Devant les mosquées
Figure 66 : illustration personnelle
Liée à des infrastructures de voirie
Dans un terrain à ciel ouvert près des habitations autorisées ou non autorisées
Figure 67-1 : illustration personnelle Figure 67-2 : Souk rue Ejazira
Figure 68 : illustration personnelle
6- Le rôle de la pratique socio-spatiale dans la sociabilité : Dans le mémoire de l’architecte Rouidi Tarek « Les pratiques sociales et leurs impacts sur l’espace de l’habitat individuel en Algérie cas du lotissement Bourmel 4, Jijel » l’architecte définit les pratiques de sociabilité comme suit : c’est « une manière de faire, c’est-à-dire une action individuelle ou collective socialement transmise ou envisagé dans un contexte social ». Ses pratiques assurent l’intégration de l’individu au sein de sa communauté et son appartenance d’où sa sociabilité. Les pratiques socio-spatiales présentent une relation entre la structure sociale et la structure spatiale à travers les rapports qu’entretiennent les groupes dans cet espace, qui est considéré comme étant une composante fondamentale pour la vie sociale. Le sociologue Jean Rémy qualifie l’espace comme suit : « loin de se réduire à un simple décor, l’espace est porteur d’enjeux » (P.34)
De nos jours on parle du phénomène de ségrégation socio-spatiale dans un tissu urbain d’une ville. Cette fragmentation est définie comme étant « une séparation subie de groupes sociaux dans l’espace » * c’est-à-dire l’inégalité des chances d’accès aux biens matériels et symbolique de la ville. Il s’agit d’une vraie problématique vu son impact sur les comportements et les rapports spatiaux au sein d’un groupement d’individus.
Le sociologue et urbaniste William H. Whyte a défini dans sa recherche « L’ambiance et la sociabilité : une approche à travers l’espace public » les facteurs fondamentaux dans un espace public afin d’assurer sa relation avec la sociabilité tel que :
Le marché : un espace multidimensionnel
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