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Baptiste Guillemin a gagné à la loterie en devenant luthier puisqu’il aime jouer de la guitare et comme le dit le célèbre proverbe de Confucius « Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras jamais à travailler un seul jour de ta vie. »
Baptiste Guillemin a gagné à la loterie en devenant luthier puisqu’il aime jouer de la guitare et comme le dit le célèbre proverbe de Confucius « Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras jamais à travailler un seul jour de ta vie. »
Baptiste Guillemin a son entreprise de lutherie à même son appartement situé au 495, rue Boisseau dans le quartier Saint-Sauveur. Nous l’avons rencontré afin d’en apprendre plus sur le métier de luthier.
Mélissa Gaudreault
Le jeune luthier de 36 ans est originaire de la ville de ClermontFerrand, située dans la région de l’Auvergne au centre de la France. Il a déménagé au Québec en 2006 afin d’étudier la lutherie
à l’École de lutherie de Québec. Il est venu étudier au Québec parce que le programme était moins dispendieux que ceux offerts dans les écoles d’Europe. Le DEC technique de trois ans est proposé en partenariat avec le Cégep de Limoilou comme bien d’autres métiers d’arts.
« Je suis arrivé à Limoilou, deuxième année j’étais à SaintRoch et troisième année je me retrouvé ici dans Saint-Sauveur. »
– Baptiste Guillemin
Le jeune artiste a un parcours un peu atypique et on peut dire que c’est un peu par hasard qu’il s’est retrouvé à jouer de la musique et à décider de devenir luthier. En effet, il a commencé la guitare à l’âge de 14 ans par hasard. Il y
avait des clubs de musique qui se tenaient le midi à son école, un de guitare et un de percussions. Son ami voulait faire de la guitare et lui des percussions mais comme il ne voulait pas être seul dans un groupe d’inconnus il a été en guitare avec son ami et a beaucoup aimé ça.
Il était très content quand il a découvert des guitares dans le grenier chez lui. «La guitare, c’était l’instrument qui me permettait de jouer des trucs que j’appréciais (ex. : Nirvana, The Offspring). » Son père, son grand-père et son oncle jouaient de l’accordéon, mais lui n’a jamais vraiment aimé l’instrument, et il a joué du piano pendant un court moment.
« Ce qui m’a amené à la lutherie c’est que je jouais pas mal de musique avant et je me cherchais une voie professionnelle. Le fait de conjuguer les guitares, que je jouais déjà, et le fait d’apprendre à en fabriquer, de travailler avec ses mains, que ce soit un métier
créatif, ça m’a tout de suite enchanté. J’avais un luthier dans ma ville que j’ai côtoyé, qui m’a appris des choses à force de revenir chez moi une fois par an. J’allais toujours le voir, le rencontrer pour partager avec lui et il m’a quand même enseigné pas mal de choses. » – Baptiste
Guillemin
S ONENTREPRISE
Après avoir terminé sa formation de luthier en 2009, il a étudié au conservatoire en guitare classique pendant deux ans. Il a officiellement ouvert son atelier en 2011, mais il a fait un peu de lutherie pendant ces deux années et il a travaillé dans un magasin de musique ce qui lui a permis d’acquérir de l’expérience.
Comme il nous l’explique, le métier de luthier «peut se diviser en plein de sous-branches. Je suis spécialisé plus dans la lutherie de guitare, donc tout ce qui est instrument à cordes pincées.
Ça peut être aussi des basses,
des banjos, des mandolines, des ukulélés, guitares électriques, etc. Ce que j’aime c’est que dans ce domaine-là tu peux le diviser encore. Tu vas avoir le domaine de la fabrication d’instruments, de la restauration (donner une nouvelle vie aux instruments plus vintages) et d’optimisation (prendre une guitare commerciale et l’amener à son plein potentiel). »
SELON BAPTISTE GUILLEMIN, LE TEMPS ESTIMÉ POUR FABRIQUER UNE GUITARE DE A À Z SE SITUE ENTRE 250 ET 300 HEURES ENVIRON.
Sa clientèle est principalement composée de personnes à la retraite comme des hommes passionnés de musique et des musiciens professionnels âgés entre 25 et 45 ans.
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Teo Alletz, l’un des fondateurs de l’entreprise Teorem-art skateboards, dont le siège social est situé à Limoilou, nous parle de l’identité de la marque et des défis d’avoir une entreprise aujourd’hui.
Mélissa Gaudreault« L’idée a commencé en 2017. C’est un peu une histoire d’amitié. On s’est retrouvé à trois à Québec et on a décidé de concrétiser un rêve d’enfant. C’était de créer une marque de skates. On a travaillé là-dessus; on a fait un go-funding en 2020 qui a vraiment bien marché. »
Fait étonnant, les fondateurs sont tous français; ils sont arrivés au Québec il y a plus de 10 ans et habitent à Limoilou.
« L’idée, c’est une marque de skates qui est écoresponsable et on essaie de faire la plupart de nos produits dans la région de Québec ou au Canada. Les skates sont fabriqués à Québec avec de l’érable canadien et les vêtements sont fabriqués au Canada, en Ontario, et après ils sont transformés ici à Québec par notre couturière. Les casquettes sont faites ailleurs parce qu’on n’a pas encore trouvé quelqu’un qui en faisait au Canada. »
L’aspect écoresponsablese traduit ainsi par les matériaux utilisés et par les lieux de production qui sont soit au Québec ou au Canada.
L’entreprise n’est pas la seule à avoir adopter des pratiques plus vertes; on peut constater que le marché s’offre une transition verte pour lutter contre les changements climatiques, ce que Teo Alletz voit comme une bonne chose.
« Ça va amener de la concurrence c’est sûr, mais nous après on a quand même des bases solides. Notre entreprise a été basée là-dessus, on n’a rien à prouver à personne. Si toutes les entreprises deviennent vertes, c’est tant mieux. »
La marque est aussi très québécoise puisqu’elle fait affaire avec des fournisseurs (Jéricho et Arseneau) et des artistes locaux.
L ESPRODUITSETLAMARQUE
« À la base, on fabriquait les skates nous-mêmes. Moi j’ai une formation de luthier. Comme c’était un marché encore très peu développé, on a décidé de faire des skates
conventionnels que l’on retrouve un peu partout et de les faire fabriquer. Au début, c’était des longboards, mais après ça on a arrêté et maintenant c’est des skates traditionnels. On a arrêté de faire des longboards, parce que c’est moi qui les faisais et c’était pas facile à vendre parce qu’ils étaient chers. »– Teo Alletz
Teorem-art skateboards s’est associée à des artistes québécois, et plus précisément des tatoueurs, pour la réalisation des designs des produits; Richard (Culte tattoo), Féline, Marina Plamondon et Alexy Deschamps.
Les produits ne sont pour l’instant qu’offerts en ligne, mais il n’est pas impossible qu’il y ait un jour une boutique physique, qui serait aussi un lieu de rassemblement pour les amateurs de skate.
L’entreprise a aussi une équipe de skateurs, qu’elle commandite, qui skatent pour elle pour faire de la publicité à la marque et augmenter sa visibilité.
L ESDÉFIS
Comme bon nombre d’entreprises, Teorem-art skateboards doit relever plusieurs défis liés au marché.
D’abord, l’équipe souhaite s’implanter dans les commerces pour avoir plus de visibilité et augmenter leurs ventes, mais ce n’est pas une chose facile.
« Le problème des boutiques, c’est que généralement il y a peu de surface de vente et il y a beaucoup de produits, donc c’est compliqué de faire rentrer des nouveaux produits. Là où le covid nous a impacté un petit peu c’est que les magasins ont fermés, donc tout leur stock ont pas pu partir alors les gérants se sont retrouvés avec des surplus de stocks qui étaient pas vendus. C’est pour cela qu’il était impossible de faire rentrer des nouvelles marques ou des nouveaux produits. »– Teo Alletz
Il y a également la concurrence avec les autres marques de skates existantes implantées à Québec depuis déjà plusieurs années.
« On a été affecté un peu je dirais par l’inflation parce que la vie est plus chère, donc les gens dépensent moins ou alors pour des choses vraiment nécessaires. Nos prix à nous n’ont pas nécessairement augmentés plus que ça. Au niveau du covid, c’est sûr que nous on était juste en ligne, donc ça nous a pas trop impacté. »
Les skatestraditionnels se vendent 79,95 $+taxes, 89,95 $ pour le format plus large et quand on achète pour 99$ et plus de produits la livraison est gratuite. Les prix sont restés à peu près les mêmes que ceux du marché des dernières années.
La station de radio CKRL 89,1 fêtera ses
Le Pentathlon des neiges se tiendra du 18 au 26 février.
50 ans le 15 février prochain.
Un spectacle hommage intitulé Bye Bye Karim sera présenté au Grand Théâtre de Québec le 1er avril prochain.
LECOUPDECRAYONDE L UC S ANSCHAGRIN
Le Gouvernement du Québec octroie une aide financière de 40 M $ pour des projets qui contribuent à lutter contre la dégradation des réservoirs d’eau comme le Lac Saint-Charles.
Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) octroie
660000 $ au domaine des arts et lettres des MRC de la Capitale-Nationale.
Le grand retour du Tournoi de hockey Pee-Wee se fera du 8 au 19 février.
12H
Dans Saint-Roch, à la Charpente des Fauves, Le Pieu est un espace d’impression collectif et autogéré autour de l’édition et de la création visuelle.
Estelle Lévêque
Né d’une association entre les membres des collectifs Le Bestiaire et La Fatigue, le local met à disposition un espace et du matériel pour réaliser affiches, revues, zines, livres, et autres travaux d’édition alternatifs. Alors qu’ils prévoyaient de s’installer dans le VieuxLimoilou, les membres de l’OBNL ont finalement, par un joyeux hasard, trouvé un local au sein de la Charpente des Fauves. Situé au cœur du quartier StRoch, le lieu accueille créateurs et artistes de la ville de Québec.
« C’est un lieu vraiment effervescent. Il y a l’atelier de menuiserie en bas, il va y avoir un local de sérigraphie juste à côté, … On est vraiment contents d’être à la Charpente des Fauves» , explique Léa, de l’équipe du Pieu. L’atelier a terminé son installation le mois dernier et ouvrira ses portes officiellement à tous dans les semaines à venir.
L ANAISSANCEDUPROJET
Étudiants ou travailleurs, passionnés d’autoédition, les membres des deux collectifs notent un réel manque d’un lieu à Québec pour l’impression. «On allait à Montréal pour imprimer à l’université. C’est full coûteux d’imprimer à Bureau en gros, par exemple, et t’as pas le rendu que tu veux. Alors on a décidé de créer les ressources pour nous et notre pratique. »
Finalement, leur projet personnel prend rapidement la forme d’un atelier accessible à tous. Par le biais d’une campagne de sociofinancement, Le Pieu reçoit des fonds et un bel enthousiasme de la part du public. « La campagne nous a rapporté 20 000$ de contributions. Ça nous a permis de lancer le projet. On a pu acheter les machines, le matériel, payer le loyer, … C’était beaucoup de travail, mais ça en vaut la peine», se réjouit Léa.
Bien qu’il continue de se monter peu à peu, l’atelier est déjà équipé pour divers travaux d’impression et reliure. On y trouve trois imprimantes, un photocopieur, un traceur, une colleuse, une presse, un massicot. Petite cerise sur le gâteau: deux imprimantes risographes.
« C’est des machines qu’il y avait dans les écoles dans les années 70. Elles fonctionnent selon le principe de la sérigraphie, qui imprime par couches. Ça coûte vraiment pas cher à imprimer. Il y en a pas beaucoup, on était vraiment contents d’en trouver», explique Léa.
Bien que rien ne soit figé, les membres du Pieu envisagent de faire fonctionner l’atelier sur un principe d’abonnement mensuel. L’atelier se situe au 206, rue Christophe Colomb Est. Toutes les nouvelles, dont la date de la pendaison de crémaillère, sont annoncées sur la page Facebook de l’atelier.
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Pour découvrir, goûter et s ’informer!
ALIMENTATION SAINE · ÉCOLOGIE · SANTÉ GLOBALE
QUÉBEC 4-5 MARS
Centre des congrès
MONTRÉAL
17-18-19 MARS
Palais des congrès
Créatif, intime et accueillant, le restaurant Sinsemilla est un restaurant discret qui vaut le détour dans le quartier Saint-Jean-Baptiste.
Estelle Lévêque
Au 665, rue Saint-Jean, le Sinsemilla est un secret bien gardé de cuisine émotive. Ouvert en 2019, le restaurant
expomangersante.com
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a connu des années mouvementées, permettant au lieu de se forger une identité qui lui est propre. Méconnu des locaux, il offre une cuisine digne des plus grands restaurants, dans une ambiance agréable et sans artifices.
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CANNABISAU S INSEMILLA
Le nom évocateur et les articles parus à l’ouverture du
TOUS LES 2 JEUDIS À COMPTER DU 9 FÉVRIER 2023 ET CE JUSQU’À LA FIN MAI
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restaurant sont définitivement trompeurs. Alors que Samuel, le propriétaire, imaginait ouvrir un restaurant en lien avec le cannabis, il se réjouit maintenant de l’évolution de son projet. «Même si on le pouvait, on ne cuisinerait pas de cannabis. La formule marche trop comme c’est pour le moment. Maintenant, c’est plus un clin d’œil. La musique, la déco, le nom des drinks. Mais on veut pas que ça tourne juste autour de ça. »
Les confinements et fermetures répétées des dernières années ont permis à Samuel Blais et Jason Aubut (Bob), les propriétaires, de prendre une pause nécessaire. « Ça a été un mal pour un bien. On passait des journées ici à brainstormer sur ce qu’on voulait pour la réouverture. »
Menus à l’aveugle, cuisine fine, cocktails, vins naturels, : Bob et Samuel assurent alors l’ensemble des services, à deux, cinq soirs par semaine.
Depuis, Julien et Julien, sous-chef et sommelier, ont rejoint l’équipe. «On forme une belle chimie», affirme Samuel. «On travaille tous vers le même objectif : offrir aux clients la meilleure expérience possible. »
Au Sinsemilla, serveur ou cuisinier, propriétaire ou employé, chacun touche le même salaire et la même part de pourboire.
U NECUISINESURPRENANTE
ETRÉCONFORTANTE
Les plats du restaurant sont créés par Bob, le chef cuisinier. De ses expériences, d’un shack à patates à La Tanière, il n’a gardé que ce qui lui plaisait. «Le côté très rigide de la cuisine ne me plait pas, mais j’aime ce qui est dans l’assiette, dans la qualité. Je fais de la cuisine de feeling», explique-t’il.
Il s’inspire de plats populaires et les revisite avec des produits de qualité, une recherche dans les saveurs et les textures. «Je mélange le côté trash au gastronomique », poursuit Bob. «Les gens se disent: t’as fait une gaufre avec des champignons et du canard pis tu me dis que c’est un hot chicken? Puis tu le manges et tu fais « criss, je comprends.»
En conclusion, le Sinsemilla propose une cuisine à la fois surprenante, réconfortante et créative. Dans un cadre simple, l’équipe de passionnés vous accueille comme à la maison, en vous offrant des produits de qualité sur fond de musique reggae.
Pour suivre le Sinsemilla, visiter leur page Facebook ou leur site internet.
CRÉDIT PHOTO: ESTELLE LÉVÊQUE Samuel Blais et Jason Aubut, les propriétaires du Sinsemilla.Bien avant longtemps, la neige fondera et nous roulerons le genou au vent. Et pour se motiver un tantinet, rien ne vaut un nouveau vélo !
François GariépySi je vous parle de l’achat de vélo durant les grands froids d’hiver, c’est qu’il s’agit de la meilleure période de l’année pour compléter ou commencer sa vélothèque. Toute ma vie, j’ai acheté des vélos et une partie de celle-ci, j’en ai vendu et croyez-le, c’est la saison des deals qui débute et voici comment en profiter pleinement. Facile de comprendre que les marchands de vélos sont moins fréquentés l’hiver, ce qui donne un avantage au consommateur futé à l’affut d’une bonne affaire.
D’abord pour les chercheurs d’aubaines, il faut définir vos ambitions et le type de vélo qui convient. Montagne? Route ? Hybride ? Vélo à assistance électrique. Ensuite, faites la tournée des boutiques pour repérer les aubaines et connaitre les aléas du marché. Important de valider que le vélo soit de bonne taille, rien de plus pénible qu’un grand garçon qui se pédale dans les genoux ou une petite dame craignant son top tube à chaque arrêt. Ensuite, négocier le meilleur prix possible en gardant en tête que la marge de profit sur un vélo surpasse rarement 15%. Enfin, au moment de passer à la caisse, signifier
qu’il ne manque que des pédales, un casque ou tout autres accessoires qui vous manque pour conclure la transaction. Peu de chance que le commerçant refuse ou ne trouve pas une façon de clore l’affaire, les ventes sont rares en février.
Évidemment, si vous cherchez le vélo de vos rêves qui s’avère être un modèle millésime 2023 affichant un prix de détail suggéré qui semble à première vue difficile à négocier, il existe quelques pistes de solutions pour faire baisser le prix, surtout durant cette période postpandémique. D’abord vous montrer intéressé auprès du gérant du modèle qui vous fait rêver. Demander simplement la date de disponibilité en ajoutant que vous pourriez le réserver avec un dépôt moyennant une escompte ou mieux, une carte cadeau de 10% de la valeur de la bicyclette applicable sur certains accessoires, très probable qu’il accepte votre offre!
Enfin, concernant les vélos pour enfants, je vous suggère d’abord de magasiner à l’aide d’un pantalon pour mesurer la hauteur de fourche de votre héritière ou héritier, question de bien choisir la taille de celui-ci qui s’affiche en diamètre de roue, soit 12 pouces, 14 pouces, 16 pouces, parfois 18 pouces et 20 pouces, voire 24 pouces pour les presque-ados. Si vous optez pour les grandes surfaces, vous remarquerez que certains vélos jouets garniront les présentoirs. Méfiez-vous des ajouts plastiques qui garnissent certaines
bécanes en ajoutant du poids et privant d’une part d’agilité, rien ne sert d’avoir les contrôles d’un vaisseau spatial digne de Boba Fett pour apprendre à pédaler, tout comme une selle en forme de fraise ne vous rendre pas plus rapide. Aussi pour les parents sans outils, négociez à l’achat une visite subséquente le jour choisi pour se départir des roues d’appoints communément appelées «petites roues » au Québec.
En terminant, pour celles et ceux qui redoutent avec raison de laisser leur vélo dans le cabanon durant l’hiver ou même ceux qui détestent que les vélos soient entreposés dans la maison ou l’appartement, pourquoi ne pas négocier l’entreposage de votre monture pour quelques saisons ?
P ETER S AGANSHIFTEN
VÉLODEMONTAGNE
Le double vainqueur du Grand Prix de Québec, mais surtout triple champion du monde de vélo de route au sept maillots verts du Tour de France et autres, vient d’annoncer sa conversion au vélo de montagne de type cross-country en guise de chant du cygne avec une intention olympique pour 2024. Cette ambition obligera peut-être Sagan au rouler au Mont-Sainte-Anne le 7 octobre prochain lors du Vélirium pour gratouiller quelques points UCI lui permettant de se qualifier pour Paris 2024.
O UVERTUREDESPISTESNOIRES
DEFATBIKEAU L AC D ELAGE
Je le mentionne pour titiller les descendeurs en vélo de montagne qui ne roule jamais en hiver, la section du sommet d’E47 au Lac Delage est maintenant complétement ouverte pour les fatbikes musculaires et assistés. Sensations fortes garanties en empruntant la Mirador avec ses
intimidantes rampes de bois éparpillées sur 1.6 km à travers les virages, les sauts et même une drop avant la finale qui enchaine la Pad Religion. Pour plus de fluidité, c’est à la descente de la Godendard qu’il faudra basculer de revenir à la base. Possible de rouler tout cela dans le noir en fin de journée avec lumière au guidon, probablement le secret cycliste le mieux gardé à Québec. www.e47.com
Nous sommes fiers de vous annoncer le début des travaux d’agrandissement de la Seigneurie Coopérative Funéraire. La confiance dont vous nous avez toujours témoignée, nous incite à mieux vous satisfaire.
Notre principal objectif demeurera le même tout au long des travaux. Notre équipe fera tout en son pouvoir afin de préserver la qualité de tous les services durant cette période.
Soyez assurés que notre Mission « Le Respect avant tout » sera primordiale.
Denis Blackburn Directeur généralUne PIZZA de resto dans votre fourneau
Trouvez un de nos 400 points de vente tout près dans votre quartier en visitant
désirant o rir une VRAIE PIZZA de qualité qui FIDÉLISERA votre CLIENTÈLE sans avoir besoin de personnel spécialisé!
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DÉBUTANT il y a 30 ANS avec la PETITE PIZZERIA, je me suis tourné vers la pizza congelée en commençant par les vendre dans les BARS, DÉPANNEURS, ÉPICERIES et autres commerces sur les deux rives de la région de Québec.
Contrairement à cette mentalité omniprésente de vendre en VOLUME dans ce domaine, je serai toujours fier de vendre un PRODUIT et non un PRIX. Pour cela, tous mes détaillants paient le même prix, sans gratuité et sans spéciaux! Ceci est unique et possible grâce à la qualité exceptionnelle des pizzas que je leur o re.
Au GAULOIS, ce sont de vrais pizzamans qui façonnent les pizzas 100% à la main, qui les garnissent de vrai fromage mozzarella en couvrant totalement le fond de pepperoni en plus de faire mes recettes de pâtes et de sauces! Cela donne une pizza de restaurant beaucoup moins cher que sur le marché sans avoir à payer de taxes.
Tout cela pour que le client « TRIPPE » en mangeant ma pizza et en parle à ses COLLÈGUES ou dans sa FAMILLE. Je ne veux pas 10 clients qui en mangent une fois, mais 10 clients qui vont en faire une habitude.
J’ai un petit MESSAGE pour vous : En voyant ma PASSION, des gens qui ne mangeaient pratiquement pas de pizzas et surtout pas CONGELÉES, sont devenus de FIDÈLES CLIENTS!
Soyez assuré que mon épouse, tout notre personnel et moi-même mettons tout en œuvre pour vous satisfaire à 120%!
Jocelyn GallantPropriétaire depuis 1991
ACC. NORDIQUE 526, NORDIQUE, G1C 5T1
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DÉPANNEUR DE HONGWAI 121, RUEL, G1C 2E9
DÉPANNEUR DIONNE 39, RG ST-IGNACE, G1B 2J9
DÉPANNEUR LAFLEUR 3570, BOUL. STE-ANNE, G1E 3L8
DÉPANNEUR LE BUISSON 2, RUE GAGNÉ, G1B 1X9
ÉPICERIE JESSIKA 3392, CH.ROYAL, G1E 4E8
FRUITS ET LÉGUMES BEAUPORT
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MARCHÉ ÉVANGELINE 2431, EVANGELINE, G1E 1M6
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MARCHÉ PIE XII 7, ODETTE PINARD, G1E 2A4
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PROVISION RICHARD 3536, MGR GAUTHIER, G1E 4M6
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ACC. LOYOLA 3266, LOYOLA, G1E 2R8
DÉPANNEUR SHUN FA 3076, LOYOLA, G1E 2P8
DÉPANNEUR SHELL 3314, DU CARREFOUR, G1C 8B5
TABAGIE TREMBLAY 120, AVENUE ST -GREGOIRE
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LIQUIDATION MICHAUD 2966, BOUL. STE-ANNE
MARCHÉ RICHELIEU J.A.P. 5003, 4E AVENUE OUEST
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IGA EXTRA DES SOURCES
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ALIMENTATION NOURI-SOIR
20144, BOUL. HENRI-BOURASSA
PROXI ESSO N.D.L 20800, HENRI-BOURASSA
DÉPANNEUR BONI-SOIR 20335, BOUL. HENRI-BOURASSA
AXEP MARCHÉ BON PASTEUR 70, GEORGES-MUIR
PROXI TALBOT 2080, BOUL. TALBOT
METRO PLUS 891, JACQUES BEDARD
ACC. CHEZ DOUB 1011, JACQUES-BÉDARD
DÉPANNEUR BONISOIR 1551, BOUL JEAN-TALON O
POMME SALADE, 4145, 1RE AVENUE., QUÉBEC, QC G1H 2S2
IGA COOP 1244, BOUL LOUIS XIV
BAR DU ZOO 8102, AVENUE DU ZOO
BAR BILLARD BLOU 8500, BOUL. HENRI-BOURASSA
BAR 447 4680, 4E AVENUE EST
BILLARD ROYAL 905, DE NEMOURS
CHEZ PAUL 2060, CANARDIÈRE, G1L 2E6
ACC. RAPIDO 2290, BRUNEAU, G1J 2J9
ÉPICERIE PJ 1998, MAUFILS, G1J 4J7
ACC. REFLET DU QUARTIER 1496, CANARDIÈRE, G1J 2C6
ÉPICERIE TRINITÉ 1790, TRINITÉ, G1J 2M1
ACC. BILODEAU 403, DES CHÊNES EST, G1T 1K5
ACC. BR 1755, 25e RUE, G1J 1L7
ACC. MICHAUD 3195, 8e AVE, G1J 1G3
ACC. SOLEIL 2498, 4e AVE, G1J 3G1
ÉPICERIE MT THABOR 2223, MONT-THABOR, G1J 3W5
TABAGIE CLAIRBOURG 2815, 1ère AVE, G1L 3P1
ACC. 100 HR 3355, DUVAL, G1L 4P4
ACC. POPULAIRE 900, 3e AVE, G1L 2X2
DÉPANNEUR ARRÊT STOP 1295, 4e AVE, G1J 3B5
ALIMENTATION GD 500, 3e AVE, G1L2W3
MARCHÉ L’ESPINAY 98, L’ESPINAY, G1L 2H5
SUPER NUTRISOIR 444, 1ère AVE, G1L 3J8
PROXI ESS0 3e AVENUE 355, 3e AVE, G1L 2V9
ÉPICERIE J MARTEL 1575, DE MEULLES, G1L 4J9
CARTIER SIMON 1096, 1ère AVE, G1L 3K5
PROVIGO PASCAL BOURBOIN 2235, 1ère AVE, G1L 3M9
PROVISION ST-ODILE 137, DES CHÊNES OUEST, G1L 1K6
ACC. TI-BO 1997, 24e RUE, G1L 1P1
MARCHÉ ÉVANGELINE 2431, EVANGELINE, G1E 1M6
LIQUIDATION MICHAUD 1460, 1RE AVENUE
ALIMENTATION DE L’ANSE 95, DE LA POINTE-AUX-LIEVRES, G1K 5Y6
DÉPANNEUR «A» PLUS 605, BOUL CHAREST E, G1K 3J5
DÉPANNEUR ST-JEAN 210, RUE SAINT-JEAN, G1R 1P1
ÉPICERIRE SCOTT 505, RUE SAINT-PATRICK, G1R 1Y7
DÉPANNEUR MERICI 6, RUE DES JARDINS-MÉRICI, G1S 4N7
PROXI ST-PAUL 222, RUE SAINT-PAUL, G1K 3W4
TABAGIE ST-JEAN 620, RUE SAINT-JEAN, G1R 1P8
ÉPICERIE STE-CLAIRE 725, STE CLAIRE, G1R 1G8
PROVISIONS INC. 1115, AV CARTIER, G1R 2S6
ON CONNAIT LE TABAC 246, ST-VALLIER OUEST, G1K 1K2
ACC. CARL ÉRIC 39, ST-VALLIER OUEST, G1N 1G2
ACC. 7 JOURS 552, RUE PÈRE-GRENIER, G1N 1T8
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ÉPICERIE RICHARD 42, RUE DES JARDINS, G1R 4L7
ÉPICERIE ST-OLIVIER 200, RUE SAINT-OLIVIER, G1R 1G3
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DÉPANNEUR CHEZ RONALD 440, RUE PÈRE-MARQUETTE, G1L 4M2.
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Depuis 2016, Jiwan se fait peu à peu une place dans le milieu artistique de Québec. Ses œuvres, qui mélangent la sculpture à la broderie et l’art à l’artisanat, donnent vie à des scènes imaginaires et féeriques.
Estelle Lévêque
Originaire de Lévis, Jiwan Larouche a donné un tournant à sa vie professionnelle il y a quelques années. Alors qu’iel travaillait en traduction, le quotidien d’un emploi dans un bureau s’associe mal avec son besoin de créer, de s’occuper les mains. À partir de 2016, iel commence à faire des marionnettes et des décors de théâtre, accompagné.e de Pierre Robitaille, maître marionnettiste du théâtre Pupulus Mordicus. Ainsi, Jiwan participe, entre autres, aux productions du Diamant et du Musée de la civilisation.
Puis, l’artiste découvre la MMAQ (Maison des Métiers d’Art de Québec) et tombe en amour avec le lieu et la créativité qui s’en dégage. Iel se spécialise en sculpture, qui deviendra le médium central d’une grande partie de ses œuvres. En 2022, l’artiste a reçu
plusieurs prix de distinction et une bourse de projet avec Première Ovation.
L ES C ORPS P AYSAGES
En ce moment, l’artiste sculpteur.e travaille sur « Les Corps Paysages», un projet financé par la mesure Première Ovation. Celle-ci, née d’une association entre le ministère de la Culture et des Communications et la Ville de Québec, vise à soutenir les débuts artistiques des jeunes talents.
Sur une structure de métal, des corps moulés et sculptés s’étendent dans un décor de broderie, décoration, sculpture. Le travail de Jiwan rassemble l’art et l’artisanat. «On dirait que c’est un moyen de rassembler tout ce que j’ai fait», remarque Jiwan. « Ça fait partie de mon identité de mélanger les choses. Je suis pas une femme, je suis pas un homme, je suis une personne, je suis les deux. »
Cette œuvre, que Jiwan décrit comme une utopie saphique, prend la forme d’un endroit paisible, où se rassemblent toutes ces choses qu’iel aime. «C’est deux personnes sur un lit de nature, monté sur un lit baroque
essor.ca
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avec des pattes de chien, des ornements, des broderies. Je veux donner vie à tout ce à quoi je n’ai pas tout le temps accès à cause des nombreuses injonctions qui existent, de tout ce qu’on doit faire, tout ce qu’on doit payer. »
C RÉERUNELUEURD ’ ESPOIR
Exposée au Diamant, puis à la Charpente des Fauves et au Phoque OFF en février, l’œuvre «Les Trois Grâces »
CE SERVICE VISE À :
s’inscrit également dans cette démarche utopique. Jiwan Larouche souhaite parler de sujets actuels: du mouvement Queer, de santé mentale, des problèmes liés au patriarcat et au capitalisme. «J’ai envie qu’on se dise qu’on est capable de ne plus dire oui à tout ce qu’on nous impose, qu’on se dise qu’on a envie d’être libre », conclut l’artiste.
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Chiffre d’affaires, main-d’œuvre, retour de la clientèle : comment se porte le milieu de la restauration à la suite du « retour à la normale» de l’année 2022 ?
Estelle Lévêque
Ces dernières années, le visage de la restauration a évolué. Les propriétaires de restaurants ont dû fermer leurs établissements, s’adapter aux nouvelles mesures, rebondir, se réinventer. Au cours d’une entrevue avec Catherine Dionne-Foster, copropriétaire de la brasserie artisanale La Korrigane, on aborde les enjeux rencontrés en restauration en ce début d’année 2023.
U NEBAISSED ’ ACHALANDAGEQUIPERSISTE
On le sait, la pandémie a changé les habitudes de consommation. Alors que les dernières restrictions ont été levées en mars 2022, les clients ne sont pas encore complètement au rendez-vous. «Ça revient progressivement, j’ai bon espoir, mais on a quand même une baisse d’achalandage par rapport à 2019», affirme Catherine Dionne-Foster. Elle tente d’expliquer ce changement de plusieurs manières.
« Peut-être que les gens ont retrouvé le goût d’être à la maison, de cuisiner chez eux, pour leurs proches. Le contexte économique aussi: les prix augmentent, les gens font plus attention à leurs dépenses.» La propriétaire de brasserie artisanale mentionne également une plus grande difficulté à s’approvisionner: certains items se retrouvent plus régulièrement en rupture de stock, réduisant la variété de choix sur le menu.
L EMANQUED ’ EMPLOYÉSQUALIFIÉS
En effet, la pénurie aurait créé une vague de réorientation chez les professionnels de la restauration. Selon des statistiques d’Association Restauration Québec, en 2018, les métiers de la restauration représentaient 6,4 % de l’ensemble des emplois du Québec. En 2021, cette proportion est tombée à 4,3 %.
Enfin, la mise en lumière de la pénurie de main d’œuvre pourrait avoir un effet négatif sur l’emploi.
« C’est dans toutes les bouches et tous les journaux. On dirait que certaines personnes en profitent. Il y a une espèce de laxisme et de je m’en foutisme qui s’installe », déplore la propriétaire de la Korrigane. Elle se réjouit toutefois d’avoir, à l’heure actuelle, une équipe presque complète.
D ESPROJETSQUIVONTDEL ’ AVANT
Malgré une activité qui peine à retrouver son énergie prépandémie, la brasserie artisanale va de l’avant. Le projet d’oasis urbaine, sur lequel les propriétaires travaillent depuis plus de deux ans, sera inauguré à l’été.
« Quand on a acheté la bâtisse on voulait faire disparaître le stationnement. On s’est dit: pourquoi ne pas faire un parc disponible pour la communauté, les passants, les gens du secteur ? », explique Catherine Dionne-Foster.
En février 2020, Nature Québec lançait « À Vos Oasis ! », un appel à projets pour mobiliser le privé dans le verdissement des villes. L’organisme ainsi que la Ville de Québec ont ainsi subventionné le projet, destiné à apporter du vert dans le quartier Saint-Roch.
2020-12-09 4:48 PM Page 1
Plus qu’une pénurie de main-d’œuvre, la propriétaire de la Korrigane évoque la difficulté d’embaucher des professionnels de la restauration. De nombreux employés travaillent en cuisine ou en service en parallèle d’une autre activité. «Il y a toujours des gens qui cherchent un emploi, mais ce qui est difficile c’est de trouver du personnel de qualité, motivé, pro-actif. Avec une certaine expérience, aussi», déclare-t-elle.
« On est des amoureux de la nature, c’est notre façon d’apporter un peu de nature en ville. Tout le monde va pouvoir en bénéficier, s’asseoir manger son sandwich ou lire un journal, prendre une pause.» Une initiative largement bénéfique puisqu’une partie des récoltes sera distribuée à un organisme communautaire, une autre aux employés de la brasserie. Le lieu sera un point de chute pendant la période estivale pour les paniers bios du maraîcher La voie des jardins.
J’ai fait du ski de fond toute ma vie sans rien y comprendre. J’ai commencé, comme bien des gens, avec mes parents et mon frère quand nous étions jeunes et que c’était à la mode. Rapidement, j’ai préféré le ski alpin, mais j’ai toujours continué à faire du ski de fond à l’occasion. J’ai ainsi « skidefonné » un peu partout dans la région. J’ai découvert le camp Mercier, au mont Grand-Fonds, Duchesnay et plein d’autres endroits bucoliques. C’est un exercice plaisant à faire quand on ne se maltraite pas dans une côte qui monte comme la face d’un singe…
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Je n’ai jamais trop compris le concept de la cire sous les skis. Ou plutôt, je l’ai compris plusieurs fois et je l’ai oublié. Un peu comme la méthode pour faire une division à la main qu’on nous apprend au primaire. Quand on me le réexplique, ça me revient, mais ça repart aussitôt dans un racoin de mon disque dur passé date. Bref, j’appliquais ma cire un peu n’importe comment sur mes vieux skis, Fisher, achetés il y a une douzaine d’années et qui ont fait la « job » longtemps en étant ciré tout croche.
Ma blonde a pris goût au ski de fond durant la parenthèse pandémique, au point qu’elle préfère maintenant cette activité au ski alpin. Quand c’est possible, elle y va plusieurs fois par semaine. Il y a un an, lasse de cirer ses skis, tout croches, comme moi, elle s’est procuré des planches sans fartage qui lui conviennent à merveille. Elle skie depuis 2-3-4 fois par semaine sur le bord de la SaintCharles ou ailleurs et elle arbore un gros sourire quand elle le fait.
Lors d’une sortie où je l’ai accompagné l’an dernier avec mes vieux skis, j’avais mal choisi ma maudite cire et je collais littéralement à la piste. Elle déplorait un peu que je ne l’accompagne pas assez souvent et qu’elle allait devenir sans doute
trop bonne pour moi à la longue. Piqué au vif et, restreint par mon équipement de l’ancien temps, je me suis tanné moi aussi de farter mes skis tout croche. Croyant que la solution à mon désespoir, se trouvait dans la consommation, je me suis littéralement garroché à La vie sportive, car c’était le seul magasin qui avait des skis pour ma grandeur à ce moment. Conseillé par une jeune femme, qui n’y connaissait visiblement guère plus que moi, je me suis donc procuré des skis Salomon Skins, sans fartage, pour la modique somme de 350 $. Content de mon achat comme un enfant chez Costco, j’accompagne alors ma blonde et son sourire pour une sortie sur le bord de la rivière. Cette première est pénible et je chute maladroitement dans une toute petite pente de rien du tout au parc Cartier-Brébeuf. Mon équilibre est excessivement précaire avec ces « skins », alors que ça ne m’arrivait que rarement de tomber avec mes vieux skis. Je vais m’habituer me dis-je! Eh bien non! Quatre sorties plus tard, ma conjointe, découragée, me dit que j’ai encore l’air d’une fille de douze ans en talons hauts avec mes nouveaux skis. Chaque petite côte m’inspire maintenant une crainte qu’aucune pente ne m’a jamais inspiré en ski alpin. Excédé, je me demande si c’est mon âge ou si ce sont mes nouveaux skis ?
Pour en avoir le cœur net, je reviens à mon ancien kit que je farte encore tout croche et, magie, je retrouve mon aisance de skieur du dimanche et le plaisir qui vient avec. Alors je vais continuer comme ça finalement.
La morale de mon histoire est quand on est un pas bon du ski de fond comme moi, ben on va souvent plus loin avec des vieux skis auxquels on est habitué, qu’avec des nouveaux Salomon Skins performants qui se retrouveront bientôt sur Marketplace.
L’humoriste Michelle Desrochers, que certains reconnaitront peut-être du podcast de Mike Ward Sous écoute, de la compétition Le prochain stand-up ou de la deuxième saison de Big Brother Célébrités, seraà la Chapelle spectacles le 1er février et au Théâtre Petit Champlain le 9 février. Nous nous sommes entretenus avec elle afin d’apprendre à mieux la connaitre.
Mélissa GaudreaultQ U ’ EST - CEQUIT ’ AAMENÉÀ DEVENIRHUMORISTE ?
« J’ai étudié en littérature et en langues, donc c’est aussi l’utilisation des mots, mais j’ai plutôt cheminé vers l’humour parce que ça se prenait moins au sérieux et ça me permettait plus d’être moi-même. J’ai besoin d’aller sur la scène ou devant la caméra ou derrière un micro, de cette attention-là. »
D EQUOIPARLETONSPECTACLE ?
« C’est mon premier one woman show, donc c’est un peu une carte de visite pour me présenter. Sur scène, j’ai beaucoup tendance à parler de mon amour des collations, c’est mes observations du quotidien, ça parle de l’estime personnelle, il y a des anecdotes sur ma famille qui sont vraiment loufoques. C’est vraiment ça le message du show; c’est dans l’authenticité avec une touche d’autodérision. »
E ST - CEQUELESSPECTACLESDE Q UÉBEC
FONTPARTIED ’ UNETOURNÉE ?
« Le spectacle s’appelle En rodage, donc c’est tout ce qui précède la première médiatique du spectacle. Ça fait quand même beaucoup de fois que je fais le show. Il y a un spectacle le 1er février à Vanier et le 9 février au Théâtre du Petit-Champlain que j’ai déjà fait plusieurs fois. »
« Les shows, j’en ai fait tout autant. Le parcours d’un humoriste, on commence dans les bars, on bâtit notre 15-30-45-60 minutes de show. Mon spectacle est un peu en construction depuis que j’ai commencé à faire de la scène tandis que les autres projets ça se fait bien régulièrement, il faut accepter les propositions qui nous sont offertes et ces projets-là ont permis aux gens de me connaitre. C’est une occasion d’inviter les gens à venir me voir en spectacle et ma priorité a toujours été la scène. »
Q U ’ EST - CEQUETUAIMESDELASCÈNE ?
« J’aime beaucoup la scène, parce que c’est un contact direct avec les gens, mais c’est vraiment que j’ai développé une passion pour la télévision et la radio, plus que j’aurais pensé. Sur scène, ce qui remplit beaucoup mon spectacle c’est l’impro, parce que je viens du monde de l’impro. »
Q U ’ EST - CEQUITEPOUSSEÀ
T ’ IMPLIQUERDANSUNPROJET ?
« Mes projets préférés c’est quand quelqu’un a pensé à moi. C’est le fun quand quelqu’un a écrit un rôle pour toi ou quelqu’un a pensé à toi pour un truc, mais moi je pense que c’est l’intensité d’un projet qui me fait accepter. »
À QUOIRESSEMBLELEPROCESSUSPOUR ÉCRIREUNSPECTACLED ’ HUMOUR ?
« Le spectacle se construit parfois sur des années. On pratique dans les bars, on teste des numéros, souvent on va enregistrer et réécouter. Chaque humoriste a sa façon de faire; moi j’écris souvent sur scène en mode impro. Ensuite, on réécoute, on garde les idées qui sont bonnes et on l’améliorer. Je me promène un peu partout au Québec pour faire mon spectacle et s’assurer que c’est des blagues qui sont drôle dans toutes les villes et pour tous les publics. À la fin de ça on fait une première
médiatique ou où on présente le spectacle à l’industrie et aux médias dans le but de partir en tournée le plus longtemps possible et tant que ça fonctionne on ajoute des dates et on fait le show. »
G ARDES - TUPARFOISDESBLAGUESMOINS
DRÔLES , MALAISANTES , TOUCHANTES …?
« On vise toujours ce qui est vraiment drôle, mais c’est intéressant dans un spectacle de plus d’une heure d’avoir un numéro qui change le rythme, de créer un moment ou d’avoir un silence. Dans mon spectacle, il y a peut-être un numéro plus honnête et plus frappant sur l’image corporelle. »
Q U ’ EST - CEQUETUAIMESDELA
V ILLEDE Q UÉBEC ? Q U ’ EST - CEQUI LADISTINGUEDESAUTRESVILLES ?
« Je trouve qu’à Québec les gens ont une ouverture à des styles d’humour différents et la variété de mon public. Je sens que je peux faire de l’humour plus intelligent, plus authentique et plus croustillant. »
Dans le cadre du Carnaval de Québec, on peut admirer de magnifiques sculptures de glace un peu partout dans les quartiers centraux de la ville. Cette sculpture d’une paire de patins représente bien l’hiver, le Québec et même le sport d’hiver typique du Québec, le hockey. On peut l’admirer devant l’Hôtel de Ville.
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L’exposition De Ferron à BGL, présentée au Musée national des beaux-arts de Québec (MNBAQ), montre l’évolution des pratiques artistiques québécoises des années 1960 jusqu’à aujourd’hui.
Mélissa GaudreaultL E L USTREDE C LAUDIE G AGNON
Le jeu de couleurs, l’agencement des pièces et la perspective à travers laquelle nous est présentée l’œuvre nous fait oublier que le lustre est en fait composé de vaisselle et montre que l’art contemporain est basé sur la simplicité et met parfois en scène des objets du quotidien.
Pour Étienne Grandmont, député de Taschereau, le tramway doit se réaliser «coûte que coûte ».
Bon. On était habitué à plus de rigueur de sa part, mais faudra s’y faire.Il arrivera parfois que Grandmont préfèrera dire quelque chose de niaiseux afin de prioriser la stratégie politique de son parti: taper sur la CAQ dès que l’occasion se présente. En disant qu’il faut aller de l’avant, quoi qu’il en coûte, le député se distingue ainsi de l’adversaire et croit mettre la pression sur le gouvernement. C’est exactement l’inverse qui s’est produit.
D ANSLECYLINDREDE R AYMOND G ERVAIS
On remarque tout de suite que le phonographe a la même forme que la tornade représentée sur le tableau, ce qui créé un effet de continuité. On a aussi l’impression que l’instrument va aspirer la tornade, ce qui amène du mouvement, et c’est ironique si l’on pense au fait qu’il se ferait aspirer en une seconde par la tornade en réalité.
F ACTIONFACTICEDE M ICHEL G OULET
Le contraste des objets est frappant dès le premier coup d’œil et l’œuvre peut être interprétée de plusieurs manières. Elle illustre la précarité des choses, l’équilibre fragile, l’intellect, la violence, la culture et la conformité.
Il a réussi à faire dire la même chose au maire Marchand et au ministre député de la CAQ, Jonatan (pas de h) Julien : un tramway, oui, mais pas à n’importe quel prix. Il s’est donc isolé de ceux qui veulent se présenter comme étant des gestionnaires « rigoureux », « responsables » et «conscients de la capacité de payer des Québécois». C’est donc QS qui se retrouve avec l’étiquette de ceux qui veulent dépenser sans compter. C’est le jeu politique, dans sa plus simple expression.
Il reste que la question se pose: jusqu’où faut-il aller dans la dépense pour réaliser le tramway ? Ce n’est pas si simple. Aucun « maximum » ne sera avancé. Il faut garder les options ouvertes.
C’est pour ça que le ministre Julien s’en sort avec le «juste prix». C’est effectivement ce qui sera recherché par les acteurs politiques dans le dossier du tramway. On sait que ce sera cher, très cher, mais on souhaite que ce «très cher» soit justifié, qu’il soit considéré comme étant « juste », malgré l’énormité du chiffre en bas de la facture. C’est
ainsi qu’on pourra, croit-on, faire passer la pilule auprès du public payeur.
On va donc demander des comparables, essayer de voir si le prix est concurrentiel (comprendre ici qu’une lutte entre concurrents pour le contrat aurait conduit à un prix plus « abordable »), voir si le prix n’est pas surgonflé aux stéroïdes du prétexte commode de l’inflation qui permet tout et n’importe quoi.
Pas si simple, disais-je? C’est surtout parce que la concurrence... est rarissime. C’est là où la pression est énorme sur les élus. Marchand a beau dire que ses négociateurs «font suer» celui qui se trouve en face pour le pousser à négocier à la baisse, l’exaspération pourrait conduire celui qui sue à lever le camp. Ce seraient alors les élus qui se retrouveraient à la case départ. Ça ne parait jamais bien.
Il y a une pression énorme, c’est évident, de réaliser le tramway. Il a été promis, il est vendu par les communications tous les jours... alors, faire patate n’est assurément pas le scénario en haut de la liste de Québec. Alors, on négociera, le plus durement possible, sachant aussi qu’une entreprise qui lâcherait ses clients n’aurait pas bonne presse non plus. Les deux ont donc intérêt à s’entendre.
Vous le voyez néanmoins venir: on avalera la facture, en souriant pendant la conférence de presse, en se serrant la main, sourire coincé en prime. Mais, ça passera fort mal dans la gorge. Parce qu’on saura que le «juste prix» est bien au-delà de ce qu’on avait envisagé, même le plus sérieusement du monde...
Plus de 5000 ans naissait le long de la vallée du Nil une civilisation grandiose, mais également une des plus mystérieuses. Nous connaissons tous les pyramides, le sphinx et Cléopâtre, mais que savons-nous vraiment de l’astronomie en Égypte ancienne? Quel rôle important a eu étoile Sirius dans la mesure du temps? Quel est le mystère qui entoure la précision des monuments égyptiens ? Je vous invite dans cette chronique à un voyage dans le passé à la découverte des mystères de l’Égypte ancienne.
L’astronomie avait une très grande importance pour la civilisation égyptienne, tant d’un point de vue religieux que dans l’organisation de la vie de tous les jours, en particulier dans la mesure du temps. Le peuple égyptien vivait au rythme de son fleuve leNil et de sa crue annuelle. Fertilisant les terres et apportant la vie, cette crue était très importante pour les Égyptiens. Pour connaitre la date, cet évènement a chaque année, ils remarquaient que l’apparition de l’étoile Sirius au-dessus de l’horizon terrestre à l’aube se produit approximativement à tous les 365 jours et coïncidait avec le débutde cet évènement. Le premier jour de l’année est fixé au premier jour de la crue du Nil (20 juillet de notre calendrier). Pour mieux se retrouver dans la voûte céleste et mesurer le passage du temps, ils découpèrent le ciel en petits groupes d’étoiles bien reconnaissables qui se levaient les uns après les autres au cours de la nuit.Les Égyptiens sontà l’origine du calendrier solaire et de la division de la journée en 24 heures.
L ESMONUMENTSÉGYPTIENS
La fascination des Égyptiens pour le ciel s’est aussi traduite dans l’architecture de certains de leurs monuments. Par exemple, les grandes pyramides de Gizeh sont alignées sur les quatre points cardinaux
avec une grande précision. Avec le décalage du ciel étoilé, le nord de l’époque n’était pas dans la direction de l’étoile Polaire actuelle, mais dans celle de l’étoile Thuban, dans la constellation du Dragon.
L ESÉTOILES
Les anciens Égyptiens les appellent les impérissables, car la plupart des étoiles qu’ils voient dans le ciel réapparaissent d’une nuit à l’autre.La Voie lactée était pour les anciens Égyptiens une sorte de Nil céleste et les planètes du système solaire avec leur déplacement rapide dans notre ciel étoilé ont été appelées « les étoiles qui ne se fatiguent pas
C ONFÉRENCE : A STRONOMIEETMYSTÈRES
AUTEMPSDESPHARAONS
Prenez une pause de votre quotidien et remontez le temps pour vivreau temps des pharaons. Passionnés d’Égypte antique et de ses mystères joignez-vous à Éric Gagnon, communicateur scientifique, lors de cette présentation multimédia le 18 février à 13h30 au Musée de la civilisation. Amusante et accessible à toute cette conférence vous guidera dansl’une des plus mystérieuses civilisations de l’humanité: celle de l’Égypte pharaonique. Préparez-vous à découvrir des faits inusités sur cette époque fascinante.
Avertissement : Si vous ressentez subitement l’envie de visiter l’exposition au temps des pharaons, après avoir participé à cette activité, rassurez-vous: c’est normal.
Du 27 octobre 2022 au 12 mars 2023 il est possible de visiter cetteexposition au Musée de la civilisation qui regroupedifférents objets de cette grande et mystérieuse civilisation.
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NOUVEAUDÉLAI 31JAN.2018
Julien Harvey est le fondateur et propriétaire de l’entreprise Canotàglace expérience, lancé à l’hiver 2019, qui propose une initiation à cette activité et toute une expérience hivernale unique.
Mélissa Gaudreault
C’était tout naturel pour Julien Harvey de créer une entreprise qui offre des excursions en canot à glace puisqu’il pratique cette activité depuis très longtemps.
« Le canot pour moi c’est familial. Mon père en a fait, mon grand-père en a fait, la famille est originaire de l’Île-aux-Coudres dans Charlevoix. Je voyais mon père partir avec son canot et son équipe quand j’étais petit.
C’est un endroit où traditionnellement le canot a été utilisé pour traverser des gens, des biens, aller chercher la poste avant qu’il y ait les bateaux, les hélicoptères. Moi j’en ai fait en compétition pendant une dizaine
d’années à peu près. […] J’ai commencé quand j’avais 19 ans. […] C’est quand même exigeant. C’est de former une équipe, s’entrainer, réparer son bateau, trouver des commanditaires et c’est un peu moi qui s’occupait de tout ça. »
L’ ACTIVITÉ
L’activité proposée par l’entrepreneur est bien différente du sport de compétition que l’on connait. Ce dernier voulait faire découvrir le canot à glace et rendre cette discipline accessible à tous. Elle fait un peu penser à l’aviron, qui comporte aussi une longue embarcation, de longues rames, des sièges coulissants et qui imite le même mouvement de rameur.
« […] On est cinq personnes dans une embarcation, c’est une embarcation qui a 28 pieds de long. C’est une adaptation de la pratique utilitaire qu’on avait à l’époque de la Nouvelle-France de traverser entre
les deux rives. Ça a évolué en pratique sportive. […] Le Carnaval est arrivé dans les années 1950 et c’est là que ça a commencé et ça n’a jamais arrêté depuis ce temps-là. Aujourd’hui, on a ces bateaux qui sont faits pour aller sur les glaces. T’as deux façons de pratiquer le canot: à la rame et en trottinette. La trottinette c’est le mouvement de pousser le canot sur les glaces, donc on a une jambe à l’intérieur et une jambe à l’extérieur qui pousse avec des crampons aux pieds et ça fait glisser le canot qui est farté comme un ski de fond. »
– Julien Harvey
L’activité est offerte de décembre à mars.
L’ EXPÉRIENCE
L’activité ne se résume pas uniquement à la sortie en canot à glace.
C’est une réservation d’une demi-journée (il y en deux par jour). Les gens arrivent,
s’habillent, les guides leur expliquent le fonctionnement, ils font la sortie d’environ une heure avec une pause chocolat chaud à la moitié, et reviennent au site pour un après-canot.
L’entreprise offre des petites bouchées et de la bière pour ceux et celles qui veulent allonger l’expérience. Elle a même un nouveau partenariat cette année avec la microbrasserie Emporium.
Les gens peuvent aussi profiter de rabais sur l’activité lorsqu’ils la combine avec une autre activité comme une visite au Strøm spa ou à la microbrasserie Emporiumpour ne nommer que celles-là.
Fait cocasse, une bière a été conçue par la microbrasserie LaSouchespécialement pour représenter l’activité, intitulé les Canotiers aux pieds gelés, dont l’illustration a été réalisé par l’artisteFélix Girard.