das nächste Mal! Nochmals ein herzliches Dankeschön an das gesamte Organisationskomitee für die grosszügige Einladung!

36
STAMMS DE NOËL
• Crans-Montana • Lenzerheide

SANDRO JELMINI RÉPOND À PROUST

L’ancien Président du Comité Central se dévoile !

Du bist im SAS, weil…

Tu es SASler parce que…

Sandro Jelmini: Notre esprit SAS ! Je suis tombé dedans étant jeune étudiant, la potion n'a fait qu'accentuer mon addiction au fil du temps. Les amis, la tradition, l'esprit d'équipe, nos champions, nos membres…

Dein liebstes Skigebiet?

Quelle est ta station de prédilection ? Villars dans mon cœur, Zermatt pour l'atmosphère, St-Moritz pour la tradition.

Dein Lieblingsessen im Pistenrestaurant?

Quel est ton plat préféré dans un restaurant sur les pistes ? Des spaghettis bolognese.

Dein schönstes Erlebnis im SAS?

Quel est ton meilleur souvenir au SAS ?

Mes années en tant que président central et tous les événements auxquels j'ai participé à ce titre. De manière plus ciblée:

• Notre Opening 2017 et le train affrété pour la «Full Moon party» à Riffelberg;

• les Anglo-Suisse à St-Moritz comme athlète;

• les Norge-Suisse de 2011 à Oslo-Norefjell (et la médaille de Simon Ammann à Holmenkollen) et 2022 à Narvik;

• les Italo-Suisse à Cortina;

• et les nombreux Pentathlon à Grindelwald.

Wie bereitest du dich auf ein SAS-Rennen vor?

Quelle est ta préparation avant une course SAS ? Un bon petit-déjeuner.

Du steckst in einer Seilbahn fest. Wen oder was möchtest du bei dir haben?

Tu es coincé dans une télécabine. Que/qui veux-tu avoir avec toi ?

Mon fils Alois pour son émerveillement, Laetitia pour les rires, mes amis SASlers pour l'esprit (et les rires aussi).

The Quizz Slalom oder Riesenslalom?

Slalom ou géant ?

Slalom, j'adorerais m'améliorer…

Schnaps oder Ovomaltine?

Abricotine ou Ovomaltine ? Les deux, mais pas en même temps !

After-Ski oder Spa?

After-ski ou Spa ? Les deux, l'un après l'autre.

Berghütte oder Palace?

Cabane ou Palace ?

Berghütte pour le cœur, Palace pour l'esprit.

Didier Cuche oder Marco Odermatt?

Didier Cuche ou Marco Odermatt ?

Didier la légende du passé, Marco la légende du futur.

Matterhorn oder Jungfrau?

Cervin ou Jungfrau ?

Le Cervin pour sa splendeur, la Jungfrau pour son environnement.

37 SAS PEOPLE
Sandro avec son fils Alois à Narvik pendant les Norge-Suisse 2022.

CARNET ROSE

La famille du SAS Genève s’agrandit !

Milo Falciola

né le 11 novembre 2022 fils de Véronique et David.

Edouard

Trabichet-Castan , 22 janvier 2023 fils de Cosima et Pierre-Olivier.

Carnet Noir

Jacques Baumgartner (1940-2023)

Jacques Baumgartner (SAS Lausanne), Président Central de 1974 à 1977, nous a quittés le 25 février 2023 dans sa 83 e année. Un hommage lui sera rendu dans la prochaine édition du SAS News.

Save the date – SAS Zentralfest

17. Juni 2023 im Zoo Basel

Es erwartet euch ein Tier isches Fest!

Vous avez des nouvelles à communiquer, des articles que vous souhaitez publier ?

sasmagazin@sas-ski.ch

CALENDRIER SAS 2023-24

Le calendrier complet est régulièrement mis à jour sur sas-ski.ch.

17-19 mars | Grindelwald

24-26 mars | Tödi Märztour

31 mars-2 avril | Cortina d’Ampezzo (ITA) Italo-Suisse

3 juin | Crans-Montana Ski-Golf

17 juin | Bâle Assemblée des Délégués et Fête Centrale

7-9 juillet | Gwächta et Strahlegghorn Sommertour

9-10 décembre | TBC SAS Opening

DÉLAI DE RÉDACTION REDAKTIONSCHLUSS

38 LATEST NEWS
NR. 130 14 Mai 2023 Été | Sommer 2023 NR. 131 14 Août 2023 Automne | Herbst 2023-24 NR. 132 14 Novembre 2023 Hiver | Winter 2023-24
(Noch) nicht ganz 100? Wir feiern trotzdem!
the date
99 Jahre SAS
Save
Pentathlon
SCAN ME!

Trouvez chaussure à votre pied.

Et si nous vous accompagnions dans la recherche de votre pied à terre à la montagne ?

#Verbier #CransMontana naef-prestige.ch

Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.