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Stratégie Accents APPROCHE FONDÉE SUR LE PORTEFEUILLE
2 Thème Le Service patrimonial KBC Premium Banking : une tactique efficace pour votre patrimoine
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Vrai ou faux ?
Les taux peuvent également être négatifs
6 Stratégie Quitter le giron des banques centrales
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En point de mire
Marchés des changes De nombreux éléments jouent en faveur du dollar
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Sous la loupe
Un investissement à temps et de qualité
Sous la loupe
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Misez sur l’Europe !
Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 06 - 2 juin 2014
Thème Le Service patrimonial KBC Premium Banking : une tactique efficace pour votre patrimoine Accents ❯❯ Toute une équipe au service de votre patrimoine. ❯❯ Nous examinons votre patrimoine sous divers angles.
Le Service patrimonial KBC Premium Banking, avec pour noyau le conseil patrimonial, est un service éprouvé depuis des années. Plus de 27 000 clients ont découvert la force d’une assistance patrimoniale structurée. Nous allons à présent encore plus loin : notre service fait peau neuve sous la devise “Garder ce qui est bon, renforcer ce qui peut l’être”. Votre chargé de relations est et reste votre personne de confiance, soutenue par une équipe d’experts.
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Stratégie & Accents
Thème
Le Service patrimonial KBC Premium Banking... Nous avons non seulement rebaptisé notre service, mais nous l’avons aussi affiné. Il existe trois formules : Service patrimonial Plus KBC Premium Banking, Service patrimonial Select KBC Premium Banking et Service patrimonial 4 Business KBC Premium Banking (conçu sur mesure pour les personnes morales). Vous connaissez déjà le cœur de notre service patrimonial, à savoir le Conseil patrimonial KBC. Votre chargé de relations suit votre patrimoine en concertation avec une équipe de spécialistes en investissements et prend contact avec vous aux moments importants. Votre chargé de relations vous invite deux fois par an pour un entretien concernant votre patrimoine sur la base du rapport établi dans le cadre du conseil patrimonial, dont la présentation a été modifiée. À la demande de nos clients, nous avons élaboré un rapport sur mesure plus succinct et direct. Nous fournissons en premier lieu un relevé de vos investissements et nous exposons nos propositions. Nous mettons en outre davantage l’accent sur le suivi des risques (voir page 4). Vous pourrez découvrir le nouveau rapport lors de votre prochain entretien avec votre chargé de relations. Vous recevez des informations complémentaires et des avertissements sur mesure, concernant par exemple le rendement et le risque de certaines obligations ou encore un secteur, une région ou une devise présentant un potentiel de croissance. Nous vous informons immédiatement d’une modification de recommandation concernant les actions que vous détenez en portefeuille. Nous sommes toutefois conscients que vous ne souhaitez pas être submergé d’informations. C’est pourquoi nous vous tenons au courant des évolutions récentes sur les marchés financiers lors de soirées d’information à l’occasion desquelles nos experts exposent leur vision et répondent à vos questions.
Stratégie & Accents
Nous vous informons également des récents développements économiques et financiers par le biais de notre publication Stratégie & Accents et de nos bulletins d’information. Dans le cadre du Conseil patrimonial KBC, vous pouvez suivre l’évolution de vos investissements dans KBC-Online 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. C’est un véritable jeu d’enfant. Vous pouvez ainsi consulter le rendement de vos investissements ainsi que les graphiques illustrant la répartition sur les actifs, les devises et les secteurs. Outre le Service patrimonial Plus, le Service patrimonial Select KBC Premium Banking offre de nombreux avantages supplémentaires, tels qu’un service actions étendu, une remise sur le droit de garde,...
… va bien au-delà des conseils en investissement Les services patrimoniaux Premium Banking vont au-delà des conseils en investissement. Votre patrimoine ou le patrimoine de votre société requiert une approche spécifique à chaque étape de la vie. De nouveaux obstacles ou opportunités font constamment leur apparition. Chaque événement mérite une assistance adéquate et professionnelle. Vous pouvez demander que votre patrimoine ou celui de votre société soit examiné sous différents angles. Nous songeons notamment au transfert de patrimoine, à la préparation financière de votre départ à la retraite, à une assistance fiscale,... Nous avons mis au point plusieurs formules adaptées à ces situations : service succession, service retraite, conseil spécialisé aux entreprises,... Votre chargé de relations vous propose l’assistance adéquate au bon moment. Nous présentons ci-dessous plusieurs témoignages de clients satisfaits de nos services : “Nous sommes retraités et nous nous sommes constitué un beau petit bas de laine au fil des ans. Nous n’avons pas d’enfants. Nous voulions
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Thème
donc veiller à ce que tous nos neveux et nièces reçoivent une part égale et que cette dernière ne soit pas amputée par d’énormes droits de succession. Notre chargé de relations nous a mis en contact avec un conseiller juridique Patrimoine et Succession, qui a cherché avec nous la meilleure solution. Nous leur sommes très reconnaissants pour leur aide.” (Service succession) “Je serai à la retraite l’année prochaine. Mon chargé de relations m’a conseillé de m’inscrire aux soirées d’information consacrées à ce sujet. J’y ai beaucoup appris. J’ai surtout retenu que le départ à la retraite a de nombreuses conséquences, non seulement sur le plan financier
mais aussi psychologique. L’ampleur de mon patrimoine a également été abordée. J’ai reçu des conseils et des suggestions. Et la réception était impeccable !” (Service retraite) “Cet automne, j’ai été invité à participer à une soirée investissements, durant laquelle un économiste stratège a décrit le contexte économique. Pendant la réception qui a suivi, j’ai eu l’occasion de parler avec l’expert et mon chargé de relations. J’ai directement fixé un rendez-vous avec mon chargé de relations, afin d’examiner mes investissements. Quelle excellente initiative !” (Soirées investissements)
Nous n’avons pu exposer le Service patrimonial KBC Premium Banking que les grandes lignes dans cet article. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à vous adresser à votre chargé de relations, qui vous présentera l’offre dans son intégralité.
Score du Portefeuille Le score du portefeuille est la moyenne pondérée des scores produit de toutes les positions en portefeuille.
Répartition de votre patrimoine par score produits
Suivi boursier de votre portefeuille
Exemple: 2,4% de votre portefeuille est investi en produits avec score produit 1.
Pour votre profil de risque "défensif", le suivi boursier est de 24,9%.
Vu votre profil de risque "défensif", le score du portefeuille doit être inférieur à 4,0.
risque élevé
risque élevé
7 très dynamique 6
7
12,34%
6
3,62%
5
12,55%
36,5%
45%
4
zone à risque
zone de sécurité
0%
5 dynamique
Marge 55%
100%
26,80%
Concentrations
4 Votre score actuel
3,59
3
15,54%
2
5,71%
1
23,44%
3 défensif
Vérification de la concentration par produit. Aucun produit ne présente une concentration trop élevée.
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très défensif
1 risque faible
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risque faible
Stratégie & Accents
Vrai ou faux ?
Les taux peuvent également être négatifs
Alors que des pays comme les États-Unis, le Japon et le Royaume-Uni mettent tout en œuvre pour stimuler l’économie, la Banque centrale européenne (BCE) prend peu de mesures pour l’instant. Elle a annoncé qu’elle n’interviendrait que si cela est nécessaire. Il n’existe toutefois pas trente-six solutions. L’achat massif de titres de dette (assouplissement quantitatif), tel qu’il est pratiqué aux États-Unis, n’est pas autorisé statutairement pour la BCE. Un abaissement des taux fait certes partie des possibilités, mais la marge de manœuvre est limitée. Les taux se situent actuellement à un bas niveau historique. Le taux court s’élève à 0,25% et le taux de dépôt à 0%. L’introduction d’un taux de dépôt négatif serait révolutionnaire. Cela signifierait que les banques devraient payer pour placer de l’argent auprès de la BCE et qu’elles auraient tout intérêt à le placer ailleurs. Il en résulterait un exode des liquidités de la BCE et une éventuelle dépréciation de l’euro. Les banques centrales brésilienne, danoise et suisse ont introduit temporairement un taux négatif. Un taux de dépôt négatif fait donc bel et bien partie des possibilités.
Stratégie & Accents
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Stratégie
Quitter le giron des banques centrales Accents ❯❯ Nous restons neutres à l’égard des actions. L’évolution des cours dépend de la croissance bénéficiaire. ❯❯ Les taux obligataires ne peuvent évoluer qu’à la hausse, ce qui engendre une perte de cours. ❯❯ L’immobilier financier est une bonne ventilation du risque.
L’investisseur qui choisit aujourd’hui les obligations d’État paraît penser que l’inflation va rester très basse dans la décennie à venir. Le taux actuel des obligations d’État belges ou allemandes à dix ans semble être beaucoup trop bas pour compenser l’érosion du pouvoir d’achat sur cette période. Le taux à dix ans allemand a atteint son plancher annuel provisoire le 8 mai. Le redressement conjoncturel progressif pourrait résulter en une croissance de l’économie mondiale de 3,5%, soit un peu plus que la moyenne à long terme. Les taux du marché pourraient alors augmenter et le moteur bénéficiaire des entreprises occidentales pourrait aussi redémarrer. Les actions cotent aujourd’hui conformément à leur valorisation moyenne de ces 20 dernières années. Dans ce contexte, nous restons neutres à l’égard des actions. Un investissement dans l’immobilier financier permet de ventiler judicieusement le risque et est une alternative aux obligations qui sont extrêmement chères.
Les achats de soutien engendrent un taux obligataire artificiellement bas Luk Van Heden Strategist KBC Asset Management
La situation a peu évolué ces derniers mois. La réduction des achats de soutien de la Banque centrale américaine (tapering) est à peu près le seul élément à avoir influencé les taux obligataires depuis mai 2013, tant aux États-Unis qu’en Europe. À présent que la croissance économique reprend en Europe, le sentiment de crise n’est plus perçu comme une menace. La crise de l’euro a disparu des écrans radar. La réduction progressive de la politique de relance aux États-Unis restera dans les mois à venir l’élément déterminant l’évolution des taux du marché en Occident. Les achats de soutien de la Banque centrale américaine compriment artificiellement les taux du marché. Ils ont baissé beaucoup plus que nous ne le pensions précédemment, non seulement aux États-Unis, mais aussi en Europe. Qui aurait cru il y a un an que le taux du marché allemand retomberait à 1,45% ? Même
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les différentiels de taux entre les divers États membres européens se sont effrités relativement vite. Le Portugal a annoncé qu’il ne recourrait plus à l’aide d’urgence et la Grèce a placé le mois dernier avec succès un emprunt obligataire d’une durée de cinq ans.
Ne pas négliger les risques liés aux obligations Dans de nombreux segments du marché obligataire, l’appât du gain a perturbé l’équilibre entre risque et rendement. Si les investisseurs se satisfont d’une faible rémunération en intérêts compte tenu du risque accru, il s’agit là en soi d’un signe d’exagération. Il suffit en effet de peu pour mettre les taux du marché sous pression haussière : un léger sursaut d’optimisme conjoncturel, un peu moins d’aversion pour le risque, l’insatisfaction à l’égard du maigre rendement des valeurs refuges, etc. Il est en tout cas plus probable de voir les taux remonter que baisser
L’Ukraine joue un rôle. Elle ne risque pas de ruiner la conjoncture, mais elle pourrait servir d’excuse aux investisseurs qui décideraient de prendre leur bénéfice.
en deçà de leur niveau extrêmement faible actuel. La politique de relance de la Banque centrale américaine limite toutefois le potentiel de hausse : elle juge risqué un taux à dix ans dépassant les 3%. C’est pourquoi nous prévoyons tout au plus une légère remontée des taux obligataires aux États-Unis ainsi qu’en Europe. Une hausse de taux engendre une perte de cours, contre laquelle le coupon actuel n’offre que peu, voire pas de protection.
Stratégie & Accents
Stratégie
30 25 20 15 10
05/1994
05/1997
05/2000
États-Unis
05/2003
05/2006
05/2009
05/2012
Europe
Les actions américaines et européennes se rapprochent de leur valorisation moyenne de ces 20 dernières années Source : Datastream
La valorisation n’est plus le moteur de la hausse des cours des actions Les cours du S&P 500 et du MSCI Europe progressent plus que la croissance bénéficiaire des entreprises de ces deux indices pour le neuvième trimestre d’affilée. Les cours actuels sont par conséquent devenus un peu plus vulnérables. D’absolument bon marché, la valorisation est devenue conforme à la moyenne de ces 20 dernières années. Les actions sont donc valorisées correctement (voir graphique) et les obligations sont extrêmement chères. D’autres raisons expliquent encore le maintien de notre préférence pour les actions. Une action européenne moyenne donne un rendement de dividende de 3,25%, contre un coupon de 1,5% pour une obligation d’État allemande à dix ans. Le coupon ne change pas sur la durée de l’investissement, alors que le dividende augmente de 5 à 10% par an. Lorsque les cours des actions continuent d’augmenter alors que le bénéfice reste stable, des bulles spéculatives se créent. Le défi de ces prochains mois réside dans la reprise conjoncturelle, celle-ci devant assurer une croissance suffisante des bénéfices des entreprises pour alimenter les marchés d’actions. L’Ukraine joue elle aussi un rôle. Elle ne risque pas de troubler l’évolution conjoncturelle ou bénéficiaire car ses liens avec l’Occident sont beaucoup trop insignifiants pour
Stratégie & Accents
cela mais elle pourrait servir d’excuse aux investisseurs qui décideraient de prendre leur bénéfice.
Vers une période de croissance durable et modérée exempte d’inflation La croissance économique s’accélère et ce, grâce à deux éléments. D’une part, le pouvoir d’achat des ménages augmente. La basse inflation entame en effet peu les augmentations salariales nominales. D’autre part, les gouvernements réduisent leur politique de rigueur budgétaire. L’accroissement des dépenses des ménages et des États contribue ainsi au redressement économique. La croissance de l’économie mondiale devrait s’établir à 3,5% en 2014, soit plus que les 2,9% de 2013 et que la moyenne à long terme. Aux États-Unis, les baromètres conjoncturels annon cent une croissance économique de 2,5 à 3%. Le dernier rapport sur le marché du travail a agréablement surpris. Le chômage y est retombé à un niveau que la Réserve fédérale n’escomptait pas avant la mi-2015. En Europe également, les indicateurs conjoncturels évoluent favorablement. La croissance économique est redevenue positive depuis le deuxième trimestre 2013.
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Stratégie Portefeuille
Actions
75%
17%
5% 3%
Très dynamique
Obligations
50%
34%
8% 7%
Dynamique
Immobilier
25%
Placements alternatifs Cash
60%
5% 0
48% 10
20
30
40
50
Bien que le rythme de leur progression s’essouffle quelque peu, les bénéfices des entreprises continuent de frôler des sommets élevés. Par-delà les cycles conjoncturels, la croissance bénéficiaire dépasse la croissance du PIB mondial nominal (5% à 6%) et elle est nettement supérieure au taux à court ou à long terme (qui n’excède pas 2,5%). À rapport cours/
60
70
Défensif
Très défensif
47%
Nous restons prudents à l’égard des obligations. Nous ne craignons toutefois pas une envolée des taux du marché à très court terme. En outre, nous ne prévoyons pas une accélération marquée de l’économie mondiale pas plus qu’une surchauffe progressive. La probabilité de la hausse des taux du marché est plus élevée que celle d’une (nouvelle) baisse. Pourquoi ne pas échanger un coupon sûr mais limité contre le dividende d’une action, incertain mais probablement plus élevé ?
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8% 7%
80
90
100
bénéfice stable, les cours des actions devraient donc progresser d’environ 5 à 6% par an. Ajoutons-y un rendement de dividende de 2,60% (indice d’actions mondial) à 3,25% (actions européennes) et le rendement total escompté (proche de 10%) excède largement celui des liquidités ou des obligations. Nous optons également pour l’immobilier. Il est possible d’investir dans l’immobilier de deux manières. L’investisseur peut investir en actions d’entreprises actives dans les bureaux et les centres commerciaux. Les cours de leurs actions fluctuent en phase avec ceux du marché au sens large. L’investisseur peut aussi acquérir un bien immobilier. Les investissements directs manquent toutefois de liquidité et impliquent des frais d’entrée élevés, à moins que l’on ne puisse participer à un pool de projets.
Stratégie & Accents
Stratégie
Accents dans le portefeuille
Dollar américain Nous sommes optimistes à l’égard du dollar américain. Le billet vert nous permet de nous couvrir contre d’éventuels rebondissements de la crise de l’euro, mais il a d’autres atouts. Tant que le cours de change USD/EUR dépasse 1,00-1,10, le dollar est sous-évalué. Une plus grande modération salariale et une meilleure évolution de la productivité aux États-Unis qu’en Europe orientent le cours d’équilibre vers le niveau de 0,90-1,00 USD par EUR. Malgré la reprise conjoncturelle en Europe, les prévisions de croissance y sont moins élevées qu’aux États-Unis. Étant donné que la reprise conjoncturelle des États-Unis a de l’avance sur celle de l’Europe, la Réserve fédérale passera avant la BCE d’une politique accommodante à une politique restrictive. Enfin, les différentiels de taux sont à l’avantage du dollar. Ainsi, le différentiel entre le taux obligataire américain et allemand atteint aujourd’hui 1,2 point de pourcentage. Ces 20 dernières années, il n’a atteint ce niveau élevé que sur moins de 5% de la période.
Petites capitalisations boursières de la zone euro Nous préférons les actions européennes aux actions américaines. Nous croyons en la reprise de la croissance en Europe. Les signaux ne manquent d’ailleurs pas. En outre, la crise de l’euro devient de moins en moins problématique et la valorisation bon marché ne se justifie plus. La crise de l’euro n’est pas résolue, mais elle a disparu des écrans radar. Le redressement économique s’est incontestablement amorcé. La crise est derrière nous. La croissance bénéficiaire des entreprises européennes devrait pouvoir effectuer un mouvement de rattrapage. Depuis la récession en Europe et la crise de l’euro, le bénéfice par action accuse en moyenne un retard de 40% sur son sommet précédent, datant de 2007. Aux ÉtatsUnis, le niveau bénéficiaire des entreprises du S&P 500 dépasse déjà son niveau précédent de 15%.
Stratégie & Accents
L’Europe a pris énormément de retard - surtout ces deux dernières années - sur les États-Unis en termes d’évolution des bénéfices. L’écart atteint 25 à 30% pour cette période. Grâce à des reprises de provisions pour pertes sur crédits, l’embellie conjoncturelle aux États-Unis a déjà dopé les bénéfices des banques, ce qui devrait à présent également être possible dans la zone euro. L’enquête en cours sur la santé du secteur bancaire européen entraînera un nettoyage discret çà et là et rétablira la confiance. Nous préférons les petites capitalisations européennes, fortement axées sur un marché de niche, spécialisées dans leur activité et affichant un profil simple. Certaines d’entre elles sont des cibles de rachat potentielles.
Technologie La technologie affiche un rapport cours/bénéfice de 14,8 (la prime est donc insignifiante), alors que ses perspectives bénéficiaires sont les meilleures. Il s’agit d’un secteur de croissance par excellence. Les entreprises technologiques savent convaincre les consommateurs d’acheter sans cesse de nouveaux produits. L’e-commerce et l’Internet forment sans aucun doute la niche affichant actuellement la plus forte croissance. En outre, la demande d’investissement des entreprises redémarre enfin. De nombreux géants IT affichent une santé éblouissante. Leurs bilans sont pour ainsi dire exempts de dettes et ils disposent de liquidités abondantes, qu’ils reversent de plus en plus aux actionnaires. Le premier trimestre 2014 a confirmé que le chiffre d’affaires et le bénéfice s’appuyaient sur des tendances telles que l’e-commerce, les infrastructures mobiles et l’informatique dématérialisée. Le taux de fréquentation des sociétés Internet est analysé de plus en plus finement. Une croissance bénéficiaire de 12% est attendue pour les douze prochains mois, ce qui est réalisable. Cet accent rejoint celui du dollar américain. Une grande partie des entreprises cotées en Bourse est concentrée aux États-Unis.
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Stratégie
Perspectives économiques
Perspectives économiques UEM
Chine
Etats-unis
Japon
2013
-0,3
7,7
1,9
1,5
2014
1,2
7,5
2,3
1,4
2015
1,7
7,0
3,0
1,3
2013
1,3
2,6
1,5
0,4
2014
0,8
3,1
1,6
2,3
2015
1,3
3,0
2,1
1,8
15-05-2014
0,25
6,0
0,25
0,10
08-2014
0,10
6,0
0,25
0,10
11-2014
0,10
6,0
0,25
0,10
21-05-2014
1,38
4,16
2,53
0,60
08-2014
1,70
4,50
3,00
0,60
11-2014
1,90
4,50
3,20
0,70
1 EUR = CNY
1 EUR = USD
1 EUR = JPY
Croissance économiques(%)
Inflation (%)
Taux officiel (%)
Taux à dix ans (%)
Cours de change 21-05-2014
-
8,55
1,37
138,69
08-2014
-
8,51
1,35
143,10
11-2014
-
8,45
1,33
143,64
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Stratégie & Accents
Stratégie
sélection d’obligations
Il suffit de peu pour mettre les taux obligataires sous pression haussière : un peu plus d’optimisme conjoncturel, un peu moins d’aversion pour le risque, l’insatisfaction face au maigre rendement des valeurs refuges... Étant donné que l’attitude de la Fed limite le potentiel de hausse, nous prévoyons tout au plus une légère remontée du taux obligataire aux États-Unis. L’Europe s’inspire des États-Unis. Les différentiels de taux d’intérêt - même entre les différents États membres européens - pourraient peut-être encore se resserrer légèrement, mais pas davantage.
Notre sélection d’obligations(1) Monnaie Emprunt
Prix d’émisCoupon sion ou cours indicatif
Rating
Rendement Score (en %) produit (*)
Marché primaire AUD
KBC IFIMA NV 4,000% 2014-2018
101,500
04/06
A
3,590
4
USD
KBC IFIMA NV 2,600% 2014-2019
101,500
04/06
A
2,280
4
Marché secondaire AUD
NESTLE HOLDINGS INC 4.125% 2013-2018
102,750
06/12
AA-
3,456
4
NZD
ABN AMRO BANK NV 6,000% 2013-2019
102,750
17/6 en 17/12
A
5,496
4
USD
PETROBRAS GLOBAL FINANCE 3,000% 2013-2019
98,780
15/01 en 15/07
BBB
3,285
4
(1) (*)
Voir note 2 en dernière page. Score conçu pour comparer la sensibilité des différents produits d’épargne et d’investissement au risque. Il est exprimé sur une échelle de 1 à 7. Plus le score est élevé, plus le produit s’adresse à l’investisseur dynamique.
Stratégie & Accents
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En point de mire Marchés des changes
De nombreux éléments jouent en faveur du dollar
Accents ❯❯ Les perspectives de croissance restent favorables aux États-Unis. ❯❯ L’Europe mise sur la dépréciation de l’euro.
De nombreux éléments plaident en faveur d’une appréciation du dollar : valorisation, différentiels de croissance et de taux d’intérêt, politique monétaire et budgétaire, protection contre un sursaut de la crise de l’euro ou les tensions entre l’Est et l’Ouest. Or, l’euro est resté étonnamment vigoureux.
La croissance économique des ÉtatsUnis est supérieure à celle de l’Europe Un hiver particulièrement rigoureux a provoqué le recul temporaire de l’économie américaine au premier trimestre 2014. Les indicateurs récents montrent toutefois une amélioration et le dernier rapport sur le marché de l’emploi (avril) a prouvé que la croissance économique restait vigoureuse outre-Atlantique. Les créations d’emplois et la hausse des prix des habitations, conjuguées à la basse inflation, soutiennent le pouvoir d’achat des ménages et renforcent la confiance des consommateurs. Par voie de conséquence, les dépenses des ménages augmentent et l’économie continue de croître en dépit des mesures d’austérité. La zone euro est sur la bonne voie. La croissance a quelque peu déçu au premier trimestre 2014, bien qu’elle soit restée positive grâce à la Belgique, à l’Espagne et surtout à l’Allemagne qui en est le moteur. En 2014, la croissance dépassera son niveau de l’an dernier d’environ 1,5%. Mais malgré l’embellie économique dans la zone euro, les perspectives de croissance restent nettement plus favorables aux États-Unis.
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“Toutes les conditions sont réunies pour une appréciation du dollar”
Toutes les conditions sont réunies et pourtant... L’Union économique et monétaire (UEM) se passerait volontiers d’un euro cher, qui mine la compétitivité des entreprises européennes. Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, l’a lui-même confirmé. En 2013 et jusqu’ici en 2014, l’euro a pour ainsi dire été la monnaie la plus forte du monde. Le dollar s’est également apprécié face à la plupart des autres monnaies, mais pas par rapport à l’euro. Même la crise ukrainienne a contribué au raffermissement de la monnaie unique.
Stratégie & Accents
En point de mire 2,0
1,5
1,0
05/09
05/10
05/11
05/12
05/13
05/14
United States Dollar to 1 euro (EUR - USD)
Le dollar a cédé du terrain face à l'euro ces dernières années Source : Datastream
“Le dollar est la monnaie mondiale par excellence” Il est cependant remarquable que l’euro reste à ce point vigoureux face au dollar. La Banque centrale américaine est en effet très claire sur sa politique future. Elle souhaite avant tout réduire sa politique monétaire souple. Chaque mois, elle réduit le montant affecté à l’achat de titres de créance. Son programme d’achat s’éteindra par conséquent d’ici septembre ou octobre 2014. Dès la mi-2015, elle pourrait ensuite relever son taux directeur à condition que l’économie reste suffisamment robuste. La Banque centrale européenne se montre nettement moins transparente. Depuis déjà 18 mois, le marché attend une intervention et les spéculations vont bon train sur la nature de celle-ci. Elle pourrait par exemple encore abaisser légèrement son taux directeur. Un relèvement des taux n’est en tout cas pas près de se produire dans la zone euro. Il profiterait au dollar.
Stratégie & Accents
Le dollar reste une devise refuge Le dollar est la monnaie mondiale par excellence. L’investisseur européen a tendance à l’oublier. Le déficit abyssal de la balance des paiements a longtemps représenté un facteur de risque important. Il s’est fortement amélioré ces dernières années et il se résorbera encore à mesure que l’indépendance énergétique augmentera (hausse spectaculaire de la production de pétrole et de gaz aux États-Unis), ce qui pourrait renforcer le statut international du billet vert. Les investisseurs doivent cependant savoir que le dollar est sujet à une volatilité élevée et parfois inexplicable.
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Sous la loupe Organisme de placement collectif(1)
Un investissement à temps et de qualité
Accents ❯❯ Profitez du potentiel d’une sélection internationale d’entreprises de qualité.
En tant que promoteur, KBC propose 90 Timing World Stocks 1, un compartiment de la sicav de droit belge KBC EquiPlus. Le compartiment procède à une sélection internationale(2) de 30 actions de qualité qui présentent une capitalisation boursière élevée et se distinguent par la qualité de leur management, un bilan sain et une bonne rentabilité. En cas de hausse éventuelle(4) du panier à l’échéance finale(3), l’évolution positive est versée à titre de plusvalue à hauteur de 100%, en plus de votre mise initiale. La plus-value est toutefois plafonnée à 60%(5). En cas de baisse du panier à l’échéance finale(3), l’évolution négative est intégralement prise en compte à titre
de moins-value, avec un maximum de -10%(6). Vous récupérez donc toujours au moins 90% de votre mise de fonds initiale (900 euros sur 1 000 euros, avant frais et taxes). L’évolution du panier est calculée à partir de la meilleure valeur initiale (= la valeur initiale minimale), soit le montant le plus faible entre la valeur initiale du panier et la valeur la plus faible du panier observée à six reprises pendant les 6 premiers mois suivant le lancement. Le compartiment est libellé en euro. Les fluctuations de change des actions cotées dans une autre monnaie n’affectent pas le rendement.
Exemples : Valeur finale du panier
Valeur initiale minimale du panier
Évolution du panier(2)
Résultat (avant frais et taxes) à l’échéance finale...
Montant perçu à l’échéance finale sur la base d’un capital initial de 1 000 EUR...
NÉGATIF
80
100
-20%
-20%, MAIS limité à -10%
1000 - 100 = 900 EUR (-1,80% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)
NEUTRE
110
95
+15%
+15%
1000 + 150 = 1150 EUR (2,43% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)
POSITIF 1
120
90
+30%
+30%
1000 + 300 = 1300 EUR (4,61% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)
POSITIF 2
190
85
+105%
+105%, mais ce pourcentage est plafonné à +60%
1000 + 600 = 1600 EUR (8,41% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes)
SCÉNARIO
Conditions : période d’émission du 26 mai 2014 au 30 juin 2014 avant 6 heures du matin (sous réserve de clôture anticipée) avec date valeur le 7 juillet 2014. Frais d’entrée : 2,5% pendant la période de souscription, 3,5% par la suite (dont 1,00% pour le fonds). Frais de sortie à l’échéance finale : néant. Avant l’échéance finale : 1%. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière : 1% en cas de sortie (max. 1500 EUR). À l’échéance finale : néant Plus-values exonérées du précompte mobilier.
Parts de capitalisation de 1 000 EUR. Service financier : KBC Bank et CBC Banque. Le prospectus, les informations clés pour l’investisseur et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank et CBC Banque ainsi que sur www.kbc.be ou www.cbc.be. Nous vous conseillons de lire le document “Informations clés pour l’investisseur” avant d’investir dans ce compartiment. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo).
1 Voir aussi la note 1 à la dernière page. 2 Les actions font l’objet d’une sélection internationale. La sélection s’effectue en quatre étapes sur la base de plusieurs critères : facteurs macroéconomiques (étape n°1), données financières historiques (étape n°2), rapports d’analyse (étape n°3) et données liées à la technique des options (étape n°4). Lors de la première étape, les actions sont filtrées sur la base de leur capitalisation boursière et de leur liquidité (négociabilité en Bourse). Le panier final est approuvé par le Conseil d’administration de la sicav. Il doit également répondre à plusieurs exigences légales : nombre minimal d’actions, ventilation géographique et sectorielle suffisante, poids des actions individuelles,... Il est en outre fait usage de paramètres susceptibles d’influencer le rendement potentiel des investissements. Vous trouverez plus d’informations sur la composition du panier dans le prospectus. 3 (Valeur finale moins valeur initiale minimale) divisée par la valeur initiale. 4 Ces exemples ne fournissent aucune indication quant au rendement escompté et ne désignent pas le scénario le plus probable. La valeur de l’investissement peut augmenter ou diminuer et l’investisseur peut récupérer un montant inférieur à sa mise en cas de sortie avant l’échéance finale. 5 Minimum -1,80% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes. 6 Maximum 8,41% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes.
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Stratégie & Accents
Sous la loupe
Assurance placement de la branche 23(1)
Misez sur l’Europe ! Accents
La zone euro est sur la bonne voie. L’Europe est restée à la traîne et elle est bon marché. Elle est aujourd’hui prête à amorcer un mouvement de rattrapage. En 2014, la croissance devrait dépasser de 1,5% celle de 2013. La récession en Europe et la crise de l’euro ont plombé les résultats des entreprises européennes. Les actions européennes affichent par conséquent une décote par rapport à leurs consœurs américaines.
KBC-Life European Booster-2 Le rendement de KBC-Life European Booster-2 est lié à l’Euro Stoxx 50®. Cet indice boursier, libellé en euro, se compose de 50 actions de grandes entreprises et tient lieu de référence dans la zone euro. La valeur d’un indice de prix n’est pas influencée par les éventuels dividendes versés, mais par la hausse éventuelle du cours des actions. À l’échéance finale, 200% de la hausse(1) éventuelle de l’Euro Stoxx 50® sont pris en compte. La baisse(1) éventuelle est prise en compte à hauteur de 100%. Il n’y a pas de protection du capital. Pour réaliser les objectifs d’investissement, le fonds(2) :
de KBC Bank et/ou en d’autres instruments financiers émis ou garantis par KBC Bank. Le risque du fonds sur KBC peut donc atteindre 100%. Au moment du lancement du fonds, la quasi-totalité des avoirs est immédiatement investie dans les actifs précités ; • investit, directement ou indirectement, le solde en titres négociables (notamment obligations et autres titres de créance), instruments monétaires, parts d’organismes de placement collectif, dépôts et liquidités (notamment fonds placés sur un compte à terme ou à vue) ; • conclut, directement ou indirectement, des swaps(3) avec une ou plusieurs contreparties de premier ordre.
❯❯ L’Europe est prête pour un mouvement de rattrapage. ❯❯ Les actions européennes affichent une décote.
(1) Voir note 3 en dernière page. Conditions : période d’émission du 26 mai 2014 au 29 juin 2014 (sauf clôture anticipée). Valeur d’inventaire initiale : 1 000 EUR. Versement minimal : 2 500 EUR. Frais d’entrée : 3% par versement, déduits du montant de souscription. Taxe d’assurance sur les versements : 2%. Frais de sortie avant l’échéance finale : 1% ; à l’échéance finale : 0%. Commission de gestion : jusqu’à 2,4% en base annuelle (déjà inclus dans la valeur d’inventaire). Classe de risque légale de 4 sur une échelle de 0 (faible risque) à 6 (risque élevé). Profil de risque : dynamique. En cas de retrait partiel, un montant d’au moins 1 250 EUR doit rester investi. Retrait minimal : 1 250 EUR.
• investit, directement ou indirectement, jusqu’à 100% de ses avoirs en dépôts et comptes à terme Valeur d'inventaire initiale
Valeur initiale de l'indice
Valeur finale de l’indice
Évolution de l’indice par rapport à sa valeur initiale
Plus-value ou moins-value à l'échéance finale
Rendement actuariel (après frais et taxes)
Valeur d’inventaire à l’échéance finale
Scénario 1
1000 EUR
100
50
-50%
-50%
-16.41%
500 EUR
Scénario 2
1000 EUR
100
75
-25%
-25%
-7.83%
750 EUR
Scénario 3
1000 EUR
100
100
0%
0%
-1.21%
1000 EUR
Scénario 4
1000 EUR
100
105
5%
10%
1.09%
1100 EUR
Scénario 5
1000 EUR
100
135
35%
70%
12,27%
1700 EUR
1 (Valeur finale moins valeur initiale) divisée par la valeur initiale. 2 À cet effet, le fonds investit dans une obligation d’Arcade Finance plc. (SERIES NO : 2014- 179 Life European Booster 2 NOTES DUE 2018) spécialement émise à son intention, qui investit à son tour dans les dépôts/comptes à terme et/ou instruments financiers précités. Le prospectus de base peut être consulté sur le site www.kbc.be/prospectus/spv. Après la période de lancement, les conditions définitives pourront également être consultées sur le site www.kbc.be/finalterms/spv. 3 Un swap est un contrat d’échange de paiements ou de risques pendant la durée du swap.
Stratégie & Accents
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Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles. Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank. Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Les informations du présent document sont valables au moment de sa rédaction. Elles peuvent être modifiées sans préavis et n’offrent aucune garantie pour l’avenir. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers présentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Aucun passage de ce document ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse, écrite et préalable de KBC AM. Ces informations sont soumises au droit belge et relèvent de la juridiction exclusive des tribunaux belges. Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclosures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions. Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Photos utilisées: www.shutterstock.com Rédaction terminée le 26-05-2014 (1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un État, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt. Plusieurs risques sont associés à une obligation. De nombreux émetteurs d’obligations ont un rating. Ce rating indique la probabilité de voir l’entreprise ou l’autorité émettant l’obligation rembourser l’emprunt et les intérêts sur celui-ci, soit leur solvabilité. (3) KBC-Life European Booster-2 est une assurance vie de la branche 23 dont le rendement est lié à un fonds d’investissement. Le fonds sous-jacent vise à réaliser une plus-value, mais sa valeur nette d’inventaire (VNI) peut fluctuer. Le risque financier lié aux fluctuations de la VNI du fonds sous-jacent est supporté par le preneur d’assurance. La compagnie d’assurances ne garantit ni le remboursement des primes versées ni le rendement. De plus amples informations sont fournies dans la fiche produit, dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière, disponibles gratuitement auprès de votre conseiller KBC et de KBC Assurances SA, ayant son siège social en Belgique. Siège de la société : KBC Assurances SA - Professor Roger Van Overstraetenplein 2 - 3000 Leuven - Belgique. TVA BE 0403.552.563 - RPM Leuven - IBAN BE43 7300 0420 0601 - BIC KREDBEBB..
WWW
Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir
Le parution du prochain numéro le 8 juillet 2014