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Jean-Marie Bailly, de l’idée à l’entreprise .......................... 10 et

Jean-Marie Bailly (à droite) aux côtés de Valentin Millot, son associé dans le développement de MAAT data.

ou cumuler en attendant d’avoir atteint une somme significative. Pour ce faire, un protocole permet de s’assurer qu’il n’y a pas de fraude. « On y a bien réfléchi. Là, on le teste pour de bon ». La solution se veut gagnant-gagnant à tout point de vue. Gagnant pour Savaoo qui se rémunérera grâce aux partenariats avec les enseignes partenaires, mais aussi avec de la publicité et les données qu’elle accumulera. Gagnant aussi pour les magasins qui devraient voir leur trafic augmenter avec ce nouveau service. Gagnant encore pour les utilisateurs qui feront quelques euros d’économie et gagnant surtout pour l’environnement avec des objets qui finiront dans la bonne filière de recyclage.

Pour l’instant, 1 300 objets sont référencés par l’application et 20 000 points de collecte publics sont enregistrées. Une intelligence artificielle, celle développée par ailleurs par Aquilae, l’autre start-up de Jean-Marie Bailly, assure la reconnaissance des images. Le design de l’application a été réalisé avec Namkin, spécialiste basée lui-aussi à la technopole du marketing industriel.

L’une des clés des succès de Jean-Marie Bailly est d’avoir toujours su s’entourer. Dans ses projets, il a régulièrement travaillé avec l’UTT et des industriels du département. Le tout dans un environnement professionnel qui l’incite à se poser des questions un peu plus originales que celles que tout le monde se pose. Même si pour Savaoo, la bifurcation s’est faite vers les objets de tous les jours. Pour l’anecdote, la lampe extraordinaire de chez Artemise n’a toujours pas été identifiée.

Bruno Dumortier

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