1ère Partie
Septembre ’24
1ère Partie
Septembre ’24
Le jeune ingénieur aérospatial partage avec nous son incroyable aventure à la NASA.
Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie !
Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ». Ce proverbe universel reste une source d’inspiration pour tous, que l’on soit en train de choisir sa voie professionnelle ou déjà engagé dans la vie active.
« Choisis » est le premier mot clé, et c’est un sacré défi, notamment pour un jeune qui réfléchit à son avenir. Pour faire un choix, il est essentiel d’avoir plusieurs options positives, motivantes et réalistes... sinon, ce n’est pas vraiment un choix. Trouver ces options signifie explorer le monde professionnel, les formations et leurs débouchés. Pour cela, de nombreuses informations sont disponibles sur internet et les réseaux sociaux. Les échanges avec les personnes qui nous entourent sont également une bonne démarche pour découvrir leurs expériences professionnelles et parfois d’autres horizons que les schémas habituels. Ouvrir le champ des possibles, c’est réveiller sa curiosité et mettre de côté les limites que l’on s’impose souvent à soi-même.
« Un travail que tu aimes » est le deuxième défi à relever. Qu’est-ce que j’aime vraiment ? Quelles sont mes passions, mes valeurs ? Quels sont mes talents ou ce qui me rend unique ? Si répondre à ces questions n’est pas toujours facile, cette étape est cruciale, que l’on soit jeune ou adulte. Ici, le maître-mot est « Osez !». Ce qui
08 Garde Suisse Pontificale Ouvrir le champ des possibles, c’est réveiller sa curiosité et mettre de côté les limites que l’on s’impose souvent à soi-même.
nous motive ou nous passionne ne correspond pas toujours aux attentes de nos proches ou aux stéréotypes de la société. Que l’on rêve d’être infirmier, contrôleuse de gestion, photographe ou nettoyeur de scènes de crime, ces choix peuvent bousculer les aprioris. Et alors ? L’essentiel est de stimuler sa motivation en définissant un projet professionnel
qui nous corresponde réellement. Oser explorer et tester concrètement ces pistes permet de s’orienter vers un avenir où l’on pourra se réaliser et s’épanouir.
Les réussites et les exemples ne manquent pas et on se souvient par exemple de Roger Federer qui a dû choisir entre une carrière de tennisman ou de footballeur… Plus près de nous, j’ai trouvé le parcours d’une jeune Valaisanne particulièrement inspirant. Après trois années brillamment réussies, Valentine Jacquemettaz a quitté la voie gymnasiale et une perspective de carrière d’avocate pour se lancer dans un apprentissage de peintre en bâtiment, afin de donner libre cours à sa créativité et s’épanouir pleinement. À l’issue de son apprentissage, la jeune femme a reçu le prix de meilleure apprentie de Suisse romande.
Alors, ne nous inquiétons pas si les choix de formation et de parcours professionnels ne suivent pas toujours une voie toute tracée. Ces choix évoluent en fonction de nos aptitudes ou de nos qualités, de notre chemin de vie, de nos aspirations et des opportunités qui s’offrent à nous. Ayons confiance dans les compétences des jeunes ! Après tout, nos parcours professionnels n’ont pas toujours été aussi simples et prévisibles que nous l’avions imaginé.
Texte Lise Delaloye
Directrice générale Fondation IPT Avenir Jeunes / Jeunes@Work
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Medair is a Swiss Christian organisation that responds to conflict, disease and disaster so that the world’s most vulnerable and hard-to-reach people can live with dignity and hope. Since 1989, Medair has provided emergency relief to over 50 million people in 43 crisis-affected countries.
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e métier de carreleur a souvent été perçu à tort comme salissant, physiquement éprouvant, et réservé à ceux qui préfèrent un travail manuel loin des exigences créatives. Pourtant, la réalité est bien différente.
Le carrelage exige une grande finesse, un sens esthétique développé et un véritable savoir-faire pour réaliser des ouvrages durables et élégants. Dans cet article, nous mettons en lumière le parcours de deux jeunes professionnels, Steven Beltran et Sara Tavares, qui nous montrent que ce métier moderne mérite d’être revalorisé.
En parallèle, la Fédération romande du carrelage (FeRC) joue un rôle clé dans la promotion de l’apprentissage et l’accompagnement des jeunes talents.
Le métier de carreleur
Le carreleur est un artisan du bâtiment spécialisé dans la pose de revêtements en céramique, en pierre ou en matériaux similaires sur les murs, les sols et autres surfaces. Ce métier exige une grande précision et un sens de l’esthétique pour assurer des finitions parfaites. Le carreleur travaille souvent sur les chantiers de construction ou de rénovation, transformant des espaces bruts en lieux élégants et fonctionnels. Ce métier demande de la créativité, de l’endurance physique et une bonne connaissance des matériaux et des techniques de pose. Au quotidien, il peut aussi bien créer des salles de bains modernes que des cuisines design, en respectant les attentes esthétiques des clients.
Le parcours inspirant de Steven Steven Beltran, 21 ans, a récemment terminé son apprentissage de carreleur avec un CFC (Certificat Fédéral de Capacité). Avant de choisir cette voie, il avait déjà une année d’expérience dans la construction métallique, mais c’est lors de stages de découverte en carrelage que son intérêt pour ce métier s’est confirmé. « Je me suis tout de suite senti accroché par le côté artistique du carrelage. La créativité et l’aspect de finition du travail m’ont particulièrement séduit », confie-t-il.
Le carrelage n’est pas simplement un travail de pose répétitif. Comme le souligne Steven, « dans le carrelage, il y a plusieurs designs, plusieurs formats, et cela change constamment. » Cet équilibre entre technique et créativité fait partie des aspects les plus valorisants de son métier. En tant qu’apprenti, Steven a dû relever des défis, notamment s’adapter à un rythme de travail intense et à des tâches physiques exigeantes. Pourtant, il a pu compter sur le soutien de son entreprise. « Mon employeur a été très attentif à mes besoins en école et en pratique. Ils m’ont beaucoup aidé à progresser, notamment sur des points où j’avais des difficultés. »
Aujourd’hui, Steven se prépare à entamer sa carrière en tant qu’ouvrier qualifié. Parmi ses réalisations, il est particulièrement fier d’avoir posé entièrement des salles de bains et des douches à l’italienne. Son avenir dans le métier reste ouvert, avec un passage par le service militaire en ligne de mire, mais il souhaite d’abord acquérir encore plus d’expérience sur le terrain. Son conseil aux jeunes intéressés par le carrelage ? « Faites des stages pour vous assurer que c’est un métier qui vous plaît vraiment, et soyez prêts à aimer le travail manuel et physique. »
Sara, une pionnière au féminin À seulement 19 ans, Sara Tavares a déjà obtenu son CFC de carreleuse. Ce choix de carrière, bien qu’atypique pour une femme, a été une évidence pour elle : « J’aime voir les choses se construire, partir de rien et obtenir un résultat fini, beau et propre. Je suis manuelle et je ne me voyais pas rester dans un bureau. » Son apprentissage lui a permis de développer ses compétences techniques tout en surmontant des défis personnels, comme sa timidité et le manque d’autonomie.
Sara se souvient particulièrement d’un projet marquant : la réalisation complète d’une grande cuisine dans un restaurant en rénovation. « J’ai fait tous les murs, les sols, les salles de bains, les joints… C’était un travail d’envergure, et j’en suis très fière. » Bien que Sara ait décidé de faire une pause dans le métier pour se
consacrer à d’autres projets, elle envisage de revenir dans le domaine du carrelage dans quelques années, avec l’ambition de peut-être créer sa propre entreprise.
Pour elle, le carrelage offre des opportunités créatives, surtout lors de concours comme les SwissSkills, où les participants peuvent tester de nouvelles idées tout en respectant des contraintes techniques. Son message aux jeunes femmes qui envisageraient cette voie : « Oui, c’est parfois fatigant, mais à force de pratiquer, on acquiert non seulement de la force physique mais aussi mentale. »
Perspectives d’avenir dans le métier de carreleur
Le métier de carreleur évolue rapidement grâce aux innovations technologiques et aux nouveaux matériaux, ouvrant ainsi des perspectives intéressantes pour les jeunes professionnels. L’introduction de nouveaux outils de haute précision, tels que les lasers de nivellement, et de techniques avancées comme la pose de carreaux grand format ou les revêtements anti-taches et antibactériens, transforme le quotidien des carreleurs. Ces évolutions permettent de gagner en efficacité et en qualité, rendant le travail plus accessible et moins physique qu’auparavant.
En plus des aspects techniques, le design joue un rôle central dans le métier de carreleur. Avec l’essor des tendances de décoration intérieure, les carreleurs sont de plus en plus sollicités pour des projets sur mesure, alliant fonctionnalité et esthétique. Ce besoin accru de personnalisation pousse les professionnels à se former continuellement pour maîtriser les nouvelles tendances et répondre aux attentes des clients.
Les perspectives de carrière sont également diversifiées. Après quelques années d’expérience, un carreleur peut se spécialiser dans des niches comme la pose de mosaïques artistiques ou l’utilisation de matériaux écologiques. D’autres choisissent de devenir chefs de chantier, responsables de projets ou encore entrepreneurs, en créant leur propre entreprise.
Enfin, l’essor des projets de construction et de rénovation, en particulier avec l’accent mis sur la durabilité et l’efficacité énergétique, assure une demande continue pour les carreleurs qualifiés. Le métier, bien que traditionnel, reste fondamental dans un secteur du bâtiment en pleine mutation. Les jeunes qui choisissent cette voie peuvent ainsi envisager un avenir prometteur, avec des opportunités d’évolution et de spécialisation nombreuses et variées.
Le métier de carreleur, bien loin des clichés, offre à la nouvelle génération un équilibre entre art et technique. Grâce au soutien de la FeRC et aux nombreuses opportunités d’apprentissage, des jeunes comme Steven et Sara démontrent que cette profession a un avenir prometteur. Alors, pour tous ceux qui hésitent encore, lancez-vous : le carrelage, c’est bien plus que poser des carreaux, c’est créer du beau, du solide, et du durable.
Texte Océane Ilunga
Le rôle essentiel de la FeRC
La Fédération romande du carrelage (FeRC) joue un rôle crucial dans la formation et le soutien des jeunes apprentis comme Steven et Sara. En collaboration avec les entreprises et les centres de formation, la FeRC veille à ce que les apprentis reçoivent une formation de qualité, à la fois technique et théorique. Elle s’engage également à casser les stéréotypes autour du métier de carreleur, en mettant en avant les valeurs de modernité, de précision et d’esthétique qui sont au cœur de cette profession.
«Je suis passionné de jeux vidéo depuis que je sais marcher » lance
Nathan Massol, alias Mister Crimson. Le jeune homme de 26 ans incarne l’union entre passion et professionnalisme dans l’univers de l’e-sport. Depuis 2016, il navigue dans les arènes virtuelles en tant que joueur professionnel à temps plein, hissant son nom parmi les sommets de la scène mondiale. Classé 4ème lors de la Coupe du monde Street Fighter VI (CapComCup) en 2023, son engagement va au-delà de la compétition. Pour lui, les jeux vidéo ne sont pas seulement une activité, mais une véritable vocation.
Nathan Massol, qu’est-ce que Street Fighter ?
C’est un jeu de combat en duel un
Brandreport • Agemel
contre un, qui rappelle beaucoup le jeu d’échecs ou le poker, mais avec une dimension où les réflexes jouent un rôle crucial, en plus de la stratégie. Ce jeu de combat a accompli quelque chose d’exceptionnel, devenant une référence dans la culture populaire.
Quelles ont été tes plus grandes réussites en tant que joueur d’e-sport jusqu’à présent ?
Il y a eu deux moments cruciaux. D’abord, le Cannes Winter Clash en 2016, un tournoi à Cannes qui a changé la donne pour moi. C’est là que j’ai décroché mon premier sponsor et que j’ai pris la décision de me lancer professionnellement. À cette époque, je travaillais encore dans la restauration. Remporter ce tournoi a été un déclic pour moi, et j’ai saisi l’opportunité de me consacrer pleinement à ma passion pendant un an. J’ai pris ce risque, et cela a porté ses fruits, me permettant de continuer
à progresser. Ensuite, est venu le moment de consécration avec ma victoire au Red Bull Kumite en 2021.
Quelle est la routine d’entraînement typique d’un joueur d’e-sport professionnel ?
Je consacre moins de temps au jeu que ce que les gens pourraient penser. Bien sûr, il y a eu une période de ma vie où j’ai joué énormément pour développer mon niveau. Une fois que l’on atteint un certain niveau de maîtrise, on n’a plus besoin de jouer autant. Je pense qu’une routine d’entraînement efficace pour rester compétitif au niveau professionnel et aspirer aux meilleures compétitions une fois qu’on a atteint un niveau solide consiste à jouer environ quatre à cinq heures par jour. Une part importante de cette routine est consacrée à regarder des vidéos des matchs de mes adversaires et à m’entraîner physiquement. Je remarque que mes périodes les plus performantes ont souvent
Ce qui distingue l’e-sport des sports traditionnels, c’est sa nature en constante évolution.
– Nathan Massol, alias Mister Crimson
coïncidé avec des phases où j’ai pratiqué une activité physique de manière intense.
Quels sont tes jeux vidéo favoris ?
J’adore The Elder Scrolls ainsi que Street Fighter, évidemment, et Final Fantasy.
Quels défis as-tu rencontrés en tant que joueur d’e-sport et comment les as-tu surmontés ?
Ce qui distingue l’e-sport des sports traditionnels, c’est sa nature en constante évolution. Actuellement, je suis engagé dans Street Fighter VI, mais il n’y a pas si longtemps, je participais aux compétitions de Street Fighter V. Tous les sept à huit ans, un nouveau Street Fighter est lancé, ce qui rend la tâche difficile. Il faut constamment s’adapter à ces évolutions, alors qu’un joueur de tennis, par exemple, évolue dans un environnement de règles stables tout au long de sa carrière. Le plus grand défi pour nous est donc cette capacité à nous réajuster en permanence.
Comment vois-tu l’avenir de l’e-sport ?
L’e-sport a un avenir brillant devant lui. Personnellement, je ne crois pas que l’e-sport rivalisera un jour avec des sports traditionnels comme le football, et je ne pense pas que ce soit pertinent de les comparer. L’e-sport a sa propre identité et sa propre dynamique, et il continuera de se développer organiquement. De plus, son économie semble prometteuse et peut-être même plus saine que celle de certains sports actuels.
Interview Océane Ilunga
Les laborantin-e-s sont les moteurs du laboratoire, véritables piliers assurant son bon fonctionnement. Grâce à leur formation et à leur expertise, ils/elles participent activement aux divers projets des chercheurs/euses et sont une référence dans le domaine pratique.
Collaborant étroitement avec des équipes de scientifiques, les laborantin-e-s analysent des échantillons variés (humains, animaux, végétaux, aliments, eau, air), dans le cadre d’études épidémiologiques ou environnementales et dans la compréhension des mécanismes fondamentaux au niveau génétique ou cellulaire. Ils/elles synthétisent des parfums, des médicaments ou d’autres substances contribuant ainsi au développement de traitements contre le cancer et à l’étude de leurs effets sur des cultures cellulaires.
La formation CFC de laborantin-e en chimie ou en biologie, d'une durée de trois ans, est un apprentissage dual en entreprise offrant un tremplin vers de multiples opportunités professionnelles. Après cette formation, il est possible de compléter son cursus par une maturité professionnelle, ouvrant l'accès aux hautes écoles spécialisées (HES) ou aux
universités. Les débouchés sont nombreux : industrie pharmaceutique, recherche fondamentale, biotechnologie, industrie des arômes ou de l’agroalimentaire.
Ce métier allie rigueur et dynamisme, et a un impact direct sur les avancées scientifiques. Devenir laborantin-e, c’est faire le choix d’une carrière passionnante dans un domaine en constante évolution.
Pour plus d’informations :
Envie d’être au cœur de l’action scientifique ? Intéressé-e par la formation CFC laborantin-e ?
Venez nous rendre visite lors de la séance d’informations sur les métiers du laboratoire
5 février 2025, 14h–16h, CMU Genève
Ou contactez-nous à contact@agemel.ch.
Suivre une formation rigide et monotone ? Non merci ! Chez Helvetia, les jeunes qui souhaitent faire leurs premiers pas dans le monde des assurances ont l’opportunité de suivre des cursus immersifs, tout en explorant un univers aux multiples facettes.
Le domaine des assurances est vaste, et Helvetia s’efforce de fournir une perspective globale à ses jeunes recrues en leur proposant diverses formations. L’objectif du groupe d’assurances est que chaque jeune puisse découvrir les multiples aspects de ce secteur, tout en leur offrant une perspective d’emploi à la fin de leur formation. Retour sur les différents programmes proposés par Helvetia.
Apprentissage de commerce en assurance privée
L’apprentissage de commerce en assurance privée est un cursus de trois ans destiné aux jeunes ayant terminé leur scolarité obligatoire. Ce programme combine une expérience pratique au sein des équipes d’Helvetia avec l’école professionnelle et les cours interentreprises, proposant ainsi une formation complète et équilibrée dans le domaine de l’assurance privée. Les apprenti(e)s ont la possibilité
d’effectuer un échange dans une autre région linguistique de Suisse ou d’explorer d’autres secteurs au sein d’Helvetia, ce qui leur permet de se construire une vision plus complète du monde des assurances.
Sales Excellence Program
Destiné aux jeunes de moins de 24 ans ayant achevé une première formation (apprentissage, bachelor, école de commerce, etc.), le Sales Excellence Program prépare au métier de conseiller et conseillère en vente. Sur une durée de 18 mois, les conseillers et conseillères juniors sont amené(e)s à découvrir les différents
Les professions de la pharmacie jouent un rôle déterminant au sein du système de santé suisse. Informe-toi sur ces formations variées et passionnantes !
Apprends le métier d’assistant·e en pharmacie CFC ou fais des études de pharmacie pour devenir pharmacien·ne...
services et processus chez Helvetia, et bénéficient d’un programme structuré avec des objectifs clairs. Un salaire fixe, indépendant des performances de vente, et un accompagnement constant de la part des mentors assurent un cadre optimal pour se familiariser avec la profession. À la fin de cette formation, les participants ont l’opportunité d’intégrer le groupe Helvetia en tant que conseillers ou conseillères clients.
Young Insurance Professional (YIP)
Le programme Young Insurance Professional (YIP) est une formation spécialisée de 18 mois, conçue pour les jeunes titulaires d’une maturité gymnasiale, professionnelle ou spécialisée. Pendant cette période, les jeunes recrues sont formées sur le terrain et collaborent activement avec les équipes d’Helvetia. Ils approfondissent également leurs connaissances de bases en économie et
en technique d’assurance lors de cours théoriques organisés mensuellement par l’Association pour la formation professionnelle en assurance (AFA).
Texte Maévane Mas
L’une de ces formations t’intéresse ? Scanne-le code QR pour en savoir plus !
Découvre des métiers passionnants !
Allan Petre
Originaire de Villemomble en Seine-Saint-Denis, en France, Allan Petre, 24 ans, a su transformer son rêve d’enfant en réalité en rejoignant la prestigieuse NASA en janvier 2024. Son parcours, jalonné d’obstacles et de réorientations, démontre qu’avec persévérance et passion, tout est possible.
De ses débuts modestes à son rôle d’ingénieur aérospatial au Jet Propulsion Laboratory, Allan est aujourd’hui un modèle de réussite et d’inspiration pour toute une génération. Dans cette interview, il partage son incroyable aventure, ses défis, et ses conseils pour les jeunes aspirants scientifiques.
Interview Océane Ilunga Image màd
Allan Petre, comment décrirais-tu l’enfant que tu étais ? Je dirais avant tout que j’étais un enfant curieux. C’est cette curiosité qui m’a conduit à ma passion pour l’aérospatiale. Si je n’avais pas eu ce désir d’apprendre et de comprendre le monde, je ne serais probablement pas là où je suis aujourd’hui. Toujours avide de découvrir de nouvelles choses, mes parents disaient souvent que j’avais la tête dans les nuages, et c’est toujours vrai aujourd’hui (rires). En plus d’être curieux, j’étais aussi quelqu’un de réservé et profondément passionné.
Quels étaient tes rêves et aspirations en grandissant en Seine-Saint-Denis ?
Mon rêve, dès que cette passion est née, a été de travailler un jour à la NASA. Je l’exprimais ouvertement, sans hésitation, même quand j’étais en primaire. Cependant, cela m’a causé des problèmes car beaucoup de professeurs m’ont découragé, affirmant qu’il était trop difficile d’entrer à la NASA pour un non-Américain. Cette désillusion m’a poussé à ne pas m’orienter initialement vers ce domaine. J’ai donc commencé par des études en économie, ce qui, rétrospectivement, semble avoir été un chemin prédestiné. En débutant un DUT en gestion des entreprises et administrations (GEA), je me suis rapidement rendu compte que ce secteur ne me plaisait pas. Cette expérience m’a montré ce que c’était que de ne pas être heureux dans ce qu’on fait, et m’a motivé à changer de voie pour poursuivre ce qui me passionnait vraiment.
Une fois réorienté, je ne voyais plus les obstacles. Malgré deux heures de transport matin et soir, et un travail le week-end, je ne ressentais pas la fatigue parce que c’est moi qui ai choisi de me réorienter, donc je n’avais pas le droit de me plaindre. Même si j’ai vécu deux ans et demi sans vie sociale, voyant rarement mes amis et ma famille, je savais que ma passion justifiait ces sacrifices.
Tu es passé d’études où il est quasiment sûr d’obtenir un job à des études un peu plus risquées. Quelle a été la réaction de tes parents face à ce changement ?
Ma mère m’a toujours encouragé à ne pas rester dans quelque chose qui ne me plaît pas. Mon père, en revanche, était plus procédural : pour lui, il fallait finir le diplôme commencé avant d’envisager autre chose. Au moment où j’ai choisi de me réorienter, il n’était pas forcément d’accord, mais une fois la décision prise, mon père m’a soutenu. Le plus dur, c’est de faire le pas, d’assumer qu’une formation ne nous plaît pas et de partir. Malheureusement, beaucoup d’étudiants restent dans une formation qui ne les épanouit pas, même s’ils savent qu’un autre domaine leur plairait plus. Ils ne changent pas simplement parce qu’ils n’osent pas sauter le pas. Il n’y a pas de mal à se réorienter. Si vous avez une passion, foncez, au moins vous n’aurez pas de regrets.
Que réponds-tu à ces personnes qui disent qu’elles n’ont pas de passion ?
Je comprends qu’on puisse ne pas avoir de passion précise, mais on a toujours un intérêt pour un domaine où l’on pense pouvoir s’épanouir. Le plus difficile, c’est de découvrir cet intérêt. Personnellement,
j’ai été très proactif dans ma recherche. J’ai participé à des salons des métiers, à des forums et posé de nombreuses questions.
Tu es en Californie, au Jet Propulsion Laboratory. Quels sont tes rôles en tant qu’ingénieur aérospatial ?
Je travaille dans le département propulsion thermique et matériaux. Le rôle de l’ingénieur aérospatial est de développer, concevoir et produire des systèmes, des vaisseaux spatiaux, des satellites, des lanceurs spatiaux (fusées), et tout ce qui est lié au spatial et destiné à être envoyé dans l’espace. En particulier, je travaille sur une sonde que nous allons diriger vers Vénus. Mon rôle consiste à m’occuper de tout ce qui concerne l’aspect système. L’ingénierie système implique de déterminer comment placer les composants, comment les relier aux phénomènes physiques de la planète et à un système spatial. Ce n’est pas forcément mathématique, mais il faut avoir un bon bagage en physique.
Que conseillerais-tu aux jeunes qui voudraient suivre tes pas ?
Le premier conseil serait de ne pas partir défaitiste, de ne pas se dire qu’on ne va pas y arriver avant même d’avoir essayé. Beaucoup de jeunes pensent que c’est impossible parce que c’est compliqué, mais il ne faut pas s’autolimiter et ne pas avoir peur de faire des erreurs.
Mon deuxième conseil est d’avoir un objectif clair. Il faut se renseigner au maximum et connaître les différentes étapes pour atteindre son rêve, et ce quel qu’il soit. En se renseignant sur le type de formation et d’école nécessaire pour atteindre son but, on a une vision plus claire, ce qui renforcera la motivation.
Y a-t-il eu des mentors ou des personnes qui vous ont inspiré et influencé votre parcours ? Certaines personnes m’ont inspiré parce qu’elles sont dans le domaine de l’aérospatial, comme Bill Nelson, ancien
astronaute et directeur actuel de la NASA, ou Kalpana Chawla, ancienne astronaute de la NASA. D’autres, comme Nelson Mandela, Martin Luther King Jr., et Kevin Durant, m’ont influencé par leur résilience, leur leadership, et leur détermination dans leurs domaines respectifs.
Que pensez-vous de SpaceX ?
SpaceX est une entreprise privée, et beaucoup de gens confondent souvent SpaceX avec la NASA. La NASA est une agence spatiale gouvernementale, l’agence spatiale américaine, financée par le gouvernement américain qui lui attribue un budget tous les deux ans pour effectuer des recherches scientifiques et contribuer à l’évolution spatiale. En revanche, SpaceX est une entreprise à but lucratif. Elle a innové dans de nombreux domaines et est souvent précurseur. SpaceX permet aux Américains de réaliser des vols habités, ce qui est une avancée significative pour l’exploration spatiale.
Souhaites-tu devenir astronaute ? Oui, j’y pense. Pour l’instant, je suis encore trop jeune, mais je compte certainement postuler à la prochaine sélection, qui aura sûrement lieu dans une dizaine d’années. Sinon, j’aimerais pourquoi pas travailler à l’ESA (Agence spatiale européenne) ou être pilote de ligne.
En dehors de ton travail à la NASA, as-tu d’autres passions ?
Le basket, le foot, le tennis, la géopolitique ainsi que les animaux et les océans.
Comment voyez-vous l’avenir de l’aérospatial et quelles sont les innovations qui vous enthousiasment le plus ?
Je pense que l’avenir de l’aérospatial sera très chargé. Les prochaines années seront principalement dédiées à une ère d’exploration spatiale et aux vols habités. Nous allons retourner sur la Lune, et ensuite préparer un voyage vers Mars, ce qui est extrêmement enthousiasmant.
Géomaticien, Projeteur en technique du bâtiment chauffage, Electricien de réseau, Employé de commerce, Installateur électricien, Installateur en chauffage, Installateur solaire.
Les Fils du Facteur + Marie jay Nouvel album « C’est encore loin la mer » ve. 27 SEPTEMBRE
En attendant Bojangles
D’après le roman d’Olivier Bourdeaut ma. 15 et me. 16 OCTOBRE
Rejoins-nous !
À dos de chameau Récrés-Spectacles di. 6 OCTOBRE
Fred Wesley & The New JB’s 66 years on the road me. 30 OCTOBRE
Vente de billets : Spectacles Onésiens, Stand Info Balexert, Migros Change - Rive, Migros Change - MParc La Praille, spectaclesonesiens.ch, migroslabilletterie.ch
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Le Salon des Métiers et de la Formation
Lausanne
Le prochain Salon des Métiers et de la Formation
Lausanne se tiendra du mardi 1er au dimanche 6 octobre 2024. Il regroupe en un seul lieu des informations sur de nombreuses professions, les profils des métiers actuels, les stages et les formations initiales et continues.
Les élèves et les personnes intéressées par la formation professionnelle peuvent tester les métiers les plus divers sur place, afin de savoir s’ils souhaitent s’y investir pleinement. Ils pourront également profiter de l’occasion pour interroger des apprentis qui les renseigneront volontiers sur leur formation.
Plus d’informations : metiersformation.ch
Pourlirel’articleen intégralité :focus.swiss
Le Caporal Eliah Cinotti a rejoint la Garde Suisse Pontificale en 2019. Aujourd’hui Responsable des Médias et Porte-Parole de la Garde depuis 2023, il nous parle de son métier passionnant et atypique.
Eliah Cinotti, pour vous, que représente la Garde suisse pontificale ?
Il s’agit d’une institution unique en son genre qui allie modernité et tradition. Nous sommes les garants de la sécurité du SaintPère, le Pape. Cela est non seulement un honneur pour nous, mais aussi une mission que nous devons accomplir chaque jour avec détermination et professionnalisme.
Pourquoi avez-vous décidé de devenir Garde suisse ?
C’était un rêve d’enfance. En 2008, je me trouvais à Rome pour Noël avec ma famille, et le 25 décembre, nous étions sur la Place Saint-Pierre pour assister à la cérémonie
Urbi et Orbi. J’ai vu une formation de gardes en uniforme, et j’ai été si impressionné que j’ai décidé d’en faire mon rêve. Onze ans plus tard, ce rêve est devenu réalité.
Quelles sont les conditions nécessaires pour devenir Garde suisse ?
Pour devenir garde, il faut être de nationalité suisse, célibataire administrativement, de confession catholique, avoir effectué son école de recrue dans l’Armée suisse, avoir achevé une formation professionnelle ou être titulaire de la maturité gymnasiale, être en possession du permis de conduire catégorie B, être âgé de 19 à 30 ans au moment de la candidature et avoir une réputation ainsi qu’une santé irréprochable.
L’Etat de Vaud, une entreprise formatrice aux multiples possibilités : que vous veniez de l’école obligatoire ou d’une formation en école de commerce, de nombreux apprentissages et stages 3+1 sont possibles.
L’Etat de Vaud, c’est plus de 500 apprenti·e·s qui se forment dans une trentaine de métiers et domaines d’activité différents encadré·e·s par des équipes passionnées.
Le job de tes rêves est peut-être à 1 clic ! www.vd.ch/jobdereve dgrh.apprentissage@vd.ch
Après avoir déposé son dossier de candidature auprès du Centre de Recrutement de la Garde, les candidats sont examinés puis convoqués pour un entretien avec le Commandant, qui validera la candidature. S’ensuit une formation de base de deux mois dans l’une des trois écoles de recrues. Le premier mois se passe au Vatican, où les recrues apprennent les bases du service, les règlements, l’italien et la marche à suivre pour les engagements protocolaires. Ensuite, le deuxième mois, les recrues se rendent au Tessin pour se former auprès de la Police Cantonale Tessinoise.
Quelle est la durée moyenne de service ?
Le service minimum est de 26 mois. Ceux qui souhaitent rester plus longtemps et en faire leur carrière peuvent servir jusqu’à 25 ans.
En quoi consiste votre quotidien ?
Il n’y a pas de routine, et c’est ce qui rend l’expérience unique en son genre. Une semaine classique d’un garde se compose de six jours de service et de trois jours de réserve, au cours desquels il peut être amené à couvrir des services extraordinaires en fonction du calendrier du Pape.
Avez-vous déjà eu des interactions avec le pape ?
En tant que sous-officier de la Garde, j’ai l’opportunité de côtoyer le Pape de manière plus rapprochée. Nos interactions
se déroulent toujours dans un cadre strictement professionnel, empreint d’un respect mutuel profond. Cependant, le Pape a le don de glisser une petite phrase ou un mot encourageant qui peut illuminer votre journée et vous redonner de l’énergie. Ces moments de simplicité et de bienveillance témoignent de sa profonde humanité et apportent un véritable réconfort à ceux qui ont l’honneur de le servir.
Quel est votre moment le plus mémorable ?
Mon assermentation en 2020 a eu lieu en pleine pandémie de Covid-19. Malgré les restrictions, ce moment a pris une dimension particulièrement solennelle et a représenté une occasion magnifique de remercier nos parents. C’est un souvenir précieux qui symbolise à la fois le sacrifice et la gratitude dans un contexte difficile.
Interview Léa Stocky
Suivez l’Etat : etat_de_vaud Etat de Vaud
Tout le monde a, un jour ou l’autre, joué à la policière ou au policier. Plus tard, en grandissant, on préfère généralement ne pas trop avoir affaire à eux mais en cas de besoin, on aime les voir arriver. On aime à dire qu’ils surveillent et contrôlent, mais on sait aussi qu’ils veillent et protègent. Pour le commun des mortels, la police se résume souvent à ça. Mais pour la centaine d’aspirantes et aspirants vaudois formés chaque année, la réalité est bien plus riche. Toutes et tous en auront bientôt la confirmation sur le terrain.
Une institution multiple et coordonnée pour répondre aux attentes de la population vaudoise L’organisation policière vaudoise, ce sont environ 2000 policières et policiers, répartis dans 10 corps de police qui travaillent de manière coordonnée au service des 850 000 habitantes et habitants du Canton de Vaud. Chaque année, la centrale 117 reçoit plus de 320 000 appels et engage environ 76 660 interventions. Ces chiffres impliquent une institution policière qui dispose d’une large palette d’activités et de spécialisations pour faire face à la demande. Parmi elles, chaque aspirante ou aspirant pourra trouver la voie professionnelle qui lui convient.
Il y a d’abord le service de police secours, le plus visible avec ses véhicules à feu bleu, qui gère les urgences de tous types. Il intervient dans des situations où le premier moyen de désescalade est la parole. Ces missions sont particulièrement appréciées par le personnel qui, dans ces instants délicats, se trouve au cœur de l’action et fait face aux événements des plus inattendus.
Les missions d’enquête sont destinées à celles et ceux qui ont un goût pour l’investigation, pour la recherche et l’analyse. La vie n’est pas comme dans une série TV, mais dans les affaires qu’ils traitent, les policières et policiers ont les mêmes objectifs : comprendre ce qui s’est passé, trouver le coupable et le transmettre à la justice.
Si les domaines de la prévention, de la résolution de problèmes et de l’accompagnement sont une vocation, ce sont alors les missions de police de proximité qui répondront aux attentes des collaboratrices et collaborateurs. À la police, nous continuons de penser qu’il est possible d’aider les gens, de prendre soin des victimes et de résoudre bon nombre de conflits sans recourir à la contrainte ou à
un dépôt de plainte. C’est le sens de l’intervention de la police de proximité. Pour celles et ceux qui aiment planifier, anticiper les risques et sécuriser, il y a la gestion des grands événements. Festivals, compétitions sportives, manifestations, visites de chefs d’État… il en faut de la coordination pour assurer la sécurité, permettre aux participantes et participants de profiter de l’événement, tout en limitant l’impact sur le reste de la population. C’est un véritable travail de l’ombre, effectué pour que tout se passe sans encombre.
On pourrait également citer les nombreuses spécialisations : maîtrechien, motocycliste, agente ou agent de protection rapprochée, cycliste, agente ou agent du renseignement, centraliste, policière ou policier d’intervention, instructrice ou instructeur, officière ou officier… la police, c’est une profession et cent métiers. Évidemment, tout le monde ne peut pas tout faire, mais chacun et chacune aura l’opportunité de trouver sa voie et d’exercer plusieurs métiers en une seule carrière.
Policières et policiers, gendarmes, inspectrices et inspecteurs, ces femmes et ces hommes ont choisi un métier exigeant mais surtout profondément humain. La diversité et la complémentarité de leurs profils et de leurs compétences est une réelle richesse.
Les attentes de nos jeunes candidates et candidats
Les aspirantes et aspirants le disent : elles et ils recherchent un métier qui a du sens, diversifié, avec des défis à relever et en contact avec la population. Ça tombe bien, notre mission nous demande d’être prêts à intervenir partout, à toute heure, dans tout type de situation, que ce soit dans les rues d’une grande ville, à la Vallée de Joux, ou sur les rives du Léman. L’utilisation croissante des technologies,
l’émergence de nouvelles formes de criminalité et l’importance accrue accordée à la prévention font que ce métier est en perpétuelle transformation. C’est l’assurance d’une carrière stimulante où l’on ne cesse jamais d’apprendre et de se perfectionner, de plus, les conditions de travail de la fonction publique offrent des prestations intéressantes. Nous sommes en constante évolution pour nous adapter aux nouveaux défis de la société.
La diversité policière se reflète dès la formation. Un an à l’Ecole de police, puis un an de stage sur le terrain, le tout rémunéré et validé par un brevet fédéral qui permet de travailler tant pour la police cantonale que pour les 9 polices communales. Brevet fédéral en poche, chacune et chacun donnera la direction souhaitée à sa carrière via les nombreuses formations continues qui permettent d’accéder à différents domaines et spécialisations. Changer d’affectation ou de région, adapter son taux d’activité, monter en grade pour devenir officière ou officier, quitter le terrain pour du travail administratif : les possibilités de carrière sont multiples et dans de bonnes conditions de travail.
La police, c’est tout ça et bien plus encore Un métier passionnant et riche en opportunités pour lequel nous recherchons des personnes motivées et engagées. Pour nous rejoindre, retrouvez les conditions d’admission et les détails du processus de recrutement sur nos sites Internet.
N’hésitez pas à nous contacter et osez le pas !
Liens à consulter : Vous recherchez un métier d’action et diversifié au cœur de la population ? Les polices vaudoises recrutent ! État de Vaud (vd.ch)
Police cantonale vaudoise www.policier.ch
Police municipale de Lausanne www.devenir-policier.ch
Polices communales vaudoises www.polcom-vd.ch
Académie de police www.academie-de-police.ch
Renseignements :
Police cantonale vaudoise : Lt David Guisolan, officier communication, direction communication et relations avec les citoyens, 079 505 64 59
Polices communales vaudoises : Sophie Charlier, secrétariat général, 024 423 66 39
Police municipale Lausanne : Cap Jean-Philippe Pittet, chef division communication, 021 315 33 55
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ne tente rien n’a
Vous rêvez de vous installer dans la tour, de guider des avions de ligne, des jets privés et des hélicoptères sur la piste, de les faire atterrir et décoller en toute sécurité ? Ce rêve est à votre portée ! La formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl. ES chez Skyguide dure environ 30 mois. Au cours du processus de sélection en plusieurs étapes, nous vérifions si un·e aiguilleur·euse sommeille en vous.
n·e aiguilleur·euse du ciel doit posséder certaines aptitudes essentielles, comme le raisonnement logique, le sens des responsabilités, la capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps, la fiabilité et la résistance au stress. Avant la formation, Skyguide s’assure également par un processus de sélection que les candidat·e·s remplissent les conditions nécessaires pour ce métier. Et si un·e aiguilleur·euse du ciel sommeillait en vous ? Découvrez-le !
La bonne nouvelle : Skyguide s’intéresse à la personnalité des candidat·e·s et à leurs capacités. Il n’est donc pas possible de se préparer au test d’aptitude. Toutefois, il y a quelques points importants à considérer pour être en pleine forme le jour de l’examen.
Ce qui est bon pour le cerveau
Des études démontrent que la pratique régulière d’un sport améliore les performances intellectuelles. Lorsque le sang circule bien dans le corps, le cerveau est bien irrigué. Une alimentation saine est bénéfique non seulement pour le corps, mais aussi pour les cellules du cerveau.
Pour aborder l’examen de manière détendue
Et le jour de l’examen ? Ces conseils peuvent aider à aborder l’examen avec confiance et sérénité :
– Commencer la journée sans stress en réglant votre réveil pour qu’il sonne suffisamment tôt.
– Arriver sur le lieu de l’examen suffisamment tôt en prévoyant assez de temps pour le trajet.
Le cursus « contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl. ES » est gratuit pour les participant·e·s qui, en plus, perçoivent un salaire pendant la formation.
– Éviter de discuter avec d’autres candidat·e·s avant l’examen, car cela peut déconcentrer.
– Avant l’examen, faire ce qui vous fait du bien, que ce soit une petite promenade ou quelques exercices de respiration.
– Préparer la veille au soir tout ce dont vous aurez besoin le lendemain. Mettre de préférence des vêtements confortables.
– Une fois l’examen réussi, s’offrir une récompense !
Que se passe-t-il ensuite ?
La première année de formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl. ES a lieu à la Skyguide Academy à Wangen, près de Dübendorf (ZH). La formation se déroule en deux phases. La partie « Basic Training », vous permet d’acquérir des notions dans les matières suivantes : aérodynamique, technologie aéronautique, météorologie, techniques de navigation aérienne, navigation, service d’information aéronautique, droit aérien, etc. Dans le cadre de la « Basic
Simulation », les différents domaines d’intervention dans la tour de contrôle, dans les centres de contrôle régionaux et au sein de la défense aérienne font l’objet d’entraînements pratiques. La partie « Rating Training » se concentre sur l’approfondissement de la théorie et de la formation par simulation dans des domaines spécifiques. Pendant la deuxième année de formation, les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne en devenir s’entraînent déjà sur leur futur site d’affectation (« Unit Training »).
Rémunération et logement
Le cursus « contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl. ES » est gratuit pour les participant·e·s qui, en plus, perçoivent un salaire pendant la formation. En outre, des logements sont mis gratuitement à la disposition de nos étudiant·e·s (dans la limite des places disponibles) si le trajet en transports publics entre leur domicile et Wangen b. Dübendorf dure plus d’une heure.
Postulez vite !
Si vous êtes intéressé·e, postulez sans attendre à la formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl.
ES. Les places sont convoitées et les nombreuses étapes de sélection prennent du temps. Toute personne âgée de 28 ans maximum au début du prochain cursus peut postuler. Et n’oubliez pas : qui ne tente rien n’a rien ! Skyguide se réjouit de votre candidature !
Skyguide Academy
La Skyguide Academy est une haute école spécialisée disposant d’équipements à la pointe de la modernité et de systèmes de simulation pour les cours en présentiel et à distance, y compris des simulateurs de tour à 360°. Les instructeurrices possèdent une vaste expérience pratique et pédagogique à l’international. En 2008, la Skyguide Academy a été certifiée Air Navigation Service Training Provider selon les normes européennes et forme également du personnel pour d’autres services de navigation aérienne.
Informations complémentaires : www.skyguide.ch/future work@skyguide.ch