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« Interdire les habitations à moins de 10 m des champs, plutôt ! »
from Terre-net Le Magazine n°104
by NGPA
Interdire les habitations à proximité des zones traitées plutôt que l’inverse. C’est ce que souhaitent nombre de lecteurs de Terre-net à la suite de la parution de l’interdiction d’épandage des produits phytosanitaires CMR2 à moins de 10 m des habitations au Journal officiel, le 21 mars. Les commentaires ont fusé.
Arnaud :
« Il ne faut rien à moins de 500 m d’une habitation : ni champs, ni éoliennes, ni usines, ni coqs, ni clochers… »
Noël :
« Il reste de la place sur la lune ou dans la forêt amazonienne. Mais attention, il faut Internet, le gaz de ville, des cinémas, etc. [...] »
Régis :
« […] une agriculture européenne sans pesticide chimique peut-être, une Europe sans agriculture sûrement. Des espaces verts, des zones sauvages, humides, des prairies pour les loups et du miel pour les ours, le paradis sans agriculteurs ni chasseurs… »
Jérôme :
« Pas sûr que ce soit le paradis bien longtemps ! »
Bibi :
« La nature est belle certes, mais sauvage et implacable. Ça, on l’a oublié. On n’a pas inventé les phytos sans raison. »
Sébastien :
ARNAUD2
Valentin :
« Regardez déjà les molécules dans les produits ménagers ! Pas de distance pourtant !! »
Julien :
« Quand il n’y aura plus que des produits importés 10 fois plus exposés aux phytos, on en reparlera. »
Jérôme :
« Les politiques et le grand public veulent une France sans agriculteurs, les autres pays produiront pour nous. »
« Si on n’assure plus de suivi phytosanitaire des plantes comestibles, faut arrêter de vacciner et soigner les humains. Il est sûr qu’on en tirera vite les conclusions qui s’imposent. »
Kesteman :
« Les produits phytos sont homologués par une AMM. Il faut que les gens comprennent que les agriculteurs sont les mieux placés pour produire sain et durable. Faire croire le contraire est un mensonge intentionnel pour nuire à la profession. [...] Nourrir la planète ne se fera pas par l’opération du SaintEsprit ! Il faut laisser un peu tranquille ceux qui se défoncent au travail pour produire l’alimentation. » ■