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Interview: Stéphanie De Bruyne
Stéphanie De Bruyne
« Aujourd’hui, plus de 80% des adultes ont notre application sur leur téléphone »
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Avec itsme, la Belgique est devenue un fleuron européen de l’identité numérique. Remarquablement, l’application est aujourd’hui utilisée activement par la quasi totalité des personnes qui l’ont installé sur leur téléphone.
En quoi l’application itsme a été une petite révolution dans le secteur financier ?
« Avant, pour s’identifier auprès de sa banque en ligne en toute sécurité, l’utilisateur devait avoir un lecteur de carte à sa disposition. itsme a rendu ce processus beaucoup plus pratique. L’application a permis d’établir un équilibre parfait entre trois facteurs : la sécurité, la facilité d’utilisation et le respect de la vie privée. Pour commencer, c’est un outil d’identification multifacteur qui combine un élément que l’on connaît (son code itsme) avec des éléments que l’on possède (son smartphone et l’appli itsme). Il ne faut plus introduire de codes bancaires
sur un site, ce qui est plus sûr puisqu’aucune information personnelle n’est divulguée sur un site potentiellement frauduleux. Et c’est toujours l’utilisateur qui initie l’action. Deuxièmement, la facilité d’utilisation diminue drastiquement la barrière numérique auprès de certains utilisateurs. Enfin, en termes de respect de la vie privée, nous insistons très fort sur le contrôle du citoyen : il voit précisément les données qui seront partagées et ses données sont consultables à tout moment. »
L’application simplifie la vie de ses utilisateurs tout en sécurisant leurs données au maximum. Retour sur une success story avec Stéphanie De Bruyne, la CEO.
Par Bastien Craninx Photo ©Stéphanie de Bruyne
Remplacez vos vitrages en conservant vos châssis
Une économie d’énergie
Le verre FINEO d’AGC a une valeur d’isolation thermique de 0,7 (W / m².K), ce qui correspond au triple vitrage et ce qui est jusqu’à 8 fois mieux que le vitrage simple. Vous bénéficiez d’une excellente isolation tout en conservant la lumière du jour!
Le verre FINEO garde la chaleur à l’intérieur et le froid à l’extérieur, quelle que soit la température extérieure. Cela permet de réaliser des économies maximales sur les coûts énergétiques.
Très rentable en cas de rénovation
Les vitres FINEO peuvent être installées sur des châssis existants. FINEO est donc la solution parfaite pour effectuer vos rénovations dans un esprit de conservation du bâtiment, en préservant et en réutilisant ce qui peut l’être (économie circulaire). L’installation du verre isolant FINEO demande beaucoup moins de travail que le placement d’un triple vitrage, pour lequel il faut casser les châssis de fenêtre existants. Les vitres FINEO sont si minces et facile à installer qu’elles permettent de conserver les châssis originaux. C’est pourquoi FINEO sera bien souvent l’alternative la moins onéreuse pour vos rénovations.
Une installation professionnelle par RenoWindow
Née de la collaboration entre AGC, le leader mondial du verre et la Région Wallonne, RenoWindow est désormais la référence belge du revitrage.
Si vous souhaitez l’avis d’un expert et un devis gratuit, contactez le 0800/48.206 ou envoyez un mail à info@renowindow.be. Plus d’infos sur www.renowindow.be En quoi avez-vous pu aider le secteur financier ?
« Au-delà des avantages cités plus haut, le secteur s’est également démarqué grâce à
l’aspect collaboratif à la base du projet. Pour rappel, itsme est le fruit de l’alliance de quatre grandes banques belges (Belfius, BNP Paribas Fortis, ING, KBC/CBC) et de trois opérateurs Telecom (Orange Belgium, Proximus et Telenet). Ces partenaires ont réalisé qu’une collaboration était plus efficace que l’addition de 7 solutions individuelles sans concertation. Rappelons également que l’Etat détient 20% du capital d’itsme depuis l’année dernière, ce qui renforce la collaboration qu’on avait déjà avec le gouvernement belge depuis sa création. »
Est-ce la même chose dans les autres pays européens ?
« Le contexte est fort différent dans les autres pays européens. itsme est l’une des seules applications développées par le privé à répondre au niveau le plus haut de sécurité pour ce qui est des accréditations européennes (eIDAS) et à combiner 4 fonctionnalités (identification, authentification, confirmation et signature) en 1 appli. Souvent, dans les autres pays, les applications ne proposent pas la possibilité de s’identifier et de signer. De plus, il est rare d’avoir des applis qui soient actives tant dans le secteur privé que dans le secteur public.,Nos partenaires peuvent intégrer itsme pour digitaliser tous leurs processus sans crainte et sans devoir combiner plusieurs solutions. itsme est devenu une référence en termes de régulation européenne et de collaboration privé-public réussie. »
Nous sommes donc en avance au niveau européen…
« Le modèle développé en Belgique est tout simplement exemplaire. Il ne faut pas oublier que lorsqu’on gère des identités, une collaboration proche entre le privé et le public est importante. En tant qu’identité numérique, nous essayons également d’être en avance et de déplacer notre curseur vers d’autres enjeux de société, comme ceux soumis au RGPD. Nous avons par exemple lancé un site web à destination du grand public dans lequel nous avons tout simplement supprimé l’utilisation des cookies. Ce faisant, nous ne traquons personne et nous montrons qu’il est possible de respecter la vie privée de tous. » d’abord attendre que ceux-ci acquièrent la maturité numérique nécessaire. Le contexte dans lequel évolue chaque pays doit être favorable à notre implantation. »
En quoi la pandémie de Covid-19 vous a-t-elle aidé à vous développer ?
« Durant les deux années Covid, nous avons doublé en termes de volume et d’utilisateurs, même si nous étions déjà bien implanté auparavant. De 3 millions d’utilisateurs (avec 100 millions d’actions par an), nous sommes passés à 6,7 millions d’utilisateurs. L’accès que nous offrions vers toutes les plateformes digitales nécessaires durant la crise a évidemment renforcé notre rôle sociétal. Aujourd’hui, plus de 80% des adultes ont itsme sur leur téléphone et 95% d’entre eux l’utilisent activement. »
Cela fait-il de vous une entreprise rentable ?
« Pas encore, malheureusement. Nous venons de fêter nos 5 ans. Peu de sociétés tech sont déjà rentables en 5 ans. Nous continuons à investir en permanence dans les dernières technologies en termes de sécurité. En plus, notre équipe ne cesse de grandir afin de gérer le nombre croissant de sociétés adoptant itsme (800 partenaires). Au-delà de la rentabilité, nous disposons d’autres éléments pour mesurer notre succès, comme notre impact social. Notre business model est basé sur la gratuité pour le citoyen, le coût est supporté par les partenaires offrant itsme à leurs clients. L’application est donc gratuite pour le citoyen et nous ne traitons aucune de ses données commercialement. »
Comment voyez-vous le futur de itsme ?
« Au niveau géographique, nous sommes déjà actifs aux Pays-Bas et nous comptons bientôt nous implanter au Luxembourg. Concernant les autres pays, nous devons Et qu’en est-il de l’évolution de votre offre de services ?
« Nous sommes déjà actifs dans de nombreux secteurs (assurance, santé, ressources humaines,…). Et nous souhaitons pouvoir apporter notre savoir-faire en ce qui concerne le portefeuille numérique à l’étude en ce moment. Ainsi, les données sensibles autres que les données d’identité, comme les données médicales, le permis de conduire, le certificat Covid ou encore les diplômes pourront être échangés numériquement et de manière parfaitement sûre et transparente pour le citoyen. Et ce, sans pour autant stocker toutes ces informations chez nous de manière centralisée. Notre rôle serait celui d’un coordinateur qui ferait le lien entre une organisation et la source de ces données tout en gérant le consentement des citoyens. »
Smart Fact.
Quelle a été votre plus grande inspiration ? « Je n’ai jamais eu de posters sur les murs de ma chambre. Mais j’ai toujours été fascinée par les gens passionnés par ce qu’ils font. Que ce soit des sportifs comme Nafissatou Thiam qui pulvérise des records ou des cuisiniers comme le chef Seppe Nobels qui donne sa chance à des demandeurs d’asile. Ces gens parviennent à changer la donne dans leur travail en mettant le curseur à un autre niveau. » L’identité numérique
L’identité numérique lie une personne du monde physique avec un utilisateur du monde numérique. itsme® en tant qu’identité numérique affiche quatre fonctions : l’identification (de niveau de garantie élevé), l’authentification, la confirmation (d’une transaction ou d’un virement) et la signature électronique de documents (avec un niveau de sécurité élevé offrant la même valeur légale qu’une signature manuscrite).
La nouvelle réglementation eIDAS
La régulation européenne sur les identités numériques s’apprête à évoluer. Dorénavant, les identités numériques accréditées dans un pays européen le seront également dans les autres. Cela impliquera également un changement de fonctionnalités avec l’avènement du portefeuille numérique. Une ouverture des frontières qui risque de bouleverser la dynamique du marché actuel et les solutions offertes.
Chez Wondercar, nous privilégions toujours la réparation au remplacement de pièces. Pour les petits dégâts, nous réparons localement. Ceci permet d’économiser de l’énergie, de la peinture et du temps. De plus, tous les produits utilisés répondent aux normes environnementales.
VOTRE CARROSSERIE DE CONFIANCE POUR TOUTES LES MARQUES
L’immobilier de luxe : comment estimer l’exception ?
Acquérir ou vendre un bien de prestige, historique ou de luxe nécessite une expertise pointue et… un carnet d’adresses bien rempli. Comme Zazie, vous souhaitez devenir l’heureux propriétaire de l’hôtel de la rue de la Paix ou d’un château en Espagne ? Alors, cet article est fait pour vous ! Et nul besoin d’explorer des contrées voisines (voire plus lointaines) pour découvrir des biens immobiliers au cachet unique, car la Belgique regorge elle aussi de richesses insoupçonnées.
Acquérir ou vendre un bien de prestige, historique ou de luxe nécessite une expertise pointue et… un carnet d’adresses bien rempli. Comme Zazie, vous souhaitez devenir l’heureux propriétaire de l’hôtel de la rue de la Paix ou d’un château en Espagne ? Alors, cet article est fait pour vous ! Et nul besoin d’explorer des contrées voisines (voire plus lointaines) pour découvrir des biens immobiliers au cachet unique, car la Belgique regorge elle aussi de richesses insoupçonnées.
Pour mieux comprendre les codes de ce marché de «l’inestimable », Maximilien de Broqueville et Philippe de Borrekens, agents immobiliers et courtiers chez Eurimobel, une agence spécialisée dans l’expertise et la valorisation d’immobilier d’exception, avec une compétence toute particulière dans le domaine agricole, nous guident.
« Les biens de prestige, maisons de maître, châteaux, ou autres biens immobiliers d’exception, sont des propriétés qui ne se vendent pas comme une maison traditionnelle. En effet, les règles en usage pour les maisons ou appartements plus traditionnels ne peuvent pas s’appliquer ici. Si habituellement l’estimation d’un bien tient compte du prix au m² pratiqué dans le secteur, les biens de prestige ne sont pas soumis aux mêmes fluctuations du marché. L’estimation d’un logement de haut standing doit donc se faire au cas par cas, » explique Maximilien de Broqueville.
Indépendamment de leur singularité, ces propriétés luxueuses font partie intégrante d’un marché réactif au sein duquel la clientèle possède déjà une certaine affinité avec l’immobilier et fait donc montre de capacités décisionnelles extrêmement rapides.
Une estimation au cas par cas
« Sur base de la valeur vénale d’un bien, estimer l’exception n’est pas une science exacte. On adapte chaque estimation au bien, à son potentiel et aux clients. Le fait d’être sur un marché de biens d’exception implique un service plus complet, une approche plus personnalisée et un dossier extrêmement complet. »
De ce fait, l’estimation de châteaux et autres biens immobiliers d’exception exige donc parfois une remise en question en fonction des réactions du marché. Une fois le prix déterminé et le bien commercialisé, l’heure est alors à la prise de température qui dépendra inévitablement des signes d’intérêts reçus.
Et pour finaliser la vente de ces somptueuses demeures, quelques astuces sont à retenir. Par exemple, pour Philippe de Borrekens, il est crucial de comprendre qu’un bien complètement vide ne prête pas à la projection. C’est pourquoi, lors des visites de propriétés qui vont être prochainement mises en vente, « nous insistons pour que le mobilier demeure, pour que la propriété reste dans son jus. Un bien vide invitant davantage à la critique qu’un bien meublé. »
Les tendances et alternatives
Ces experts constatent la volonté grandissante des propriétaires de voir leurs biens bénéficier également d’une activité complémentaire pour soutenir le coût de cet investissement. En effet, ces propriétés jouissent souvent d’annexes qui permettent la création de chambres d’hôtes, bureaux, salles de fêtes, etc.
Vous souhaitez maintenir le patrimoine familial tout en vous affranchissant d’une série de frais ? Philippe de Borrekens pointe un type de contrat tombé en désuétude chez nous mais qui, selon lui, constitue une réelle option d’avenir : le bail emphytéotique. Emphytéo-quoi ? On vous explique…
Issu d’une loi vieille de près de 200 ans, le bail emphytéotique consiste à disposer de la pleine jouissance d’un bien immobilier appartenant à autrui, sous la condition de lui payer un canon en reconnaissance de son droit de propriété. Il s’agit bien d’un droit réel, la convention sera donc établie devant notaire et retranscrite dans le registre des hypothèques. Ce bail qui s’apparente à une jouissance à très long terme (de 15 à 99 ans) avec responsabilités financières partagées offre donc la possibilité de séparer l’immobilier et le foncier. Soit une manière unique de valoriser un bien.
En bref, avec l’immobilier d’exception, à chaque besoin sa solution unique. Largement de quoi nous donner l’envie de devenir châtelains nous aussi.
Maximilien de Broqueville & Philippe de Borrekens
Co-Managing Partners
Depuis 1967, l’agence immobilière EURIMOBEL se spécialise dans l’estimation et la valorisation des biens de prestige en Belgique et à l’étranger. Plus que des châteaux, manoirs, terres agricoles et autres propriétés luxueuses, l’équipe aux commandes met aux services de ses clients son expertise en immobilier d’exception et un accompagnement sur mesure. Vous cherchez un bien au cachet inégalable ? Vous frappez à la bonne porte.
Une assurance vie plus flexible qui suit le rythme de vos projets et de votre vie
Les épargnants et les investisseurs ne se ressemblent pas. Ils ont chacun des souhaits et besoins différents. Si certains préfèrent minimiser les risques, d’autres entendent maximiser leur rendement. Une assurance vie flexible combine
le meilleur de ces deux mondes pour répondre en permanence à vos besoins et souhaits.
Une épargne qui rapporte
Comme l’explique F. Torfs : « Qui n’avance pas recule ! Aujourd’hui, c’est le cas de l’argent placé à long terme sur des comptes épargne : il ne rapporte plus rien depuis longtemps, sans parler de l’inflation élevée. Bref, vous perdez de l’argent. C’est pourquoi il est important de faire fructifier une partie de votre argent en vous tournant vers d’autres solutions financières. Dans ce cadre, l’assurance vie constitue une bonne alternative pour obtenir un rendement supérieur de manière relativement sûre. »
Le temps et la régularité, une combinaison gagnante
« Les jeunes qui commencent tôt leur épargnepension ont le temps de faire fructifier leur argent. En effet, il faut au moins huit à dix ans pour pouvoir tirer un rendement de son épargne-pension. Par ailleurs, la régularité constitue un autre facteur crucial. L’assurance vie a un caractère périodique : chaque mois, vous y ajoutez un montant fixe. Cette périodicité associée au temps constitue un mécanisme bien huilé, qui permet de commencer avec peu pour évoluer, au fil des années et grâce aux intérêts (accumulés), vers un beau capital sans devoir faire trop d’efforts. »
« Le caractère périodique d’une assurance vie évite également aux personnes inexpérimentées de spéculer avec des placements, alors qu’elles ne disposent ni de l’expérience ni des connaissances nécessaires. L’épargne récurrente vous évite ces tracas. Que vous débutiez votre épargne à une bonne ou une mauvaise période n’a aucune importance : vous serez gagnant à long terme. Par conséquent, plus vous débutez tôt, mieux c’est », détaille Torfs.
Une assurance vie personnalisable offrant une plus grande flexibilité
« Vita Flex 44 est une assurance vie flexible de Fédérale Assurance, qui combine les atouts de la branche 21 et de la branche 23. La composante branche 21 offre un rendement garanti et la participation bénéficiaire qui fait la renommée de Fédérale Assurance. La composante branche 23 vous permet, elle, d’investir dans des fonds d’actions, immobiliers, d’obligations, etc. Dans ce cadre, vous ne bénéficiez d’aucune garantie de capital et de rendement, mais vous pouvez potentiellement obtenir un rendement supérieur. Ce «couteau suisse» nous permet de toujours proposer une offre adaptée à vos souhaits et besoins précis. »
Torfs poursuit : « En fonction du moment, vous pouvez d’ailleurs passer à d’autres combinaisons et proportions entre les branches, en fonction de votre appétence au risque. De nombreux jeunes seront prêts à prendre plus de risques pour obtenir un rendement supérieur à long terme, alors qu’à 50 ou 60 ans, on souhaite plutôt réduire les risques pour protéger son capital. D’un point de vue fiscal, nos conseillers expérimentés vous conseilleront sur le meilleur moment pour changer : ils peuvent vous prodiguer des conseils personnalisés précis et vous accompagner au moyen d’outils uniques. »
« Vita Flex 44 permet d’épargner régulièrement des petits ou plus gros montants. Le produit peut être souscrit à partir de 50 € par mois, ce qui rend cette solution accessible à un large éventail de personnes. Vous pouvez choisir d’effectuer un versement unique ou de combiner avec des versements périodiques. Vous déterminez vous-même et à tout moment quelle partie de votre prime est placée en branche 21 et quelle partie en branche 23.
Accessible à tous
« L’assurance vie Vita Flex 44 permet de verser des petits montants et de répartir les risques sur un portefeuille d’actions. Cela rend le produit plus accessible que les investissements en Bourse, où les actions sont onéreuses et comportent davantage de risques. Pour commencer, vous pouvez par exemple choisir d’investir 80 % en branche 21 et 20 % en branche 23, une stratégie peu risquée. Nos experts vous aident bien sûr à adapter votre répartition, en fonction de vos besoins et souhaits. »
Une tranquillité d’esprit totale, tout en gardant le contrôle
Torfs : « Nous vous évitons de devoir opérer des choix stressants et suivre vous-même vos actions. Nous faisons tout à votre place. Il vous suffit de prévoir une domiciliation mensuelle pour constituer votre épargne. Si nécessaire, vous pouvez également réduire le montant épargné ou mettre votre domiciliation en pause. Cette assurance vie n’est donc pas fixée pour toujours. La solution s’adapte à vous. Vous conservez le contrôle de votre avenir financier ! »