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Stratégie Accents
... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial
Le KIID : informations essentielles pour l’investisseur
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2012, un grand cru pour les investisseurs
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KBC Equity Fund Technology
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KBC Equity High Dividend
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Les actions dont le cours est stable
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Le rendement dans 14 les monnaies étrangères
Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance N° 09 - 7 septembre 2012
Accents • Document uniformisé • À lire avant d’acheter un fonds
Thème Le KIID : informations essentielles pour l’investisseur
Une nouvelle réglementation européenne est entrée en vigueur le 1er juillet 2011: UCITS IV. ‘UCITS’ regroupe des fonds d’investissement conformes à la Directive UCITS. Dès qu’un tel fonds est enregistré dans un des États membres de l’Union européenne (UE), il peut être vendu partout. Aux yeux du grand public, UCITS IV se concrétise sous la forme du document ‘Informations essentielles pour l’investisseur’ (KIID en abrégé). Vu l’importance de ce document juridique du point de vue de la protection de l’investisseur, son contenu a été fixé dans le cadre d’une Directive européenne. L’harmonisation est donc maximale. La législation belge en la matière est entrée en application le 1er juillet 2012.
Qu’entend-on par informations essentielles pour l’investisseur? Le présent document remplace le prospectus abrégé (ou simplifié) actuel. Plus lisible, il fournit des informations claires sur les risques spécifiques et doit permettre une meilleure comparaison entre les fonds sur le marché européen. La transparence à l’égard de l’investisseur final s’en trouve accrue. Compte tenu du caractère international d’UCITS IV, l’abréviation anglaise KIID est celle que vous verrez le plus souvent. Elle signifie «Key Investor Information Document».
Stratégie & Accents
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PROFIL DE RISQUE ET DE RENDEMENT Faible risque
Risque élevé
Rendement potentiellement plus faible 1
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Rendement potentiellement plus élevé 4
Pour quels fonds un KIID est-il déjà disponible actuellement? Aperçu des fonds dotés d’un KIID (promoteur: KBC, marché belge)
Sicav de droit belge
Fivest Horizon IN.flanders Index Fund KBC Eco Fund KBC Equity Fund KBC Index Fund Sivek KBC Master Fund KBC Multi Interest KBC Obli KBC Select Immo KBC Institutional Fund Plato Institutional Index Fund fonds commun d’investissement EOD IOD Sicav de droit luxembourgeois KBC Bonds KBC Renta
Comment se présente le KIID? Le document se distingue nettement des autres écrits (juridiques et commerciaux). De conception rigoureuse, il comporte 5 rubriques fixes. La première page présente les ‘Objectifs et politique d’investissement’ et le ‘Profil de risque et de rendement’. Stratégie & Accents
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La deuxième page présente les ‘Frais’, les ‘Résultats obtenus dans le passé’ et les ‘Informations pratiques’. Examinons d’un peu plus près les rubriques de la page 1: Objectifs et politique d’investissement. Cette partie donne une présentation générale des produits dans lesquels le fonds investit: la (les) catégorie(s) d’investissement, les thèmes/régions/ secteurs, etc. À la rédaction du texte, une attention particulière a été apportée en vue d’éviter l’emploi de jargon. Un bref glossaire reprend les quelques termes professionnels employés. Profil de risque et de rendement. Ce nouvel indicateur est exprimé sur une échelle de 1 à 7. Il indique la mesure dans laquelle les investissements sous-jacents (compris dans le fonds) fluctuent.
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Le chiffre attribué s’accompagne aussi d’un contexte expliquant pourquoi le fonds reçoit par exemple l’indicateur 3 à un moment donné, et où sur l’échelle l’investisseur doit plus ou moins situer le fonds. Cette partie du texte décrit aussi les risques (‘moyens’ ou ‘importants’) et indique si le fonds offre la protection du capital ou non.
Quelle est l’importance du KIID? Quelle est sa place dans le paysage des fonds? Le KIID doit obligatoirement être fourni au client avant l’achat d’un fonds d’investissement. En apposant sa signature au bas du formulaire de souscription, l’investisseur confirme avoir reçu, lu, et accepté le KIID (un document précontractuel). Outre le KIID, le prospectus étendu et les rapports périodiques subsistent en tant que documents juridiques. De même, la fiche produit et la fiche de fonds conservent un rôle important. La fiche produit standard est rédigée à chaque lancement et explique de manière plus détaillée les caractéristiques et les atouts du produit. La fiche de fonds (qui remplace la fiche produit environ 3 mois après la période de lancement), propose une photo mensuelle pour chaque fonds, avec des informations sur les investissements sous-jacents, l’évolution de la valeur d’inventaire, etc. Vous pouvez voir tous ces documents en un coup d’œil dans la Recherche de fonds KBC. Pour un aperçu des KIID disponibles, nous vous conseillons le site www.kbcam.be/kiid/.
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Accents
Stratégie
• Les banques centrales donnent la priorité à la croissance plutôt qu’à l’inflation • Les obligations ne protègent pas contre l’inflation • L’incertitude ne faiblit pas
2012, un grand cru pour les investisseurs
Nous dressons le bilan intermédiaire de l’année 2012. Si la tendance se maintient, l’année pourrait être un bon cru pour tous les profils de risque. Les actions ont en effet gagné près de 15% à l’échelle mondiale. Les marchés obligataires ont également signé une belle progression. L’indice des obligations d’entreprises s’est adjugé plus de 9%, tandis que l’indice des obligations d’État a pris un peu moins de 6%. Ces trois derniers mois, l’aversion pour le risque a pour ainsi dire été inexistante. Les indicateurs conjoncturels ont toutefois commencé à se dégrader et les risques se sont intensifiés : le flou entourant la politique budgétaire américaine, l’impact de la cherté du pétrole et des denrées alimentaires, le financement de l’Espagne, le potentiel de croissance de l’Asie,... L’incertitude se renforce, les marchés grimpent. La prudence nous semble être de mise.
Les banques centrales continuent de brider leur taux directeur Les banques centrales veulent manifestement stimuler la croissance. Le président de la Réserve fédérale, Ben
Stratégie & Accents
Bernanke, a déclaré qu’aucun relèvement de taux n’aurait lieu avant la mi-2013. La Banque centrale européenne opte clairement pour une politique monétaire stimulante. Le 5 juillet, elle a abaissé ses principaux taux de
incontesté de l’économie mondiale mais la haute conjoncture s’essouffle. La Chine affiche encore une croissance de 7% à 7,5% en base annuelle. Les exportations pâtissent en revanche de l’essoufflement de la
L’Asie reste le pôle de croissance incontesté de l’économie mondiale
0,25%. Le taux de dépôt de la zone euro est actuellement le plus bas au monde. Un nouveau relâchement du taux directeur est attendu. Même l’Allemagne semble ne plus s’opposer à une politique monétaire trop généreuse pour son économie et risquée en termes d’inflation.
Comment la sécheresse aux États-Unis influence les taux en Chine La croissance réelle du PIB mondial a atteint 3,3% en 2011. En 2012, la croissance devrait s’établir à 2,53%. L’Asie reste le pôle de croissance
croissance occidentale. La demande intérieure demeure toutefois robuste. À la faveur de la décrue de l’inflation (de 6,5% en septembre 2011 à 1,8% en juillet 2012), plusieurs pays dont la Chine ont abaissé leur taux directeur et assoupli les conditions de crédit. Il s’agissait ainsi des premières baisses de taux en quatre ans. La hausse des prix de l’alimentation pourrait empêcher un nouvel assouplissement de la politique monétaire. La sécheresse aux États-Unis et les mauvaises récoltes en Russie et en Amérique du sud ont en effet déjà entraîné une flambée des prix du blé, du maïs et du soja.
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Les bénéfices des entreprises ne surprennent plus
Plusieurs arguments plaident en faveur des actions
Le bénéfice par action des entreprises de l’indice S&P 500 a égalé le niveau record du deuxième trimestre 2011. Le chiffre d’affaires s’est également maintenu au même niveau. Tant les bénéfices que le chiffre d’affaires ont dépassé les prévisions (pessimistes). La croissance est cependant en berne. Pour l’Europe, les données sont encore partielles. En ce qui concerne l’indice EURO STOXX 600, le bénéfice accuserait un recul de 7,6% par rapport à un an auparavant, tandis que les chiffres d’affaires progresseraient de 2,8%. Il ne s’agirait que d’une courte pause dans la progression de la croissance. Pour l’année civile 2012, les analystes escomptent une hausse de 8% des bénéfices par action aux États-Unis, contre un statu quo en Europe. En 2013, la hausse des bénéfices pourrait atteindre près de 12% dans les deux régions, ce qui paraît réaliste.
Le choix des actions s’impose ne fût-ce que pour les dividendes. Le rendement de dividende des actions européennes s’élève actuellement à
ment, il y a en outre peu d’alternatives. Les liquidités ne rapportent quasiment rien. La moindre hausse des taux obligataires a pour effet que la perte de cours éponge le rendement courant. Si l’on sait que le rendement des emprunts d’État allemands à 10 ans ne dépasse guère 1,55%, les actions
Le rendement de dividende des actions européennes s’élève actuellement à 4,15%
4,15%, soit près de 3 points de pourcentage de plus que le taux des obligations d’État allemandes à dix ans. Pour l’investisseur en quête de rende-
protègent peut-être mieux contre les risques de taux et d’inflation à long terme.
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Stratégie & Accents
11-2010 02-2011 05-2011 08-2011 11-2011 02-2012 05-2012 Monde Europe Etats-Unis Évolution des marchés d’actions (en euro) Indice 100 = il y a 6 mois
08-2012
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Actions sans protection du capital Actions avec protection du capital Obligations
Stratégie
Immobilier Placements alternatifs Cash
Portefeuille Dans le portefeuille cible très défensif, nous investissons 12,5% en actions. La position en actions se compose intégralement d’instruments à capital protégé (25%), Leur risque actions s’élève à 50%. La composante obligataire représente 40,5% du portefeuille, y compris la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 12,5% (soit 50% de 25%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 28% directement en obligations. Les liquidités représentent 47% du portefeuille. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent très peu à un portefeuille très défensif. Dans le portefeuille cible défensif, nous investissons 27,5% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 7,5% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 40%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 62,5% du portefeuille (par rapport à notre norme à long terme de 75%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 20% (soit 50% de 40%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 42,5% du portefeuille directement en obligations. Les liquidités (8% du portefeuille) sont investies en euro. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent peu à un portefeuille défensif. Dans le portefeuille cible dynamique, nous investissons 50% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 27% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 46%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 43% du portefeuille (contre une norme à long terme de 50%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 23% (soit 50% de 46%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 20% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités dans le portefeuille. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille dynamique. Dans le portefeuille cible très dynamique, nous investissons 72% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 57% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 30%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 21% du portefeuille (contre une norme à long terme de 25%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 15% (soit 50% de 30%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 6% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités dans le portefeuille. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille très dynamique.
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Stratégie & Accents
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Obligations publiques Obligations d’entreprises Obligations convertibles Obligations indexées Obligations marchés émergents Monnaies satellites de l’euro du dollar, PLN
Les actions restent le meilleur choix À la mi-août, l’indice mondial avait gagné 15% en euro par rapport à son niveau fin 2011. Les investisseurs obnubilés par la crise de l’euro et les autres menaces planant sur l’économie mondiale sont perplexes et pensent peut-être avoir raté le coche. Les marchés d’actions n’ont pourtant pas ignoré ces risques et la valorisation des n’a donc pratiquement pas augmenté.
100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10%
L’investisseur en quête de valeur se tourne inévitablement vers les actions. Par rapport aux bénéfices des entreprises (qui battent tous les records) et à la valeur de leurs actifs corporels et incorporels (qui sont à l’origine de ces records), les actions ont rarement été aussi bon marché qu’aujourd’hui. La prime de risque (soit le rendement supplémentaire) que l’on peut encaisser actuellement sur des investissements en actions est exceptionnellement élevée par rapport aux obligations d’État (qui sont chères). Le rendement de dividende dépasse déjà largement le taux nominal des obligations d’État, qui couvre à peine l’inflation. Cet écart de valorisation s’explique par l’aversion pour le risque des investisseurs privés et institutionnels, effarouchés par la crainte d’une nouvelle récession mondiale (qui frappera durement les entreprises) et les interminables problèmes de la zone euro. Il y aura toujours des risques, mais nous pensons que si les problèmes de la zone euro sont maîtrisés et si l’épais brouillard qui nimbe la situation budgétaire américaine se dissipe, les fondamentaux retrouveront toute leur importance. Un premier facteur fondamental est le déplacement du centre de gravité de l’économie mondiale vers les marchés émergents où des facteurs démographiques favorables dopent la demande intérieure. Un deuxième élément fondamental réside dans le fait que le processus de désendettement des pays classiques n’est pas compatible avec une récession interminable , mais avec une croissance un peu plus lente dans l’ancien monde.
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PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS très défensif
défensif (très) dynamique
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(très) dynamique
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USD PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS (très) dynamique
Stratégie & Accents
Defensief profiel
Autres
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Stratégie Accents dans le portefeuille
Technologie Le secteur technologique n’est plus le secteur de croissance agressif du temps de la bulle dotcom. Les entreprises de réseaux sociaux ont connu une période agitée mais elles ne représentent qu’un segment relativement limité du secteur. Plusieurs grandes sociétés IT alignent imperturbablement d’excellents résultats. Elles possèdent des bilans quasi exempts de dettes et disposent des liquidités abondantes, qu’elles reversent de plus en plus aux actionnaires. La technologie devient ainsi un nouveau secteur défensif, moins volatil que le marché au sens large.
Stratégie & Accents
La technologie n’est pas davantage un secteur mature dont la croissance s’est totalement effritée, comme pourraient le laisser supposer la valorisation moyenne et les prévisions de croissance bénéficiaire des analystes. Son potentiel de croissance est sousestimé. Quatre grandes tendances lui assurent une solide croissance structurelle. La mobilité des données (data mobility) dope le développement et les ventes de smartphones et de tablettes, le salon numérique (digital living room) donne accès à de nombreuses nouvelles applications au sein même de nos foyers et l’informatique dématérialisée (cloud computing) permet aux consommateurs de consulter leur réseau personnel et social à tout
moment et en tout lieu. Ces tendances entraînent une croissance exponentielle de la mobilité des données. Le secteur va donc profiter du renouvellement constant des produits, des investissements dans la capacité, de la rapide demande de remplacement,… Il sera également le premier à tirer parti du redémarrage de la demande d’investissement.
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Ventilation sectorielle du portefeuille d’actions Energie Matériaux Industrie Consommation discrétionnaire Biens de consommation de base Santé Finance Technologie de l’information Télécommunications Services aux collectivités 0%
5% Ventilation actuelle
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Perspectives économiques 03-09-2012 Croissance économique (%) 2011 2012 2013 Inflation (%) 2011 2012 2013 Taux officiel (%) (*) 03-09-2012 Novembre 2012 Février 2013 Taux à dix ans (%) (*) 03-09-2012 Novembre 2012 Février 2013 Cours de change (**) 03-09-2012 Novembre 2012 Février 2013
UEM
Royaume-Uni
Etats-Unis
Japon
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0,8 -0,5 0,9
1,8 2,0 1,9
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4,5 2,6 1,9
3,1 2,1 2,0
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1 EUR = GBP 0,79
1 EUR = USD 1,26
1 EUR = JPY 98,70
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(*) : hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel; : hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.; : appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc. ( * * ) : appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel;
Stratégie & Accents
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Organismes de placement collectif (OPC)(1)
Sous la loupe
Accents • Une croissance plus élevée… • Une valorisation conforme à celle du marché global
Payer un prix moyen pour des entreprises de croissance matures
À court terme, la croissance de l’économie mondiale va être freinée par les mesures de rigueur de nombreux États occidentaux. Celles-ci sont nécessaires à l’assainissement des finances publiques. Les administrations publiques et les entreprises diffèrent trop souvent leurs investissements dans les nouvelles technologies. Ce report devrait progressivement prendre fin.
Dès que les entreprises verront augmenter la demande de biens et de services, le secteur technologique sera l’un des premiers à profiter des nouveaux investissements. Les sociétés technologiques ont déjà préparé le calendrier de lancement de leurs nouveaux produits. Les dernières versions des tablettes les plus populaires sont prévues au second semestre 2012, ainsi qu’un nouveau système d’exploitation pour PC, inaugurant traditionnellement une nouvelle vague d’investissements. La demande de nouvelles technologies va en outre profiter de la demande croissante d’Internet mobile et de l’importance grandissante des centres de données pour les entreprises.
KBC Equity Fund Technology En tant que promoteur, KBC propose Technology, un compartiment de la sicav de droit belge(1) KBC Equity Fund, qui fait l’objet d’une gestion active et investit au moins 75% de ses actifs en actions d’entreprises du secteur technologique réunissant les conditions d’une croissance économique accélérée à court ou moyen terme. La volatilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la composition du portefeuille. Le compartiment est libellé en dollar américain. Le profil de risque et de rendement est de 6 sur une échelle de 1 (faible risque) à 7 (risque élevé). Cet investissement s’adresse aux investisseurs ayant un profil de risque très dynamique. Parlez-en avec votre chargé de relations.
(1) Voir aussi la note 1 à la dernière page. KBC Equity Fund Technology est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equity Fund. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière sur les parts de capitalisation : 1% en cas de sortie (max. 1500 EUR). Service financier : KBC Bank, CBC Banque et Centea. Les informations clés pour l’investisseur, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank, CBC Banque et Centea. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 21%. En fonction de la situation individuelle de chaque investisseur, le précompte mobilier peut être majoré d’une retenue complémentaire de 4%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier.
Stratégie & Accents
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Organismes de placement collectif (OPC)(1)
Sous la loupe
Accents • Un style d’investissement axé sur la limitation des risques • Les managers accordent beaucoup d’importance à la valeur pour l’actionnaire
Tout investisseur apprécie un dividende attrayant
Les entreprises qui versent traditionnellement un dividende élevé donnent ainsi un signal fort aux investisseurs. Au lieu d’investir leurs liquidités excédentaires dans des projets prestigieux, qui ne privilégient pas toujours le rendement, elles préfèrent les reverser à leurs actionnaires, qui en choisissent eux-mêmes l’affectation. Dans la plupart des cas, il s’agit d’entreprises matures dotées d’un management réputé. Ce management se concentre essentiellement sur la production d’un bénéfice, car année après année, celui-ci servira à payer des dividendes élevés. Un dividende stable constitue à long terme une part considérable du rendement d’un investissement. Les télécoms, les services aux collectivités et la santé sont réputés pour leur rendement de dividende élevé. La croissance de ces secteurs a cependant manqué de vigueur ces dernières années. Pour limiter les fluctuations
de cours, il est judicieux de sélectionner également les actions à dividende d’autres secteurs de manière à ce que le portefeuille comporte aussi des entreprises réalisant une croissance plus vigoureuse.
KBC Equity Fund High Dividend En tant que promoteur, KBC propose High Dividend, un compartiment de la sicav de droit belge (1) KBC Equity Fund. Le compartiment, qui fait l’objet d’une gestion active, investit au moins 75% de ses actifs en actions à haut rendement de dividende. Il est libellé en EUR. Le profil de risque et de rendement est de 6 sur une échelle de 1 (faible risque) à 7 (risque élevé). High Dividend
convient aux investisseurs au profil de risque dynamique. Parlez-en avec votre chargé de relations. (1) Voir aussi la note 1 à la dernière page.
KBC Equity Fund High Dividend est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equity Fund. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière sur les parts de capitalisation : 1% en cas de sortie (max. 1500 EUR). Service financier : KBC Bank, CBC Banque et Centea. Les informations clés pour l’investisseur, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank, CBC Banque et Centea. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 21%. En fonction de la situation individuelle de chaque investisseur, le précompte mobilier peut être majoré d’une retenue complémentaire de 4%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier.
Stratégie & Accents
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Accents
Actions en point de mire
• Une plus grande attention est portée au risque • Une sélection rigoureuse ouvre des perspectives
Les actions dont le cours est stable sont le bon choix
L’incertitude économique, le contrôle des risques et la quête du rendement semblent être inconciliables avec un portefeuille d’investissement. L’investisseur qui choisit la sécurité doit la payer au prix fort. Opter pour le rendement conduit inévitablement aux actions. Les actions sont risquées, mais ce risque peut être limité en privilégiant la protection du capital ou les actions à faible volatilité. Ces actions protègent contre la tendance baissière des marchés et réduisent le risque d’un portefeuille.
Ralentissement de la croissance La situation économique s’est dégradée cet été. Au deuxième trimestre, la croissance de l’économie mondiale est retombée au maigre taux de 2,1%, nettement inférieur à son niveau tendanciel de 3 à 3,5%. Peu de pays ont échappé à ce ralentissement. Seul le nouveau monde a affiché une croissance du PIB réel de 5%. Les indicateurs de confiance sont également en baisse à l’échelon mondial depuis le début de l’année. Bien que les bénéfices des entreprises se maintiennent à des niveaux élevés aux États-Unis, la croissance a des ratés. Aux ÉtatsUnis, les bénéfices et le chiffre d’affaires résistent encore. En Europe, les bénéfices ont baissé mais le chiffre d’affaires a continué à progresser.
L’investisseur est confiant Malgré l’incertitude économique, la propension au risque augmente, ce qui est assez étonnant. Cela montre que les investisseurs estiment que de part et d’autre de l’Atlantique, les banques centrales mettront tout en œuvre pour relancer l’éconoStratégie & Accents
mie. Ils pensent par ailleurs qu’enfin, les moyens mis en œuvre pour combattre la crise de l’euro ne seront plus des demi-mesures. Depuis le début juin, les Bourses européennes ont dès lors augmenté de près de 15% et les différentiels de taux d’intérêt des obligations plus risquées telles que les obligations d’entreprises se sont encore resserrés. Les investisseurs pensent qu’en dehors des actions, il existe peu d’alternatives rentables. Bien que la situation économique ne semble pas affecter la propension au risque de l’investisseur et que nous partagions l’optimisme des marchés, nous sommes conscients des risques à court terme. La confiance des entrepreneurs reste en berne et les prix des matières premières repartent à la hausse. Le phénomène est peut-être temporaire mais il empêche un nouveau recul de l’inflation. Les mesures des banques centrales arriveront-elles à temps ? Les prochains mois vont certainement être agités, non seulement en Europe, mais aussi aux ÉtatsUnis où la fièvre électorale monte.
Intégrer la sécurité L’incertitude économique doublée de la quête du rendement et du contrôle
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des risques confronte l’investisseur à un dilemme. Si celui-ci opte pour la sécurité, il paiera ses investissements au prix fort : le rendement des emprunts d’État des pays sûrs ne peut compenser l’inflation escomptée
actions protègent contre la tendance baissière des marchés et réduisent le risque d’un portefeuille. La volatilité étant plus faible, un portefeuille d’actions défensives a un profil de risque comparable à celui d’un fonds
Les actions à faible volatilité protègent contre la tendance baissière des marchés
et les obligations d’entreprises rapportent moins. S’il souhaite un rendement minimal acceptable, il doit choisir les actions mais mieux vaut alors intégrer davantage de sécurité, soit opter pour la protection du capital. Cette sécurité peut encore être renforcée en optant pour les actions à faible volatilité et au cours plus stable que les actions classiques, soit les actions d’entreprises telles que Deutsche Telekom, Telefonica ou Nestlé. Ces
mixte composé de 60% d’actions et de 40% d’obligations. Mais le rendement est en principe plus élevé que ce rapport pourrait le laisser supposer, notamment parce que le rendement de dividende de ces actions est généralement supérieur à celui qui est en vigueur sur le marché. En outre, nous profitons ainsi des gains de cours à long terme des marchés d’actions.
Dans notre stratégie, nous privilégions également le thème des actions à dividende élevé, soit les actions d’entreprises solides de qualité actives dans différents secteurs et régions, affichant d’excellents bilans et offrant aux investisseurs un afflux de revenus par le biais d’un dividende élevé. Les actions au dividende généreux affichent un rendement stable et cadrent en outre parfaitement avec une stratégie acheter-et-conserver. Ces entreprises ont aussi fortement tendance à racheter leurs actions ou se font racheter, ce qui génère encore un rendement supplémentaire.
Si vous êtes intéressé par nos analyses d’actions, demandez à votre conseiller Épargne et Placements de vous procurer la publication Stratégie & Accents ACTIONS.
125,00 120,00 115,00 110,00 105,00 100,00 95,00 90,00 85,00 25-11-10
25-03-11
25-07-11
Indice mondiale
25-11-11
25-03-12
25-07-12
Actions à faible volatilité Les actions défensives sont moins volatiles
Informations sur l’entreprise Deutsche Telekom
National Grid:
Nestlé
Avis : augmenter Changements d’avis durant ces 12 derniers mois : 25-03-2011: de réduire à augmenter Cours : 9,39 EUR Objectif de cours : 10,30 EUR
Avis : augmenter Changements d’avis durant ces 12 derniers mois : néant Cours : 693,00 GBP Objectif de cours : 790,00 GBP
Avis : augmenter Changements d’avis durant ces 12 derniers mois : néant Cours : 59,65 CHF Objectif de cours : 68,00 CHF
Deutsche Telekom est l’une des plus grandes sociétés télécoms intégrées au monde. Elle opère dans les réseaux large bande/fixes, la communication mobile et les entreprises.
Stratégie & Accents
National Grid est un important distributeur de gaz et d’électricité aux États-Unis et au Royaume-Uni où il souhaite investir 18 milliards GBP au cours des six prochaines années. Cette entreprise de services aux collectivités entend en outre étendre ses activités à l’énergie solaire.
Nestlé est le numéro un mondial de l’alimentation et des boissons et le leader dans le domaine du café, des eaux minérales et de l’alimentation infantile. Il est également actionnaire de L’Oréal. Ses marques phares sont Nestlé, Nescafé, Nestea, Maggi et Purina.
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Accents • Opter pour des débiteurs de qualité • Privilégier les marchés émergents
Obligations en point de mire
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Chercher le rendement dans les monnaies étrangères
La note de solvabilité des marchés émergents ne cesse de s’améliorer. Il est normal qu’un débiteur doive payer moins d’intérêts lorsque sa solvabilité s’améliore. Les taux du marché que les marchés émergents paient sur leurs emprunts d’État n’ont que peu baissé par rapport à leur qualité qui est en hausse. Le différentiel de taux d’intérêt avec les obligations européennes est de ce fait très attrayant. Un investis-
sement en monnaies des marchés émergents offre également une meilleure répartition monétaire.
d’un portefeuille amplement ventilé entre les régions, faisant la part belle aux marchés émergents. Ceux-ci affichent des fondamentaux économiques sains, les pouvoirs publics
Nous donnons la préférence à une très large ventilation
Accorder une place de choix aux marchés émergents Outre les obligations d’entreprises, les obligations à haut rendement en devises étrangères apportent la diversification indispensable au portefeuille obligataire. Nous sommes partisans
sont moins endettés qu’en Occident et leurs budgets sont davantage en équilibre. L’assainissement des finances publiques n’y est la plupart du temps pas à l’ordre du jour. Au besoin, les dirigeants politiques pourraient libérer des moyens pour relancer l’économie. Ce qui est une bonne nouvelle, car les plans d’austérité de nombreux pays occidentaux compriment la croissance de l’économie mondiale, freinant les exportations des marchés émergents. Un atterrissage forcé est toutefois loin de se produire.
(1): voir aussi la note 2 à la dernière page
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Les cours de change des marchés émergents sont encore largement inférieurs à leur niveau d’avant la crise Pays Mexique (MXN)
Cours actuel 13,1
Brésil (BRL)
Sommet 2008 9,86
Écart en % par rapport au sommet -24,6%
2,0
1,56
-22,7%
1131,2
935
-17,3%
Philippines (PHP)
42,3
40,27
-4,7%
Thaïlande (THB)
31,5
31,09
-1,2%
Hongrie (HUF)
275,7
228,0
-17,3%
Pologne (PLN)
4,1
3,20
-21,3%
Turquie (TRY)
2,2
1,70
-23,8%
Russie (RUB)
39,5
34,0
-14,0%
Corée du Sud (KRW)
Le rendement des obligations d’État occidentales est maigre En termes de valorisation, les obligations des marchés émergents conservent tout leur attrait en raison des taux d’intérêt plus élevés, surtout par rapport aux obligations d’État occidentales. Actuellement, le taux d’intérêt des obligations allemandes et américaines est extrêmement bas. En revanche, les obligations des marchés émergents libellées en monnaie locale ont un rendement moyen supérieur à 3,5%. Parmi les fonds obligataires à haut rendement, nous optons dès lors pour une répartition très diversifiée,
incluant des obligations d’Amérique latine, d’Europe centrale, d’Asie et de Scandinavie.
Les principaux facteurs de risque pour les marchés émergents sont une récession mondiale et l’instabilité politique. Les risques politiques restent très imprévisibles. C’est pourquoi il est recommandé de bien ventiler le portefeuille obligataire entre les monnaies, les régions et les débiteurs. Pour limiter le risque sur débiteurs, nous donnons la préférence aux débiteurs de qualité dotés au minimum de la note investment grade. Nous fixons en outre une limite inférieure pour le rendement : celui-ci doit dépasser le taux des emprunts d’État allemands d’au moins 0,50 point de pourcentage pour la même durée résiduelle.
Limiter l’incertitude Un investissement en obligations à haut rendement en monnaies étrangères contribue à une meilleure répartition de la part obligataire du portefeuille. Il permet une diversification en dehors de l’euro. Outre un rendement plus élevé, les investisseurs peuvent aussi profiter d’une appréciation éventuelle de la monnaie face à l’euro. Les cours de change de la plupart des marchés émergents sont en effet encore loin de leur niveau d’avant la crise (cf. tableau ci-dessus).
Notre sélection d’obligations(1) Monnaie
Emprunt
Prix d’émission ou cours indicatif
Coupon
Rating
Rendement (en %)
Contrevaleur en EUR (*)
Marché primaire AUD
MERCEDES-BENZ AUSTRALIA 4.125% 04-09-2012 04-09-2015
100,68
04/09
A-
3,88
1652,40
NZD
NEDERLANDSCHE WATERSCHAPSBANK 4.250% 26-07-2012 26-07-2017
100,90
26/07
AAA
4,04
645,24
TRY
RABOBANK NEDERLAND 7.000% 17-08-2012 17-08-2015
101,40
17/08
AA
6,46
444,65
NOK
ANZ BANKING CORP 3.750% 23-05-2012 23-05-2017
102,80
23/05
AA-
3,10
1423,47
AUD
TOYOTA MOTOR CREDIT CORP 4.375% 05-07-2012 05-07-2017
100,35
05/07
AA-
4,29
1674,12
Marché secondaire
(1) (*)
Voir note en dernière page. Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 30-08-2012
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Arrêt sur image Il y a quelques semaines, nous étions encore convaincus que l’inflation reculait. La récente flambée des prix du brut et les mauvaises récoltes nous incitent toutefois à revoir notre jugement. L’inflation va se maintenir à un niveau élevé pendant une période prolongée. En septembre 2011, elle culminait à 3% dans la zone euro et à 3,9% aux États-Unis. L’effritement du prix du brut à l’automne 2011 a entraîné sa décélération progressive. Les banques centrales ont toutefois relâché leur lutte contre l’inflation, soutenir la croissance étant en effet leur priorité maximale depuis l’éclatement de la crise du crédit. Aujourd’hui, la tension entourant l’Iran entraîne une nouvelle flambée du prix du pétrole et la sécheresse propulse les prix du marché du maïs et du blé vers de nouveaux sommets.
WWW
Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 6, 1080 Bruxelles. Stratégie & Accents est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM). Les données servant de base aux projections, scénarios, pronostics et cours cibles proviennent de sources fiables et de recherches propres. Cette recommandation n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’arrêté royal du 3 juin 2007 énonçant les règles destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements, et tombe par conséquent sous la définition légale de la communication publicitaire. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’action concernée avant la diffusion de la recommandation. Cette publication ne constitue pas un conseil en investissement personnalisé. L’investisseur doit encore déterminer, de préférence avec son conseiller Epargne et Placements ou son chargé de relations, si l’action cadre avec son profil de risque et son portefeuille de placement. KBC AM ou toute autre société du groupe KBC ne peuvent pas être tenues responsables d’une imprécision ou d’un oubli éventuels dans les données communiquées. Editeur responsable / rédacteur en chef: Alex Wolfers, Product & knowledge management KBC AM / Christiaan De Moor. Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles, telles qu’une description des activités de l’entreprise, le graphique illustrant l’évolution du cours de l’action, les événements les plus récents survenus dans l’entreprise et les résultats et prévisions communiqués par celle-ci dans son rapport annuel ou ses communiqués de presse. D’autre part, l’analyste financier y expose son opinion sur l’entreprise. Il en décrit les points forts et les points faibles et indique, dans son avis global, les motifs à la base de sa recommandation. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro 01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Pour certains éléments essentiels de la recommandation d’investissement, qui n’ont pu être repris sur la fiche faute de place, nous vous renvoyons aux «Directives générales régissant les recommandations d’investissement de KBC Asset Management» sur www.kbcam.be/equities. Photos utilisées: www.shutterstock.com (1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt.
Parution du prochain numéro le 5 octobre 2012