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Niels Kowollik, CEO de Mercedes-Benz Belgium

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«Tous en électrique et bannir les SUV? Et quid du consommateur!?»

Niels Kowollik, CEO Mercedes-Benz Belgium Luxembourg

Niels Kowollik est à la tête de Mercedes-Benz BeLux depuis deux ans et combine cette fonction avec celle de Head of Market Operations MercedesBenz Cars BeNeLux. Le mot ‘client’ a été utilisé pas moins de 17 fois au cours de cet entretien, ce qui montre clairement où se situe son centre d'intérêt. Nous avons interviewé l'Allemand au sein de la bibliothèque de Malines, car les livres sont l'une de ses passions … Son autre passion? Les images parlent d'elles-mêmes …

Philip De Paepe – philip.depaepe@effectivemedia.be

Lorsque vous êtes arrivé en Belgique en 2018, vous avez immédiatement fait une déclaration dans une interview accordée à De Tijd: l'objectif est de retrouver le leadership du marché des marques premium en Belgique d'ici 2020. Vous n'avez même pas eu à attendre aussi longtemps, car cet objectif était déjà atteint en 2019. Quelle est la stratégie pour maintenir cette première place?

Tout commence par la gamme. Nous misons beaucoup sur les plug-in hybrides, y compris les plug-in hybrides diesel. Nous sommes convaincus qu'avec cette gamme, nous pouvons répondre à la fois à la demande du marché et à la législation, qui soutient les voitures de moins de 50 g de CO2. Le segment fleet est également d'une importance cruciale pour nous, et nous avons recruté des personnes supplémentaires à cette fin. Notre mission est non seulement d'offrir le bon modèle aux conducteurs de voitures de société, mais aussi de les aider à bénéficier d'un service correct. Nous assistons également à une professionnalisation accrue du réseau, notamment par des acquisitions par de grands acteurs étrangers. Tous ces facteurs qui ont assuré le succès l'année dernière, joueront également un rôle cette année.

Le diesel a été dominant sur le marché fleet belge pendant de nombreuses années mais, depuis quelques temps déjà, la tendance est à la baisse. Verrons-nous cette année le grand changement de tendance vers des alternatives telles que les plug-in hybrides que vous venez d'évoquer? Et qu'en est-il des véhicules électriques à batterie?

Pour diverses raisons, le marché belge n'est pas précurseur en matière de véhicules électriques à batterie. Je ne vois pas non plus leur percée cette année. Nous voyons plutôt beaucoup de potentiel dans le plug-in hybride diesel en raison de son bilan CO2 favorable. A l'heure actuelle, il n'y a pas de meilleure alternative. Vous pouvez rouler en mode entièrement électrique avec une autonomie allant jusqu'à 100 km. Idéal pour les villes, et pour les longues distances, le diesel est de loin la meilleure option grâce à sa faible consommation. N’oublions pas que ces motorisations se trouvent souvent dans les SUV et qu'en combinaison avec un moteur à essence, la consommation de carburant est tout de même plus élevée dans ce type de véhicule.

Considérez-vous l'hybride diesel comme une technologie de transition ou est-ce une technologie d'avenir?

Les deux. Cette technologie n'est pas bon marché, car il faut introduire deux groupes motopropulseurs différents dans la voiture. Vous ne pourrez jamais récupérer cet investissement si vous ne l'exploitez que pendant deux ans. Si l'on évoque un horizon beaucoup plus lointain, les véhicules électriques à batterie auront tant évolué qu'ils pourraient devenir la norme.

Un homme politique belge a récemment suggéré de rendre toutes les voitures de société électriques d'ici 2023. Une ambition réaliste?

Cette histoire a deux visages. En tant que constructeur, nous sommes prêts. Cette année, deux autres véhicules électriques s'ajouteront à la gamme. Nous proposerons alors cinq véhicules électriques à batterie, couvrant ainsi tous les segments. Nos concurrents élargissent également leur offre. Mais est-ce suffisant ? J'ai des doutes. En ce qui concerne l'infrastructure de charge publique, il y a encore beaucoup de travail à faire. Et en ce qui concerne le réseau électrique proprement dit, des obstacles restent à surmonter. Nous travaillons en étroite collaboration avec Engie pour proposer à nos clients des solutions de recharge à domicile et en entreprise. Parfois, avec notre partenaire, nous devons constater que le réseau ne répond pas aux exigences pour recharger nos voitures électriques à la vitesse optimale. Et la tarification est encore un problème.

Quid de l'hydrogène?

Techniquement, nous avons déjà une longue tradition de développement de cette forme d'entraînement. Nous en étions les pionniers il y a dix ans. Mais pour l'instant, elle n'est pas en tête de liste lorsqu'il s'agit d'introduire des modèles sur le marché. Certains éléments techniques doivent encore être développés – c'est pourquoi il y a quelques projets pilotes en Allemagne et au Japon – et, ici aussi, la tarification est un problème. Actuellement, on se concentre sur la conversion aux véhicules électriques à batterie, ce qui nécessite déjà d'énormes investissements. Cela n'enlève rien au fait que l'hydrogène est une bonne technologie et qu'il est susceptible de jouer un rôle important à l'avenir.

La désorientation du client en général, et certainement du client fleet, quant au choix d'une motorisation est aujourd'hui considérable. Comment abordez-vous cela en tant que constructeur?

J'ai commencé comme vendeur chez Mercedes-Benz et l'une des premières choses qui a été martelée était : découvrez ce dont le client a besoin. C'est toujours valable aujourd'hui, mais au carré. Aujourd'hui, nos experts produits et nos vendeurs posent beaucoup plus de questions pour connaître l'usage que le client entend faire de son véhicule. Parce que, parfois, les clients tombent amoureux d'un modèle qui ne répond pas à leurs besoins. Nous optons pour une combinaison d'information en ligne et de vente physique, pour guider les clients vers le bon choix en leur posant les bonnes questions.

Nous continuons à croire dans de petites entreprises familiales locales, en particulier dans les régions rurales. Mais nous voulons également investir dans les grandes concessions situées à proximité des métropoles.

La vente en ligne est-elle également une option pour Mercedes-Benz?

Ce n'est plus une option ! Dans certains pays nous la testons déjà et, cette année, nous introduirons notre plateforme de vente en ligne. En Belgique, nous l'avons reportée pour ne pas subir le tourbillon du Salon de l'Auto de Bruxelles. Mais en tant que modèle de vente, elle fera certainement partie de notre stratégie. Certains clients pensent qu'ils sont suffisamment informés en ligne et veulent acheter le véhicule sans le voir physiquement ni le tester. Cependant, la plateforme aura un caractère interactif avec une fonction de chat. Certaines questions légales doivent encore être réglées. Par exemple, dans la plupart des pays, une signature est encore requise sur un contrat de vente et celle-ci doit être physique. Mais il ne fait aucun doute que cela va se généraliser pour une partie des clients. Nous sommes d'ailleurs ambitieux : d'ici 2025, nous voulons vendre 25 % de nos véhicules en ligne à l'échelle mondiale.

Ces dernières années, nous avons vu que de grands groupes internationaux tels que Hedin ont repris des concessions MercedesBenz en Belgique. Est-ce que ce sera la tendance: la consolidation et seulement de grandes concessions?

Non, nous continuons également à croire dans de petites entreprises familiales locales, en particulier dans les régions rurales. Mais nous voulons aussi investir dans les grandes concessions situées à proximité des métropoles : de véritables flagship stores où un service professionnel va de pair avec une expérience de marque premium en showroom. Nous avons besoin de cette diversité afin de servir au mieux les différents profils de clients.

Et qu'en est-il de la conversion vers le mobility provider? Carsharing, multimodalité, formules de location flexibles … Quelle est la stratégie de Mercedes-Benz dans ce domaine?

Cette stratégie est déjà pleinement mise en œuvre aujourd'hui et sera encore développée à l'avenir. L'app Mercedes me offre 80 services différents. Tout le monde ne les utilise pas encore aujourd'hui, mais notre mission est de les rendre plus visibles pour nos clients. Si, par exemple, ils ont besoin d'une alternative à la voiture, cela peut se faire via Mercedes me move. Un autre exemple – belge, soit dit en passant – est Select & Drive, qui incarne une mobilité flexible premium. La dénomination commerciale de cette invention belge est déposée pour l'ensemble de l'Europe et sera peutêtre déployée dans d'autres pays européens. Des produits tels que le full service leasing, le renting, le financement privé et de nombreux autres services sont complexes et doivent être expliqués de manière claire et structurée. Nous étions autrefois moins forts dans ces domaines, mais nous sommes revenus aux avant-postes.

J'ai commencé comme vendeur chez MercedesBenz et l'une des premières choses qui a été martelée était: découvrez ce dont le client a besoin. C'est toujours valable aujourd'hui, mais au carré.

Une telle offre sera-t-elle également nécessaire dans le futur pour lier de plus jeunes clients à votre marque? Des études montrent que l'utilisation d'une voiture – partagée ou non – est plus importante que la possession pour ce groupe cible …

On me pose régulièrement cette question, mais je ne crois pas beaucoup à cette opposition entre les générations. Je crois qu'il y a des clients qui font consciemment le choix du premium, quel que soit leur âge. Nous sommes une marque haut de gamme et les gens nous choisissent en raison de cette expérience – ‘sustainable modern luxury’ – spécifique. Ceux qui roulent en Mercedes voudront la conserver exclusivement pour eux, tout au plus la partager avec leur famille. Nous

en sommes fermement convaincus. Bien sûr, il y a aussi des consommateurs qui ne sont pas sensibles à la marque et qui veulent simplement se déplacer de A à B. Très bien, mais ce n'est pas notre groupe cible. Les clients nous choisissent consciemment en raison de l'innovation, de la technologie, de la qualité, du luxe, du confort, du plaisir de conduire … C'est ce que nous défendons en tant que marque, c'est notre identité.

En parlant de plaisir de conduire, vous décririez-vous comme un passionné d'automobile?

Oui, ça a toujours été le cas. Avant d'entrer dans l'industrie automobile, j'étais journaliste dans le domaine du sport automobile. C'est ainsi que je suis entré en contact avec des gens de Mercedes, qui m'ont proposé de travailler pour eux. J'ai toujours cette passion pour les véhicules de sport, à deux et à quatre roues. Je suis un grand fan des modèles AMG et j'ai la chance de pouvoir les essayer de temps en temps sur circuit. Ma favorite est la Mercedes-AMG GT 63 S 4MATIC+ 4-Door Coupe. Dans ce segment aussi, nous allons faire la conversion à une technologie de propulsion plus écologique. Je suis impatient de les découvrir !

Les Mercedes contemporaines comptent déjà de nombreuses technologies semi-autonomes à bord. Pour quand pouvons-nous attendre une Mercedes totalement autonome?

À ce jour, il est impossible d'avancer une date. Ce qui semble certain, c'est qu'au sein de Daimler, ce sont les camions qui arriveront les premiers sur le marché avec cette technologie. En tant que groupe, nous sommes le plus grand constructeur de camions au monde, ce qui signifie également que des ressources suffisantes peuvent être libérées pour développer cette technologie. C'est aussi plus logique : les trains routiers sur autoroute, c'est une autre histoire que les complexes situations de circulation urbaines. Néanmoins – et c'est là que réside l'avantage de notre échelle – tout ce travail de développement finira par se répercuter sur les voitures et y fera ses preuves.

D'ici 2025, nous avons pour objectif de vendre 25 % de nos véhicules en ligne, à l'échelle mondiale.

Vous êtes en Belgique depuis deux ans maintenant. N'est-il pas parfois difficile d'expliquer notre fiscalité automobile à Stuttgart? La réglementation concernant les plug-in hybrides, par exemple?

J'ai déjà travaillé dans plusieurs pays, notamment en Pologne et au Portugal. Mon expérience est qu'il y a toujours des discussions sur les réglementations et ce n'est pas différent ici. Mais ce n'est pas à moi, en tant qu'invité dans votre pays, de critiquer cela. Au contraire, je trouve que la tolérance et la compréhension des intérêts d'autrui, qui sont si caractéristiques de votre beau pays, sont un atout. Les Belges sont passés maîtres dans l'art de trouver des compromis. C'est la démocratie et c'est quelque chose qu'il faut chérir.

Une chose qui nous concerne tous, c'est le climat. Avez-vous parfois l'impression que l'industrie automobile est trop sous pression et que d'autres secteurs qui émettent également beaucoup de CO2 restent sous les radars?

Pointer du doigt est facile, mais également inutile et contre-productif. À chacun ses propres devoirs et nous avons fait les nôtres. D'ici 2039, le groupe Daimler sera totalement neutre en matière de CO2. Aujourd'hui, deux de nos usines sont déjà neutres en CO2. Nous donnons ainsi le ton à l'industrie automobile. Ce qui me semble manquer dans le débat, c'est ce que le consommateur attend. Il doit y avoir un cadre de règles pour notre industrie, mais nous ne vivons pas

D'ici 2039, le groupe Daimler sera totalement neutre en CO2. Aujourd'hui, deux de nos usines sont déjà neutres en CO2. Nous donnons ainsi le ton à l'industrie automobile.

dans une dictature où l'Europe décide de ce que nous pouvons ou devons acheter ! Cette liberté de choix doit absolument perdurer. Faire rouler tout le monde en véhicule électrique et bannir les SUV, ce n'est pas le fonctionnement d'un marché libre. Toutefois, il nous appartient, en tant que constructeurs, de prendre en compte les aspects écologiques dans la production, l'utilisation et le recyclage de tous les modèles que nous proposons. Le client doit pouvoir choisir entre le bon et le bien, et le moins bon et le mauvais.

Comment est la vie en Belgique pour un expat?

Je vis à Bruxelles, et comme vous le savez, ce n'est pas la Belgique (rire). Bruxelles a un caractère international, il y a beaucoup de culture et de concerts : un lieu de vie inspirant. En fait, vous avez de très bons restaurants à Bruxelles, que j'aime fréquenter. J'ai également travaillé dans d'autres pays et, pour moi, il est toujours important de connaître le plus possible le marché local et les dealers. Par exemple, j'ai déjà rendu visite à tous les concessionnaires Mercedes-Benz de Belgique.

Nous sommes ici dans la superbe bibliothèque de Malines pour une bonne raison: vous aimez les livres! Quels sont vos favoris? Je lis depuis l'âge de 3 ans et demi et j'ai lu toute ma vie. C'est une passion que je ne peux même pas expliquer, si ce n’est que cela me passionne de lire le plus grand nombre de livres possible. De vrais livres. Donc pas d’e-reader pour moi. J'aime l'odeur des livres, leur toucher. Ma collection compte déjà des milliers de livres, ma femme dit qu'il y en a trop (rires). Je lis tous les jours, de préférence des romans. Nommer des favoris est difficile car il y a tant de sujets qui me parlent. Récemment, j'ai découvert un auteur polonais qui écrit sur la Silésie, la région d'où vient mon père. Ce sont des choses qui me fascinent. Mais c'est surtout la diversité qui m'attire.

Le contraste avec votre autre passion ne pourrait pas être plus grand: la vitesse sur deux roues! Racontez …

J'ai commencé à rouler à neuf ans, avec une mobylette pour laquelle j'avais économisé et je continue à le faire avec autant de plaisir aujourd'hui. I don’t like it, I love it. C'est pur : vous êtes proche de la nature. Il faut aussi être très conscient des dangers : vous n'avez pas de carrosserie pour vous protéger. Je fais aussi de la compétition, mais à un niveau amateur. Mes temps au tour sont ridicules comparés à ceux des pilotes professionnels, mais je m'en moque. Il s'agit de m'amuser et de repousser mes limites. Freiner 10 mètres plus tard et accélérer 10 mètres plus tôt pour réduire mon temps au tour d'une demi-seconde, là je suis heureux.

Malheureusement, Daimler ne fabrique pas de motos. Il vous faut donc aller faire vos achats à la concurrence. Pourquoi une Ducati?

J'aime le design et l'histoire de la marque. Et de plus elles roulent sacrément bien. En revanche, le fait qu'Audi soit propriétaire de la marque est un inconvénient (rires).

Dernière question: quel est votre style de management?

J'utilise une toolbox de styles de management, ce qui me permet de m'adapter à une variété de situations. Je demande fréquemment du feedback à mes employés et je partage et discute des résultats avec eux. Je suis pour une communication directe. L'authenticité, la prise de responsabilité et la transparence sont des valeurs importantes. Say what you think and do what you say. Je ne suis pas du genre ‘ma porte est toujours ouverte’. Parfois, je dois me concentrer et je ne veux donc pas être dérangé. Mais mes équipes le savent car je les en informe à l'avance. Et ce n'est pas parce que je suis le CEO, car mes employés ont autant le droit de s'isoler pendant une heure s'ils en éprouvent le besoin.

Powerdale Nexxtender Home

« Nous rendons le chargement à domicile évident »

Recharger un véhicule de société électrique chez soi est un complément logique à la borne de recharge sur le lieu de travail, à condition de faire ses devoirs à l’avance et de proposer des solutions vraiment sans soucis. C’est ce que fait Powerdale avec son Nexxtender Home.

Powerdale dispose déjà d’une solide réputation de fournisseur de solutions de recharge pour les entreprises et les autorités publiques. Avec son câble de recharge intelligent Nexxtender Mobile, il existe déjà une solution pour la recharge à domicile, mais la société va maintenant plus loin : une infrastructure de recharge à domicile qui a fait l’objet d’une réfl exion poussée. Stephan Atsou, Sales & Marketing Manager, explique pourquoi Powerdale a d’abord fait ses devoirs et ensuite seulement conçu un produit.

« Nous avons fait des analyses de marché et développé plusieurs prototypes pendant 18 mois. Ce qui nous a permis de mesurer la di culté de notre tâche et son ampleur. Les acteurs de la chaîne sont nombreux : le constructeur automobile, la société de leasing, les gestionnaires de fl otte, les fournisseurs de mobilité, les fournisseurs d’infrastructures de recharge, les conducteurs et, tout à la fi n, les installateurs. Et ce sont ces derniers qui sont confrontés à des problèmes techniques tels qu’une wallbox qui ne convient pas pour le circuit électrique de la maison. Ou bien les clients veulent connecter leur wallbox à leurs panneaux solaires et ce n’est pas possible. Nous devons être honnêtes à ce sujet : l’installation d’une infrastructure de recharge à domicile est, aujourd’hui, relativement diffi cile. C’est pourquoi nous avons résolument opté pour une solution qui facilite la vie de tous les acteurs. L’apport des conducteurs de VE a également été très important pour nous. Notre concept a été réalisé en co-conception avec eux. »

Une solution tout-en-un

Cette solution consiste en une wallbox tout-en-un qui peut charger en 3,7 kW, 7,4 kW, 11 kW et 22 kW, et ce aussi bien en monophasé qu’en triphasé. Ce choix peut être fait par l’installateur lorsqu’il se trouve chez le client. Le gestionnaire de fl otte n’a pas non plus à se soucier du type de véhicule électrique que son conducteur choisira, car la wallbox convient à toutes les confi gurations. De plus, le logiciel de la wallbox assure la gestion entre l’électricité nécessaire à la maison et celle pour la voiture.

Stephan Atsou : « Nos wallbox ne fournissent que l’énergie dont la maison n’a pas besoin, nous appelons cela le mode Max. Une voiture électrique peut être capable de charger en 32 ampères, mais la moyenne d’une maison en Belgique est de 40 ampères. Grâce à notre logiciel de gestion de la recharge, la plus grande partie de l’électricité ira à la maison le soir, par exemple, mais la nuit, la voiture en recevra davantage. Une autre pré-confi guration importante est le mode Eco, qui prévoit que toute l’énergie des panneaux solaires est acheminée vers la voiture. Et bien sûr, nous proposons également une solution de split billing, de sorte que la consommation d’électricité de la voiture à domicile soit payée par l’employeur. Chez Powerdale, nous sommes convaincus que des solutions e caces et appropriées sont essentielles dans ce marché naissant. Et avec notre Nexxtender Home, nous répondons parfaitement à ce besoin. »

« Nexxtender Home a été réalisé en coconception avec les conducteurs de VE. »

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powerdale.be

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