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ZO SKIN HEALTH ARRIVE AU MAROC

En matière de soins de la peau, GuessClinic fait confiance à la marque de produits dermatocosmétiques Zo® Skin Health, qui vient étoffer la panoplie de soins thérapeutiques et de produits de prescription. Une référence dans le milieu esthétique. Présentation.

CAROLINE DELAJOUX

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Créée en 2006 en Californie par le Dr Obagi, dermatologue américain de renommée mondiale, la marque Zo® Skin Health se dé nit comme une ligne de produits dermatologiques et scienti ques classée haut de gamme par la qualité et le choix des composants. La molécule phare de cette gamme est le rétinol ou Vitamin A, acide connu par pour son e et anti-âge, anti-oxydant et stimulant les défenses naturelles de la peau. Outre le rétinol, la marque utilise une multitude de produits de référence comme la vitamine C, des lipopeptides, des acides aminés, des protéines biomimétiques, des enzymes spécialisés… Le concept de la marque s’articule sur trois étapes de soins (“Getting Skin Ready”, “Prevent + Correct” et “Protect”) et repose sur des fondamentaux tels qu ’une technologie puissante, le savoir-faire et la formation des praticiens. Par une combinaison intelligente et exclusive de ses composants, Zo® Skin Health propose une gamme très large de produits cosmétiques et dermatologiques qui répond à de multiples besoins adaptés à chaque problème.

SOINS SKINCARE ROUTINE

Ce sont les soins quotidiens et se font en trois phases : nettoyer, exfolier et réguler le sébum, la base commune de tous les programmes.

SOINS HYDRATANTS ET APAISANTS

Ils comprennent des composants phares qui boostent les cellules de l’épiderme en profondeur, la production de collagène et revigorent l’hydratation naturelle de l’intérieur.

SOINS CORRECTEURS D’IMPERFECTIONS

Il s’agit de soins adaptés qui permettent d’assainir la peau, d’améliorer sa texture et de la débarrasser de ses imperfections : rougeurs, pores dilatés, points noirs…

SOINS ANTI-ÂGE

Conçus pour retarder les premiers signes de l’âge, ils o rent une prise en charge complète adaptée à chaque phase du vieillissement (prévention, peaux jeunes et peaux matures).

SOINS CLARIFIANTS

Destinés à réduire l’hyperpigmentation, ils permettent d’atténuer les taches brunes a n d’homogénéiser le teint et de retrouver un coup d’éclat.

SOINS ANTI-ROUGEURS

Ils traitent les peaux sujettes aux rougeurs a n de les apaiser et de leur donner un aspect uni é et un éclat lumineux.

LES SOINS POUR LE CORPS

Il s’agit de produits spécialement conçus pour améliorer la texture, la fermeté, le teint et la santé cutanée corporelle.

#zoskin #retinol #skincareroutine #soinshydratants #soinsantiage#soinsclari ants #guessclinic La gamme Zo® Skin Health est à découvrir chez Guess Clinic. www.zoskin.guessclinic.com

MOHAMED GUESSOUS LE SPÉCIALISTE DE LA BEAUTÉ

Après plus de vingt-cinq années de pratique, ce chirurgien spécialisé et certifié en chirurgie plastique et esthétique fait partie des praticiens les plus reconnus au Maroc comme à l’étranger. À la tête de la célèbre GuessClinic depuis une dizaine d’années, nous avons rencontré ce professeur reconnu pour son profes-sionnalisme et la qualité de ses interventions afin de faire le point sur les dernières tendances et avancées destinées à satisfaire tous les besoins en matière de beauté.

CAROLINE DELAJOUX

Médecin consciencieux, chirurgien passionné et talentueux, le Dr Mohamed Guessous a suivi un enseignement complet, d’abord en milieu hospitalo-universitaire puis dans d’éminentes cliniques privées en France, en tant qu’interne puis résident en chirurgie générale et maxillo-faciale avant de se spécialiser en chirurgie plastiqueet esthétique, fi dèle à sa passion. Lauréat du Collège français de chirurgie plastique et esthétique à Paris, ses connaissances de praticien et de clinicien, approuvées par les autorités médicales, lui ont permis d’obtenir l’aval de la commission du ministère de la Santé et d’être qualifi é par l’Ordre des chirurgiens esthétiques. À la tête de la Guess Clinic depuis plus de dix ans, le Dr Mohamed Guessous reçoit aujourd’hui de nombreux patients aussi bien marocains qu’étrangers. Depuis sa création, cet établissement unique au Maroc, répondant aux normes internationales, n’a en eff et cessé d’intégrer les procédures et technologies les plus pointues afi n de satisfaire tous les besoins en matière de beauté. Si la chirurgie esthétique reste le cœur de métier, avec la liposculpture de la silhouette, l’embellissement et le rafraîchissement du visage, les techniques noninvasives retardant le recours au bistouri sont aujourd’hui privilégiées : ses concepts novateurs et sa notoriété lui ont valu d’être adulé par les télévisions françaises (TF1, France 2, M6…) et d’être très suivi sur les réseaux sociaux.Quelles sont les dernières nouveautés et les nouvelles tendances pour 2021 au Maroc et dans le monde? Tour d’horizon sur la chirurgie esthétique avec celui qui n’a de cesse de contribuer à l’épanouissement de ses patients, tant physique que psychologique.

Quel est l’état des lieux du milieu de la chirurgie esthétique au Maroc en 2021 ?

L’esthétique est fondamentale chez nous, elle est ancrée dans notre culture et nos traditions. La femme marocaine cultive la beauté et la coquetterie depuis son enfance. Recettes traditionnelles et techniques naturelles se transmettent de mère en fi lle et traversent même les frontières (rituel du hammam, bienfaits de l’huile d’argan, du savon noir, du ghassoul...). L’esthétique médicale a donc trouvé un terrain culturel favorable puisqu’elle est venue compléter cette off re traditionnelle. Il faut aussi savoir que cette discipline médicale ne date pas d’aujourd’hui puisque dès les années 50, de grands chirurgiens français et marocains opéraient au Maroc. Nous, les chirurgiens contemporains, avons repris le fl ambeau de cette spécialité. Ainsi, au fi l des ans, la chirurgie esthétique marocaine s’est imposée comme une référence car nous avons réussi à développer nos techniques et nos concepts selon la demande de nos patientes. Des concepts qui se sont par la suite exportés et qui sont devenus un modèle à suivre. De même, l’infrastructure médicale dans ce domaine s’est largement développée ces dix dernières années avec l’apparition de nouvelles cliniques spécialisées équipées des dernières technologies les plus novatrices, à la pointe de ce qui existe à l’heure actuelle aussi bien dans le domaine de la médecine esthétique, la chirurgie assistée par les nouvelles technologies, que la médecine régénérative.

Les pays du Maghreb connaissent une importante

demande en matière de tourisme médical or le Maroc semble être une destination moins prisée que la Tunisie ou la Turquie par exemple. Comment l’expliquez-vous?

La clinique reçoit la moitié de sa patientèle des pays avoisinants ou plus lointains mais je ne considère pas que nous fassions du tourisme médical. Ce sont deux idées complètement distinctes. Historiquement, le Maroc est une destination de chirurgie esthétique depuis 40 ans pour des raisons de compétences, de proximité culturelle et géographique avec l’Europe. Le tourisme médical, quant à lui, est une stratégie gouvernementale de certains pays. Les pays que vous avez cités s’inscrivent dans le “low cost” gérés par des agences touristiques avec des conséquences que nous connaissons.

Quelles sont aujourd’hui les opérations les plus demandées selon le genre et la tranche d’âge?

Ces dernières années, nous avons assisté à un changement radical concernant la demande en médecine et chirurgie esthétique, ainsi que les modèles de référence et standards. Il y a 10 ans, le profil de la patiente type était une femme jeune dans sa trentaine qui souhaitait réparer des dégâts corporels causés par des grossesses ou des variations pondérales. Il s’agissait alors de plasties du ventre et des seins ainsi que des liposuccions. Aujourd’hui, grâce à de nouvelles techniques permettant de réinjecter de la graisse dans les fesses ou encore de rétracter la peau, ce sont actuellement de très jeunes femmes, âgées de 20 à 25 ans, qui viennent nous consulter, dans l’optique de transformer leur silhouette. Mais parfois, ces demandes sont surréalistes, les patientes viennent persuadées que tout est possible et qu’on peut dessiner une silhouette “à la carte”. Il est vrai que nous pouvons réaliser des prouesses mais tout n’est pas possible, c’est pour cela que la consultation est très importante.

Quelles sont, selon vous, les raisons qui expliquent ce phénomène?

Dans le cas de la liposculpture, il est vrai que le résultat est plus joli chez une patiente jeune, dotée d’une peau de bonne qualité qui n’a pas eu de grossesses et qui a un poids correct. En effet, dès la puberté, le corps se transforme, et certaines zones de graisse localisée commencent à apparaître. Cette graisse d’origine génétique va se développer progressivement avec les cycles menstruels, les grossesses, les allaitements... La liposculpture faite à un jeune âge va donc permettre d’éliminer cette graisse localisée pour sculpter le corps de façon harmonieuse et définitive. Cette tendance s’explique notamment par les réseaux sociaux qui envahissent notre quotidien et influencent considérablement notre rapport avec les autres. On est dans l’ère du paraître, le nombre considérable de photos et de selfies qui circulent chaque jour imposent à chacun de nous un diktat de l’image, aussi bien en société qu’en milieu professionnel. La nouvelle génération est donc plus sensible au fait de préserver son image.

Y a-t-il également une augmentation de la demande chez les hommes?

Pour des raisons culturelles, le rapport de l’homme marocain avec la médecine esthétique est encore tabou. Malgré ça, de plus en plus de patients ont recours à certaines techniques de médecine et chirurgie esthétique. Chez les jeunes, la liposculpture est très en vogue ainsi que la gynécomastie (ablation des seins). Chez les moins jeunes, il s’agira plus d’entretenir le capital beauté et le capital jeunesse à l’aide de méthodes douces non contraignantes (PRP, Morpheus, injections, Nanofat cellules souches) qui ne nécessitent pas d’arrêt de travail étant donné que ce sont principalement des personnes actives. En matière de greffe de cheveux, la demande est majoritairement masculine.

La tendance actuelle est à l’acceptation de soi, au naturel et au body positive. Constatez-vous un impact significatif au niveau de la demande?

Oui en effet, l’acceptation de soi est une bonne philosophie dans la vie, néanmoins il ne s’agit pas de se laisser aller et de laisser faire la nature. Toutes les méthodes wellness imposent un effort pour se surveiller et s’entretenir. La médecine et la chirurgie esthétique s’inscrivent dans le même esprit d’entretien, de maintenir et de préserver le capital jeunesse et beauté.

Vous proposez également des actes de médecine esthétique au sein de votre clinique. Cette alternative à la chirurgie connaît-elle un engouement? Dans quelles proportions?

L’engouement des patientes pour les méthodes non chirurgicales est indéniable. Il s’agit en effet de techniques douces, légères, mini-invasives, qui offrent des résultats impressionnants. Tout cela a été permis par l’introduction des nouvelles technologies qui ne cessent de se développer à une vitesse accrue. Dans notre clinique, nous avons suivi cette tendance et nous adhérons parfaitement à ce concept, dans la mesure où nous sommes à l’affût des techniques les plus récentes afin de nous équiper des toutes dernières technologies. Néanmoins, il est important de noter que les techniques chirurgicales se sont elles aussi adoucies, les méthodes sont moins agressives. En effet, la chirurgie a vu son champ d’action fortement se réduire au détriment des méthodes utilisant des machines. Mais dans la pratique, la frontière entre la chirurgie et la médecine est très ténue, ces méthodes sont souvent combinées simultanément ou successivement.

Que pensez-vous de ces nouvelles techniques? Quels sont leurs avantages et leurs inconvénients?

La dualité entre la médecine et la chirurgie esthétique n’existe pas. Chacune a ses résultats propres et ses propres contraintes. Le choix se fait selon les préférences de la patiente, ses obligations sociales ainsi que son besoin précis. À titre d’exemple, dans le cas d’un relâchement du visage, plusieurs choix s’offrent à nous. Si la patiente est âgée de 35 à 40 ans, nous proposerons un remodelage du visage par injection d’acide hyaluronique pour reconstituer les volumes ou la mise en place de fils tenseurs. Ceci permettra un résultat immédiat naturel, sans éviction sociale, mais l’effet ne durera que quelques mois à un an. Dans le cas où la patiente a 45 ans, nous combinerons des techniques de rétraction cutanée telles que le Facetite, le Morpheus et la régénération tissulaire.

Quels conseils donneriez-vous à une personne avant de procéder à tout acte de médecine et de chirurgie?

Mon conseil premier est de s’adresser à un professionnel c’est-à-dire un médecin spécialiste en qui on a confiance, dont on est sûr de ses compétences et de son savoir-faire. Pour le trouver, il faut prendre le temps de faire des recherches, de recueillir plusieurs avis de médecins différents pour choisir celui avec lequel on est le plus à l’aise. Il est important en effet de se tourner vers quelqu’un qui prend le temps de bien nous expliquer la procédure, de répondre à nos interrogations, qui sait dire non lorsque ce que l’on demande n’est pas réalisable, etc. Il faut également faire attention à ne pas suivre les recommandations insistantes de personnes qui ne sont pas de confiance, ni aux noms cités trop souvent sur les groupes Facebook. Bien souvent, ce sont des assistantes qui se cachent derrière ces recommandations, animées par des intérêts commerciaux.

“AUJOURD’HUI, LA FRONTIÈRE ENTRE LA CHIRURGIE ET LA MÉDECINE EST TRÈS TÉNUE, CES MÉTHODES SONT SOUVENT COMBINÉES SIMULTANÉMENT OU SUCCESSIVEMENT.”

#drguessoumohamed #guessclinic

LA TECHNOLOGIE AU SERVICE DE L’ESTHÉTIQUE

Conférences ou consultations en ligne, machines hightech et thérapie cellulaire... aujourd’hui plus que jamais, la technologie s’impose comme une alliée de choix dans le domaine médical et esthétique. Pour en savoir plus sur les innovations actuelles mais aussi celles du futur, nous avons consulté le docteur Mohamed Guessous, chirurgien esthétique à la tête de GuessClinic, établissement de référence doté des technologies les plus efficaces et les plus innovantes.

CAROLINE DELAJOUX

Ces dernières années, les nouvelles technologies ont littéralement révolutionné le monde de la beauté et de l’esthétique en repoussant de manière considérable le champ du possible. Aujourd’hui, les mains du chirurgien et du médecin esthétique sont accompagnées par des outils et des appareils ultra-performants tandis que les technologies de l’information permettent à un patient de parler directement avec son chirurgien, même à des milliers de kilomètres par le biais d’une consultation WhatsApp, ou de faire un contrôle post-opératoire de la même manière. Pour cause de pandémie, les séminaires et congrès médicaux sont actuellement 100 % digitaux et ont lieu sur Zoom ou sur d’autres plateformes spécialisées. En clair, nous assistons à une transformation radicale dans la pratique médicale de manière générale avec l’avènement des nouvelles technologies médicales et de l’information.

REPOUSSER LES FRONTIÈRES

Cet essor, on le doit notamment aux biotechnologies, aux thérapies cellulaires et au génie génétique. Toutes ces disciplines se retrouvent liées entre elles à un moment où les échanges de l’information s’effectuent de plus en plus rapidement, rendant les déplacements inutiles. Les plateformes de communication foisonnent. Les séminaires en ligne, ou webinaires, pullulent sur Internet rapprochant les scientifiques et permettant le partage instantané des données. Ceci est d’autant plus vrai qu’en période de Covid, cette pratique est devenue très usuelle, permettant alors aux technologies d’information de se faire une place prépondérante dans le milieu de l’esthétique, réputé pour être le monde de l’image par excellence. “Le dernier congrès auquel j’ai assisté en novembre dernier, TD & ABS par Total Definer en direct de Bogota en Colombie, s’est tenu entièrement en ligne sur une durée de 3 jours”, explique le Dr Guessous. Les réseaux sociaux sont aujourd’hui une source d’information importante en esthétique puisque chaque chirurgien peut montrer ses techniques et ses résultats en live sur Instagram ou Snapchat, favorisant par la même occasion l’échange et le développement des techniques et des tendances. Ils permettent aussi aux patientes d’être mieux informées, ce qui leur permet de choisir leur chirurgien sans tenir compte de la distance et de se prémunir contre les charlatans médicaux ou agences commerciales qui vendent du rêve. Dans le même registre, YouTube représente la première source de formation et d’échange entre médecins spécialistes. Mais le réseau social qui tire incontestablement son épingle du jeu reste Instagram. Espace virtuel de choix élu par les praticiens, il correspond à l’extension du cabinet du médecin. La présence sur les réseaux est nécessaire puisqu’aujourd’hui, les patientes exigent de voir “le travail” du chirurgien avant d’aller le consulter. Tout ceci a donc considérablement changé le comportement des patientes dans le choix de leur chirurgien. La distance n’est plus un frein. On ne se tourne plus vers un chirurgien et une clinique parce qu’ils sont proches, mais plutôt pour leur savoir-faire et leur réputation. En effet, les réseaux sociaux

permettent un contact direct avec le médecin ou son équipe, quel que soit l’endroit où l’on se trouve. Certains pays se sont ainsi démarqués grâce à des infrastructures de pointe et des compétences médicales respectant les standards internationaux, le tout à des prix attractifs, favorisant ainsi l’essor du tourisme médical. À ce titre, le Maroc occupe une place de choix dans cet univers, notamment en matière esthétique plutôt haut de gamme que low cost.

UN ARSENAL THÉRAPEUTIQUE HIGH-TECH

Pour rester parmi l’élite, Guess Clinic s’est depuis plusieurs années inscrite dans cette tendance high-tech afi n de proposer aux patientes toutes les chances d’obtenir un résultat optimal, en adéquation avec ce que peut off rir la science à ce jour. La technologie a en eff et permis d’augmenter le nombre d’actes non invasifs ou mini-invasifs au détriment de la chirurgie. Certains actes chirurgicaux sont aujourd’hui totalement eff ectués par des machines. Les mini-abdominoplasties par exemple ne sont plus d’actualité et sont remplacées par de la radiofréquence et des ultrasons (Vaser, J Plasma, Bodytite) pour rétracter les peaux relâchées. Il en va de même pour certaines chirurgies agressives comme les lift ings des cuisses et des bras bien que la chirurgie reste de mise dans les cas de relâchement dépassant les capacités des machines.

•LA LIPOSCULPTURE La liposculpture a connu une évolution très importante ces derniers temps, à tel point que les résultats jugés satisfaisants il y a dix ans ne sont plus acceptés par les patientes d’aujourd’hui dont les attentes sont devenues extrêmement précises et détaillées. “Nos patientes exigent des silhouettes bien dessinées, hyper-sculptées, une peau bien tendue et lisse avec des abdos bien marqués et des courbes bien défi nies”, explique le Dr Mohamed Guessous. À force d’évoluer, les attentes ont fait émerger de nouvelles tendances à l’instar du BBL (Brazilian Butt Lift ), du Ferrari Design ou encore du French Style. “Les machines nous ont permis d’atteindre un niveau de précision inégalé aussi bien dans le dessin de certains creux du corps que dans le comblement de diff érentes zones à galber. Le concept de la liposculpture a été poussé à l’extrême, nous parlons actuellement de liposculpture haute défi nition, 3D, 4D, 4K…”, précise le chirurgien. Le Vaser par exemple, outil incontournable de la liposculpture HD, utilise une canule à ultrasons pour creuser des lignes dans l’épaisseur de la graisse et donner l’impression d’abdos tracés. “Nous pouvons ainsi dessiner des lignes verticales notamment la ligne blanche intermusculaire, les lignes semi-lunaires, le V abdominal ou encore le six-pack spécialement chez les hommes. Nous pouvons aussi sculpter des deltoïdes aux bras et des pectoraux en faisant des soustractions de graisse et des injections pour accentuer les zones positives et creuser les zones négatives. Ce contraste de volumes utilise un jeu d’ombre pour donner l’impression de relief, détaille le Dr Guessous avant d’ajouter : Comme tous les chirurgiens qui se spécialisent dans la sculpture du corps, nous avons dû revenir aux manuels de l’Antiquité et aux sculptures romaines et grecques pour mieux maitriser l’anatomie artistique du corps féminin et masculin, condition sine qua non pour atteindre ce niveau d’exigence”. •LA RADIOFRÉQUENCE À la fi n de chaque liposculpture, la technologie radiofréquence complète le travail en agissant sur la qualité de la peau, permettant d’obtenir une rétraction cutanée et d’optimiser ainsi les résultats, à la fois artistiques et esthétiques. S’il s’agit là d’une technologie ancienne, la radiofréquence est aujourd’hui devenue l’outil de référence dans le relâchement de peau et la rétraction cutanée. Nous citerons le J Plasma qui utilise le gaz hélium sous forme de plasma pour chauff er la peau à plus de 70 °, provoquant alors un raccourcissement des tissus. Dans la même lignée, le Bodytite de InMode permet de sculpter avec une précision considérable les lignes creuses du corps, d’où l’intérêt de disposer de ces deux outils lors d’une liposculpture. Guess Clinic est également équipée d’autres machines de radiofréquence non invasives pour le corps, à l’instar du Body FX et du Morpheus Body de InMode, qui traitent la cellulite et les petits bourrelets localisés.

•LE COOLSCULPTING Pour lutter contre la graisse localisée sans chirurgie, le Coolsculpting garde la pole position dans la destruction de la graisse par le froid. Il s’agit là du seul dispositif d’origine qui peut atteindre les -13 C°. À l’inverse, les autres machines de lipocryolyse ne peuvent atteindre ces températures, ce qui les rend moins effi caces. FDA Approuved, la machine Coolsculpting est particulièrement effi cace pour le double menton, les poignées d’amour, le ventre et la culotte de cheval.

•LE LASER Il est impossible de parler de technologies sans mentionner le laser qui fait partie des grandes innovations de ces

dernières années et pour lequel nous découvrons encore aujourd’hui de nouvelles utilités. Comment ça marche? Tout d’abord, la technologie laser fractionne la lumière en plusieurs faisceaux qui possèdent chacun leur propre effet sur les tissus du corps : l’Alexandrite pour l’épilation (Elite + Cynosure) et le Diode; le Q-Switched pour le détatouage (Revlite); le ND Yag, le Co2 fractionné et le laser Erbium pour le rajeunissement; le Carbon Laser pour un coup d’éclat; ou encore le Pico seconde Laser pour la dépigmentation (Pico Clear Alma). •MORPHEUS, FACETITE, CELLULES SOUCHES Bien qu’il existe des machines pour traiter toutes les parties du corps, c’est le visage qui inspire le plus les laboratoires et les firmes biotechnologiques. De fait, chaque année, de nouvelles machines voient le jour, promettant la jeunesse éternelle. Si toutes ne sont pas convaincantes, la science continue son essor et surprend avec des innovations toutes plus extraordinaires les unes que les autres, rendant possibles des prouesses jusqu’alors inimaginables. Pour ne citer qu’un exemple, la source d’énergie thermique

émise par la radiofréquence permet un rajeunissement manifeste de la peau avec des résultats équivalents, voire supérieurs au lifting, le tout sans  chirurgie ni douleurs ni risques conjugués à une reprise de la vie sociale rapide. Très utilisé dans les LE LASER FAIT cas modérés de relâchement cutané du visage, le Morpheus de InMode

PARTIE DES permet d’appliquer cette radiofréquence à l’aide d’aiguilles en or

GRANDES après avoir appliqué une crème anesthésiante sur la peau. Réputé pour ses résultats probants, le INNOVATIONS Morpheus permet un effet de rétraction et de rajeunissement

DE CES quasi immédiat. Le Facetite, lui aussi de la marque

DERNIÈRES InMode, est un dispositif ingénieux permettant de traiter le relâchement

ANNÉES ET cutané de l’intérieur. Ici, une mini-canule est glissée sous la peau puis reliée à la source de radiofréCONTINUE DE quence. Après avoir endormi la peau, le docteur passe l’aiguille sous DÉVOILER DE cette dernière. Grâce à la chaleur générée par la radiofréquence, les NOUVELLES tissus cutanés se rétractent tandis que la production de collagène est activée. Cette méthode très

UTILITÉS. innovante et très efficace répond particulièrement à la demande des patientes qui ne veulent pas  envisager de chirurgie.

Quant au J Plasma Renuvion, qui utilise le gaz hélium comme source d’énergie, il peut aussi bien être utilisé pour lifter la peau du cou qu’en externe pour un resurfacing full face. Enfin, le Hifu, inventé au départ par Ulthera, a suscité beaucoup d’intérêt il y a quelques années. Cette machine a en effet été copiée avec des effets indéniables et des insuffisances de résultats qui ont amené Guess Clinic à abandonner cette méthode.

LES TECHNOLOGIES DE DEMAIN

Apparue il y a quelques années, la thérapie cellulaire s’est frayé une place de plus en plus importante dans toutes les spécialités médicales. Celle-ci s’appuie sur la capacité de notre organisme à se réparer, à se régénérer et à se reconstituer de façon tout à fait naturelle et autonome. À partir de cette donne et d’années de recherche, la médecine utilise aujourd’hui de façon routinière des cellules prélevées dans un endroit du corps pour les replacer à un autre endroit dans un but thérapeutique. Cette pratique est surtout connue en cancérologie, notamment avec la greffe de cellules souches de moelle osseuse pour traiter les cas de leucémie.

•LE POUVOIR DES PLAQUETTES Les vertus des plaquettes sont connues depuis des décennies dans les processus de régénération tissulaire et la cicatrisation. Ce sont d’ailleurs les dentistes qui ont été les premiers à utiliser cette méthode appelée PRP (Plasma Riche en Plaquettes). Aujourd’hui, le PRP s’est pratiquement étendu à l’ensemble des spécialités médicales, au vu de sa simplicité d’utilisation et de son efficacité. Cette technique consiste en effet à prélever un échantillon de sang puis à le centrifuger pour en isoler les plaquettes sanguines (RengenLab). Ces plaquettes sont ensuite injectées superficiellement dans la peau du visage afin de réactiver la production de collagène et la création de nouveaux vaisseaux, offrant un coup d’éclat instantané. Le PRP peut également être utilisé lors d’un début de calvitie en complément d’une greffe de cheveux afin de booster la repousse. Indication un peu moins connue, les plaquettes peuvent être injectées dans le vagin ou dans le clitoris (O-Shot) pour un effet rajeunissant ou pour lutter contre la sécheresse vaginale. Enfin, on citera également les vertus de l’injection de PRP au niveau des articulations, des ovaires ou encore des cicatrices.

•LA MÉDECINE RÉGÉNÉRATIVE Chaque jour, notre corps élimine 300 milliards de cellules, vieilles ou altérées, puis les renouvelle. Il existe 200 types de cellules qui composent les tissus et les organes du corps humain et se renouvellent à leur propre rythme. Le renouvellement cellulaire est assuré par les cellules souches. Ces cellules mères multipotentes, multi-fonction, se trouvent partout dans le corps et peuvent se différencier et s’adapter à la fonction de l’organe où elles se trouvent. Aujourd’hui, les plus grandes cliniques possèdent la technologie qui permet de maitriser la méthode de collecte, d’isolement, d’identification, de comptage et d’utilisation de ces cellules aussi précieuses que délicates. Ceci était jusqu’à présent l’apanage des gros laboratoires suisses ou américains. L’usage de ces cellules dans le domaine de l’esthétique est en effet très prometteur. Ces dernières sont déjà utilisées dans le rajeunissement du visage, dans la repousse des cheveux, dans la restauration vaginale et dans la chirurgie réparatrice (traumatismes, brûlures…). “Dans un mini laboratoire, nous avons la possibilité de sélectionner des cellules souches à partir d’un échantillon de graisse. Sous anesthésie locale, nous prélevons une seringue de graisse (100 ml) par une petite liposuccion. Celle-ci est ensuite traitée par la méthode enzymatique qui consiste à mettre en contact notre échantillon de graisse avec une enzyme (collagénase) pour détruire les cellules graisseuses. En résulte alors le SVF (Stroma Vascular Fraction) qui contient ces fameuses cellules souches”, explique le Dr Mohamed Guessous. Cette biotechnologie, à la fois très récente et très probante, est régie par des règles bioéthiques et des lois strictes, rendant cette technique exclusive. Certains pays sont d’ailleurs pionniers dans ce domaine tels que la Corée du Sud, les États-Unis, la Turquie ou le Maroc. “La médecine régénérative de manière générale nous offre des perspectives d’avenir très prometteuses. Il s’agit là de la médecine du futur : pouvoir s’auto-réparer en utilisant notre propre dispositif de réparation cellulaire et nos propres cellules mères. Une avancée notoire qui concerne toutes les spécialités, de la cancérologie à la traumatologie. Certaines équipes travaillent aussi sur la “fabrication” complète d’organes à partir de cellules souches. À l’avenir, il sera possible de fabriquer ou de reconstruire un foie, voire un membre”, précise le chirurgien. Pour conclure, il va sans dire que la technologie fait partie intégrante de notre quotidien. Et le monde médical ne fait pas exception, bénéficiant même de grandes avancées grâce à celle-ci, aussi bien dans la pratique que dans la communication. Aujourd’hui, il n’est plus possible de concevoir la pratique de la chirurgie esthétique sans l’utilisation de machines et la biotechnologie. Des avancées notoires qui permettent des résultats toujours plus pointus. Une véritable révolution.

#morpheus #facetite #cellulessouches #radiofrequence #coolsculpting

M É D E C I N E E S T H É T I Q U E

CE QU’IL FAUT SAVOIR AVANT DE PROCÉDER À UN ACTE DE MÉDECINE ESTHÉTIQUE

Si la médecine esthétique correspond à un ensemble de gestes médicaux non invasifs qui ne nécessitent pas d’incisions de peau, la décision d’entreprendre un tel acte ne doit pas pour autant être prise à la légère car les conséquences - bonnes ou mauvaises - d’une intervention peuvent être ressenties pendant des années tant physiquement, moralement qu’émotionnellement. Voici les précautions à prendre et les questions essentielles à se poser avant de se lancer dans une intervention auprès d’un praticien.

HUGUES ROY

Le marché de médecine esthétique médicale est en pleine croissance et connaît, selon les chiffres de 2020, une augmentation de 7 à 10 % chaque année. En 2014, il a ainsi été estimé que ce marché devrait globalement tripler d’ici 2023. Cette croissance concerne aussi bien les actes non invasifs que les produits médico-esthétiques et les cosméceutiques. Au niveau mondial, ce sont les U.S.A. qui occupent 50 % du marché mondial, le reste est réparti entre l’Asie et l’Europe où l’esthétique est en pleine expansion, et côté tranches d’âge, ce sont les 35-50 ans qui sont actuellement les plus demandeurs en termes d’actes non invasifs et de traitements préventifs retardant le vieillissement. Dans le détail, les produits injectables comme la toxine botulique (Botox Dysport), l’acide hyaluronique et les fillers restent les chefs de file en termes de parts de marché (50 %). Ensuite viennent les équipements à base d’énergie comme les lasers, la radiofréquence, les ultrasons puis les cosméceutiques. Quant aux nouveaux produits actifs stimulateurs de collagène ou régénérants (Skinboosters, Profhilo, Peptides, Fils PDO) et les thérapies cellulaires (PRP, cellules souches), ils connaissent eux aussi un réel engouement. Ce marché lucratif suscite aujourd’hui un intérêt croissant de la part d’investisseurs comme de certains pays qui se positionnent désormais très activement sur le concept du tourisme médical en tant que stratégie gouvernementale de développement afin de doper leur économie et leur fréquentation touristique. En parallèle, cette activité connaît certaines dérives avec la mise en circulation de produits non conformes et des machines non homologuées, inefficaces voire dangereuses. On ne compte d’ailleurs plus les personnes victimes d’actes ratés ou de complications plus ou moins graves dues à l’incompétence d’un praticien non diplômé, voire étranger au corps médical. Voici quelques recommandations et précautions essentielles

pour ne pas prendre de risques avant d’entreprendre tout acte de soin, d’injection ou protocole utilisant une machine à visée esthétique.

À QUI S’ADRESSER ?

• LES OFFRES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX Il y a aujourd’hui de quoi être réellement désemparé face au flot d’offres proposées chaque jour à travers les réseaux sociaux. Nul n’ignore en effet que les trois géants (Google, Facebook, Instagram) ont recours à l’intelligence artificielle pour établir le profil des internautes en analysant les sites visités ou les mots clés employés. Ce n’est donc pas un hasard si ces derniers sont ensuite inondés d’offres publicitaires alléchantes et insistantes en fonction de leurs centres d’intérêt définis par les algorithmes du moteur de recherche ou des réseaux sociaux. Il faut savoir que ces offres sont sponsorisées, c’est-à-dire que l’annonceur a financé cet envoi publicitaire censé susciter l’intérêt de son destinataire.

• DISTINGUER LE VRAI PROFESSIONNEL DU FAUX Distinguer les vrais cabinets de médecins spécialistes et les cliniques spécialisées par rapport aux instituts qui n’ont rien de médical demande donc une investigation approfondie sur le Net. Il ne s’agit pas de se fier à une simple enseigne et d’accepter des offres promotionnelles purement commerciales. Au contraire, il est impératif de contacter et de consulter le médecin censé pratiquer l’acte, aussi courant soit-il, car un produit cosmétique de mauvaise qualité, un injectable non certifié ou une machine mal réglée peut entraîner de lourdes conséquences. Seul un médecin reconnu, spécialiste et renommé, peut garantir la qualité des produits utilisés, ce qui n’est pas le cas d’un institut. Il existe en effet des produits injectables à bas prix comme les fillers, le PRP ou du faux Botox que l’on peut acquérir facilement via Internet et dont la marque est aussi inconnue que la composition et qui sont à l’origine de véritables drames et des séquelles irréversibles. Dans ce cas, la responsabilité est partagée puisque la patiente ne dispose d’aucun recours ni d’aucune garantie.

• ORIGINES ET CHOIX DES PRODUITS On ne saurait trop conseiller également de privilégier les produits résorbables sachant qu’il n’existe pas de produit idéal à ce jour. Si le plus réputé et le mieux toléré demeure l’acide hyaluronique, on ne peut exclure dans certains cas le risque d’une réaction inflammatoire ou d’un œdème permanent notamment au niveau des paupières. Fort heureusement, ces complications sont très rares et la plupart d’entre elles sont résolutives, la qualité et la marque du produit injecté étant essentielles. Pour une transparence totale, Guess Clinic a mis en place un carnet de soins répertoriant tous les actes et soins reçus par la patiente et mentionnant chaque produit utilisé, lequel inclut le nom du laboratoire et toutes les informations liées au produit. Ce carnet garantit un suivi précis des produits injectés et permet d’éviter les associations incompatibles.

• BOUCHE-À-OREILLE ET LEADERS D’OPINION Quant au bon moyen de trouver le meilleur médecin, le bouche-à-oreille peut-être d’une grande utilité, encore faut-il pouvoir comparer ce qui est comparable. Certains centres ont en effet tendance à faire appel à des influenceurs et autres leaders d’opinion pour promouvoir leur activité et séduire de nouveaux clients en capitalisant sur la visibilité médiatique et le nombre d’abonnés de ces derniers. Une pratique souvent rémunérée qui soulève des débats sur le sérieux et l’objectivité des avis d’autant que ces professions ne nécessitent pas de compétence particulière et ne sont régies par aucune réglementation. De même, l’importance accordée aux abonnés de l’influenceur peut être tout aussi fallacieuse quand on sait qu’il est possible d’acquérir un demi-million de followers en quelques heures pour moins de 5000 $. Il existe cependant, des personnes crédibles, honnêtes et très suivies qui se sont donné pour mission de tester les produits et prestations elles-mêmes et de partager leur expérience avec objectivité.

DE QUEL TRAITEMENT AI-JE BESOIN ?

À l’heure des réseaux sociaux et du tout-digital, le choix d’un produit, d’une technique ou d’un dispositif a malheureusement tendance à répondre à des critères davantage dictés par sa médiatisation que son indication. Nombreux sont les médecins et les chirurgiens esthétiques à se voir confrontés à des demandes insistantes en faveur d’une marque, produit ou machine vus sur Internet même s’ils ne sont pas indiqués. À tel point que certains centres vont jusqu’à présenter une carte des actes et procédures proposés que la patiente choisit selon ses moyens. Il n’en demeure pas moins que la méthode la plus juste et la plus appropriée est de consulter un professionnel afin de lui exposer ses problèmes ou ses désirs afin de déterminer ce qui est possible et ce qui ne l’est pas, ceci afin d’obtenir une stratégie de traitement et un délai d’obtention du résultat. D’une manière générale, il est recommandé de partir d’un constat : présence de tâches, de rides, de poils, relâchement cutané… Après un diagnostic approfondi, le spécialiste proposera un protocole de traitements étalé sur 2 à 6 mois.

En résumé, pour choisir le bon produit ou la bonne machine, il faut d’abord trouver le bon médecin. Pour le choisir, il convient d’en consulter au moins deux et de retenir le plus convaincant. Les expériences partagées sur les lives sont une bonne façon de s’informer mais le dernier mot reviendra toujours au médecin que l’on aura choisi. Car chaque cas est un cas particulier, et ce qui convient aux autres ne convient pas forcément à soi.

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